lundi, 16 juin 2014
Les jihadistes progressent en Irak...
Jeudi 12 juin, des islamistes membres du groupe jihadiste de l'Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL) ont pris le contrôle de la ville de Tikrit, chef-lieu de la province de Salaheddine, en Irak. Mossoul, la deuxième ville du pays, est déjà tombée entre leurs mains. Ils projettent d'attaquer ensuite Samarra. La route Vers la capitale Bagdad s'ouvre inéxorablement. Lors de cette progression vers le sud du pays, les islamistes ont libéré plus de 300 prisonniers. Ce qui ne peut que renforcer leurs troupes et leur emprise sur cette région.
Selon l'Organisation internationale pour les migrations (OIM), cette insurrection a poussé plus de 500 000 personnes à l'exode dans la région de Mossoul. Les Irakiens peuvent remercier les Etats-Unis d'avoir apporté la Démocratie et les Droits de l'Homme. Il est vrai que depuis leur immonde déclaration de guerre en 2003, l'Irak est devenu un pays pacifié où il fait si bon vivre...
Les attentats pratiquement quotidiens et le développement des groupes islamistes ne sont que les conséquences de l'invasion américaine. Si le pays a sombré dans un tel chaos, il ne faut pas chercher bien loin les responsables : merci qui ? Merci les Yankees !
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dimanche, 15 juin 2014
Un Piège : le traité transatlantique...
Le Réveil de l'Anjou (bulletin du MNR)
Beaucoup de Français ignorent cette machine de guerre économique que préparent les E.U. contre l’Europe avec la complicité de la Commission européenne : le Traité transatlantique… Et pour cause. D’un commun accord entre la commission et le gouvernement américain, les négociations doivent être tenues secrètes et les gouvernements européens ont donné délégation à la Commission européenne pour négocier à leur place : un scandaleux abandon de souveraineté préfigurant l’Europe fédérale, but poursuivi avec opiniâtreté par les eurocrates. De quoi s’agit-il ? De la constitution d’une sorte de marché commun ou de zone de libre-échange entre les E.U. et l’Europe comme ceux déjà établis avec des pays d’Amérique latine et du Sud-Est asiatique. La suppression des droits de douane et la révision des normes seraient les axes principaux de ce traité. Les droits de douane sont déjà bien bas. Leur suppression ne pénaliserait pas exagérément les pays européens. Il en irait autrement avec l’harmonisation des normes qui constituent une arme efficace pour la défense des produits européens en protégeant ceux-ci de l’envahissement de produits américains obtenus à bas coût parce qu’ils s’affranchissent de contraintes, - sanitaires notamment, - auxquelles sont assujettis les produits européens : interdiction d’O.G.M., des boeufs aux hormones, de conditionnement de volailles (lavage à la javel), etc. D’autre part, la notion d’appellation contrôlée n’existant pas aux E.U., les Européens devrait l’abandonner ou tout au moins la transformer pour permettre une meilleure introduction des produits américains sur le marché européen.
OBAMA a récemment dit à ses compatriotes que le Traité transatlantique profiterait à hauteur de 80 millions de dollars par an aux E.U. A hauteur de combien profitera-t-il à l’Europe ? Enfin le projet prévoit que des multinationales pourraient attaquer des Etats devant une juridiction internationale ad-hoc si elles se jugeaient lésées par l’un d’eux. Par exemple telle compagnie produisant du jus de fruit pourrait attaquer l’Etat qui prendrait des mesures sanitaires interdisant sur son sol tel de ses produits. Cette disposition donne la mesure de l’énorme puissance de certaines multinationales qui dictent leurs exigences aux autorités politiques nationales et internationales. Si Angela MERKEL a mis la pédale douce sur ce dangereux projet, HOLLANDE y a déjà donné son plein acquiescement, en bon vassal d’OBAMA qu’il est. On raconte que lors d’une réunion de chefs d’Etat (le G 9 ?), lorsque la parole fut donnée à HOLLANDE, POUTINE dit qu’il n’était pas nécessaire de l’entendre ; qu’il suffisait d’écouter OBAMA. Le Traité transatlantique s’inscrit dans la stratégie impérialiste américaine qui passe par l’arrêt de toute velléité d’une Europe-puissance capable de jouer un jeu indépendant entre les E.U. et la Russie. Un axe Paris-Berlin-Moscou est un cauchemar pour Washington. Il lui faut une Europe vassalisée et qui ne soit pas un concurrent économique de poids. Les dernières élections européennes signifient un premier sursaut du Vieux continent pour s’affranchir de la tutelle etats-unienne. Puisse-t-il aller jusqu’au bout de sa logique et façonner une Europe des nations capable de peser sur la marche du monde en toute indépendance !
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LA BNP PARIBAS OU LA PREUVE PAR NEUF
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La BNP Paribas est menacée par les Etats-Unis d’une amende phénoménale estimée entre 10 et 16 milliards de $. A titre de comparaison, la banque la plus exposée dans le scandale des subprimes, l’Américaine JPMorgan, n’a écopé que de 13 milliards de $. Il faut donc croire que le crime commis par la BNP est épouvantable.
Que lui est-il reproché exactement ? D’avoir fait, entre 2002 et 2009, des transactions légales de marchandises autorisées avec Cuba, le Soudan, la Libye, l’Iran et la Birmanie, des pays sous embargo américain. Mais pas sous embargo français. Et la BNP n’a pas œuvré depuis le territoire américain, mais par l’intermédiaire d’une filiale installée en Suisse. Alors qu’a-t-elle fait de si méchant ? Tout simplement d’avoir utilisé le billet vert dans ses transactions, sous la forme d’une simple écriture dans le système new-yorkais de compensation interbancaire. C’est que la très vertueuse Amérique ne transige pas avec l’honneur quand il s’agit du billet vert qui est, comme chacun sait, la plus grande création de Iahveh.
Alors, l’oncle Sam a lâché les loups, en l’occurrence le procureur fédéral de l’Etat de New York, mais surtout le procureur général des Etats-Unis, Eric Holder, et la patronne de la division criminelle du département de la Justice, Leslie Cadwell. Ce qui n’empêche pas l’hypocrite Obama de dire que dans son pays, le pouvoir politique et le pouvoir judiciaire sont parfaitement cloisonnés.
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jeudi, 12 juin 2014
Le nouveau numéro de Réfléchir et agir :
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Jeudi, c'est le jour de Rivarol :
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mercredi, 11 juin 2014
Le Pen: dérapage ou débat de fond ? La ligne du parti en cause, entre Canal-Historique et Canal-Respectacle
Raoul Fougax
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Le tollé provoqué au Fn par la « fournée » de Le Pen père, incluant la condamnation de sa fille et sa riposte, est sans doute la dernière étape de la mue du Fn. La mise à mort du « père » est un classique dynastique.
Pour certains, il est temps que Jean-Marie Le Pen se taise et prenne sa retraite- c’est le très fantasque Collard qui l’affirme- sous entendu, il a fait son temps, il ne sait plus ce qu’il dit, il est gâteux. Ce jugement est le plus facile et permet au « Fn canal respectable » de se laver les mains de la crucifiction médiatique de son ancien messie.
Il y a cependant une autre explication, comme le disait un militant de la droite plus radicale : « Au Fn les collabos font de la résistance ». Derrière cette boutade il y a une réalité, c’est une ligne de rupture entre le Front de Jean-Marie et le mouvement bleu marine. Pour les marinistes, il faut s’adapter à l’époque mais ils admettent aussi certaines valeurs et une lecture de l’histoire. Pour les frontistes purs et durs, il faut lutter contre l’idéologie dominante et ses vérités auto-proclamées. Seul un langage libre peut changer au fond les choses.
En gros, d’un côté on veut prendre le pouvoir ou y participer, de l'autre il ne sert à rien de se normaliser en se reniant. Il y a deux logiques et deux sensibilités. Il y a certes un fossé de génération mais également un fossé idéologique. Si le Front de Marine ne peut plus supporter les paroles du Front de Jean-Marie, cela prouve à quel point, en 30 ans, le politiquement correct a su s'imposer même chez ceux qui affirment le combattre. La preuve par la condamnation de Marine.
