mardi, 28 octobre 2014
Ukraine : la démocratie inutile La partition entérinée par les urnes
Jean Bonnevey
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Si l’on en croit nos médias, une vague pro-occidentale a déferlé sur l'Ukraine. Le problème c’est qu’elle n’a pas plus de sens que la vague pro-russe qui a submergé la Crimée. En fait le pouvoir de Kiev a organisé des élections pour se conforter, mais en se confortant il a également renforcé la partition de fait entre les deux Ukraine.
Faite voter en temps de guerre des régions acquises et non pas la totalité de la population, c’est une drôle de conception tout de même de l’unité du pays et de la démocratie représentative. Les sondages réalisés à la sortie des bureaux de vote, dont les chiffres ont été rendus publics à leur fermeture, donnaient environ 70 % des voix aux cinq mouvements pro-occidentaux, pour certains aux tonalités nationalistes. Ils devront se partager le pouvoir, aucun d'eux ne se détachant largement. Selon les résultats portant sur 10 % des circonscriptions, le Bloc Petro Porochenko du chef de l'État arrive comme prévu en tête avec 21,9 % des suffrages, suivi du Front populaire du Premier ministre Arseni Iatseniouk (21,6 %).
Le scrutin, au taux de participation limité à 53 %, est toutefois marqué par le maintien d'anciens alliés de l'ex-président pro-russe Viktor Ianoukovitch, à l'inverse du Parti communiste menacé, événement historique, de disparaître de l'Assemblée. Aucune majorité des partis démocratiques donc mais une victoire des pro-occidentaux dont certains à tendance fasciste comme personne ne le nie et le maintien d’une minorité favorable à une synergie avec la Russie, minorité massivement majoritaire dans les territoires qui n’ont pas voté.
La victoire du Bloc Petro Porochenko est moins large que prévue, tandis que les scores du Front populaire et de Samopomitch (13 % selon les sondages), parti composé de jeunes représentants de la société civile et de combattants revenus de l'Est, ont surpris. En revanche, avec près de 8 %, le Bloc d'opposition, regroupant plusieurs figures de l'ancien Parti des régions de Viktor Ianoukovitch, dépasse ce seuil. Suivent le Parti radical du populiste Oleg Liachko (6 %), les nationalistes et radicaux de Svoboda (6 %) et le parti Batkivchtchina de l'ancienne Première ministre Ioulia Timochenko (6 %). À Donetsk, principal fief des rebelles, les habitants ont ignoré les élections et attendent celles que les séparatistes prévoient d'organiser le 2 novembre.
Nos médias parleront-ils alors de vague pro-russe, sans doute pas et pourtant il s’agit de la même chose. C’est à dire de l'utilisation de la démocratie comme confirmation des choix divergents d’une population dans un pays qui n’est plus unitaire mais bien divisé de fait comme le prouvent les urnes.
Encore une fois il faut être pragmatique et, au-delà de l’idéologie, accepter de séparer pour éviter le pire ceux qui ne veulent pas ou ne veulent plus vivre ensemble.
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lundi, 27 octobre 2014
Le nouveau numéro d'Eléments
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Bande de filles et valorisation des « racailles ». A quand la tolérance zéro pour les « sauvageonnes »
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Le rapprochement est inévitable. Alors que quelques critiques cultureux s’extasiaient devant un film célébrant une bande de filles issues visiblement de l'immigration, une autre bande passait à tabac pour la dépouiller une étudiante. Surtout bien sur, pas d’amalgame. Les médias ont surtout dénoncé la passivité des gens présents…..plus que la violence de la petite bande. Comme si la victime était de la responsabilité des passants passifs plus que des agresseuses haineuses.
Le troisième film de Céline Sciamma a fait lui 25 146 entrées pour son premier jour d’exploitation, soit presque quatre fois plus que “Tomboy”, son précédent film. De plus, “Bande de filles” semble avoir réussi son pari en touchant un public jeune et issu des quartiers populaires s’extasient les Inrocks. Le résultat du box-office au premier jour d’exploitation témoigne du succès de Bande de filles de Céline Sciamma. Sa bataille se jouait sur le terrain de la visibilité, visibilité d’actrices noires inconnues, visibilité de la banlieue dans le cinéma d’auteur. On peut dire, ce soir, qu’elle a remporté la première manche de cette bataille. Le film semble avoir touché un public très large, bien au-delà du public du cinéma d’auteur parisien.
Formidable non… et puis on passe dans la vraie vie
Une étudiante de 18 ans s’apprêtait à descendre dans une bouche de métro à Croix, près de Roubaix, quand elle s’est fait agresser par trois filles de son âge particulièrement violentes. Ses parents dénoncent la lâcheté de ceux qui ont vu leur fille se faire tabasser sans rien faire. Louise quitte le domicile de ses parents, à deux pas de la mairie de Croix, pour rejoindre l’université catholique de Lille où elle suit des études d’économie. Il est 7 h 15, le jour se lève. Au moment de descendre dans la station de métro Croix-Mairie, son chemin croise celui de trois filles de son âge. Là, tout dérape. « Elles m’ont dit : Maintenant tu donnes tout ce que tu as », se souvient Louise. L’étudiante, qui ne connaît pas ses agresseurs, refuse de s’exécuter et se défend. Mais le rapport de force est déséquilibré. Elle se fait arracher les cheveux, reçoit des coups de pied et de poings sur le corps et la tête, tombe. Sa lèvre inférieure finit par éclater.Louise parvient malgré tout à récupérer son sac avec ses cours et s’en sort avec un téléphone volé. Le préjudice physique et moral est plus grave : quatre points de suture à la lèvre, un poignet amoché, des douleurs sur tout le corps et la peur panique de reprendre le métro seule. Ah ces filles qui n’ont pas de bandes…. Personne ne fera de films sur elles, les victimes de plus en plus nombreuses des bandes de filles et de leur impunité au pays de la lâcheté ordinaire.
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mercredi, 22 octobre 2014
Demain jeudi, dans Rivarol : Robert Spieler revient de Syrie et du Liban
Robert Spieler pour Rivarol et Pieter Kerstens pour Synthèse nationale étaient ces jours derniers, en compagnie de Filip Dewinter, le porte-parole du Vlaams belang, au Liban et en Syrie.
Un grand article dans Rivarol de demain et très bientôt sur le blog Synthèse nationale ainsi que dans le prochain numéro de la revue Synthèse nationale.
14:11 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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D’Intouchables à Samba : éloges de l’immigration africaine
Franck Abed cliquez ici
Nous connaissons Omar Sy comique mais avouons-le d’entrée, il nous fait rarement rire. Omar Sy acteur, nous ne sommes pas plus convaincus mais nous nous posons la question suivante : s’il n’était pas ce qu’il est, serait-il réellement acteur ? Là n’est pas le sujet principal de notre article, mais il mérite sérieusement d’être étudié… Dans les deux films mentionnés, il est important de prendre connaissance des messages réellement véhiculés par cette propagande moderne. Nous ne nous attarderons pas sur les CV des réalisateurs et autres scénaristes, bien qu’ils suffiraient à nous faire comprendre les réels objets de leurs productions.
Etudions rapidement le contenu de ces films : un blanc et une blanche aidés par le gentil noir. Intouchables met en scène un blanc fortuné handicapé qui ne retrouve le goût de vivre qu’après – et c’est là la magie du cinéma – l’intervention dans sa vie de Driss (comme garde malade) alias Omar Sy qui apparaît presque comme le deus ex machina de nos magnifiques tragédies grecques. Cet homme riche, joué par François Cluzet, est fatigué, à bout de souffle mais la vigueur, la spontanéité d’Omar lui redonnent goût à la vie. Difficile de ne pas voir dans ce film un message clair : les élites et la bourgeoisie françaises ne peuvent trouver leur salut que dans l’immigration africaine, jeune et en bonne santé. On se croirait presque dans du Rousseau, le « bon sauvage » est corrompu par la société (vols et trafics en tous genres) et l’homme blanc civilisé ne l’est plus car il se trouve corrompu par son mode de vie mélangeant, fastes, argent et futilités. Dans Samba, nous avons une cadre, bénévole dans une association, jouée par Charlotte Gainsbourg, fatiguée elle aussi de sa vie, de son monde et de son époque, qui retrouve le goût de vivre suite à l’apparition dans sa vie d’un gentil sans papier africain – joué par vous savez qui –qui doit quitter le territoire. Comme si cela ne suffisait pas, les deux tombent amoureux mais nous sommes loin, très loin de la beauté et de l’intensité dramatique de Roméo et Juliette. Rousseau, l’homme qui donna des leçons sur l’éducation des enfants mais qui n’éleva jamais les siens préférant les confier à l’assistance publique, n’est jamais loin car dans ce film, le « bon immigré » malgré les vicissitudes de la société occidentale, n’a pas encore été perverti par celle-ci. Nonobstant l’interdiction du territoire, l’intolérance des Français et la méchanceté d’un système, Samba veut tout de même rester en France… comme quoi ce pays, notre pays a peut-être du bon. Nous nous interrogeons sur les mystérieuses raisons qui poussent les réalisateurs à adopter ce parti pris, celui d’une civilisation européenne décadente et corrompue, quand nous savons qu’elle attire encore toute la misère du monde, et notamment la pauvreté de l’Afrique noire… Samba cherche à culpabiliser les Français qui seraient intolérants et racistes. Loin de la réalité, ce film n’exploite pas les vraies raisons de l’immigration africaine, ne dénonce pas les réels auteurs de ce trafic humain, et n’étudie pas sérieusement le racisme réel ou supposé des autochtones. A plus fortes raisons, il eut été intéressant de montrer les conditions de vie réelles des nombreux immigrés africains, clandestins ou non, pour sensibiliser les Français sur le caractère franchement inhumain de l’immigration de masse imposée par les dominants. En plus de priver les africains de ressources humaines qui manquent cruellement au développement de leurs pays, cette immigration massive provoque, et pas seulement en France mais dans tous les pays d’Europe, des tensions communautaires, raciales, religieuses, sociales et politiques.
Le cinéma français se perd, indépendamment de quelques succès commerciaux, dans des productions grossières qui ne procèdent que par culpabilisation et vision étriquée voire mensongère de la société et de l’histoire. La réussite de ces films nous rappelle la noblesse d’avant 1789 qui applaudissait aux répliques de Beaumarchais dans le Mariage de Figaro, sans se rendre compte qu’elle sciait la branche de l’arbre sur laquelle elle était confortablement assise. Résultat, quelques années plus tard, leurs têtes se retrouvèrent dans des corbeilles. Que les lecteurs nous pardonnent cette analogie mais voir des Français applaudir et rire aux éclats face à des œuvres qui les singent, les moquent, les font passer pour ce qu’ils ne sont pas, nous inquiète pour l’intelligence et le bon sens de nos compatriotes. Espérons qu’ils ne regrettent pas leur aveuglement et sachent à terme voir les grosses ficelles des messages anti français délivrés par les médias. En guise de conclusion qu’il nous soit permis de citer Bossuet l’Aigle de Meaux, qui par une formule claire et efficace pointe du doigt la triste situation dans laquelle nous sommes : « Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes ».
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mardi, 21 octobre 2014
17 octobre 1961 : arrêtons les mensonges !
Manuel Gomez
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Chaque année, le 17 octobre, les grands médias français et algériens nous resservent le même mensonge d’État, la même désinformation, la même falsification à propos de cette manifestation d’Algériens du FLN dans les rues de Paris. Une manifestation interdite par le préfet de police, Maurice Papon, qui avait imposé un couvre-feu obligatoire.
À l’époque, j’appartenais à la rédaction du quotidien L’Aurore et j’ai enquêté dès le lendemain auprès de la morgue et des services hospitaliers, également auprès des établissements et des riverains qui longeaient la Seine. J’ai accompagné le colonel Raymond Montaner, commandant de la Force de police auxiliaire des harkis de Paris, dont le rôle principal était la protection des Algériens de la région parisienne contre les exactions du FLN, qui a enquêté en compagnie de ses deux adjoints, le capitaine de Roujoux et le lieutenant Champsavin. Voici le résultat absolument vérifiable de ses conclusions :
Il n’y eut, cette nuit du 17 octobre, aucune intervention anormale des pompiers parisiens, ni de police secours, ni de la Croix-Rouge, ni d’aucun service d’ambulance. 2.300 blessés en une seule nuit, cela laisse pourtant des traces, non ? Toutes les urgences et même les cliniques privées auraient dû être totalement débordées. Où sont donc passés ces 2.300 blessés ? Disparus comme par magie !
