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samedi, 04 janvier 2014

Des officiers de police noirs organisent des viols collectifs sur des Blancs en Afrique du Sud

south-africa-police-dragging.jpgSource Contre info

Des histoires horribles nous proviennent d’Afrique du Sud où des hommes blancs ont subi des viols collectifs dans des cellules de commissariat.

Des hommes blancs sont arrêtés par la Police pour des délits mineurs tels qu’un excès de vitesse ou même simplement en tant que témoin d’un méfait. Ils sont ainsi placés en cellule avec de dangereux criminels noirs qui les violent collectivement, encouragés par les policiers. Les victimes blanches sont ensuite relâchées sans aucune poursuite. Plusieurs victimes blanches ont porté plainte contre la police, sans qu’aucune suite n’ait été donnée pour le moment.

Le texte suivant fût écrit par Gayton McKenzie, un membre d’un gang noir sud-africain, et fût publié dans une thèse de recherche à l’Université de Pretoria (attention, âmes sensibles s’abstenir). Il décrit un male blanc et frêle, détenu pour consommation de Marijuana :

« Wimpy, a un garçon blanc interpelé avec de la drogue, fût placé dans notre cellule. Je ne sais pas vraiment quel âge il a, peut-être 16 ans voire plus, mais il ne semble pas avoir plus de 14 ans, avec ses bras frêles et ses cheveux courts. Il essaie de se défendre lorsqu’on commence à le frapper mais sa résistance s’arrête brusquement lorsque quelqu’un éclate sa tête contre les barreaux en acier de la cellule.

Il est ensuite violé successivement par les vingt hommes noirs durant plus de huit heures, quasiment toute la nuit. Le garçon fait tout son possible, avec son pathétique champ d’action, pour essayer de les repousser, mais ses tentatives restent vaines. Il crie, il pleure, il supplie, il essaie de les convaincre, il prie.

C’est cependant au petit matin que je constate l’ampleur du massacre. Ce qui reste de Wimpie est allongé dans le couloir juste devant mon lit. Il est toujours nu, grelotant dans une flaque de son propre sang où ils l’ont massacré. Je dois littéralement enjamber son corps pour aller prendre mon petit déjeuner. »

Voici un autre cas rapporté dans un journal Sud-Africain :

En mars 2008 à Polokwane (Pietersburg), un jeune homme de la région s’appelant Nico Bouwer fût violé à plusieurs reprises lors de sa détention par la police juste quelques semaines avant son mariage. Il est depuis en grave dépression, ce qui l’a conduit à perdre son emploi. Il livre désormais des pizzas pour survivre financièrement et nourrir sa famille. Une collecte fût organisée par le journal « Rapport » pour payer ses soins. Sa vie est totalement gâchée depuis cette attaque.

Mr Bouwer revenait de chez un ami lorsqu’il a percuté un lampadaire suite à la crevaison d’un de ses pneus. Il fût transporté en ambulance à l’hôpital où il fût arrêté par la police malgré ses blessures. Il exigea, comme la loi l’indique, de pouvoir passer un coup de fil, ce que la police refusa. Enfermé avec 25 codétenus noirs, 8 d’entre eux l’attaquèrent et le violèrent à plusieurs reprises pendant que d’autres le tenaient et l’étouffaient avec un oreiller. Il ne fût autorisé à appeler son avocat que le lendemain, lorsqu’il fut finalement relâché sous caution.

A Vryheid, le tribunal reconnu que le propriétaire de ranch Etienne Van Wyk fût violé dans une cellule de police pendant que ses codétenus noirs chantaient. Van Wyk et Duvenhage furent placés en cellule après avoir été arrêtés pour « transport d’animaux sans autorisation ». Il s’est au final avéré que Van Wyk disposait d’une licence l’autorisant à transporter ces animaux et fût libéré le lendemain.

James Brown, 69 ans et atteint d’Alzheimer, fût arrêté pour n’avoir pas payé une barre chocolatée. Il fût sauvagement assassiné dans sa cellule par des Noirs.

Ces meurtres ne sont rien d’autre que des crimes de guerre. Dans plusieurs cas il fût rapporté que les violeurs chantent en commettant leur méfaits. La police noire et les détenus noirs agissent ensemble pour infliger ceci aux Blancs.

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dimanche, 29 décembre 2013

Entretien avec Arnaud Guyot-Jeannin. Cinéma : il faut mettre en place un protectionnisme français intelligent

Arnaud_Guyot-Jeannin.jpgRéalisé par Nicolas Gauthier pour Boulevard Voltaire cliquez là

L’année cinématographique 2013 est close. Grâce à notre système d’avance sur recettes, le cinéma français est le dernier à résister à la déferlante américaine. Système souvent critiqué, mais sans lui, quid du cinéma français ?

Je suis favorable au système d’avance sur recettes qui permet au cinéma français de résister au rouleau compresseur américain. Bien entendu, il est loisible d’émettre des réserves sur ce système qui fait coïncider cooptation avec entre-soi politique et culturel. Souvent, les films sont non seulement sans talent, sans public, mais d’un conformisme navrant. Mais nous n’avons pas le choix. En effet, si le cinéma est un art, il est avant tout une industrie.

Le 28 mai 1946 a été signé l’accord Blum-Byrnes, un pacte d’intérêts entre la France et les USA exigeant que toutes les salles de cinéma françaises projettent des films états-uniens, excepté une semaine par mois. C’était un moyen pour Hollywood de diffuser l’American way of life et, ainsi, de présenter la société américaine comme un modèle pour le monde. 300 millions de dollars ont été injectés sur le marché français, auxquels s’ajoute un prêt bancaire de 650 millions de dollars (respectivement 3,5 et 7,6 milliards de dollars, valeurs 2013). Depuis lors, les investissements américains n’ont cessé d’augmenter et l’invasion concomitante des sous-produits américains n’a cessé de se renforcer. Les avances sur recettes ne suffisent donc pas. Il faut établir une politique des quotas, mettre en place un protectionnisme français intelligent. Il y va de la survie du cinéma français : le protectionnisme ou la mort ! D’ailleurs, les Américains l’ont bien compris, en appliquant eux-mêmes ce protectionnisme.

En Italie et avant l’arrivée au pouvoir de Silvio Berlusconi, un système semblable existait en Italie, permettant à divers cinéastes de travailler, du plus « prestigieux » jusqu’au plus « modeste »…

Oui, c’est d’ailleurs l’époque où Cinecittà représentait le premier cinéma national dans le monde. Il a commencé à décliner à partir de la fin des années 70. Hollywood et Billancourt ont longtemps été supplantés par Cinecittà, en termes de qualité cinématographique, de nombre de spectateurs et de rayonnement culturel. Mais l’avance sur recettes participait plus largement d’un protectionnisme économique hérité du fascisme. À cet égard, n’oublions pas que Mussolini est le créateur de Cinecittà. On peut reprocher beaucoup de choses au Duce, mais certainement pas d’avoir minimisé la culture italienne en général, et le cinéma italien en particulier. Au sortir de la Seconde Guerre mondiale, une partie de la gauche – notamment les communistes – n’a fait que poursuivre cette politique.

Le cinéma italien plonge ses racines dans l’histoire. Il a été l’un des plus beaux au monde, le cinéma de l’ironie sur la condition humaine. Un genre prisé de façon paroxystique par les maîtres de la comédie (dramatique) italienne : Dino Risi, Mario Monicelli et Luigi Comencini.

Vous avez porté le deuil, en ces colonnes, de Georges Lautner et d’Édouard Molinaro. On attend la relève…

Personne ne peut remplacer Lautner et Molinaro. Ils sont uniques comme de nombreux autres metteurs en scène français décédés ! Bien sûr, parmi les vivants, celui qui s’en rapprocherait le plus serait certainement Francis Veber, qui a beaucoup travaillé avec eux en tant que scénariste, et qui a fini par passer à la mise en scène. Mais ses derniers films laissent assez perplexe. Et puis, nous vivons dans une autre époque, avec d’autres acteurs qui ne sont pas très enthousiasmants. Les Dany Boon, Gad Elmaleh, Patrick Timsit et consorts ne sont ni drôles, ni émouvants, ni représentatifs de notre génie national. Ils revendiquent d’ailleurs eux-mêmes leur cosmopolitisme et vivent la plupart du temps en dehors de France. Quant aux metteurs en scène, je n’en vois plus qui renvoient aux premiers critères, hormis peut-être Pascal Thomas, Lucas Belvaux, Philippe Harel, Christian Vincent et Philippe le Guay. Mais le seul vrai résistant qui réunit ces trois premiers critères est sans conteste Jean Becker. Un cinéaste artisanal réalisant le bel ouvrage. D’ailleurs, artisan signifiait artiste jusqu’à la fin du XVIIe siècle ! Le contraire de l’académisme que l’on reproche à Becker, avec de beaux films comme Les Enfants du marais, Effroyables jardins, La Tête en friche, etc. En revanche, ne s’agit-il pas là d’un cinéma de commémoration ?

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samedi, 28 décembre 2013

Béatrice Bourges : «Il est plus que temps de dire stop à l’oligarchie et à son projet totalitaire !»

beatrice bourges.jpgSource Nouvelles de France cliquez ici

Alors que les Français sont successivement appelés à marcher pour la vie (le 19 janvier prochain), pour exprimer leur colère (le 26 janvier) et pour la famille (le 2 février), Nouvelles de France a souhaité s’entretenir avec Béatrice Bourges, porte-parole du Printemps français et figure incontournable chez les insoumis.

Béatrice Bourges, que vous inspirent les marches régionales du week-end dernier ?

Tout dépend de leur efficacité. En un mot, la question à se poser, c’est : « Est ce qu’elles ont eu un impact sur le gouvernement ? Est ce que nous en avons obtenu quelque chose ? Est ce qu’elles ont créé un véritable rapport de force ? »

Appeler les gens à aller dans la rue, juste pour y scander quelques slogans sur une musique techno a un côté certes sympathique mais malheureusement, c’est inefficace. Je le regrette bien car je pense ne trahir personne en disant que nous souhaiterions tous rester dans cet état d’esprit bon enfant, comme nous l’avons fait l’année dernière. Cela ne nous a pas, malgré tout, empêché d’être traités de fascistes et de violents même si aucun vol n’a été commis, aucune voiture brûlée, aucune vitrine brisée.

Nous avons investi la rue sans cesser durant plus de six mois. Nous n’avons laissé aucun répit au gouvernement et nous n’avons obtenu que mépris et garde à vue (soldée pour l’une d’entre elle par un emprisonnement d’un jeune pour une durée de trois semaines). Les mesures contre lesquelles nous nous battions se sont même accélérées à une vitesse spectaculaire.

« Il faut passer à la vitesse supérieure et créer un véritable rapport de force qui inquiète beaucoup plus le gouvernement. »

À plusieurs millions et sur une longue durée, nous n’avons strictement rien obtenu.

En revanche, les Bonnets rouges (les vrais, pas ceux directement récupérés par la gauche) ont été écoutés alors qu’ils n’étaient que quelques milliers.

Leur secret ? Ils ont su faire peur au gouvernement, ce que manifestement, nous n’avons pas su faire.

Pour répondre donc à votre question, faire des manifestations juste pour montrer qu’on existe ne sert à rien, voire même risque de lasser, ou pire de choquer, car nous avons l’air de fêter quelque chose en dansant sur de la musique techno. Mais qu’y aurait-il donc à fêter, alors que François Hollande et sa bande d’oligarques mènent la France à sa perte à Vitesse grand V ?

Il faut passer à la vitesse supérieure et créer un véritable rapport de force qui inquiète beaucoup plus le gouvernement.

Que pensez-vous de l’initiative Jour de colère du 26 janvier prochain

Il s’agit d’une journée de « coagulation » afin que les gens puissent exprimer leur colère, quelle qu’elle soit.

J’y suis bien sûr très favorable, d’autant que je connais les personnes qui organisent la plate-forme logistique et qui sont, pour certaines, issues de la « France bien élevée » qui a décidé de reprendre son destin en main. Elles sont associées ou soutenues par les mouvements innombrables qui se sont créés sur tous les sujets de mécontentements. Tout cela est donc sérieux et digne de confiance.

« Il ne faut surtout pas confondre colère et violence. La colère est une émotion légitime et saine, dans certains cas. C’est lorsqu’elle est refoulée qu’elle est dangereuse car alors, elle peut se transformer en violence. »

Il ne faut surtout pas confondre colère et violence. La colère est une émotion légitime et saine, dans certains cas. C’est lorsqu’elle est refoulée qu’elle est dangereuse car alors, elle peut se transformer en violence.

Par exemple, un parent peut ressentir de la colère contre un enfant qui fait une bêtise mettant sa vie en danger. Ce n’est pas pour autant qu’il devient violent. Il lui exprime les raisons pour lesquelles il est en colère afin que son enfant comprenne son geste. Bien exprimée, la colère n’est pas violence mais moteur d’action. Jésus lui-même, modèle absolu de non-violence, n’était il pas en colère lorsqu’il a chassé les marchands du temple ?

Je serais même inquiète d’entendre quelqu’un me dire qu’il ne ressent jamais de colère ! Je me dirais qu’il manque sûrement un peu d’humanité !

Nous devons exprimer au gouvernement que nous sommes en colère. Notre démocratie a été remplacée à notre insu par un système oligarchique qui sous couvert d’élections pense qu’il n’a de compte à rendre à personne. Toutes les institutions ont été confisquées et nos libertés se réduisent comme peau de chagrin, en particulier la plus élémentaire d’entre elles, qui est de disposer librement du fruit de son labeur.

Une police de la pensée cherche à faire de nous des êtres invertébrés. Et bien, le 26 janvier, nous prouverons au gouvernement que les Français ne sont pas prêts à se laisser dépouiller de toutes leurs libertés. Il est grand temps de sortir de la matrice qui nous asservit !

Personnellement, je n’appelle pas à la violence mais à l’insurrection pacifique qui peut passer par l’objection de conscience et la désobéissance civile. De nombreux gouvernements sont tombés de cette façon.

« Sommes-nous prêts à abandonner un certain confort matériel ? Sommes-nous prêts à y laisser notre réputation de ‘gentil garçon’ ou de ‘gentille fille’ bien obéissant(e) ? »

Mais chacun ne peut faire l’économie de se demander ce qu’il est prêt à sacrifier pour construire ce grand mouvement de résistance qui devient de plus en plus visible. Sommes-nous prêts à abandonner un certain confort matériel ? Sommes-nous prêts à y laisser notre réputation de « gentil garçon » ou de « gentille fille » bien obéissant(e) ? Sommes-nous prêts à ne pas céder aux pressions ? Sommes-nous prêts à être vilipendés par les médias ? Ce qu’il faut bien comprendre, c’est que nous devons nous positionner clairement : il est impossible de plaire en même temps au gouvernement, au Système en général et aux médias si l’on veut s’imposer et gagner. Chercher à être bien vus à tout prix ne pourra jamais entraîner la victoire…

Le 26 janvier marquera une étape supplémentaire dans la construction de cette nouvelle société que nous souhaitons : une société redevenue humaine, libre et juste, où soient respectés les plus fragiles d’entre nous, portée par un peuple fier de lui-même, de son histoire, de ses racines, de son identité.

Avec la Marche pour la Vie le 19/01 et Jour de Colère le 26/01, et le week-end dernier l’annonce d’une Manif pour Tous le 02/02, ne faut-il pas regretter cette dispersion ?

La Marche pour la Vie et Jour de Colère sont très complémentaires. La Marche pour la Vie a une antériorité de plusieurs années et son objet est très beau et spécifique : la Vie. Et nous pouvons mesurer combien la Vie est attaquée de toute part en ce moment. C’est important de montrer combien nous y sommes attachés ; Il faudra donc être très nombreux à cette marche.

Jour de Colère a un objet plus large et rassemblera des gens qui ne seront pas forcément d’accord sur tous les sujets mais qui viendront tenter de mettre un coup d’arrêt aux folies du gouvernement. Il faut donc que le nombre aussi soit conséquent. Cela dit, l’objectif n’est pas de « faire du chiffre », mais d’être déterminés. Il faut que le gouvernement comprenne qu’un an après le combat s’est étendu à toutes les sphères de la société. Et ce n’est pas forcément le nombre qui fait la différence. C’est plutôt la volonté des manifestants.

« L’objectif de l’oligarchie est de tuer ce que nous sommes pour faire renaître un homme créé par l’homme, nier sa dimension verticale, ce qui fait sa transcendance, ce qui l’ancre dans la réalité et dans la vérité, ce qui fait de lui un homme debout, et, également, nier sa relation horizontale, ce qui fait de lui un être social, un être de relation, un être tourné vers l’autre. »

Bien sûr, LMPT a toute sa place dans les deux manifestations. J’avoue ne pas très bien comprendre pourquoi les instances nationales ont décidé de faire une manifestation personnelle le 2 février, d’autant que, beaucoup de cadres régionaux LMPT avaient déjà soutenu la date du 26 janvier qui est connue depuis de nombreuses semaines. Il me semble qu’ils auraient intérêt à la décaler un peu plus tard, ce qui permettrait de maintenir la mobilisation sur plusieurs mois plutôt que sur trois semaines successives.

Même si, contrairement aux marxistes, nous ne croyons pas au sens de l’histoire, force est de constater que nous enchaînons défaites sur défaites depuis des décennies et que notre civilisation est en train d’être changée progressivement. Comment arrêter net ce mouvement et l’inverser ? Comme pour nous décourager par avance, certains oligarques comme Attali pensent que l’euthanasie, la GPA, le transhumanisme, en raison du souci de confort et de l’orgueil humain, sont inévitables, à terme…

Oui, nous avons à faire face à une idéologie sans concession dont l’objectif est la destruction de la société qu’ils appellent « réactionnaire » pour construire un monde nouveau dont l’Homme serait le Maître absolu.

Car, c’est de cela dont il s’agit : tuer ce que nous sommes pour faire renaître un homme créé par l’homme, nier sa dimension verticale, ce qui fait sa transcendance, ce qui l’ancre dans la réalité et dans la vérité, ce qui fait de lui un homme debout, et, également, nier sa relation horizontale, ce qui fait de lui un être social, un être de relation, un être tourné vers l’autre.

L’objectif est de créer un individu, réduit à une dimension exclusive de producteur consommateur, un individu mondialisé et déraciné, esclave du marché mondial, poussé à assouvir des désirs incessants qui l’empêchent de penser librement.

« L’oligarchie est en train de fabriquer une culture « hors sol » et « hors sexe », avec des individus qui ne peuvent plus s’identifier ni à une culture, ni à une histoire, ni à un territoire, ni à une origine biologique, ni à un sexe défini. »

C’est une idéologie dont l’objectif est de créer un nouvel ordre mondial : c’est ainsi qu’elle est défendue par des organismes internationaux qui ont tous des connexions : l’ONU, l’UNESCO, Bilderberg, les internationales franc-maçonnes. De grandes entreprises internationales également s’investissent et investissent de grosses sommes d’argent pour faire avancer ces causes. Jacques Attali, Pierre Bergé et bien d’autres tels que Bill Gates ou Goldman Sachs en sont des promoteurs acharnés depuis des années.

Le plus sûr moyen de créer cet homme nouveau, c’est de lui faire croire qu’il n’a pas de limite, que ses désirs ont valeur de droits, que même la nature est esclavagiste, qu’il faut donc s’en affranchir. C’est de créer un mythe, celui de l’homme parfait que l’on va fabriquer en laboratoire pour mieux le contrôler et éliminer ses défauts soit en le transformant, soit en l’éliminant par l’eugénisme. C’est l’idéologie que l’on appelle le trans-humanisme.

C’est pourquoi le malade, le handicapé, le vieillard n’ont pas leur place dans cette société-là, d’où logiquement le vote de la loi sur l’euthanasie.

Est ainsi fabriquée une culture « hors sol » et « hors sexe », avec des individus qui ne peuvent plus s’identifier ni à une culture, ni à une histoire, ni à un territoire, ni à une origine biologique, ni à un sexe défini.

Ce qui est grave, c’est qu’en plus ce totalitarisme utilise des mots et des concepts dont le sens est inversé : liberté, solidarité, égalité, amour…

Que des mots qui font rêver…

Il est donc plus que temps de dire stop à tout ça et de montrer à François Hollande et ses oligarques que nous ne sommes pas dupes et que nous sommes plus déterminés que jamais !

ONLR, qu’ils le sachent ! Et nous allons gagner, qu’ils le sachent aussi !

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vendredi, 27 décembre 2013

Communisme municipal, communautarisme et terrorisme

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Jean-Gilles Malliarakis

L'Insolent cliquez ici

En 2008 l'actuel maire communiste de Bagnolet Marc Everbecq avait été élu au second tour avec 53 % des suffrages exprimés et 50 % d'abstention. Dans cette ville de 32 000 habitants, à l'époque, sa liste avait recueilli 4 160 voix. Présentée par le PCF elle se vit attribuer 30 sièges contre 6 à la liste des socialistes conduite par Tony di Martino et 3 à l'UMP.

Depuis 5 ans cette équipe dirige donc la ville, avec sa langue de bois et ses magouilles d'urbanisme collectiviste gris, que dénoncent vainement ses adversaires et quelques architectes courageux. Ceux-ci ont pu mettre en évidence une réduction des espaces verts pour satisfaire les intérêts des promoteurs (1).

Ses budgets bâclés sont votés dans un climat autoritaire de désinformation que met en cause une opposition malheureusement impuissante (2).

C'est dans ce contexte que le communisme municipal a pris une décision à première vue stupéfiante. Le 11 décembre en effet le conseil municipal votait la qualité de citoyen d’honneur de Georges Ibrahim Abdallah.

Après 30 ans de détention il est fortement question d’expulser de France ce personnage. Né en 1951, ce militant communiste est considéré comme le chef de la Fraction armée révolutionnaire libanaise. Il avait été condamné par la justice française en 1986 à la réclusion à la perpétuité pour des actes indiscutablement terroristes.

Rappelons brièvement ses exploits et ceux de son équipe. Il a été jugé responsable d'attentats meurtriers sur notre sol contre des diplomates américains et israéliens. Ceci enchante à l'évidence les partisans de la guerre à outrance au Proche-Orient. Or deux artificiers français l'ont payé de leur vie en août 1982, etc. (3)

Jusqu’ici deux modestes bourgades avaient impunément précédé Bagnolet dans ce qu'on peut tenir pour une provocation. Ainsi, le 19 mai 2012, André Delcourt, maire communiste de Calonne-Ricouart, Pas-de-Calais 5 800 habitants, l’avait nommé, déjà, "citoyen d’honneur". Un mois plus tard, dans le même département, le 19 juin 2012, Christian Champiré, maire communiste de Grenay, 6 700 habitants dans la banlieue de Lens et les membres du conseil municipal le nommaient à leur tour "citoyen d’honneur" de leur commune.

Marc Everbecq, en Seine-Saint-Denis, vient donc de faire franchir à cette campagne un cran supplémentaire. Il l'a fait délibérément dans le but de recueillir pour son parti les votes communautaires, à défaut des suffrages populaires.

Cette décision a été soutenue, en effet, de bout en bout par une structure parfaitement révélatrice des forces communautaristes sur lesquelles s'appuient désormais les tenants du communisme municipal : le "Groupe des associations de Bagnolet".

Une visite de la page facebook de ce collectif permet de mieux comprendre comment tout cela fonctionne dans les municipalités de gauche où sévissent encore les communistes, aux marges de la démocratie (4).

"Les associations" sont, comme il se doit subventionnées. Cela se revendique désormais, et cela se pratique, comme une sorte de droit. Elles font la claque en séances publiques lors des conseils municipaux, comme dans les assemblées révolutionnaires, etc.

Les sympathisants du terroriste le présentent comme un héros et comme un ardent défenseur de la "cause palestinienne".

Si ces gens réfléchissaient sincèrement, nous leur poserions une "simple question". Citons celle que l'excellent blogue de l'Institut d'Histoire sociale pose à ce sujet à tous ces activistes et soutiens du marxiste-léniniste Georges Ibrahim Abdallah : pensent-ils sérieusement que leurs méthodes terroristes ont vraiment fait progresser ladite "cause palestinienne" ? (5)

Mais il ne s'agit pas de cela. Il s'agit pour leurs inspirateurs et commanditaires de rassembler coûte que coûte tout ce qui peut sauver l'implantation du stalinisme en France.

Notes

  1. cf. sur Bagnolet-webtv
  2. cf. l'intervention de Tony di Martino qui décrypte le budget 2013 de Bagnolet lors de la séance du conseil municipal le 15 avril 2013
  3. cf. Hervé Roubaix sur Dreuz.fr
  4. sur Facebook.
  5. cf. Blog-Actu du site de l'Institut d'Histoire sociale le 26 décembre.

20:03 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Bonne nouvelle : le film "La Marche" a fait un flop total !

index.jpgAprès la polémique suite à une chanson de la BO, le film La Marche, symbole de l’antiracisme, fait désormais aussi un flop total dans les cinémas français. Cela a commencé le jour de sa sortie le 27 novembre où il n’a attiré que 552 spectateurs parisiens dans 21 salles malgré une promotion omniprésente. Les derniers résultats du box office français montrent que le film est un désastre . A sa 3ème semaine, il est désormais 33ème dans 183 salles de cinéma pour un total de 170.000 entrées. Soit le film est vraiment de mauvaise qualité, soit l’antiracisme ne fait vraiment plus recette en France. On penche vraisemblablement pour la deuxième hypothèse.

Source Media presse infos cliquez ici

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Revue de presse. On aura tout vu : Nolwenn Leroy épinglée pour lepénisme

Philippe Cohen Marianne cliquez ici

Dans un article délirant, le journaliste du Nouvel Observateur Fabrice Pliskin a expliqué pourquoi le dernier album de la chanteuse était maurrassien et pire encore. Mais s'agit-il seulement d'un dérapage ?

La chanteuse Nolwenn Leroy est furieuse et le fait savoir. Elle est furieuse contre un article, d'une violence inouïe, de Fabrice Pliskin  du Nouvel Observateur, qui a trouvé dans son dernier album une nouvelle preuve de la « lepénisation des esprits » :
 
« Son disque subjugue. N'est-il pas très comme il faut et propre à incarner "l'image de la France rurale, l'image de la France des terroirs et des territoires", comme dirait dans son style maurrassien le député UMP Christian Jacob? Olivier Nusse, directeur général de Mercury, compare avantageusement le succès de "Bretonne" à celui des "Ch'tis".

Avec son prénom de sainte décapitée, Nolwenn affiche un pedigree de la vieille roche. Née à Saint-Renan, son père, Jean-Luc Le Magueresse, est un ancien footballeur professionnel de Brest et de Guingamp. D'aucuns blâmeront son adolescence auvergnate, mais personne n'est parfait. » 

Plus loin, le journaliste, décidément en verve, évoque la chanteuse « droite dans ses sabots, ivre de cadastre, d'ancrage et de toponymie » pour conclure en la qualifiant de « premier robot de fabrication 100% bretonne ». Pour mesurer la fureur d'écrire du journaliste, il suffit de remplacer, dans son texte, Breton par Kabyle ou Arabe : on obtient alors un article flirtant avec la xénophobie qu'il croit percevoir chez la chanteuse. En réalité, Fabrice Pliskin abrite confortablement sa francophobie derrière les remparts de la presqu'île bretonne.

Cet article furieux a fini par provoquer un droit de réponse légitime de la chanteuse : « Je suis extrêmement choquée par ce procès d'intention que je trouve indigne. Comme j'estime douteux et déplacé l'emploi, pour me décrire, des termes preuve générique de sa bretonnante traçabilité", "droite dans ses sabots ivre de cadastre, d'aencrage et de toponymie", "affirmant un pedigree de vieille roche" ou "premier robot de fabrication 100% bretonne".J'ai choisi de réaliser cet album sans aucune arrière-pensée, car mon attachement à la Bretagne et à sa culture est sincère.  »

L'article coup de poing de Fabrice Pliskin n'est pas un dérapage. Régulièrement depuis quelques semaines, l'Obs se plait à épingler des légions d'horreur sur la poitrine d'intellectuels ou de journalistes supposés diffuser à bas bruit la petite musique lepéniste. Dans le numéro de cette semaine, Luc Ferry Denis Tillinac et Philippe Bilger sont, après d'autres, désignés à la vindicte publique. Tous fachos, tous lepénisés si ce n'est dans leurs discours au moins dans leurs sous-entendus et dans leurs cœurs puisqu'il est désormais établi que l'Obs traque le lepénisme dans le cœur des intellectuels. Mais l'opposition au lepénisme progresse-t-il vraiment à coup de droits de réponse et de réponses aux droits de réponse que génère à chaque fois la réponse des personnes attaquées ?

L'ultra-vigilance d'Ariane Chemin l'amène à épingler Claude Guéant pour sa phrase sur «les Français qui n'ont plus le sentiment d'être chez eux ». Oui mais le directeur de la rédaction, Laurent Joffrin, développe un point de vue légèrement différent : « La déclaration fait scandale à gauche, mais elle est plus difficile à contrer qu'on pourrait le croire. L'indignation, selon le mot à la mode, ne suffit pas. On ne peut pas se contenter de déclarer: Guéant dit la même chose que le Front national, il est donc disqualifié, comme si cette simple énonciation valait démonstration. Certains Français, en effet, ne se sentent plus chez eux dans certains quartiers. Il faut bien leur dire quelque chose qui dépasse la simple protestation contre des propos à connotation xénophobe. La gauche n'a pas encore trouvé la bonne réponse.  » On respire. Le pluralisme règne encore au sein du Nouvel observateur. Mais la cohérence ?

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jeudi, 26 décembre 2013

JEUDI, C'EST LE JOUR DE RIVAROL

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3,50 €, chez votre marchand de journaux

Prochain numéro de Rivarol : le 7 janvier 2014

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samedi, 21 décembre 2013

Le « rapport sur l’Intégration » : texte raciste

Guillaume Faye

J'ai tout compris cliquez ici

Remis au Premier ministre à sa demande, ce rapport effarant, rédigé en novlangue par des Trissotins, publié en ligne par Matignon et qui a créé le scandale  est en fait inspiré des idées du groupe de pression et de ”réflexion” gauchiste chic lié au PS Terra Nova. L’objectif est la destruction pure et simple de l’identité française. Il vise à substituer à l’assimilation et à l’intégration une forme de communautarisme où les Français de souche seraient objectivement infériorisés, sommés de s’adapter aux mœurs des nouveaux arrivants, et où il faudrait « assumer la dimension arabe-orientale de la France ».

 Inutile d’énumérer les axes politiques proposés par ce rapport ethnomasochiste et culpabiliste qui vise non seulement à défranciser, déseuropéaniser la société mais à accentuer encore la pression migratoire en instaurant une véritable préférence étrangère.

Il est plus intéressant de s’attarder sur deux passages qui relèvent du sectarisme de la police de la pensée de gauche et de ce racisme implicite si souvent observé dans la vulgate antiraciste. Tout d’abord, il est recommandé d’interdire et de sanctionner judiciairement, notamment dans les médias, toute mention (« description stigmatisante ») de l’origine des personnes, notamment en cas de délit (1) (« nationalité, origine, couleur de peau, religion, culture… »). Cette interdiction est étendue aux « partis politiques et institutions publiques » dans bien d’autres circonstances.

 Admirons la contradiction : l’origine ethno-culturelle est niée mais en même temps la France doit devenir « arabe-orientale ». Mais implicitement, le fait d’être qualifié par son nom et son prénom d’origine africaine ou arabe, par exemple, serait subrepticement une insulte. Inconsciemment, les auteurs (vieux gauchistes) du rapport  considèrent que de dire à/de quelqu’un qu’il est ”Arabe” est une « stigmatisation », un « délit de harcèlement racial ». Or, ne pas mentionner l’origine des gens, par pseudo-respect, c’est dévaloriser cette origine. On nage dans une contradiction totale, la bêtise raciste/antiraciste de cette gauche à la fois gouvernementale, soixante-huitarde et intellectuellement à gaz pauvre. (2)

Le second passage fait allusion à la ”race blanche”, alors qu’officiellement les races n’existent pas. Il est en effet proposé de ne plus se référer dans l’enseignement de l’histoire à « des figures incarnées qui demeurent très largement des grands hommes, mâles, blancs et hétérosexuels ». (3)  Évident racisme anti-Blancs et aversion contre les hétérosexuels de la part de personnes qui sont elles-mêmes majoritairement des Blancs hétérosexuels. Ça relève de la psychiatrie – ou de la psychanalyse.

Cette gauche antiraciste est complètement obsédée par l’idée de ”race”, comme les puritains étaient obsédés par l’idée de sexe. Le paradigme racial est obsessionnel dans la gauche ”antiraciste”.

Une telle idéologie à la fois xénophile, pétrie de bêtise et/ou de mauvaises intentions, est la porte ouverte à la guerre civile ethnique, lot endémique du Maghreb et du Proche-Orient arabe, et de toute société hétérogène et pluri-ethnique.

Mais hélas, ce rapport tire en réalité la conclusion dramatique, cynique et souriante de quarante ans d’immigration incontrôlée, au terme de laquelle s’opère un bouleversement démographique, où toute ”intégration” ou ”assimilation” de minorités qui n’en sont plus est devenue une chimère et où le petit peuple de souche est prié par ses élites grasses et protégées (”socialistes”) de se plier à la loi des colonisateurs présentés comme des victimes, est sommé de se taire et de devenir Invisible. Devant l’histoire, les politiciens, parfaitement antidémocrates et antirépublicains, responsables de ce fait, devront répondre d’une tragédie annoncée.

Notes

(1) C’est implicitement reconnaître l’origine immigrée très majoritaire de la criminalité.

(2) La pensée de gauche, intellectualiste et déconnectée du réel, héritière inconsciente en fait de l’idéalisme platonicien (auquel s’oppose le réalisme aristotélicien)  souffre moins de bêtise que de pathologie, d’origine psychologique. Vouloir construire un méta-monde contre la réalité, une utopie, c’est à dire, étymologiquement, un lieu qui n’existe nulle part, un rêve. 

(3) Il faudra donc trouver dans les figures de l’histoire de France des personnes de couleur, féminines, bisexuelles ou homosexuelles ? Vous en connaissez ?

10:20 Publié dans Débat sur l'identité, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 19 décembre 2013

Jeudi, c'est le jour de Rivarol

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07:29 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 12 décembre 2013

Vous avez dit « ultralibéralisme » ? Petite leçon d’économie

faye.jpgGuillaume Faye

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Le 9 décembre, sur le site du Figaro, interrogé par Yves Thréard, Florian Philippot, vice-président du Front National, critiquait à juste titre le « communautarisme » (il aurait pu parler de la cause, l’immigration déferlante et incontrôlée et non pas seulement de sa conséquence, son effet inévitable), la soumission des États européens à la technostructure de l’UE, mais il s’en prenait aussi l’ « ultralibéralisme » supposé régnant dans la France actuelle.

Ce genre de propos a peut-être une visée électoraliste mais il relève d’une analyse économique déficiente et se trouve malheureusement partagé par bon nombre de politiciens et de publicistes, de la droite à la gauche. Ces derniers sont en pleine confusion, celle des idées à l’envers. Essayons de remettre les idées à l’endroit.    

1) L’économie française n’est pas dans une situation d’ ”ultralibéralisme” mais tout au contraire d’étatisme socialiste et fiscaliste, cause majeure du chômage et de l’étouffement de l’activité. Quand plus de 50% de la richesse produite par le secteur privé est ponctionnée et redistribuée de manière improductive et injuste, quand l’État pachydermique réglemente à outrance et castre toute liberté d’initiative, quand les professions libérales, les PME, les TPE, les classes moyennes sont découragées, paralysées par les impôts, les taxes, les interdictions, les procédures administratives, quand le droit du travail le plus rigide et éléphantesque du monde décourage les embauches, etc. peut-on sérieusement parler d’ ”ultralibéralisme” sans se couvrir de ridicule ?  

2) Le drame, c’est que l’économie française, objectivement ”socialiste” au pire sens du terme, affronte un contexte économique européen et mondial libéralisé et concurrentiel. On court avec une balle dans le pied et un sac en dos rempli de pierres. Résultat : délocalisations, faillites d’entreprises assommées par les ponctions, fuite massive des cerveaux (jeunes diplômés, créateurs découragés par le racket socialo-fiscal), fuite des investisseurs (ISF), perte des marchés à l’export, etc. 

3) Les institutions technocratiques européennes suivent une politique économiquement absurde : d’un côté, elles réglementent à outrance à l’intérieur de l’espace économique européen, de l’autre, elles suivent une politique libre-échangiste sans protection par rapport aux USA ou aux pays émergents qui, eux, ne se gênent pas pour se protéger. D’un côté, elles exhibent la doctrine de la« concurrence », de l’autre, elles pondent 250 réglementations par jour. Un peu comme un directeur d’écurie F1 qui limiterait la puissance de ses propres voitures pour ne pas battre l’adversaire.  

4) En France, et dans d’autres pays de l’UE, là où il ne faudrait pas être libéral, on l’est (immigration, ouverture des frontières, laxisme judiciaire, etc.) et là où il faudrait être libéral (liberté pour les forces vives économiques), on ne l’est pas. On marche sur les mains, mais, à force, on va forcément tomber.

5) La solution – en économie tout au moins – passe par l’application, à l’échelle de l’Europe (de la vraie Europe, pas celle de Bruxelles) des théories de Maurice Allais, Prix Nobel d’économie : le libéralisme intérieur et le protectionnisme contingenté extérieur, à l’échelle de certains pays du Continent, pas de tous. Selon le véritable esprit du Traité de Rome, d’ailleurs, trahi par les institutions actuelles.

6) Le concept d’ ”ultra libéralisme” relève de la pure propagande électorale. Il n’existe nulle part puisqu’il est impraticable. Il se réfère à la théorie libertarienne qui n’a jamais été appliquée nulle part et qui est une simple construction intellectuelle, comme le communisme, son opposé absolu. Ni l’ultralibéralisme ni le communisme n’ont jamais été autre chose que des concepts, c’est-à-dire des jouets pour intellectuels.

Les quatre grandes théories économiques actuelles et leurs applications réalisées sont : 1) le keynésisme (économie de la demande et de l’intervention de la commande de la puissance publique avec un État-Providence contrôlé) 2) Le socialisme (économie de la demande avec un État-Providence maternel mais injuste et impuissant) 3) Le schumpeterisme (économie de l’offre avec une protection minimale de l’État-Providence et un interventionnisme public dans l’innovation ). 4) Le libéralisme (économie de l’offre, dépourvue de toute présence sociale de l’État, sans fiscalité redistributive).

Seules marchent à long terme un mélange des solutions 3 et 4.  Les solutions  1 et 2 donnent des résultats contraires à leurs objectifs.

14:05 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jeudi, c'est le jour de Rivarol :

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vendredi, 06 décembre 2013

Mandela : à quand la canonisation ?

1467243_10151748817591496_2133041769_n-300x259.jpgSource Nation cliquez ici

Depuis hier soir, la bien-pensance mondialisée a mis son rouleau compresseur en marche ! C’est à celui qui aura le terme le plus frénétiquement admiratif : Mandela par ci, Mandela par là ! La Grande Bretagne a mis ses drapeaux en berne…ce qu’elle ne faisait pas pour ses propres soldats morts en Irak, en Afghanistan ou assassinés par des islamistes en plein Londres.

Faisons donc un devoir de mémoire sur le parcours de Mandela.

S’il a été mis en prison, même si cela ressemblait plus à une résidence très surveillée qu’à une geôle infâme, c’est car il était un des chefs de l’ANC, African National Congres, qui pratiquait le terrorisme.

L’ANC était très proche du Parti Communiste sud-africain et était soutenu par cette grande démocratie qu’était l’Union Soviétique qui leur fournissaient nombre de spécialistes en guérilla et terrorisme, issus du KGB.

Les militants « démocrates » de l’ANC furent les initiateurs de cette « délicieuse » pratique dite du « pneu enflammé » qui consiste à placer sur une personne, un pneu arrosé d’essence et d’y mettre le feu…Ce qui provoque la mort dans d’atroces souffrances. Pratique encore active aujourd’hui mais contre les immigrés d’autres pays africains comme les Mozambicains en 2008 !

Car et c’est bien là, la pire responsabilité de Mandela, c’est que l’Afrique du Sud est tombée dans le chaos social et a encore accentué les haines raciales comme le démontre, les nombreuses agressions (souvent mortelles) que subissent les fermiers blancs. Sans compter le taux de criminalité qui un des plus élevés au monde !

Mais peu importe, grâce à lui, de nombreuses multinationales ont pu recommencer à faire de juteuses affaires. Après tout, pour la bien-pensance, c’est la seule chose qui compte. Et c’est bien ce qui explique que les forces mondialistes rendent un tel hommage à celui qui fut un de leur plus serviles employés…

14:07 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 05 décembre 2013

JEUDI, C'EST LE JOUR DE RIVAROL...

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mercredi, 04 décembre 2013

Cyclone B : la société brestoise IPC-SA accusée de « cynisme malveillant »

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Comment passer d’un fait divers insolite à une quasi affaire d’Etat ? La recette, la société brestoise IPC-SA, qui vend de nombreux produits d’hygiène à destination des professionnels est en train de l’apprendre à ses dépens. En cause ? Un produit détergent appelé « Cyclone B ». Cyclone étant le nom du produit, B indiquant sa contenance biologique.

Quand elle a lancé ce produit, l’entreprise bretonne n’imaginait pas la réaction de l’Etat d’Israël ou de sites comme le Jewish chronicle   qui y ont vu  là « le pire nom que l’on peut donner à un produit d’hygiène » trouvant une proximité avec le Zyklon B, ce gaz utilisé notamment par les nazis pendant la seconde guerre mondiale. « C’est, au mieux, une horrible ignorance et au pire un record du monde de cynisme malveillant. » affirme le rabbin Menachem Margolin, de l’association juive européenne.

Au sein de l’entreprise brestoise, on est tout simplement K.O : « on est abasourdi. Il fallait vraiment aller chercher loin. Qu’un simple détergent prenne des proportions politiques, c’est incompréhensible » nous confie un commercial.

Le produit incriminé a visiblement été retiré depuis du site Internet, IPC-SA ne souhaitant pas être prise dans une spirale qui pourrait  nuire fortement à son image.

A noter que la République africaine du Cap-Vert ne s’est pas encore officiellement indignée que la société IPC-SA ait donné son nom à des produits de traitement des odeurs et d’hygiène des mains. Au train où vont les choses, ça ne saurait tarder.

Source Breizh Info cliquez là

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Lundi soir à Paris : Taubira huée à son arrivée au Théâtre du Rond Point

Lundi soir avait lieu au théâtre du rond point des Champs Elysées une soirée organisée par Jean-Michel Ribes « contre la haine ». L’invitée d’honneur de cette soirée très select était le Ministre de la justice, Christiane Taubira. Participaient aussi Aurélie Filipetti, Caroline Fourest, François Morel, et un tout un aréopage de célébrités bien-pensantes.

Plusieurs dizaines de personnes choquées par les déclarations récentes de ces personnalités voulant assimiler les sympathisants LMPT à de dangereux extrémistes ou à des racistes s’étaient spontanément rassemblées pour faire part de leur mécontentement face à de tels amalgames. Les propos totalement excessifs de Jean-Michel Ribes sur BFM TV avant la soirée en sont l’illustration. Il n’a pas hésité à qualifier les membres de Civitas de « neo-nazis. » Tout ce qui est excessif est insignifiant…

A l’arrivée de Christiane Taubira à 19h40 un concert de sifflets, de huées et de « Taubira ta loi on en veut pas » se sont fait entendre. Ont alors surgi des dizaines de policiers en uniforme qui ont immédiatement encerclés et repoussés avec violence les auteurs de ces sifflets. Sont aussi apparus une quinzaine de policiers en civil qui se sont éparpillés autour du théâtre pour arrêter tout autre présumé opposant et en ont capturés trois qu’ils ont ensuite relâchés après un contrôle d’identité.

Sous les cameras de télévision, dont BFM TV, les personnes encerclées ont été privées de leur liberté sans aucune explication pendant une heure à 50 mètres environ du théâtre. Un policier a pris à chacune des personnes du groupe sa pièce d’identité et est parti avec.

Vers 20h40 les personnes du groupe, chacune escortée plus ou moins fermement par un policier, ont été conduites le long du tristement célèbre GAV bus pour subir une palpation et une fouille des sacs, poches, etc. A 20h45 le GAV bus dans lequel avait été placé 21 personnes a démarré vers une destination inconnue. Escorté par quatre fourgons de CRS, le GAV bus a traversé Paris en faisant résonner sa sirène à de nombreuses reprises.

A 20h57 le groupe a été débarqué trois par trois pour ses rendre dans le commissariat du 5eme arrondissement (rue de la Montagne Sainte Geneviève). Chacune des personnes à une nouvelle fois été palpé et requis de vider ses poches, les effets personnels ont confisqués puis l’ensemble des personnes a été placé en cellule sans distinction de sexe ni de genre… Malgré les demandes d’explication répétées aucune explication n’a été donnée.

L’une des personnes plus insistantes s’est vu répondre par un policier « participation à une manifestation non déclarée. » Après 22h30 la première personne a été libérée, puis les autres ont suivi un par un. A 22h54 le dernier était libéré sans qu’aucune explication n’ait été fournie. A la sortie de la cellule, un policier était chargé de restituer à chacun ses effets personnels (dont téléphone) et de noter la profession pour compléter les fiches qu’il remplissait. Aucun document n’a été remis aux personnes illégalement arrêtées et détenues.

Plusieurs personnes déposeront plainte dans les jours qui viennent pour privation illégale de leurs libertés et exécution d’ordres illégaux.

Source La Salon beige cliquez là

10:15 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La marche : Debouzze fait un flop !

thumb_small_Jamel_Debbouze_comme_on_ne_l_a_jamais_vu_portrait_w674.jpgCe devait être l’évènement cinématographique de la semaine, du mois, de l’année, la sortie du film tant attendu (par qui?)  » la marche », réalisé par Nabil Ben Yadir et le propagandiste vedette Djamel Debouzze. Profitant d’un battage médiatique promotionnel digne d’une méga production hollywoodienne, le chef d’œuvre n’a pas déplacé les foules et risque fort de se retrouver en promotion dans les bacs des stations services très vite.

Quand le landernau bobo-gaucho finira par comprendre que le peuple a un cerveau qui fonctionne aussi bien sinon mieux que ceux des chroniqueurs de Canal chiotte ou France Telebidon, il s’évitera des déconvenues financières en produisant des tels navets de propagande grossière.

Les ficelles sont tellement grosses que cela devient ridicule. Je vous résume le film, tout ce qui est non-européen ethniquement est gentil, drôle plein de sensibilité…etc. Tout ce qui est européen est raciste, haineux, pas drôle…etc. SAUF si cet européen ethno-masochiste est encarté au PS, PCF, bref toute les officines qui représentent la future France universaliste.

J’ai vu le film et me suis forcé à le regarder jusqu’au bout (je vous rassure j’avais une invitation), c’est un tract politique transposé en film, pitoyable.

Bien sur le film ne fera pas date malgré le soutient sans faille des « élites »et je crois que l’effet escompté par ses auteurs sera exactement l’inverse, radicaliser un peu plus une France qui en a marre qu’on la traite de conne ou de raciste a tout propos, en quelque sorte l’histoire de l’arroseur arrosé.

Source  24 h actu cliquez ici

via Parti de la France cliquez là

09:54 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 03 décembre 2013

Pauvre Mélenchon ! Il n’y a pas d’âge pour découvrir la vie…

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Gabrielle Cluzel

Boulevard Voltaire

Bon. Pour la révolution fiscale, il semblerait qu’il faille attendre un peu. Au box-office des manifs, les écharpes rouges seraient aux bonnets de la même couleur ce qu’un film d’auteur tchèque est à Hunger Games. Les prolos, de nos jours, n’en font qu’à leur tête, et Jean-Luc Mélenchon va devoir se résigner à rester un grand leader charismatique incompris. Il a beau courir comme un fou, s’accrocher au dernier wagon, remonter toute la rame en engueulant au passage les voyageurs qui traînent dans les couloirs, impossible de rejoindre la locomotive. Il a définitivement raté le train de la contestation.

Pour lui rendre justice, faut dire que les gens sont spécialement vaches. Il y a ce journaliste de France 24, qui regardait malencontreusement par la fenêtre et a pris aussi sec une photo quand, dans une rue quasi déserte, quelques figurants amateurs se sont gentiment dévoués pour se serrer derrière Mélenchon en agitant des drapeaux, laissant imaginer une foule monstre pour l’interview de TF1. Et pourquoi pas, aussi, un décor de carton-pâte, avec un trou pour que Jean-Luc passe sa tête ? Souris, le petit oiseau va sortir ! La photo, on s’en doute, a fait sournoisement le tour des réseaux sociaux.

Et puis, il y a la police. La police qui ne le gratifie que de… 7.000 manifestants. Quand il en revendique lui-même sans vergogne 100.000, et que les journalistes rompus à ce genre d’exercice évaluent quand même les effectifs à 15 ou 20.000 personnes.

Mélenchon dénonce des chiffres « farfelus » de la préfecture de police, « dictés » par le ministère de l’Intérieur. Preuve qu’il n’y a pas d’âge pour découvrir la vie, et les petits trucs et astuces du gouvernement. C’est Frigide Barjot qui doit se tenir les côtes. Toi aussi, viens offrir des lunettes à la police.

Et « Vis ma vie » peut ne pas s’arrêter là. Dans la boîte à outils, il y a bien d’autres instruments de torture, largement éprouvés eux aussi. Dont Mélenchon risque de tâter s’il n’y prend pas garde. Ici et là, on commence à s’émouvoir d’une de ses récentes déclarations sur France 5, évoquant Hollande et son équipe de « rastaquouères »… terme péjoratif et xénophobe, s’il en est, désignant, selon le Larousse, un « étranger menant grand train et dont on ne connaît pas les moyens d’existence ».

Bien sûr, le même mot dans la bouche d’un homme de droite aurait fait l’effet d’une bombe atomique, et le coupable se promènerait déjà pieds nus dans les rues de Paris en se répandant des cendres sur la tête et en se frappant la poitrine pour clamer sa contrition.

Naturellement, un homme de gauche peut s’autoriser bien des privautés de langage. Mais à condition de ne pas trop balancer les copains. Mélenchon ferait bien de s’en souvenir…

10:19 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Depuis quelques semaines un journal très incisif est distribué dans les rues :

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Année zéro cliquez ici

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vendredi, 29 novembre 2013

Les bonnets rouges sauce Troadec ne font pas l'unanimité

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Richard Roudier, Président du Réseau Identités, nous a accordé un entretien pour parler de son livre le Glaive et la Charrue paru début novembre mais aussi pour donner son avis sur les bonnets rouges qui doivent se réunir à Carhaix sur le site des Vieilles Charrues le 30 novembre dans une ambiance festive et musicale.

Richard Roudier, militant du mouvement identitaire, rejoint aussi de nombreux bretons, mais aussi de Carhaix, qui émettent des réserves sur Christian Troadec. La phrase la plus courante à revenir dans la bouche de bretons est « Troadec est un opportuniste. Le mouvement des bonnets rouges ne va pas tenir ». Des Français se définissant politiquement au centre partagent la pensée de Richard Roudier. Une déception face à l'attitude de Christian Troadec a pris forme.

La Voix de la Russie : C'est vous qui avez acheté la marque bonnet rouge ?

Richard Roudier : On a été les premiers à acheter le nom bonnet rouge, aussi pour les noms de domaine internet. On a aussi fondé une revue mensuelle qui porte le nom Le bonnet rouge et qui marche bien. Elle est vendue en Bretagne, dans le Finistère. On a vu un véritable mouvement populaire s'implanter en Bretagne. On a pensé qu'il fallait éviter que ce terme soit pris par des sectaires et des mercantiles et on avait eu raison. On ne veut pas faire de la concurrence à Armor Lux. On n'a pas acheté la marque bonnet rouge en bonneterie. On aurait pu le faire. C'est une démarche politique pour nous.

LVdlR : Comment pensez-vous que Christian Troadec a été informé ?

R.R. : C'est Armor Lux qui a décidé de poser la marque et c'est ainsi que Troadec aurait été averti. Nous ne voulons pas faire de la concurrence à Armor Lux, ce qui prouve l'honnêteté de notre démarche.

LVdlR : Déçu par Christian Troadec ?

R.R. : Les choses ont avancé très rapidement. On sent que dès le début c'est un très grand navigateur. C'est un breton, c'est normal. A la suite de la grande manifestation, il a commencé à virer, à dénoncer l'extrême droite. Ce n'est pas digne d'un homme qui a été porté par tout un mouvement. Je ne comprends pas qu'on puisse exclure un nombre de gens. Christian Troadec a fait des avancées intéressantes puis il a commencé à vilipender les idées identitaires.

LVdlR : Pensez-vous que Christian Troadec ait des intérêts économiques ?

R.R. : Je ne peux pas vous le dire.

LVdlR : D'où vient votre doute sur les bonnets rouges récupérés par le maire de Carhaix ?

R.R. : La FNSEA se retrouve dans ce type de mouvement. C'est incroyable car c'est le premier syndicat de France et ce sont eux qui ont distribué les bonnets rouges. Surtout que c’est président de la FNSEA du Finistère qui a prononcé le mot « révolution ». Des tas d'événements nous laissent pantois. Par exemple, quand on a entendu parler du tireur fou, j'ai trouvé ça énorme avec sa fiche de recherche de type européen. Cela me rappelle l'affaire Merah qui ne devait qu'être un militant d'extrême droite.

LVdlR : Vous êtes allé à Quimper ?

R.R. : Je ne suis pas allé aux manifestations des bonnets rouges en Bretagne mais au viaduc de Millau, où j'étais avec les bonnets rouges il y a 20 jours. A Nice aussi, car je suis syndicaliste agricole et je suis allé soutenir les agriculteurs dans les Alpes-Maritimes.

LVdlR : Vous êtes agriculteur ?

R.R. : Je fais du cochon bio et des gîtes. Mais mon métier d'origine est celui de juriste. Cela fait 20 ans que je suis agriculteur. J'ai été à la communication, à la formation professionnelle.

LVdlR : Manipulation ?

R.R. : Je pense qu'il y a des cellules proches du pouvoir et qui sont chargées d'instrumentaliser. Lors de l'incendie d'une borne écotaxe, les gendarmes ont regardé passivement alors que des dizaines de personnes sont restées à côté des feux de joie. Quand je vois ce genre d'éléments, je suis un peu étonné. Ou alors les pouvoirs publics n'ont plus les moyens. Dans ce cas, je leur demande de faire autre chose, surtout que ça se passe en plein jour.

LVdlR : Votre avis sur les syndicats ?

R.R. : Les syndicats sont manipulés par le pouvoir. Ils sont payés par l’État à 90 %. Dès le lendemain de la grandiose manifestation, le front a éclaté et on a vu les syndicats dire qu'ils étaient intéressés par la défense des salariés et pas des petits patrons. Une partie du front syndical a quitté le bateau. Une autre force a été fondée à côté. On assiste à une manipulation par des forces qui sont derrière. Je connais très bien la question. On sait qu'il y a des forces qui manipulent à coups de billets. Je connais le droit privé et le droit du travail et le milieu des syndicats et les relations avec le patronat.

LVdlR : Le mouvement des bonnets rouges est tué dans l’œuf ?

R.R. : Je ne crois pas. Quand on plante une greffe, elle finit par germer mais il y a des forces occultes qui font tout pour arrêter le mouvement. Il y a une hargne, une colère où les gens ne croient plus à rien. Les gens n'ont plus confiance dans les médias et dans les organisations politiques. Le pouvoir allume des contre-feux.

LVdlR : Pourquoi votre livre le Glaive et la Charrue?

R.R. : C'est un titre que j'ai emprunté à un consul romain qui a concilié toute sa vie entre sa charrue et son militantisme en prenant le glaive pour se défendre. C'est un symbole. Dans la révolte d'un pays, les agriculteurs représentent la base. Dans mon livre, je retrace 50 ans d'activité militante. J'ai voulu faire part de mon vécu aux jeunes générations. J'ai accueilli les pieds noirs d'Algérie à Béziers en 1963. J'avais 16 ans. J'ai pris conscience des dangers pour notre pays avec l'immigration très tôt. Les fils de bourgeois, de notaires nous traitaient de fou et disaient qu'il n'y aurait jamais de voile en France, de cuisine halal. C'est la politique de l'autruche traditionnelle des petits bourgeois de ne pas vouloir voir. Dans mon livre, je donne des pistes. On doit passer à la re-migration. L'intérêt des multinationales, c'est le grand marché mondial. C'est ce qu'ils ont voulu faire avec Maastricht pour baisser les salaires. On doit forcer nos dirigeants à la re-migration. L'immigré est déraciné en France. On va avoir un large mouvement populiste en Europe et ça leur fait très peur.

La Voix de la Russie cliquez ici

Pour se procurer le livre de Richard Roudier cliquez là

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jeudi, 28 novembre 2013

Jeudi, c'est le jour de Rivarol

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samedi, 16 novembre 2013

Aïe !

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Hasard assurément malheureux pour le très politiquement correct quotidien Le Figaro que cette association d'images qui risque d'être dénoncée à l'Inquisition par un cafteur flairant là une nouvelle et perfide ignominie.   source

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lundi, 23 septembre 2013

Les révélations de Roland Dumas sur la guerre en Syrie

Arnaud Raffard de Brienne cliquez ici

Roland Dumas n’est pas n’importe qui et de quelque bord politique que l’on soit, on ne pourra que reconnaître sa liberté d’expression, tout au moins présente. Après une carrière bien remplie d’avocat, de journaliste, de ministre, de président du Conseil constitutionnel et j’en passe, l’homme dont l’ensemble de la carrière s’est située à gauche, avec les turbulences que l’on sait, a décidé de retrouver une pleine et entière liberté d’expression.

Sur la guerre en Syrie, dont l’ensemble des médias, soucieux de continuer à percevoir subventions et manne publicitaire, feint de croire qu’il s’agit d’une révolte populaire spontanée du peuple syrien – comme ils avaient feint de gober tout cru la spontanéité du Printemps arabe -, il a osé dire l’indicible et dénoncer la manipulation des services secrets anglo-saxons américains et britanniques  qui ont travaillé plusieurs années auparavant à ce soulèvement. Lui-même, Roland Dumas, avait été approché et mis au parfum deux ans avant les premières manifestations syriennes.

Interview époustouflante à voir et à faire suivre :

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vendredi, 13 septembre 2013

Antifas : une milice politique au service de Manuel Valls ?

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Pierre Cassen

Boulevard Voltaire cliquez ici

Paris est sans doute la ville au monde où l’on manifeste le plus. Nous nous souvenons, lors d’une demande à la préfecture de police de Paris, que l’officier présent nous avait affirmé qu’il y avait, chaque année, 7.000 demandes de manifestations, la plupart accordées.

Nous avons même aussi droit, régulièrement, à des manifestations de clandestins. Dans la majorité des pays, on les expulse sans appel. En France, on les laisse, bien qu’en situation irrégulière, revendiquer des droits, des aides et, bien évidemment, des papiers pour tous. José Bové, en 2007, envisageait même de présenter des candidats clandestins aux législatives !

Nous avons également vu, récemment, des manifestations de partisans de Morsi, ces sympathiques disciples d’Allah qui, en Égypte, brûlent les églises, égorgent les infidèles au cri de « Allah akbar » et justifient le viol des femmes non voilées. Manifestement, cela n’émeut pas les antifas. Autorisation du préfet Boucault.

Le 22 juin dernier, ce même préfet, nommé par Valls, a interdit une manifestation de Résistance républicaine, pour « risque de troubles à l’ordre public ». Sans plus. Pourtant, six mois auparavant, la même association avait manifesté sans le moindre incident, contre le fascisme islamique, avec 3.000 participants.

Le 29 juin, des antifas avaient manifesté et, eux, vandalisé quelques vitrines, suite à la mort de Clément Méric dans une bagarre dont ils étaient les instigateurs. Autorisation du préfet Boucault.

Rappelons que, pour ces sympathiques gauchistes, est fasciste quiconque aime la France et s’oppose à son islamisation, ainsi qu’à une immigration sans intégration en période de chômage de masse.

Ce samedi 14 septembre, le Collectif de défense des libertés publiques s’est vu interdire une manifestation parce que les antifas avaient annoncé une contre-manifestation. On aurait pensé que, dans un régime démocratique, la police aurait protégé cette manifestation, annoncée en premier, et demandé aux opposants de choisir une autre date, pour ne pas troubler l’ordre public. Erreur : croyant faire preuve d’équité, Boucault a annulé les deux !

Ce 14 septembre, c’est le site Riposte Laïque qui avait prévu, suite à cette interdiction, un rassemblement, à 14 heures, sur un thème différent de celui de la manifestation : la défense de la liberté d’expression, menacée par le harcèlement judiciaire de prétendus antiracistes, et le droit à la sécurité pour tous, mis en cause par la nouvelle loi Taubira. À notre connaissance, aucune contre-manifestation n’avait été déposée à la préfecture de police. Pourtant, ce rassemblement vient d’être interdit lui aussi, sous ce prétexte : « (…) en raison notamment des risques de contre-manifestation de la mouvance antifasciste qui, dans le contexte actuel de tensions, est susceptible de générer des troubles graves à l’ordre public ce jour-là. »

Le préfet Boucault avoue donc deux choses : d’abord les antifas n’avaient pas encore déposé de déclaration de manifestation, et ce sont eux qui provoquent les troubles à l’ordre public. Pourtant, eux ont le droit de manifester, et ce sont les patriotes qui sont interdits, pour la troisième fois en trois mois.

En effet, dans le même temps, à Marseille, des organisations et militants de gauche et d’extrême gauche – dont certains, sur les réseaux sociaux, appellent à venir cagoulés, à saboter les transports en commun, à s’en prendre aux hôtels accusés d’héberger des militants du Front national – se voient autorisés à manifester contre l’Université d’été du parti de Marine Le Pen.

Valls et ses préfets ont donc décidé d’utiliser des gauchistes dégénérés pour interdire aux patriotes de manifester, ou bien pour perturber leurs initiatives et provoquer des incidents.

Les antifas sont donc bien une milice politique au service de ce régime, grâce auquel ils bénéficient d’une impunité totale. On le savait déjà, mais à présent, cela crève les yeux.

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lundi, 26 août 2013

Le ministre de l'Intérieur appelle à combattre Alain Soral et Dieudonné

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Source Parti de la France Calvados

Aux universités d'été du PS, Manuel Valls s'est livré à une charge contre Alain Soral et Dieudonné, en les nommant et en appelant, au nom de la république, bien sûr, à les combattre. Le hic, c'est que Manuel Valls est le ministre de l'Intérieur, le chef de tous les flics de France. Quand on occupe ce poste, et qu'on dénonce publiquement deux individus en les nommant, c'est qu'on a franchi un pas de plus dans ce qui sépare l'Etat militant, qui est déjà une horreur, de l'Etat assassin, qui est la suite logique pour une clique politique d'adorateurs de la république et de sa Terreur.

Ce qui est comique, c'est que cet appel à "combattre" Alain Soral et Dieudonné a été lancé dans le cadre... d'une défense de Frédéric Haziza ! Un journaliste quelconque et médiocre, qui plus est servile. On se rappelle qu'il s'est servi de son poste à la télévision pour humilier Jacques Cheminade, être "fort" avec les "petits" et servile avec les "forts" étant le propre des individus abjects. On se rappelle également qu'il avait gratifié d'un doigt d'honneur des manifestants contre le mariage des sodomites.

Que le premier flic de France attaque nommément deux personnes pour soutenir ce type de personnage est la preuve, s'il en faut encore une, du niveau zéro de nos élites politiques qui, impuissantes à agir sur le réel, se focalisent et focalisent tous leurs moyens sur la seule lutte contre un soi-disant "antisémitisme" dont on nous dit chaque année qu'il augmente, mais dont on n'a encore jamais vu une seule (vraie) victime...

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lundi, 15 juillet 2013

Journalistes de Libé : la toile est leur épouvante...

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Eric Miné

Boulevard Voltaire

Du pouvoir retors qui englue notre pauvre pays dans un climat délétère, Libération est, à n’en pas douter, l’agent zélé. Ainsi apprend-on dans ses colonnes qu’à « Brétigny : les sauveteurs n’ont vu ni pillage, ni caillassage ». Diantre ! Peu chaut à ces increvables bobardiers que des témoins dignes de foi contredisent leur péremptoire assertion. Minimiser, déformer ou escamoter les nouvelles ne sont pour cette presse que l’expression correcte d’une information maîtrisée.

Mais nonobstant les prochains développements qui pourraient venir contrarier la jolie fable, cette posture cache mal la panique qui s’empare de ce petit monde inquisitorial, rompu pourtant à condamner férocement tout contrevenant à la pensée autorisée. Ainsi, dans un précédent libelle en date du 5 juillet dernier et intitulé « L’histoire d’un foyer de Laon échauffe les sites identitaires », le même Libération nous dévoilait ingénument la cause du brusque changement d’atmosphère qui met à mal sa crâne assurance.

L’histoire en question ? Évincés d’un foyer de jeunes travailleurs au profit d’infortunés demandeurs d’asile, une poignée de franchouillards en délicatesse avec les picaillons se retrouvaient derechef à la cloche. Pas de quoi fouetter un chat au regard du quotidien bobo qui soigne son humanisme très sélectif. Mais le gardien du dogme de s’émouvoir, courroucé, de l’hydre rebelle engendrée par une armada d’internautes scandalisés et hurlant à la préférence étrangère.

Et nous y voilà ! On apprend que l’obscure feuille de province qui a débusqué le lièvre s’est vue gratifier de 15.000 « J’aime » sur Facebook, que les téléphones de l’association gestionnaire du foyer ont dû être débranchés parce qu’assaillis d’insultes et que le préfet du coin s’embrouille dorénavant dans un salmigondis d’arguties plus foireuses les unes que les autres. Bref, que le raffut réticulaire a payé.

Pour nous tous qui, sur Boulevard Voltaire ou ailleurs sur la toile, nous échinons du clavier à dénoncer les petites et grandes turpitudes du système dans la dédaigneuse indifférence de cette « grande presse », voilà un rayon de soleil bien revigorant qui perce la touffeur ambiante. Car ces manifestations impromptues de citoyens en colère qui maillent maintenant quotidiennement notre territoire ne sont-elles pas le fruit de l’inlassable travail de ré-information des sites, blogs et réseaux sociaux alimentés par des petites mains patriotes et bien souvent bénévoles ?

Loi Taubira, maltraitance rituelle des animaux, destructions d’églises, délinquance importée ou autres malveillances qu’il subissait hier en silence, le peuple de France s’instruit dorénavant en ligne, gronde et crie son désaccord. Interloqué devant l’ampleur du soulèvement, Libération, qui pourtant se garde bien d’ordinaire de toucher mot du rejet que ces sujets suscitent, n’a plus que le brocard ou l’invective pour arguments.

Mais avec des ventes en chute libre – moins 40 % cette année –, ces beaux messieurs de Libé, grassement rémunérés pour leur fatuité servile, ont du mouron à se faire. Ce ne seront bientôt plus quelques réactions indignées que ces plumitifs autistes auront à redouter, mais le tsunami qui les emportera.

Et la catastrophe, ils le pressentent dans l’effroi, viendra de la fin de leur monopole. Tels les dinosaures qui n’avaient pas vu venir le changement de climat, le Web, avec la nouvelle liberté qu’il induit, sera leur tombeau. Et dire que ces gens-là ne juraient qu’en l’évolution. La toile est désormais leur épouvante…

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dimanche, 14 juillet 2013

NON, ESTEBAN N'EST PAS UN "PAUME"

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Serge Ayoub

Boulevard Voltaire cliquez ici

Après la mort de Clément Méric, la gauche a hurlé partout qu’Esteban et ses camarades Samuel, Alexandre et Stéphane n’étaient que d’ignobles brutes néo-nazies. Aujourd’hui, la droite condescendante et victimaire tente de se récupérer un martyr en le décrivant comme un paumé, un innocent « malgré lui ».

Alors, et en réponse à l’article de Didier Bourjon paru sur Boulevard Voltaire le 11 juillet, je tiens à affirmer que non, Esteban n’est pas un « paumé », et que non, je ne suis pas le point de fixation de groupuscules « sombrement perdus ».

Esteban, à 20 ans, travaillait dans la sécurité-incendie, avait des responsabilités, avait emménagé avec sa petite amie, quand bien des garçons de son âge oscillent entre le chichon, les jeux de rôles en ligne, les sorties en boîtes et une vie étudiante interminable, toujours sponsorisée par papa et maman. On a dit qu’il était skin, on a dit qu’il était sympathisant de Troisième voie : peut-être. Cela n’en fait pas un paumé, bien au contraire. Être skin, et surtout adhérer aux idées que j’ai défendues à Troisième voie, et que je défendrai ailleurs, c’est affirmer deux choses : la fierté d’être travailleur, et la fierté d’être Français.

Avoir des idées et les assumer, ça ne fait pas de vous un paumé, ça fait de vous un homme, un homme tel que notre nation était encore capable d’en produire il n’y a pas si longtemps. Un homme capable de se défendre quand on l’agresse, un homme capable de résister moralement à un système qu’il juge mauvais, un homme capable de dire non haut et fort quand d’autres baissent les yeux dans la honte ou la peur.

Esteban est infiniment moins paumé que ces crétins déracinés et déculturés qui encombrent les castings de télé-réalité.

Esteban est infiniment moins paumé que les traders qui spéculent sous coke sur des produits dérivés dont ils ignorent la structure financière.

Esteban est infiniment moins paumé qu’un homo qui veut avoir plein d’enfants.

Esteban est infiniment moins paumé qu’un ministre de l’Intérieur qui parle d’assassinat pour un cas de légitime défense, infiniment moins paumé qu’un Premier ministre qui demande une minute de silence pour un agresseur et se rassied dans le ridicule, infiniment moins paumé qu’un président qui confond Chinois et Japonais, et prononce un décret de dissolution contre des associations déjà dissoutes.

Esteban est infiniment moins paumé que les quelques punks à chiens qui s’inventent une guerre antifasciste en 2013.

Enfin, et surtout, Esteban est infiniment moins paumé que tous les petits éditorialistes de « droite » qui prétendent le défendre sans se donner la peine de le comprendre.

Tous ceux-là, je leur demande de se taire et, humblement, de relayer cette page de soutien : cliquez ici 

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Le nouveau numéro du magazine "Terre et peuple" est sorti...

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Terre et peuple cliquez ici

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mercredi, 03 juillet 2013

Nelson Mandela ou l’énorme imposture

imagesCATI57P0.jpgGuillaume Faye

J’ai tout compris cliquez ici

Dans la catégorie des icônes planétaires, coqueluche de la bien-pensance larmoyante, élevé au rang de Saint et de héros, on aura rarement vu mieux que Nelson Mandela. Encore plus délirant qu’avec Che Guevara, cet autre héros de pacotille qui était en réalité une fripouille. Mandela fascine les pucelles antiracistes, les politiciens et les intellectuels qui rabâchent comme des perroquets la vulgate idéologique du Système. Personne n’ose déboulonner l’idole.

« Mandela a payé dans sa chair ses idées » explique le pseudo-philosophe et essayiste cucul Frédéric Lenoir, auteur du pensum La guérison du monde (Fayard). Il le compare aussi à Socrate et à Gandhi. « Il s’est sacrifié comme Jésus », peut-on entendre répété en boucle. Tu parles… Le faux martyr Mandela a passé 27 ans en prison pour des faits de droit commun et de terrorisme et n’était nullement un prisonnier politique. Il dirigeait la branche militaire de l’ANC, l’UWS, spécialisée dans les sabotages et les attentats, au mépris des victimes innocentes.

La succession de Mandela donne lieu, au sein de sa famille (la descendance de ses trois épouses), à une lutte de clan sordide, uniquement pour l’argent. Car Mandela n’a pas oublié, comme tous les satrapes africains, de faire fortune en piquant dans la caisse. Sa seconde épouse, la sulfureuse Winnie, n’aurait pas déparé parmi les voyouses de la cour de Néron. En réalité, la légende Mandela est un montage médiatico-idéologique mondial remarquable, un acte de propagande magistral ; qui passe sous silence non seulement la véracité du personnage mais son action politique, catastrophique : la transformation d’une république autoritaire (la RSA), ethniquement scindée mais prospère et sûre, en un pays officiellement multiracial et démocratique mais miséreux, inégalitaire, anarchique, corrompu, où il ne fait pas bon vivre.

En effet, Mandela, une fois à la tête de l’État, a mis fin au régime de l’apartheid et à la domination blanche. Mais pour le plus grand malheur du pays, l’Afrique du Sud. Depuis que les Noirs sont au pouvoir, la RSA – c’était prévisible – a plongé dans une sorte de chaos de basse intensité : criminalité explosive, services publics et infrastructures à la dérive, coupures électriques incessantes, créations de ghettos blancs protégés. Sans compter l’incurie de l’État noir et la corruption endémique de l’ANC, African National Party (le parti unique de fait, despotique, clownesque et incompétent) : les milliards de rands alloués pour la réhabilitation des townships noirs d’Alexandra et de Soweto ont atterri dans la poche des mafieux. Résultat : la misère, la crasse, les égouts bouchés, la délinquance, 40% de chômage chez les jeunes, etc.

Les autorités et les médias du monde entier (à commencer par Obama en visite dans le pays fin juin) refusent obstinément cette affreuse réalité qui contredit leur idéologie, pourtant reconnue en silence par les Noirs eux-mêmes : ”c’était dix fois mieux du temps du pouvoir blanc, de l’apartheid imposé par les Afrikaners.” Eh oui ! Un journaliste noir sud-africain au chômage avoue, dépité : « Mandela est une icône mais les gens ont faim. Et la question récurrente, c’est comment survivre, jour après jour. [...] Mandela a voulu que, nous, les Africains du Sud, soyons tous égaux. Un noble combat, évidemment. » (JDD, 30/06/2013). Il a tout compris

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jeudi, 27 juin 2013

Demain vendredi, dans Rivarol, Roland Hélie décortique les mensonges de l'affaire Méric

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3,50 €, chez votre marchand de journaux

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Les gauchistes ces héros qui attaquent dans le dos

MALLIA.pngJean-Gilles Malliarakis

L'Insolent cliquez ici

Les grands moyens de désinformation ont mis trois semaines à comprendre. La mort de Méric s'est produite à l'issue d'une "bagarre qui a mal tourné", comme le dit la radio d'État.

Tout le monde le savait deux jours après le drame. Le virage décisif fut apporté par le juge d'instruction s'écartant, au bout de 48 heures, des réquisitions du parquet. La bande vidéo de la RATP circule depuis hier sur tous les sites internet. Elle accable l'agresseur qui n'est pas celui qu'on pense. Le héros attaque dans le dos.

Elle était, évidemment, disponible pour les enquêteurs dès le début. L'autopsie permettait rapidement aussi d'écarter l'hypothèse du coup de poing américain. "Le Monde", toujours aussi fielleux, sème le doute dans l'esprit de ses lecteurs : "rien ne prouve pas" l'utilisation de cette arme. Et pourquoi pas celle d'une kalashnikov ?

Tout le reste n'est que fariboles, légendes de journalistes, rumeurs, insignifiants remugles.

Il faut donc s'interroger enfin sur les bandes en train de s'organiser impunément: les prétendus "antifascistes" venus de la survivance de l'Allemagne de l'est d'abord ; les islamistes radicaux également. On va bientôt découvrir qu'ils bénéficient de la même latitude de développement, n'étant interpellés que beaucoup trop tard, c'est-à-dire seulement quand les réseaux terroristes se sont mis en place et ont commencé à frapper.

Tous ces gens disposent d'une extrême latitude d'entraînement, de recrutement, de prédication, encouragés par l'idéologie médiatique. Ils sont supposés appartenir au camp des "bons". Le camp des "mauvais" peut leur servir de cibles. Les grandes consciences applaudissent, même si les supposés héros frappent et attaquent dans le dos.

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