mercredi, 22 janvier 2014
La défiance des Français à l'égard des politiques s'accentue
Source BFM TV cliquez là
Un sondage Ipsos-Steria, publié mardi, fait apparaître une forte défiance de la société française envers ses élites. Mais aussi un fort sentiment de crainte quant au futur proche.
S’il en était besoin, des statistiques sont venus confirmer, ce mardi, une atmosphère palpable dans l’hexagone. Selon une enquête réalisée pour Le Monde, France Inter, la Fondation Jean Jaurès et le Cevipof, la société française est marquée par un fort sentiment de défiance, et largement tentée par un repli sur elle-même.
En 2014, seuls 15% des sondés jugent en effet que le pays n’est pas en déclin, même si 65% ne le jugent pas "irréversible". Sans surprise, le chômage est au cœur des préoccupations des Français (56%). Mais le sentiment de ras-le-bol fiscal cliquez là - qui ne semble pas être l’apanage d’un parti en particulier - gagne du terrain. Suivent le pouvoir d’achat et l’avenir des retraites.
78% des sondés croient aux "valeurs du passé"
Dans ce contexte, le repli sur soi prévaut. 66% des sondés pensent, en effet, qu’il y a "trop d’étrangers en France", et seulement 37% jugent l’Islam "compatible avec les valeurs de la société française." Au total, 78% vantent les mérites des "valeurs du passé".
Les institutions de la République, elles, sont largement malmenées. 72% des sondés n’ont pas confiance dans l’Assemblée nationale, 73% dans le Sénat. En général, ils sont 78% à ne pas croire en la classe politique. Enfin, les médias n’ont pas non plus la cote, puisque 77% des Français ne leur font pas confiance.
Enquête réalisée du 8 au 14 janvier par internet auprès d'un échantillon de 1.005 personnes.
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Théorie du genre et lavage de cerveau
J'ai tout compris cliquez ici
Mme Vallaud-Belkacem, chargée du ”Droit des femmes” au gouvernement, c’est-à-dire de la propagande féministe (1), entend faire enseigner la ”théorie du genre” à l’école et ce, dès le plus jeune âge. Selon un rapport qui lui a été remis par le lobby des dingos – le même qui a pondu le rapport à Matignon sur la fin de l’”intégration” et de l’identité française–, il s’agit de « lutter contre les stéréotypes filles-garçons, un enjeu d’égalité et de mixité dès l’enfance ». Les stéréotypes, vous l’avez compris, c’est de penser que les filles sont différentes des garçons, et réciproquement.
M. Olivier Vial, porte-parole de l’Observatoire de la théorie du genre, déclarait, confirmant le caractère soft-totalitaire de l’initiative : « c’est juste un début de propagande douce : on va essayer par une série de micro incitations insidieuses de guider le comportement des gens et de remplacer peu à peu un modèle de société par un autre ». L’entreprise a les mêmes racines idéologiques que le communisme totalitaire : construire l’homme nouveau utopique contre la nature. Il importe d’éradiquer en force les différences hommes/femmes dans l’esprit des enfants. Masculiniser les filles, féminiser les garçons, construire l’être androgyne.
Tout un arsenal est prévu pour lessiver le cerveau des jeunes enfants, afin, selon le rapport précité, de « permettre aux jeunes d’envisager un parcours atypique au regard de leur sexe ». Comprendre : faire entrer dans la tête des jeunes garçons qu’il est parfaitement normal et positif de faire guili-guili avec un autre garçon. Car derrière cette initiative gouvernementale, il y a en embuscade le lobby homo masculin qui veut faire des adeptes et recruter sa chair fraiche.
Le rapport jargonnant entend, contre les « stéréotypes de genre », procéder à un « contre-stéréotypage ». Sous-entendu : les filles et les garçons sont exactement les mêmes, la physiologie sexuelle (la nature) ne compte pas, seul importe le choix sexuel. Toujours cet idéalisme consubstantiel à l’égalitarisme de gauche. On passe rapidement dans la case ”crétinisme” quand on entre dans le contenu des programmes destinés aux enfants.
Par exemple, pour démontrer que les différences d’habillement entre les sexes n’ont aucune signification, un manuel montre le portrait officiel de Louis XIV en soulignant qu’il portait des talons hauts. Donc, n’est-ce pas ? il se costumait en femme. Le Roi-Soleil était un travesti, c’est bien connu. On stigmatise le fait « d’acheter un poupon à sa petite fille et non un camion » et cet horrible préjugé de ne pas offrir de poupées aux petits garçons, et tout à l’avenant. De même le rapport préconise de ne plus parler d’ « école maternelle » mais d’ « école pré-élémentaire » car le terme ”maternel” fait référence aux soins apportés aux petits enfants par les mères, alors que, bien entendu, les papas peuvent parfaitement prodiguer leurs soins aux nourrissons. (2) Les allaiter, aussi ?
On remarquera de ce fait, dans cette théorie du genre, qui vise la déconstruction de la famille, la haine de la maternité, supposée oppressive pour les femmes. Il faut corréler cela aux positions pro-abortives extrémistes et à l’homophilie défendues par l’idéologie au pouvoir. L’objectif implicite (nihiliste et suicidaire) est la destruction à terme du modèle du couple et de la famille de souche en France, en installant la confusion des rôles sexuels, le brouillage de la féminité/maternité, et l’apologie de la stérilité. Cette idéologie dissimule par ailleurs un profond esprit égotique et irresponsable.
Mais on ne peut que constater avec effroi que le moyen utilisé par le pouvoir socialiste est le formatage des mentalités dès la petite enfance. Dans l’irrespect absolu de l’innocence de l’enfant. C’est bien là la logique soft-totalitaire de M. Vincent Peillon qui considère l’Éducation nationale non pas comme une institution d’instruction (telle que la voulait Jules Ferry et la vraie République) mais de propagande et de rabotage de la liberté de penser. Peu importe pour ces bourgeois trotskystes et idéologues fanatiques que le peuple devienne inculte pourvu qu’il pense bien.
Tout cela étant dit, ce qui est réjouissant et rassurant, c’est que cette politique ”éducative” inspirée de la théorie du genre (gender theory, d’origine gauchiste américaine des années 60 et 70, vieille lune) échouera lamentablement, comme échoue toute utopie de gauche.
L’essence de la gauche, c’est la révolte contre la nature humaine en particulier et le refus de l’ordre naturel en général. Les sexes n’existent pas et la nature est un ”stéréotype”, n’est-ce pas ? Les enfants, qu’on veut abrutir par l’enseignement de la théorie du genre, ne marcheront pas dans la combine. Leur nature est plus forte (et plus intelligente) que les radotages des fonctionnaires payés pour les décérébrer en leur racontant des inepties.
Notes
(1) L’idéologie féministe officielle (cf. à ce propos mon essai Sexe et Dévoiement, Éditions du Lore) a celle paradoxale particularité qu’elle est anti-féminine. Elle ne vise pas à défendre les femmes mais à les masculiniser, à les dépouiller de leur féminité. D’autre part, l’insistance sur la ”parité” est un miroir aux alouettes qui cache un silence tonitruant sur l’oppression envers les femmes pratiqué par l’islam, intouchable.
(2) Le ”politiquement correct” s’attache d’abord au langage. Vouloir truquer les mots en espérant changer les choses. C’est un procédé qui s’inspire des méthodes des régimes totalitaires du XXe siècle.
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mardi, 21 janvier 2014
NKM et SDF : la clope de la honte
Odile BONNIVARD
Porte-parole de l’association
Solidarité Des Français cliquez ici
Faussaire de la solidarité, escroc de l’image, tapineuse électoraliste et vous voulez nous gouverner ?…..
Madame, remerciez Sarko qui, en ne tenant pas sa promesse du “zéro SDF” de 2006, vous aura tout de même permis de faire une chouette photo bien communicante.
Vous qui avez récemment souhaité le retour d’arrêtés anti-mendicité à Paris, maintenant, vous posez comme un mannequin devant des SDF, en faisant mine d’apprécier leur compagnie. Vous êtes est à deux doigts de vous prostituer pour quémander un bulletin de vote. Pourquoi cette envie subite de s’intéresser aux SDF ?
Je n’ai pas de photo de vous en train de distribuer une soupe populaire, mais cela peut s’arranger.
Ainsi je vous invite avec toute l’équipe de Solidarité Des Français, à venir partager la Galette des Rois ce lundi 6 janvier à Montparnasse.
Il faudra surement rester plus que le temps d’une cigarette, surement toute une soirée dans la rue, il faudra aussi claquer la bise à des gens mal rasés, il faudra partager le même menu, écouter les histoires de mauvais goût, il faudra distribuer les chaussures, leur faire essayer aussi, souvent se mettre à quatre pattes sur le trottoir pour vérifier les tailles, il faudra endurer les bruits et les odeurs, il faudra entonner les refrains des chansons paillardes et partager au même gobelet le cubi de rouge un peu râpeux, apporté par les habitués.
Vous avez voulu épater le monde avec une cigarette : c’est raté, vous avez été ridicule.
Si vous êtes avec nous lundi soir à Montparnasse, alors, oui, vous nous épaterez pour de bon, c’est promis.
NDLR : Nathalhie Tucausestrop-Mauricette, selon nos informations, n'a pas répondu à l'invitation d'Odile Bonnivard.
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Ils voient des quenelles partout !
Caroline Artus
Boulevard Voltaire cliquez ici
L’été 2013 a vu dans son ciel un petit avion survoler les plages de la côte atlantique, traînant dans son sillage une banderole sur laquelle les estivants pouvaient lire « Hollande démission ».
Renseignements pris, les Français ont fait la connaissance de David van Hemelryck, polytechnicien farceur, militant de la Manif pour tous, grand défenseur de la liberté d’expression, qui entendait avec son ULM manifester son mécontentement de la politique menée dans notre pays par son président socialiste.
Le 14 juillet 2013, de farceur, notre trublion devenait téméraire puisque au passage de François Hollande sur les Champs-Élysées, il cria « Hollande dictateur » : cela lui valut une arrestation immédiate au motif de « pas de motif ». Et, toujours sans motif, notre pilote d’aéronef écopa de 6 jours d’ITT causés par un retournement violent des doigts les uns après les autres, ayant pour conséquence un pouce cassé. Car il est entendu qu’entre les phalanges peuvent se nicher quelque arme blanche ou – pis encore – une kalachnikov miniaturisée redoutablement efficace.
Polytechnicien insoumis et jeune homme obstiné, rêvant d’instituer un référendum révocatoire, en d’autres termes un référendum pour la destitution du président de la République, David van Hemelryck réitérait quelques mois plus tard, cette fois au volant d’une petite voiture, « Hollande-démission.fr » inscrit en gros sur ses flancs. Il fut à nouveau interpellé en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, les policiers — en l’an III de présidence socialiste — n’étant jamais aussi véloces que pour arrêter un citoyen quand ils n’ont pas de motif. Et de ne pas les arrêter quand il y en a pléthore. Mais là est une autre histoire.
Décidément défenseur zélé de la démocratie, David le facétieux ne comptait pas s’arrêter en si mauvais chemin puisqu’il envisageait, ce dimanche, de participer avec son petit dirigeable à une manifestation parisienne. Bien mal lui en prit : il fut illico interpellé. « Hollande démission.fr » étant ostensiblement inscrit sur le zeppelin, on était tenté de croire que là était la source de tous ses déboires.
Pas du tout !
Les forces de l’ordre, très soucieuses de faire régner l’ordre public, ont vu dans ce dirigeable de 6 mètres de long et de 1 mètre de diamètre… une quenelle ! Et par les temps qui courent, les quenelles n’ont pas vraiment la cote… David van Hemelryck a donc été placé en garde à vue pour… incitation à la haine raciale ! C’est triste, c’est pathétique, c’est socialiste.
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lundi, 20 janvier 2014
Taddei trop libre pour notre médiacratie. Va-t-on bientôt interner les dissidents ?
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Il ne suffit pas de proclamer que l’on est une démocratie de liberté pour que cela soit vrai. Encore faut-il le prouver. En France le régime socialiste ne cesse d’ailleurs de prouver le contraire. Si le président est social-démocrate pour l’économie, pour les médias il est plutôt sur une ligne social – soviétique.
En effet un régime peut- il se considérer comme démocratique s’il n’accepte pas la dissidence. Hors en France, on étouffe aujourd’hui les voix de la dissidence comme c’était le cas hier en URSS. Les atteintes à la liberté de contestation seraient-elles à géométries géographiques et historiques variables. Ceux qui pensent mal sont exclus aujourd’hui en France avant peut-être d’être enfermés et ceux qui, au nom de la liberté d’expression, leurs donnaient encore la parole se voient interdits ou écartés.
Voici un commentaire paru dans la presse algérienne: « Ainsi, après les gens du spectacle, c'est autour des journalistes d'être réduits au silence pour faire plaisir à un certain lobby connu des médias. Et le journaliste qui en fait les frais c'est Frédéric Taddeï, l'un des rares journalistes français qui osait encore inviter à la télévision des intellectuels controversés qui n'ont pas leur langue dans leur poche. Il vient d'être informé que son émission « Ce soir où jamais », qui passe sur France 2, allait être remplacée par un talk-show. » Le régime algérien n’a certes aucune leçon à donner mais sa presse est objectivement étonnamment libre.
La réalité est incontestable.
France 2 aurait décidé de remplacer Frédéric Taddeï, le vendredi soir, par Alessandra Sublet. Alors que le journaliste a réalisé son record d'audience, la semaine dernière avec près de 1,3 million de téléspectateurs pour Ce soir ou jamais, la chaîne a décidé de remplacer son émission de deuxième partie de soirée, par le talk-show que prépare depuis plusieurs semaines, Alessandra Sublet. C'est un coup dur pour le journaliste que la chaîne avait déjà transféré de France 3 à France 2, et qui devrait désormais se retrouver le vendredi à minuit, à moins que France 2 ne lui trouve une autre tranche horaire.
C'est le site spécialisé du PAF (Paysage audiovisuel français), de Jean-Marc Morandini, qui a révélé l'info. Taddeï avait été attaqué récemment par un autre journaliste, Patrick Cohen, bête noire de Dieudonné, qui lui avait reproché d'inviter des «cerveaux malades»… On se rapproche tout de même de la notion soviétique d’internement psychiatrique des dissidents non ? Ah camp des camps de rééducations ?
Taddeï a toujours répondu à ses détracteurs que son émission faisait partie d'un espace public payé par tous et où tout le monde avait droit à la parole du moment que les invités respectaient la loi française (quoi qu’on en pense par ailleurs) et ne s'adonnaient pas à la diffamation. Cette déontologie avait été saluée par le journal Le Monde… c’était avant l’affaire Dieudonné bien sûr qui a permis par l'hystérisation de faire reculer comme jamais la liberté.
Ce soir ou jamais, avait donc récemment doublé son audience lors de ce débat consacré à l’affaire Dieudonné. A la dernière minute, Frédéric Taddeï avait fait le choix d’inviter le sulfureux pour un livre qu’il va bientôt publier sur le sujet. Et pourtant son livre n’est pas favorable à la constellation Dieudonné. Contrairement à ses deux anciens compères, Nabe est un vrai solitaire. Il est aujourd'hui rejeté ET par le "système" ET par la "dissidence" du net. "Aujourd'hui après l'exploitation de la Shoah, il y a l'exploitation du 11 septembre" résume ainsi Nabe. Mais il y a la formule choc de cette interview : " Ce n'est pas Valls qui a le pouvoir, il a juste l'autorité. Le VRAI pouvoir (sous-entendu : sur les esprits), c'est Dieudonné ".
Peu de temps après l’émission, Emilie Frèche a de nouveau attaqué l’animateur dans une interview à La Règle du jeu dans laquelle elle déclarait qu’elle avait eu “le sentiment que Frédéric Taddeï disait aux racistes qu’ils auraient toujours droit de cité dans cette émission”. De la même manière, le chroniqueur Bruno Roger-Petit s’insurgeait sur le site du Plus (Nouvel Observateur) du ”spectacle sidérant offert” par Frédéric Taddeï. Selon lui, l’animateur de France 2 a posé Marc-Edouard Nabe en “autorité morale suprême” et a permis de le “blanchir en une intervention”. Les chiens de garde de l’antiracisme érigé en système d’un ordre moral autoritaire vont avoir sa peau.
Contacté par Le HuffPost, France 2 confirme “travailler avec Alessandra Sublet”, mais précise que “Frédéric Taddeï n’est pas déprogrammé et reste pour l’instant là où il est”. Même si la question de savoir si Ce soir (ou jamais!) est maintenue le vendredi soir à 22H30 reste en suspens. “Ils sont en plein travail, rien n’est rejeté, rien n’est affirmé. Mais Frédéric Taddeï sera bien sûr sur la chaîne”, a laconiquement répondu la direction de l’antenne.
Certains jubilent déjà mais les Français eux peuvent-ils se réjouir de cette chasse aux dissidents et à la volonté de rétrécir l’espace de liberté là où c’est possible. Il y avait déjà une police de la pensée il y a maintenant les inquisiteurs de la liberté d’expression. Notre médiacratie est totalitaire bien sur et aux mains de « gardiens des dogmes », la nouvelle preuve par Frédéric Taddeï.
Courage confrère.
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samedi, 18 janvier 2014
La Nouvelle Revue d'Histoire : la poudrière des Balkans...
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jeudi, 16 janvier 2014
JSS News continue de balancer des données personnelles sur le net dans l’indifférence totale
C’est une mésaventure qui aurait bien pu mal se terminer dont a été victime le fondateur du site Numerama.com : Guillaume Champeau. Il a vu sa photo et son adresse mail diffusée avec sa profession sur le site de JSS News. Il aurait fait une quenelle dans l’ancien quartier juif de Vaison la Romaine devant la plaque « la juiverie »…sauf que ce n’est pas lui, peut-être un homonyme ? Heureusement, pour lui, ça n’a eu aucune incidence mais pour les autres ?
Cela fait depuis novembre que le fondateur du site JSS News : Jonathan-Simon Sellem balance des données personnelles en révélant l’identité de personnes effectuant la quenelle. Mieux, il appelle à donner des informations, ce que j’appelle de la délation pure et simple. Bref, il mène sa petite vendetta personnelle. C’est devenu son travail à plein-temps. Adresse mail mais aussi scan du permis de conduire se sont retrouvés sur le net en libre consultation. Mieux, JSS News contacte les employeurs pour réclamer leur licenciement comme s’il pouvait se croire tout permis. Il ne s’agit pas de délation car, à leurs yeux, ils sont coupables donc ils sont dans leur droit. Jonathan-Simon Sellem assure qu’il ne cible que les prioritaires soit 1500 sur 8500 tout en assurant que tous les quenelliers seront identifiés. D’ailleurs, certains, qui ont été dénoncés, faisaient juste une quenelle devant un supermarché ou une banque. Comprenons qu’il agit seul et qu’il n’entend pas passer par la voie de la justice qu’il trouve trop lente. Bien sûr, il se dédouane de tout acte de violence que pourrait commettre la LDJ pour se venger. Il n’est pas responsable. Trop facile !
Le cas de ce journaliste, qui ne peut même pas porter plainte car le site est basé en Israël, montre toutes les dérives de cette « vendetta » personnelle sans aucun cadre légal. La police se serait d’abord assurée que ce soit la bonne personne avant d’agir. Cette traque, dont nous avions déjà parlé, est en place depuis novembre et continue. Si le député Meyer Habib, qui veut faire adopter une loi pour pénaliser la quenelle, n’est pas d’accord avec ses méthodes, on n’entend aucun politique sur ce sujet qui demanderait d’agir d’urgence. Les médias se font plutôt silencieux. Or de tels agissements sont graves car elles pourraient avoir de lourdes conséquences sur les gens. On est dans un état de droit et non de la loi de la jungle. Demain n’importe qui pourra-t-il donc se permettre de balancer des données personnelles de personne qu’il considèrera comme coupable ? Imaginez ce que cela donnerait. Il y a une justice et ce n’est pas pour rien. Cela pourrait même créer du trouble à l’ordre public mais chut…Valls est moins pressé d’agir. Il n’y a pas une justice JSS News et une justice française. Assistera-t-on à des scènes de lynchage ? Pourquoi aucun politique n’agit ? Attendent-ils qu’un drame se produise ? Ces méthodes sont révulsantes et sont loin de servir la communauté juive. Elles doivent cesser le plus vite possible.
JSS News a présenté ses excuses au journaliste mais assure que c’est sa première erreur soit une marge d’erreur de 0,50%…comme s’il fallait se donner bonne conscience alors que c’est totalement illégal. Cela n’empêchera pas le site de continuer qui assure que cela ne se reproduira pas mais qui peut l’assurer ? Jonathan-Simon Sellem assure aussi avoir le soutien des époux Klarsfeld mais ceux-ci n’ont pas confirmé. On attend toujours une condamnation de ces actes graves et illégaux de la part de la classe politique !
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mercredi, 15 janvier 2014
LES SONDAGES DE TOUS LES REJETS. La défiance générale n’épargne plus personne
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Il parait qu’il n’y a pas de Système . Pour les Français il y en a un et ils le rejettent totalement. Les journalistes et leurs amis politiciens ont beau s’agiter, le rejet monte. On fait tout pour qu’il ne débouche pas sur des transgressions de tabous. L’affaire Dieudonné en est une illustration.
Comment ne pas remarquer, alors que la presse avait salué la victoire de Valls et de sa stratégie d’homme fort de la république et de présidentiable acceptable de la gauche et à la droite, qu’il perd 7 points. Ce n’est peut-être pas une quenelle, mais c’est une sacré gamelle. Les Français n’ont pas apprécié l’utilisation d’une censure d’exception pour défendre la dignité et les libertés. La défiance est générale avec une déprime qui frôle le rejet violent. Voila ce que confirme un sondage annuel signé « sciences po ».
Les Français n'ont plus confiance ni dans la droite, ni dans la gauche. Ils trouvent qu'il y a « trop d'immigrés » et pensent qu'il est devenu plus dur de réussir. Il y a globalement un virage identitaire avec un penchant toujours plus marqué pour les thèses europhobes et anti-immigrés.Le « dégoût » pour la politique habiterait désormais 31 % des Français (23 % en décembre 2010). 36 % éprouvent de la « méfiance » et 1 % seulement « du respect ».
Invitées à décrire leur état d'esprit, les 1 800 personnes interrogées parlent de « morosité » (34 %), de « lassitude » (31 %). D'ailleurs, 72 % estiment que les jeunes ont aujourd'hui moins de chances de réussir dans la société que leurs parents. Le désenchantement est criant à l'égard des responsables politiques. Pour 87 % des personnes interrogées, ils se préoccupent peu ou pas du tout de leur avis, une progression qui semble inexorable depuis quatre ans (on était à 81 % fin 2009). Seul le maire, dont la côte ne cesse de se redresser depuis 2010, inspire majoritairement confiance (61 %). L'institution présidentielle (31 %) et le gouvernement (25 %) continuent de voir la confiance en eux s'éroder. La côte de confiance des partis politiques (11 %), des médias (23 %) et des syndicats (28 %) étant au plus bas, rien de surprenant à ce que 69 % des sondés (15 points de plus qu'un an auparavant !) jugent que la démocratie française ne fonctionne pas bien. Ils ne sont plus que 35 % à penser que l'appartenance de la France à l'Union européenne est « une bonne chose ». Pour 32 %, c'est « une mauvaise chose » et pour 32 % encore, « une chose ni bonne ni mauvaise ».67 % pensent qu’il « y a trop d'immigrés en France », 18 points de plus qu'il y a quatre ans, tandis que 50 % (+ 18 points là aussi) affirment qu'il « faudrait rétablir la peine de mort ». Rien d'étonnant donc, à ce que le Front national représente l'opposition autant que l'UMP (36 % chacun).
La popularité de Marine Le Pen, cependant dans différentes enquêtes, connait une baisse. Les journalistes l’attribuent bien sûr à l’effet Dieudonné. Il faut peut-être chercher ailleurs. La volonté de dédiabolisation et d’intégration au Système en le dénonçant partiellement de l'intérieur connait sans doute ses limites. Le rejet n’épargne plus un parti qui ne veut plus être transgressif et qui finalement paye sa normalisation, un effet Dieudonné peut être mais pas celui que l’on croit.
Avec cinq points en moins par rapport à décembre chez TNS Sofres (25%) et Opinion Way (27%) et quatre points en moins chez Ipsos (29%), la baisse de la présidente du FN dans les sondages de janvier est importante, même si l'institut CSA lui accorde un score stable. Tous les instituts de sondage donnent en décembre ou janvier Marine Le Pen en baisse par rapport à septembre ou octobre : moins huit points chez TNS Sofres, Opinion Way et Ipsos, moins six points chez l'Ifop, moins quatre points pour CSA. Marine Le Pen a préféré sur Rtl évacuer le sujet: « Ce qui m'intéresse, c'est de regarder les sondages des municipales ».
Nous aussi.
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lundi, 13 janvier 2014
VACANCE DU POUVOIR A BANGUI. Une conséquence de la politique à court terme de la France
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Depuis dix mois à la tête de la République Centrafricaine, Michel Djotodia et son Premier ministre Nicolas Tiangaye ont démissionné ce vendredi 10 janvier 2014, à l'occasion du sommet de la CEEAC, l'organisation sous-régionale d'Afrique centrale, qui s'est tenu à Ndjamena au Tchad. En près de dix mois d'exercice du pouvoir, soutenu par Paris, Michel Djotodia n'aura pas réussi à convaincre. Sur le plan militaire, il avait échoué. Contrairement aux engagements oraux donnés à l'Ambassadeur de France à Bangui de mettre au pas ses propres combattants, les mercenaires fanatisés de la Seleka, qui l'ont amené au pouvoir, Djotodia n'est jamais parvenu à le faire. Le désarmement des combattants qu'il avait ordonné, est resté lettre morte. Le résultat, on le connait, ce furent les massacres sanguinaires, les charniers des ruelles de Bangui.
Sur le plan politique aussi, l'échec est tout aussi patent. Michel Djotodia n'a pas su donner de cohérence à son action. Il n'a créé ni mouvance, ni formation. Autrement dit, ce petit chef de guerre plutôt médiocre ne se sera pas transformé en leader politique. De plus, alors qu'il avait pris le pouvoir au nom des communautés du nord, victimes selon lui de marginalisation, il n'a rien entrepris durant son court mandat pour améliorer leur sort. Maintenant, les membres du Conseil national de la transition doivent se réunir à Bangui en session extraordinaire pour désigner le nouveau chef de l'exécutif. Ils doivent faire leur choix dans un délai de quinze jours. Entre temps, c'est le président du CNT (Conseil national de transition), Alexandre Ferdinand Nguendet qui assurera l'intérim à la direction de l'exécutif, comme le prévoit l'article 23 de la Charte de la Transition signée. Cet intérim présidentiel et gouvernemental donnera lieu forcément à de complexes tractations, car pour l'heure, aucune personnalité centrafricaine ne semble s'imposer. Et puis, on le sent bien, de toutes les façons, c'est Idriss Déby qui décidera du sort de la République Centrafricaine, la France hypocritement, se défendant d'ailleurs de vouloir s'immiscer dans ce choix !
En fait, on murmure dans les milieux bien informés que la visite au Tchad de Jean-Yves Le Drian au Président Idriss Déby juste avant qu'il ne passe le réveillon de la Saint-Sylvestre avec nos soldats, fut longue, plus de deux heures d'entretien et très ''mouvementée''. Idriss Déby, véritable homme fort de la région, a autorisé la France à utiliser Faya Largeau comme base aérienne pour ses mirages. C'était un impératif logistique pour l'armée française mais on craint qu'il ait été mal négocié. On apprenait en effet quelque temps après, que le Tchad enverrait huit cent de ses soldats incorporés dans la Misca au nord de la République Centrafricaine ! La France raisonnant sur le court terme est bien sûr satisfaite car pour elle, c'est un plus militairement et les soldats tchadiens seraient mieux acceptés au Nord du pays. Mais ce que ne voit pas la France ou plutôt ce qu'elle ne veut pas voir, c'est que cette présence militaire tchadienne au Nord de la RCA même s'il est sous le couvert d'une intervention internationale est une sorte d'invasion et surtout alimente le spectre d'une partition prochaine de la République centrafricaine. Parallèlement, la France a aussi accepté d'aider le régime tchadien à rapatrier ses 30 000 ressortissants présents en RCA.
La France compte-t-elle tout céder à Idriss Déby ?
Le Tchad va-t-il maintenant donner entièrement le La au Sahel ? Certes, notre approvisionnement en uranium est en jeu mais ne faudrait-il pas mieux dans les affaires sahéliennes et puisqu'on a, de fait, éliminé Khadafi, s'attaquer maintenant à la source du problème et donc finir en quelque sorte le travail avec Idriss Déby ? Le problème du Sahel est le problème Idriss Déby. Que la France défende ses intérêts, c'est son droit et son devoir mais elle devrait éviter de se couper du peuple centrafricain en soutenant ostensiblement un chef d'état devenu beaucoup trop entreprenant à l'extérieur.
La question de l'appui inconditionnel français au Tchad et à Idriss Déby, pyromane de la région mais aussi susceptible un jour d'être condamné au Tribunal de la Haye se posera. Cela fait partie des évidences historiques. Encore faudrait-il s'y préparer et pour cela penser ses engagements sur le long terme et non dans une politique délétère de l'urgence humanitaire ou d'une logistique militaire de bout de ficelles !
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dimanche, 12 janvier 2014
Phare éteint du marxisme criminel et gâteux, Mao a 120 ans
Patrick Gofman
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Né le 26 décembre 1893 dans une cambrousse du Hunan (sud de la Chine), il est mort dans son lit à 83 ans. Et il n’est pas près d’être jugé. Pourtant, « Mao, avec Staline et Hitler, est l’un des plus grands meurtriers de masse du XXe siècle », lit-on (enfin, le 17 juin 2011) dans Libération, quotidien maoïste en France aujourd’hui possédé par Édouard de Rothschild.
Le dictateur préféré – jusqu’à nos jours – d’Alain Badiou (Normale Sup), acclamé par un troupeau d’un million de gardes rouges à Pékin, ne parlait que le patois « xiang ». La plupart des Chinois ne comprenaient pas ses discours. Mais il valait mieux les applaudir frénétiquement. « Vü êtes tusse des kongs. » « Ouais ! Vive Mao ! »
Le Phare éblouissant de la Pensée n’est devenu marxiste qu’en 1920. Il avait 27 ans. Comme tout le PC chinois, il collabore avec le Kuomintang nationaliste jusqu’en 1926. Alors commence la Longue Fuite, pardon, Marche. Les atrocités et les assassinats en masse, révèle L’Histoire (octobre 2007), avaient déjà cours dès les années 1920 et 1930 dans toutes les bases rurales des communistes. Mao n’est pas à la traîne dans le Jiangxi : 700 000 morts, soit 20 % de la population, de 1931 à 1934.
« La Longue Marche » proprement dite : 100 000 paysans rouges traqués par un million de nationalistes, 7 000 survivants. Et j’ai encore chez moi les “Écrits militaires” du boucher ! J’envisage de les mettre au cabinet.
1941-45 : tandis que le Kuomintang fait face à l’invasion japonaise, le PCC engage son « mouvement de rectification », inspiré des purges staliniennes. 80 000 communistes rectifiés. La guerre civile reprend au départ des Japonais, et cette fois les Rouges ont le dessus. 1949 : Tchang Kaï-chek à Formose (Taïwan), Mao au balcon. La République populaire de Chine est née, le massacre redouble.
1957 : « Que cent fleurs s’épanouissent ». Et hop, les intellos naïfs qui l’ouvrent sont écrasés.
Le « Grand Bond en avant » (1958-1962), ce fut dans la tombe pour 30 (ou 43 ?) millions de Chinois. On y vit (par exemple) un « haut-fourneau » par village ! Chauffé avec les meubles de la population ! Et la Chine pop. exportait des céréales sous le nez de millions de mourants et d’anthropophages ! Pensez-vous que Mao s’en faisait ? Il vous répond lui-même, dans son style caractéristique : « Quand il n’y a pas assez de nourriture, des gens meurent de faim [exact]. Il vaut mieux laisser mourir la moitié de la population, afin que l’autre moitié puisse manger suffisamment. »
Après cet épisode, le Grand partouzeur (amateur de très jeunes filles) était un peu déconsidéré chez les cadres du PCC. Sa réaction ? « Feu sur le quartier général ! » C’est la « Grande Révolution culturelle » (1966-1969). « Révo. cul. dans la Chine pop. », l’appellent les mauvais élèves de Badiou. Encore des millions de morts, avec la destruction massive du patrimoine culturel.
Le criminel Mao reste pourtant une icône dans la Chine d’aujourd’hui, où le Parti communiste gère un capitalisme débridé, variante de sa doctrine imprévue par la compagnie Marx & Engels. Le laogai est beaucoup plus peuplé que le goulag, et ce n’est qu’en 2014 que l’on envisage son abolition. À l’autre bout de l’échelle sociale prétendue collectiviste, une petite-fille du dictateur, Kong Dongmei, est classée 242e fortune du pays.
Alors, « Mao, avec Staline et Hitler, […] l’un des plus grands meurtriers de masse du XXe siècle » ? Seulement ? On lui attribue pourtant 65 à 70 % des 100 millions de morts du communisme. Badiou a raison : Mao est le plus grand ! Et BHL fut un temps son prophète.
NDLR :
Patrick Gofman est l'auteur du livre Le trotskisme dégénéré édité aux Bouquins de Synthèse nationale.
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vendredi, 10 janvier 2014
« La Haine » du Nouvel Obs…
Arnaud Guyot-Jeannin
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Dieudonné les rend fous ! Depuis quinze jours, les paroles liberticides du président de la République François Hollande, les mots vengeurs du ministre de l’Intérieur Manuel Valls, les mantras policiers du ministre de la Culture Aurélie Filippetti et les expressions répressives d’une grande partie du système politico-médiatique ne permettent pas de bien comprendre l’humour engagé de Dieudonné et d’en débattre honnêtement.
Tous les jours, en regardant la télévision, en écoutant la radio et en lisant les journaux, la dictature du salut public post-moderne répète les mêmes antiennes hygiénistes, voire épuratrices : « comportement pathologique », « interdiction vitale », « éradication », etc. Guillaume Peltier, le Président de la Droite forte, au sein de l’UMP, a même exprimé son souhait que Dieudonné « aille en prison » (I>télé le mercredi 8 janvier 2014) en raison de ses factures impayées.
Hélas, la « sous-culture journalistique » – pour reprendre la formule de Jean-Edern Hallier – demeure prisonnière de ses malfaisances habituelles. En effet, le même jour que l’arrêt, Le Nouvel Observateur participait bêtement à la montée aux extrêmes. Sa une surréaliste est illustrée par les visages juxtaposés d’Alain Soral, Dieudonné et Éric Zemmour et porte le titre suivant : « La Haine ». Ces trois hommes publics, c’est bien connu, prêchent les mêmes idées, puisqu’elles sont haineuses. L’amalgame grossier ne fait pas peur à l’hebdomadaire ! Puis, à l’intérieur du numéro, figure le dossier central intitulé : « Voyage dans la France raciste », agrémenté d’une grande photo décrivant un pavillon et la porte fermée de son garage sur laquelle est dessinée une grande croix gammée rouge. L’ignorance crasse le dispute à un sectarisme navrant. Et à une mise en scène horrifique qui se veut représentative d’un climat post-nazi. Les SS sont de retour ! On finit par se demander qui appelle à la haine ? Les accusés ou les accusateurs ?
On en vient alors au premier article. Il est écrit par Doan Bui et Isabelle Monnin qui prouvent, sans s’en rendre compte, que le délire paranoïaque vient d’eux et non d’une fantasmatique galaxie raciste et antisémite : « [...] Ce sont bien eux, les néo-racistes, qui accaparent l’espace médiatique, formant une nébuleuse hétéroclite, unie dans une certitude, celle de lutter contre la bien-pensance. On y retrouve pêle-mêle des intellectuels obsédés par la perte d’identité française comme Alain Finkielkraut, des piliers du PAF comme Éric Zemmour, des politiciens pyromanes collectionnant les “dérapages” — Jean-François Copé et ses voleurs de pains au chocolat pendant le ramadan –, des humoristes comme Dieudonné, menacé d’interdiction, dont la “quenelle”, bras d’honneur au système (NDLR : ouf, à en croire la vulgate médiatique, on croyait qu’il s’agissait d’un “salut nazi inversé”), est reprise par une cohorte allant du Printemps français aux antisémites de tout bord, qui se nourrissent des saillies du polémiste Alain Soral. Prenez le tout, mettez le dans le chaudron d’Internet, ce grand forum où tout peut se dire, en un clic, le meilleur comme le pire, mélangez. Le brouet est amer, mais il faut le digérer : le racisme n’est plus “politiquement incorrect”, il est devenu la doxa des temps nouveaux. »
Jean-François Copé et Dieudonné seront heureux d’apprendre qu’ils appartiennent non seulement au même camp mal-pensant, mais qu’en outre ils sont évidemment racistes et antisémites, sans qu’aucune démonstration ne vienne étayer les assertions péjoratives de ces deux journalistes professionnels en raccourcis.
Doan Bui et Isabelle Monnin évoquent un mélange indigeste en mentionnant des personnes et des idées le plus souvent antagonistes. Ce sont donc les mélangistes, et non les mélangés, qui s’avèrent responsables du mélange. Et dire que Le Nouvel Observateur a longtemps été une référence dans l’histoire de la presse. Cela dit, l’affaire Dieudonné risque encore de susciter d’autres sottises et confusions intellectuelles. À quand un vrai débat ?
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LA HAINE CONTRE DIEUDONNE. De quoi est-elle le nom ?
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Pour Bertrand Delanoé, c’est un « criminel », pour le patron de L’Express, il faut « l’éradiquer ». C’est une sorte de virus, il relève de l’hygiène sociale. Il faut en tout cas interdire ses tournées, lui faire rendre gorge de ses dettes fiscales (on ne passe pas l’éponge comme pour L’Huma !). On est proche de l’appel au lynchage (il est vrai qu’il a le profil idéal). Il ne s’agit évidemment pas de Bertrand Cantat, mais de Dieudonné.
Ses spectacles sont pourtant privés (il sera même privé de spectacles bientôt…), il ne vit pas de subventions publiques, les murs du métro ne sont pas inondés d’affiches vantant ses sketches. Ses vidéos ne sont accessibles qu’à ceux qui les cherchent. Bref, on peut apprécier ou pas l’humour de Dieudonné, y mettre des guillemets, voire trouver ses spectacles du plus mauvais goût (on peut même s’en contrefiche !) mais si le mauvais goût devient un critère, que penser de la diffusion de nombre de clips de rap ou de pseudo-comiques sur les chaines publiques. Et Philippe Val, et Nicolas Bedos c’est le bon goût pour tous ?
Le fond des choses c’est que l’humour a toujours quelque chose à voir avec la critique sociale. Par définition, l’humour ne peut pas faire l’unanimité. ‘’Dieudo’’ fait dans l’« hénaurme », le provoquant et le transgressif. Et alors ? Il n’a tué personne. Ce n’est pas Breivik, Youssouf Fofana, Mohammed Merah.
De quoi la haine contre Dieudonné est-elle le nom ? De l’imposture de nos gouvernants. Car le monstrueux Fofana, de quoi était-il le fruit ? Du nihilisme de notre civilisation, du cynisme immigrationniste de nos dirigeants, de l’idéologie de l’argent-roi qu’ils ont tant contribué à répandre. Et l’atroce Merah, qui a tué des soldats français et des enfants français juifs ? Venait-il des « réseaux Dieudonné » ? Non. Il est le fruit de la politique de l’Occident. Il est le fruit du jeu américain en Afghanistan contre les Russes, puis des deux guerres contre l’Irak, puis de l’intervention française en Libye qui a fait sauter Kadhafi, barrière contre le terrorisme d’Al-Qaïda, il est le fruit de notre action belliciste visant à alimenter la guerre civile en Syrie, il est le fruit de notre destruction des frontières et des identités. Et les jeunes dépouillant morts et blessés à Brétigny sur Orge lors de l’accident ferroviaire ? Ils étaient inspirés par Dieudonné ? Non, là aussi, ils étaient le fruit de notre nihilisme, de l’inconscience de nos gouvernants, de leur court-termisme, de leur mépris de ce que, quand on bouscule l’équilibre toujours fragile des civilisations, on déclenche des catastrophes en chaîne.
L’ « affaire » Dieudonné relève d’une stratégie de nos gouvernants : banaliser la vraie violence en créant un écran de fumée. Un de plus.
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HAPPY HOUR AU BOULOT. Le management trendy, c’est la nouvelle tendance
Michel Lhomme
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Les deux thèmes du concours commun de sciences-po 2012-2013 ont porté sur la culture et le travail. Du travail en France, il n’y en a plus. Aux Etats-Unis, il se fait rare mais il continue de consumer les jours. Depuis quelque temps, de nombreuses entreprises américaines organisent au bureau leur Happy Hour. Plus besoin ou plus question d’aller au café ou dans les bars du quartier. C’est le nouveau must du management trendy : éviter que les gens sortent et donc organiser des apéritifs, le vendredi soir, pour faire se rencontrer les employés des diverses branches de l’entreprise.
Le tonneau de bière est ainsi devenu la nouvelle machine à café américaine. C’est le cas dans la grande agence de publicité Arnold Worldwide de Boston. Les employés se rassemblent autour d’une machine à bière pression quand ils ont terminé leurs rendez-vous clients. Les employés sont heureux et conversent entre eux, les chefs se félicitent qu’ils restent encore tardivement dans l’immeuble. Toujours aux Etats-Unis, beaucoup d’entreprises offrent maintenant des menus « rapides » au déjeuner. Là encore, les secrétaires ne sortent plus et restent devant leur ordinateur en mangeant. Ces petits arrangements ne sont pas sans retour sur investissement. Les directeurs de ressources humaines ont constaté que, du coup, les employés ne rechignent plus à faire des heures supplémentaires non payées ! Ainsi, un peu partout aux Etats-Unis se développent des machines à glace, à bière pression et même à liqueurs fortes dans les sociétés commerciales.
Les managers affirment que cette solution offre de nombreux avantages. Elle aiderait à fomenter le talent dans les entreprises innovantes, à connecter les employés entre eux et surtout elle évite que les gens ne pensent qu’à partir et à quitter le bureau. La barrière entre le travail et la vie privée se réduit ainsi considérablement. Il n’y a en somme pour le capitalisme qu’une seule voie : l’associabilité, l’anomie sociale soit par la marginalisation et le chômage de masse soit par le travail envahissant, travail les jours fériés, le dimanche et maintenant même pour les sorties du soir.
Personne aux Etats-Unis n’a relevé que l’alcool au travail peut aussi entraîner le départ au volant d’employés ivres ou même des sautes d’humeur violente dans les bureaux. Seul jusqu’alors, l’aspect convivial a été relevé. Pourtant, dans un pays aussi religieux que les Etats-Unis se pose aussi l’exclusion dans ces réunions improvisées d’alcoolémie des membres des sectes évangéliques qui interdisent toute consommation d’alcool.
Boire au travail n’est pas nouveau mais jusqu’alors cette activité n’était pas organisée par l’employeur. Au Japon, on trouve aussi très souvent toute une entreprise en réunion dans les bars à saké. Ce qui est nouveau c’est l’organisation ergonomique, sur le lieu de travail de la sortie boisson. Célébrer un Happy Hour au bureau, c’est transposer une activité de loisir dans l’espace professionnel. A New York, autre exemple dans le secteur des médias, Thrillist Media Group offre à ses employés de la bière pression après leur travail. Le fondateur de l’entreprise, Ben Lerer, dans un entretien à la télévision américaine affirme : « Mes employés sont des adultes. Je trouve bien qu’ils boivent une bière au boulot comme ça ils restent ici, ne quittent pas l’immeuble, ils travaillent plus et en même temps sont heureux ! ». Au journaliste qui lui demande ce qui se passerait si un employé avait un peu trop forcé sur la chope, Ben Lerer répond : « Ah c’est simple, je lui demanderai simplement de rentrer à la maison ! »
Ce phénomène « boire au boulot » est apparu aux Etats-Unis depuis deux ans. Il a commencé à se propager aussi en Amérique latine, au Brésil et en Argentine. On l’a constaté de visu cet été dans une boîte innovante du Pérou. Sur la page en langue anglaise de l’entreprise de conservation des données Dropbox, on peut y lire qu’elle promeut des « vendredi whisky » à ses employés. Toutes ces pratiques visent à l’amélioration de la productivité ! C’est ce qu’on appelle les « nouvelles socialisations du travail ». Le Happy Hour en entreprise se passerait plutôt bien. Il y aurait moins de tensions entre collègues. De plus, les assurances de ces entreprises ont ajouté dans leurs clauses la prise en charge de tout incident qui se produirait lors de ces séances d’un nouveau genre.
Le travailleur français, drogué aux antidépresseurs ou à la cafeïne au travail, après des heures de transport va-t-il se saouler au boulot ? Les Etats-Unis sont-ils vraiment un modèle pour l’Europe ?
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jeudi, 09 janvier 2014
Leonarda : le retour médiatique... Ils vont nous emmerder encore longtemps !
Jean Ansar
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Coucou, revoilà Leonarda, celle qui veut changer les lois françaises. Elle fait un retour en force dans les médias car, pour le reste, ça s’annonce tout de même plus difficile. Le droit administratif est en passe de priver la France de ces chances inestimables… ou en tout cas coûteuses.
Le rapporteur public conclut au rejet des requêtes de la famille de Leonarda Dibrani pour obtenir un titre de séjour en France. « L'émotion que cette affaire a provoquée est inversement proportionnelle à la complexité juridique effective » du dossier, a souligné le rapporteur public, Jérôme Charret. Le tribunal n'a « à juger que la légalité du refus de titre de séjour, portant obligation de quitter le territoire français », a souligné le magistrat, chargé de proposer au tribunal une solution à l'affaire. Encore un raciste français sans cœur.
Maître Brigitte Bertin, l'avocate de Leonarda réclamait l'annulation de la décision de la préfecture du Doubs qui obligeait la famille Dibrani à quitter le territoire français, ce qui avait été mis en œuvre le 9 octobre, déclenchant une polémique et une tempête politique. Expulsés au Kosovo, ils demandent aujourd'hui à revenir en France et réclament, devant la justice, un nouveau titre de séjour.
L'adolescente elle-même avait tenté de mettre la pression. « Si le recours échoue, je veux dire solennellement à la France qu'elle n'aura plus qu'à envoyer des fleurs au Kosovo. C'est simple, on va tous se tuer », menaçait-elle sur le site du Figaro. « Si Dieu existe, tout se passera bien. L'année dernière a été la plus difficile dans nos vies. J'espère que celle qui commence sera meilleure », avait ajouté Gemilja Dibrani, la mère de l'adolescente. Selon elle, la famille traverse de graves difficultés financières. « Nous avons fêté le Nouvel An en pleurs. On n'a plus que trois paquets de riz et nous sommes obligés d'emprunter de la nourriture dans des épiceries. L'aide qu'on reçoit, c'est des haricots et la farine. Je ne peux pas nourrir les plus petits avec », a-t-elle déploré.
Heureux comme de vrais faux kosovars en France, les Dribani déchantent. Lors de la nouvelle audience, leur avocate, Me Brigitte Bertin, a fait valoir que six enfants du couple sont nés en Italie et un en France, et non pas au Kosovo, où ils ont été renvoyés. De retour dans ce pays, Resat Dibrani avait déclaré avoir menti sur l'origine de sa famille afin d'être accueilli en France. Me Bertin a aussi mis en avant le « droit essentiel » de scolarisation des enfants. « Sur le territoire français, sur le plan de leur scolarisation, ils avaient acquis une stabilité conforme à leur intérêt et qu'ils ne retrouveront pas au Kosovo », souligne-t-elle. Mais pour Me Yves Claisse, avocat du préfet du Doubs, « il n'y a pas eu de réelle scolarisation des enfants. Entre la rentrée du 3 septembre et l'expulsion du 9 octobre 2013, Leonarda a manqué vingt et une demi-journées de cours ».
Adieu donc aux Dibrani… mais pas encore dans les médias…Et si un malheur arrivait, alors là, les quenelles de Dieudonné ne seraient plus pour Hollande et Valls qu’un point de détail.
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Jeudi, c'est le jour de Rivarol :
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lundi, 06 janvier 2014
2014 : année de la quenelle ?
Jean Ansar
Metamag
Ainsi les nazis sont de retour. Ils ont bien changé. Si Dieudonné est le fils du ventre encore fécond de la bête immonde, la race aryenne n’est décidément plus ce qu’elle était. Franchement je n’avais pas envie de voir un spectacle de Dieudonné mais maintenant si je peux, j’irai, avant qu’il ne soit trop tard. Ce que j'ai vu sur internet, par curiosité et besoin d’information, est parfois drôle, parfois mauvais.
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Il n’est pas noir : il est flou !
Robin de la Roche
Boulevard Voltaire
Subir momentanément un jetlag (décalage horaire) présente quelques avantages amusants dont, par exemple, la découverte des programmes nocturnes de la télévision.
Ainsi, j’ai dégusté l’autre soir un délicieux reportage consacré à l’enquête de police sur le braquage d’une cliente du casino d’Enghien, fin 2012.
La femme fut prise à partie à l’intérieur du casino au moment de récupérer ses gains, puis elle fut suivie par quatre malfrats jusqu’à son domicile, où ils l’attaquèrent. Elle était enceinte de huit mois. Les faits sont passibles de 20 ans de réclusion.
L’équipe de reportage a donc suivi les différents progrès de l’enquête, y compris l’arrestation de quatre suspects. Et c’est ici que nous en arrivons au sujet qui nous occupe.
On sait que la législation française protège, en principe, l’anonymat des « suspects ». Pas encore condamnés, ils sont innocents. Mais on sait aussi que lorsque les suspects ont le malheur de « n’avoir pas d’origine » – expression des adolescents de banlieue lorsqu’ils veulent montrer du doigt la trop pâle blancheur de la peau de leurs voisins (entendez lorsqu’ils sont français de souche) –, leur nom est très rapidement donné en pâture à une presse trop heureuse de pouvoir faire mentir les statistiques ethniques des crimes et délits ; statistiques qui, d’ailleurs, n’existent pas…
Dans un reportage, la protection de l’anonymat des suspects est facile : floutez les yeux, et éventuellement brouillez la voix. Mais aujourd’hui, cela n’est plus suffisant pour masquer une réalité décidément peu arrangeante avec le dogme officiel.
Alors dans le reportage en question, c’est l’intégralité des visages qui fut donc floutée. Ce qui donne, lorsqu’on présente par exemple les fiches de trois des suspects, un magnifique écran entièrement flou ! N’y avait-il pas « vision » dans « télévision » ?
Seulement voilà… Le problème, c’est que vous pouvez flouter ce que vous voulez… à la télé, depuis les années 70, il reste la couleur. Ainsi, le « principal suspect », ou encore son père et son frère, vous avez beau les « photoshopper » tant que vous voulez, vous avez beau retoucher, « tweaker », modifier, mosaïquer, ils n’en deviendront pas vikings pour autant.
Idem pour un autre des suspects. On a beau masquer l’intégralité des visages, ça n’enlève pas le voile qui recouvre la tête d’une femme de la famille…
On a bien compris le message : le principal suspect – « un colosse », nous dit-on – n’est PAS noir : il est flou, c’est pas pareil. L’autre suspect n’est PAS issu d’une famille musulmane, dont tous les membres n’ont PAS l’accent maghrébin, puisqu’ils sont flous.
Il y a quelques décennies, que les suspects fussent noirs, verts, rouges, adorateurs du nombril ou fervents mahométans n’aurait eu aucune importance. Mais en voulant nous masquer cette récurrente réalité, les journalistes obtiennent exactement l’effet inverse de celui recherché : ils mettent l’emphase sur ce qu’ils veulent cacher.
Un détail à noter : les visages des policiers en civil, eux, ne furent jamais floutés. Sympa pour la suite de la carrière...
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samedi, 04 janvier 2014
Des officiers de police noirs organisent des viols collectifs sur des Blancs en Afrique du Sud
Source Contre info
Des histoires horribles nous proviennent d’Afrique du Sud où des hommes blancs ont subi des viols collectifs dans des cellules de commissariat.
Des hommes blancs sont arrêtés par la Police pour des délits mineurs tels qu’un excès de vitesse ou même simplement en tant que témoin d’un méfait. Ils sont ainsi placés en cellule avec de dangereux criminels noirs qui les violent collectivement, encouragés par les policiers. Les victimes blanches sont ensuite relâchées sans aucune poursuite. Plusieurs victimes blanches ont porté plainte contre la police, sans qu’aucune suite n’ait été donnée pour le moment.
Le texte suivant fût écrit par Gayton McKenzie, un membre d’un gang noir sud-africain, et fût publié dans une thèse de recherche à l’Université de Pretoria (attention, âmes sensibles s’abstenir). Il décrit un male blanc et frêle, détenu pour consommation de Marijuana :
« Wimpy, a un garçon blanc interpelé avec de la drogue, fût placé dans notre cellule. Je ne sais pas vraiment quel âge il a, peut-être 16 ans voire plus, mais il ne semble pas avoir plus de 14 ans, avec ses bras frêles et ses cheveux courts. Il essaie de se défendre lorsqu’on commence à le frapper mais sa résistance s’arrête brusquement lorsque quelqu’un éclate sa tête contre les barreaux en acier de la cellule.
Il est ensuite violé successivement par les vingt hommes noirs durant plus de huit heures, quasiment toute la nuit. Le garçon fait tout son possible, avec son pathétique champ d’action, pour essayer de les repousser, mais ses tentatives restent vaines. Il crie, il pleure, il supplie, il essaie de les convaincre, il prie.
C’est cependant au petit matin que je constate l’ampleur du massacre. Ce qui reste de Wimpie est allongé dans le couloir juste devant mon lit. Il est toujours nu, grelotant dans une flaque de son propre sang où ils l’ont massacré. Je dois littéralement enjamber son corps pour aller prendre mon petit déjeuner. »
Voici un autre cas rapporté dans un journal Sud-Africain :
En mars 2008 à Polokwane (Pietersburg), un jeune homme de la région s’appelant Nico Bouwer fût violé à plusieurs reprises lors de sa détention par la police juste quelques semaines avant son mariage. Il est depuis en grave dépression, ce qui l’a conduit à perdre son emploi. Il livre désormais des pizzas pour survivre financièrement et nourrir sa famille. Une collecte fût organisée par le journal « Rapport » pour payer ses soins. Sa vie est totalement gâchée depuis cette attaque.
Mr Bouwer revenait de chez un ami lorsqu’il a percuté un lampadaire suite à la crevaison d’un de ses pneus. Il fût transporté en ambulance à l’hôpital où il fût arrêté par la police malgré ses blessures. Il exigea, comme la loi l’indique, de pouvoir passer un coup de fil, ce que la police refusa. Enfermé avec 25 codétenus noirs, 8 d’entre eux l’attaquèrent et le violèrent à plusieurs reprises pendant que d’autres le tenaient et l’étouffaient avec un oreiller. Il ne fût autorisé à appeler son avocat que le lendemain, lorsqu’il fut finalement relâché sous caution.
A Vryheid, le tribunal reconnu que le propriétaire de ranch Etienne Van Wyk fût violé dans une cellule de police pendant que ses codétenus noirs chantaient. Van Wyk et Duvenhage furent placés en cellule après avoir été arrêtés pour « transport d’animaux sans autorisation ». Il s’est au final avéré que Van Wyk disposait d’une licence l’autorisant à transporter ces animaux et fût libéré le lendemain.
James Brown, 69 ans et atteint d’Alzheimer, fût arrêté pour n’avoir pas payé une barre chocolatée. Il fût sauvagement assassiné dans sa cellule par des Noirs.
Ces meurtres ne sont rien d’autre que des crimes de guerre. Dans plusieurs cas il fût rapporté que les violeurs chantent en commettant leur méfaits. La police noire et les détenus noirs agissent ensemble pour infliger ceci aux Blancs.
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dimanche, 29 décembre 2013
Entretien avec Arnaud Guyot-Jeannin. Cinéma : il faut mettre en place un protectionnisme français intelligent
Réalisé par Nicolas Gauthier pour Boulevard Voltaire cliquez là
L’année cinématographique 2013 est close. Grâce à notre système d’avance sur recettes, le cinéma français est le dernier à résister à la déferlante américaine. Système souvent critiqué, mais sans lui, quid du cinéma français ?
Je suis favorable au système d’avance sur recettes qui permet au cinéma français de résister au rouleau compresseur américain. Bien entendu, il est loisible d’émettre des réserves sur ce système qui fait coïncider cooptation avec entre-soi politique et culturel. Souvent, les films sont non seulement sans talent, sans public, mais d’un conformisme navrant. Mais nous n’avons pas le choix. En effet, si le cinéma est un art, il est avant tout une industrie.
Le 28 mai 1946 a été signé l’accord Blum-Byrnes, un pacte d’intérêts entre la France et les USA exigeant que toutes les salles de cinéma françaises projettent des films états-uniens, excepté une semaine par mois. C’était un moyen pour Hollywood de diffuser l’American way of life et, ainsi, de présenter la société américaine comme un modèle pour le monde. 300 millions de dollars ont été injectés sur le marché français, auxquels s’ajoute un prêt bancaire de 650 millions de dollars (respectivement 3,5 et 7,6 milliards de dollars, valeurs 2013). Depuis lors, les investissements américains n’ont cessé d’augmenter et l’invasion concomitante des sous-produits américains n’a cessé de se renforcer. Les avances sur recettes ne suffisent donc pas. Il faut établir une politique des quotas, mettre en place un protectionnisme français intelligent. Il y va de la survie du cinéma français : le protectionnisme ou la mort ! D’ailleurs, les Américains l’ont bien compris, en appliquant eux-mêmes ce protectionnisme.
En Italie et avant l’arrivée au pouvoir de Silvio Berlusconi, un système semblable existait en Italie, permettant à divers cinéastes de travailler, du plus « prestigieux » jusqu’au plus « modeste »…
Oui, c’est d’ailleurs l’époque où Cinecittà représentait le premier cinéma national dans le monde. Il a commencé à décliner à partir de la fin des années 70. Hollywood et Billancourt ont longtemps été supplantés par Cinecittà, en termes de qualité cinématographique, de nombre de spectateurs et de rayonnement culturel. Mais l’avance sur recettes participait plus largement d’un protectionnisme économique hérité du fascisme. À cet égard, n’oublions pas que Mussolini est le créateur de Cinecittà. On peut reprocher beaucoup de choses au Duce, mais certainement pas d’avoir minimisé la culture italienne en général, et le cinéma italien en particulier. Au sortir de la Seconde Guerre mondiale, une partie de la gauche – notamment les communistes – n’a fait que poursuivre cette politique.
Le cinéma italien plonge ses racines dans l’histoire. Il a été l’un des plus beaux au monde, le cinéma de l’ironie sur la condition humaine. Un genre prisé de façon paroxystique par les maîtres de la comédie (dramatique) italienne : Dino Risi, Mario Monicelli et Luigi Comencini.
Vous avez porté le deuil, en ces colonnes, de Georges Lautner et d’Édouard Molinaro. On attend la relève…
Personne ne peut remplacer Lautner et Molinaro. Ils sont uniques comme de nombreux autres metteurs en scène français décédés ! Bien sûr, parmi les vivants, celui qui s’en rapprocherait le plus serait certainement Francis Veber, qui a beaucoup travaillé avec eux en tant que scénariste, et qui a fini par passer à la mise en scène. Mais ses derniers films laissent assez perplexe. Et puis, nous vivons dans une autre époque, avec d’autres acteurs qui ne sont pas très enthousiasmants. Les Dany Boon, Gad Elmaleh, Patrick Timsit et consorts ne sont ni drôles, ni émouvants, ni représentatifs de notre génie national. Ils revendiquent d’ailleurs eux-mêmes leur cosmopolitisme et vivent la plupart du temps en dehors de France. Quant aux metteurs en scène, je n’en vois plus qui renvoient aux premiers critères, hormis peut-être Pascal Thomas, Lucas Belvaux, Philippe Harel, Christian Vincent et Philippe le Guay. Mais le seul vrai résistant qui réunit ces trois premiers critères est sans conteste Jean Becker. Un cinéaste artisanal réalisant le bel ouvrage. D’ailleurs, artisan signifiait artiste jusqu’à la fin du XVIIe siècle ! Le contraire de l’académisme que l’on reproche à Becker, avec de beaux films comme Les Enfants du marais, Effroyables jardins, La Tête en friche, etc. En revanche, ne s’agit-il pas là d’un cinéma de commémoration ?
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samedi, 28 décembre 2013
Béatrice Bourges : «Il est plus que temps de dire stop à l’oligarchie et à son projet totalitaire !»
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Alors que les Français sont successivement appelés à marcher pour la vie (le 19 janvier prochain), pour exprimer leur colère (le 26 janvier) et pour la famille (le 2 février), Nouvelles de France a souhaité s’entretenir avec Béatrice Bourges, porte-parole du Printemps français et figure incontournable chez les insoumis.
Béatrice Bourges, que vous inspirent les marches régionales du week-end dernier ?
Tout dépend de leur efficacité. En un mot, la question à se poser, c’est : « Est ce qu’elles ont eu un impact sur le gouvernement ? Est ce que nous en avons obtenu quelque chose ? Est ce qu’elles ont créé un véritable rapport de force ? »
Appeler les gens à aller dans la rue, juste pour y scander quelques slogans sur une musique techno a un côté certes sympathique mais malheureusement, c’est inefficace. Je le regrette bien car je pense ne trahir personne en disant que nous souhaiterions tous rester dans cet état d’esprit bon enfant, comme nous l’avons fait l’année dernière. Cela ne nous a pas, malgré tout, empêché d’être traités de fascistes et de violents même si aucun vol n’a été commis, aucune voiture brûlée, aucune vitrine brisée.
Nous avons investi la rue sans cesser durant plus de six mois. Nous n’avons laissé aucun répit au gouvernement et nous n’avons obtenu que mépris et garde à vue (soldée pour l’une d’entre elle par un emprisonnement d’un jeune pour une durée de trois semaines). Les mesures contre lesquelles nous nous battions se sont même accélérées à une vitesse spectaculaire.
« Il faut passer à la vitesse supérieure et créer un véritable rapport de force qui inquiète beaucoup plus le gouvernement. »
À plusieurs millions et sur une longue durée, nous n’avons strictement rien obtenu.
En revanche, les Bonnets rouges (les vrais, pas ceux directement récupérés par la gauche) ont été écoutés alors qu’ils n’étaient que quelques milliers.
Leur secret ? Ils ont su faire peur au gouvernement, ce que manifestement, nous n’avons pas su faire.
Pour répondre donc à votre question, faire des manifestations juste pour montrer qu’on existe ne sert à rien, voire même risque de lasser, ou pire de choquer, car nous avons l’air de fêter quelque chose en dansant sur de la musique techno. Mais qu’y aurait-il donc à fêter, alors que François Hollande et sa bande d’oligarques mènent la France à sa perte à Vitesse grand V ?
Il faut passer à la vitesse supérieure et créer un véritable rapport de force qui inquiète beaucoup plus le gouvernement.
Que pensez-vous de l’initiative Jour de colère du 26 janvier prochain ?
Il s’agit d’une journée de « coagulation » afin que les gens puissent exprimer leur colère, quelle qu’elle soit.
J’y suis bien sûr très favorable, d’autant que je connais les personnes qui organisent la plate-forme logistique et qui sont, pour certaines, issues de la « France bien élevée » qui a décidé de reprendre son destin en main. Elles sont associées ou soutenues par les mouvements innombrables qui se sont créés sur tous les sujets de mécontentements. Tout cela est donc sérieux et digne de confiance.
« Il ne faut surtout pas confondre colère et violence. La colère est une émotion légitime et saine, dans certains cas. C’est lorsqu’elle est refoulée qu’elle est dangereuse car alors, elle peut se transformer en violence. »
Il ne faut surtout pas confondre colère et violence. La colère est une émotion légitime et saine, dans certains cas. C’est lorsqu’elle est refoulée qu’elle est dangereuse car alors, elle peut se transformer en violence.
Par exemple, un parent peut ressentir de la colère contre un enfant qui fait une bêtise mettant sa vie en danger. Ce n’est pas pour autant qu’il devient violent. Il lui exprime les raisons pour lesquelles il est en colère afin que son enfant comprenne son geste. Bien exprimée, la colère n’est pas violence mais moteur d’action. Jésus lui-même, modèle absolu de non-violence, n’était il pas en colère lorsqu’il a chassé les marchands du temple ?
Je serais même inquiète d’entendre quelqu’un me dire qu’il ne ressent jamais de colère ! Je me dirais qu’il manque sûrement un peu d’humanité !
Nous devons exprimer au gouvernement que nous sommes en colère. Notre démocratie a été remplacée à notre insu par un système oligarchique qui sous couvert d’élections pense qu’il n’a de compte à rendre à personne. Toutes les institutions ont été confisquées et nos libertés se réduisent comme peau de chagrin, en particulier la plus élémentaire d’entre elles, qui est de disposer librement du fruit de son labeur.
Une police de la pensée cherche à faire de nous des êtres invertébrés. Et bien, le 26 janvier, nous prouverons au gouvernement que les Français ne sont pas prêts à se laisser dépouiller de toutes leurs libertés. Il est grand temps de sortir de la matrice qui nous asservit !
Personnellement, je n’appelle pas à la violence mais à l’insurrection pacifique qui peut passer par l’objection de conscience et la désobéissance civile. De nombreux gouvernements sont tombés de cette façon.
« Sommes-nous prêts à abandonner un certain confort matériel ? Sommes-nous prêts à y laisser notre réputation de ‘gentil garçon’ ou de ‘gentille fille’ bien obéissant(e) ? »
Mais chacun ne peut faire l’économie de se demander ce qu’il est prêt à sacrifier pour construire ce grand mouvement de résistance qui devient de plus en plus visible. Sommes-nous prêts à abandonner un certain confort matériel ? Sommes-nous prêts à y laisser notre réputation de « gentil garçon » ou de « gentille fille » bien obéissant(e) ? Sommes-nous prêts à ne pas céder aux pressions ? Sommes-nous prêts à être vilipendés par les médias ? Ce qu’il faut bien comprendre, c’est que nous devons nous positionner clairement : il est impossible de plaire en même temps au gouvernement, au Système en général et aux médias si l’on veut s’imposer et gagner. Chercher à être bien vus à tout prix ne pourra jamais entraîner la victoire…
Le 26 janvier marquera une étape supplémentaire dans la construction de cette nouvelle société que nous souhaitons : une société redevenue humaine, libre et juste, où soient respectés les plus fragiles d’entre nous, portée par un peuple fier de lui-même, de son histoire, de ses racines, de son identité.
Avec la Marche pour la Vie le 19/01 et Jour de Colère le 26/01, et le week-end dernier l’annonce d’une Manif pour Tous le 02/02, ne faut-il pas regretter cette dispersion ?
La Marche pour la Vie et Jour de Colère sont très complémentaires. La Marche pour la Vie a une antériorité de plusieurs années et son objet est très beau et spécifique : la Vie. Et nous pouvons mesurer combien la Vie est attaquée de toute part en ce moment. C’est important de montrer combien nous y sommes attachés ; Il faudra donc être très nombreux à cette marche.
Jour de Colère a un objet plus large et rassemblera des gens qui ne seront pas forcément d’accord sur tous les sujets mais qui viendront tenter de mettre un coup d’arrêt aux folies du gouvernement. Il faut donc que le nombre aussi soit conséquent. Cela dit, l’objectif n’est pas de « faire du chiffre », mais d’être déterminés. Il faut que le gouvernement comprenne qu’un an après le combat s’est étendu à toutes les sphères de la société. Et ce n’est pas forcément le nombre qui fait la différence. C’est plutôt la volonté des manifestants.
« L’objectif de l’oligarchie est de tuer ce que nous sommes pour faire renaître un homme créé par l’homme, nier sa dimension verticale, ce qui fait sa transcendance, ce qui l’ancre dans la réalité et dans la vérité, ce qui fait de lui un homme debout, et, également, nier sa relation horizontale, ce qui fait de lui un être social, un être de relation, un être tourné vers l’autre. »
Bien sûr, LMPT a toute sa place dans les deux manifestations. J’avoue ne pas très bien comprendre pourquoi les instances nationales ont décidé de faire une manifestation personnelle le 2 février, d’autant que, beaucoup de cadres régionaux LMPT avaient déjà soutenu la date du 26 janvier qui est connue depuis de nombreuses semaines. Il me semble qu’ils auraient intérêt à la décaler un peu plus tard, ce qui permettrait de maintenir la mobilisation sur plusieurs mois plutôt que sur trois semaines successives.
Même si, contrairement aux marxistes, nous ne croyons pas au sens de l’histoire, force est de constater que nous enchaînons défaites sur défaites depuis des décennies et que notre civilisation est en train d’être changée progressivement. Comment arrêter net ce mouvement et l’inverser ? Comme pour nous décourager par avance, certains oligarques comme Attali pensent que l’euthanasie, la GPA, le transhumanisme, en raison du souci de confort et de l’orgueil humain, sont inévitables, à terme…
Oui, nous avons à faire face à une idéologie sans concession dont l’objectif est la destruction de la société qu’ils appellent « réactionnaire » pour construire un monde nouveau dont l’Homme serait le Maître absolu.
Car, c’est de cela dont il s’agit : tuer ce que nous sommes pour faire renaître un homme créé par l’homme, nier sa dimension verticale, ce qui fait sa transcendance, ce qui l’ancre dans la réalité et dans la vérité, ce qui fait de lui un homme debout, et, également, nier sa relation horizontale, ce qui fait de lui un être social, un être de relation, un être tourné vers l’autre.
L’objectif est de créer un individu, réduit à une dimension exclusive de producteur consommateur, un individu mondialisé et déraciné, esclave du marché mondial, poussé à assouvir des désirs incessants qui l’empêchent de penser librement.
« L’oligarchie est en train de fabriquer une culture « hors sol » et « hors sexe », avec des individus qui ne peuvent plus s’identifier ni à une culture, ni à une histoire, ni à un territoire, ni à une origine biologique, ni à un sexe défini. »
C’est une idéologie dont l’objectif est de créer un nouvel ordre mondial : c’est ainsi qu’elle est défendue par des organismes internationaux qui ont tous des connexions : l’ONU, l’UNESCO, Bilderberg, les internationales franc-maçonnes. De grandes entreprises internationales également s’investissent et investissent de grosses sommes d’argent pour faire avancer ces causes. Jacques Attali, Pierre Bergé et bien d’autres tels que Bill Gates ou Goldman Sachs en sont des promoteurs acharnés depuis des années.
Le plus sûr moyen de créer cet homme nouveau, c’est de lui faire croire qu’il n’a pas de limite, que ses désirs ont valeur de droits, que même la nature est esclavagiste, qu’il faut donc s’en affranchir. C’est de créer un mythe, celui de l’homme parfait que l’on va fabriquer en laboratoire pour mieux le contrôler et éliminer ses défauts soit en le transformant, soit en l’éliminant par l’eugénisme. C’est l’idéologie que l’on appelle le trans-humanisme.
C’est pourquoi le malade, le handicapé, le vieillard n’ont pas leur place dans cette société-là, d’où logiquement le vote de la loi sur l’euthanasie.
Est ainsi fabriquée une culture « hors sol » et « hors sexe », avec des individus qui ne peuvent plus s’identifier ni à une culture, ni à une histoire, ni à un territoire, ni à une origine biologique, ni à un sexe défini.
Ce qui est grave, c’est qu’en plus ce totalitarisme utilise des mots et des concepts dont le sens est inversé : liberté, solidarité, égalité, amour…
Que des mots qui font rêver…
Il est donc plus que temps de dire stop à tout ça et de montrer à François Hollande et ses oligarques que nous ne sommes pas dupes et que nous sommes plus déterminés que jamais !
ONLR, qu’ils le sachent ! Et nous allons gagner, qu’ils le sachent aussi !
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vendredi, 27 décembre 2013
Communisme municipal, communautarisme et terrorisme
Jean-Gilles Malliarakis
L'Insolent cliquez ici
En 2008 l'actuel maire communiste de Bagnolet Marc Everbecq avait été élu au second tour avec 53 % des suffrages exprimés et 50 % d'abstention. Dans cette ville de 32 000 habitants, à l'époque, sa liste avait recueilli 4 160 voix. Présentée par le PCF elle se vit attribuer 30 sièges contre 6 à la liste des socialistes conduite par Tony di Martino et 3 à l'UMP.
Depuis 5 ans cette équipe dirige donc la ville, avec sa langue de bois et ses magouilles d'urbanisme collectiviste gris, que dénoncent vainement ses adversaires et quelques architectes courageux. Ceux-ci ont pu mettre en évidence une réduction des espaces verts pour satisfaire les intérêts des promoteurs (1).
Ses budgets bâclés sont votés dans un climat autoritaire de désinformation que met en cause une opposition malheureusement impuissante (2).
C'est dans ce contexte que le communisme municipal a pris une décision à première vue stupéfiante. Le 11 décembre en effet le conseil municipal votait la qualité de citoyen d’honneur de Georges Ibrahim Abdallah.
Après 30 ans de détention il est fortement question d’expulser de France ce personnage. Né en 1951, ce militant communiste est considéré comme le chef de la Fraction armée révolutionnaire libanaise. Il avait été condamné par la justice française en 1986 à la réclusion à la perpétuité pour des actes indiscutablement terroristes.
Rappelons brièvement ses exploits et ceux de son équipe. Il a été jugé responsable d'attentats meurtriers sur notre sol contre des diplomates américains et israéliens. Ceci enchante à l'évidence les partisans de la guerre à outrance au Proche-Orient. Or deux artificiers français l'ont payé de leur vie en août 1982, etc. (3)
Jusqu’ici deux modestes bourgades avaient impunément précédé Bagnolet dans ce qu'on peut tenir pour une provocation. Ainsi, le 19 mai 2012, André Delcourt, maire communiste de Calonne-Ricouart, Pas-de-Calais 5 800 habitants, l’avait nommé, déjà, "citoyen d’honneur". Un mois plus tard, dans le même département, le 19 juin 2012, Christian Champiré, maire communiste de Grenay, 6 700 habitants dans la banlieue de Lens et les membres du conseil municipal le nommaient à leur tour "citoyen d’honneur" de leur commune.
Marc Everbecq, en Seine-Saint-Denis, vient donc de faire franchir à cette campagne un cran supplémentaire. Il l'a fait délibérément dans le but de recueillir pour son parti les votes communautaires, à défaut des suffrages populaires.
Cette décision a été soutenue, en effet, de bout en bout par une structure parfaitement révélatrice des forces communautaristes sur lesquelles s'appuient désormais les tenants du communisme municipal : le "Groupe des associations de Bagnolet".
Une visite de la page facebook de ce collectif permet de mieux comprendre comment tout cela fonctionne dans les municipalités de gauche où sévissent encore les communistes, aux marges de la démocratie (4).
"Les associations" sont, comme il se doit subventionnées. Cela se revendique désormais, et cela se pratique, comme une sorte de droit. Elles font la claque en séances publiques lors des conseils municipaux, comme dans les assemblées révolutionnaires, etc.
Les sympathisants du terroriste le présentent comme un héros et comme un ardent défenseur de la "cause palestinienne".
Si ces gens réfléchissaient sincèrement, nous leur poserions une "simple question". Citons celle que l'excellent blogue de l'Institut d'Histoire sociale pose à ce sujet à tous ces activistes et soutiens du marxiste-léniniste Georges Ibrahim Abdallah : pensent-ils sérieusement que leurs méthodes terroristes ont vraiment fait progresser ladite "cause palestinienne" ? (5)
Mais il ne s'agit pas de cela. Il s'agit pour leurs inspirateurs et commanditaires de rassembler coûte que coûte tout ce qui peut sauver l'implantation du stalinisme en France.
Notes
- cf. sur Bagnolet-webtv⇑
- cf. l'intervention de Tony di Martino qui décrypte le budget 2013 de Bagnolet lors de la séance du conseil municipal le 15 avril 2013 ⇑
- cf. Hervé Roubaix sur Dreuz.fr ⇑
- sur Facebook. ⇑
- cf. Blog-Actu du site de l'Institut d'Histoire sociale le 26 décembre.
20:03 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Bonne nouvelle : le film "La Marche" a fait un flop total !
Après la polémique suite à une chanson de la BO, le film La Marche, symbole de l’antiracisme, fait désormais aussi un flop total dans les cinémas français. Cela a commencé le jour de sa sortie le 27 novembre où il n’a attiré que 552 spectateurs parisiens dans 21 salles malgré une promotion omniprésente. Les derniers résultats du box office français montrent que le film est un désastre . A sa 3ème semaine, il est désormais 33ème dans 183 salles de cinéma pour un total de 170.000 entrées. Soit le film est vraiment de mauvaise qualité, soit l’antiracisme ne fait vraiment plus recette en France. On penche vraisemblablement pour la deuxième hypothèse.
Source Media presse infos cliquez ici
10:29 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Revue de presse. On aura tout vu : Nolwenn Leroy épinglée pour lepénisme
Philippe Cohen Marianne cliquez ici
Dans un article délirant, le journaliste du Nouvel Observateur Fabrice Pliskin a expliqué pourquoi le dernier album de la chanteuse était maurrassien et pire encore. Mais s'agit-il seulement d'un dérapage ?
La chanteuse Nolwenn Leroy est furieuse et le fait savoir. Elle est furieuse contre un article, d'une violence inouïe, de Fabrice Pliskin du Nouvel Observateur, qui a trouvé dans son dernier album une nouvelle preuve de la « lepénisation des esprits » :
« Son disque subjugue. N'est-il pas très comme il faut et propre à incarner "l'image de la France rurale, l'image de la France des terroirs et des territoires", comme dirait dans son style maurrassien le député UMP Christian Jacob? Olivier Nusse, directeur général de Mercury, compare avantageusement le succès de "Bretonne" à celui des "Ch'tis".
Avec son prénom de sainte décapitée, Nolwenn affiche un pedigree de la vieille roche. Née à Saint-Renan, son père, Jean-Luc Le Magueresse, est un ancien footballeur professionnel de Brest et de Guingamp. D'aucuns blâmeront son adolescence auvergnate, mais personne n'est parfait. »
Plus loin, le journaliste, décidément en verve, évoque la chanteuse « droite dans ses sabots, ivre de cadastre, d'ancrage et de toponymie » pour conclure en la qualifiant de « premier robot de fabrication 100% bretonne ». Pour mesurer la fureur d'écrire du journaliste, il suffit de remplacer, dans son texte, Breton par Kabyle ou Arabe : on obtient alors un article flirtant avec la xénophobie qu'il croit percevoir chez la chanteuse. En réalité, Fabrice Pliskin abrite confortablement sa francophobie derrière les remparts de la presqu'île bretonne.
Cet article furieux a fini par provoquer un droit de réponse légitime de la chanteuse : « Je suis extrêmement choquée par ce procès d'intention que je trouve indigne. Comme j'estime douteux et déplacé l'emploi, pour me décrire, des termes preuve générique de sa bretonnante traçabilité", "droite dans ses sabots ivre de cadastre, d'aencrage et de toponymie", "affirmant un pedigree de vieille roche" ou "premier robot de fabrication 100% bretonne".J'ai choisi de réaliser cet album sans aucune arrière-pensée, car mon attachement à la Bretagne et à sa culture est sincère. »
L'article coup de poing de Fabrice Pliskin n'est pas un dérapage. Régulièrement depuis quelques semaines, l'Obs se plait à épingler des légions d'horreur sur la poitrine d'intellectuels ou de journalistes supposés diffuser à bas bruit la petite musique lepéniste. Dans le numéro de cette semaine, Luc Ferry Denis Tillinac et Philippe Bilger sont, après d'autres, désignés à la vindicte publique. Tous fachos, tous lepénisés si ce n'est dans leurs discours au moins dans leurs sous-entendus et dans leurs cœurs puisqu'il est désormais établi que l'Obs traque le lepénisme dans le cœur des intellectuels. Mais l'opposition au lepénisme progresse-t-il vraiment à coup de droits de réponse et de réponses aux droits de réponse que génère à chaque fois la réponse des personnes attaquées ?
L'ultra-vigilance d'Ariane Chemin l'amène à épingler Claude Guéant pour sa phrase sur «les Français qui n'ont plus le sentiment d'être chez eux ». Oui mais le directeur de la rédaction, Laurent Joffrin, développe un point de vue légèrement différent : « La déclaration fait scandale à gauche, mais elle est plus difficile à contrer qu'on pourrait le croire. L'indignation, selon le mot à la mode, ne suffit pas. On ne peut pas se contenter de déclarer: Guéant dit la même chose que le Front national, il est donc disqualifié, comme si cette simple énonciation valait démonstration. Certains Français, en effet, ne se sentent plus chez eux dans certains quartiers. Il faut bien leur dire quelque chose qui dépasse la simple protestation contre des propos à connotation xénophobe. La gauche n'a pas encore trouvé la bonne réponse. » On respire. Le pluralisme règne encore au sein du Nouvel observateur. Mais la cohérence ?
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jeudi, 26 décembre 2013
JEUDI, C'EST LE JOUR DE RIVAROL
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samedi, 21 décembre 2013
Le « rapport sur l’Intégration » : texte raciste
Guillaume Faye
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Remis au Premier ministre à sa demande, ce rapport effarant, rédigé en novlangue par des Trissotins, publié en ligne par Matignon et qui a créé le scandale est en fait inspiré des idées du groupe de pression et de ”réflexion” gauchiste chic lié au PS Terra Nova. L’objectif est la destruction pure et simple de l’identité française. Il vise à substituer à l’assimilation et à l’intégration une forme de communautarisme où les Français de souche seraient objectivement infériorisés, sommés de s’adapter aux mœurs des nouveaux arrivants, et où il faudrait « assumer la dimension arabe-orientale de la France ».
Inutile d’énumérer les axes politiques proposés par ce rapport ethnomasochiste et culpabiliste qui vise non seulement à défranciser, déseuropéaniser la société mais à accentuer encore la pression migratoire en instaurant une véritable préférence étrangère.
Il est plus intéressant de s’attarder sur deux passages qui relèvent du sectarisme de la police de la pensée de gauche et de ce racisme implicite si souvent observé dans la vulgate antiraciste. Tout d’abord, il est recommandé d’interdire et de sanctionner judiciairement, notamment dans les médias, toute mention (« description stigmatisante ») de l’origine des personnes, notamment en cas de délit (1) (« nationalité, origine, couleur de peau, religion, culture… »). Cette interdiction est étendue aux « partis politiques et institutions publiques » dans bien d’autres circonstances.
Admirons la contradiction : l’origine ethno-culturelle est niée mais en même temps la France doit devenir « arabe-orientale ». Mais implicitement, le fait d’être qualifié par son nom et son prénom d’origine africaine ou arabe, par exemple, serait subrepticement une insulte. Inconsciemment, les auteurs (vieux gauchistes) du rapport considèrent que de dire à/de quelqu’un qu’il est ”Arabe” est une « stigmatisation », un « délit de harcèlement racial ». Or, ne pas mentionner l’origine des gens, par pseudo-respect, c’est dévaloriser cette origine. On nage dans une contradiction totale, la bêtise raciste/antiraciste de cette gauche à la fois gouvernementale, soixante-huitarde et intellectuellement à gaz pauvre. (2)
Le second passage fait allusion à la ”race blanche”, alors qu’officiellement les races n’existent pas. Il est en effet proposé de ne plus se référer dans l’enseignement de l’histoire à « des figures incarnées qui demeurent très largement des grands hommes, mâles, blancs et hétérosexuels ». (3) Évident racisme anti-Blancs et aversion contre les hétérosexuels de la part de personnes qui sont elles-mêmes majoritairement des Blancs hétérosexuels. Ça relève de la psychiatrie – ou de la psychanalyse.
Cette gauche antiraciste est complètement obsédée par l’idée de ”race”, comme les puritains étaient obsédés par l’idée de sexe. Le paradigme racial est obsessionnel dans la gauche ”antiraciste”.
Une telle idéologie à la fois xénophile, pétrie de bêtise et/ou de mauvaises intentions, est la porte ouverte à la guerre civile ethnique, lot endémique du Maghreb et du Proche-Orient arabe, et de toute société hétérogène et pluri-ethnique.
Mais hélas, ce rapport tire en réalité la conclusion dramatique, cynique et souriante de quarante ans d’immigration incontrôlée, au terme de laquelle s’opère un bouleversement démographique, où toute ”intégration” ou ”assimilation” de minorités qui n’en sont plus est devenue une chimère et où le petit peuple de souche est prié par ses élites grasses et protégées (”socialistes”) de se plier à la loi des colonisateurs présentés comme des victimes, est sommé de se taire et de devenir Invisible. Devant l’histoire, les politiciens, parfaitement antidémocrates et antirépublicains, responsables de ce fait, devront répondre d’une tragédie annoncée.
Notes
(1) C’est implicitement reconnaître l’origine immigrée très majoritaire de la criminalité.
(2) La pensée de gauche, intellectualiste et déconnectée du réel, héritière inconsciente en fait de l’idéalisme platonicien (auquel s’oppose le réalisme aristotélicien) souffre moins de bêtise que de pathologie, d’origine psychologique. Vouloir construire un méta-monde contre la réalité, une utopie, c’est à dire, étymologiquement, un lieu qui n’existe nulle part, un rêve.
(3) Il faudra donc trouver dans les figures de l’histoire de France des personnes de couleur, féminines, bisexuelles ou homosexuelles ? Vous en connaissez ?
10:20 Publié dans Débat sur l'identité, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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jeudi, 19 décembre 2013
Jeudi, c'est le jour de Rivarol
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jeudi, 12 décembre 2013
Vous avez dit « ultralibéralisme » ? Petite leçon d’économie
Guillaume Faye
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Le 9 décembre, sur le site du Figaro, interrogé par Yves Thréard, Florian Philippot, vice-président du Front National, critiquait à juste titre le « communautarisme » (il aurait pu parler de la cause, l’immigration déferlante et incontrôlée et non pas seulement de sa conséquence, son effet inévitable), la soumission des États européens à la technostructure de l’UE, mais il s’en prenait aussi l’ « ultralibéralisme » supposé régnant dans la France actuelle.
Ce genre de propos a peut-être une visée électoraliste mais il relève d’une analyse économique déficiente et se trouve malheureusement partagé par bon nombre de politiciens et de publicistes, de la droite à la gauche. Ces derniers sont en pleine confusion, celle des idées à l’envers. Essayons de remettre les idées à l’endroit.
1) L’économie française n’est pas dans une situation d’ ”ultralibéralisme” mais tout au contraire d’étatisme socialiste et fiscaliste, cause majeure du chômage et de l’étouffement de l’activité. Quand plus de 50% de la richesse produite par le secteur privé est ponctionnée et redistribuée de manière improductive et injuste, quand l’État pachydermique réglemente à outrance et castre toute liberté d’initiative, quand les professions libérales, les PME, les TPE, les classes moyennes sont découragées, paralysées par les impôts, les taxes, les interdictions, les procédures administratives, quand le droit du travail le plus rigide et éléphantesque du monde décourage les embauches, etc. peut-on sérieusement parler d’ ”ultralibéralisme” sans se couvrir de ridicule ?
2) Le drame, c’est que l’économie française, objectivement ”socialiste” au pire sens du terme, affronte un contexte économique européen et mondial libéralisé et concurrentiel. On court avec une balle dans le pied et un sac en dos rempli de pierres. Résultat : délocalisations, faillites d’entreprises assommées par les ponctions, fuite massive des cerveaux (jeunes diplômés, créateurs découragés par le racket socialo-fiscal), fuite des investisseurs (ISF), perte des marchés à l’export, etc.
3) Les institutions technocratiques européennes suivent une politique économiquement absurde : d’un côté, elles réglementent à outrance à l’intérieur de l’espace économique européen, de l’autre, elles suivent une politique libre-échangiste sans protection par rapport aux USA ou aux pays émergents qui, eux, ne se gênent pas pour se protéger. D’un côté, elles exhibent la doctrine de la« concurrence », de l’autre, elles pondent 250 réglementations par jour. Un peu comme un directeur d’écurie F1 qui limiterait la puissance de ses propres voitures pour ne pas battre l’adversaire.
4) En France, et dans d’autres pays de l’UE, là où il ne faudrait pas être libéral, on l’est (immigration, ouverture des frontières, laxisme judiciaire, etc.) et là où il faudrait être libéral (liberté pour les forces vives économiques), on ne l’est pas. On marche sur les mains, mais, à force, on va forcément tomber.
5) La solution – en économie tout au moins – passe par l’application, à l’échelle de l’Europe (de la vraie Europe, pas celle de Bruxelles) des théories de Maurice Allais, Prix Nobel d’économie : le libéralisme intérieur et le protectionnisme contingenté extérieur, à l’échelle de certains pays du Continent, pas de tous. Selon le véritable esprit du Traité de Rome, d’ailleurs, trahi par les institutions actuelles.
6) Le concept d’ ”ultra libéralisme” relève de la pure propagande électorale. Il n’existe nulle part puisqu’il est impraticable. Il se réfère à la théorie libertarienne qui n’a jamais été appliquée nulle part et qui est une simple construction intellectuelle, comme le communisme, son opposé absolu. Ni l’ultralibéralisme ni le communisme n’ont jamais été autre chose que des concepts, c’est-à-dire des jouets pour intellectuels.
Les quatre grandes théories économiques actuelles et leurs applications réalisées sont : 1) le keynésisme (économie de la demande et de l’intervention de la commande de la puissance publique avec un État-Providence contrôlé) 2) Le socialisme (économie de la demande avec un État-Providence maternel mais injuste et impuissant) 3) Le schumpeterisme (économie de l’offre avec une protection minimale de l’État-Providence et un interventionnisme public dans l’innovation ). 4) Le libéralisme (économie de l’offre, dépourvue de toute présence sociale de l’État, sans fiscalité redistributive).
Seules marchent à long terme un mélange des solutions 3 et 4. Les solutions 1 et 2 donnent des résultats contraires à leurs objectifs.
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Jeudi, c'est le jour de Rivarol :
3,50 €, chez votre marchand de journaux
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vendredi, 06 décembre 2013
Mandela : à quand la canonisation ?
Source Nation cliquez ici
Depuis hier soir, la bien-pensance mondialisée a mis son rouleau compresseur en marche ! C’est à celui qui aura le terme le plus frénétiquement admiratif : Mandela par ci, Mandela par là ! La Grande Bretagne a mis ses drapeaux en berne…ce qu’elle ne faisait pas pour ses propres soldats morts en Irak, en Afghanistan ou assassinés par des islamistes en plein Londres.
Faisons donc un devoir de mémoire sur le parcours de Mandela.
S’il a été mis en prison, même si cela ressemblait plus à une résidence très surveillée qu’à une geôle infâme, c’est car il était un des chefs de l’ANC, African National Congres, qui pratiquait le terrorisme.
L’ANC était très proche du Parti Communiste sud-africain et était soutenu par cette grande démocratie qu’était l’Union Soviétique qui leur fournissaient nombre de spécialistes en guérilla et terrorisme, issus du KGB.
Les militants « démocrates » de l’ANC furent les initiateurs de cette « délicieuse » pratique dite du « pneu enflammé » qui consiste à placer sur une personne, un pneu arrosé d’essence et d’y mettre le feu…Ce qui provoque la mort dans d’atroces souffrances. Pratique encore active aujourd’hui mais contre les immigrés d’autres pays africains comme les Mozambicains en 2008 !
Car et c’est bien là, la pire responsabilité de Mandela, c’est que l’Afrique du Sud est tombée dans le chaos social et a encore accentué les haines raciales comme le démontre, les nombreuses agressions (souvent mortelles) que subissent les fermiers blancs. Sans compter le taux de criminalité qui un des plus élevés au monde !
Mais peu importe, grâce à lui, de nombreuses multinationales ont pu recommencer à faire de juteuses affaires. Après tout, pour la bien-pensance, c’est la seule chose qui compte. Et c’est bien ce qui explique que les forces mondialistes rendent un tel hommage à celui qui fut un de leur plus serviles employés…
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jeudi, 05 décembre 2013
JEUDI, C'EST LE JOUR DE RIVAROL...
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