Après mon enquête auprès de l’Institut médico-légal (la morgue), je constate que celui-ci n’a enregistré aucune entrée de corps de « NA » (NA = Nord-Africain, dans la terminologie de l’époque). Il n’a reçu, entre le 18 et le 21 octobre, que 4 cadavres de « NA » :
- Le 18 octobre, Achour Belkacem tué par un policier invoquant la légitime défense et Abdelkader Benhamar mort dans un accident de la circulation à Colombes.
- Le 20 octobre, Amar Malek tué par balles par un gendarme.
- Le 21 octobre, Ramdane Mehani, mort dans des circonstances inconnues.
Mais ceux qui nous gouvernent aujourd’hui et qui disent tout haut que « les Algériens qui manifestaient pour leur indépendance ont été tués lors d’une sanglante répression » sont sans doute persuadés que les médecins légistes et les fonctionnaires d’État ont été « payés » ou ont subi des pressions afin de « dissimuler » ces 200 à 300 cadavres… et que, depuis plus de cinquante, ans ils se taisent !
Ces mêmes archives inscrivant les entrées de corps « NA par jour » nous apprennent que, pour tout le mois d’octobre 1961, les 90 corps enregistrés par l’Institut médico-légal étaient, pour la plupart, des victimes du FLN. Et que pour l’intégralité de l’année 1961, 308 cadavres de « NA » sont passés par l’IML, en très grande majorité exécutés par le FLN dans sa guerre contre les messalistes. Sur ces 308 cadavres de « NA », 34 retrouvés dans la Seine ou la Marne notamment étaient des harkis, des partisans de la France, ou des membres du MNA (Mouvement national algérien), une des méthodes d’assassinat du FLN consistant à noyer ses opposants. Ces chiffres cités dans les différents ouvrages que j’ai publiés ainsi que dans mes articles. Aucun n’a jamais été contesté. Une fois pour toutes, rétablissons la vérité sur ces événements.
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lundi, 20 octobre 2014
Dans Présent de jeudi dernier, un bel article sur la Casapound...
Présent du jeudi 16 octobre 2014 cliquez ici
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samedi, 18 octobre 2014
Le nouveau numéro (n°61) de Terre et peuple magazine est paru :
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jeudi, 16 octobre 2014
Jeudi, c'est le jour de Rivarol :
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mercredi, 15 octobre 2014
La pièce de BHL, "Hôtel Europe", s'arrête prématurément, faute de spectateurs
Source France TV infos cliquez là
La pièce, jouée depuis le 11 septembre, s’arrêtera le 16 novembre au lieu du 3 janvier, indique le théâtre de l'Atelier aux "Inrocks".
Les venues de François Hollande, Manuel Valls ou encore Nicolas Sarkozy n'ont pas convaincu le public. Hôtel Europe, la nouvelle pièce de théâtre de Bernard-Henri Lévy, va s'arrêter avant la date prévue, affirme le magazine Les Inrocks, mardi 14 octobre. Jouée au théâtre de l'Atelier depuis le 11 septembre, elle prendra fin le 16 novembre au lieu du 3 janvier, indique le théâtre parisien à l'hebdomadaire. "Le moins que l'on puisse dire, c'est que c'est très calme au niveau des réservations", commente le lieu, dont la capacité affiche 563 places.
Une pièce "sans relief", pour Culturebox
Culturebox avait décrit une pièce "sans relief", évoqué "deux heures à tourner en rond au milieu des obsessions de BHL", et souligné des approximations. De son côté, Le Monde (article payant) avait critiqué "one-man-Bosnie-show signé BHL", révélant "des considérations certes humanistes, mais d'une banalité confondante sur le destin de l'Europe".
Le comédien Jacques Weber avait confié au Figaro avoir perdu 30 kilos pour interpréter le rôle principal. Un régime draconien qui, finalement, n'a pas servi à grand chose.
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vendredi, 10 octobre 2014
Strasbourg en rouge et blanc pour l’« Alsatian Pride »
José Meidinger
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Strasbourg sera ce samedi en rouge et blanc, les couleurs d’une Alsace qui entend descendre dans la rue pour affirmer sa volonté de ne pas être absorbée par la Lorraine et la Champagne-Ardenne. La manifestation alsacienne aura-t-elle le même succès que celle de Nantes pour la réunification de la Bretagne ? Le président du conseil régional d’Alsace y croit en tout cas, n’hésitant pas à proposer un tarif – TER exceptionnel à 5 € – pour permettre à tous les Alsaciens qui le souhaitent de se joindre à ce mouvement de protestation.
L’opposition socialiste – l’Alsace est de droite depuis toujours – crie bien évidemment au loup et dénonce « l’utilisation indue de fonds publics pour financer une manifestation partisane ». C’est oublier un peu vite qu’une vente flash de 12.000 billets Lyon-Paris à 5 euros a eu lieu l’année dernière par la SNCF, cinq jours avant la manifestation pro-mariage pour tous. Et cette offre était bel et bien disponible 5 jours avant la manif des partisans du « mariage » homosexuel et valable uniquement, comme par hasard, jusqu’au 27 janvier 2013, date de la manifestation des partisans du projet de loi. Sur le Net, la SNCF encourageait ses « amis lyonnais » à profiter de cette « opportunité incroyable » en envisageant une « petite séance shopping dans le Marais », le « quartier gay-friendly de la capitale », comme l’avait relevé alors fort opportunément Valeurs actuelles.
Malgré son maire gay-friendly, l’offre alsacienne n’est pas aussi alléchante, mais la manifestation de samedi sera le point d’orgue d’une campagne de sensibilisation de l’Alsatian Pride, la « fierté alsacienne » que mène depuis quelques mois un tout jeune parti régionaliste Unser Land (Notre pays) qui a remis au goût du jour les couleurs alsaciennes Rot un Wiss (rouge et blanc). De nombreux jeunes – et c’est encourageant – ont rejoint les rangs d’Unser Land et n’hésitent pas, à l’image des activistes de Greenpeace, à se lancer dans des démonstrations spectaculaires, drapeau Rot un Wiss en tête. Ces jeunes militants ne sont pas effarouchés par la notion d’autonomisme et n’hésitent pas à l’expliquer aux badauds qui les encouragent dans leurs actions d’éclat. « N’ayez pas peur, même soyez fiers de votre histoire. Nous devons à ceux qui nous ont précédés, qui se sont battus pour préserver notre droit local, notre culture, notre langue, d’être ce que nous sommes ».
Unser Land milite enfin pour que le drapeau alsacien retrouve droit de cité. « Un vrai drapeau, reconnu, comme celui des Corses, des Bretons ou des Basques. Qui a sa place sur le fronton de nos mairies, entre le drapeau national et le drapeau européen […] Mir welle bliewe, wàs mir sin ! Nous ne voulons pas disparaître dans un mariage forcé contre-nature. Nous voulons rester ce que nous sommes et nous le faisons savoir. »
Contre toute forme de dissolution ou « d’incorporation forcée » de l’Alsace dans des ensembles interrégionaux artificiels : ils seront nombreux à le faire savoir samedi à Strasbourg, où l’on pourra se rendre compte, comme disait la grand-mère de l’un de mes amis, que mine de rien « les Alsaciens sont tous français, dommage que les Français ne soient pas tous alsaciens, on ne serait pas dans la m… »
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jeudi, 09 octobre 2014
Le bilan africain de Nicolas Sarkozy

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Jeudi, c'est le jour de Rivarol :
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mercredi, 08 octobre 2014
Le nouveau numéro de "Réfléchir et Agir" est sorti
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lundi, 06 octobre 2014
Manif pour tous : on ne lâche rien
Gabrielle Cluzel
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Ils sont revenus. Égaux à eux-mêmes, souriants, déterminés. Et surtout incroyablement nombreux. Deux ans que ça dure ! 500.000 selon les organisateurs, 70.000 selon la police, toujours aussi… facétieuse. Comme si rien ni personne ne pouvait réussir à les essouffler, les dissuader, les faire douter.
Ils ont résisté à tout, même aux manœuvres de diversion les plus sophistiquées : L’Express titrant, il y a trois semaines, « La manif pour tous commencerait-elle à digérer le mariage pour tous ? », ou Manuel Valls jurant ses grands dieux que jamais dans ce pays la GPA ne serait légalisée. Certains l’appellent en secret LCPT, Le Cauchemar Pour Tous. Cauchemar pour le gouvernement, bien sûr, mais aussi pour la droite, mal à l’aise, que LMPT regarde comme l’œil regarde Caïn : que votre oui soit un oui. Pas un « on-va-réécrire-la-loi-en-tout-cas-on-empêchera-la-GPA-enfin-disons-qu’on fera-ce-qu’on-pourra ».
On dit que ce gouvernement n’a rien fait pour les familles. C’est bien le calomnier, car il les a soudées. Comme personne n’était parvenu à le faire avant lui.
À cette manif, il y avait, coude-à-coude, tous ceux que l’on pensait impossibles à inviter encore ensemble, ceux qui s’écharpent à la fin des repas arrosés, et ceux qui se regardent en chiens de faïence depuis les dernières élections : des sympathisants de l’UMP voisinaient avec des militants du FN, des curés en soutane avec des prêtres barbus à grande croix en bois battant la poitrine, des cathos pratiquants avec des cathos intermittents, et même des athées militants avec quelques musulmans.
Oui, ils étaient tous là, réconciliés, comme on se réconcilie – au moins un temps – autour de la vieille mère qui est à l’agonie. La vieille mère France qui a perdu la boule.
On vient là contre la GPA, on vient là contre la loi Taubira. On vient là parce qu’on ne lâchera pas. Comme on ne lâche pas un noyé passé par-dessus bord que l’on retient par un doigt. Si l’on desserre la prise une seconde, tout est foutu. Mais si on s’y met tous… Rien n’est peut-être perdu.
LMPT est ce doigt. Ce doigt par lequel notre civilisation s’accroche encore au navire avant de sombrer. Tout le reste a basculé. On entendait dire, ce dimanche soir autour de la gare Montparnasse, que LMPT était décidément typée « bourgeoise », ou qu’une présence un peu trop prégnante de certains élus (dont l’allocution, enregistrée, était diffusée sur grand écran) sentait la tentative de « récup’ » politicienne.
LMPT n’est pas parfaite ? Peut-être. Mais on ne refuse pas de saisir un index agrippé au bastingage sous prétexte que la manucure n’est pas nickel. Ce qui compte, c’est tenir. Surtout ne rien lâcher. Moins que jamais.
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jeudi, 02 octobre 2014
Le n°3 de Conflits, la revue géopolitique de Pascal Gauchon, est paru...
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La France vue d'Allemagne...
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La relaxe pour l'ignoble Plantu
Caroline Parmentier
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Si vous caricaturez Christiane Taubira en singe, c’est neuf mois de prison fermes, cinq ans d’inéligibilité et 50 000 euros d’amende. Si vous représentez le pape en train de sodomiser un enfant, c’est la relaxe.
Le dessin, publié le 22 mars 2010 sur le site de Plantu et repris le 3 avril suivant par Le Monde magazine, avait aussitôt fait l’objet d’une plainte de l’Agrif pour « provocation à la haine ou à la violence » envers les catholiques. Intitulé « Pédophilie : le pape prend position », il mettait en scène Benoît XVI sodomisant un enfant qui déclarait : « Quitte à se faire enculer, autant aller voter dimanche ! », en référence aux élections régionales.
Ce dessin « n’avait ni pour objet ni pour but de stigmatiser la communauté des catholiques ou même l’ensemble du clergé », a estimé la chambre de la presse. C’est l’évidence même ! Et ce même s’il a « légitimement pu choquer certaines personnes et singulièrement des fidèles en raison de l’atteinte portée à la dignité de la figure du pape » (ce dont la chambre se fout totalement).
Dans leur jugement les magistrats, en bons militants politiques, font carrément leur l’argumentation de Plantu. Selon la justice, le propos du dessin était « de dénoncer, certes avec une violence qui, selon l’auteur, répond à celle qu’a constituée le silence institutionnel à l’égard des victimes, la réaction inappropriée de l’Eglise face à ces tragédies, qualifiée de “mur du silence” par le ministère fédéral allemand de la Justice ».
L’Agrif condamné
Sur le fond du dossier, le tribunal a entièrement donné raison à Plantu. « Que l’on aime ou que l’on n’aime pas », ce dessin « ne peut pas tomber sous le coup de la loi », avait plaidé son avocat Christian Charrière-Bournazel (que nous avons plusieurs fois rencontré contre nous à la XVIIe) : « Nous sommes dans la caricature, qui est par nature même excessive ».
Le tribunal a donc condamné l’Agrif à verser à Plantu 2 000 euros pour les frais de justice, mais a rejeté la demande de la défense du dessinateur, qui demandait la condamnation de l’association pour « procédure abusive ».
La femme procureur avait quant à elle estimé que ce ne sont pas les catholiques qui sont visés. Précisant : « Loin de là » !
Voilà la nouvelle justice socialiste rendue par une proportion qui se sent de plus en plus libérée de militants politiques enragés (de ceux qui avaient épinglé le père d’Anne-Lorraine Schmitt, assassinée par un récidiviste remis en liberté, sur leur « Mur des cons »). D’un côté elle protège ses tabous et ses vaches sacrées (Taubira, les Femens etc.) et de l’autre elle vomit son anti-catholicisme haineux.
L’AGRIF fait appel de ce jugement :
« L’ignominie de Plantu s’inscrit dans une pratique continuelle de dérision et de crachat contre les chrétiens. De jure et de facto, le tribunal encourage cela. On sait d’expérience que pareille provocation à la haine contre d’autres communautés serait impitoyablement poursuivie par le Parquet et réprimée par la justice. »
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Jeudi, c'est le jour de Rivarol...
3,50 €, chez votre marchand de journaux.
Un entretien avec Georges Feltin-Tracol
sur son livre choc En liberté surveillée... cliquez ici
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mardi, 30 septembre 2014
Quand La Voix du Nord veut se tapper l'incruste...
Depuis deux ans, Synthèse nationale organise une journée régionale au printemps à Nieppe près de Lille. La deuxième s'est tenue en avril dernier en présence de notre ami Gabriele Adinolfi cliquez ici. Ces journées sont publique et la presse locale y est invitée. Elle ne vient jamais...
Depuis deux ans, à l'initiative de plusieurs associations amies de Synthèse nationale, une journée amicale privée est organisée fin septembre au même endroit. Il s'agit d'une fête familiale dans la plus pure tradition flamande destinée aux militants de la cause nationaliste et identitaire de la région. La seconde du genre s'est déroulée dans une ambiance amicale samedi dernier. Cette réunion étant privée, la presse n'y est donc pas invitée.
Allez donc savoir pourquoi, il suffit que cette réunion soit privée pour que La Voix du Nord insiste lourdement pour y assister. Des fois que la petite bête s'y serait sournoisement glissée...
Voici donc l'article que le quotidien nordiste n'a pas pu s'empêcher de consacrer à la journée familiale de samedi dernier (cliquez ici) :
Nieppe, fête familiale de Synthèse nationale
à la ferme de l’Épinette
Ce samedi, la ferme de l’Épinette a été louée par Synthèse nationale, revue d’extrême droite, pour une «grande journée familiale et militante». La deuxième, la première s’étant tenue en septembre de l’an passé. «Une fête privée, une journée de détente. On ne fait pas de politique» sourit Luc Pécharman à l’initiative de cette journée, où l’on ne pouvait assister que sur réservation moyennant 15 euros par repas. «C’est réservé aux militants», résume-t-il.
Pourquoi Synthèse nationale se réunit-elle toujours dans la région à l’Épinette ? Parce c’est fiable : pas de crainte de voir le loueur se désister au dernier moment dans la mesure où Gaston Lemaire, le propriétaire, est militant du Front National, troisième sur la liste Bleu Marine de Didier Lejeune à la dernière élection municipale où cette liste a obtenu un siège. Quand on rapproche son mouvement du Front national, Luc Pécharman qui a quitté le FN en 2007 et se trouve délégué régional de la Nouvelle droite populaire, s’indigne « On ne se reconnaît pas dans le Front de Marine de Pen ». Sa revue a lancé une nouvelle revue, Cahiers d’histoire du nationalisme. Léon Degrelle, Belge nazi, antisémite, xénophobe et négationniste, a fait l’objet du premier numéro. Jacques Doriot, à base d’archives du père de Didier Lejeune, est sorti le 11 septembre.
Quant à Gaston Lemaire, le propriétaire de la ferme, il avance qu’il loue à qui paie. C’est vrai qu’il y a des mariages, des fêtes étudiantes ou techno… Mais c’est vrai aussi que l’endroit est devenu le lieu de rassemblement de l’extrême droite de la région Flandre-Artois-Hainaut.
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samedi, 27 septembre 2014
Eolien : une gigantesque escroquerie - La transition écologique aux frais du contribuable
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L’éolien est une « gigantesque escroquerie » économique de centaines de milliards d’euros pris sur les factures des consommateurs d’électricité des ménages français. Il est en passe de détruire la France.
Un bilan économique désastreux : une industrie outrageusement subventionnée depuis 10 ans
En 2013 les 5 000 éoliennes terrestres implantées sur la France ont produit 2,9% de la production d'électricité nationale. Cette performance peu glorieuse est la conséquence du taux de charge moyen annuel de 24% confirmant que les éoliennes ne sont pas compétitives économiquement.
Pour assurer artificiellement la rentabilité de ces usines d’aérogénérateurs, le mécanisme consiste en un tarif de rachat de l’électricité garanti par l’Etat supérieur de 2 fois au prix du marché de l’électricité. Ce tarif vient a été jugé comme une aide illégale par la Cour de Justice de l’Union Européenne, mais malgré cela il a été reconduit par Mme Ségolène Royal, Ministre de l’Écologie. Une requête en conseil d’état pour le faire annuler définitivement a été déposée conjointement par la Fédération Environnement Durable qui regroupe plus de 1 000 associations par Vent de Colère Fédération nationale et par Contribuables Associés.
L’argent nécessaire pour soutenir l’éolien provient d’une taxe facturée aux consommateurs, la Contribution au Service public de l’électricité (CSPE). Cette taxe est actuellement de 12% et va augmenter rapidement. Elle peut-être considérée comme une surfacturation illégale. Si cela est cas, plusieurs milliards d’euros devraient déjà être remboursés aux usagés avec effet rétroactif. Des consommateurs s’estimant trompés par EDF et ont déjà déposé des plaintes devant les tribunaux civils pour demander le remboursement de cette taxe.
La poursuite du programme de la « Transition Énergétique » sous l’emprise du lobby des industriels du Vent est centré sur l’éolien et il consiste à continuer à implanter sur la France plus de 25.000 machines sur terre et 1 200 le long des côtes. Cette stratégie conduit inexorablement au doublement du prix de l’électricité des ménages français comme cela a été le cas de l’Allemagne qui nous sert de modèle. Elle est donc porteuse d’injustices sociales et il est légitime de la dénoncer lorsque 8 millions de ménages sont déjà en situation énergétique précaire et n'ont plus accès à l'énergie électrique sans des aides.
Il faut ajouter que l’éolien implique aussi :
- la construction d’un nouveau réseau électrique pour collecter et redistribuer le courant. Pour raccorder des milliers de centrales de production d’électricité que seraient tous ces parcs éoliens disséminés sur le territoire, et pour éviter une instabilité des réseaux, ERDF a annoncé 40 milliards d’investissements dont 4 000 kms de lignes Haute tension
- la mise place de compteurs « espions » « linksys qui seront facturé plusieurs centaine d’euros aux consommateurs
- La construction et la remise en fonctionnement de centrales à gaz et à charbon pour pallier à son intermittence, Les éoliennes sont des tueuses du climat comme le démontre l’Allemagne qui est « en avance » sur la France
Trop d’argent dans l’éolien entraîne une corruption galopante
Des alertes internationales se multiplient concernant les origines douteuses de certains fonds investis dans l'éolien. Blanchiment d'argent et paradis fiscaux sont des pratiques qui existent. Le cas emblématique de l'Italie est particulièrement inquiétant. La Maffia et l’argent du crime sont directement impliqués dans les scandales du financement des parcs éoliens. Mais des alertes ont eu lieu dans d’autres pays comme l’Espagne et l’Allemagne.
Il serait regrettable avant toute décision de poursuivre un quelconque soutien à l’éolien avant que le gouvernement français ne fasse une l’analyse complète des réseaux financiers constitués de milliers de promoteurs qui écument tous les pays pour mettre des parcs éoliens et qui ont tissé une toile de sociétés « écrans ».
Cette corruption internationale se double d’une corruption locale d’élus mise en lumières par le dernier rapport du Service Central de Prévention de la Corruption dans son rapport d'activité 2013 au premier Ministre. Un documentaire d’Armel Joubert des Ouches (NDLR cliquez ici), journaliste indépendant, ancien correspondant et responsable régional de TF1, vient mettre en pleine lumière les méthodes utilisées par les promoteurs éoliens. Robert Werner qui a été Grand reporter et rédacteur en chef à TF1 lui a apporté son concours. Ce film analyse la corruption qui règne dans le système éolien et met en évidence, à l’aide de témoignages, les méthodes utilisées par les promoteurs éoliens pour arriver à leurs fins.
Il est fondamental de bien comprendre que l’industrie du Vent ne prospère que grâce à de l’argent public provenant des citoyens. Elle s’abrite sous le parapluie européen et sous un faux prétexte d’écologie mais en réalité elle n’a que l’unique but que de s’enrichir. Des sociétés prospectent tous les maires ruraux et les propriétaires terriens, pour implanter un maximum d’éoliennes. Ils promettent des redevances élevées et ils achètent virtuellement les communes en pratiquant un racket rampant du territoire à travers des sociétés pratiquement sans capital. En France les acteurs locaux de la défense du patrimoine, des sites et des paysages ainsi que les associations de la Fédération Environnement Durable, mettent de plus en plus souvent en cause des prises illégales d’intérêt de nombreux élus locaux, bénéficiaires de futurs rentes éoliennes et néanmoins acteurs des délibérations communales figurant dans les dossiers De nombreuses plaintes pour prises illégales d’intérêts d’élus sont en cours d’examen par la justice.
Tous ces mécanismes de corruption laissent planer des doutes sur l’ensemble des décideurs publics les plus proches des citoyens mais aussi sur tous les élus français et la classe politique en général.
Le Parlement s’il vote ce programme de Tansition Energétique asservi aux industriels du Vent fermerait les yeux sur les fraudes et la spéculation. Il cautionnerait un système opaque et immoral.
* Président de la Fédération environnement durable
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jeudi, 25 septembre 2014
Dans Présent d'aujourd'hui : un entretien avec Alain Renault sur le Cahier d'Histoire du nationalisme consacré à François Duprat
Dans la livraison d'aujourd'hui du quotidien Présent, vous pourrez lire un entretien avec Alain Renault, maître d'oeuvre du n°2 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré à François Duprat et au nationalisme-révolutionnaire (cliquez ici).
Présent est en vente dans les kiosques ou sur abonnement cliquez là
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Jeudi, c'est le jour de Rivarol :
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lundi, 22 septembre 2014
La France, royale et éternelle
Robin de la Roche
Boulevard Voltaire cliquez ici
Comme 2.453.000 Français, j’ai regardé ce samedi soir l’émission de France 2 consacrée au patrimoine extraordinaire que recèle la France, notre pays. Je ne m’attarderai pas sur les approximations historiques qui sont le lot forcé de ce type d’exercice télévisuel. Ne gâchons pas notre plaisir. Cette émission présentait un classement fondé sur des votes enregistrés sur le site Web de France 2, et c’est là que ça devient intéressant…
Les trois sites ayant recueilli le plus de suffrages sont :
3) la place Stanislas à Nancy ;
2) la cathédrale de Strasbourg ;
1) le monastère royal de Brou.
Mais que fait la police ? Où est la mosquée de Vénissieux dans ce trio de tête du classement des monuments préférés des Français ? Et le Centre Pompidou et ses tuyères colorées ? Et la très-maçonnique et cathophobe tour Eiffel ? Ou alors… ou alors, se pourrait-il que nos concitoyens soient plus attachés à leurs racines que ne le souhaiteraient nos désespérants politiciens universalistes ? Est-il possible que les Français soient amoureux d’une France qui ne commence pas le 14 juillet 1789 ? Nous aurait-on menti ?
On le sait – mais on ne le dit pas assez -, les Français adorent la France – la vraie – et ne manquent pas une occasion de visiter l’un ou l’autre de ses trésors. Et même si, parfois, on entend tel parent raconter un petit peu n’importe quoi à ses enfants sur le lieu visité (que n’ai-je entendu comme âneries à Versailles !), au moins ceux-là ont le mérite d’emmener ceux-ci voir autre chose que « Di$neyland » !
La France, construite par nos rois en treize siècles et défigurée par la République en deux, est un écrin unique au monde. Se sentir Français – ce qui sera toujours bien plus puissant que n’importe quelle pièce d’identité – est à la fois un privilège démesuré et une charge qu’il faut honorer : il nous faut transmettre à notre descendance ce que nous avons reçu et l’amour d’icelui.
Dans l’émission de samedi, l’émotion était palpable lorsqu’une conservatrice de Reims exhiba la Sainte Ampoule. Si le contenant est récent – l’ampoule, brisée à la Révolution, fut refaite pour le sacre de Charles X –, le contenu remonte à la nuit des temps : lorsque l’ampoule fut détruite, on sauva quelques parcelles de l’huile sainte séchée, celle-là même qui servit au baptême de Clovis des mains de saint Remi.
La France, le pays réel, c’est celui qui a, au fond de son âme, mémoire de ces instants-là, de cette union entre le trône et l’autel, qui fait qu’en France on ne couronne point le roi, mais on le sacre.
La France réelle, c’est celle qu’aucun manuel pédagogique de quelque Najat ou Peillon ne pourra jamais faire oublier aux petits Français, car nous y veillons ! Le soir, dans le secret de leur maison, au plus fort de la propagande « ripoublicaine », il y aura toujours un père et une mère, bons Français, pour s’asseoir à côté de l’enfant qui va s’endormir et lui dire, d’un air mystérieux… « Et maintenant, il faut que je te raconte quelque chose… C’était il y a bien bien longtemps…»
Aucune Najat ni aucun Peillon ne seront jamais assez forts pour mettre à bas le plus grand rêve, celui qui fait briller les yeux des enfants autour du monde : la France, éternelle et royale.
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vendredi, 19 septembre 2014
Ecosse : Le vote des étrangers et des vieux a fait échouer le référendum
Le nationalisme écossais revu et corrigé par le SNP socialiste d’Alex Salmond
Source Breiz Atao cliquez ici
La défaite, honorable, des indépendantistes écossais trouve son explication dans le vote des quelques 880 000 non-Ecossais qui représentent 17% de la population du pays. En acceptant de les laisser voter, les indépendantistes socialistes ont eux-mêmes créé les conditions de leur échec.
Un demi-million de Britanniques en Ecosse
C’est sans doute possible parce que le Parti National Ecossais (SNP), socialiste, n’a jamais remis en cause la consultation du demi-million d’Anglais vivant en Ecosse, un pays qui en compte 5,3 millions, que Londres a accepté la tenue du référendum. En disposant d’une solide minorité de blocage, le gouvernement britannique a pu aborder le référendum avec un atout décisif en main.
La presse britannique a abondamment détaillé les intentions de vote de ces résidents installés en Ecosse. Et le verdict est sans appel : 63% d’entre eux entendaient voter contre l’indépendance.
Or, il a manqué environ 300 000 voix aux indépendantistes pour l’emporter.
Les Polonais votent… pour garder leurs papiers
En plus des Britanniques, Londres savait pouvoir disposer du soutien des autres non-Ecossais afin de circonvenir le vote séparatiste. Un sondage réalisé au mois d’août auprès des immigrés polonais résidant dans le pays indiquait que ceux-ci allaient voter en fonction du devenir de leurs visas si l’Ecosse devenait indépendante. L’incertitude prévalait sur le statut européen de l’Ecosse suite aux déclarations anti-indépendantiste de Manuel Barroso.
En conséquence, la libre-circulation assurée aux ressortissants des états-membres de l’UE était en théorie remise en cause. Hors cette libre-circulation était le seul critère qui importait aux yeux des immigrés polonais et d’Europe de l’Est. Pour eux, le devenir du peuple écossais importait peu et ils n’ont pas hésité un instant à faire valoir leurs intérêts comme ceux de Londres sur ceux du peuple qui les accueille.
Les Pakistanais ont aussi eu leur mot à dire
Les pakistanais ont également eu leur mot à dire. Représentant plus de 150 000 personnes, cette immigration sait ce qu’elle doit au gouvernement anglais et perçoit l’indépendance écossaise comme une menace directe. Les deux tiers d’entre eux voulaient voter contre le “Oui” à l’indépendance.
Les Ecossais de la diaspora privés de vote
Tandis que Pakistanais, Anglais ou Polonais étaient appelés à voter par Alex Salmond et son parti, les Ecossais de la diaspora se voyaient priver du droit de voter. Une diaspora forte de millions de personnes à travers le monde. Le logiciel du “droit du sol” cher aux indépendantistes de gauche a logiquement joué à fond et produit les fruits qu’il est voué à produire.
Lorsque l’on retranche les votes des étrangers – Anglais, Européens de l’Est et extra-Européens – les Ecossais de souche ont bel et bien voté pour leur indépendance.
Les vieux coresponsables
Les vieux sont, avec les étrangers, les moteurs de la victoire du “Non”. 65% des plus de 50 ans en Ecosse s’opposaient à l’indépendance. Soucieux de leurs rentes, ils perçoivent l’indépendance comme une remise en cause de leurs intérêts. Sans surprise, ce sont ces mêmes générations qui soutiennent l’immigration afin de “payer les retraites”, la pyramide des âges résultant de leur faible taux de natalité ayant engendré une crise démographique.
Des enseignements à tirer
Il y a plusieurs enseignements à tirer de cette consultation. Tout d’abord, la défaite des indépendantistes, largement causée par leur orientation idéologique socialiste, n’est pas écrasante. L’Ecosse n’a retrouvé son parlement autonome qu’il y a 15 ans et les indépendantistes ne sont arrivés au pouvoir qu’il y a 7 ans. Parvenir – contre les médiats britanniques et la totalité des partis anglais et des responsables européens – à rassembler près de 46% des suffrages constitue une véritable performance en un temps historique aussi court.
Ensuite, il apparaît comme évident que l’indépendantisme de gauche, en soutenant une interprétation non-ethnique du nationalisme, a créé les conditions de son propre échec politique. En refusant, par conviction ou par peur, d’empêcher les étrangers de voter sur une question qui ne les concerne pas par définition, les indépendantistes du SNP ont donné à Londres les moyens de son succès.
S’ajoute à cela un clivage générationnel patent. L’égoïsme des plus des Baby Boomers est le fil conducteur de leur comportement politique : pro-immigrationnistes, court-termistes, uniquement soucieux de leur bien-être et de leur patrimoine, ils ont pris en otage le destin de la jeunesse écossaise. Sans surprise, leur parasitisme a convergé avec celui des Anglais et des immigrés extra-européens.
Cependant l’échec écossais est relatif. Il est plus un début de processus qu’une fin et l’éviction progressive des générations conservatrices permet d’entrevoir des évolutions décisives pour ce pays. En quelque sorte, c’est la fin d’une certaine forme d’indépendantisme socialiste et le début d’un autre. Les petites nations d’Europe n’auront d’autre choix que de se doter de formations politiques résolument nationalistes en lieu et place de cet “indépendantisme de gauche” dépassé.
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Sortie en kiosque aujourd'hui d'un numéro exceptionnel de "Présent" consacré aux manifs du 5 octobre
Les manifestations du 5 octobre (Paris et Bordeaux) se préparent dès aujourd’hui avec le nouveau hors-série de Présent qui est vendu en kiosque : GPA, PMA, gender… C’est non !
Au sommaire ? Des entretiens avec Marion Maréchal-Le Pen, Ludovine de La Rochère, Béatrice Bourges… mais aussi Albéric Dumont (coordinateur national LMPT), Philippe Brillaut (le courageux maire du Chesnay, représentant des élus à la Manif pour tous). Et des entretiens avec les porte-parole de mouvements comme le collectif Stop Gender et les Antigones.
Tout ce que vous devez savoir sur les manifs du 5 octobre est dans Présent hors série. En vente chez votre marchand de journaux, huit pages, 2,50 €
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jeudi, 18 septembre 2014
Jeudi, c'est le jour de Rivarol :
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dimanche, 14 septembre 2014
Femen : que les juges complaisants prennent garde
François Teutsch
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Les faits sont simples : le 12 février 2013, à l’occasion de la renonciation du pape Benoît XVI à sa charge, neuf Femen ont pénétré dans la cathédrale Notre-Dame de Paris et, juchées seins nus sur le socle de trois cloches, exposées provisoirement dans la nef à l’occasion du jubilé des 850 ans de l’édifice, ont crié « Pope No More » tout en tapant à l’aide de bâtons sur les cloches, qu’elles ont légèrement dégradées. Citées à comparaître devant le tribunal correctionnel pour dégradation volontaire, elles ont été relaxées le 10 septembre dernier au motif que les éléments soumis au tribunal ne permettaient pas de leur imputer avec certitude les dégradations. En revanche, les vigiles ont été condamnés à des peines d’amende avec sursis… Le parquet a interjeté appel de ce jugement.
Voilà pour les faits. Reste le scandale de poursuites inadaptées, du fait du ministère public. Reprocher aux Femen des dégradations matérielles était le plus sûr moyen de les faire relaxer : la décision du tribunal est logique ; la cour d’appel ne la réformera sans doute pas.
La vraie question n’est pas celle des cloches ! Elle est celle de l’intrusion dans un édifice religieux de neuf hystériques dont le but affiché est de provoquer, de choquer, de ridiculiser. Il suffit de voir les photographies de l’événement pour constater le regard effaré des touristes, manifestement choqués de cette mise en scène dans un lieu que chacun – croyant ou non – s’accorde à reconnaître comme sacré. Dans une société libérale – et prétendument libérée –, faut-il que la religion catholique dérange à ce point pour être la cible unique d’excitées du téton qui seraient bien incapables, d’ailleurs, de dire en quoi la parole apostolique les empêche de vivre comme elles l’entendent ?
Les chrétiens étant, dans notre Occident décadent, la seule minorité qu’il est permis de ne pas respecter, le parquet n’a pas pensé à user des dispositions qui lui permettaient de poursuivre efficacement ces militantes. La justice, une fois encore, a montré qu’elle appliquait la vieille règle du deux poids deux mesures. Quand elle est forte avec les faibles et faible avec les forts, elle ne craint ni le courroux des chrétiens, ni l’opprobre de la presse, ni les pressions du pouvoir. Mais le jeu qui consiste à juger en fonction de la capacité de nuisance de la victime risque de se retourner contre elle ! Lorsqu’elle aura à juger les incendiaires musulmans d’une synagogue, lui faudra-t-il s’indigner de l’acte antisémite ou refuser de stigmatiser une communauté habituée à la coupable indulgence des juges ?
L’autre vraie question est celle des attaques systématiquement portées contre les chrétiens et les symboles de leur foi. Bien sûr, à côté de ce qui se passe en Irak, cette danse pectorale n’a qu’une gravité relative. En apparence seulement : à force d’accepter ces manifestations d’hostilité, on prépare les esprits à une forme d’indifférence qui, le jour où surviendront de vraies persécutions, se révélera dans toute son ampleur. Ne sous-estimons pas la portée de ces actions : ne serait-ce pas leur seul objet ?
Que nos juges complaisants prennent garde. À force de mépriser les chrétiens, ils sapent les fondements – chrétiens – du droit pénal dont l’application leur incombe. Et ils soufflent sur des braises qui ne demandent qu’à s’enflammer.
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vendredi, 12 septembre 2014
"Si Esteban avait été une Femen..." Dans Présent d'aujourd'hui : un entretien avec Serge Ayoub
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Jeudi, c'est le jour de Rivarol :
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