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mercredi, 04 décembre 2013

Cyclone B : la société brestoise IPC-SA accusée de « cynisme malveillant »

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Comment passer d’un fait divers insolite à une quasi affaire d’Etat ? La recette, la société brestoise IPC-SA, qui vend de nombreux produits d’hygiène à destination des professionnels est en train de l’apprendre à ses dépens. En cause ? Un produit détergent appelé « Cyclone B ». Cyclone étant le nom du produit, B indiquant sa contenance biologique.

Quand elle a lancé ce produit, l’entreprise bretonne n’imaginait pas la réaction de l’Etat d’Israël ou de sites comme le Jewish chronicle   qui y ont vu  là « le pire nom que l’on peut donner à un produit d’hygiène » trouvant une proximité avec le Zyklon B, ce gaz utilisé notamment par les nazis pendant la seconde guerre mondiale. « C’est, au mieux, une horrible ignorance et au pire un record du monde de cynisme malveillant. » affirme le rabbin Menachem Margolin, de l’association juive européenne.

Au sein de l’entreprise brestoise, on est tout simplement K.O : « on est abasourdi. Il fallait vraiment aller chercher loin. Qu’un simple détergent prenne des proportions politiques, c’est incompréhensible » nous confie un commercial.

Le produit incriminé a visiblement été retiré depuis du site Internet, IPC-SA ne souhaitant pas être prise dans une spirale qui pourrait  nuire fortement à son image.

A noter que la République africaine du Cap-Vert ne s’est pas encore officiellement indignée que la société IPC-SA ait donné son nom à des produits de traitement des odeurs et d’hygiène des mains. Au train où vont les choses, ça ne saurait tarder.

Source Breizh Info cliquez là

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Lundi soir à Paris : Taubira huée à son arrivée au Théâtre du Rond Point

Lundi soir avait lieu au théâtre du rond point des Champs Elysées une soirée organisée par Jean-Michel Ribes « contre la haine ». L’invitée d’honneur de cette soirée très select était le Ministre de la justice, Christiane Taubira. Participaient aussi Aurélie Filipetti, Caroline Fourest, François Morel, et un tout un aréopage de célébrités bien-pensantes.

Plusieurs dizaines de personnes choquées par les déclarations récentes de ces personnalités voulant assimiler les sympathisants LMPT à de dangereux extrémistes ou à des racistes s’étaient spontanément rassemblées pour faire part de leur mécontentement face à de tels amalgames. Les propos totalement excessifs de Jean-Michel Ribes sur BFM TV avant la soirée en sont l’illustration. Il n’a pas hésité à qualifier les membres de Civitas de « neo-nazis. » Tout ce qui est excessif est insignifiant…

A l’arrivée de Christiane Taubira à 19h40 un concert de sifflets, de huées et de « Taubira ta loi on en veut pas » se sont fait entendre. Ont alors surgi des dizaines de policiers en uniforme qui ont immédiatement encerclés et repoussés avec violence les auteurs de ces sifflets. Sont aussi apparus une quinzaine de policiers en civil qui se sont éparpillés autour du théâtre pour arrêter tout autre présumé opposant et en ont capturés trois qu’ils ont ensuite relâchés après un contrôle d’identité.

Sous les cameras de télévision, dont BFM TV, les personnes encerclées ont été privées de leur liberté sans aucune explication pendant une heure à 50 mètres environ du théâtre. Un policier a pris à chacune des personnes du groupe sa pièce d’identité et est parti avec.

Vers 20h40 les personnes du groupe, chacune escortée plus ou moins fermement par un policier, ont été conduites le long du tristement célèbre GAV bus pour subir une palpation et une fouille des sacs, poches, etc. A 20h45 le GAV bus dans lequel avait été placé 21 personnes a démarré vers une destination inconnue. Escorté par quatre fourgons de CRS, le GAV bus a traversé Paris en faisant résonner sa sirène à de nombreuses reprises.

A 20h57 le groupe a été débarqué trois par trois pour ses rendre dans le commissariat du 5eme arrondissement (rue de la Montagne Sainte Geneviève). Chacune des personnes à une nouvelle fois été palpé et requis de vider ses poches, les effets personnels ont confisqués puis l’ensemble des personnes a été placé en cellule sans distinction de sexe ni de genre… Malgré les demandes d’explication répétées aucune explication n’a été donnée.

L’une des personnes plus insistantes s’est vu répondre par un policier « participation à une manifestation non déclarée. » Après 22h30 la première personne a été libérée, puis les autres ont suivi un par un. A 22h54 le dernier était libéré sans qu’aucune explication n’ait été fournie. A la sortie de la cellule, un policier était chargé de restituer à chacun ses effets personnels (dont téléphone) et de noter la profession pour compléter les fiches qu’il remplissait. Aucun document n’a été remis aux personnes illégalement arrêtées et détenues.

Plusieurs personnes déposeront plainte dans les jours qui viennent pour privation illégale de leurs libertés et exécution d’ordres illégaux.

Source La Salon beige cliquez là

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La marche : Debouzze fait un flop !

thumb_small_Jamel_Debbouze_comme_on_ne_l_a_jamais_vu_portrait_w674.jpgCe devait être l’évènement cinématographique de la semaine, du mois, de l’année, la sortie du film tant attendu (par qui?)  » la marche », réalisé par Nabil Ben Yadir et le propagandiste vedette Djamel Debouzze. Profitant d’un battage médiatique promotionnel digne d’une méga production hollywoodienne, le chef d’œuvre n’a pas déplacé les foules et risque fort de se retrouver en promotion dans les bacs des stations services très vite.

Quand le landernau bobo-gaucho finira par comprendre que le peuple a un cerveau qui fonctionne aussi bien sinon mieux que ceux des chroniqueurs de Canal chiotte ou France Telebidon, il s’évitera des déconvenues financières en produisant des tels navets de propagande grossière.

Les ficelles sont tellement grosses que cela devient ridicule. Je vous résume le film, tout ce qui est non-européen ethniquement est gentil, drôle plein de sensibilité…etc. Tout ce qui est européen est raciste, haineux, pas drôle…etc. SAUF si cet européen ethno-masochiste est encarté au PS, PCF, bref toute les officines qui représentent la future France universaliste.

J’ai vu le film et me suis forcé à le regarder jusqu’au bout (je vous rassure j’avais une invitation), c’est un tract politique transposé en film, pitoyable.

Bien sur le film ne fera pas date malgré le soutient sans faille des « élites »et je crois que l’effet escompté par ses auteurs sera exactement l’inverse, radicaliser un peu plus une France qui en a marre qu’on la traite de conne ou de raciste a tout propos, en quelque sorte l’histoire de l’arroseur arrosé.

Source  24 h actu cliquez ici

via Parti de la France cliquez là

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mardi, 03 décembre 2013

Pauvre Mélenchon ! Il n’y a pas d’âge pour découvrir la vie…

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Gabrielle Cluzel

Boulevard Voltaire

Bon. Pour la révolution fiscale, il semblerait qu’il faille attendre un peu. Au box-office des manifs, les écharpes rouges seraient aux bonnets de la même couleur ce qu’un film d’auteur tchèque est à Hunger Games. Les prolos, de nos jours, n’en font qu’à leur tête, et Jean-Luc Mélenchon va devoir se résigner à rester un grand leader charismatique incompris. Il a beau courir comme un fou, s’accrocher au dernier wagon, remonter toute la rame en engueulant au passage les voyageurs qui traînent dans les couloirs, impossible de rejoindre la locomotive. Il a définitivement raté le train de la contestation.

Pour lui rendre justice, faut dire que les gens sont spécialement vaches. Il y a ce journaliste de France 24, qui regardait malencontreusement par la fenêtre et a pris aussi sec une photo quand, dans une rue quasi déserte, quelques figurants amateurs se sont gentiment dévoués pour se serrer derrière Mélenchon en agitant des drapeaux, laissant imaginer une foule monstre pour l’interview de TF1. Et pourquoi pas, aussi, un décor de carton-pâte, avec un trou pour que Jean-Luc passe sa tête ? Souris, le petit oiseau va sortir ! La photo, on s’en doute, a fait sournoisement le tour des réseaux sociaux.

Et puis, il y a la police. La police qui ne le gratifie que de… 7.000 manifestants. Quand il en revendique lui-même sans vergogne 100.000, et que les journalistes rompus à ce genre d’exercice évaluent quand même les effectifs à 15 ou 20.000 personnes.

Mélenchon dénonce des chiffres « farfelus » de la préfecture de police, « dictés » par le ministère de l’Intérieur. Preuve qu’il n’y a pas d’âge pour découvrir la vie, et les petits trucs et astuces du gouvernement. C’est Frigide Barjot qui doit se tenir les côtes. Toi aussi, viens offrir des lunettes à la police.

Et « Vis ma vie » peut ne pas s’arrêter là. Dans la boîte à outils, il y a bien d’autres instruments de torture, largement éprouvés eux aussi. Dont Mélenchon risque de tâter s’il n’y prend pas garde. Ici et là, on commence à s’émouvoir d’une de ses récentes déclarations sur France 5, évoquant Hollande et son équipe de « rastaquouères »… terme péjoratif et xénophobe, s’il en est, désignant, selon le Larousse, un « étranger menant grand train et dont on ne connaît pas les moyens d’existence ».

Bien sûr, le même mot dans la bouche d’un homme de droite aurait fait l’effet d’une bombe atomique, et le coupable se promènerait déjà pieds nus dans les rues de Paris en se répandant des cendres sur la tête et en se frappant la poitrine pour clamer sa contrition.

Naturellement, un homme de gauche peut s’autoriser bien des privautés de langage. Mais à condition de ne pas trop balancer les copains. Mélenchon ferait bien de s’en souvenir…

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Depuis quelques semaines un journal très incisif est distribué dans les rues :

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Année zéro cliquez ici

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vendredi, 29 novembre 2013

Les bonnets rouges sauce Troadec ne font pas l'unanimité

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Richard Roudier, Président du Réseau Identités, nous a accordé un entretien pour parler de son livre le Glaive et la Charrue paru début novembre mais aussi pour donner son avis sur les bonnets rouges qui doivent se réunir à Carhaix sur le site des Vieilles Charrues le 30 novembre dans une ambiance festive et musicale.

Richard Roudier, militant du mouvement identitaire, rejoint aussi de nombreux bretons, mais aussi de Carhaix, qui émettent des réserves sur Christian Troadec. La phrase la plus courante à revenir dans la bouche de bretons est « Troadec est un opportuniste. Le mouvement des bonnets rouges ne va pas tenir ». Des Français se définissant politiquement au centre partagent la pensée de Richard Roudier. Une déception face à l'attitude de Christian Troadec a pris forme.

La Voix de la Russie : C'est vous qui avez acheté la marque bonnet rouge ?

Richard Roudier : On a été les premiers à acheter le nom bonnet rouge, aussi pour les noms de domaine internet. On a aussi fondé une revue mensuelle qui porte le nom Le bonnet rouge et qui marche bien. Elle est vendue en Bretagne, dans le Finistère. On a vu un véritable mouvement populaire s'implanter en Bretagne. On a pensé qu'il fallait éviter que ce terme soit pris par des sectaires et des mercantiles et on avait eu raison. On ne veut pas faire de la concurrence à Armor Lux. On n'a pas acheté la marque bonnet rouge en bonneterie. On aurait pu le faire. C'est une démarche politique pour nous.

LVdlR : Comment pensez-vous que Christian Troadec a été informé ?

R.R. : C'est Armor Lux qui a décidé de poser la marque et c'est ainsi que Troadec aurait été averti. Nous ne voulons pas faire de la concurrence à Armor Lux, ce qui prouve l'honnêteté de notre démarche.

LVdlR : Déçu par Christian Troadec ?

R.R. : Les choses ont avancé très rapidement. On sent que dès le début c'est un très grand navigateur. C'est un breton, c'est normal. A la suite de la grande manifestation, il a commencé à virer, à dénoncer l'extrême droite. Ce n'est pas digne d'un homme qui a été porté par tout un mouvement. Je ne comprends pas qu'on puisse exclure un nombre de gens. Christian Troadec a fait des avancées intéressantes puis il a commencé à vilipender les idées identitaires.

LVdlR : Pensez-vous que Christian Troadec ait des intérêts économiques ?

R.R. : Je ne peux pas vous le dire.

LVdlR : D'où vient votre doute sur les bonnets rouges récupérés par le maire de Carhaix ?

R.R. : La FNSEA se retrouve dans ce type de mouvement. C'est incroyable car c'est le premier syndicat de France et ce sont eux qui ont distribué les bonnets rouges. Surtout que c’est président de la FNSEA du Finistère qui a prononcé le mot « révolution ». Des tas d'événements nous laissent pantois. Par exemple, quand on a entendu parler du tireur fou, j'ai trouvé ça énorme avec sa fiche de recherche de type européen. Cela me rappelle l'affaire Merah qui ne devait qu'être un militant d'extrême droite.

LVdlR : Vous êtes allé à Quimper ?

R.R. : Je ne suis pas allé aux manifestations des bonnets rouges en Bretagne mais au viaduc de Millau, où j'étais avec les bonnets rouges il y a 20 jours. A Nice aussi, car je suis syndicaliste agricole et je suis allé soutenir les agriculteurs dans les Alpes-Maritimes.

LVdlR : Vous êtes agriculteur ?

R.R. : Je fais du cochon bio et des gîtes. Mais mon métier d'origine est celui de juriste. Cela fait 20 ans que je suis agriculteur. J'ai été à la communication, à la formation professionnelle.

LVdlR : Manipulation ?

R.R. : Je pense qu'il y a des cellules proches du pouvoir et qui sont chargées d'instrumentaliser. Lors de l'incendie d'une borne écotaxe, les gendarmes ont regardé passivement alors que des dizaines de personnes sont restées à côté des feux de joie. Quand je vois ce genre d'éléments, je suis un peu étonné. Ou alors les pouvoirs publics n'ont plus les moyens. Dans ce cas, je leur demande de faire autre chose, surtout que ça se passe en plein jour.

LVdlR : Votre avis sur les syndicats ?

R.R. : Les syndicats sont manipulés par le pouvoir. Ils sont payés par l’État à 90 %. Dès le lendemain de la grandiose manifestation, le front a éclaté et on a vu les syndicats dire qu'ils étaient intéressés par la défense des salariés et pas des petits patrons. Une partie du front syndical a quitté le bateau. Une autre force a été fondée à côté. On assiste à une manipulation par des forces qui sont derrière. Je connais très bien la question. On sait qu'il y a des forces qui manipulent à coups de billets. Je connais le droit privé et le droit du travail et le milieu des syndicats et les relations avec le patronat.

LVdlR : Le mouvement des bonnets rouges est tué dans l’œuf ?

R.R. : Je ne crois pas. Quand on plante une greffe, elle finit par germer mais il y a des forces occultes qui font tout pour arrêter le mouvement. Il y a une hargne, une colère où les gens ne croient plus à rien. Les gens n'ont plus confiance dans les médias et dans les organisations politiques. Le pouvoir allume des contre-feux.

LVdlR : Pourquoi votre livre le Glaive et la Charrue?

R.R. : C'est un titre que j'ai emprunté à un consul romain qui a concilié toute sa vie entre sa charrue et son militantisme en prenant le glaive pour se défendre. C'est un symbole. Dans la révolte d'un pays, les agriculteurs représentent la base. Dans mon livre, je retrace 50 ans d'activité militante. J'ai voulu faire part de mon vécu aux jeunes générations. J'ai accueilli les pieds noirs d'Algérie à Béziers en 1963. J'avais 16 ans. J'ai pris conscience des dangers pour notre pays avec l'immigration très tôt. Les fils de bourgeois, de notaires nous traitaient de fou et disaient qu'il n'y aurait jamais de voile en France, de cuisine halal. C'est la politique de l'autruche traditionnelle des petits bourgeois de ne pas vouloir voir. Dans mon livre, je donne des pistes. On doit passer à la re-migration. L'intérêt des multinationales, c'est le grand marché mondial. C'est ce qu'ils ont voulu faire avec Maastricht pour baisser les salaires. On doit forcer nos dirigeants à la re-migration. L'immigré est déraciné en France. On va avoir un large mouvement populiste en Europe et ça leur fait très peur.

La Voix de la Russie cliquez ici

Pour se procurer le livre de Richard Roudier cliquez là

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jeudi, 28 novembre 2013

Jeudi, c'est le jour de Rivarol

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3,50 €, chez votre marchand de journaux

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samedi, 16 novembre 2013

Aïe !

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Hasard assurément malheureux pour le très politiquement correct quotidien Le Figaro que cette association d'images qui risque d'être dénoncée à l'Inquisition par un cafteur flairant là une nouvelle et perfide ignominie.   source

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lundi, 23 septembre 2013

Les révélations de Roland Dumas sur la guerre en Syrie

Arnaud Raffard de Brienne cliquez ici

Roland Dumas n’est pas n’importe qui et de quelque bord politique que l’on soit, on ne pourra que reconnaître sa liberté d’expression, tout au moins présente. Après une carrière bien remplie d’avocat, de journaliste, de ministre, de président du Conseil constitutionnel et j’en passe, l’homme dont l’ensemble de la carrière s’est située à gauche, avec les turbulences que l’on sait, a décidé de retrouver une pleine et entière liberté d’expression.

Sur la guerre en Syrie, dont l’ensemble des médias, soucieux de continuer à percevoir subventions et manne publicitaire, feint de croire qu’il s’agit d’une révolte populaire spontanée du peuple syrien – comme ils avaient feint de gober tout cru la spontanéité du Printemps arabe -, il a osé dire l’indicible et dénoncer la manipulation des services secrets anglo-saxons américains et britanniques  qui ont travaillé plusieurs années auparavant à ce soulèvement. Lui-même, Roland Dumas, avait été approché et mis au parfum deux ans avant les premières manifestations syriennes.

Interview époustouflante à voir et à faire suivre :

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vendredi, 13 septembre 2013

Antifas : une milice politique au service de Manuel Valls ?

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Pierre Cassen

Boulevard Voltaire cliquez ici

Paris est sans doute la ville au monde où l’on manifeste le plus. Nous nous souvenons, lors d’une demande à la préfecture de police de Paris, que l’officier présent nous avait affirmé qu’il y avait, chaque année, 7.000 demandes de manifestations, la plupart accordées.

Nous avons même aussi droit, régulièrement, à des manifestations de clandestins. Dans la majorité des pays, on les expulse sans appel. En France, on les laisse, bien qu’en situation irrégulière, revendiquer des droits, des aides et, bien évidemment, des papiers pour tous. José Bové, en 2007, envisageait même de présenter des candidats clandestins aux législatives !

Nous avons également vu, récemment, des manifestations de partisans de Morsi, ces sympathiques disciples d’Allah qui, en Égypte, brûlent les églises, égorgent les infidèles au cri de « Allah akbar » et justifient le viol des femmes non voilées. Manifestement, cela n’émeut pas les antifas. Autorisation du préfet Boucault.

Le 22 juin dernier, ce même préfet, nommé par Valls, a interdit une manifestation de Résistance républicaine, pour « risque de troubles à l’ordre public ». Sans plus. Pourtant, six mois auparavant, la même association avait manifesté sans le moindre incident, contre le fascisme islamique, avec 3.000 participants.

Le 29 juin, des antifas avaient manifesté et, eux, vandalisé quelques vitrines, suite à la mort de Clément Méric dans une bagarre dont ils étaient les instigateurs. Autorisation du préfet Boucault.

Rappelons que, pour ces sympathiques gauchistes, est fasciste quiconque aime la France et s’oppose à son islamisation, ainsi qu’à une immigration sans intégration en période de chômage de masse.

Ce samedi 14 septembre, le Collectif de défense des libertés publiques s’est vu interdire une manifestation parce que les antifas avaient annoncé une contre-manifestation. On aurait pensé que, dans un régime démocratique, la police aurait protégé cette manifestation, annoncée en premier, et demandé aux opposants de choisir une autre date, pour ne pas troubler l’ordre public. Erreur : croyant faire preuve d’équité, Boucault a annulé les deux !

Ce 14 septembre, c’est le site Riposte Laïque qui avait prévu, suite à cette interdiction, un rassemblement, à 14 heures, sur un thème différent de celui de la manifestation : la défense de la liberté d’expression, menacée par le harcèlement judiciaire de prétendus antiracistes, et le droit à la sécurité pour tous, mis en cause par la nouvelle loi Taubira. À notre connaissance, aucune contre-manifestation n’avait été déposée à la préfecture de police. Pourtant, ce rassemblement vient d’être interdit lui aussi, sous ce prétexte : « (…) en raison notamment des risques de contre-manifestation de la mouvance antifasciste qui, dans le contexte actuel de tensions, est susceptible de générer des troubles graves à l’ordre public ce jour-là. »

Le préfet Boucault avoue donc deux choses : d’abord les antifas n’avaient pas encore déposé de déclaration de manifestation, et ce sont eux qui provoquent les troubles à l’ordre public. Pourtant, eux ont le droit de manifester, et ce sont les patriotes qui sont interdits, pour la troisième fois en trois mois.

En effet, dans le même temps, à Marseille, des organisations et militants de gauche et d’extrême gauche – dont certains, sur les réseaux sociaux, appellent à venir cagoulés, à saboter les transports en commun, à s’en prendre aux hôtels accusés d’héberger des militants du Front national – se voient autorisés à manifester contre l’Université d’été du parti de Marine Le Pen.

Valls et ses préfets ont donc décidé d’utiliser des gauchistes dégénérés pour interdire aux patriotes de manifester, ou bien pour perturber leurs initiatives et provoquer des incidents.

Les antifas sont donc bien une milice politique au service de ce régime, grâce auquel ils bénéficient d’une impunité totale. On le savait déjà, mais à présent, cela crève les yeux.

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lundi, 26 août 2013

Le ministre de l'Intérieur appelle à combattre Alain Soral et Dieudonné

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Source Parti de la France Calvados

Aux universités d'été du PS, Manuel Valls s'est livré à une charge contre Alain Soral et Dieudonné, en les nommant et en appelant, au nom de la république, bien sûr, à les combattre. Le hic, c'est que Manuel Valls est le ministre de l'Intérieur, le chef de tous les flics de France. Quand on occupe ce poste, et qu'on dénonce publiquement deux individus en les nommant, c'est qu'on a franchi un pas de plus dans ce qui sépare l'Etat militant, qui est déjà une horreur, de l'Etat assassin, qui est la suite logique pour une clique politique d'adorateurs de la république et de sa Terreur.

Ce qui est comique, c'est que cet appel à "combattre" Alain Soral et Dieudonné a été lancé dans le cadre... d'une défense de Frédéric Haziza ! Un journaliste quelconque et médiocre, qui plus est servile. On se rappelle qu'il s'est servi de son poste à la télévision pour humilier Jacques Cheminade, être "fort" avec les "petits" et servile avec les "forts" étant le propre des individus abjects. On se rappelle également qu'il avait gratifié d'un doigt d'honneur des manifestants contre le mariage des sodomites.

Que le premier flic de France attaque nommément deux personnes pour soutenir ce type de personnage est la preuve, s'il en faut encore une, du niveau zéro de nos élites politiques qui, impuissantes à agir sur le réel, se focalisent et focalisent tous leurs moyens sur la seule lutte contre un soi-disant "antisémitisme" dont on nous dit chaque année qu'il augmente, mais dont on n'a encore jamais vu une seule (vraie) victime...

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lundi, 15 juillet 2013

Journalistes de Libé : la toile est leur épouvante...

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Eric Miné

Boulevard Voltaire

Du pouvoir retors qui englue notre pauvre pays dans un climat délétère, Libération est, à n’en pas douter, l’agent zélé. Ainsi apprend-on dans ses colonnes qu’à « Brétigny : les sauveteurs n’ont vu ni pillage, ni caillassage ». Diantre ! Peu chaut à ces increvables bobardiers que des témoins dignes de foi contredisent leur péremptoire assertion. Minimiser, déformer ou escamoter les nouvelles ne sont pour cette presse que l’expression correcte d’une information maîtrisée.

Mais nonobstant les prochains développements qui pourraient venir contrarier la jolie fable, cette posture cache mal la panique qui s’empare de ce petit monde inquisitorial, rompu pourtant à condamner férocement tout contrevenant à la pensée autorisée. Ainsi, dans un précédent libelle en date du 5 juillet dernier et intitulé « L’histoire d’un foyer de Laon échauffe les sites identitaires », le même Libération nous dévoilait ingénument la cause du brusque changement d’atmosphère qui met à mal sa crâne assurance.

L’histoire en question ? Évincés d’un foyer de jeunes travailleurs au profit d’infortunés demandeurs d’asile, une poignée de franchouillards en délicatesse avec les picaillons se retrouvaient derechef à la cloche. Pas de quoi fouetter un chat au regard du quotidien bobo qui soigne son humanisme très sélectif. Mais le gardien du dogme de s’émouvoir, courroucé, de l’hydre rebelle engendrée par une armada d’internautes scandalisés et hurlant à la préférence étrangère.

Et nous y voilà ! On apprend que l’obscure feuille de province qui a débusqué le lièvre s’est vue gratifier de 15.000 « J’aime » sur Facebook, que les téléphones de l’association gestionnaire du foyer ont dû être débranchés parce qu’assaillis d’insultes et que le préfet du coin s’embrouille dorénavant dans un salmigondis d’arguties plus foireuses les unes que les autres. Bref, que le raffut réticulaire a payé.

Pour nous tous qui, sur Boulevard Voltaire ou ailleurs sur la toile, nous échinons du clavier à dénoncer les petites et grandes turpitudes du système dans la dédaigneuse indifférence de cette « grande presse », voilà un rayon de soleil bien revigorant qui perce la touffeur ambiante. Car ces manifestations impromptues de citoyens en colère qui maillent maintenant quotidiennement notre territoire ne sont-elles pas le fruit de l’inlassable travail de ré-information des sites, blogs et réseaux sociaux alimentés par des petites mains patriotes et bien souvent bénévoles ?

Loi Taubira, maltraitance rituelle des animaux, destructions d’églises, délinquance importée ou autres malveillances qu’il subissait hier en silence, le peuple de France s’instruit dorénavant en ligne, gronde et crie son désaccord. Interloqué devant l’ampleur du soulèvement, Libération, qui pourtant se garde bien d’ordinaire de toucher mot du rejet que ces sujets suscitent, n’a plus que le brocard ou l’invective pour arguments.

Mais avec des ventes en chute libre – moins 40 % cette année –, ces beaux messieurs de Libé, grassement rémunérés pour leur fatuité servile, ont du mouron à se faire. Ce ne seront bientôt plus quelques réactions indignées que ces plumitifs autistes auront à redouter, mais le tsunami qui les emportera.

Et la catastrophe, ils le pressentent dans l’effroi, viendra de la fin de leur monopole. Tels les dinosaures qui n’avaient pas vu venir le changement de climat, le Web, avec la nouvelle liberté qu’il induit, sera leur tombeau. Et dire que ces gens-là ne juraient qu’en l’évolution. La toile est désormais leur épouvante…

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dimanche, 14 juillet 2013

NON, ESTEBAN N'EST PAS UN "PAUME"

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Serge Ayoub

Boulevard Voltaire cliquez ici

Après la mort de Clément Méric, la gauche a hurlé partout qu’Esteban et ses camarades Samuel, Alexandre et Stéphane n’étaient que d’ignobles brutes néo-nazies. Aujourd’hui, la droite condescendante et victimaire tente de se récupérer un martyr en le décrivant comme un paumé, un innocent « malgré lui ».

Alors, et en réponse à l’article de Didier Bourjon paru sur Boulevard Voltaire le 11 juillet, je tiens à affirmer que non, Esteban n’est pas un « paumé », et que non, je ne suis pas le point de fixation de groupuscules « sombrement perdus ».

Esteban, à 20 ans, travaillait dans la sécurité-incendie, avait des responsabilités, avait emménagé avec sa petite amie, quand bien des garçons de son âge oscillent entre le chichon, les jeux de rôles en ligne, les sorties en boîtes et une vie étudiante interminable, toujours sponsorisée par papa et maman. On a dit qu’il était skin, on a dit qu’il était sympathisant de Troisième voie : peut-être. Cela n’en fait pas un paumé, bien au contraire. Être skin, et surtout adhérer aux idées que j’ai défendues à Troisième voie, et que je défendrai ailleurs, c’est affirmer deux choses : la fierté d’être travailleur, et la fierté d’être Français.

Avoir des idées et les assumer, ça ne fait pas de vous un paumé, ça fait de vous un homme, un homme tel que notre nation était encore capable d’en produire il n’y a pas si longtemps. Un homme capable de se défendre quand on l’agresse, un homme capable de résister moralement à un système qu’il juge mauvais, un homme capable de dire non haut et fort quand d’autres baissent les yeux dans la honte ou la peur.

Esteban est infiniment moins paumé que ces crétins déracinés et déculturés qui encombrent les castings de télé-réalité.

Esteban est infiniment moins paumé que les traders qui spéculent sous coke sur des produits dérivés dont ils ignorent la structure financière.

Esteban est infiniment moins paumé qu’un homo qui veut avoir plein d’enfants.

Esteban est infiniment moins paumé qu’un ministre de l’Intérieur qui parle d’assassinat pour un cas de légitime défense, infiniment moins paumé qu’un Premier ministre qui demande une minute de silence pour un agresseur et se rassied dans le ridicule, infiniment moins paumé qu’un président qui confond Chinois et Japonais, et prononce un décret de dissolution contre des associations déjà dissoutes.

Esteban est infiniment moins paumé que les quelques punks à chiens qui s’inventent une guerre antifasciste en 2013.

Enfin, et surtout, Esteban est infiniment moins paumé que tous les petits éditorialistes de « droite » qui prétendent le défendre sans se donner la peine de le comprendre.

Tous ceux-là, je leur demande de se taire et, humblement, de relayer cette page de soutien : cliquez ici 

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Le nouveau numéro du magazine "Terre et peuple" est sorti...

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Terre et peuple cliquez ici

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mercredi, 03 juillet 2013

Nelson Mandela ou l’énorme imposture

imagesCATI57P0.jpgGuillaume Faye

J’ai tout compris cliquez ici

Dans la catégorie des icônes planétaires, coqueluche de la bien-pensance larmoyante, élevé au rang de Saint et de héros, on aura rarement vu mieux que Nelson Mandela. Encore plus délirant qu’avec Che Guevara, cet autre héros de pacotille qui était en réalité une fripouille. Mandela fascine les pucelles antiracistes, les politiciens et les intellectuels qui rabâchent comme des perroquets la vulgate idéologique du Système. Personne n’ose déboulonner l’idole.

