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samedi, 04 juillet 2015

Pouilly-en-Auxois, spot estival 2015 des résistants à l’oppression migratoire ?

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Véronique Bouzou Boulevard Voltaire cliquez ici

Vous faites partie de ces Français qui choisissent leur destination d’été à la dernière minute ? Pas toujours facile de privilégier l’exotisme avec un budget serré. Et si vous passiez vos prochaines vacances à… Pouilly-en-Auxois ? Cette charmante bourgade de Bourgogne de 1.600 âmes – ou plutôt 1.660, depuis que la commune est devenue bien malgré elle le lieu d’accueil de 60 migrants de la Corne de l’Afrique, tous en provenance du centre surchargé de Calais – a fait parler beaucoup d’elle ces derniers mois. En effet, le gouvernement, incapable de juguler les flux migratoires dans les grandes villes, a trouvé LA solution miracle : répartir en catimini sur l’ensemble du territoire un nombre croissant de migrants. Et Pouilly-en-Auxois n’est qu’un village pilote. À la rentrée, une vingtaine de départements devraient être concernés. Le député UDI Yves Jégo va encore plus loin, proposant que chaque commune accueille un quota de demandeurs d’asile. Nous sommes donc tous concernés, à plus ou moins brève échéance.

Pas de quoi dénaturer nos vertes campagnes, rétorqueront naïvement certains. À tort : les migrants en question, tous de jeunes hommes en parfaite condition physique à qui l’on offre le gîte et le couvert via l’argent du contribuable, se verront tôt ou tard proposer un travail subventionné sous prétexte que l’oisiveté est mère de tous les vices. Les petites gens du cru touchés par le chômage et la crise apprécieront… Et puis comme tout humain a le droit d’avoir des relations sexuelles et d’élever ses enfants, on décidera rapidement de faire venir les familles des migrants au village. Les quelques dizaines d’entre eux disséminés ça et là deviendront rapidement des centaines puis des milliers. Une fois le droit de vote des étrangers si cher à la gauche en vigueur, des communes entières passeront sous contrôle des migrants. Le Grand Remplacement est en marche…

Et pas question d’altérer l’image du formidable laboratoire migratoire qu’est en passe de devenir Pouilly-en-Auxois auprès de l’opinion publique. Toutes celles et ceux qui, au village, s’indignent de la présence des migrants sont muselés par les médias, ces derniers préférant s’attarder sur la poignée d’habitants ayant décidé d’aider bénévolement les nouveaux arrivants, comme monsieur le maire qui les a conduits, avec sa voiture, manger des crêpes dans un château quatre étoiles, deux institutrices à la retraite qui leur donnent des cours de français, ou bien ce monsieur qui les emmène le vendredi à la mosquée de Beaune.

Il serait donc grand temps que ceux qui lisent ces lignes profitent de la trêve estivale pour aller soutenir massivement et pacifiquement la majorité silencieuse de ce village gaulois bien démunie face au rouleau compresseur politico-médiatique. Plus nous serons nombreux à faire le déplacement, plus nous aurons de chance d’empêcher les expérimentations migratoires hasardeuses à venir qui, après avoir gangrené nos villes, menacent à présent nos campagnes. Bonnes vacances au vert…

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René Galinier, 78 ans, cambriolé : ET C'EST ENCORE LUI LE COUPABLE !

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Nicolas Gauthier Boulevard Voltaire cliquez ici

René Galinier, 78 ans, est manifestement un brave homme qui, jusqu’au 5 août 2010, coulait des jours à peu près tranquilles dans sa petite maison de Nissan-lez-Ensérune (Hérault). Et le voilà désormais jugé par la cour d’assises de l’Hérault, à Montpellier, où sa peine vient d’être prononcée : 5 ans de prison dont 4 ans avec sursis.

Son crime ? Ce même 5 août 2010, cambriolé une fois de plus, une fois de trop, il s’énerve, prend son fusil de chasse et tire par deux fois sur les intrus ; ou les intruses, pour être plus précis. Salena et Marina ; jeunes filles d’origine serbe, des « gens du voyage », comme l’on dit pudiquement. Il est un fait que lorsque papy Galinier sort le flingo, c’est pas pour faire les carreaux. D’où blessures évidentes pour les deux adolescentes. L’une n’enfantera jamais, l’autre traîne depuis une patte folle.

René Galinier, évidemment, qui n’est pas une brute, a exprimé ses « regrets sincères », formule de rigueur devant les juges. Mais bon, il était tout de même un peu chez lui, et ces deux gamines pas véritablement chez elles. Mais qui, détail d’importance, n’ont pas été poursuivies par la justice, alors que le motif était un brin évident. Le coupable, c’est René Galinier, forcément. Alors ? Alors, rien. Pourtant, même Le Parisien de ce vendredi admet : « Bien sûr, ce procès n’est pas celui des cambrioleuses […] mais un peu celui des casses organisés et du sentiment d’insécurité. Cette “crainte” qu’inspirent les “gens du voyage” à tout le village de Nissan, dont les habitants sont venus en masse soutenir leur ami et voisin surnommé “Néné”. Ils adhèrent à la thèse de “l’autodéfense” de l’accusé, défendu par les avocats Gilbert Collard (RBM-FN) et Josy-Jean Bousquet (non-inscrit). »

Mais là où l’affaire en vient à défier les lois du bon sens et de la raison la plus élémentaire, c’est quand Marina et Salena exposent leur système de défense, manifestement issu des cogitations stratosphériques d’un avocat qui devait au moins être ivre mort au moment des délibérations. Marina : « Je ne peux plus rien faire, je ne pourrai plus jamais travailler… » Et, à la légitime question posée par les juges, consistant à mieux déterminer en quoi consistait son travail, cette réponse, désarmante de naïveté : « Travailler ? C’est-à-dire voler… »

Malaise dans le prétoire, fort bien rendu par la journaliste du Parisien : « À l’évidence, Marina espère l’indemnisation qui compensera la gravité de ses blessures et peut-être… le manque à gagner. Elle se rend compte de la maladresse de son propos, son avocat, Silvio Rossi-Arnaud, conteste la traduction, mais le jury a bien entendu. » Bonne nouvelle ? René Galinier, quant à lui, explique son geste par la peur de perdre sa maison et ajoute : « J’ai pas eu de chance. Ça aurait pu arriver chez ma voisine et, malheureusement, c’est arrivé chez moi… »

Autrefois, on ne s’indignait pas que certains marins se noient en mer, que d’autres couvreurs tombent des toits, que tant de policiers décèdent en service et que d’innombrables soldats aient pu mourir au front. Il s’agissait simplement des risques de métiers que tous avaient choisis en connaissance de cause. Même les truands de naguère, quand ils partaient en prison, évoquaient seulement un « accident de travail ».

Tout cela pour dire que des voyous ou des voyouses, pénétrant par effraction dans le domicile d’un paisible vieillard, savent mieux que personne les périls qu’elles peuvent éventuellement encourir. Si elles n’assument pas, on manque encore de bras à La Poste…

Pour le reste, vive René Galinier, et une pensée émue pour Jean Gabin dans La Horse !

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vendredi, 03 juillet 2015

Fichage d'élèves musulmans à Béziers : l'enquête classée sans suite

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Source Le Point.fr cliquez ici

Le parquet de Béziers a annoncé jeudi avoir classé sans suite l'enquête ouverte en mai sur de présumés fichiers illégaux de la mairie de Béziers portant sur un décompte d'élèves musulmans. "Il n'y a rien qui permette de prouver quoi que ce soit. Je classe l'affaire sans suite", a déclaré le procureur de Béziers, Yvon Calvet, qui avait ouvert une enquête préliminaire pour "tenue illégale de fichiers en raison de l'origine ethnique".

Lors de l'émission politique Mots croisés sur France 2 le 5 mai, le maire de Béziers, Robert Ménard, proche du Front national, avait déclaré : il y a "64,6 % d'élèves de confession musulmane dans les écoles publiques de Béziers. Ce sont les chiffres de ma mairie. Pardon de le dire, le maire a, classe par classe, les noms des enfants. Je sais que je n'ai pas le droit de le faire. Pardon de le dire, les prénoms disent les confessions. Dire l'inverse, c'est nier l'évidence". Le maire de Béziers avait cependant martelé le lendemain qu'il n'y avait "pas de fichage des élèves à Béziers" et qu'il n'y en aurait "jamais".

"Une polémique bidon"

"Je suis vraiment satisfait. C'est la fin d'une polémique bidon. Il n'y avait rien d'illégal à dire cela, le bon sens a triomphé. Dire ce qui est me semble être le métier du maire. Il n'y avait rien de rien dans ce dossier. C'est un camouflet pour Taubira, Valls et le président !" s'est félicité Robert Ménard. Cette déclaration à Mots croisés avait en effet entraîné de vives critiques, jusqu'au plus haut niveau de l'État. François Hollande avait évoqué un procédé "contraire à toutes les valeurs de la République" et Manuel Valls avait tweeté "Honte au maire". L'ancien président de Reporters sans frontières (RSF) avait aussi été entendu par la PJ de Montpellier.

Le 11 mai, le tribunal administratif de cette même ville avait rejeté le référé liberté déposé par une association pour enjoindre au maire de Béziers, Robert Ménard, proche du Front national, de cesser la collecte d'informations sur la religion d'élèves, en l'absence de preuves de l'existence de fichiers spécifiques. "Il ne résulte ni des pièces soumises au juge ni des informations recueillies lors de l'audience" que la ville de Béziers aurait constitué "un ou plusieurs fichiers spécifiques, dématérialisés ou non, fondés sur l'appartenance religieuse (...) des élèves", avait souligné le tribunal. En revanche, des informations sur les élèves "ont été collectées à partir des fichiers recensant les élèves inscrits dans les établissements publics d'enseignement dans lesquels les enfants supposés appartenir à la religion musulmane ont été identifiés par leurs prénoms", avait noté le tribunal.

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jeudi, 02 juillet 2015

Le nouveau numéro de Conflits est sorti

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La justice annule la suspension de Jean-Marie Le Pen

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Source RTL cliquez ici

La suspension de Jean-Marie Le Pen par le bureau exécutif du Front national a été annulée, jeudi 2 juillet, par le tribunal de grande instance de Nanterre, et ce pour une question de forme.

Le FN "devra rétablir M. Jean-Marie Le Pen dans tous les droits attachés à sa qualité d'adhérent et le cas échéant à celle de président d'honneur", précise le jugement.

Le cofondateurdu parti d'extrême-droite avait été suspendu le 4 mai dernier de son statut d'adhérent, une sanction prise par les plus hautes instances du parti à la suite de dérapages verbaux.

Le bureau politique du FN s'était alors désolidarisé officiellement des propos tenus par son président d'honneur : "Le Bureau politique désapprouve les propos tenus et réitérés par Jean-Marie Le Pen, notamment ceux exprimés dans les colonnes du journal anti-FN Rivarol, contraires à ses valeurs politiques et statutaires ainsi qu’à l’objet social de l’association". 

Le bureau exécutif lui avait retiré le statut d'adhérent et une assemblée générale du parti devait décider "dans les trois mois" de lui supprimer son statut de président d'honneur.

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Jeudi, c'est le jour de Rivarol :

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YASSIN SAHLI : UN MONSTRE SI ORDINAIRE Les médias tentent d’occulter la dimension islamiste du meurtrier terroriste

Yassin_Sahli.jpgRaoul Fougax

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Les journalistes ont été très déçus par la conférence de presse du procureur de la république affirmant que le décapiteur terroriste de l’Isère était bien un islamiste passé à l’acte.

Une campagne vis-à-vis de l’opinion publique a été mené avec la complicité des avocats pour désislamiser les actions de Yassin Sahli. On aurait eu finalement, selon ses dires,  un acte de vengeance mis en scène pour attirer l’attention. On se demande jusqu’où peut aller le dénie de la réalité pour empêcher un rejet des islamistes par la population.

On a affaire à un fou de dieu,  un islamiste radical qui est passé à l’acte dans une tentative de terrorisme après avoir tué, pour des raisons au départ  privées, son employeur. Le déclencheur de l'hystérie meurtrière est privé, mais l’action est terroriste et islamique : tête coupée, inscriptions religieuses, attentat suicide…..

Qui peut en douter ? La preuve par l’absurde

Si, par exemple aux USA, un employé blanc, camarade de travail d’un noir l’avait, par vengeance, pendu à un arbre devant une croix enflammée en tenue du Ku Klux Klan…. Aurait-on un  seul instant donné du crédit à ses déclarations s’il avait affirmé, même relayé par un avocat, qu’il n’était pas raciste, qu’il n’avait pas commis un crime de haine, et que c’était juste une mise en scène pour attirer l’attention des médias ?

Les enquêteurs ont découvert, dans son téléphone portable, un selfie macabre, pris avec la tête de sa victime et envoyé à un correspondant via une application de messagerie instantanée. Le numéro de téléphone du destinataire est canadien, mais les enquêteurs ont identifié un djihadiste français présent dans les zones de combats syriennes et répertorié parmi les 473 djihadistes français actuellement sur place. Il s’agit de Yunes-Sébastien V-Z., un Français âgé de 30 ans, que Yassin Salhi connaît depuis 2006 et qui n’avait pas été repéré par les services de renseignement avant son départ pour la Syrie en novembre dernier.

Le procureur de Paris, François Molins, a révélé hier, qu’après plusieurs voyages au Maroc et en Arabie Saoudite en 2003-2004, il s’est rendu en Syrie en 2009 pendant un an, avec femme et enfants, d’après sa sœur. Là, Yassin Sahli dit avoir appris l’arabe. Un de ses anciens professeurs de sport assure toutefois qu’il y a fréquenté une école coranique. «Quand on va dans une école coranique, ce n’est pas pour apprendre l’arabe, c’est pour tout autre chose», a estimé François Molins.

À l'inverse d'un Mohamed Merah ou plus récemment des frères Kouachi ou d'Amédy Coulibaly, qui avaient proclamé avant leur mort leur affiliation à l'islamisme le plus radical, Salhi a contesté en garde à vue toute motivation religieuse. Mais pour la justice, le patron de son entreprise de transport, Hervé Cornara, qu'il a avoué avoir tué, est bien une nouvelle victime du terrorisme islamiste, six mois après les attentats de Paris et deux mois après l'assassinat d'Aurélie Chatelain dans un parking de Villejuif (Val-de-Marne).

La terreur djihadiste continue à frapper et la presse reste tétanisée par son idéologie anti raciste et sa peur de la montée d’un réflexe de salut public dans la population.

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mercredi, 01 juillet 2015

Un numéro spécial de Présent consacré aux dessinateurs non conformistes qui ne sont pas Charlie...

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Dans ce numéro, un grand entretien avec Aramis, auteur du fameux livre qui calme :

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dimanche, 28 juin 2015

VENDREDI 26 JUIN : UNE JOURNÉE DE L’ABJECTION Quelle stratégie contre les crimes de haine

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Raoul Fougax Métamag cliquez ici

Les journalistes, quand un blanc tire sur des noirs, savent qualifier ce crime de «  crime de haine  ». Un crime contre l’autre parce qu’il est autre.

Les crimes islamistes sont donc des crimes de haine et il faut les traiter comme tels en criminalisant l’adhésion à la violence d’une idéologie religieuse  préconisant la mort pour ceux qui ne se soumettent pas ou qui sont considérés comme des impies. L’adhésion au salafisme est incompatible avec nos valeurs et notre nationalité historique. Il faut enfin en tirer les conséquences.

Pour une fois cependant  le terme est approprié : abject. Un terrorisme abject, de sauvages et pas seulement de barbares qui a frappé trois fois.

Chaque fois, on nous rappelle que ce ne sont pas des musulmans mais des terroristes. C’est un peu lassant. Et puis, on nous explique que ce mois est le plus dangereux, qu’on s’attendait à des horreurs car c’est le mois saint, le mois de ramadan. N’y aurait-il pas tout de même une légère contradiction.

Ce terrorisme est une maladie de l’islam, une gangrène de cette religion. Dans les reportages sur France info, il y a toujours une musulmane voilée mais tolérante qui explique que le terroriste n’a rien compris à l'islam.

Abject, ce qui s’est passé en France où un islamiste radical est passé à l’acte terroriste dans une forme d’attentat suicide après avoir coupé la tête de son patron ou collègue de travail, sans oublier de l’accrocher au portail avec des inscriptions en langue arabe. Un homme connu, surveillé mais pas trop et qui a transformé en Djihad une haine privée, passant à l’acte terroriste.

Abject en Tunisie cette fusillade qui a fait prés de 40 morts, des touristes sur les plages, des employés de l’établissement dans l'hôtel même, un homme seul se faisant passer pour un baigneur  comme les autres, une horreur venue du bord de mer. Sous le sable et les matelas en Tunisie la mort.

Abject en plein ramadan, le vendredi, heure de la prière en ce début de ramadan, cette bombe au Koweït dans une mosquée chiite, un acte signé Daesh.

Alors  bien sûr la condamnation et la compassion ne servent à rien, la preuve par 3, l’appel à la solidarité surtout sans fausse note et sans amalgame est dérisoire et même devient insupportable.

Il faut éradiquer l'islamisme la-bas et chez nous et faire la guerre à ceux qui nous rejettent et veulent nous tuer.

Il faut les rejeter même si c’est sans doute trop tard. Comment ?

Il y a des gouvernants, nos admirables gouvernants qui le feront très bien sans pratiquer l’amalgame bien sûr ! Et pendant ce temps accueillons les migrants au nom de la compassion.

Mortelle compassion.

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Le nouveau numéro de "Réfléchir et Agir" est sorti

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samedi, 27 juin 2015

Un entretien avec les Brigandes

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Publié par Euro Reconquista cliquez ici

Bonjour Les Brigandes ! Bienvenues dans l’antre de la bête immonde, des zeures , de la pensée nauséabonde et du couscous réunis.

ER : Depuis un an environ vous rencontrez un certain succès avec vos vidéos, surtout dans la réacosphère, ben oui ! comment le jugez-vous ?

Nous nous doutions que dès le lancement de nos petits missiles, ils allaient toucher des cibles. Le succès nous a boosté pour nous engager carrément car la reconnaissance est un stimulant. C’est donc un coup réussi pour le moment et nous sommes prêtes à assurer la suite, sachant qu’il y aura des grincements de dents car on ne peut pas plaire à toute notre mouvance, diversifiée idéologiquement.

Si on cherche la motivation derrière notre travail artistique c’est de soulever la chape qui nous écrase tout en faisant plaisir à tous ces gens qui souffrent dans un système qui les humilie en permanence. Nous sommes saturés d’explications et d’informations, et il faut imaginer de nouvelles voies d’expression pour nos idées. La vraie Droite est pauvre au plan musical et nous avons voulu libérer un espace pour une nouvelle chanson française, joyeuse et contestataire.

ER : Question à deux roupies, pourquoi Les Brigandes ?

« Brigands » est le nom que les génocidaire de 1793 donnaient aux vendéens parmi lesquels des femmes combattaient, d’où notre choix spontané pour les Brigandes qui nous est venu en lisant et en visionnant les productions de Reynald Secher sur la Terreur.

ER : Vous tournez à combien de visites en moyenne ?

Nous avons une moyenne de plusieurs milliers de visites par jour, dont certaines de Russie, du monde latino et anglo-saxon pour les chansons sous titrées dans ces langues. De Russie, nous recevons beaucoup de commentaire positifs grâce à « Laissez vivre la Russie » sous-titrée en russe. « La Loge des jacobins » est visionnée par les francs-maçons anglo-saxons. Il est agréable de savoir que ces quenelles bien françaises passent à l’international.

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jeudi, 25 juin 2015

Jeudi, c'est le jour de Rivarol :

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mercredi, 24 juin 2015

Camba et Taubira ne seraient-ils pas un peu racistes ?

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Pierre Cassen Boulevard Voltaire cliquez ici

Essayant de se refaire une santé après le peu glorieux épisode Chaouat, le nouveau secrétaire du PS a cru bon de passer de la pommade à Taubira, la jugeant « indispensable à la couleur du gouvernement » (sic !).

Seul problème : à force de qualifier tout le monde de raciste (tout en affirmant que les races n’existent pas), on finit par se prendre les pieds dans le tapis. C’est ce qui vient d’arriver au nouveau secrétaire du Parti socialiste, qui laisse entendre que si l’ancienne indépendantiste guyanaise n’était pas noire, elle ne serait pas indispensable. On attend avec impatience le prochain procès du CRAN !

Le cirage (noir) de pompes de Cambadélis et la référence à la couleur tombaient d’autant plus mal que le garde des Sceaux vient de subir un véritable « Taubiragate » judiciaire, dans une affaire qu’elle a instrumentalisée de A à Z avec l’alibi de l’antiracisme.

Elle s’était victimisée, de manière très politicienne, dans une histoire de page Facebook appartenant à Anne-Sophie Leclère, à l’époque au FN, la représentant en singe. Rappelons que par le passé, Giscard d’Estaing, Le Pen ou Sarkozy avaient eux aussi été caricaturés ainsi. N’oublions pas que Charb lui-même avait dessiné le garde des Sceaux en guenon, en toute impunité.

Plus grave, Taubira avait mis tout son poids dans la balance, dans le procès qui allait suivre, se montrant grossièrement juge et partie. C’est une association indépendantiste, qu’elle a créée en 1993, hébergée à son adresse, qui a déposé plainte. Le premier procès a eu lieu à Cayenne, avec six avocats d’un côté, aucun défenseur de l’accusée de l’autre, et un tribunal présidé par un membre du Syndicat de la magistrature. Ce dernier, confondant le droit français et une vision militante et revancharde de la justice postcoloniale, a rendu, le 16 juillet 2014, un verdict digne d’une république bananière : 9 mois de prison ferme et 50.000 euros d’amende, contre une femme qui n’a que 600 euros de revenus par mois.

Taubira qui, paraît-il, ne commente jamais les décisions de justice a essayé de justifier une telle sentence. Après un lapsus révélateur « Je ne commente jamais les injustices », elle a estimé que les juges rendaient leur verdict d’après le Code pénal. Décodage : la sanction était donc méritée.

Seul problème, et c’est l’ABC du droit : une association ne peut ester en justice que si ses statuts le lui permettent. Or, l’association Walwari n’a pas pour mission de lutter contre le racisme, mais pour l’indépendance de la Guyane. Autrement dit, Taubira, par idéologie et par haine des anciens colonialistes, a cautionné une justice d’exception, de type raciste, prenant des libertés avec le droit français. D’où, ce lundi, l’annulation par la cour d’appel de Cayenne du premier verdict.

Si un ministre de la Justice blanc avait été dessiné en cochon par un Guyanais, Taubira aurait-elle fait tout ce cirque ? Bien sûr que non.

Que dire, en outre, de l’affaire Chaouat-Cambadélis ? Le chef du PS aurait-il proposé qu’un Français d’origine européenne, connu pour avoir cogné son épouse, soit nommé secrétaire national du Parti socialiste ? Bien sûr que non. Aurait-il parlé de couleur si le garde des Sceaux était d’origine asiatique ? Bien sûr que non, cette question n’est jamais évoquée avec Fleur Pellerin.

Pierre Desproges disait qu’il n’adhérerait à SOS Racisme que quand il y aurait un « s » à racisme. Cambadélis et Taubira, par leurs orientations teintées de racisme, lui donnent raison.

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mardi, 23 juin 2015

« Nous pourrons nous battre quand nous redécouvrirons qui nous sommes ! »

519962ab9ec903449d511db3e7293356.jpegUn entretien avec

Bernard Lugan

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Dans toute l’Afrique, le chaos semble s’installer. Les frontières issues de la colonisation européenne ont-elles un avenir ?

Ces frontières ne correspondent pas à la réalité, mais elles existent. Si elles explosent, ce sera l’anarchie. Et l’on voit au Sud-Soudan que de nouvelles frontières ne résolvent pas les problèmes pour autant. Le vrai problème, c’est la démocratie. C’est elle qui provoque le chaos. Avec le principe « one man, one vote », la majorité ethnique remporte systématiquement les élections. Et cela cause des drames terribles quand cette majorité était, avant l’indépendance, soumise à une autre ethnie. Cela débouche sur la vengeance et sur le génocide, comme au Rwanda. Le génocide de 1994 est le fils de la démocratie.

Vous soulignez toujours le discours de La Baule (1990) du président Mitterrand comme point de départ du chaos africain…

Tout à fait : Mitterrand, en expliquant qu’un « vent démocratique devait souffler » sur l’Afrique, a tourné le dos à notre antique politique africaine – gaulliste – qui consistait à soutenir des régimes forts. Nous pensions, à juste titre, qu’il fallait construire un État avant de parler démocratie. De Gaulle l’avait compris, lui qui parlait d’ailleurs de « coopération » avec les anciennes colonies, jamais de « développement ». Le chef de l’État socialiste a, lui, au contraire, associé « développement » et « démocratie », faisant de la seconde la condition du premier. Un désastre ! La démocratie a été une catastrophe pour le continent, tout comme la médecine…

La médecine ?

Oui. Quand nos grands anciens, les explorateurs, sont arrivés en Afrique, le continent était presque vide. En vérité, l’Afrique a toujours été un continent de basse pression démographique. Jusqu’à ce que les Européens amènent leur médecine… De 100 millions d’habitants, on est passé à plus de 1 milliard et l’ONU prévoit 3 milliards d’ici quelques décennies ! C’est une folie… Les faibles États africains ne tiendront pas le choc.

Vous vous doutez que ces propos peuvent choquer ?

Vous savez, moi, je suis un historien. Je m’intéresse à la terre et aux hommes. Aux faits. La morale, je la laisse aux philosophes. Nous vivons dans un monde de dogmes, dans l’émotion, dans le présent. Je pense comme les Arabes ou les Africains : sur la longue durée. Et j’irai plus loin dans mes propos : la démocratie a fait plus de mal que l’esclavage !

À vous écouter, un pays comme l’Afrique du Sud ne pourra donc jamais être la démocratie merveilleuse et arc-en-ciel que l’on nous dépeint ?

Non. Et l’apartheid se réinstalle d’ailleurs tranquillement. Le grand exode des Blancs (près d’un million de personnes) est terminé. Ceux qui sont restés se sont regroupés, vivent dans leurs propres villes. Il y a peu de contact avec les Noirs. Les grandes distances permettent ce qui est impossible en France pour la population de souche. Comme dans toute l’Afrique, en Afrique du Sud, le vote est racial. L’ANC est le parti des Noirs, contrôlé par les Zoulous, et le petit parti libéral, blanc et métis, ne décolle pas.

Vous restez cependant optimiste…

Oui, car le réel fera son retour. Le modèle démocratique va s’effondrer de lui-même. Nous reviendrons, y compris en Europe, à une sorte d’Ancien Régime, qui respectera mieux les communautés originelles. Nous pourrons nous battre à armes égales avec les islamistes quand nous redécouvrirons qui nous sommes. Pas avec ce hochet des droits de l’homme ou ce laïcisme désuet !

Propos recueillis par Joris Karl

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DÉMISSION DE TAUBIRA : CHRISTIANE FAIT NOUS PEUR ! Le départ de Taubira, le rêve de Valls

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Raoul Fougax Métamag cliquez ici

Ceux qui ne savaient plus comment s’en débarrasser au gouvernement se reprennent à espérer. Elle pourrait finalement partir d’elle-même. La madone des 32 heures s’impatiente, parait-il. Elle aurait du mal à rester au gouvernement si la réforme de la justice des mineurs, promise par François Hollande et à laquelle elle est très attachée n’était pas rapidement inscrite à l’ordre du jour.

« Le gouvernement s’était engagé à le faire au premier semestre 2015, je suis la première à déplorer que ce ne soit pas encore fait », a expliqué la garde des sceaux. Si ses collègues du gouvernement affirment que la démission de Christiane Taubira n'est pas à l'ordre du jour, il n'empêche que la ministre teste la résistance de Manuel Valls.

Le Journal du Dimanche, dans son édition du 21 juin, confirme que la ministre de la justice ne cacherait plus en privé qu’elle démissionnera si elle n’a pas la certitude que cette réforme sensible, qui en est, selon elle, aux « derniers arbitrages », soit adoptée avant la fin du quinquennat.

Christiane Taubira, qui s’est opposée sans succès à certaines mesures du projet de loi sur le renseignement, entend donc mettre la pression sur Matignon et l’Élysée pour faire avancer son projet qui prévoit notamment de supprimer les tribunaux correctionnels pour mineurs mis en place sous Nicolas Sarkozy au motif que les juges pour enfants auraient été trop laxistes. Le laxisme vis avis des voyous, c’est l'image de marque d’un ministre qui fait de la lutte contre l'l autorité, forcement rétrograde, sa priorité.

Elle est en totale contradiction avec la ligne Valls qui n’ose y toucher parce que noire et femme, parce qu'en butte aux attaques d’une droite qui la soupçonne sans jamais oser le dire de racisme à rebours. Il faut rappeler que Christiane Taubira n’est pas membre du PS. Elle a co-fondé avec son mari en 1993 le parti guyanais Walwari et est surtout apparentée au PRG. Elue en 1994 au Parlement européen sur la liste conduite par Bernard Tapie (alors PRG), avec Noël Mamère entre autres colistiers, elle rejoint Ségolène Royal lors de la campagne présidentielle de 2007 et soutient Arnaud Montebourg lors des primaires citoyennes de l’automne 2011, n’apportant même pas son appui au "patron" des Radicaux de gauche, Jean-Michel Baylet… Taubira depuis l’élection présidentielle de 2012 apparaît effectivement comme une "caution" de gauche anti raciste pour François Hollande. Si elle partait d'elle même pour rejoindre la gauche de la gauche du Ps, et même au delà ,cela arrangerait tout le monde sauf ceux qu’elle irait rejoindre peut être. Car comme dirait l’autre «  il faut se la faire ».,Son ambition est grande et elle rêve d’être le symbole d'une gauche multiraciale à la française… ce qu’elle est déjà.

Taubira candidate à la présidence ! Eva Joly l’a bien été.

Cette hypothèse est loin d’être absurde mais n’inquiète pour le moment personne surtout pas Manuel Valls qui pense qu’à chaque jour, suffit sa peine, surtout avec Taubira. Mais si elle part, ce sera pour mieux revenir, c’est sûr, sauf à donner l'indépendance à la Guyane…

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Taubira comparée à un singe: la condamnation annulée

786445-christiane-taubira-le-6-mai-2015.jpgSource Libération.fr cliquez ici

En première instance, Anne-Sophie Leclère, un temps tête de liste FN aux municipales, avait été condamnée à neuf mois de prison ferme et cinq ans d’inéligibilité.

La cour d’appel de Cayenne a annulé la condamnation d’une ex-candidate FN aux municipales de 2014, Anne-Sophie Leclère, qui avait été condamnée à neuf mois de prison ferme et cinq ans d’inéligibilité en première instance pour avoir comparé Christiane Taubira à un singe. Dans son arrêt rendu lundi, la cour d’appel a jugé « irrecevable » l’action menée par l’association Walwari (un mouvement cofondé par l’actuelle garde des Sceaux début 1993) à l’encontre du Front national et de Anne-Sophie Leclère.

Anne-Sophie Leclère, un temps tête de liste FN aux municipales à Rethel (Ardennes) avant d’être exclue par le parti de Marine Le Pen à la suite de ces propos, avait été condamnée en juillet 2014 par le tribunal de grande instance de Cayenne. Le tribunal, saisi d’une plainte de Walwari, était allé au-delà des réquisitions du parquet en prononçant cette peine, assortie d’une amende de 50 000 euros. Il avait également condamné le Front national à 30 000 euros d’amende en première instance.

La cour d’appel a considéré lundi, entre autres, que Walwari « ne justifie pas », selon ses statuts, de proposer « de défendre la mémoire des esclaves et l’honneur de ses descendants » ou « de combattre le racisme » au moins « 5 ans avant les faits reprochés » d’octobre 2013 comme le requiert la loi. « Sans qu’il soit nécessaire d’examiner les autres multiples exceptions de nullité» soulevées par les avocats de Anne-Sophie Leclère et par celui du FN, la cour a estimé que « le tribunal n’ayant pas été régulièrement saisi de l’action publique, il y a lieu d’annuler le jugement du 15 juillet 2014 ». (...)

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jeudi, 18 juin 2015

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jeudi, 11 juin 2015

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jeudi, 28 mai 2015

Jeudi, c'est le jour de Rivarol

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mercredi, 27 mai 2015

MEDIAS ET PHILIPPOT : UN ÉTRANGE ENGOUEMENT Mais pourquoi une telle surreprésentation du vice-président du FN ?

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Jean Bonnevey Métamag cliquez ici

Si l’on considère que l’idéologie médiatique déteste les valeurs et les visions prêtées au Front national, la sollicitude de la caste journalistique pour Florian Philippot interpelle. On ne voit que lui partout. On le voit plus que Marine, Marion et les autres réunis. C’est tout de même bizarre. On allume la télé, encore Philippot, toujours Philippot. Alors pourquoi ? Parce qu’il dit du mal du Fn historique, du Fn déviant de l’idéologie dominante. Il n’y a pas de secret. Philippot est considéré par les médias comme un moyen de combattre certaines idées de l’intérieur du Fn. Pour les militants restés proche de JMLP, il est utilisé comme un «  idiot utile » ou un «  porteur de valise ». Ce qui est vrai, c’est que les médias l’aiment.

Tout d’abord parce qu’il dit du mal de Jean-marie Le Pen, le diable. En plus parce qu’il représente un Fn édulcoré et presque médiatiquement compatible. Philippot accepte totalement la lecture de l’histoire du système, notamment sur la deuxième guerre mondiale. Il est d’autre part de sensibilité « mariage pour tous ».  C’est certainement les deux éléments qui font que les médias lui donnent si complaisamment la parole.

La seule chose qui les gêne encore un peu, c’est l’immigration et le fait que le vice-président du Fn n’est pas encore mûr pour accepter d’avoir pour compagnon un tamoul clandestin, serait-il lauréat à Cannes. Mais personne n’est parfait.

Mais à part ça, Philippot issu des rangs chevènementistes est un patriote gaulliste social, pas de quoi effrayer la vigilance anti fasciste médiatique. Vice-président du Front national, Florian Philippot ne cache pas sa volonté de voir Jean-Marie Le Pen hors du parti. « Aujourd'hui, une procédure a été engagée à l'initiative de la présidence du Front. Jean-Marie Le Pen est suspendu. Nous, nous proposons aux adhérents une réforme des statuts qui comporte la suppression du président d'honneur mais aussi plus de démocratie interne. Je suis favorable à la suppression de la présidence d'honneur de Jean-Marie Le Pen », affirme-t-il sur BFMTV et RMC.

Le Fn doit changer de l'intérieur, "se moderniser" estime Florian Philippot. Mais ce changement n'ira pas jusqu'au nom du parti. "Ce n'est pas d'actualité", confirme-t-il. «Je trouve qu'un nom ce n'est pas sacré. Mais changer de nom n'est pas d'actualité. On ne va pas se donner en spectacle comme l'UMP avec les Républicains!» Un nom qui montre selon lui que l'UMP est "inféodé à Washington".

Le Front National versus Philippot aura bientôt éliminé physiquement de ses membres Jean-Marie Le Pen, pourtant fondateur du parti et toujours statutairement président d’honneur. En attendant le congrès – numérique ? – qui doit déposer le patriarche, l’élimination voulue aussi par la propre fille du condamné, Marine le Pen, le Front National dédiabolisé – ou systémisé – a décidé de rayer visuellement Jean-Marie le Pen de toute sa communication.

Plus aucun lien sur le site du Fn vers le blog de Jean-Marie Le Pen, et encore moins vers ses vidéos intitulées « Journal de bord ». Ne cherchez plus les interventions de Jean-Marie Le Pen au parlement européen sur le site du Fn, elles sont systématiquement ignorées. Idem de la nouvelle rétrospective en vidéo de l’action des députés Fn à Strasbourg. Même en flouté et en arrière plan le fondateur du Fn n’apparaît pas. Pourtant, celui-ci n’est-il pas toujours député européen ?

Une méthode qui n’est pas nouvelle, celle qui consiste aussi à retoucher les photos pour retirer un visage que l’on ne souhaite plus y voir. De Staline à Kim Jong-un en passant par les gaullistes avec Georges Bidault, ce furent des méthodes employées.

Philippot veut Marine à l’Elysée, mais pour quoi faire : du Philippot !

Apparemment ça n’inquiète pas les médias qui le chouchoutent, et c’est sans doute cela qui est objectivement inquiétant si l’on est électeur Fn.

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vendredi, 22 mai 2015

Les enseignants : nouveaux dindons de la farce socialiste

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Véronique Bouzou Boulevard Voltaire cliquez ici

Le décret de la réforme du collège publié en catimini durant la nuit, quelques heures à peine après la grève des professeurs, traduit une fois de plus le mépris du gouvernement socialiste à l’égard des enseignants.

Rien d’étonnant, néanmoins, de la part d’un exécutif responsable d’un accouchement au forceps des rythmes scolaires à l’école primaire ! Rien d’étonnant quand on connaît la mauvaise foi des apôtres socialistes de cette réforme du collège – que je qualifierai pour ma part de projet nuisible – qui considèrent qu’eux seuls sont du côté du progrès, qu’eux seuls œuvrent pour la « réussite de tous les élèves ». 

Au mieux, les caciques du PS jugent comme des abrutis ceux qui s’opposent à la vertu de cette « réussite pour tous » (en réalité un échec pour le plus grand nombre et un égalitarisme néfaste à l’élitisme républicain). Au pire, ils les discréditent en les qualifiant de vilains réactionnaires préoccupés par le seul devenir des élites. Rien ne les arrête, ces « progressistes » autoproclamés – des apprentis sorciers, devrais-je dire – pour faire montre de pédagogie et expliquer aux enseignants et aux parents d’élèves le bien-fondé d’un projet qu’ils sont bien les seuls à défendre contre un bon nombre de philosophes, d’historiens et même d’enseignants !

Car même si la grève des professeurs n’a pas obtenu le succès escompté (27,6 % des enseignants dans les collèges publics, selon le ministère, 50 %, d’après les syndicats), cela ne veut pas dire pour autant que les professeurs applaudissent à tout rompre leur ministre. Pour quelle raison, alors, le gouvernement socialiste prend-il le risque de faire passer une réforme impopulaire auprès du corps enseignant ? Ces derniers auraient-il réagi plus vigoureusement si un gouvernement de droite avait tenté le même passage en force ? Peu probable…

Alors, quoi ? Certains professeurs dépités sont plus ou moins conscients qu’ils ne seront pas entendus. Inutile, donc, d’offrir une journée de grève à l’État. D’autres, sceptiques, restent encore dans le flou et se disent qu’ils pourront, le moment venu, adapter la réforme et rester libres de leur pédagogie. D’autres, encore, se refusent à croire que ce qui vient de la gauche peut être néfaste. N’ont-ils pas toujours cru – à défaut de voter – à cette gauche qu’ils idéalisent ?

Mais le PS croit-il encore aux enseignants ? Ne préfère-t-il pas aux classes moyennes laborieuses les « minorités visibles » qui constituent son nouvel électorat ? La réforme du collège se fera donc « quoi qu’il arrive » (dixit Valls), et tant pis si les profs sont mécontents…

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jeudi, 21 mai 2015

Jeudi, c'est le jour de Rivarol

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dimanche, 17 mai 2015

Un maire UMP veut interdire l’islam : il est interné dans la journée !

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Francis Gruzelle Riposte laïque cliquez ici

Dans l’URSS de Staline, les opposants les plus dangereux étaient internés dans des hôpitaux psychiatriques, puis déportés dans des camps de concentration en Sibérie. Robert Chardon,  le maire de Venelles, dans les Bouches-du-Rhône, une commune d’environ 8.000 habitants proche d’Aix-en-Provence, a été hospitalisé d’office dans la journée du vendredi 15 mai, selon l’AFP qui cite une source proche du dossier, après s’être prononcé sur Twitter pour «interdire le culte musulman en France». Selon l’AFP, « cette demande d’hospitalisation a été formulée par un tiers compte tenu de l’incohérence de ses propos »…

On peut être d’accord, ou pas d’accord, avec les propos du maire Robert Chardon, élu à la mairie de Venelles sur une liste ayant recueilli plusieurs milliers de voix, puis élu au poste de maire par une majorité de conseillers municipaux. Mais, on ne peut cautionner, comme le font une majorité de médias, d’élus, de hauts fonctionnaires, l’internement psychiatrique d’un élu de la République qui émet une idée. Car, on commence par interner Robert Chardon pour ses propos, mais on ne sait pas où ce nouveau processus s’arrêtera ! Il suffit de regarder l’histoire des 80 dernières années…

Dans la foulée de ce qui ressemble à une « chasse à l’homme » pour un délit d’opinion,  l’UMP, formation politique de Robert Chardon, a lancé vendredi 15 mai une «procédure d’exclusion» visant le maire de Venelles, qui s’est prononcé, rappelons le sur Twitter pour «interdire le culte musulman en France». Des propos «condamnés» par deux dirigeants de l’UMP, dont Nicolas Sarkozy. «J’ai demandé qu’une procédure d’exclusion soit engagée pour des propos absurdes qui ne correspondent en aucune manière aux valeurs et au projet de l’UMP», a officiellement déclaré la vice-présidente du parti Nathalie Kosciusko-Morizet à l’AFP.

Selon la rédaction du quotidien Les Echos, cette «procédure d’exclusion» de Robert Chardon avait été annoncée « auparavant sur Twitter,  par Christian Estrosi. «Les propos du maire de Venelles sont intolérables et incohérents, il a été immédiatement suspendu», avait ajouté le maire de Nice, par ailleurs président de la Commission nationale d’investiture de l’UMP et chef de file du parti pour les élections régionales en Paca. »…

La rédaction de l’hebdomadaire l’Express confirme l’hospitalisation d’office du maire UMP de Venelles en ces termes : « Hospitalisé en raison de « l’incohérence » de ses propos… Outre la condamnation morale et politique, Robert Chardon a par ailleurs été hospitalisé d’office dans la journée de vendredi, a-t-on appris de source proche du dossier. Cette demande d’hospitalisation a été formulée par « un tiers compte tenu de l’incohérence de ses propos », a-t-on précisé de même source cliquez ici. 

Un conseil à chaque Français qui nous lit : attention à vos tweets, à vos messages internet, à vos comptes Facebook, à vos discussions de bistrot ou de trottoir. Au moindre dérapage verbal, vous pourriez être hospitalisé d’office, en application de la jurisprudence Robert Chardon. Une suggestion : regardez le film Minority Report, réalisé par Steven Spielberg, car il arrive que la réalité rattrape la fiction.

NDLR - SN :

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En savoir plus cliquez ici

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vendredi, 15 mai 2015

Ce vendredi, c'est le jour de Rivarol

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mercredi, 13 mai 2015

« Affaire Ménard » : le spectacle est terminé !

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Gabrielle Cluzel Boulevard Voltaire cliquez ici

Bon, ben, vous pouvez remballer, les gars. Démontez l’estrade, débranchez les spots. La représentation est terminée. Un très joli concert, les claquettes indignées de Manuel Valls, la grosse caisse de François Hollande, le piano pathétique de Christiane Taubira, le violon appliqué de Najat Vallaud-Belkacem, le chœur des médias parfaitement à l’unisson et, chaque jour, un nouveau quidam qui venait se joindre à l’orchestre, comme dans le boléro de Ravel… non, c’était chouette. Mais le tribunal administratif de Montpellier vient d’un coup de doucher leur joie : il a statué sur l’affaire Ménard. Et alors ? Et alors, rien. La requête de la Coordination contre le racisme et l’islamophobie (CRI) a été rejetée. Il n’y a pas plus de « fiches » à la mairie de Béziers que de poux sur la tête d’un chauve.

Le juge des référés a constaté qu’il n’existait pas de « fichiers spécifiques, dématérialisés ou non, fondés sur l’appartenance religieuse, réelle ou supposée, des élèves inscrits » dans les écoles de la ville, et confirmation a été donnée que l’accès aux listes des élèves par le maire est légal.

La vérité est que Robert Ménard s’est contenté, en maire responsable, de faire au début de l’année un rapide calcul empirique, au vu des prénoms, le même calcul empirique que font les directeurs d’école responsables au mois de juin quand ils constituent leurs classes, les professeurs responsables au mois de septembre quand ils accueillent leurs élèves, parce qu’évidemment, les apprentissages ne se font pas de la même façon et au même rythme dans une classe où tous les enfants parlent la langue de Molière depuis qu’ils sont au berceau, et dans une classe où les trois quarts des élèves ont une autre langue maternelle. Que refuser de le prendre en compte serait une faute professionnelle grave, un aveuglement coupable dont les premières victimes seraient d’ailleurs ceux que l’on aurait fait mine de ne pas voir, condamnés à l’échec scolaire.

Oui, la représentation est terminée, mais ce n’est qu’un au revoir, hein ? Les intermittents du scandale ressortiront leur matériel à la première occase. Avec la même impudence et surtout la même imprudence.

D’abord parce que le parterre des amateurs devient aussi élitiste que celui de la salle Pleyel, que dans la France de M. Tout-le-Monde, cela ressemble bien à un bide et que cela finit par se voir : selon deux sondages, 54 % des Français sont « choqués par les méthodes de Robert Ménard », donc 46 % ne le sont pas, ce qui, eu égard au martèlement médiatique, est assez inattendu, et 55 % des Français sont « favorables aux statistiques ethniques ». Passons sur le fait que 9 % des Français sont à la fois en accord et en désaccord avec Robert Ménard… que ceux que la pression du politiquement correct n’a jamais rendus schizophrènes leur jettent la première pierre.

Ensuite parce que cette montée en mayonnaise est un acte pyromane. Selon la CRI, « l’affaire aurait provoqué un émoi considérable dans le pays et chez les personnes de confession musulmane ». Un émoi qui ne repose sur rien puisque, comme le précise le juge des référés, « aucun “fichier d’élèves musulmans” [n’existe] au sein de la ville de Béziers, de sorte qu’aucune liberté fondamentale n’a été méconnue », sur rien, donc, sinon les cris d’orfraie et le mot « fichage », sorti du chapeau et agité comme un chiffon rouge. Mais si émoi il y a, il est double. Émoi ouvert des musulmans, dont on attise les rancœurs, émoi rentré des « petites gens », comme dit Manuel Valls, ulcérés que l’on ne puisse pas « dire les choses ». Pour un vivre ensemble apaisé, c’est nickel.

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jeudi, 07 mai 2015

MARINE LE PEN EST-ELLE « PHILIPPOTÉE » ?

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Pierre Picace Le nouveau NH cliquez ici

Jean-Marie Le Pen se demandait, si sa fille n’était pas « Philippotée », comme ces personnes crédules qui se font « maraboutées » par des escrocs ? S’il y en a un aujourd’hui qui peut se frotter les mains, c’est bien lui : Florian Philipot !

L’ambitieux vice-président voit la route se dégager devant lui, comme par enchantement. Tout ceux, qui pouvaient lui faire de l’ombre et avoir un tant soit peu l’oreille de Marine Le Pen sont sur la touche. En but à des ennuis judiciaires les « gudards » sont hors jeu pour un bon moment, Aymeric Chauprade a été ravalé au rang de simple député européen, Paul-Marie Couteaux dégagé de la présidence du Siel. Le cercle des conseillers de Marine Le Pen se réduit comme peau de chagrin, bientôt s’il n’en reste qu’un, ce sera lui.

Après la suspension, puis peut-être l’exclusion de Le Pen père, il reste encore deux obstacles à franchir : Marion Maréchal Le Pen qui a la cote auprès des militants et la marque du parti indissociable du nom Le Pen.

Des obstacles auxquels Philippot compte s’attaquer au plus vite puisque comme le révèle le Canard Enchaîné de cette semaine, le vice-président du FN a fait déposer, auprès de l’INPI, ce qui pourrait devenir le prochain nom du Front national : « Les Patriotes », comme les missiles américains.

La méthode : Profiter du cas JMLP et de sa présidence d’honneur pour dans le même temps proposer de rénover, nettoyer les statuts du parti afin de le « dynamiser » ou plutôt de le dynamiter.

Comment ? La tactique du voleur chinois, l’air de rien en « loucedé »…

A lire le communiqué publié par le bureau éxécutif du FN, « une consultation des adhérents via une Assemblée générale extraordinaire sera organisée dans un délai de trois mois par correspondance afin de modifier les statuts… »

Une Assemblée générale par correspondance ! Il fallait y penser, pas de débat, pas de contradicteurs, juste des cases à cocher pour se prononcer sur le sort de Jean-Marie Le Pen et l’avenir du parti. On assassine en silence chez Philippot !

NDLR - SN : lire aussi cette intéressante analyse : cliquez là

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Une meute hystérique aux basques de Ménard

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Guy Rouvrais Présent cliquez ici

Nous sommes « en 1939 », a proclamé Christiane Taubira. Bigre ! La guerre est-elle déclarée ? Angela Merkel veut-elle nous reprendre l’Alsace et la Lorraine ? Rassurez-vous, il n’en est rien. RAS sur la ligne bleue des Vosges. La « menace » est loin de là, à Béziers et l’homme qui, cette fois, illustre le retour « des-jours-les-plus-sombres-de-notre-histoire », c’est son maire, Robert Ménard, du Rassemblement bleu Marine.

Le corps du « délit » ? L’affirmation par l’édile biterrois, lundi soir sur France 2, que les écoles de sa ville avaient 64 % d’élèves musulmans, ce qu’il a établi à partir des prénoms. C’est tout ? C’est tout ! Ni fichier nominatif, ni liste informatique, une simple statistique. Cela a suffi pour que l’établissement s’enflamme, décrète la levée en masse, que l’on évoque les juifs, les camps et la déportation, la « bête immonde » s’étant réveillée à la mairie de Béziers avec ses inséparables complices, « les vieux démons », dixit Taubira. On a beau être habitué à ces grossesses nerveuses de la classe politico-médiatique, on reste abasourdi par sa capacité à hystériser en quelques heures un fait purement anecdotique !

Jusqu’au président de la République, en tournée commerciale en Arabie saoudite, qui a affirmé que « le fichage des élèves est contraire à toutes les valeurs de la République », tandis que le même jour ses hôtes faisaient décapiter à Jeddah deux Yéménites, un Tchadien, un Erythréen et un Soudanais pour meurtre et vol lors d’un cambriolage. Mais l’important pour Hollande, c’était Ménard qui ne veut ni tuer, ni déporter personne, seulement établir un état des lieux dans les écoles de sa cité.

Contraire aux « valeurs de la République », dit Hollande ? Ce n’était pas l’opinion de Valls lorsqu’il était maire d’Evry. Il avait annoncé, en 2009, son intention de déposer une proposition de loi légalisant les statistiques ethniques, avec cet argument : « Pour certains, les statistiques ethniques mettraient en cause les valeurs de la République, alors qu’au contraire, c’est l’absence de mesures concrètes qui est à craindre. » Il était alors approuvé par Patrick Lozès, président du Cran (Conseil représentatif des associations noires) en ces termes : « On a besoin de savoir quelle est la réalité pour que les choses puissent changer. » Ce que fait Ménard pour les écoles, nombre d’organismes HLM le font, en cachette, pour éviter ces « ghettos » communautaires que le Premier ministre déplore.

Quant à Libération, vent debout contre Ménard, qui avait voulu savoir, en mai 2012, si les cabinets ministériels socialistes sacrifiaient à la diversité, comment s’y étaient-ils pris ? Il le dit : « La diversité est, elle, par définition difficile à mesurer. Nous avons opté pour la méthode utilisée par l’Observatoire des discriminations, consistant à répertorier les prénoms non francophones. » On apprend, à cette occasion, qu’un Observatoire qui lutte contre la discrimination use de la méthode qui est reprochée à Ménard parce que « discriminatoire ». Ce n’est donc pas ce type de statistiques qui est en cause, mais ceux qui en sont à l’origine. Selon que vous êtes de la gauche éclairée ou de la droite nationale, « les jugements de cour vous rendront blanc ou noir », si l’on peut se permettre cette distinction sans qu’elle soit assimilée à une discrimination. De toute façon, il est trop tard pour poursuivre La Fontaine qui l’écrivait dans Les animaux malades de la peste qui n’était pas encore brune…

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mercredi, 06 mai 2015

Pardon pour Sétif, pardon pour Charles Martel

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Pierre Cassen Boulevard Voltaire cliquez ici

Décidément, les socialistes sont des gens curieux. Ils ont choisi, pour leur prochain congrès, qui se déroulera du 5 au 7 juin, la ville de Poitiers. Certes, elle est tenue par le PS depuis 1977, mais tout de même !

La symbolique islamophobe Poitiers, c’est tout le contraire de la politique socialiste. Alors que Charles Martel a repoussé les guerriers mahométans, en 732, et a sauvé notre territoire du sort qu’a connu l’Espagne durant sept longs siècles, le PS favorise l’implantation de millions de musulmans sur notre sol. Il ne peut ignorer, surtout après les attentats contre Charlie Hebdo, que les plus déterminés (de plus en plus nombreux), comme le leur demandent leurs textes sacrés, rêvent de venger Poitiers, et de soumettre notre pays à l’islam. Même Michel Onfray a prédit une France et une Europe sous domination des disciples d’Allah dans cinquante ans, si rien ne change.

Mais finalement, comme Mélenchon (mais aussi Hitler), la direction du Parti socialiste n’aurait-elle pas souhaité la victoire des musulmans, il y a treize siècles, plutôt que celle des chrétiens ? Rappelons les propos du président du Parti de Gauche, le 7 mai 2011 au micro de France Culture : « Si on avait pu s’épargner les siècles d’obscurantisme que nous a valu la mainmise de l’Église sur l’Occident chrétien, si on avait pu, nous, gagner l’apport des civilisations arabes, arabo-andalouses… »

Faut-il rappeler, dans cet esprit, que, violant les principes laïques au seul profit de l’islam, le président de la République et nombre de ses ministres souhaitent, tous les ans, un bon ramadan aux musulmans, et que le maire de Paris le commémore dans l’hôtel de ville ? À chaque morceau de saucisson égaré devant une mosquée, on a droit à des excuses officielles de nos ministres, qui se taisent à chaque profanation d’église ! On a l’impression que les socialistes, après avoir fait repentance pour les méfaits du colonialisme, puis pour Sétif, vont bientôt demander pardon aux musulmans pour la victoire de Charles Martel, qui a privé la France, treize siècles durant, des « bienfaits » de la civilisation arabo-musulmane…

Mais cette soumission passe déjà par nos manuels scolaires. Ainsi, dans l’école de Najat Vallaud-Belkacem, on enseignera Sétif version FLN, et on ne parlera plus de Poitiers. Nos enfants sauront que de méchants soldats français colonialistes ont massacré de paisibles Algériens, le 8 mai 1945, par dizaines de milliers. Ils n’apprendront jamais que cela fut pour mettre fin à des assassinats barbares de Français et à une tentative de coup d’État nationaliste, comme le démontrent d’autres historiens tels que Roger Vétillard.

À l’opposé, nos enfants n’apprendront plus Poitiers et ignoreront ce qu’ils doivent à Charles Martel. Ils ne sauront pas davantage que, dès le début du VIIIe siècle, les guerriers musulmans multiplièrent tueries, dévastations et destructions à Carcassonne, Nîmes, Arles, Aix, Avignon, Valence, Vienne, Lyon, Besançon, Dijon, Autun, Luxeuil, Toulouse, Bordeaux…

C’est contre ce gigantesque lavage de cerveau que le 7 juin, pour se réapproprier notre Histoire, comme le fit Robert Ménard à Béziers, le 14 mars dernier, une association locale poitevine, « Le Cercle des Chats Bottés », organisera les Premières rencontres Charles Martel, à Poitiers, le même jour que le congrès socialiste.

Pendant une journée, des conférenciers raconteront une histoire que les porteurs de valises de l’islam veulent occulter, et permettront, grâce à Internet, que les parents qui le souhaitent puissent la transmettre à leurs enfants.

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mardi, 05 mai 2015

Jean-Marie Le Pen : "J'ai honte que la présidente du FN porte mon nom"

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"J'ai honte que la présidente du FN porte mon nom", a lancé le père de Marine Le Pen sur Europe 1 après l'annonce de sa suspension du parti et de la future suppression de son statut de président d'honneur. Cette décision a été prise lundi en début de soirée par le bureau exécutif du Front national pour sanctionner les déclarations de Jean-Marie Le Pen à Rivarol et sur BFM TV, condamnées par sa fille Marine, présidente du parti. Le fondateur du FN avait refusé, plutôt dans la journée, de se présenter devant cette instance.

"Je pense que c'est une félonie et je dois dire que j'ai honte que la présidente du Front national porte mon nom, a-t-il poursuivi. Et je souhaiterais d'ailleurs qu'elle le perde le plus rapidement possible. Elle peut le faire soit en se mariant avec son concubin, soit peut-être avec M. Philippot ou avec quelqu'un d'autre. Moi je ne souhaite pas que la présidente du Front national s'appelle Le Pen", a lâché l'ancien président du FN. "Qu'elle fasse campagne sous le nom de Marine Aliot, ou Marine Philippot, puisqu'elle traite son père et le président du Front national de façon absolument scandaleuse."

"Si on trouve mon cadavre"

Interrogé sur le fait de savoir s'il répudiait sa fille, Jean-Marie Le Pen a répondu : "Tout à fait, je ne me reconnais pas de lien avec quelqu'un qui me trahit de manière aussi scandaleuse." Enfin, "c'est la mort qui coupe les ponts", a répondu le père de Marine, interrogé sur le caractère définitif de cette répudiation.

De plus, Jean-Marie Le Pen a promis tous les recours juridiques possibles et assené que les membres du bureau exécutif "doivent s'attendre à tous les moyens", puis a assuré que les adhérents du parti "allaient être indignés par la félonie, en tout cas ceux qui ont le sens de l'honneur". A-t-il le soutien de la base ? "Ça a été vu l'autre jour lorsque je me suis présenté sur la tribune place de l'Opéra, j'ai rassemblé un accueil sans équivoque", a assuré Jean-Marie Le Pen, qui s'était invité sur la tribune juste avant que sa fille ne s'exprime lors du traditionnel défilé frontiste du 1er mai en l'honneur de Jeanne d'Arc, et qui avait été applaudi. "Je n'ai pas volé ce soutien, je ne l'ai pas reçu en héritage non plus", a-t-il aussi taclé, dans une critique à peine voilée envers sa fille.

Jean-Marie Le Pen, que sa fille avait appelé à se retirer de la politique, a promis qu'il irait "au bout de ses mandats". "Et si on trouve mon cadavre, sachez que je ne me serai pas suicidé", a-t-il lancé en riant.

11:57 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |