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mardi, 08 juillet 2014

Traité Transatlantique : un entretien avec Alain de Benoist publié dans la revue "Rébellion"...

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Source Rébellion cliquez là

via Cercle Non conforme de Lille cliquez ici

Rébellion / Quelle sont les origines des négociations pour le Partenariat transatlantique de commerce et d'investissement ? Quelles sont les parties en présence ?

La « libéralisation » totale des échanges commerciaux est un vieil objectif des milieux financiers et libéraux. Dès le 22 novembre 1990, un an après la chute du Mur de Berlin, les Etats-Unis et l’Europe avaient adopté une première « Déclaration transatlantique » par laquelle ils s’engageaient à « promouvoir les principes de l’économie de marché, à rejeter le protectionnisme, à renforcer et ouvrir davantage les économies nationales à un système de commerce multilatéral ». S’ensuivirent différentes initiatives allant toute dans le sens d’un partenariat commercial euro-américain. En mai 1998, lors du sommet américano-européen de Londres, un premier Partenariat économique transatlantique fut signé.

Le projet fut réactivé en juin 2005, au sommet américano-européen de Washington, sous la forme d’une déclaration solennelle en faveur d’un « Nouveau partenariat économique transatlantique ». Le 30 avril 2007, un « Conseil économique transatlantique » était mis en place par George W. Bush, président des Etats-Unis, Angela Merkel, alors présidente du Conseil européen, et José Manuel Barroso président de la Commission européenne, sous la direction conjointe de Karel De Gucht, commissaire européen au Commerce, et de l’Américain Michael Froman. Cette nouvelle instance se fixait pour objectif de négocier le marché transatlantique dans tous ses aspects législatifs liés à la production, au commerce et aux investissements. Il fut convenu de se réunir tous les ans.

Le 2 février 2009, le Parlement européen adoptait une résolution sur l’« état des relations transatlantiques » invitant à la création effective d’un grand marché transatlantique calqué sur le modèle libéral et impliquant une liberté de circulation totale des hommes, des capitaux, des services et des marchandises. Le texte précisait que ce partenariat transatlantique se fondait « sur des valeurs centrales partagées, telles que la démocratie, les droits de l’homme et l’Etat de droit », et qu’il devait « demeurer la pierre angulaire de l’action extérieure de l’Union ». Le processus pouvait alors s’engager concrètement. Le 13 février 2013, Obama signait avec José Manuel Barroso et Herman Van Rompuy une déclaration adoptant le principe d’un accord de partenariat transatlantique. François Hollande, représentant la France, aissait faire. Le 12 mars, la Commission européenne approuvait le projet de mandat concernant la conclusion d’un tel accord avec les Etats-Unis. Enfin, le 14 juin 2013, les gouvernements des 27 Etats membres de l’Union européenne donnaient officiellement donné mandat à la Commission européenne pour négocier avec le gouvernement américain la création d’un grand marché commun transatlantique, qui a reçu le nom de Partenariat transatlantique de commerce et d’investissements (Trasantlantic Trade and Investment Partnership, TTIP), l’objectif affiché étant de « lier le niveau de libéralisation des deux parties au plus haut niveau de libéralisation obtenu suite aux accords de libre-échange déjà conclus, tout en cherchant à atteindre de nouveaux accès au marché en éliminant les obstacles qui demeurent ». Les négociations officielles se sont ouvertes à Washington le 8 juillet 2013. Elles se poursuivent toujours actuellement, les partenaires espérent parvenir à un accord d’ici 2015.

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samedi, 05 juillet 2014

Le nouveau numéro de Terre et peuple magazine est paru

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vendredi, 04 juillet 2014

Le feuilleton de l'été dans Présent : une aventure au Liban phalangiste du milieu des années 70

Logo_present.pngEn feuilleton dans le quotidien “Présent” pendant tout l’été: le récit authentique et inédit de l’aventure de ces jeunes étudiants Français qui en 1976 se sont portés au secours des chrétiens du Liban dans Beyrouth assiégé par ceux que les bien-pensants occidentaux appelaient “les islamo-progressistes”.

Une formidable aventure à retrouver chaque jour dans "Présent".

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mercredi, 02 juillet 2014

Sarkozy en garde à vue ? Une avancée totalitaire

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Jean-Yves Le Gallou

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Je ne suis pas sarkozyste. Je n’ai pas voté Sarkozy. Et je ne souhaite pas le retour au pouvoir de l’ancien président. Pour autant je ne me réjouis pas de sa garde à vue. Par instinct, je me refuse toujours à hurler avec les loups. Par raison, je m’interroge sur ce qui peut rester de souveraineté nationale lorsque celui-ci qui a – bien ou mal, c’est une autre affaire – représenté la France est humilié à la face du monde pour une affaire de cornecul montée par une officine.

Allons plus loin : la réflexion politique, le droit des gens et les règles de la démocratie ont mis en place des « immunités ». Certes, ces immunités sont des privilèges mais des privilèges nécessaires. L’immunité diplomatique vise à assurer l’indépendance du représentant étranger vis-à-vis du pays qui l’accueille. L’immunité parlementaire vise à garantir un minimum d’indépendance du représentant du peuple par rapport au pouvoir exécutif et au pouvoir judiciaire. L’immunité des juges a pour but de garantir leur liberté d’appréciation et leur tranquillité. L’immunité présidentielle a – elle – pour fonction de garantir l’autorité du pouvoir exécutif. Sans raison d’État, il n’y a plus d’État. Sans immunité parlementaire, il n’y a plus de démocratie représentative. Quand les parquetiers et les juges vont en garde à vue, il n’y a plus d’indépendance de la justice.

Toutes ces règles, toutes ces immunités, fruits d’une tradition séculaire – voire millénaire – ont volé en éclat ! Pour le bénéfice de qui ? Du peuple ? Sûrement pas ! Plus certainement des puissances financières et des puissances étrangères qui ont intérêt à réduire les dépositaires de la souveraineté à l’état de pantin. Aujourd’hui celui qui écoute le monde (la NSA, d’autres services spéciaux) a le pouvoir sur le monde. Est-ce un progrès de la souveraineté ? De la démocratie ? Des libertés ? Évidemment non !

On me dira qu’il suffit de respecter la loi pour ne rien craindre. Mais c’est une foutaise que d’affirmer cela ! Car, appliqué avec méthode et systématisme, le volumineux code pénal français permettrait de placer en détention 10 millions de personnes et parmi elles, la totalité des ministres, des préfets, des chefs d’entreprise et des… candidats à l’élection présidentielle.

Bien sûr, on ne le fait pas. Mais la loi pénale, incapable d’empêcher la montée de la délinquance, permet la mise en place d’un régime d’arbitraire, tout simplement en choisissant les bonnes cibles.

Sarkozy, paraît-il, était écouté légalement, comme nous tous sommes susceptibles de l’être. Mais les écoutes de la STASI aussi étaient légales…

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Dans Rivarol de cette semaine : un grand entretien entre Robert Spieler et Jean-Marie Le Pen

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Le deuxième numéro de Conflits est paru :

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La revue géopolitique dirigée par Pascal Gauchon

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mardi, 01 juillet 2014

Benzema aurait-il pu jouer contre l’Algérie ?

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Pierre Cassen

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Les dieux en ont décidé ainsi ! Le match France-Algérie n’aura pas lieu, en quarts de finale de la Coupe du monde. On en connaît beaucoup qui sont soulagés : les propriétaires de voitures, les salariés qui se lèvent tôt, le ministre de l’Intérieur, les préfets, nos policiers et tous ceux qui auraient été en première ligne, ce vendredi, pour faire face à un déferlement revanchard qui aurait probablement submergé des pans entiers de notre pays.

Mais quid du sélectionneur, Didier Deschamps, et du joueur que la France entière est sommée d’idolâtrer, le franco-algérien Karim Benzema, seul Bleu à ne pas chanter La Marseillaise ?

L’entraîneur aurait-il pu aligner un joueur qui reconnaît que la France n’est qu’un choix sportif, et que l’Algérie est le pays de son cœur ? Benzema aurait-il pu jouer à 100 % de ses moyens contre une équipe qu’il préfère à celle de son pays de naissance ? Aurait-il pu considérer comme de vrais adversaires des joueurs dont il partage, en période de ramadan, les mêmes convictions religieuses ?

Petit retour sur notre passé. Le football français a connu trois grands joueurs, tous enfants d’immigrés, qui ont chacun marqué leur époque.

Le premier, Raymond Kopa, de son vrai nom Kopaszewski, né à Noeux-les-Mines, en 1931, est petit-fils de mineurs polonais venus s’installer en France en 1919. De tradition catholique, comme de nombreux autres internationaux de son époque (Maryan Wisniewski, Léon Glovacki), il ne mettra jamais en avant sa religion, ni en club, ni en équipe de France.