« Mandela a payé dans sa chair ses idées » explique le pseudo-philosophe et essayiste cucul Frédéric Lenoir, auteur du pensum La guérison du monde (Fayard). Il le compare aussi à Socrate et à Gandhi. « Il s’est sacrifié comme Jésus », peut-on entendre répété en boucle. Tu parles… Le faux martyr Mandela a passé 27 ans en prison pour des faits de droit commun et de terrorisme et n’était nullement un prisonnier politique. Il dirigeait la branche militaire de l’ANC, l’UWS, spécialisée dans les sabotages et les attentats, au mépris des victimes innocentes.

La succession de Mandela donne lieu, au sein de sa famille (la descendance de ses trois épouses), à une lutte de clan sordide, uniquement pour l’argent. Car Mandela n’a pas oublié, comme tous les satrapes africains, de faire fortune en piquant dans la caisse. Sa seconde épouse, la sulfureuse Winnie, n’aurait pas déparé parmi les voyouses de la cour de Néron. En réalité, la légende Mandela est un montage médiatico-idéologique mondial remarquable, un acte de propagande magistral ; qui passe sous silence non seulement la véracité du personnage mais son action politique, catastrophique : la transformation d’une république autoritaire (la RSA), ethniquement scindée mais prospère et sûre, en un pays officiellement multiracial et démocratique mais miséreux, inégalitaire, anarchique, corrompu, où il ne fait pas bon vivre.

En effet, Mandela, une fois à la tête de l’État, a mis fin au régime de l’apartheid et à la domination blanche. Mais pour le plus grand malheur du pays, l’Afrique du Sud. Depuis que les Noirs sont au pouvoir, la RSA – c’était prévisible – a plongé dans une sorte de chaos de basse intensité : criminalité explosive, services publics et infrastructures à la dérive, coupures électriques incessantes, créations de ghettos blancs protégés. Sans compter l’incurie de l’État noir et la corruption endémique de l’ANC, African National Party (le parti unique de fait, despotique, clownesque et incompétent) : les milliards de rands alloués pour la réhabilitation des townships noirs d’Alexandra et de Soweto ont atterri dans la poche des mafieux. Résultat : la misère, la crasse, les égouts bouchés, la délinquance, 40% de chômage chez les jeunes, etc.

Les autorités et les médias du monde entier (à commencer par Obama en visite dans le pays fin juin) refusent obstinément cette affreuse réalité qui contredit leur idéologie, pourtant reconnue en silence par les Noirs eux-mêmes : ”c’était dix fois mieux du temps du pouvoir blanc, de l’apartheid imposé par les Afrikaners.” Eh oui ! Un journaliste noir sud-africain au chômage avoue, dépité : « Mandela est une icône mais les gens ont faim. Et la question récurrente, c’est comment survivre, jour après jour. [...] Mandela a voulu que, nous, les Africains du Sud, soyons tous égaux. Un noble combat, évidemment. » (JDD, 30/06/2013). Il a tout compris

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jeudi, 27 juin 2013

Demain vendredi, dans Rivarol, Roland Hélie décortique les mensonges de l'affaire Méric

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Les gauchistes ces héros qui attaquent dans le dos

MALLIA.pngJean-Gilles Malliarakis

L'Insolent cliquez ici

Les grands moyens de désinformation ont mis trois semaines à comprendre. La mort de Méric s'est produite à l'issue d'une "bagarre qui a mal tourné", comme le dit la radio d'État.

Tout le monde le savait deux jours après le drame. Le virage décisif fut apporté par le juge d'instruction s'écartant, au bout de 48 heures, des réquisitions du parquet. La bande vidéo de la RATP circule depuis hier sur tous les sites internet. Elle accable l'agresseur qui n'est pas celui qu'on pense. Le héros attaque dans le dos.

Elle était, évidemment, disponible pour les enquêteurs dès le début. L'autopsie permettait rapidement aussi d'écarter l'hypothèse du coup de poing américain. "Le Monde", toujours aussi fielleux, sème le doute dans l'esprit de ses lecteurs : "rien ne prouve pas" l'utilisation de cette arme. Et pourquoi pas celle d'une kalashnikov ?

Tout le reste n'est que fariboles, légendes de journalistes, rumeurs, insignifiants remugles.

Il faut donc s'interroger enfin sur les bandes en train de s'organiser impunément: les prétendus "antifascistes" venus de la survivance de l'Allemagne de l'est d'abord ; les islamistes radicaux également. On va bientôt découvrir qu'ils bénéficient de la même latitude de développement, n'étant interpellés que beaucoup trop tard, c'est-à-dire seulement quand les réseaux terroristes se sont mis en place et ont commencé à frapper.

Tous ces gens disposent d'une extrême latitude d'entraînement, de recrutement, de prédication, encouragés par l'idéologie médiatique. Ils sont supposés appartenir au camp des "bons". Le camp des "mauvais" peut leur servir de cibles. Les grandes consciences applaudissent, même si les supposés héros frappent et attaquent dans le dos.

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mardi, 25 juin 2013

EXCLUSIF. "Clément Méric voulait vraiment en découdre"

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Le Point cliquez ici

Toutes les vérités ne sont pas forcément bonnes à dire. Et celle-ci déplaira sans doute à quelques bonnes consciences politiques qui ont parlé trop vite... Les vraies raisons de la bagarre qui a abouti jeudi 6 juin au soir à la mort de Clément Méric sont en train de s'éclaircir. Et elles sont fort différentes de la version complaisamment servie les jours suivant le drame. Dans ce dossier, les témoignages concordent. D'après le vigile qui a assisté à la montée en puissance de l'altercation, "Clément Méric voulait vraiment en découdre". "Il semblait vraiment haïr ces gens", affirme-t-il sur le procès-verbal de son audition.

Ce témoin-clé raconte qu'avant que les choses ne dégénèrent il est allé voir le groupe des "antifafs", alors clairement identifiés comme étant les auteurs des troubles, afin de leur demander de quitter les lieux. Les militants de Ras ont fait semblant d'obtempérer, mais se sont repliés au rez-de-chaussée à droite du magasin Fred Perry, dans lequel Alexandre, Samuel et Katia faisaient leurs courses. Se sentant menacés, ceux-ci ont téléphoné à Esteban, qui les a rejoints, suivi d'une cinquième personne arrivée au moment où débutait la bagarre.

Toujours selon des témoignages concordants, les skins quittent le magasin en sortant à gauche afin de ne pas croiser les militants d'extrême gauche. Malheureusement, la bouche de métro est située sur la droite. Et c'est près d'elle que les jeunes gens se croisent et que tout dégénère. Selon nos informations, un certain Samuel (un des skins mis en examen) reçoit le premier coup. Les mêmes témoignages affirment : "Les mecs d'extrême droite ont cherché à échapper à l'affrontement, n'ont fait que se défendre, puis ont répliqué."

Un mystérieux site avait publié leurs photos

Ce matin, RTL révèle que la police judiciaire parisienne a mis la main sur les premières images de la rixe. La vidéo, tournée par une caméra de surveillance de la RATP dans une rue située au niveau de la station Havre-Caumartin, serait accablante pour le militant d'extrême gauche. D'après la radio, on y verrait notamment Clément Méric se précipiter vers son meurtrier présumé, le skinhead Esteban Morillo, alors de dos, pour lui porter un coup. Ce dernier se serait alors retourné avant de frapper son agresseur en plein visage. Un coup donné qui a laissé au sol Clément Méric, inconscient. Avec un poing américain ? L'enquête ne l'a pas encore démontré.

Le Point.fr est en mesure de révéler que les enquêteurs disposent de captures d'écran de sites internet "anti-fachos", notamment Vigilance Végane Antifasciste, très proche de la mouvance de Clément Méric, sur lesquels apparaissent dès le 2 décembre 2012 les photos d'Esteban et sa compagne Katia, au-dessus desquels figure la mention "Besoin d'identification please". Méric et ses amis les avaient-ils reconnus ? Ce qui changerait considérablement la donne... À noter que ces photos étaient encore accessibles sur le site mardi 25 juin à 11 heures !

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samedi, 22 juin 2013

Occupation allemande : RIVAROL et Le Pen définitivement condamnés

P1020998.JPGJérôme Bourbon

Directeur de Rivarol

Ce 19JUIN, juste au moment où nous nous apprêtions à boucler ce numéro, nous apprenons la décision de la cour de cassation dans l’affaire dite de l’occupation allemande en France. Le pourvoi que nous avions formé à la suite de notre condamnation en appel, le 16février 2012, a été rejeté. La sentence devient donc définitive et immédiatement exécutoire. Camille Galic, alors directrice de la publication de RIVAROL, est condamnée à 5000euros d’amende pour contestation de crimes contre l’humanité, votre serviteur à 2000 euros pour complicité de contestation et Jean-Marie Le Pen à trois mois de prison avec sursis et 10 000 euros d’amende pour complicité de contestation de crimes contre l’humanité pour avoir tenu les propos suivants en conclusion d’une grande interview de deux pages qui avait paru dans notre hebdomadaire le 7janvier 2005 il y a donc près de dix ans et où il était surtout question de l’actualité nationale et internationale : « En France, du moins, l’occupation allemande n’a pas été particulièrement inhumaine, même s’il y eut des bavures, inévitables dans un pays de 550 000 kilomètres carrés […]. Il y a donc une insupportable chape de plomb qui pèse depuis des décennies sur tous ces sujets et qui, comme vous le dites, va en effet être réactivée cette année […]. Mais le plus insupportable à mes yeux, c’est l’injustice de la justice […]. Ce n’est pas seulement de l’Union européenne et du mondialisme que nous devons délivrer notre pays, c’est aussi des mensonges sur son histoire, mensonges protégés par des mesures d’exception. D’où notre volonté constante d’abroger toutes les lois liberticides, Pleven, Gayssot, Lellouche, Perben II. Car un pays et un peuple ne peuvent rester ou devenir libres s’ils n’ont pas le droit à la vérité dans tous les domaines. Et cela quoi qu’il en coûte. »

Nous devrons verser en tout près de 30 000 euros (200 000 francs !) car à ces amendes s’ajoutent d’exorbitants dommages et intérêts à verser au MRAP (5000 euros), à la Ligue des droits de l’homme (5000 euros également) et à la Fédération nationale des déportés, internés, résistants et patriotes (FNDIRP) à laquelle sont pareillement alloués 5000 euros. Et comme si cela ne suffisait pas nous devons insérer à nos frais une publication judiciaire dans Le Figaro à hauteur également de 5000 euros. C’est à une véritable mise à mort qu’ont voulu procéder les magistrats car ils savent parfaitement que RIVAROL est une modeste publication, certes très ancienne mais fort pauvre. Nous ne recevons en effet aucune aide de l’Etat, contrairement à notre confrère Présent qui bénéficie chaque année de subsides non négligeables en tant que quotidien à faibles ressources publicitaires. Nous ne vivons que de nos lecteurs.