Pour la première fois de manière aussi forte, la présidente du Front national a pris la parole pour critiquer clairement la déclaration de son père. Elle confiait dimanche, en exclusivité au Figaro: « Je suis convaincue que le sens donné à ses propos relève d'une interprétation malveillante. Il n'en demeure pas moins que, avec la très longue expérience qui est celle de Jean-Marie Le Pen, ne pas avoir anticipé l'interprétation qui serait faite de cette formulation est une faute politique dont le Front national subit les conséquences. Si cette polémique peut avoir une retombée positive, c'est celle de me permettre de rappeler que le Front national condamne de la manière la plus ferme toute forme d'antisémitisme, de quelque nature que ce soit ».
Répliquant au désaveu de sa fille Marine concernant une vidéo publiée vendredi sur le site du Front national, dans laquelle il suggérait de faire une « fournée » d'artistes anti-fn, Jean-Marie Le Pen a déclaré aux micros de RMC que « la faute politique » était de « s'aligner sur la pensée unique ». « Je considère que la faute politique, c'est ceux qui se sont alignés sur la pensée unique. Ils voudraient ressembler aux autres partis politiques. Si c'est le vœu d'un certain nombre de dirigeants du Fn, ils ont réussi. C'est eux qui ont fait une faute politique, pas moi », a affirmé Jean-Marie Le Pen.
Une polémique interne à aborder avec l’esprit critique pour ne pas être dupe des indignations et instrumentalisations qui vont augmenter vis-à-vis d’un Fn en ascension dans la traque permanente des médias aux propos non conformes. Certes cette traque n’a pas servi à grand chose face aux échecs du système dans tous les domaines. Mais les théoriciens de la diabolisation et du cordon sanitaire n’ont pas renoncé. Jean-Marie Le Pen le sait et son dernier dérapage est une sorte de botte de Nevers ou coup de Jarnac à certains qui veulent lui transformer son « Fn ».
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lundi, 09 juin 2014
Afrique du Sud 1994-2014 : LE NAUFFRAGE
Bernard Lugan
Vingt ans après que Fréderik De Klerk ait hissé Nelson Mandela au pouvoir, la question raciale se pose avec d’autant plus de force qu’il s’agit d’un tabou empoisonnant et conditionnant tout à la fois la vie politique et les rapports sociaux. Contrairement à ce que croyaient les gogos, la pluie démocratique n’a donc pas effacé les rayures du zèbre sud-africain. Quant à l’arc-en-ciel multi-racial, il s’est dissipé sous les orages.
Les élections du mois de mai 2014 furent d’abord raciales. Les Noirs ont en effet massivement voté pour des partis noirs, cependant que les Blancs, les Métis et les Indiens, ont non moins massivement donné leurs suffrages à l’Alliance démocratique. Or, la fracture raciale qui est au cœur de toutes les problématiques sud-africaines va encore s’accentuer au fur et à mesure de la déliquescence de ce qui fut un pays prospère. Sans une croissance pérenne de 5 à 7% par an, l’Afrique du Sud ne pourra en effet pas freiner un chômage qui touche désormais au moins 40% de la population active. En 2013, cette croissance ne fut que de 1,6%[3,6% en 2008, -1,5% en 2009, 2,8% en 2010, 3,8% en 2011, 2,5% en 2012] et au premier trimestre 2014, le PIB a perdu 0,6%, notamment en raison des mouvements sociaux qui paralysent les mines.
Chaque jour qui passe voit donc s’aggraver une situation à ce point catastrophique qu’il est légitime de s’interroger sur les arrière-pensées de ceux qui, en 2011, poussèrent à l’admission de l’Afrique du Sud parmi les « BRICS », ces pays à forte croissance qui ont un poids substantiel dans l’économie mondiale. Cette interrogation est d’autant plus légitime que, pour la période 2008-2012, l’Afrique du Sud dont l’économie est malade, dont le secteur moteur, les mines, est en partie obsolète, a été classée par la Commission économique de l’Afrique ( ONU ) et l’Union africaine, parmi les 5 pays « les moins performants » du continent, devançant à peine les Comores, Madagascar, le Soudan et le Swaziland... Comment espérer voir la situation du pays s’améliorer quand les mineurs réclament plus qu’un doublement du salaire de base, soit 12.500 rands ( 880 euros ) alors que les coûts sud-africains rendent déjà les productions nationales non concurrentielles ? Les sociétés minières ont d’ailleurs quasiment cessé d’investir dans le pays, préférant le faire ailleurs en Afrique et de par le vaste monde. Résultat : comme le secteur minier est le premier employeur privé, le chômage va donc encore augmenter. Face à cette situation, l’Etat-parti ANC n’a que deux options : Chercher à redresser l’économie en empruntant une voie libérale et il provoquera alors une révolution sociale ou appliquer le remède « magique » consistant à accuser le bouc-émissaire blanc et tenter de faire croire que la situation est un héritage de l’apartheid, puis en nationalisant les mines et la terre. C’est naturellement cette seconde voie qu’il va emprunter. Dans un premier temps les mesures seront essentiellement symboliques afin de satisfaire les revendications noires sans casser l’outil économique. Mais, comme elles seront insuffisantes, il lui faudra ensuite davantage ponctionner les Blancs. Or, comme les seuls secteurs qui tournent encore sont précisément ceux que ces derniers contrôlent ( agriculture d’exportation et secteurs de haute technologie ), la « poule aux œufs d’or » sera tuée. Comme au Zimbabwe.
* Cet article de Bernard Lugan est publiée dans sa revue L'Afrique réelle, revue internet par abonnement.
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samedi, 07 juin 2014
VALERIE TRIERWEILER AU SECOURS D’HILLARY CLINTON
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« Il vaut mieux ne pas se disputer avec les femmes. Mais Madame Clinton n’a jamais été élégante dans ses déclarations… Quand les gens dépassent les limites, ce n’est pas par ce qu’ils sont trop forts, mais parce qu’ils sont trop faibles ». Interrogé hier par Europe 1 et TF1 sur les relations entre son pays et les USA, Vladimir Poutine n’a pas loupé l’occasion qui lui était offerte pour dire ce qu’il pensait d’Hillary Clinton qui au mois de mars dernier le comparait à Adolphe Hitler au sujet de l’Ukraine.
C’est on s’en souvient au cours d’une collecte de fonds à Long Beach en Californie que la secrétaire d’état américaine avait confié à l’un des donateurs présent le mépris que lui inspiraient le Président russe et sa politique en Ukraine : « Si vous avez l’impression d’avoir vu ce qui se passe en Ukraine, c’est parce que c’est ce qu’a fait Hitler dans les années trente », avait-elle dit, en ajoutant que l’on pouvait « comparer la délivrance de passeports russes aux ukrainiens qui ont des liens avec la Russie, aux mesures prises par l’Allemagne nazie avant qu’Hitler n’envahisse le pays voisin ». Des propos insultants sur lesquels le Président russe avait choisi de garder le silence, mais qu’il lui a semblé opportun de rompre à la veille des cérémonies du 70e anniversaire du débarquement le 6 juin 1944 et alors que les principaux chefs d’états américains et européens se retrouvent sur le sol français, pour laisser entendre à ses interlocuteurs que la crise ukrainienne devait être abordée avec sérieux et sang froid, l’arrogance ne menant à rien.
Indigné par les pics du Président russe contre Hillary Clinton, Valérie Trierweiler à qui personne n’avait rien demandé, encore moins l’Elysée où le Président russe doit se rendre ce soir pour dîner avec son homologue français, s’est aussitôt empressé de cracher son venin sur le Président Poutine en se déclarant sur Twitter « heureuse de ne pas avoir à serrer la main de Poutine ». Des propos certes dérisoires, mais qui n’en traduisent pas moins l’état de décomposition et d’avachissement intellectuel avancé dans lequel une partie de la classe politico médiatique hexagonale se trouve face à l’arrogance américaine dont Hillary Clinton représente l’archétype le plus achevé.
Rappelons peut-être aussi, histoire de rafraîchir certaines mémoires, qu’en s’exprimant dans la langue de Balzac et non celle de Goethe comme vient de le faire Valérie Trierweilerpour insulter Vladimir Poutine, c’est grâce au peuple russe qu’elle pouvait le faire. Tout autant sinon plus que grâce peuple américain.
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vendredi, 06 juin 2014
LA COUR DES COMPTES ÉPINGLE LES «RENOUVELABLES»… depuis longtemps
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La cour des comptes épingle les énergies renouvelables, hors hydraulique...depuis trois ans. Mais qui s'en soucie au Parlement et parmi les membres du Gouvernement ? Parmi les citoyens, qui a lu les rapports de la Cour des comptes de février 2011, janvier 2012 et de juillet 2013 sur les énergies renouvelables, le nucléaire et la transition énergétique ? Qui a lu le rapport du Commissariat général à la stratégie et à la prospective ( CGSP ) de janvier 2014 intitulé « La crise du système électrique européen » ?
L'énergie est pourtant le fondement de toutes les civilisations modernes. Une meilleure connaissance des réalités et des enjeux énergétiques permettrait à chacun d'une part d’intervenir dans le débat public sur l’énergie pour ne plus se laisser abuser par des lobbies divers, fussent-ils « verts» et, d'autre part, de disposer d'arguments pour se faire entendre. Mais une question complexe est occultée et donc rarement traitée : les coûts et tarifs de l’électricité dont la production doit répondre en permanence au besoin variable. Aborder ce sujet implique de dire la vérité et donc de s’exposer à la vindicte de l’écologie politiquement correcte.
Le rapport de février 2011 analysait déjà le surcoût de l'électricité « renouvelable ». Il indiquait que « le caractère incontrôlé » du photovoltaïque avait entraîné un « effet d'aubaine » et des surcoûts. Il qualifiait la CSPE « d'imposition innommée » car frappant tous les consommateurs. Cet « impôt » aurait dû faire l'objet « d'un contrôle du Parlement, conformément au principe constitutionnel du consentement à l'impôt ». On peut donc légitimement se demander comment un lobby écologiste a pu créer un impôt par décret, sans vote et sans contrôle du Parlement.
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jeudi, 05 juin 2014
Les Femen : une belle bande d’idiotes utiles ?
Gabrielle Cluzel
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Il y a quelques jours, les Femen ont encore frappé. Et de quelle façon… On commence à dire entre haut et bas, même parmi ceux qui les trouvaient au début follement sexy, excitantes, transgressives, décapantes, que l’heure est venue de siffler la fin des festivités, de rhabiller les petites et de les renvoyer fissa au vestiaire. Avant que ces jolies quiches ne fassent des dégâts irréparables et n’obtiennent tout le contraire du résultat escompté.
C’était sur leur page Facebook : elles entendaient poursuivre de leur vindicte Marine Le Pen. Celle-ci avait en effet appelé, lors d’un meeting, à « faire des enfants français »… Bon. La vérité est que quel que soit, par ailleurs, le jugement que l’on puisse porter sur leur auteur, on cherche désespérément dans ces propos un objet de scandale.
C’est quand même la moindre des cohérences pour qui prétend œuvrer contre le Grand Remplacement, celui-ci étant autant le fait d’une population allochtone qui cherche à pénétrer que d’une population autochtone qui se laisse mourir à petit feu. Quand il n’y a plus personne pour reprendre une maison de famille, quand le dernier héritier est resté vieux garçon et n’a pas eu de descendance, il n’y a pas d’autre issue que de brader la bâtisse à des étrangers. Et quiconque prétendrait garder par-devers soi son trésor qu’est sa civilisation, sa culture et la terre de ses ancêtres sans vouloir d’enfant ressemblerait à ces vieillards solitaires dont on voit la tête blanche s’agiter derrière le rideau de certaines maisons bourgeoises, et qui n’entrebâillent la porte avec méfiance qu’à l’auxiliaire de vie venu faire leur toilette.
Sans ce corollaire nataliste, toute politique visant à contrer une immigration galopante donnerait raison à ceux qui parlent d’égoïsme et de repli sur soi. « Seigneur ! préservez-moi, disait Victor Hugo, [...] de jamais voir l’été sans fleurs vermeilles, la cage sans oiseaux, la ruche sans abeilles, la maison sans enfants. » La maison France, par exemple. Les Femen voudraient-elles aussi faire la peau à Victor Hugo ?
Car la déclaration les a mises en pétard, et elles ont décidé à leur tour de lancer un appel, dans ce style « grande classe » qui leur appartient. Un appel à « toutes les Françaises à baiser, sucer, se faire lécher, branler, doigter, pomper, niquer autant d’étrangers qu’elles le peuvent (…) ». Une attaque injurieuse, non pas contre Marine Le Pen mais contre toutes les Françaises, promues poupées gonflables multifonctions, en même temps qu’une incitation à peine voilée au viol pour tous les zinzins, les frappadingues, les détraqués : une poupée gonflable, n’est-ce pas, comme tous les objets utilitaires, est là pour servir. Et puisque aucune association féministe ne proteste, c’est donc que la proposition est anodine. Normale. À peine un tantinet osée. On aurait tort de se gêner ; les Françaises, regardez, ne demandent que ça.
Mais certains, jusque dans leur propre camp, commencent à en avoir leur claque. Devinent que cette coprolalie, ces éructations, ces corps nus qui se cabrent et se tordent comme dans un remake de L’Exorciste deviennent dangereux. Potentiellement dévastateurs. Car, embarquées dans une spirale infernale, les majorettes topless doivent inventer toujours plus trash, plus gore. Et dans ce jeu malsain où elles campent les possédées, forcément, c’est l’objet de leur exécration qui joue le rôle du saint martyr… En ces temps troublés, tricoter une auréole sur la tête de Marine Le Pen est casse-gueule. Et si les Femen étaient, en fait, une belle bande d’idiotes utiles ?
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mercredi, 04 juin 2014
Entre Bourvil et BHL, portrait-robot du djihadiste 2.0
Nicolas Gauthier
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Alors comme ça, à l’étonnement médiatique général, il y aurait encore en France des esprits exaltés prêts à mettre leur peau au bout de leurs idées… Sans blague ! Et même que ça ferait des morts… Sandec !
Eh bien oui, c’est ainsi. Tout le monde ne rêve pas de finir trader à Wall Street ou de gagner au loto. Après, chacun selon ses rêves ou ses idéaux. Dans les années 60 du siècle dernier, les gosses de bourgeois appelaient révolution et lutte armée de leurs vœux. Pour des Serge July, des André Glucksmann, des Benny Lévy et autres révolutionnaires de Foire du Trône, la démocratie était tenue pour un « vice bourgeois », tandis que la révolution se trouvait au bout du canon.
Quel pastis ! Pour aller court, c’est toute l’histoire de Dominique Raimbourg, relatée par Libération de ce lundi dernier. Un député socialiste de Loire-Atlantique, magistrat vétilleux, ambiance Robespierre, qui se replonge dans ses souvenirs de djihadisme trotskiste, lorsque membre de l’AMR, Alliance marxiste révolutionnaire : « Ils avaient tous des pseudos de héros révolutionnaires. Je trouvais ça ridicule, alors j’ai choisi Zorbec le Gras. De toute façon, on ne s’en souvenait jamais. Au téléphone, ça donnait : Ici, le commandant Machin. Qui ? Ah, c’est toi Gérard ? » Au fait, le Dominique Raimbourg en question n’est autre que le fils d’André Raimbourg, plus connu sous le pseudonyme de Bourvil.
Cette génération aura donc joué à la révolution. Jusqu’au jour où tout bascule. Jeux olympiques de Munich, en 1972. Là, on ne rigole plus : prise d’otages d’athlètes israéliens par l’OLP, police allemande au premier rang et hommes du Mossad en embuscade. Il y a du sang sur le tarmac. Fin de récréation.
De ce jour, nos gauchistes d’opérette demandent l’asile politique au Café de Flore et feront ensuite carrière, qui dans la pub, qui au Monde, à Libération ou au Figaro. Les seuls qui iront jusqu’au bout ? Les desperados d’Action directe, qui persistent à penser que les lendemains du Grand Soir ne comptent pas que pour des prunes. Et aujourd’hui ? Les mêmes en version 2.0 ; mais issus du quart-monde immigré. Ils ne lisent ni Marx et encore moins Bakounine. N’ont du Coran qu’une connaissance issue du téléphone arabe. Se mélangent un brin les pinceaux entre Oumma et McDo, djihad et jeux vidéo. Et, surtout, ont pris pour argent comptant ce qu’ils voyaient à la télévision ou sur Internet : soit l’affreux Bachar el-Assad, que la France de François Hollande a manqué d’aller bombarder.
Ce sont des enfants perdus. Mais qui, au moins, à rebours d’un BHL faisant le beau au Festival de Cannes avec des « démocrates » libyens d’opérette, auront été jusqu’au bout de cette logique absurde. Absurde, quoique finalement logique. Mais guère plus que notre monde finissant, soit dit en passant.
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Des fellouzes et des Viet-Minh dans le défilé du 14 juillet !
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Dans le cadre de ce défilé militaire du 14 juillet, ce gouvernement de rencontre, désormais réduit aux caquets, a décidé – dans le cadre du centenaire de la Grande Guerre – d’inviter quelque soixante pays ayant participé au conflit. Pourquoi pas ?
Sauf qu’il y a deux pays invités qui, en aucune façon, ne sauraient être à l’honneur sur les Champs-Elysées : l’Algérie fellouze et la République socialiste (à savoir : communiste) du Vietnam.
Cette incongruité – et le mot est faible – a « ému » de nombreuses associations d’anciens combattants et de rapatriés, qui soulignent à juste titre qu’une telle invitation est une insulte à la France et à nos soldats tombés en Indochine et en Afrique du Nord.
Un exemple. Le Groupement pour l’indemnisation des biens spoliés ou perdus outre-mer (GNPI) dont le président, Michel Lévy, a écrit au triste et inutile Kader Arif, ministre délégué auprès du ministre de la Défense. Pour lui dire notamment :
« S’agissant de la République algérienne, sans préjudice de la grossière erreur chronologique qui consisterait à conférer aux anciens départements français bordant la rive sud de la Méditerranée un statut d’Etat à l’époque – en 1914 – où leur appartenance à la République française était reconnue par la communauté internationale, des arguments forts existent contre l’invitation de cet Etat. »
Et de les énumérer. Nous résumons : mise en place en Algérie de « valeurs » islamo-marxistes à l’opposé des normes du droit international ; actes de guerre contre les Kabyles depuis des années ; actes barbares de l’ALN et du FLN qui, à partir de 1954, ont massacré les anciens combattants franco-musulmans ; assassinats de masse de populations civiles de toutes origines et de toutes confessions ; destruction des monuments aux morts pour la France (parce qu’on y trouvait des noms musulmans, juifs, chrétiens) ; profanations des cimetières chrétiens et juifs ; l’Algérie est un Etat de non-droit pour les non-musulmans ; etc.
Quant au Vietnam communiste : « Pour des raisons moralement similaires, il serait inconcevable d’inviter au défilé du 14 juillet l’armée de la République socialiste du Vietnam dont le héros suprême demeure, après sa mort naturelle, le sinistre Giap des Vietminh des années cinquante qui avaient commis, avant et après Dien Bien Phu, les pires horreurs de guerre (comparables à celles des nazis) : inhumaines marches forcées de prisonniers blessés ou malades jusqu’aux camps de rééducation (en réalité d’extermination) où les trois quarts des survivants de Dien Bien Phu sont morts des sévices subis. »
Kader Arif a fait répondre grosso modo par son chaouch de service, un certain Manuel Bougeard : circulez, y’a rien à voir, on a des accords de partenariat avec l’Algérie et on a renforcé nos relations diplomatiques avec les Viets…
On en est là. Pour l’heure, tout est programmé pour que le drapeau vert fellouze et le drapeau rouge vietminh soient déployés dans le défilé militaire du 14 juillet. Et quoi de plus pour les commémorations de 1944 ? Le déploiement dans les cérémonies de l’étendard de la division Das Reich ?
Dans le cadre de mon « Libre Journal » sur Radio Courtoisie, le 8 juin prochain (à 8 h 30, rediffusion à 21 h 30), mon invité sera Bernard Coll, président de Jeune Pied-Noir, avec lequel nous ferons le point sur les ripostes qui se mettent en place.
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mardi, 03 juin 2014
Rodéos mortels en banlieue : qui sont ces jeunes qui roulent en Ferrari ?
Marie Delarue
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Soit Noisy-le-Sec, en Seine-Saint-Denis (93), ville de banlieue sur un nœud ferroviaire, entre Romainville, Bobigny et Bondy. Le vendredi après-midi, les gens ordinaires sont au boulot. Je parle ici de ceux qui se lèvent tôt, ou même qui se lèvent tout court. Et puis il y a des gens pas ordinaires qui, ce jour-là, font la fête, et même qui se marient. Je lis d’ailleurs que ça devient très branché, dans les banlieues, de se marier le vendredi.
Bref, vendredi dernier, à Noisy-le-Sec, un père de famille ordinaire était à son boulot. Stationné avec sa camionnette de chantier, il y chargeait des gravats quand une Porsche, qui faisait la course avec un coupé Mercedes dans une rue à la vitesse limitée à 30 km/h, lui est grimpée dessus. Grimpée, c’est bien le mot juste puisque le malheureux a servi de tremplin au bolide pour atterrir dans le tas de gravats. On ne fait pas le poids contre une Porsche lancée à toute allure. Le malheureux n’a pas eu le temps de voir la mort venir.
L’assassin et son ami chauffard, des gens sans doute pas ordinaires, étaient de noce. On ne sait pas le nom des mariés, pas non plus le nom des chauffards – et pourquoi ne le sait-on pas d’ailleurs ? –, mais on a une idée du contenu de leur boîte crânienne : de la bouillie pour kéké, du bling-bling de bas étage, de la frime en veux-tu en voilà, des diams en verroterie, de la Rolex de bazar. Bref, c’était assurément deux c… de la pire espèce.
Comme la mode est aux mariages le vendredi, elle est aussi aux cortèges de frimeurs : des dizaines de voitures dont des bolides dont on fait ronfler les moteurs jusqu’à la limite de la rupture avant de se lâcher pour un rodéo dans la ville.
Excédé par cette surenchère de connerie criminelle, le maire Laurent Rivoire a bien tenté d’y mettre fin : « On a fait ce qu’on pouvait il y a deux ans en faisant signer une charte de bonne conduite à tous les mariés quand ils déposent leur dossier en mairie. Les époux l’avaient signée. Dans la charte, il est demandé de respecter les horaires et le Code de la route dans la ville », a-t-il dit au Parisien. Et après ? Pas de sanctions pour les contrevenants ?
Monsieur le Maire, franchement : pensez-vous vraiment qu’une « charte » soit susceptible de freiner ces abrutis pathologiques, des gens qui n’ont aucun respect d’autrui et ne connaissent sans doute même pas le sens du mot ? Et puis, surtout, dites-nous donc qui ils sont, ces jeunes capables de dépenser en un week-end ce que ne vous rapporte pas votre mandat en une année, simplement pour frimer dans une grosse cylindrée. Il y avait, paraît-il, ce jour-là dans la noce des Ferrari, Lamborghini, Porsche, etc. Renseignement pris, le prix moyen d’une location de ces bolides est autour de 3.000 euros pour le week-end, assorti d’une caution de 10.000 à 15.000 euros.
Qui s’offre cela ? Pas vous, pas moi. Pas non plus l’ouvrier qui chargeait sa camionnette et laisse trois orphelins. Qui alors ? Des jeunes des cités qui vivent du RSA ?
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dimanche, 01 juin 2014
L’arroseur arrosé : quand des « renois » attaquent les anti-FN…
Gabriel Robin
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Les généreux lycéens remplis de bons sentiments et de générosité se font casser la gueule par ceux qu’ils souhaitent défendre.
Les « marches contre le FN » organisées jeudi 29 mai 2014 n’ont eu qu’un très faible succès, réunissant difficilement quelques milliers de protestataires à travers la France. Nous étions donc bien loin des longues files de 2002. Le gros des troupes était constitué d’adolescents boutonneux, les fameux « babtous fragiles », ainsi que les caricaturent les jeunes durs de la diversité banlieusarde. Ce « monôme de zombies » (pour paraphraser le titre d’un admirable éditorial de Louis Pauwels dans Le Figaro des années 80) était cornaqué par quelques professeurs « engagés » à l’unisson d’organisations « antifascistes ». Le cortège était pourtant censé être « apolitique ». Curieux, pour une manifestation qui appelait à protester contre un parti qui a réuni 25 % des voix au cours d’un scrutin démocratique… Mais passons.
Le plus amusant restait pourtant à venir. Nous avions déjà eu droit au bide « Leonarda » et aux lycéens portant des jupes sur ordre de l’académie de Nantes, ces « marches contre le FN » pouvaient donc paraître fort classiques. Mais l’époque est riche en rebondissements délicieux : pas un jour sans une nouvelle rigolade, pas un jour sans que la gauche autoproclamée progressiste ne se fracasse la tête contre le mur du réel.
Le « buzz » Internet du vendredi suivant la manifestation consista en la réaction d’une jeune marcheuse, que je prénommerai ici Bécassine. Notre sainte laïque, opposée aux propagateurs d’idées nauséabondes qui souhaitent réguler l’immigration et assurer la sécurité des Français, s’insurgea pourtant contre les casseurs qu’elle désigna dans son message comme étant « rebeus » et « renois ». Voici ce que Bécassine disait sur la page Facebook « Face à l’extrême droite : tous unis pour la solidarité » : « Je tiens à remercier la BAC qui est restée bien sagement le cul dans ses camions pendant que des jeunes se faisaient casser la gueule par des enfoirés de casseurs (pour la plupart renois ou rebeus, il faudrait m’expliquer là ?? Inutile de leur demander s’ils ont lu le programme du FN). »
Ah ben, on aurait menti à Bécassine ? Les slogans n’auraient-ils pas été entendus par les « renois » et les « rebeus », les fameux « Tous ensemble, tous ensemble, hey, hey » et autres « Nous sommes tous des enfants de bactéries, première, deuxième, troisième génération » ?
Il semblerait que la jeunesse de France ne joue pas la même partition. Les généreux lycéens remplis de bons sentiments et de générosité se font casser la gueule par ceux qu’ils souhaitent défendre. Ils sont, pour eux, des « babtous fragiles » portant des jupes et bons à être délestés de leurs habits de marque et des boulettes de shit qu’ils trimballent dans leurs porte-monnaie. Rien de plus que des idiots utiles et des victimes. Victimes d’associations gauchisantes qui les manipulent et de ces « damnés de la terre » qui les frappent et les ridiculisent. Peut-être y réfléchiront-ils à deux fois avant de manifester à nouveau contre les beaufs qui votent Front national.
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samedi, 31 mai 2014
J'ACCUSE L'OLIGARCHIE...
Michel Geoffroy
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« J’accuse l’oligarchie occidentale de comploter tous les jours contre la paix, contre l’identité et contre le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. »
J’accuse l’oligarchie de provoquer des crises pour mettre en tutelle les peuples, d’encourager tout ce qui favorise l’implosion des sociétés, de programmer la destruction des cultures et des savoirs, de détruire la démocratie, de conduire à la guerre. Un texte fort de Michel Geoffroy. Les oligarques de l’hyperclasse mondiale, voilà l’ennemi !
Polémia
1) J’accuse l’oligarchie occidentale de provoquer les crises pour mieux mettre en tutelle les peuples afin d’ouvrir la voie à un gouvernement mondial.
L’oligarchie n’échoue pas à trouver des solutions aux différentes « crises », qu’il s’agisse du chômage, de l’immigration, de la natalité ou de l’insécurité. Ces « échecs » constituent en réalité pour elle autant de succès car le choc et le chaos font partie intégrante de sa stratégie.
J’accuse l’oligarchie d’avoir systématisé la pratique du choc théorisée par les néo-libéraux de l’École de Chicago dans les années 1970, comme moyen d’imposer des réformes économiques et sociales contre la volonté des peuples.
J’accuse l’oligarchie d’encourager la succession des « crises » afin de diminuer la résistance du corps social, de propager l’angoisse et de provoquer un état d’hébétude chez ceux qui y sont soumis afin d’inhiber leurs capacités de réaction et d’opposition politiques.
• – L’insécurité conduit ainsi les citoyens au repli sur soi, ce qui contribue à leur démobilisation politique et à affaiblir la légitimité des États. Elle permet aussi une privatisation rapide des fonctions souveraines de l’État pour le plus grand profit du « marché ».
•– Le terrorisme permet de renforcer le contrôle de la population et notamment d’Internet et des nouvelles technologies de communication.
•– L’immigration profite au patronat mais elle sert aussi à démoraliser les Européens, en leur donnant le sentiment de ne plus se sentir chez eux.
•– Le chômage propage l’inquiétude devant l’avenir et la docilité des salariés vis-à-vis des employeurs.
•– La crise des dettes souveraines permet de mettre en tutelle la politique économique des États et de promouvoir toujours plus de solutions libérales pour « rétablir les comptes publics ». Ces politiques libérales en retour déconstruisent les protections sociales, renforçant l’isolement et la dépendance des individus.
•– L’écologisme et la thématique du réchauffement climatique offrent enfin de nouveaux prétextes à propager l’anxiété et légitimer l’augmentation des réglementations, des contrôles et à la réduction des libertés concrètes.
J’accuse l’oligarchie au pouvoir en Occident, non pas de se montrer incapable de résoudre les « crises » mais, au contraire, de les provoquer, de les orchestrer et de les entretenir. Car chaque crise offre de nouveaux prétextes pour avancer dans la voie de la « gouvernance » mondiale qu’elle appelle de ses vœux.
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mercredi, 28 mai 2014
Rivarol de cette semaine :
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FLN et Việt Cộng sur les Champs-Élysées le 14 juillet : merci François !
Henri Saint-Amand
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Dans de récents courriers aux associations d’anciens combattants, le secrétaire d’État à la Défense et aux Anciens combattants (SEDAC), Kader Arif, confirme que François Hollande a invité l’armée nationale populaire algérienne (ANPA) ainsi que l’armée de la république socialiste du Vietnam à défiler sur les Champs-Élysées à l’occasion du 14 Juillet, pour commémorer la participation de ces pays (et une soixantaine d’autres) au premier conflit mondial.
Si l’on peut voir dans cette démarche de nombreux symboles tout à fait louables (volonté d’apaisement, souhait de réconciliation, paix entre les peuples…), n’oublions pas qu’en 1914-1918, les soldats « algériens » étaient français au même titre que les Sénégalais, les Soudanais, les Tonkinois, les Malgaches, etc. Que le drapeau tricolore leur a servi de linceul.
Car l’inconvénient est que, dans tous ses courriers, le SEDAC semble limiter la qualité de soldats « algériens » aux seuls autochtones musulmans, niant au passage la francité des combattants de 14-18 (et de 39-45) et niant aussi leurs origines multiculturelles : kabyles, juifs, chrétiens, etc. Pourquoi donc faire une différence et tenter de réécrire l’histoire ?
Pis. L’ANPA, qui n’est autre que la reformulation de l’armée de libération nationale du FLN, a renié la francité de ces morts pour la France en allant jusqu’à effacer leurs noms des monuments aux morts après l’indépendance de 1962 ! Pour eux, ces soldats ayant combattu sous l’uniforme français étaient des traîtres !
Ajoutons à cela que jamais le FLN et son armée de libération n’ont respecté les lois et règles de la guerre, multipliant les actes de cruauté et de barbarie.
Et comme par un malheureux hasard du calendrier, alors que la France vient de se souvenir de Điện Biên Phủ, le 1er novembre 2014 coïncidera avec le 60e anniversaire de la Toussaint sanglante.
Vous voyez les États-Unis inviter Al-Qaïda à défiler dans les rues de New York ou Washington en 2061 ? Et pendant qu’on y est, pourquoi ne pas demander à l’Amicale des anciens de la division « Das Reich » de venir se joindre au cortège ?
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vendredi, 23 mai 2014
L'EUROPE DES EUROPÉENS... Non au mirage mercantile, oui à la démocratie des peuples
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Le vote de dimanche est essentiel. Il est essentiel qu'à cette Europe des Européens, nous consacrions tous nos efforts de réflexion pour en assurer l'avènement par la libre décision. Ce qui s'est accompli jusqu'à nos jours, n'est pas l'Europe des Européens. Ce qui s'est accompli jusqu'à nos jours, c'est une nouvelle organisation de l'Europe, une Europe para-étatique, exclusivement dans le domaine de l'économie, dans celui de la satisfaction des besoins matériels de l'homme. C'est une Europe matérialiste enrichissant les Eurocrates, appauvrissant le peuple. Depuis la fin de la seconde guerre mondiale, ce que les Eurocrates ont entrepris et poursuivi avec tant d'énergie et de persévérance, c'est la reconstruction de l'Europe matérielle. Il fallait sans doute le faire car l'Europe fut détruite sous une pluie de bombes ou par l'invasion à l'Est de l'armée rouge. Mais la reconstruction purement matérialiste et économique de l'Europe présentait dès le départ un danger non pas seulement théorique mais un danger de caractère éminemment pratique, un danger de nature politique : le danger économiste.
Devons-nous blâmer aujourd'hui les victimes de cette confusion européenne ? Ecoutons les anciens mots : charbon et acier, liberté de circulation des marchandises, mouvement des capitaux, dérégulation financière, suspension des droits de douane, contingents et quotas, privatisation, monnaie unique... Il n'était question que de politique commerciale, de politique agricole, de politique des transports, de politique sociale, de politique de conjoncture. Il n'était en réalité jamais question de politique tout court. En fait, dans le scrutin de dimanche, c'est essentiellement de cela qu'il s'agit : de l'Europe politique.
Il ne s'agit plus du bien-être matériel des peuples, il ne s'agit plus de l'expansion d'une économie moribonde, du progrès social, des possibilités industrielles et commerciales. Pour certains, bien sûr, il s'agit encore d'y croire et de vanter les bienfaits du futur traité transatlantique qui, dans le dos des peuples, sans aucune concertation sera signé et précipitera la misère du peuple européen désormais inféodé aux diktats des grandes multinationales sans aucune norme sanitaire ou droit social. Mais pour nous, avant cela, il s'agit de défendre et de sauver dès à présent une civilisation, des règles morales, une conception de la vie et de la mort et même une certaine vision de l'amour, une position poétique.
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L’Europe : les peuples avant les pontes !
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Quand Tacite conte les épopées romaines, il ne peut faire l’économie de l’analyse des peuples qui font face aux légions. Quand Jules César évoque sa guerre des Gaules, il plonge son lecteur dans les identités des tribus qu’il rencontre. Et plus tard, Napoléon Bonaparte n’aura de cesse d’affronter les manières de faire et d’être du continent européen lorsqu’il voulut y établir son empire. L’Europe est ainsi constituée de peuple qui ne manquent jamais, grâce aux circonstances ou aux cristallisations séculaires, de rappeler leurs riches singularités.
Le suicide européen de 1914 a bien révélé que des guerres fratricides pouvaient en résulter, tout autant que les merveilles de la chrétienté ont dévoilé la force sise en leur union. On devrait toujours se souvenir que le mot Europe ne va pas de soi, qu’il est un édifice d’amitié politique, de prudence mais surtout de volonté. La civilisation européenne est un défi adressé aux peuples et aux citoyens, défi qui ne peut être relevé que par une bonne appréhension de ses exigences. Le bâtiment de la Commission européenne incarne, à lui seul, l’erreur complète des technocrates prétendant formater une Europe sur des utopies quand elle devrait être une réalité charnelle et un héritage.
Un homme politique n’a finalement qu’un seul devoir : se mettre au service de la Cité et œuvrer à en soigner les maux. C’est ce qu’a oublié la nomenklatura européenne trop pressée de voir ses désirs mondialistes se réaliser. À mesure que la paperasserie des directives et le bavardage des recommandations avançaient, les peuples se sont éloignés de l’idée européenne. À mesure que le champ économique sortait de la souveraineté populaire pour devenir le nourrisson des argentiers et des fonctionnaires, les peuples ont rejeté la disparition de leurs outils économiques. À mesure que l’Union européenne a renversé la civilisation de nos pères, nous avons vu le grand déracinement présider aux lendemains des Nations.
Charles Maurras indique dans Qu’est-ce que la civilisation ? les fondements suivants : « Capitalisation et tradition, voilà deux termes inséparables de l’idée de civilisation. » C’est la voie que nous devrions retrouver afin de refonder le projet européen. D’abord, capitaliser les énergies européennes en retrouvant l’essentiel de leur volonté : une Europe du travail, une Europe du patrimoine, une Europe des études supérieures et du croisement des intérêts internationaux. Enfin, accorder toute sa place à la tradition pour que les décisions politiques correspondent au sel de la civilisation européenne.
Les clercs européens entraînent notre continent sur une tout autre voie : traité transatlantique, déclarations du Conseil de l’Europe en faveur de la théorie du genre, déchaînement des phénomènes migratoires. Le déracinement, encore, guette notre destinée alors que beaucoup n’imaginaient pas un instant qu’on pût l’accroître encore. À ce déracinement, les peuples répondent par un désenchantement et jusqu’au reniement de leur identité européenne. Après une première rémission, l’Europe s’échappe donc à nouveau vers le suicide à force de nier son existence concrète ainsi que les principes spirituels et politiques qui sont les seuls garants de notre avenir. Le désintérêt des Français pour les élections à venir le prouve encore. Il ne cessera que quand nous redeviendrons dignes de notre européanité.
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jeudi, 22 mai 2014
Cristeros, une histoire pour tous
Source RITV cliquez là
Le président du Mexique Calles, un athée franc-maçon, ayant lancé une persécution catholique sans précédent, une grande part du peuple catholique se souleva de 1926 à 1929. Ces Cristeros, comme on les a appelés, ont subi une guerre sanglante, la Christade, de la part d’un ennemi sans foi ni loi. Un film leur rend hommage. Une histoire pour tous, longtemps occultée, que l’on peut enfin voir en France.
Hors des cercles pieux catholiques les plus militants, la Christade reste peu connue en France, ou noyée dans la masse considérable des guerres civiles subies par la Nouvelle-Espagne de 1810 à 1920. Cette ignorance compte probablement parmi les causes de la non-distribution du film en France. Le film, sorti en 2012 aux Etats-Unis et au Mexique où il a fort bien marché, a fait un flop en Espagne (150.000 dollars de recette) et aucun grand distributeur n’a voulu s’occuper d’une œuvre qui menaçait de ne pas être rentable. Véritable raison ou prétexte ? Il sort en France 15 à 20 films par semaine, dont de très nombreux échecs commerciaux, sans que cela dissuade apparemment producteurs et distributeurs. Saluons toutefois la détermination de M. Hubert de Torcy, le directeur de Sajeprod, le courageux distributeur français. Il est enfin possible grâce à ses efforts de voir dans des salles françaises les Cristeros, deux ans après sa sortie. Parfois, surtout en province, il faut tout de même chercher les lieux de projection avec persévérance, tant ils demeurent restreints. Si M. de Torcy nie tout boycott organisé, au sens plein et entier du terme, il est difficile de contester une réticence pour le moins de beaucoup de directeurs de cinémas à programmer les Cristeros. Ainsi, les salles du groupe Mk2 ne le diffusent-ils pas, vraisemblablement pas un hasard, après le précédent du refus (revendiqué) de Mk2 de la Passion de Mel Gibson. Le film ne serait projeté que dans 61 salles dans toute la France, dont une seule à Marseille par exemple. Cela ne l’empêche pas de très bien démarrer, à guichets fermés dans de nombreux cas.
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Afrique du Sud : l'entretien avec Jean-Claude Rolinat publié mardi dernier dans le quotidien "Présent"
Les élections législatives qui se sont déroulées mercredi dernier en Afrique du sud sont passées quasiment inaperçues en raison de la « crise » en Ukraine. Nous y revenons cependant grâce à notre ami Jean-Claude Rolinat qui vient de publier République Sud-Africaine LA FAILLITE DE MANDELA aux éditions Les bouquins de Synthèse Nationale.- C-R.
Au vu des dernières élections législatives en Afrique du sud, l’ANC de Mandela est–il toujours autant porteur d’espoir ?
L' ANC représente toujours aux yeux d'une immense masse de noirs le parti « libérateur », celui des luttes anti-apartheid menées - inspirées devrait-on dire par Mandela car ce dernier était derrière les barreaux - par des clandestins formés à la sauce marxiste. L'URSS avait bien vu tout l'avantage qu'elle aurait pu tirer de ce pays si elle avait pu mettre la main sur les fabuleuse es richesses minières. Mais l'histoire a basculé et, comme elle en a le secret telle une bonne pièce de boulevard à rebondissements, les marxistes locaux sont devenus les agents dociles du capitalisme international dès lors que l'Union Soviétique était morte. Les héros de l'accession de la majorité noire au pouvoir s'en sont mis « plein les poches » à l'exemple de leur Président, un Zoulou polygame, Jacob Zuma, qui sera probablement réinvesti dans ses fonctions par l'Assemblée Nationale bien qu'il soit contesté. (Rappelez-vous les sifflets au grand stade de Soweto lors des cérémonies à la mémoire de « Madiba ».).Mais le scrutin du 7 mai a marqué une sorte de coup d'arrêt à la progression de l'African National Congress qui a perdu 3 points par rapport aux élections législatives de 2009. Il est contesté sur sa gauche et sur sa droite, sans compter les dissensions internes. Il tient toujours la route, tout de même , avec 62,15 %, un score qui ferait se pâmer le Président Hollande !
Pourriez-vous nous présenter Malema dont le parti, l’Economic Freedom Fighters arrive en troisième place aux dernières élections législatives?
Justement, l'un des challengers de l'ANC est le nouveau mouvement créé par Julius Malema, ex-leader de la Ligue des jeunes de l'ANC qui prône une radicalisation économique et... « ethnique » : nationalisations à tout va et expropriation SANS indemnisation des fermiers blancs, lesquels, menacés quotidiennement dans leur vie, assurent pourtant l'essentiel de la production agricole de la RSA. Malema, c'est l'homme du terrible, slogan « une balle, un boer », on est loin, ici, de la nation « Arc-en ciel » rêvée (ou vendue aux négociateurs blancs de 1994) par Nelson Mandela. Le parti de Malema, l'EFF, l'Economic Freedom Fighters a enregistré un score honnête pour une première fois : 6,35 % ce qui le place en troisième position derrière l' Alliance Démocratique conduite par le premier Ministre de la province du Cap, Mme Helen Zille (une blanche), et devant l'Inkhata Freedom Party (IFP) du chef Zoulou Mangosuthu Buthelezi en complète perte de vitesse suite à une scission dans son organisation.
Quatre millions de noirs ont accédé à la classe moyenne, mais qu’en est-il de la population blanche aujourd’hui en Afrique du sud ?
Effectivement, au cour de ces vingt dernières années, on a pu observer l'émergence d'une classe moyenne noire d'environ quatre millions de personnes, soit plus ou moins 10 % de la population africaine , qui rivalise et souvent dépasse ses homologues des familles blanches. D'ailleurs ces dernières, exception faite du gratin cosmopolite, sont en voie de progressive paupérisation même si, dans l'ensemble, les blancs ont encore un niveau de vie supérieur à la masse des noirs, toutes ethnies confondues. (Ce qui n'évite pas les soupes populaires pour certains afrikaners totalement abandonnés.) Si le vote est toujours caractérisé par une pulsion « raciale », - les noirs dans les grandes agglomérations sont totalement « détribalisés » et ne se raccrochent plus à un vote spécifiquement « zoulou », « Tswana » ou « Xhosa »- de plus en plus de métis et d'asiatiques apportent leurs suffrages à la DA, Democratic Alliance, parti réputé, initialement, comme étant celui des « blancs ». Les « boers » purs et durs, se retrouvent au sein du Freedom Front qui n'a pas fait d'étincelles avec un tout petit 0,90% des suffrages, soit 165715 voix. (Tout de même 2,10 % dans la province de « l'Etat Libre », celle de l'ex-Orange free State de la guerre des Boers !) Les blancs, électoralement, se sont rassemblés autour de la DA et arrivent, avec leurs nouveaux électeurs noirs modérés et métis, à mettre en difficulté l'ANC dans la plus riche et la plus peuplée des provinces, le Gauteng; (ex-district minier du Witwatersrand : Johannesburg-Pretoria). Ce qui ne veut pas dire qu'ils reconquerront le pouvoir partout : pour l'instant, si l'exil cesse, malgré les menaces quotidiennes qui pèsent sur la vie et les biens des personnes, ils ont de grandes chances de conserver non seulement la Province du Cap, mais de gagner à leurs cause d'autres villes dans d'autres régions.Mais la ségrégation par le travail, cette affirmative action favorable aux noirs, est un frein pour les jeunes blancs qui veulent se lancer en économie. Sans oublier la mauvaise qualité de l'enseignement en dehors de l'éducation privée. Des « biltongs » reviennent, ces blancs nostalgiques sans doute de cette viande de brousse séchée, en tout cas c'est ainsi qu'on les appelle, mais en vingt ans de black power un million, oui un million de « Sudafs », ont quitté leur patrie pour aller s'installer au Canada, aux Etats-Unis, en Nouvelle-Zélande et même en Australie. (20 000 rien qu'à Perth) Phénomène curieux à noter et qui prouve l'excellence des fermiers afrikaners, le Mozambique, le Congo et la Géorgie ont offert des terres aux Boers pour qu'ils viennent les cultiver tandis que des ouvrier agricoles noirs ont demandé à leurs patrons de rester sur leur domaines transformés en coopératives pour les faire profiter de leur technicité. C'est un beau pays, un grand et très beau pays. Il y a de la place pour tout le monde. Espérons qu'un Malema ne devienne pas un nouveau Robert Mugabe qui, en trois décennies, a affamé son pays, le Zimbabwe voisin !
Propos recueillis par Catherine Robinson
République Sud-Africaine LA FAILLITE DE MANDELA de Jean-Claude Rolinat éditions « Les bouquins de Synthèse Nationale », 116 rue de Charenton 75012 Paris ou chez Difralivre Chiré en Montreuil (cliquez ici) ou dans toute bonne libraire nationaliste de Paris et province. 186 pages, 18 Euros.
Le site de Présent cliquez ici
NDLR : Sur l'Afrique du Sud et sur Mandela, le dernier livre de Jean-Claude Rolinat :
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Jeudi, c'est le jour de Rivarol...
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mercredi, 21 mai 2014
LE TRAITÉ TRANSATLANTIQUE : UN DIKTAT. La nuit du 4 août des gagistes ?
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Les membres de la Commission Européenne n’apprennent rien, ne savent rien, ne veulent rien comprendre. Pourtant, de même que la première guerre mondiale a été « terminée » par un diktat qui préparait la guerre suivante, les diktats transatlantiques, tant pour les biens que pour les services, préparent la guerre contre ce qui reste de civilisation en Europe. Car les méthodes ne changent pas. Les traités qu’ils imposent sont des diktats. Le conflit ainsi préparé suit les lignes de la servitude européenne. Trois causes de conflits sont prévisibles.
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mardi, 20 mai 2014
Le nouveau numéro (n°76) du "Chêne", le journal du MNR est paru
Au sommaire de ce numéro :
- Editorial : La classe politique en pleine décomposition.
- Actualité, communiqués de presse.
- Bruno Mégret : après la scission du Front national, « j'aurais pu changer la donne politique ».
- Jean Madiran à la dentelle du rempart.
- Le vice et le crime, au secours des économies occidentales.
- L'écologie, un concept de droite ?
- Cérémonie des Bobards d'Or.
- Vie du mouvement.
- Tract.
Téléchargez ce numéro : cliquez ici
19:42 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Nouvelle « loi famille » : des apparences de vertu…
Gabrielle Cluzel
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La famille, on le sait, c’est l’enfant battu du gouvernement. Le souffre-douleur, sur lequel on cesse de s’acharner quelques temps quand, après un gnon plus gros que les autres, la maîtresse a fait les gros yeux, mais auquel on revient dès que celle-ci a le dos tourné. Avec plus de prudence. Rien que des pinçons sous le pull qui ne se voient pas.
Arrive à l’Assemblée un nouveau texte : l’autorité parentale et « l’intérêt de l’enfant ». La précision dès l’intitulé, on le voit, cherche à convaincre… La garde alternée et le statut des beaux-parents, sujets épineux, s’appellent désormais « double-résidence de l’enfant » et « mandat d’éducation quotidienne ». Exit PMA et GPA, mais il n’est pas exclu qu’un jour ou l’autre elles-aussi reviennent, repeintes de frais, sous les noms pimpants – par exemple – « d’accompagnement à la conception » et de « délégation de grossesse ».
Et tout cela, comme d’habitude, a des apparences de vertu. Il faudrait un statut du beau-parent pour faciliter la vie quotidienne. Sur une radio, un beau-père vient témoigner : il a aidé sa femme à élever ses trois filles sans rencontrer le moindre problème. Le journaliste lui rive son clou d’un ton ferme : Oui, mais quid de l’urgence médicale ? L’auditeur s’arrête, interdit, c’est vrai qu’il n’y a jamais été confronté. Ce n’est pas tous les jours, n’est-ce pas, que l’on emmène sa belle-fille mourante à l’hôpital. Mais quelle sorte de médecin refuserait de soigner un enfant en danger au motif que l’accompagnateur n’aurait pas de « statut » ? C’est qu’il ne faudrait plus confier sa progéniture à personne, ni grands-parents, ni baby-sitter, ni nounou, ne jamais la déposer à aucun goûter d’anniversaire ni partir en voyage.
Ce n’est donc pas d’un statut pratique dont a besoin le beau-parent, mais d’un statut symbolique, un statut social, la reconnaissance de tout le mal qu’il se donne… un statut pour lui, en somme, et nullement pour l’enfant, qui se verra doté, à son corps défendant, d’un parent supplémentaire « low cost » venant interférer dans des décisions d’éducation déjà compliquées à prendre à deux. Et si d’aventure ce nouveau parent social se brouillait avec le parent biologique, gardera-t-il malgré tout son statut – avec le risque qu’au fil des unions, il faille réunir un vrai conseil d’administration pour décider du choix du lycée ? Ou sortira-t-il de la vie de l’enfant aussi arbitrairement qu’il y est rentré ?
La double-résidence, également, semble relever de la justice… la justice façon roi Salomon, coupons l’enfant en deux, ce sera d’une équité rigoureuse pour chacun des deux parents. Mais ce nomadisme perpétuel, avec le doudou, la brosse à dents, le pyjama toujours dans le cartable, quel adulte le supporterait ? Et le père et la mère sont-ils par nature si interchangeables qu’ils puissent se substituer l’un à l’autre sans dommage ?
Sans doute, et on peut le comprendre, nombre de pères souffrent de ne pas voir assez leur enfant, n’admettant pas que l’égalité des sexes s’arrête à la porte du juge aux affaires familiales.
Sans doute, et on peut le comprendre, les parents rêvent d’une famille recomposée « Ricoré », où l’on pourrait réparer une erreur de casting passée, et créer des liens de papier à défaut de liens de sang entre ceux que l’on aime.
Mais si Salomon, justement, en son temps, avait eu raison ? Si le signe d’un amour véritable n’était pas la justice, mais le sacrifice ? Le sacrifice de soi pour son enfant ?
Mais si tout cela, surtout, en confortant la confusion entre père et mère, en instituant la « parentalité pour tous » afin d’ouvrir à tous vents les frontières de la famille qui ne relèvera plus du droit du sang mais du droit du sol, visait encore une fois à « sniper » une institution aux valeurs par trop réactionnaires ?
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Dans Présent d'aujourd'hui : un grand entretien avec Jean-Claude Rolinat sur l'Afrique du Sud
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Sur l'Afrique du Sud et sur Mandela, le dernier livre de Jean-Claude Rolinat :
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Une racaille embrasse de force une journaliste de la chaîne France 3
Source Contre-info cliquez ici
La chaîne de gauche France 3 était en direct avec une de ses journalistes pour la « nuit des musées ».
Celle-ci faisait un reportage dans un musée d’« art [sic] moderne et contemporain » où étaient invitées « toutes les richesses [sic] de la banlieue » (comprendre des immigrés).
Un tableau assez complet de la société rêvée par la gauche… quand une racaille a surgi et, non sans une certaine violence, a embrassé la journaliste.
A quand le viol en direct ?
Pendant ce temps, le fameux pervers et ancien ministre de la culture [sic] Jack Lang, présent sur le plateau, ricane et prétend que « c’est drôle ».
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lundi, 19 mai 2014
Le Barreau de Lyon crée une « équipe commando » pour lutter contre le racisme
Source La Flamme cliquez ici
Un groupe de treize avocats spécialement formés prendra en main des dossiers liés aux questions de racisme, d’antisémitisme et autres discriminations.
« C’est une initiative totalement lyonnaise dont nous nous serions bien passés. » Me Philippe Genin, avocat au Barreau de Lyon et ancien Bâtonnier, a présenté ce lundi « l’équipe commando » qui vient d’être formée au sein de l’ordre professionnel des avocats.
« Si Lyon est historiquement une terre de résistance, nous observons depuis près de huit ans une montée en puissance de groupuscules violents et haineux d’extrême droite comme les Jeunesses nationalistes ou les identitaires, explique Me Genin. Nous constatons par ailleurs un afflux de dossiers concernant le racisme ‘ordinaire’ dans la rue, dans les entreprises ou en matière de discrimination au logement. Nous nous devions de réagir. »
Pour la première fois en France, un groupe de treize avocats lyonnais volontaires, bénévoles et spécialement formés sur les questions de racisme ou d’antisémitisme sera à l’écoute des associations (Licra, SOS Racisme, Ligue des droits de l’Homme…) et des particuliers afin de lutter plus efficacement et plus rapidement sur ces sujets.
« Il y a des progrès à faire dans la lutte contre les discriminations. A Lyon, moins de dix affaires relatives au racisme sont jugées chaque année, affirme Roger Benguigui, secrétaire général de la Licra. Car ce sont des cas difficiles à prouver, c’est souvent parole contre parole. »
Et Me Johanne Sfaoui, avocate au sein de la nouvelle équipe, d’enchaîner : « En nous rassemblant au sein de cette entité, nous aurons plus de poids et de réactivité. Ainsi, la mobilisation sera plus grande sur ces sujets », assure-t-elle.
Joint par metronews, Alexandre Gabriac, Chef des Jeunesses nationalistes et élu à la région Rhône-Alpes, s’inquiète pour sa part de la formation de ce « commando de la police de la pensée. » « Ce sont des personnes en mal de notoriété qui s’érigent en ligue de la vertu. Mais je me réjouis qu’un groupe d’avocats citoyens prenne en main la question du racisme anti-blanc et anti-catholique », ironise-t-il.
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Le nouveau numéro de Livr'arbitres consacré à Dominique Venner
Livr'arbitres cliquez ici
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dimanche, 18 mai 2014
« Nous ne guérirons jamais de Dominique Venner, et c’est pour cela que nous resterons vivants »
La considérable affluence au colloque Dominique Venner (plus de 500 personnes à la Maison de la Chimie ce 17 mai), la qualité des interventions à la tribune laisse entrevoir un mouvement de sursum corda mais aussi de sursum ratio. « Élévation des cœurs» et «élévation de notre raison». Par un acte en apparence irrationnel, mais en fait logique, Dominique Venner a ouvert une voie : celle du sacré, celle, aussi, de la hauteur de vue. La hauteur de vue n’est pas l’indifférence, elle n’est pas le refus de s’engager, elle est la froideur dans la perception des enjeux, qui va volontiers avec la chaleur de la camaraderie. La mort sacrificielle de Dominique Venner, il y a un an, à Notre-Dame de Paris, a précisément ce sens précis : ouvrir un espace du sacré. Ce que croyait précieux Dominique Venner ce n’était ni la droite ni la gauche, c’était la France et l’Europe comme civilisation, c’était le sens même de ce que patrie veut dire, et de ce qu’honneur veut dire. Car l’honneur, en un sens, c’est toujours filiation et transmission.
Or, c’est tout cela, avec l’effacement du sens, avec le relativisme généralisé, avec le changement de peuple par l’immigration de masse, qui est mis à bas par la modernité ravageuse. Et par une politique criminelle, celle du mondialisme comme système à tuer les peuples. Changer notre peuple dans sa composition ethnique et culturelle pour tuer toute notion de peuple, dépolitiser tout pour ne laisser que la table rase du turbocapitalisme se déployant sur fond de grand marché universel, avec des hommes interchangeables, et d’ailleurs interchangés et inter-échangés, sans passé, sans héritage, sans histoire, et donc sans avenir. Avec un seul présent : celui de consommateur et de producteur. Avec des femmes louant leur ventre, et des hommes vendant leur sperme. Voilà le monde dont Venner ne voulait pas. Sain refus. Mais aussi portait-il une grande espérance, la lueur d’un autre monde possible, poétique, fort, tragique, noble, plein des exemples héroïques qui agrandissent nos petites vies pour leur donner un souffle, une ampleur, une dimension mythique. Nous ne guérirons jamais de Dominique Venner, et c’est pour cela que nous resterons vivants.
Pierre Le Vigan
Pierre Le Vigan, écrivain, philosophe, vient de publier L’effacement du politique. La philosophie politique et la genèse de l’impuissance de l’Europe, La barque d’or. Contact : labarquedor@hotmail.fr, 15 €.
Intervention de Bernard Lugan sur "L'esprit corps franc". ©Photo-Revue-Éléments
Source Le blog d'Eléments cliquez ici
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