Le deuxième, Michel Platini, né en 1955 à Joeuf, est petit-fils d’un immigré italien venu s’installer en Lorraine après la Première Guerre mondiale. Pendant dix ans, il a porté à bouts de bras les Bleus, aidé par une génération exceptionnelle. Quand il jouait contre l’Italie, il mettait un point d’honneur à être encore meilleur que d’habitude. Nul n’a oublié les deux coups francs consécutifs marqués à Dino Zoff, alors meilleur gardien au monde, ni sa prestation, en 1986, en Coupe du monde, qui permit à la France d’éliminer la Squadra Azzura.

Le troisième, Zinedine Zidane, est né en 1972 à Marseille. Son père, algérien, est arrivé en France en 1953. Celui qu’on surnomme Zizou possède la double nationalité française et algérienne. Lorsqu’on l’interrogeait sur une éventuelle rencontre France-Algérie, il répondait qu’il souhaitait un match nul. On est fort loin de l’attitude de Michel Platini.

Avec Karim Benzema, né en 1987 à Lyon, une autre étape a été franchie. Ce joueur, lui aussi de double nationalité, doit tout à la France, et pourtant, il affirme préférer un autre pays, qui par ailleurs ne lui a rien apporté. Il a choisi l’équipe de France simplement pour les retombées financières, alors que dix-sept joueurs franco-algériens, comme lui nés en France, ont choisi d’être internationaux algériens parce qu’ils ne se pensaient pas assez bons pour être sélectionnés en équipe de France.

Cette évolution, à travers près de soixante ans de football, résume tout. Avec Raymond Kopa et Michel Platini, on était à fond dans l’amour de la France, l’assimilation et le creuset républicain. Avec Zinedine Zidane et la double nationalité, les ambiguïtés commencent. Avec Karim Benzema, on est dans la préférence algérienne, le halal, le ramadan, la barbe, et le fait, assumé, d’être le seul à refuser de chanter La Marseillaise. Comment, dans un tel contexte, aurait-il pu jouer contre l’Algérie ? Qu’il marque des buts, les Algériens l’auraient qualifié de traitre. Qu’il ne marque pas, et les Français auraient eu des doutes quant à sa loyauté.

Certains veulent interdire le débat sur la double nationalité, et pourtant, ces exemples footballistiques montrent qu’il est plus incontournable que jamais.

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lundi, 30 juin 2014

Entretien avec Frédéric Pichon (*) : l’Occident s’est complètement trompé en Syrie, on le dit enfin !

e0adf9bcbd01a1954b4fcc04d69d603b.jpegSource Boulevard Voltaire

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Dans un éditorial du Point daté du 26 juin dernier, Franz-Olivier Giesbert, révèle, s’appuyant sur des travaux d’expert, qu’en Syrie, seuls les rebelles djihadistes ont pu perpétrer l’attaque chimique de Ghoutta. Il accuse ouvertement le Monde, le gouvernement français et les services secrets américains d’avoir montré du doigt, sans preuves, le régime d’Assad, pour justifier les frappes à venir. Cet éditorial aurait dû l’effet d’une bombe, non ?

Si FOG, qui connaît tout le monde à Paris, écrit cela, c’est que désormais, ce thème commence à faire consensus : on peut en parler. Mais cela illustre comment fonctionne notre système médiatique. Les informations ne sortent que quand le système lui-même l’autorise. Et toujours en différé. A présent, cela n’intéresse plus personne. Il s’agit pourtant d’une véritable forfaiture. Fin août dernier, nous avons assisté à une campagne internationale qui, en France, s’est traduite par un vrai déchaînement de la part de certains journaux. En particulier Le Monde, dont la ligne fut incroyablement partisane, comme elle le fut récemment lors de la crise ukrainienne. Le problème c’est qu’en France, c’est ce journal qui donne le la.

A la fin du mois d’Août 2013, il était très difficile d’aller en sens contraire. J’ai été très sollicité à cette époque : j’ai remarqué que les médias étrangers étaient beaucoup plus disposés à accueillir un discours prudent. En France, je me souviens très bien que le fait même de ne pas acquiescer, d’attendre des preuves, de résister à l’emballement médiatique dont on voyait bien qu’il faisait les affaires du gouvernement était suspect. C’était pourtant la seule position tenable pour le chercheur que je suis et cela aurait du être le cas pour la presse.

Vous-même en aviez la confirmation depuis bien longtemps ?

Je vous avoue que sur le moment et jusqu’à maintenant, je n’ai évidemment aucune preuve. C’est plutôt un réflexe méthodologique qui m’a incité à la prudence. Et puis, ce n’était pas très sérieux : le gouvernement syrien demande officiellement à une délégation ONUSienne de venir inspecter pour constater une utilisation d’armes chimiques de la part des rebelles et moins de 48 h après leur arrivée, une autre attaque a lieu dans la banlieue de Damas. Cela pouvait à tout le moins provoquer quelques interrogations.

Mais j’ai senti venir la chose il y a moins d’un mois. Au hasard d’une interview dans Spiegel peu après sa démission de médiateur de l’Onu, Lakhdar Brahimi a indiqué qu’il n’y avait plus aucun doute que l’attaque chimique de Khan al Assal était le fait des rebelles. Or c’est cette attaque au printemps 2013 qui a motivé la demande d’inspection de la part de Damas, qui déjà accusait les rebelles. Mais là aussi, cela est passé pratiquement inaperçu.

En fait, personne n’y croyait dès le début. Mais les liens entre le politique et la presse en France sont tellement contre-nature qu’il fallait servir sur un plateau une intervention qui n’a pas eu lieu. Obama, lui, savait dès septembre à mon avis : cela explique le retournement spectaculaire de Washington et l’annulation de l’opération. Hollande ne pouvait pas l’ignorer non plus…

Pensez-vous que cet aveuglement occidental a contribué à renforcer durablement la capacité de nuisance des djihadistes ?

Oui typiquement, il faut tordre le coup à l’ idée suivante : ce serait l’absence de soutien occidental à la rebellion dite « modérée » qui à permis aux djihadistes de prospérer. C’est totalement faux. Pourquoi n’a -t-on pas aidé davantage l’opposition syrienne? Tout simplement parce que dès le début, les chancelleries savaient quels type de rebelles agissaient sur le terrain. Le Quai d’Orsay avait toutes les informations depuis le début.

Avec des rebelles que finançaient et armaient nos amis du Golfe, les gouvernements savaient pertinement qu’il serait impossible de « vendre  » aux opinions publiques une aide à des « révolutionnaires » qui dès le début étaient gangrénés par les djihadistes que la Turquie et d’autres pays voisins laissaient librement circuler vers la Syrie.

Et j’ai fait partie des experts qui ont mis en garde contre le caractère clairement islamiste de la rebellion en Syrie. Je n’ai eu droit qu’à l’épithète de « pro-Assad ». Alors après coup, on invente des justifications : les djihadistes sont en fait une création du régime d’Assad. Les terroristes sont en fait des membres des services de renseignement. Ou enfin, cette idée très à la mode qui prétend que c’est notre inaction qui explique leurs succès. Des fables grossières qui feraient rire si elles n’avaient provoqué la destruction d’un pays tout entier… et aussi les graves menaces pour notre propre pays, qui détient le record d’engagés djihadistes sur le terrain syrien.

(*) professeur d'Histoire et de géopolitique, chercheur et spécialiste de la Syrie

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VIVENT LE FOOT ET L’ALGERIE !

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Alain Cagnat

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Nos « amis », Algériens de France, ont joyeusement célébré leur qualification pour les huitièmes de finale de la Coupe du Monde de Football. Leur enthousiasme s’est exprimé à Paris, Marseille, Roubaix, Creil, Clamart, Guyancourt, Elancourt, Mulhouse, Lille, Maubeuge, Lyon, Vaulx-en-Velin, Saint-Priest, Grenoble… Ces braves gens ne se sont pas contentés de manifester bruyamment, ils ont aussi fait des feux de joie avec des poubelles, des voitures et des motos, saccagé le mobilier urbain, pillé les magasins… On nous a dit que 74 d’entre eux avaient été interpellés. Mais tous étaient libérés dès le lendemain matin.

A Carcassonne, la fête fut aussi belle. 130 à 150 voitures faisaient des ronds dans le centre-ville avec drapeaux algériens, etc. Il ne faisait pas bon être un roumi dans les rues de la ville à ce moment-là. C’est ainsi qu’une douzaine de parachutistes du 3è RPIMa qui dînaient avec leurs compagnes au restaurant « L’art de vivre » (il porte bien son nom), ont été violemment pris à partie par une soixantaine de joyeux supporters. Sans doute un remake inversé de la bataille d’Alger. Résultat : un para renversé par une voiture et six autres plus ou moins gravement blessés (fractures du nez,…). La police est intervenue en masse pour dégager les paras (14 malheureux fonctionnaires). Et le conducteur qui avait délibérément foncé sur un para pour l’écraser a même été interpellé ; mais la Justice s’est montrée clémente puisqu’il a été libéré dès le matin.

Ce n’est pas la première fois que les Algériens nous refont la guerre d’Algérie dans les villes de garnisons parachutistes. Les médias nationaux n’en parlent jamais, bien sûr. Il ne faut pas stigmatiser cette communauté à laquelle nous sommes tant attachés.

« I have a dream », comme disait l’autre. C’est que la France élimine le Nigeria et l’Algérie en fasse autant avec l’Allemagne (on peut rêver). Cela donnerait un superbe quart de finale France-Algérie. Notez cette date, braves gens, ce sera le vendredi 4 juillet. Quel que soit le résultat, on peut compter sur des manifestations d’enthousiasme ou de dépit de nos amis algériens. Barricadez-vous !

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samedi, 28 juin 2014

MERCI

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Robin de la Roche

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Merci aux grandioses supporters de l'équipe de football d'Algérie. Vous faites un travail irremplaçable chaque soir de match.

Un grand merci à Michèle Sabban. Ton appart’, Michèle ! Merci !

Merci à Karim Benzema pour ses lèvres serrées pendant la Marseillaise, devant toute la France qui regarde. On n’en demandait pas tant. Merci, mon Karimou d’amour.

Merci à Yannick Noah pour son dernier album, et surtout pour la chanson « Ma colère ! ». Jamais on n’aurait osé l’écrire nous-mêmes ! Trop bien, mon Yaya !

Un énorme merci à Aymeric Caron. Vraiment. Un bonheur. Donner honte aux derniers hommes de gauche d’être du même camp que toi, il n’y avait que toi pour y parvenir !

Un prix spécial du Jury à l’Union Européenne. Cette législation qui permet à n’importe quel mineur de quitter la France sans autorisation parentale pour rejoindre le djihad (à vos souhaits) en Syrie, c’est juste ex-tra-or-di-nai-re ! Du pain béni ! Surtout quand en prime on peut choper une interview de l’un de ces « jeunes » partis lutter. Ceux-là, même avec un casting de folie, on n’aurait jamais pu en trouver de meilleurs !!! Les interviews, l’accent du sud, tout… juste parfaits ! Ils sont par-faits !

Merci à la Belgique (surtout sa partie francophone), qui par sa couardise institutionnalisée et son internationalisme socialisant viral devient le poumon du futur terrorisme mahométan en Europe. Les gars, vous assurez grave ! Merci, merci, merci !

Un gros poutou à BHL pour TOUS ses éditoriaux. A chaque fois, c’est juste incroyable de précision : ça tombe tellement juste ! On ne saurait faire mieux. Mon Bernard, un grand merci !!! Avec une mention spéciale pour tes interventions en Ukraine. As-tu seulement vu avec qui tu t’es retrouvé à table ?

Merci.
Merci à TF1 de changer les prénoms quand ils ne sonnent pas assez auvergnats. Merci la rédac !
Merci d’avoir salopé la traduction de l’interview de Poutine et d’y avoir fait des coupes aussi énormes ! Merci, merci, merci !
Merci à France Télévisions de ne pas parler des églises profanées, des tabernacles éventrés, des tombes renversées lorsqu’elles ne sont ni juives ni musulmanes. Merci, merci merci ! (De toutes façons, dans ce cas-là, c’est l’oeuvre d’une « personne dérangée »).

Merci à Pierre Bergé pour ses tweets appelant à l’assassinat des défenseurs de la Famille ! Quel talent, ma louloute !
Merci à Rokhaya Diallo pour toute son oeuvre, merci à Caro Foufourest pour toutes ses apparitions télévisuelles. Toi et Conchita Wurst, ma Caro.

Merci à Manu-le-chimique pour ses arrestations d’étudiants armés de chapelets. Merci à Christiane Taubira. Vraiment. Ma Cricri, chacune de tes prestations télévisées nous fait gagner des électeurs par paquets de 1.000 ! Tu es inimitable (d’ailleurs il est officiellement interdit de t’imiter !).

Merci aux grandioses supporters de l’équipe de football d’Algérie. Vous faites un travail irremplaçable chaque soir de match.

Merci à tous.
Vous êtes formidables.

Des centaines de millions d’euros dépensés en affiches, spots publicitaires, réunions publiques, etc. n’auraient jamais pu égaler votre efficacité à tous.

Votre insondable bêtise, vos mensonges – auxquels vous finissez par croire – , votre pleutrerie en étendard, vos omissions, vos silences et vos montages, vos regards en coin et vos clins d’oeil, vos éditos, vos chansons et vociférations, votre corruption, votre nihilisme et votre mépris, sont autant d’ogives nucléaires… tournées vers vous et votre monde qui meurt, qui est mort, qui sent déjà.

Une seule prière : continuez. Surtout, continuez.
Jamais le peuple ne se serait réveillé sans vous.
Il ouvre lentement les yeux; il est encore un peu engourdi.
Quand le réveil sera accompli, ça va faire très mal.
Donc, surtout, continuez à « vous battre contre tous les fascismes ».
Merci.
Du fond du coeur.
Pour la France.

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vendredi, 27 juin 2014

JUIN 2014 : BILDEGERG A COPENHAGUE Un avenir radieux pour la finance mondialiste et la mort de l’Europe

bilderberg-2014-mpi.jpgAuran Derien

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Le très secret groupe Bilderberg s'est réuni du jeudi 29 au dimanche 3 juin 2014  à Copenhague, où il a attiré une partie du gratin de la politique, des grandes entreprises et universités mondiales. En ce qui concerne les Français, on en compte sept dont le président de la conférence, Henri de Castries (Président d’Axa), Fleur Pelerin, l’actuelle Secrétaire d’Etat chargée du Commerce Extérieur, du Développement et du tourisme, François Baroin, député issu de l'UMP et ex-Ministre de l’Economie, Christine Lagarde, patronne du FMI, Nathalie Nougareyde, ex-directrice du Monde récemment débarquée, spécialisée dans les sujets internationaux, Nicolas Baverez, éditorialiste pour l'hebdomadaire Le Point et qui fait actuellement partie du comité d'organisation de la conférence et Emmanuel Macron qui est un haut fonctionnaire français, Banquier d'affaires chez Rotschild depuis 2008  qui a occupé de mai 2012 à juin 2014 les fonctions de secrétaire général adjoint de la présidence de la République auprès de François Hollande.

Le diktat est-il déjà ratifié par l’Europe?

Depuis le mois d’avril, le gouvernement a la possibilité de faire adopter, par simple ordonnance, toutes les réformes législatives qu’il désire. Il faut comprendre qu’il va modifier le droit des contrats, par simple ordonnance, en fonction des ordres reçus par les « génialstein » de Washington. Il est alors compréhensible que les membres du Bilderberg aient voulu courtiser une fleur du mal en charge du commerce, pour qu’elle sache arrondir les angles avec les négociateurs de Washington.

La mort de l’Europe

Il est probable que les membres de Copenhague ne soient pas toujours conscients de ce qu’ils font. Il existe des lois comportementales qui s’appliquent à tout groupe, donc à celui-là. Lorsqu’ils se voient, dans les salons de l’hôtel Marriott, ils découvrent qu’ils sont différents et même inégaux sous quelques rapports, autres que celui du cynisme. Ils forment des coteries, adoptent des idées niaises pour marquer ces différences. Dans le fond, ils s’efforcent d’améliorer leurs positions au sein du groupe, ou d’affaiblir celle d’un tiers. Lorsqu’a disparu tout vernis de civilisation, toute haute culture, toute éducation philosophique à la vie bonne et belle, alors les lois comportementales primitives prennent une importance décisive. La globalisation occidentale, c’est la destruction de tous les produits de la civilisation. Il leur faut donc alimenter et développer l’appareil mondialiste qui profite a une part non négligeable des ennemis de l’Europe et de l’Occident. Dans le monde des Bilderberg, ça pue l’arrivisme. Les singeries des hommes de médias que l’on invite y sont fondamentales pour cacher cette tragédie.

Il est nécessaire aussi d’inviter les représentants de l’OTAN, laissant leurs idées s’infiltrer partout. La mise en place simultanée d’un système d'arbitrage conclut le panorama de l’Occident à venir : une chicanerie sans limites pour fasciner les hommes d’Etat, avec la pratique des purges permanentes, des amendes usuraires fixées selon le bon plaisir d’un soviet suprême de la finance. Fin de partie. 

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jeudi, 26 juin 2014

Jeudi, c'est le jour de Rivarol :

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Chez votre marchand de journaux, 3,50 €

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mercredi, 25 juin 2014

Ces élus de Paris qui bénéficient de logements sociaux !

credit-paris-0.jpgSource Contre-info.com

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On connaît tous les mésaventures de Frigide Barjot qui a bénéficié des années durant d’un logement social à prix défiant toute concurrence pour elle et son mari dans les plus beaux quartiers de Paris. Quand elle était l’égérie de La Manif Pour Tous, la justice l’avait condamnée à être expulsée, mais, celle-ci étant rentrée dans le rang, il semble que la décision de justice n’ait pas été exécutée et qu’elle continue donc à résider dans son duplex de 173 m², avec terrasse et vue sur la tour Eiffel. Rien de nouveau dans la ripoublique, cette dernière sait récompenser ses agents.

Et Frigide Barjot n’est pas un cas isolé. Les élus parisiens (PS, EELV, Front de Gauche ou UMP) -qui ne cessent de parler d’égalité- profitent eux aussi sans vergogne du logement social en dépit de leurs revenus confortables. Ainsi un article du Point nous apprend que « Antoinette Guhl, adjointe à mairie de Paris et conseillère générale EELV, occupe un appartement géré par la Régie immobilière de la Ville de Paris (RIVP) dans le 20e arrondissement. Dans cette résidence, calme et arborée, située à deux pas de Ménilmontant, elle bénéficie de l’un des plus grands appartements, à en croire ses voisins. Mais l’élue a bonne conscience. »

Didier Guillot, conseiller municipal PS du 18e arrondissement vit, quant à lui, depuis 2000 dans un appartement de 113 m², géré par la RIVP, loué 1 900 euros. Dans le privé, il lui en coûterait au minimum 2 500 euros. Chose aggravante, il s’agit là de son deuxième logement social. Didier Guillot avait obtenu le premier en 1997 alors qu’il était salarié du conseil régional d’Ile-de-France.

Conseillère de Paris déléguée à la petite enfance et à l’innovation citoyenne, Anne-Christine Lang bénéficie d’un logement social dans le 13e arrondissement parisien. Obtenu en 1999, lorsqu’elle n’exerçait aucun mandat, cet appartement de 110 m² serait là encore loué à un prix inférieur à celui du marché.

Plus amusante est la réaction de Raphaëlle Primet (Front de gauche), qui occupe un appartement HLM « de base » dans le 20e arrondissement de Paris. Contactée par Le Point.fr, elle s’en défend : « Ma situation est très particulière. (…) Je dois bientôt passer devant une commission. Il se peut que je sois contrainte de payer un surloyer » se justifie-t-elle. Mais Raphaëlle Primet n’est pas prête à quitter cet appartement obtenu au bout de dix longues années d’attente. Pour elle, partir reviendrait à trahir ses électeurs nous apprend Le Point.

Les élus de gauche ne sont pas les seuls à être présents à la gamelle, ceux de l’UMP ne sont pas en reste. Avec des arguments tout aussi déroutants. Ainsi, Nathalie Fanfant, élue UMP du 20e arrondissement, bénéficie elle aussi d’un logement géré par la RIVP dans le 19e arrondissement. Jointe par Le Point.fr, elle indique être à la recherche d’un bien dans le privé. Mais pour l’heure, elle n’a pas dégoté la perle rare. La faute aux loyers prohibitifs. « Me priver de mon appartement reviendrait à interdire la politique à toutes les personnes gagnant moins de 10 000 euros par mois » réplique-t-elle. Avant de raccrocher, Nathalie Fanfant tient à rappeler « la précarité d’un élu pour qui une réélection n’est jamais assurée. » Elle nous arracherait presque une larme si on ne se rappelait pas que sa précarité politique s’élève à 4 186 euros bruts par mois.

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mardi, 24 juin 2014

Au nom de la Liberté : le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen

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UMP, Bygmalion et fausses factures : nouvelle fournée de révélations

8130-20140624.jpgJean Cochet

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Dans l’affaire des fausses factures Bygmalion UMP, un nouveau personnage se retrouve sur la sellette : Fabienne Liadzé, directrice des affaires financières (DAF) du parti de messieurs Juppé, Raffarin, Fillon et Chatel. Elle aurait été la « cheville ouvrière », voire le maître d’œuvre d’une double comptabilité, permettant de répartir la part des coûts de chaque meeting sur le compte de campagne officielle et la « part occulte à ventiler au final ». Jacques Chirac, dans une image truculente,  fustigeait jadis ceux qui se plaisaient à mettre de la « m… dans le ventilateur ». La ventilation des comptes à double ou triple fonds de la directrice des affaires financières de l’UMP semble entrer tout à fait dans ce cas de figure. En évitant toute plaisanterie scatologique il faut bien tout de même constater que le ventilateur de Mme Fabienne Liadzé brassait un air pour le moins vicié, qui empeste aujourd’hui la colique venteuse.

Mais à la demande de qui la DAF de l’UMP s’est-elle ainsi transformée en maquilleuse de chiffres ? Le JDD s’interroge : « S’agit-il d’une fraude massive pilotée par le QG de campagne, ou d’une opération orchestrée à l’UMP mais à l’insu du QG ? ». L’un et l’autre s’apprêtent à se refiler le bébé qui pue. Mais l’un et l’autre étaient au service du même président candidat. 

Un ex-président candidat devenu candidat président, avec pour  tout programme l’annonce d’un grand chambardement :  « Il faut  tout changer », clame-t-il aujourd’hui. Selon Le Figaro Magazine  Nicolas Sarkozy explique à ses visiteurs de la rue Miromesnil : « Il faut réinventer le modèle démocratique français. Notre façon de faire  de la politique, l’organisation et les idées ». Faire en somme  l’exact contraire de ce qu’avait fait le président Sarkozy ? Cinglant désaveu de son quinquennat. En tout cas une fois de plus Nicolas Sarkozy essaie de piller verbalement le FN.  L’ex de l’Elysée veut en quelque sorte  revenir avec un plan et un slogan de contrefaçon bleu Marine : A bas  l’UMPS !

A l’UMP la fraude comptable. A Sarko la fraude verbale… 

Sarko contre M. Cannibale

Ce dernier se voit toujours en homme providentiel. « Je ne suis pas décidé à laisser la France dans un tête-à-tête entre le Front national et le Parti socialiste (1). On se demande jusqu’où M. Hollande va abaisser le pays. Quant à ma famille politique, elle est  en train de se dévorer ». Pour l’ex-chef d’Etat, le plus féroce des cannibales sévissant à l’UMP c’est  bien sûr François Fillon, qu’il décrit comme un  « un bloc de haine et de bile ». Les fillonnistes ont une vision tout aussi sarcastique de l’imam de la rue Miromesnil :  « Que Nicolas Sarkozy veuille nous tuer, ça ne nous a pas totalement échappé ». L’UMP ou l’anthropophagie en  politique…

Fillon se targue d’avoir eu, le 10 juin dernier, la peau de Copé, en mettant sa démission dans la balance. Ou lui, ou moi… Mais comme ce sont des fillonnistes qui, dans le contexte de l’implacable guerre des deux chefs, semblent  avoir refilé des documents compromettants à la presse, au risque d’incendier tout le parti (ce qui en train de se produire) , Fillon peut aussi se vanter  d’avoir eu la peau de l’UMP. Qu’importe, puisque Copé est grillé…

L’UMP brûle mais Sarko lui, même léché par les flammes, est toujours là. Prêt, selon le mot de Bruno Jeudy, à effectuer son retour par le « soupirail » du parti en feu. Prêt même à imposer son retour par effraction s’il le faut à ceux qui n’en veulent pas. Et ces derniers, dans une UMP en train de se « désarkoïser », sont de plus en plus nombreux. Xavier Bertrand, l’un des opposants les plus en pointe à ce retour, répète au JDD ce qu’il dit depuis quinze jours : « L’affaire Bygmalion jette un doute terrible sur la campagne présidentielle de 2012 et sur l’UMP. Dans l’intérêt du mouvement, par respect pour nos électeurs, tous ceux qui sont concernés et qui auront à répondre aux enquêteurs doivent se tenir à l’écart. La vie de notre parti, déjà très déstabilisée, ne peut pas être polluée par le tourbillon judiciaire à venir ». Le pollueur Sarkozy et son passé toxique se trouve donc prié de s’éloigner le plus loin possible de la nouvelle direction où il n’a plus sa place. Qu’il reste donc au Cap Nègre avec Carla.

Sarkozy ? Vous avez dit Sarkozy ?Les amis d’Alain Juppé se réjouissent de leur côté : « On ne sait plus qui est sarkozyste au bureau politique. Il y en a tellement qui l’ont été mais ne le sont plus ». Mais qui pourraient sans doute le redevenir dans l’hypothèse  où l’ex-président serait porté par le souffle des militants et des sympathisants. Las ! Ce n’est actuellement pas le cas . Les partisans de Nicolas Sarkozy semblent au contraire s’essouffler. Peut-être ont-ils trop couru pour le sarkothon ?

Christian Jacob

Dans la nouvelle fournée de révélations ont trouve aussi sur la sellette,  à côté de Mme Liadzé, le président du groupe UMP à l’Assemblée, Christian Jacob, grand copain de Copé, qui a renfloué les caisses de son parti en faisant un emprunt de trois millions d’euros. Une somme puisée en douce  dans la dotation de l’Assemblée nationale. Christian Jacob jouant les  banquiers clandestins avec l’argent des contribuables ? Décidément l’UMP, très mal en point, s’en va de la caisse… Comme l’on disait jadis des malades de la tuberculose sur le point de passer l’arme à gauche.

(1)  Nicolas Sarkozy n’imagine pas une seconde que face à Marine Le Pen un autre que lui puisse qualifier l’UMP en seconde place, devant un PS pourtant cacochyme. C’est dire l’estime qu’il porte aux caciques  de son parti…

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dimanche, 22 juin 2014

LES POMPIERS PYROMANES

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Alain Cagnat

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Voici l’Occident pris de panique. L’Etat Islamique d’Irak et du Levant (EIIL) est peut-être sur le point de s’emparer de Bagdad et de créer un califat terrifiant à cheval sur la Syrie et l’Irak.

Comment en est-on arrivé là ? Les Américains, suivis par leurs caniches européens, ont prétendu imposer la démocratie et les droits de l’homme en terre d’islam, avec deux objectifs complémentaires mais inavoués, mettre la main sur les gigantesques réserves de pétrole des bédouins et détruire toute puissance arabe hostile à Israël. Le chemin était tout tracé : abattre les dictateurs en place et les remplacer par de bons démocrates acquis aux intérêts économiques de l’oncle Sam. Ce schéma simpliste, élucubré par de brillants intellectuels qui n’avaient jamais mis les pieds au Moyen-Orient ou au Maghreb, oubliait deux paramètres essentiels : le facteur ethnique et le facteur religieux.

Rappelons quelques faits et désignons les coupables. Le 11/9 offre à Bush et ses néocons l’occasion d’envahir l’Afghanistan. Treize ans plus tard, l’armée américaine, vaincue par une bande de va-nu-pieds illettrés en babouches, s’apprête à quitter l’Afghanistan, non sans avoir perdu plus de 2 300 hommes. Dès lors, l’armée afghane « formée » par des instructeurs américains, se débandera et les talibans reprendront le contrôle du pays qui leur tend les bras.

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samedi, 21 juin 2014

Quand "La Voix du Nord" s'intéresse à la résistance nationale et identitaire à Lille, cela donne :

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Source La Voix du Nord cliquez ici

Le courrier est parti vendredi. Génération Identitaire propose officiellement à Transpole et au préfet du Nord sa coopération pour la sécurisation des transports. Le mouvement compte ouvrir une « Maison de l’identité » à Lille. Lille où la boutique Tribann, ouverte depuis trois ans, est régulièrement montrée du doigt par les militants « antifa » (pour « antifascistes »).

Aurélien Verhassel n’a rien contre le Front National. « Nous le suivons de près depuis des années, explique le chef de file de Génération Identitaire Flandre-Artois-Hainaut. Nos relations sont cordiales, comme avec les autres patriotes. » Lors de la récente campagne des élections municipales, Verhassel était régulièrement aux côtés des candidats FN de Lille. Reste la stratégie. Génération Identitaire peut être considérée comme une école de cadres. Ses principes sont clairs et tranchants : lutte contre l’uniformisation de la société et pour le localisme, ou contre « l’islamisation de la société ». Face à une « immigration incontrôlée » –« Regardez Lampedusa ! », pointe Verhassel – Génération Identitaire prône « la remigration ». « Nous appelons ces nouveaux arrivants à retourner chez eux, appuie le chef de file de Génération Identitaire. On leur vend des illusions, une image fausse de l’Occident figuré en eldorado. » L’immigration doit être « exceptionnelle, pas la norme ». Les militants ainsi formés n’ont pas forcément vocation, explique leur responsable, à donner dans l’entrisme dans les partis politiques. « Nous voulons créer des cadres qui pourront agir dans tous les champs de la société, reprend Verhassel, 29 ans. Qu’il s’agisse du culturel ou du social. Nous parlions de racisme antiblanc depuis dix ans. Jean-François Copé l’a repris. Une victoire politique pour nous. »

Rayonner à Lille

À Lille, les identitaires comptent bien exister. Après leurs « tournées citoyennes Génération anti-racaille » dans le métro (deux depuis mars), ils viennent d’adresser un courrier au préfet du Nord et à Transpole, leur proposant une « coopération pour la sécurisation des transports ». « Comment refuser ?, sourit ce jeune homme pétri de culture politique. On attend la réponse. » Une prochaine étape sera l’ouverture d’une Maison de l’identité à Lille. « Le projet est quasi abouti, confirme Aurélien Verhassel. Ce ne sera pas un bar en fond de cour. Le lieu sera ouvert à tous. » Les Identitaires Flandre-Artois-Hainaut revendiquent 300 membres et 1 500 sympathisants.

Le magasin Tribann Rijsel existe, lui, depuis trois ans. À la limite de Vauban et Wazemmes, il a été, le 5 juin, l’un des lieux surveillés par la police (comme le siège du FN) lors de la manifestation commémorant la mort de Clément Méric, militant « antifa » mort après une bagarre à Paris l’an dernier. Les antifas lillois accusent régulièrement Tribann de diffuser des « produits nazis ». « Je réfute en bloc, réagit Luc Pecharman, le patron de Tribann. Tout ce que je vends est sur le site internet et celui-ci est hébergé en France. » Pecharman, 42 ans, vend des vêtements basés sur « des thèmes celtiques et nordiques, les racines européennes et la mythologie nordique ». Il propose également des livres. L’un s’intitule Le Trotskysme dégénéré. Un autre est consacré au Belge Léon Degrelle, non pas pour ses liens avec le nazisme, mais « pour son épopée de combat sur le front de l’Est », appuie Pecharman.

Anti-Le Pen

Le patron de Tribann est lui-même engagé en politique. Le terme d’extrême droite ? « Si cela permet de nous situer sur l’échiquier politique... », souffle Pecharman. Ancien élu FN à Lomme, le militant n’a pas repris sa carte en 2007. Ce proche de Carl Lang co-anime la Nouvelle Droite populaire et une revue, Synthèse Nationale. Il se dit « déçu » des positions prises par Marine Le Pen. Dénonçant « une trahison des idéaux » par un FN édulcoré. « Le Front aurait dû être en tête des manifestations contre le Mariage pour tous, accuse Luc Pecharman. Il ne s’est même pas impliqué ! L’immigration doit également rester le point absolu. Tout découle de là. »

« Un lieu pour drainer les militants »

Chercheur à l’Institut de relations internationales et stratégiques, Jean-Yves Camus est spécialiste des nationalismes en Europe.

Comment comparer les Identitaires et Tribann ?

« Ils n’ont aucun lien l’un avec l’autre. Leurs choix d’alliance sont différents. En termes d’expression, la Nouvelle droite populaire, représentée à Lille par Luc Pecharman, est encore plus radicale que le Bloc identitaire. Enfin, à propos du magasin Tribann, le lieu est quasi unique en France. Il n’en existe pas ailleurs, même à Paris. Ce commerce a pignon sur rue et son activité se situe dans le cadre des lois en vigueur. »

Les différences entre Identitaires et FN sont-elles notables ?

« Les divergences sont fondamentales. Les Identitaires sont favorables aux identités régionales et à une Europe des identités régionales. Au Front National, c’est l’inverse. Le FN admet également dans son programme l’assimilation des étrangers non européens. Le Bloc identitaire est sur la ligne de la non-assimilité et défend la remigration des non-Européens. Les Identitaires n’ont pas réussi à trouver un quelconque accord électoral avec le FN. Ce qui n’a pas empêché certains militants identitaires de trouver leur place sur les listes Rassemblement Bleu Marine aux élections municipales. »

Une Maison de l’identité est en projet à Lille.

« Depuis longtemps, les Identitaires disposent de locaux dans certaines villes de province. Le premier a été ouvert à Nice. On y trouve un bar, des activités récréatives, une bibliothèque, une salle de conférences… Le but est de créer un lieu communautaire où se rassemblent les militants et d’en drainer de nouveaux. À Lille, après la disparition de la Maison Flamande il y a deux ans, il y a un créneau à occuper sur la défense de l’identité régionale. »

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vendredi, 20 juin 2014

NON AU TRAITE TRANSATLANTIQUE

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Michel Dantan

 Le nouveau NH   cliquez ici

« La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l’Amérique ». Les propos que Georges Marc Benhamou dans son ouvrage « Le dernier Mitterrand » paru en 2005 attribuait à l’ancien locataire de l’Elysée n’ont jamais été autant d’actualité qu’aujourd’hui au moment où les USA cherchent à affaiblir l’Europe par un traité destiné à terme à la priver des atouts de sa puissance.

L’accord de partenariat transatlantique dont il est question en ce moment n’a pas d’autre objectif pour les américains que de faire profiter leur économie des avantages que leur offrirait l’ouverture sans entraves d’un vaste marché soumis aux normes de leurs propres multinationales. Inspirée par la philosophie ultra libérale qui prédomine au sein des grandes multinationales européennes et américaines et que partagent les membres de la commission de Bruxelles acquis à l’idéologie mondialiste, la mise en place de ce traité sonnerait le glas de toute réelle tentative de rapprochement politique de l’Europe avec la Russie.

La crise ukrainienne, les pressions exercées sur la Bulgarie et la Serbie pour que soient suspendus les travaux de construction du gazoduc South Stream, les tentatives américaines pour faire échouer la vente des navires de guerre français de type Mistral aux russes, sont autant de symptômes révélateurs de l’état de vassalisation vers lequel l’Europe ne cesse de glisser face aux USA.

Un frein peut-il être mis à cette spirale de la décadence dont le traité transatlantique ne ferait qu’accélérer le cours, les élections européennes du 25 mai qui ont vu les mouvements patriotiques s’insurger contre les politiques anti nationales et antieuropéennes conduites par les partis politiques traditionnels a fourni un début de réponse. Il devrait à l’avenir appartenir aux patriotes la tâche de ne pas faire dévier de sa trajectoire le tournant historique qui a été pris à cette occasion.

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jeudi, 19 juin 2014

Jeudi, c'est le jour de Rivarol :

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mardi, 17 juin 2014

La France sommée d’idolâtrer Benzema

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Pierre Cassen

Boulevard Voltaire cliquez ici

Depuis des années, les journalistes sportifs ont décidé que Ribéry et Benzema étaient des atouts indispensables à l’équipe de France. Il y a dix jours, on apprenait le forfait du premier. La majorité de nos compatriotes s’en réjouissait, mais les journalistes expliquaient que c’était un coup terrible pour les Bleus. Pourtant, les chiffres ne disaient pas cela. Ribéry, en 81 sélections, avait marqué 16 buts, soit un but tous les cinq matches, score fort médiocre pour un attaquant. Quand il joue, l’équipe nationale gagne 50 % de matches, quand il ne joue pas, elle en gagne 61 %. Quant à Benzema, il est resté 1.222 minutes en équipe de France (13 matches), sans marquer un seul but, entre 2012 et 2013, ce qui constitue un record d’inefficacité pour un avant-centre international. En 2012, associés à la pointe de l’attaque française en Coupe d’Europe, ces deux joueurs n’avaient pas marqué un but en quatre rencontres. L’indulgence médiatique dont ils ont bénéficié, outre leurs frasques extra-sportives (affaire Zahia), est pour le moins surprenante.

Au lendemain de l’annonce du forfait de Ribéry, il y a dix jours, pour son dernier match de préparation, la France battait largement la modeste Jamaïque par huit buts à zéro. On avait remarqué, ce jour-là, que Karim Benzema fut le seul joueur à ne pas chanter « La Marseillaise ». Toute l’équipe fut excellente, mais les médias choisirent de le mettre principalement en valeur dans nombre d’articles élogieux.

Pourtant, lors des matches de préparation, un autre joueur avait crevé l’écran, et il joue lui aussi avant-centre : Olivier Giroud. C’est un roc, doté d’un jeu de tête exceptionnel, et il fait les beaux jours d’Arsenal. Il avait multiplié les buts et enchaîné des gestes techniques remarquables. Mais « on » préférait parler de Karim Benzema, par ailleurs grand joueur… surtout quand il joue pour le Real Madrid. Hier, à l’occasion du match d’ouverture contre le Honduras, le sélectionneur a tranché : Karim avant-centre, Olivier sur la touche. Et comme Karim a marqué deux buts (dont un penalty) et a été à l’origine du troisième, la France est sommée par les médias de tomber dans la Benzemania.

Le journal L’Équipe a osé une page particulièrement audacieuse : « Karhymne à la joie », rien de moins ! Je m’interroge : si Giroud avait marqué deux buts, ce journal aurait-il titré à la gloire d’Olivier ?

Quand Domenech était sélectionneur et alignait une équipe de France que le philosophe Finkielkraut avait qualifiée de « Black, Black, Black », Éric Zemmour disait qu’avec de tels choix, il faisait de la politique au service de la propagande multiculturelle.

Le journaliste du Nouvel Observateur Hervé Algalarrondo a publié un ouvrage : « La gauche et la préférence immigrée ». Et comme, selon les statistiques, 75 % des journalistes sont de gauche, la Benzemania de L’Équipe s’explique d’autant mieux.

Le football a toujours été un outil de propagande. Pour nous vanter l’immigration chance pour la France et les vertus de la société multiculturelle, mieux vaut mettre en avant Benzema, qui marque deux buts, que les supporters algériens qui, régulièrement, après chaque match de leur équipe, vandalisent tout sur leur passage, quand ils ne remplacent pas le drapeau français par celui de l’Algérie au Capitole de Toulouse. Ce mardi, à 18 heures, c’est Algérie-Belgique ; le match finit à 20 heures…

Alors, Karim pour faire oublier les supporters algériens ? Avec Internet, pas sûr que cela marche encore…

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lundi, 16 juin 2014

Les jihadistes progressent en Irak...

index.jpgYann (Terre et peuple)

Jeudi 12 juin, des islamistes membres du groupe jihadiste de l'Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL) ont pris le contrôle de la ville de Tikrit, chef-lieu de la province de Salaheddine, en Irak. Mossoul, la deuxième ville du pays, est déjà tombée entre leurs mains. Ils projettent d'attaquer ensuite Samarra. La route Vers la capitale Bagdad s'ouvre inéxorablement. Lors de cette progression vers le sud du pays, les islamistes ont libéré plus de 300 prisonniers. Ce qui ne peut que renforcer leurs troupes et leur emprise sur cette région.

Selon l'Organisation internationale pour les migrations (OIM), cette insurrection a poussé plus de 500 000 personnes à l'exode dans la région de Mossoul. Les Irakiens peuvent remercier les Etats-Unis d'avoir apporté la Démocratie et les Droits de l'Homme. Il est vrai que depuis leur immonde déclaration de guerre en 2003, l'Irak est devenu un pays pacifié où il fait si bon vivre...

Les attentats pratiquement quotidiens et le développement des groupes islamistes ne sont que les conséquences de l'invasion américaine. Si le pays a sombré dans un tel chaos, il ne faut pas chercher bien loin les responsables : merci qui ? Merci les Yankees !

12:08 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 15 juin 2014

Un Piège : le traité transatlantique...

index.jpgGénéral Jean Quélennec

Le Réveil de l'Anjou (bulletin du MNR)

Beaucoup de Français ignorent cette machine de guerre économique que préparent les E.U. contre l’Europe avec la complicité de la Commission européenne : le Traité transatlantique… Et pour cause. D’un commun accord entre la commission et le gouvernement américain, les négociations doivent être tenues secrètes et les gouvernements européens ont donné délégation à la Commission européenne pour négocier à leur place : un scandaleux abandon de souveraineté préfigurant l’Europe fédérale, but poursuivi avec opiniâtreté par les eurocrates. De quoi s’agit-il ? De la constitution d’une sorte de marché commun ou de zone de libre-échange entre les E.U. et l’Europe comme ceux déjà établis avec des pays d’Amérique latine et du Sud-Est asiatique. La suppression des droits de douane et la révision des normes seraient les axes principaux de ce traité. Les droits de douane sont déjà bien bas. Leur suppression ne pénaliserait pas exagérément les pays européens. Il en irait autrement avec l’harmonisation des normes qui constituent une arme efficace pour la défense des produits européens en protégeant ceux-ci de l’envahissement de produits américains obtenus à bas coût parce qu’ils s’affranchissent de contraintes, - sanitaires notamment, - auxquelles sont assujettis les produits européens : interdiction d’O.G.M., des boeufs aux hormones, de conditionnement de volailles (lavage à la javel), etc. D’autre part, la notion d’appellation contrôlée n’existant pas aux E.U., les Européens devrait l’abandonner ou tout au moins la transformer pour permettre une meilleure introduction des produits américains sur le marché européen.

OBAMA a récemment dit à ses compatriotes que le Traité transatlantique profiterait à hauteur de 80 millions de dollars par an aux E.U. A hauteur de combien profitera-t-il à l’Europe ? Enfin le projet prévoit que des multinationales pourraient attaquer des Etats devant une juridiction internationale ad-hoc si elles se jugeaient lésées par l’un d’eux. Par exemple telle compagnie produisant du jus de fruit pourrait attaquer l’Etat qui prendrait des mesures sanitaires interdisant sur son sol tel de ses produits. Cette disposition donne la mesure de l’énorme puissance de certaines multinationales qui dictent leurs exigences aux autorités politiques nationales et internationales. Si Angela MERKEL a mis la pédale douce sur ce dangereux projet, HOLLANDE y a déjà donné son plein acquiescement, en bon vassal d’OBAMA qu’il est. On raconte que lors d’une réunion de chefs d’Etat (le G 9 ?), lorsque la parole fut donnée à HOLLANDE, POUTINE dit qu’il n’était pas nécessaire de l’entendre ; qu’il suffisait d’écouter OBAMA. Le Traité transatlantique s’inscrit dans la stratégie impérialiste américaine qui passe par l’arrêt de toute velléité d’une Europe-puissance capable de jouer un jeu indépendant entre les E.U. et la Russie. Un axe Paris-Berlin-Moscou est un cauchemar pour Washington. Il lui faut une Europe vassalisée et qui ne soit pas un concurrent économique de poids. Les dernières élections européennes signifient un premier sursaut du Vieux continent pour s’affranchir de la tutelle etats-unienne. Puisse-t-il aller jusqu’au bout de sa logique et façonner une Europe des nations capable de peser sur la marche du monde en toute indépendance !

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LA BNP PARIBAS OU LA PREUVE PAR NEUF

d0cce2e5.pngAlain Cagnat

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La BNP Paribas est menacée par les Etats-Unis d’une amende phénoménale estimée entre 10 et 16 milliards de $. A titre de comparaison, la banque la plus exposée dans le scandale des subprimes, l’Américaine JPMorgan, n’a écopé que de 13 milliards de $. Il faut donc croire que le crime commis par la BNP est épouvantable.

Que lui est-il reproché exactement ? D’avoir fait, entre 2002 et 2009, des transactions légales de marchandises autorisées avec Cuba, le Soudan, la Libye, l’Iran et la Birmanie, des pays sous embargo américain. Mais pas sous embargo français. Et la BNP n’a pas œuvré depuis le territoire américain, mais par l’intermédiaire d’une filiale installée en Suisse. Alors qu’a-t-elle fait de si méchant ? Tout simplement d’avoir utilisé le billet vert dans ses transactions, sous la forme d’une simple écriture dans le système new-yorkais de compensation interbancaire. C’est que la très vertueuse Amérique ne transige pas avec l’honneur quand il s’agit du billet vert qui est, comme chacun sait, la plus grande création de Iahveh.

Alors, l’oncle Sam a lâché les loups, en l’occurrence le procureur fédéral de l’Etat de New York, mais surtout le procureur général des Etats-Unis, Eric Holder, et la patronne de la division criminelle du département de la Justice, Leslie Cadwell. Ce qui n’empêche pas l’hypocrite Obama de dire que dans son pays, le pouvoir politique et le pouvoir judiciaire sont parfaitement cloisonnés.

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jeudi, 12 juin 2014

Le nouveau numéro de Réfléchir et agir :

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Jeudi, c'est le jour de Rivarol :

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mercredi, 11 juin 2014

Le Pen: dérapage ou débat de fond ? La ligne du parti en cause, entre Canal-Historique et Canal-Respectacle

LePen.1.jpgRaoul Fougax

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Le tollé provoqué au Fn par la « fournée »  de Le Pen père, incluant la condamnation de sa fille et sa riposte, est sans doute la dernière étape de la mue du Fn. La mise à mort du « père »  est un classique dynastique.

Pour certains, il est temps que Jean-Marie Le Pen se taise et prenne sa retraite- c’est le très fantasque Collard qui l’affirme- sous entendu, il a fait son temps, il ne sait plus ce qu’il dit, il est gâteux. Ce jugement est le plus facile et permet au « Fn canal respectable » de se laver les mains de la crucifiction médiatique de son ancien messie.

Il y a cependant une autre explication, comme le disait un militant de la droite plus radicale : «  Au Fn les collabos font de la résistance ». Derrière cette boutade il y a une réalité, c’est une ligne de rupture entre le Front de Jean-Marie et le mouvement bleu marine. Pour les marinistes, il faut s’adapter à l’époque mais ils admettent aussi certaines valeurs et une lecture de l’histoire. Pour les frontistes purs et durs, il faut lutter contre l’idéologie dominante et ses vérités auto-proclamées. Seul un langage libre  peut changer au fond les choses.

En gros, d’un côté on veut prendre le pouvoir ou y participer, de l'autre il ne sert à rien de se normaliser en se reniant. Il y a deux logiques et deux sensibilités. Il y a certes un fossé de génération mais également un fossé idéologique. Si le Front de Marine ne peut plus supporter les paroles du Front de Jean-Marie, cela prouve à quel point, en 30 ans, le politiquement correct a su s'imposer même chez ceux qui affirment le combattre. La preuve par la condamnation de Marine.

Pour la première fois de manière aussi forte, la présidente du Front national a pris la parole pour critiquer clairement la déclaration de son père. Elle confiait dimanche, en exclusivité au Figaro: « Je suis convaincue que le sens donné à ses propos relève d'une interprétation malveillante. Il n'en demeure pas moins que, avec la très longue expérience qui est celle de Jean-Marie Le Pen, ne pas avoir anticipé l'interprétation qui serait faite de cette formulation est une faute politique dont le Front national subit les conséquences. Si cette polémique peut avoir une retombée positive, c'est celle de me permettre de rappeler que le Front national condamne de la manière la plus ferme toute forme d'antisémitisme, de quelque nature que ce soit ».

Répliquant au désaveu de sa fille Marine concernant une vidéo publiée vendredi sur le site du Front national, dans laquelle il suggérait de faire une « fournée » d'artistes anti-fn, Jean-Marie Le Pen a déclaré aux micros de RMC que « la faute politique » était de « s'aligner sur la pensée unique ». « Je considère que la faute politique, c'est ceux qui se sont alignés sur la pensée unique. Ils voudraient ressembler aux autres partis politiques. Si c'est le vœu d'un certain nombre de dirigeants du Fn, ils ont réussi. C'est eux qui ont fait une faute politique, pas moi », a affirmé Jean-Marie Le Pen.

Une polémique interne à aborder avec l’esprit critique pour ne pas être dupe des indignations et instrumentalisations qui vont augmenter vis-à-vis d’un Fn en ascension dans la traque permanente des médias aux propos non conformes. Certes cette traque n’a pas servi à grand chose face aux échecs du système dans tous les domaines. Mais les théoriciens de la diabolisation  et du cordon sanitaire n’ont pas renoncé. Jean-Marie Le Pen le sait et son dernier dérapage est une sorte de botte de Nevers ou coup de Jarnac à certains qui veulent lui transformer son « Fn ».

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lundi, 09 juin 2014

Afrique du Sud 1994-2014 : LE NAUFFRAGE

mali-bernard-lugan-chez-menard-sur-sud-radio-video1.jpgBernard Lugan

Vingt ans après que Fréderik De Klerk ait hissé Nelson Mandela au pouvoir, la question raciale se pose avec d’autant plus de force qu’il s’agit d’un tabou empoisonnant et conditionnant tout à la fois la vie politique et les rapports sociaux. Contrairement à ce que croyaient les gogos, la pluie démocratique n’a donc pas effacé les rayures du zèbre sud-africain. Quant à l’arc-en-ciel multi-racial, il s’est dissipé sous les orages.

Les élections du mois de mai 2014 furent d’abord raciales. Les Noirs ont en effet massivement voté pour des partis noirs, cependant que les Blancs, les Métis et les Indiens, ont non moins massivement donné leurs suffrages à l’Alliance démocratique. Or, la fracture raciale qui est au cœur de toutes les problématiques sud-africaines va encore s’accentuer au fur et à mesure de la déliquescence de ce qui fut un pays prospère. Sans une croissance pérenne de 5 à 7% par an, l’Afrique du Sud ne pourra en effet pas freiner un chômage qui touche désormais au moins 40% de la population active. En 2013, cette croissance ne fut que de 1,6%[3,6% en 2008, -1,5% en 2009, 2,8% en 2010, 3,8% en 2011, 2,5% en 2012] et au premier trimestre 2014, le PIB a perdu 0,6%, notamment en raison des mouvements sociaux qui paralysent les mines.

Chaque jour qui passe voit donc s’aggraver une situation à ce point catastrophique qu’il est légitime de s’interroger sur les arrière-pensées de ceux qui, en 2011, poussèrent à l’admission de l’Afrique du Sud parmi les « BRICS », ces pays à forte croissance qui ont un poids substantiel dans l’économie mondiale. Cette interrogation est d’autant plus légitime que, pour la période 2008-2012, l’Afrique du Sud dont l’économie est malade, dont le secteur moteur, les mines, est en partie obsolète, a été classée par la Commission économique de l’Afrique ( ONU ) et l’Union africaine, parmi les 5 pays « les moins performants » du continent, devançant à peine les Comores, Madagascar, le Soudan et le Swaziland... Comment espérer voir la situation du pays s’améliorer quand les mineurs réclament plus qu’un doublement du salaire de base, soit 12.500 rands ( 880 euros ) alors que les coûts sud-africains rendent déjà les productions nationales non concurrentielles ? Les sociétés minières ont d’ailleurs quasiment cessé d’investir dans le pays, préférant le faire ailleurs en Afrique et de par le vaste monde. Résultat : comme le secteur minier est le premier employeur privé, le chômage va donc encore augmenter. Face à cette situation, l’Etat-parti ANC n’a que deux options : Chercher à redresser l’économie en empruntant une voie libérale et il provoquera alors une révolution sociale ou appliquer le remède « magique » consistant à accuser le bouc-émissaire blanc et tenter de faire croire que la situation est un héritage de l’apartheid, puis en nationalisant les mines et la terre. C’est naturellement cette seconde voie qu’il va emprunter. Dans un premier temps les mesures seront essentiellement symboliques afin de satisfaire les revendications noires sans casser l’outil économique. Mais, comme elles seront insuffisantes, il lui faudra ensuite davantage ponctionner les Blancs. Or, comme les seuls secteurs qui tournent encore sont précisément ceux que ces derniers contrôlent ( agriculture d’exportation et secteurs de haute technologie ), la « poule aux œufs d’or » sera tuée. Comme au Zimbabwe.

* Cet article de Bernard Lugan est publiée dans sa revue L'Afrique réelle, revue internet par abonnement.

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samedi, 07 juin 2014

VALERIE TRIERWEILER AU SECOURS D’HILLARY CLINTON

images.jpgMichel Dantan

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« Il vaut mieux ne pas se disputer avec les femmes. Mais Madame Clinton n’a jamais été élégante dans ses déclarations… Quand les gens dépassent les limites, ce n’est pas par ce qu’ils sont trop forts, mais parce qu’ils sont trop faibles ». Interrogé hier par Europe 1 et TF1 sur les relations entre son pays et les USA, Vladimir Poutine n’a pas loupé l’occasion qui lui était offerte pour dire ce qu’il pensait d’Hillary Clinton qui au mois de mars dernier le comparait à Adolphe Hitler au sujet de l’Ukraine.

C’est on s’en souvient au cours d’une collecte de fonds à Long Beach en Californie que la secrétaire d’état américaine avait confié à l’un des donateurs présent le mépris que lui inspiraient le Président russe et sa politique en Ukraine : « Si vous avez l’impression d’avoir vu ce qui se passe en Ukraine, c’est parce que c’est ce qu’a fait Hitler dans les années trente », avait-elle dit, en ajoutant que l’on pouvait « comparer la délivrance de passeports russes aux ukrainiens qui ont des liens avec la Russie, aux mesures prises par l’Allemagne nazie avant qu’Hitler n’envahisse le pays voisin ». Des propos insultants sur lesquels le Président russe avait choisi de garder le silence, mais qu’il lui a semblé opportun de rompre à la veille des cérémonies du 70e anniversaire du débarquement le 6 juin 1944 et alors que les principaux chefs d’états américains et européens se retrouvent sur le sol français, pour laisser entendre à ses interlocuteurs que la crise ukrainienne devait être abordée avec sérieux et sang froid, l’arrogance ne menant à rien.

Indigné par les pics du Président russe contre Hillary Clinton, Valérie Trierweiler à qui personne n’avait rien demandé, encore moins l’Elysée où le Président russe doit se rendre ce soir pour dîner avec son homologue français, s’est aussitôt empressé de cracher son venin sur le Président Poutine en se déclarant sur Twitter « heureuse de ne pas avoir à serrer la main de Poutine ». Des propos certes dérisoires, mais qui n’en traduisent pas moins l’état de décomposition et d’avachissement intellectuel avancé dans lequel une partie de la classe politico médiatique hexagonale se trouve face à l’arrogance américaine dont Hillary Clinton représente l’archétype le plus achevé.

Rappelons peut-être aussi, histoire de rafraîchir certaines mémoires, qu’en s’exprimant dans la langue de Balzac et non celle de Goethe comme vient de le faire Valérie Trierweilerpour insulter Vladimir Poutine, c’est grâce au peuple russe qu’elle pouvait le faire. Tout autant sinon plus que grâce peuple américain.

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vendredi, 06 juin 2014

LA COUR DES COMPTES ÉPINGLE LES «RENOUVELABLES»… depuis longtemps

ecolo.jpgMichel Gay

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La cour des comptes épingle les énergies renouvelables, hors hydraulique...depuis trois ans. Mais qui s'en soucie au Parlement et parmi les membres du Gouvernement ? Parmi les citoyens, qui a lu les rapports de la Cour des comptes de février 2011, janvier 2012 et de juillet 2013 sur les énergies renouvelables, le nucléaire et la transition énergétique ? Qui a lu le rapport du Commissariat général à la stratégie et à la prospective ( CGSP ) de janvier 2014 intitulé « La crise du système électrique européen » ?

L'énergie est pourtant le fondement de toutes les civilisations modernes. Une meilleure connaissance des réalités et des enjeux énergétiques permettrait à chacun d'une part d’intervenir dans le débat public sur l’énergie pour ne plus se laisser abuser par des lobbies divers, fussent-ils « verts»  et, d'autre part, de disposer d'arguments pour se faire entendre. Mais une question complexe est occultée et donc rarement traitée : les coûts et tarifs de l’électricité dont la production doit répondre en permanence au besoin variable. Aborder ce sujet implique de dire la vérité et donc de s’exposer à la vindicte de l’écologie politiquement correcte.

Le rapport de février 2011 analysait déjà le surcoût de l'électricité « renouvelable ». Il indiquait que « le caractère incontrôlé » du photovoltaïque avait entraîné un « effet d'aubaine » et des surcoûts. Il qualifiait la CSPE « d'imposition innommée » car frappant tous les consommateurs. Cet « impôt » aurait dû faire l'objet « d'un contrôle du Parlement, conformément au principe constitutionnel du consentement à l'impôt ». On peut donc légitimement se demander comment un lobby écologiste a pu créer un impôt par décret, sans vote et sans contrôle du Parlement.

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jeudi, 05 juin 2014

Les Femen : une belle bande d’idiotes utiles ?

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Gabrielle Cluzel

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Il y a quelques jours, les Femen ont encore frappé. Et de quelle façon… On commence à dire entre haut et bas, même parmi ceux qui les trouvaient au début follement sexy, excitantes, transgressives, décapantes, que l’heure est venue de siffler la fin des festivités, de rhabiller les petites et de les renvoyer fissa au vestiaire. Avant que ces jolies quiches ne fassent des dégâts irréparables et n’obtiennent tout le contraire du résultat escompté.

C’était sur leur page Facebook : elles entendaient poursuivre de leur vindicte Marine Le Pen. Celle-ci avait en effet appelé, lors d’un meeting, à « faire des enfants français »… Bon. La vérité est que quel que soit, par ailleurs, le jugement que l’on puisse porter sur leur auteur, on cherche désespérément dans ces propos un objet de scandale.

C’est quand même la moindre des cohérences pour qui prétend œuvrer contre le Grand Remplacement, celui-ci étant autant le fait d’une population allochtone qui cherche à pénétrer que d’une population autochtone qui se laisse mourir à petit feu. Quand il n’y a plus personne pour reprendre une maison de famille, quand le dernier héritier est resté vieux garçon et n’a pas eu de descendance, il n’y a pas d’autre issue que de brader la bâtisse à des étrangers. Et quiconque prétendrait garder par-devers soi son trésor qu’est sa civilisation, sa culture et la terre de ses ancêtres sans vouloir d’enfant ressemblerait à ces vieillards solitaires dont on voit la tête blanche s’agiter derrière le rideau de certaines maisons bourgeoises, et qui n’entrebâillent la porte avec méfiance qu’à l’auxiliaire de vie venu faire leur toilette.

Sans ce corollaire nataliste, toute politique visant à contrer une immigration galopante donnerait raison à ceux qui parlent d’égoïsme et de repli sur soi. « Seigneur ! préservez-moi, disait Victor Hugo, [...] de jamais voir l’été sans fleurs vermeilles, la cage sans oiseaux, la ruche sans abeilles, la maison sans enfants. » La maison France, par exemple. Les Femen voudraient-elles aussi faire la peau à Victor Hugo ?

Car la déclaration les a mises en pétard, et elles ont décidé à leur tour de lancer un appel, dans ce style « grande classe » qui leur appartient. Un appel à « toutes les Françaises à baiser, sucer, se faire lécher, branler, doigter, pomper, niquer autant d’étrangers qu’elles le peuvent (…) ». Une attaque injurieuse, non pas contre Marine Le Pen mais contre toutes les Françaises, promues poupées gonflables multifonctions, en même temps qu’une incitation à peine voilée au viol pour tous les zinzins, les frappadingues, les détraqués : une poupée gonflable, n’est-ce pas, comme tous les objets utilitaires, est là pour servir. Et puisque aucune association féministe ne proteste, c’est donc que la proposition est anodine. Normale. À peine un tantinet osée. On aurait tort de se gêner ; les Françaises, regardez, ne demandent que ça.

Mais certains, jusque dans leur propre camp, commencent à en avoir leur claque. Devinent que cette coprolalie, ces éructations, ces corps nus qui se cabrent et se tordent comme dans un remake de L’Exorciste deviennent dangereux. Potentiellement dévastateurs. Car, embarquées dans une spirale infernale, les majorettes topless doivent inventer toujours plus trash, plus gore. Et dans ce jeu malsain où elles campent les possédées, forcément, c’est l’objet de leur exécration qui joue le rôle du saint martyr… En ces temps troublés, tricoter une auréole sur la tête de Marine Le Pen est casse-gueule. Et si les Femen étaient, en fait, une belle bande d’idiotes utiles ?

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