En pleine affaire Méric, alors que les mouvements et organes de presse de droite nationale et radicale sont particulièrement dans le collimateur des pouvoirs publics et de Thémis, alors même que la police nous harcèle pour obtenir de nous le fichier des abonnés dans deux communes des Hauts-de-Seine à la suite de la découverte dans des boîtes aux lettres de Saint-Cloud et de Garches d’exemplaires de RIVAROL maculés de graffitis antisémites (sans doute l’œuvre de provocateurs !) — nous n’obtempérerons évidemment pas à cette demande illégitime—, la confirmation définitive de notre condamnation, même si elle ne constitue pas une énorme surprise, est incontestablement un coup dur. Nous ne nous faisions certes aucune illusion puisque déjà la question prioritaire de constitutionnalité (QPC) que nous avions déposée à deux reprises, en 2010 et de nouveau en 2012, sur l’inconstitutionnalité de la loi Gayssot avait été rejetée d’un revers de la main par les juges de casse, mais ce n’est pas parce que l’on s’attend à une injustice qu’elle est acceptable.

Face aux sommes colossales que nous allons devoir verser si nous voulons que RIVAROL continue à vivre, nous en appelons sans fausse honte à votre générosité. Prévoyant cette issue judiciaire nous avons déjà pris des mesures d’économie mais qui risquent hélas de ne pas suffire sans l’aide de nos fidèles lecteurs. Que ceux qui le peuvent fassent des dons, même modestes, même symboliques, s’ils ne sont pas en mesure de faire davantage, à l’Association des Amis de RIVAROL. Et surtout que tous ceux qui achètent RIVAROL au numéro et qui peuvent s’abonner le fassent massivement. C’est la meilleure réponse que l’on peut apporter à la persécution judiciaire qui nous est infligée. Tenant compte de l’avis de la majorité des rivaroliens, à partir de la rentrée, début septembre, nous paraîtrons définitivement le jeudi, et non plus comme actuellement le vendredi. C’est une occasion de renouer avec une vieille tradition puisque l’hebdomadaire de l’opposition nationale et européenne a paru tous les jeudis de sa création en janvier 1951 jusqu’en août 1982. C’est surtout un encouragement donné à nos lecteurs au numéro pour qu’ils s’abonnent. En avançant d’un jour la parution hebdomadaire de RIVAROL, nous permettrons aux lecteurs de recevoir le journal avant la fin de la semaine, même en cas de retard dans la distribution du courrier par La Poste. Avec une parution le vendredi, certains lecteurs, en province, se plaignaient de ne recevoir souvent le journal que le samedi voire le lundi. Cela ne devrait plus être le cas avec une parution anticipée de vingt-quatre heures. C’est donc l’occasion, en fonction de vos moyens, de souscrire des abonnements de deux ans (194 euros), d’un an (104 euros), de six mois (64 euros) ou de trois mois (36 euros) dans les jours et les semaines qui viennent. Nous savons pouvoir compter sur votre munificence. RIVAROL qui est un miracle permanent depuis plus de 62 ans et plus de trois mille semaines ne peut pas disparaître.

Abonnez-vous à Rivarol cliquez ici

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vendredi, 21 juin 2013

Les amis cagoulés de Clément Méric

a069d384dea5a245079c87294bb310e9_S.jpgLionel Humbert

Minute cliquez ici

« C’est le premier meurtre de ce type en temps de paix depuis les années trente. » Dixit Jean-Christophe Cambadélis, secrétaire national du Parti socialiste et instigateur, depuis le début des années 1990, de la stratégie du « harcèlement démocratique » contre le Front national. Le rapport ? C’est que Clément Méric croyait certainement qu’il y a une menace fasciste en France. Ses potes « antifas » aussi. Et ceux-là sont prêts à tout. Comme Valls. Qui sait très bien que c’est faux.

La semaine dernière, à l’école communale de la rue Caumartin, un gamin a dit à un autre : « Viens te battre si t’es un homme. » Mais justement, lui n’était pas encore un homme. C’é­tait un gamin, à peine plus âgé que, à ses débuts, Alain Souchon, quand il avait dix ans : « Si tu m’crois pas hé / T’ar ta gueule à la récré. » Seulement l’autre, qui n’avait pas plus envie de se battre que ça, il l’a pris au mot. Et il lui a mis sur la gueule. Et le minot, qui n’avait pas dû voir Cent Mille Dollars au soleil, qui ne savait pas que « quand les types de 130 kg disent certaines choses, ceux de 60 kg les écoutent », il a pris un mé­chant coup et même plusieurs. Et il est mort.

Il n’y a eu ni assassinat, ni meurtre

La justice présentera les choses dans un autre style bien sûr, mais c’est à peu près comme cela que Clé­ment Méric est mort la semaine dernière rue Caumartin, en une ba­garre tragique qui aurait dû faire quel­ques lignes dans « Le Parisien » si, au soir du 5 juin, Alexis Corbière, secrétaire national du Parti de gau­che de Jean-Luc Mélenchon et conseiller de Paris, n’avait sonné l’a­lerte avec un communiqué : « L’horreur fasciste vient de tuer en plein Paris. » On remarquera que le mot de « fascisme » ayant déjà tellement servi qu’il ne fait plus peur, Alexis Corbière se doit de l’accompagner du mot « horreur » pour renforcer son propos.

On connaît la suite. Pendant près de vingt-quatre heures, on se serait cru dans l’après-Carpentras. Avec une mention toute particulière pour Manuel Valls qui, sur les pas d’A­lexis Corbière qui criait déjà « No pasaran » – en oubliant le très relatif succès que la formule avait eu en Es­pagne… –, déclarait, face caméra, sans rien savoir de ce qui s’était pas­sé : « Ce sont nos valeurs et le pacte républicain qui sont en cause. » Mazette. Il est temps, en effet, de graver la devise républicaine au fronton de toutes nos écoles communales… Et il parla d’« assassinat ».

Petit cours de droit. Un assassinat, c’est un « meurtre commis avec préméditation ». Un meurtre, c’est le fait de « donner volontairement la mort à autrui ». Dans le premier cas, on en­court la perpétuité ; dans le deuxiè­me, trente ans de placard. C’est simple à comprendre et c’est expliqué dans n’importe quel Code pé­nal en vente libre, y compris pour un ministre de l’Intérieur. Quand l’auteur des coups mortels a été ar­rêté, le parquet n’a même pas tenté de faire croire que ce fut un assassinat. Il a tenté le meurtre mais il n’a pas de quoi le prouver. Et, très logiquement, Esteban a été mis en examen pour « violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner ». Au matin de la déclaration du ministre engagé dans une guerre que ses parents avaient perdue, « L’Express » titrait, faisant référence à son ambition : « Valls prêt à tout ».

Un « d’une manière ou d’une autre » qui fait peur

Vraiment à tout. Y compris à justifier la violence quand elle est em­ployée pour de « bonnes raisons », des raisons… morales. Refusant le parallèle fait par certains, dont Jean-François Copé, le président de l’UMP, entre groupes radicaux de droite et de gauche, Manuel Valls a déclaré jeudi soir sur France 2 : « Ce sont des groupes d’extrême droite […] Il ne faut pas confondre ce discours avec ceux qui d’une manière ou d’une autre [souligné par nos soins, Ndlr] luttent contre le fascisme. »

Voilà des paroles que l’on aurait peut-être davantage attendues de la part d’Harlem Désir ou Jean-Christophe Cambadélis, qui n’ont certainement pas oublié que, dans les années 1980, les « redskins » ou « chasseurs de fafs » (dont les amis de Clément Méric se veulent héritiers) assuraient les basses œuvres pour leurs officines respectives, du service d’ordre au collage d’affi­ches…

De ces aînés, les militants ac­tuels ont surtout connu la reconver­sion musicale et commerciale à travers le groupe punk Brigada Flores Magon, qui n’hésitait pas à afficher sur ses pochettes de disques des couteaux à cran d’arrêt, des poings américains (qui ne seraient donc pas l’a­panage des « skins » de droite) ou des fusils à pompe ! Une imagerie tout ce qu’il y a de plus pacifique en somme, que l’on retrouve largement sur les affiches, t-shirts ou graffitis des désormais fameux « antifas » dont la France découvre peu à peu l’existence et le visage (si tant est qu’ils veuillent bien abaisser leurs foulards ou enlever leurs cagoules).

Quand le ministre de l’Intérieur lui-même semble légitimer l’emploi de méthodes musclées, à travers cet étonnant « d’une manière ou d’une autre », pour lutter contre les « fascistes », il y a de quoi s’inquiéter. Espérons que les « antifascis­tes » cagoulés ne se sentent pas dès lors renforcés dans leur impunité…

Et si on reparlait des Ultras du PSG ?

Car les « antifas » sont habitués à cette impunité, nourrie de compli­cités politiques ou médiatiques di­verses. Léo Kékéménis est la parfaite illustration de cet état d’esprit. Alors qu’il est l’une des pièces maitresses du groupe Action Antifasciste Paris-Banlieue, auquel Clément Méric appartenait, et a été au cœur de nombreux accrochages, Léo n’a pas hésité à faire la tournée des plateaux de télé pour dénoncer la violence et en appeler à la lutte ci­toyenne contre les vilains tout de noir vêtus.

Or, si l’on va sur internet visiter son blog de photos, on se rend comp­te à travers les clichés dans lesquels il a immortalisé ses camarades que ceux-ci n’ont rien d’enfants de chœur. Membre du groupe de rock Time Bombs, ancien membre des Tigris Mystic de la tribune Auteuil du Parc des Princes, Léo Kékéménis n’est pas un simple ami éploré mais bien un leader dans « l’action de rue » et « la chasse ».


Lors des émeutes du Trocadéro, de nombreux journalistes et respon­sables ont pointé du doigt les ultras, notamment issus de la tribune cosmopolite Auteuil (la rivale de la tribune patriote Boulogne).
Désigner des supporters excités était plus facile que de reconnaître qu’une nouvelle fois c’était la ra­caille qui venait piller et saccager… Mais mystérieusement, alors que le groupe que fréquentait Clément Méric est largement composé d’anciens d’Auteuil, personne n’a jugé cette fois-ci utile de le mentionner.

Pourtant, le mode de fonctionnement, l’esthétique (notamment ves­timentaire) ou le type d’atta­ques et d’affrontements de l’Action Antifasciste Paris-Banlieue relèvent de cet univers footballistique. Le groupe (ou plutôt la bande, le phénomène est davantage de cet or­dre) est composé pour moitié au moins d’éléments du « PUC » pour Paris United Colors, regroupement informel et bigarré – comme son nom l’indique – d’anciens ultras des différentes formations du virage Auteuil. Des anciens supporters dont certains ont été mêlés de près à l’assassinat de Yann Lorence (supporter patriote du kop de Boulogne, tué – lynché au sol précisément – lors d’une bagarre avec les ultras d’Auteuil), ce qui manifestement n’a pas suffi à les vacciner de la violence.
Après la dissolution de certains groupes ultras d’Auteuil puis leur re­jet par les instances du PSG, certains activistes d’extrême gauche ont vu une occasion inespérée de ré­cupérer des jeunes plus durs en leur faisant miroiter de nouvelles confrontations avec les ennemis de Boulogne.

Jean-Marc Rouillan : « Organisez-vous, préparez-vous »

Car l’Action Antifasciste Paris-Banlieue prône « l’action directe » et ne s’en cache pas. Sauf quand il s’agit de montrer le doux visage de sages étudiants en lutte contre la bê­te immonde dans les colonnes com­plices de « Libération » ou sur les plateaux tout aussi complices de Canal +. Jean-Marc Rouillan n’a d’ailleurs pas mis longtemps a ré­agir. Dès le 5 juin, l’ancien chef de l’organisation terroriste Action di­recte, que les socialistes ont eu la bon­ne idée de mettre en liberté con­ditionnelle, a tweeté : « La guerre est déclarée. » Puis : « Organisez-vous, préparez-vous. » Puis encore : « Non, je n’appelle ni au sang ni à la vengeance. Curieuse conception de la résistance qu’a la bourgeoisie fasciste. » Sur son profil Twitter, sur fond commu­nard, il est écrit : « La lutte armée est nécessaire à un moment du processus révolutionnaire. »

Les manifestations se voulant des hommages au jeune Méric au­ront permis une petite démonstration du potentiel démocratique des « antifas » à travers notamment des agressions de journalistes ou d’élus du PS. Fais du bien à Bertrand… Mais c’est bien entendu à l’extrême droite (et on aura compris que pour eux le concept recouvre un spectre politique très large !) que les cagoulés réservent leurs meilleurs coups, excusez le jeu de mots, com­me lorsque Clément Méric était allé manifester contre La Manif pour tous…

S’agissant des fameuses ventes privées de marques britanniques pri­sées par les deux camps ad­verses (les « antifas » se situant dans un troublant mimétisme face à leurs en­nemis jurés), celles-ci ont donné lieu l’an dernier à des attaques quasi quotidiennes contre des militants patriotes ou présumés tels ve­nus faire leurs emplettes. Les agresseurs d’extrême gauche traînaient en bande dans le quartier, à la re­cherche de proies isolées. Notons que ce « harcèlement démocratique » n’a pas manqué de faire des victi­mes innocentes, notamment une jeu­ne fille victime d’une confusion qui s’est vue ouvrir le crâne à coups de raquette de tennis…

Mais les attaques ne se limitent pas aux séances de shopping : plusieurs bars du XVe arrondissement ou du quartier Saint-Michel réputés accueillir une clientèle droitière ont fait l’objet de descentes, ainsi que des événements culturels ou po­litiques comme la traditionnelle mar­che aux flambeaux en hommage à Sainte-Geneviève ou encore un rassemblement contre la mainmise du Qatar organisé par les identitai­res. Toujours à la dispersion, toujours en surnombre ; ils ont retenu les leçons de la « guérilla ».

Reçu par Jean-Jacques Bourdin, Mélenchon évoquait au milieu de hurlements une horrible agression ayant été perpétrée par des milices fascistes le 1er mai dernier. Or une vidéo de ce qui se révèle être une bagarre est disponible sur internet. Qu’y voit-on ? Deux groupes de nom­bre égal se faisant face et s’affrontant violemment à travers plusieurs assauts, dans le style prisé par les hooligans. Et ce n’est pas pour rien, car au sein de ces deux ban­des politiques (très à droite et très à gauche vous l’aurez compris), les anciens agités du Parc des Princes – version Auteuil ou Boulogne selon la couleur politique ou la couleur tout court – forment le gros des troupes et en tout cas les plus belliqueux.

« Tout antifascisme n’était que du théâtre »

S’il est vrai que le groupe « antifa » finit par battre en retraite (bien que plusieurs de ses militants soient armés, ce qui ne semble pas être le cas en face), on est tout de même loin de la lâche agression de doux pacifistes que Mélenchon a ten­té de nous vendre.

On comprend la logique : si l’on gagne il s’agit d’une victoire prolétaire et populaire, si l’on perd il s’a­git d’une ignoble agression.

On aurait pu espérer que le dra­me du 5 juin marque un frein, ou au moins une pause, dans ces violences récurrentes. On ne semble pas en prendre le chemin. En plus de l’attitude pour le moins virulente constatée lors des différents rassemblements dédiés au jeune hom­me décédé, plusieurs attaques – d’in­tensités variées – ont été me­nées.

A Nantes, la librairie catholique Dobrée a été saccagée. A Lille, trois jeunes militants de l’UNI (proches aussi de Génération identitaire) ont été reconnus et attaqués par un grou­pe d’une trentaine de gauchis­tes revenant d’un hommage à Clément Méric. A Tours, 200 « antifas » se sont rassemblés devant le commerce de Pierre-Louis Mériguet, responsable du mouvement patriote local Vox Populi, aux cris de « Mé­riguet on va te tuer ! »

L’« antifascisme » a été réactivé, en France, sous couvert de faire bar­rage au FN, pour permettre aux socialistes de conserver le pouvoir. Ce n’était que du « théâtre ». L’aveu en a été fait en septembre 2007 par Lionel Jospin sur France Culture, dans l’émission d’Alain Finkielkraut : « Pendant toutes les années du mitterrandisme, nous n’avons jamais été face à une menace fasciste. Donc tout antifascisme n’était que du théâtre. Nous avons été face à un parti, le Front national, qui était un parti d’extrême droite, un parti populiste, aussi, à sa façon, mais nous n’avons jamais été dans une situation de menace fasciste et même pas face à un parti fasciste. »
La responsabilité de tous ceux qui se sont efforcés de faire avaler le con­traire, à des jeunes qui, souvent de bonne foi, y ont cru, est immense.

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Vendredi, c'est le jour de Rivarol...

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mercredi, 19 juin 2013

Retraites : haro sur ces dindons des classes moyennes !

Christian Vanneste

Boulevard Voltaire

Revoilà la question des retraites. Le gouvernement rose-vert va donc devoir procéder à une réforme qu’il n’avait nullement annoncée. Il va justifier ce revirement par la crise et le creusement de déficits que son prédécesseur n’avait pas anticipé.

Mais le devin plombier hollandais possède une boîte à outils magique d’où il va sortir un assortiment de solutions conformes à la devise Shadok : « Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? » Il y aura d’abord, comme d’habitude, des prélèvements supplémentaires, comme une hausse du taux de CSG pour les retraités aisés. Entre seuils et plafonds qui multiplient opacité et inégalité, les retraités qui auront le mieux préparé leur départ de la vie active seront conviés à faire preuve de solidarité.

De même, pour ceux qui, par le nombre de leurs enfants, auront contribué aux cotisations d’aujourd’hui. Pourra s’y ajouter une hausse des cotisations salariales et patronales. Côté dépenses, les pensions, notamment pour les retraités aisés, augmenteront moins que l’inflation. Si l’âge légal du départ en retraite ne sera pas modifié, la durée de cotisation pourra croître jusqu’à 44 ans pour la génération née en 1966 qui ne prendra sa retraite qu’en 2028.

Ce bouquet n’embaume pas, il enfume : il évite les sujets qui fâchent, notamment ceux qui peuvent mettre le gouvernement en difficulté, comme l’âge légal, qui ne sera plus qu’un vestige symbolique, une borne témoin que l’immense majorité des travailleurs du privé observera en passant.

De même, il n’est nullement question d’aligner le calcul des pensions du public sur celles du privé ni de mettre fin aux privilèges exorbitants de certains régimes spéciaux. La hausse des cotisations comme la baisse des prestations porteront atteinte à la compétitivité et à la consommation, voire à l’épargne, c’est-à-dire aux moteurs de l’économie pour combler les conséquences de la mauvaise gestion publique : dans un pays structurellement socialiste, quoi d’étonnant ?

Les dindons des classes moyennes iront rejoindre les pigeons et les poussins dans la grande foule des plumés. Comment espérer faire partager le goût de l’effort et de la réussite à un peuple auquel on répète chaque jour que la richesse ou même l’aisance sont des péchés qu’il faut se faire pardonner ?

La solution courageuse existe. Elle a été mise en œuvre en Suède avec les « comptes notionnels »… en 1998 ! Elle repose sur l’égalité, sur la liberté (tiens ?) et sur la simplicité. Il n’y a plus de statut de la fonction publique. Tous les Suédois peuvent prendre leur retraite à 61 ans. Ils font alors leur choix en fonction de leur situation familiale et professionnelle, en se basant sur le nombre de points accumulés durant leurs années de travail. Ces points varient selon deux indices : le salaire moyen et l’espérance de vie. C’est un système fondé très majoritairement sur la répartition (7/8) qui permet à chacun de prendre sa décision en toute transparence et à l’ensemble de s’adapter automatiquement à la conjoncture.

Lors du débat de 2010, c’est la solution que j’avais préconisée, en y ajoutant une variable, celle d’un troisième indice, selon l’espérance de vie par profession, afin de tenir compte de la pénibilité.

La Suède, pays où les sociaux-démocrates et les libéraux ont alterné au pouvoir, a eu le courage de procéder à une réforme structurelle décisive, soutenue par les uns comme par les autres. Que la France n’en soit pas capable et que nos gouvernants demandent toujours plus aux Français sans savoir où ils vont n’est ni glorieux ni rassurant.

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Pour les Chinois, la France, c’est le Far West !

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Eric Miné

Boulevard Voltaire

En France, les Chinois ne sont pas à la fête. Agressions dès leur sortie de Roissy par des bandes qui les délestent de leurs espèces, vols en plein Paris de leurs achats par des gangs de « mendiants-quêteurs », carottages de monnaie au Louvre, rackets aux distributeurs de billets, le tout sur fond d’attaques de cars où des émeutiers fracturent les coffres à bagages devant les caméras : bienvenue au nouveau Far West !

Et quand ils viennent pour leurs études, c’est maintenant la peur au ventre qu’ils se barricaderont dans leurs logements, dans la crainte de les voir finir en autant de forts Alamo.

Car, dernier en date, l’assaut d’ivrognes en goguette contre la résidence bordelaise d’étudiants chinois en œnologie risque de ne pas passer inaperçu à Pékin. Parmi les victimes molestées se trouve en effet la fille d’un haut dignitaire, gravement blessée au visage. Ça sent le roussi pour nos Airbus. Manuel Valls ne s’y est pas trompé, qui s’est empressé de hurler à une odieuse provocation raciste.

C’est que, dans le pays des droits de l’homme, devant les parfums de luxe et autres châteaux de la Loire, le « vivre ensemble » harmonieux tient de l’incantation promotionnelle auprès d’un empire du Milieu si peu regardant chez nous de ses devises sonnantes et trébuchantes.

Faudrait voir quand même à ce que nos chers mécènes bridés ne se dessillent trop sur le sujet. Sait-on jamais, ils pourraient délaisser les devantures clinquantes de nos boutiques.

Le Comité Colbert, prestigieuse association des industries du luxe, s’est ému du risque, réclamant vertement au préfet de police de bien vouloir s’occuper un peu de la sécurité de la capitale. Car l’attractivité de notre beau pays pour les riches touristes venus d’Asie s’attiédit bel et bien. On leur flanquerait même franchement la pétoche.

Peut-être aussi pourrait-on toucher un mot de notre diversité apaisée du côté de Belleville. Là où la communauté asiatique manifeste régulièrement contre l’insécurité. Il est vrai qu’elle compte quelques inconscients qui croient encore qu’on peut se promener impunément dans Paris une chaîne en or autour du cou et du liquide en poche.

Des cibles toutes désignées, donc, qui se rebellent régulièrement avec force banderoles et drapeaux français, croyant sans doute – les benêts -, que le rôle d’un État et de sa police est d’assurer la paix et la sûreté des honnêtes gens contre les voyous. Police qui, à défaut d’arrêter les agresseurs, se charge tout aussi assidûment de rappeler aux contestataires, interpellations à l’appui, les règles de la bienséance républicaine. Ces Asiatiques n’osent-ils pas dénoncer dans leurs défilés la « délinquance afro-maghrébine » qui les viserait ?

Vocabulaire à tout le moins archaïque pour stigmatiser une jeunesse socialement défavorisée qui se livre à quelques incivilités compensatrices. Mais, apparemment, tout le monde n’est pas rompu aux subtilités de la novlangue française. Médias et communiqués officiels des États concernés non plus d’ailleurs, qui ne se privent pas, eux, d’appeler un chat un chat dans leurs mises en garde réitérées à leurs ressortissants en mal de romantisme hexagonal.

Mais là, ça va être plus compliqué de leur donner des cours d’expression. C’est que, des rodéos quotidiens avec ce qu’il est convenu d’appeler des « jeunes », aux voyageurs de RER détroussés façon attaques de diligences, jusqu’aux feux de camp rituels de nos cités qu’aucun calumet de la paix ne vient jamais éteindre, ça commence à roustir sérieusement aux abords de la tour Eiffel. Et les signaux de fumée se voient maintenant jusqu’à Pékin.

 

POUR INFORMATION :

Koh Chang la victoire perdue.jpgEric Miné dédicacera ses livres samedi prochain 22 juin, de 15 h à 18 h, à la Librairie Notre-Dame de France, 21 rue Monge à Paris (Ve).

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mardi, 18 juin 2013

Une hypocrisie mise à nu...

imagesCAW3YUPC.jpgGeorges Feltin-Tracol

Europe Maxima

Le 26 avril 2013 s’est tenu à Paris le premier procès en correctionnel du racisme anti-blanc. Fait surprenant et révélateur, l’officine vertueuse subventionnée nommée L.I.C.R.A. y participait au titre de partie civile. Certes, l’accusé était d’origine européenne tout comme la victime. Mais c’était une nouveauté judiciaire : on a assisté à l’effondrement d’une muraille sémantique. Il y a à peine dix ans, mentionner le racisme anti-blanc relevait de la seule « extrêêêêêêêêêêêêêêême droite », ce qui disqualifiait le propos tant auprès des médiats officiels que des politiciens et des juges. À l’encontre de toute réalité, ils s’évertuaient à dénier toute existence manifeste à ce racisme-là. Suite à la campagne novatrice des Identitaires, reprise ensuite par le Front national, puis entérinée pour des raisons uniquement électoralistes par le politicard Jean-François Copé dans le cadre d’une soi-disant « droite décomplexée » (magnifique attrape-nigaud pour droitards sans cervelle), le racisme anti-blanc a enfin accédé à une visibilité certaine. Cette expression désigne dorénavant des faits vécus depuis plus d’un quart de siècle par des Français de racines européennes qui souffrent de ce phénomène odieux.

Maison d’éditions du Bloc Identitaire basée à Nice, IDées vient de publier un ouvrage de Gérald Pichon consacré à ce racisme toujours minoré par le cloaque politico-médiatique. Il est préfacé par Pierre Sautarel, l’animateur principal du site français le plus consulté de l’Hexagone, Fdesouche, malgré l’omerta médiatique permanente et les incessantes tracasseries judiciaires, administratives et policières.

Le livre de Gérald Pichon ne peut que soulever la colère du lecteur envers les sycophantes et les négateurs d’une atroce réalité. Étayé par une solide bibliographie d’ouvrages, d’articles, de discours, de sites, de thèses universitaires, d’études, de rapports officiels, de films, de reportages et même d’émissions de radio, ce travail démontre qu’en 2013 le racisme le plus présent dans l’Hexagone ne s’en prend pas aux juifs, aux musulmans, aux Noirs, aux Roms et encore moins aux homosexuels, mais aux Européens, aux Blancs, aux chrétiens !

Par un appareil de notes précises et référencées, Pichon apporte des preuves irréfutables, ce qui l’empêchera d’être invité aux émissions traquenards de Ruquier ou de Lapix. Le « Moulag » médiatique préfère pour la circonstance se taire sur la banalisation éhontée de ce racisme glorifié via des feuilletons, des téléfilms et des reportages. Le sujet est d’ailleurs sensible. Hormis l’A.G.R.I.F. de Bernard Antony qui porte en justice les actes anti-blancs et/ou anti-chrétiens sans grand succès du fait de la partialité de juges militants au très progressiste Syndicat de la magistrature, seuls deux résistants reconnus au conformisme intellectuel, Hervé Ryssen en 2011 et Henri de Fersan en 1997, avaient osé s’en emparer.

Dans l’Hexagone en 2013, les autorités occultent, minimisent ou déforment cette triste situation de crainte que sa médiatisation n’engendre de vives tensions communautaires. Les autochtones de France sont, chez eux, les principales victimes d’une haine tenace de la part de populations étrangères immigrées. Attisée pour des raisons différentes par les médiats et les politicards, cette leucophobie garantit non seulement l’impunité aux agresseurs, mais stigmatise et écarte les pauvres victimes blanches. Peu à peu s’instille alors dans les esprits formatés l’impression qu’être agressé par une « Chance pour la France » résulte d’un comportement guère repentant de l’agressé ! Car, bien entendu, les Français d’origine européenne, ces « Gaulois », ces « Fromages blancs », sont responsables de leurs malheurs. En ne montrant pas qu’ils condamnent l’action de leurs ancêtres, en n’acceptant pas la « discrimination positive », en refusant la « mixité sociale » par des déménagements vers des espaces péri-urbains, ils mécontentent les catégories allogènes chéries des médiats du Système.

Pour l’hyper-classe mondialiste favorable à la « diversité » faussée, outre le fait de terroriser les Blancs à l’école, dans l’entreprise, dans les loisirs, dans la rue, au cinéma, il importe d’effacer toute appartenance enracinée, gage de pluralité ethnique humaine, au profit d’ensembles consuméristes fictifs, mouvants et éphémères. Pour mieux retirer aux Européens toute conscience communautaire résolue, on pénalise désormais sous le sceau frelaté de l’anti-racisme la moindre intention discriminante. C’est de l’ethnomasochisme. Ainsi Pichon remarque-t-il que « dans la musique, pour chaque style allant du métal à la pop, en passant par la variété, les chanteurs et les groupes ne sont jugés par les maisons de disque, non pas selon leur talent, mais selon leur degré de soumission à l’idéologie de l’oligarchie financière qui les produit. Quel que soit le style musical, on retrouve la même idéologie francophobe avec parfois quelques nuances suivant les publics visés. Aux Gaulois, on donne pour modèle le chanteur de rock à midinettes, à l’instar d’un Raphaël (Bleu Blanc Rouge), d’un Saez (Fils de France) ou d’un Bénabar (Politiquement correct), qui n’ont de cesse de dénigrer leur pays et les Français de souche (p. 66) ».

Les exemples abondent dans des domaines variés. Le fameux – et fumeux – « Vivre ensemble », véritable tarte à la crème d’une société multiraciale et – contrairement à ce que l’on pense – monoculturelle, car régie par l’idéologie marchande, est en fait invivable. Cette bêtise favorise plutôt les tensions raciales. Cela permet de cette manière l’avènement d’une idéologie sécuritaire défendue par un État-Moloch des libertés publiques et privées. Et puis, comment un « vivre ensemble » collectif est-il viable au moment où tant de couples se déchirent et divorcent ?

L’essai de Gérald Pichon relate donc « une haine qui n’existe pas » officiellement. Stimulées par l’acuité croissante de la crise, les prochaines années risquent d’accroître les rivalités interethniques en Europe et en France. Pour des Européens dénués de toute solidarité communautaire s’imposera inévitablement l’impérieuse nécessité d’abandonner l’individualisme et de renouer avec une impersonnalité active. Avec le fol espoir de reconstituer une communauté conquérante, la communauté des Albo-Européens !

• Gérald Pichon, Sale Blanc ! Chronique d’une haine qui n’existe pas, préface de Pierre Sautarel, IDées, Nice, 2013, 106 p., 12 €.

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lundi, 17 juin 2013

Violences politiques : Hollande, le pompier pyromane ?

84a5cc8eb0681dcfca827324151dccaa.jpegEric Miné

Boulevard Voltaire cliquez ici

Ce qu’il y a de bien, dans la France hollandaise, c’est que, si le show y est aussi permanent qu’avec celle de Sarkozy, au moins est-il moins flashy, plus sépia.

Photos jaunies et bande-son des années 30, Jean-Marc Ayrault, verbe haut et poigne à l’avenant, nous refait le coup des ligues factieuses et de la République en péril. Dissolution des JNR, de Troisième voie et, pourquoi pas, de l’extrême droite tout entière : le « fascisme » n’a plus qu’à numéroter ses abattis.

Car, chacun le sait, la violence, c’est le fascisme, cela nous est rabâché à longueur d’antenne dans le grand spectacle médiatico-politique qui tient lieu aujourd’hui d’actualités. La mort du jeune Méric ne pouvait pas mieux tomber pour ces virtuoses de l’illusionnisme.

Qu’importe qu’aujourd’hui l’on sache que, dans la rixe fatale invoquée, il n’y eut pas intention de tuer. Au contraire de la tentative d’assassinat au cutter d’un militaire à La Défense par un islamiste – acte prémédité, celui-là -, et autrement plus préoccupant pour la société française.

Qu’importe aussi que la vraie violence s’exerce au quotidien contre nos compatriotes, telle la mort, le 4 juin dernier à Châlons-en-Champagne, d’un élève ingénieur tué à coups de poing pour une cigarette. Meurtre odieux et si tristement banal de nos jours, complètement passé sous silence.

Peu chaut d’ailleurs à ces arbitres de la pensée correcte que vous croyiez ou non l’antienne, plus la ficelle sera grosse, mieux ce sera. Car, derrière ces grotesques tartarinades, se profile l’insidieuse manipulation politicienne amorcée avec le « mariage pour tous ».

Bien loin de l’apaisement revendiqué, la multiplication des conflits, la stratégie de la tension permanente, les dérapages brutaux, voilà la combine pour « tailler en pièces », non pas un fascisme opportunément ressuscité, mais la droite parlementaire. Cette prétendue droite à l’inculture politique crasse, qui s’empêtre à la moindre insinuation de collusion avec le Diable, que l’on fait lever comme un seul homme à la mémoire d’un gauchiste et que l’on traite impunément d’indigne dès qu’elle bredouille quelque parenté de l’extrême gauche avec la violence. Dans notre système bipolaire, c’est cette droite qui est perçue comme l’obstacle à la réélection de Hollande en 2017.

Le mariage gay avait dégagé la voie ; l’instrumentalisation de l’antifascisme et bientôt le vote des étrangers achèveront l’implosion de l’UMP au profit du Front national. Tel est le calcul de nos finauds prestidigitateurs.

Ce ne sont pas les JNR, que monsieur Ayrault veut dissoudre, c’est l’UMP.

Et au vu des piteuses circonvolutions de cette formation, la martingale a tout d’une pioche gagnante. Face au FN en 2017, les élections seront verrouillées, pense-t-on. Mais si l’escamotage tournait au vinaigre ? À jouer avec le feu…

 

Koh Chang la victoire perdue.jpgEric Miné dédicacera ses livres samedi prochain 22 juin, de 15 h à 18 h, à la Librairie Notre-Dame de France, 21 rue Monge à Paris (Ve).

19:41 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 14 juin 2013

Vendredi, c'est le jour de Rivarol...

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3,50 €, chez votre marchand de journaux

03:52 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 10 juin 2013

L’extrême droite ne demande l’interdiction de personne...

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Nicolas Gauthier

Boulevard Voltaire cliquez ici

Mort dramatique du jeune Clément Méric oblige, voilà que le gouvernement nous ressort l’arlésienne de la dissolution des groupuscules d’extrême droite. On leur souhaite bien du plaisir, la majeure partie de ces derniers n’ayant aucune existence légale. Certains, tels Yves Thréard (patron du Figaro), évoquaient encore, ce dimanche sur RTL, la dissolution d’autres groupuscules, d’extrême gauche ceux-là, devant une Najat Vallaud-Belkacem, ministre des Droits des femmes et porte-parole du gouvernement, pas tout à fait à l’aise. À cause du parallèle – pour elle manifestement incongru ?

Alors, oui, dissoudre l’extrême droite et l’extrême gauche… Extrêmement crétin, surtout sachant que ces mouvements plus ou moins violents renaissent immanquablement sous d’autres enseignes. Le parallèle, ensuite, est des plus spécieux. On a toujours entendu l’extrême gauche exiger l’interdiction de l’extrême droite, mais jamais le contraire. Comme quoi la tolérance niche parfois là où on ne l’attend pas. C’est l’extrême gauche qui manifeste contre les réunions de l’extrême droite – voir le fameux meeting tenu par Ordre nouveau au palais des sports à Paris, le 21 juin 1973 – et pas l’inverse.

À l’époque, l’extrême droite est anticommuniste, à l’inverse de l’extrême gauche. On sait au moins qui soutenait les tyrans d’alors, qui niait la réalité du goulag. Quelques années plus tard, le Mouvement national-révolutionnaire de Jean-Gilles Malliarakis affine même le concept en ajoutant l’antiaméricanisme au combat anticommuniste d’origine. Bien vu. Et c’est là où le parallèle figaresque ne tient pas vraiment : l’extrême droite a toujours fait preuve de plus de lucidité politique que l’extrême gauche. Mieux : elle avait pour elle le culte de la déconne et ne s’est jamais vraiment prise au sérieux. Jack Marchal, figure historique du GUD et dessinateur de talent, mettait même en scène les travers de ses propres camarades dans Les rats noirs, BD proprement hilarante.

Chez les trotskistes de la LCR ou de l’OCI, une initiative équivalente aurait déclenché un procès politique pour se conclure en cassage de gueule. Et ne parlons même pas de ceux de Lutte ouvrière ou des maoïstes de la Gauche prolétarienne. Pauvres gars obligés de se taper du Grand Timonier et du Petit Léon à longueur de journée ; et gare à ceux qui avaient mal appris la leçon et oublié de réviser leurs devoirs.

Alors qu’en face, on lisait Marcel Aymé et Jacques Laurent, Michel Audiard et Antoine Blondin. Eh oui, les gars… le talent littéraire est à droite, surtout chez ces écrivains-là qui, à rebours d’un Jean-Paul Sartre, n’ont jamais exigé que tombent les têtes ! Au risque de peiner Najat Vallaud-Belkacem, on dira que si l’extrême gauche a la culture de la haine, l’extrême droite, elle, a toujours cultivé le mépris.

Ça a tout de même plus de gueule.

22:42 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Lettre ouverte d’un militant de Troisième Voie à Jean-Luc Mélenchon

bitmap-270x270.png« Tout le monde a sa place dans la société, mais toutes les idées n’y ont pas leur place. »

Jean-Luc Mélenchon.

J’aimerais vous rappeler, Monsieur Mélenchon, la célèbre phrase qu’un non moins célèbre philosophe formula : « Je pense, donc je suis. »

Si mes idées n’ont pas leur place dans la société alors, de facto, je n’y ai pas ma place. Car mes idées, mes pensées, et donc ma façon d’agir, font de moi ce que je suis.

Vous vous dites antifasciste, alors que vous voudriez que je m’intègre à cette société, tout en m’interdisant d’y penser ce que je pense. La liberté de penser ne vous intéresse que lorsqu’elle va dans votre sens. Ce mode de fonctionnement est digne d’une dictature fasciste.

Pour ma part, je resterai cohérent : je fais pipi sur votre tronche, et sur vos idées.

Cordialement,
Aurélien.

Source + Mélenchon cliquez là

12:18 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 07 juin 2013

Vendredi, c'est le jour de Rivarol...

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Chez votre marchand de journaux, 3,50 €

10:11 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Décès de Clément Méric : une insupportable hystérie politico-médiatique

ggghy.jpgThomas Joly

Secrétaire général du

Parti de la France cliquez ici

Depuis jeudi, on assiste au plus indécent et insupportable déchaînement médiatique depuis bien longtemps contre l'extrême-droite fantasmée, rappelant le parfum d'hystérie collective de l'entre-deux tours des élections présidentielles de 2002.

Politiciens du Système (du Front de Gauche au Front mariniste) et médias aux ordres participent à un lynchage absolument insupportable alors qu'il apparaît de plus en plus clairement, d'après des témoignages concordants, que Clément Méric, accompagné d'autres militants d'extrême-gauche, a sciemment provoqué et agressé un petit groupe de jeunes nationalistes venus faire des achats de vêtements. Ceux-ci n'ont fait que se défendre contre leurs agresseurs et le jeune « antifasciste » a fait une chute malheureuse qui lui a été fatale.

Naturellement, toute la classe politique, au comble de l'excitation et l'écume aux lèvres, réclame l'interdiction de groupes nationalistes, fait des amalgames avec les manifestations contre le mariage gay. Bref le Système tente, en exploitant un fait divers et en travestissant la réalité des faits, de régler ses comptes avec cette vague de protestation populaire qui a pris une ampleur considérable ces derniers mois et qui échappe à son emprise.

Meric-masque.jpgClément Méric est mort de son idéologie dite « antifasciste », de son engagement violent et haineux contre des opposants politiques, de cette extrême-gauche qui l'a embrigadé et poussé à l'affrontement plutôt qu'au débat d'idées.

A titre de comparaison, en début de semaine, François Noguier, jeune étudiant français sans histoire, décédait quasiment dans les mêmes conditions : une lourde chute après un coup de poing asséné par un Nord-Africain alcoolisé. Outre une indifférence médiatique habituelle lorsqu'il s'agit du meurtre d'un Français par un allogène, on notera également qu'aucune grande conscience ne s'est élevée pour demander l'arrêt de la colonisation migratoire de notre pays...

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Si je dois avoir de la compassion ce sera d'abord à l'égard de ce jeune étudiant mais également à l'égard des jeunes nationalistes incarcérés et livrés à une vindicte politique, médiatique, policière, judiciaire et populaire absolument écoeurante et inique.

09:58 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |