mardi, 10 août 2021
Mr et Mme Pécresse : du vent et des vendus
On ne répètera jamais assez combien l’énergie éolienne est un leurre et une impasse énergétique. L’Etat longtemps réticent, avec Henri Proglio en tête alors qu’il était le patron d’EDF. Mais l’arrivée de Valérie Pécresse comme ministre du Budget et son mari Jérôme, président d’Alstom Renouvelables a changé la donne. Petite histoire d’une magouille d’Etat et vérité sur une femme qui se verrait bien, pour notre plus grand désagrément, poser ses bagages dans le très pompadourien palais de l’Elysée.
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Source : L’Incorrect, juillet-août 2021
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lundi, 09 août 2021
Le Chêne n°100 (juin 2021), magazine du MNR, est paru
« Après les régionales : il faut rendre l’espoir aux Français »
Au sommaire de ce numéro :
- Éditorial : Après les régionales : il faut rendre l’espoir aux Français.
- Actualité, communiqués de presse.
- Six initiatives stratégiques pour changer la donne politique.
- Pandémie Covid 19 : la grande manipulation des laboratoires.
- Napoléon, la puissance et la gloire.
- Vie du mouvement.
Téléchargez le magazine cliquez ici
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Assassinat du prêtre en Vendée : réaction d'Eric Zemmour
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L'assassinat du prêtre à Saint-Laurent sur Sèvre en Vendée
L'avis de Jean-François Touzé
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Affaire de la pancarte de Cassandre Fristot : le Système veut diaboliser les manifestants anti-pass
Un communiqué de Thomas Joly,
président du Parti de la France cliquez ici
Depuis deux jours, nous assistons à un emballement médiatique complétement artificiel dont les professionnels de la manipulation et de la désinformation ont le secret.
Samedi à Metz, au cours de la manifestation contre le pass sanitaire, Cassandre Fristot, militante catholique de la véritable droite nationale, portait une pancarte listant un certain nombre de personnalités appartenant à l'oligarchie cosmopolite et les accusant de trahir les Français avec cette ségrégation vaccinale qu'ils contribuent à mettre en place. Parmi ces noms, horresco referens, des gens de confession juive. Il n'en fallait pas plus pour qu'une meute de mythomanes enragés se précipite pour dénoncer un soi-disant insupportable antisémitisme. Et de diffuser la photo de la jeune femme avec son identité sur tous les réseaux sociaux, campagne de harcèlement immédiatement reprise par les médias d'État, le ministre de l'Intérieur en personne et les officines habituelles de chouineurs compulsifs.
Évidemment, il ne s'agit que d'un prétexte pour diaboliser l'énorme mobilisation populaire, qui grossit chaque samedi, contre la tyrannie sanitaire. Le bouc émissaire sera donc Cassandre Fristot, jetée en pâture avec l'accusation infamante d'antisémitisme.
Cette manipulation grotesque de la part du pouvoir en place traduit le grand manque de sérénité de nos élites face aux Français de plus en plus nombreux à s'apercevoir du scandale politique qui est en train de se produire.
Pour toutes ces raisons, j'apporte mon soutien à Cassandre, interpellée ce lundi matin par la police du régime, qui a bien le droit de livrer les noms de tous ceux qui œuvrent à détruire nos libertés et notre identité nationale.
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Anti Pass : Et s'ils avaient Raison ?
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dimanche, 08 août 2021
Décidément, on ne change pas une politique qui perd !
La chronique de Philippe Randa
Les cycles Mercier qui avait délocalisé en Asie comptaient revenir en France, à Revin dans les Ardennes, porté par l’engouement de nos compatriotes pour la bicyclette. Patatras ! Malgré les belles promesses de Jacqueline Gourault, ministre de la cohésion des territoires qui s’était rendue sur place en mars dernier pour confirmer le soutien financier de l’État, la Banque publique d’investissement a brusquement fait machine arrière. Ce projet cochait pourtant « toutes les cases sur la réindustrialisation ou l’écologie », martèle Jean-Marc Seghezzi, PDG de CEMF et des cycles Mercier.
« On aurait pu se prémunir de toute annonce publique à renfort de présence ministérielle, quand on voit le résultat aujourd’hui », indique pour sa part, dépité, Jean Rottner, président de la région Grand-Est.
On aurait pu espérer que la crise du Covid-19 ayant mis au grand jour les dégâts de la mondialisation avec, notamment, la funeste comédie des stocks de masques introuvables (d’abord inutiles, dixit le ministre de la Santé, puis obligatoires, dixit le même ministre) et que, de même, le confinement de nombre de pays dans le monde, en premier lieu la Chine, entraînant un risque de rupture de stocks à la chaîne de produits de première nécessité, notre pays, pour ne parler que de lui, allait favoriser la relocalisation de nos industries. T’a qu’à croire…
Croire qui ? Mais le président de la République lui-même qui, en août 2020, il y a tout juste un an donc ! tweetait : « Nous devons relocaliser et recréer des forces de production sur nos territoires. La souveraineté sanitaire et industrielle sera l’un des piliers du plan de relance. »
15 milliards d’euros du plan de relance de l’année dernière allait être consacrés « à l’innovation et la relocalisation (afin de) préparer la France »… « C’est investir dans l’avenir. Investir pour transformer et bâtir la France demain. »
Demain, serait-ce aujourd’hui ou plus tard, beaucoup plus tard… ou jamais ?
EuroLibertés cliquez ici
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Multiplication des soutiens locaux à Eric Zemmour : une page FB dans le Trégor
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Passe sanitaire : la situation se détériore
Auteur notamment de Droite-gauche, c'est fini! Le moment populiste (éd. Pierre-Guillaume de Roux) et co-auteur de Survivre à la désinformation (Éd. La Nouvelle Librairie), l’intellectuel Alain de Benoist met en évidence pour Sputnik les lignes de force, à peine perceptibles, qui semblent déjà animer cette contestation naissante.
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samedi, 07 août 2021
Les enjeux occultés de la présidentielle
Mathieu Bock-Côté
La polarisation autour du passeport sanitaire et le vaste mouvement de protestation qu’il suscite pourraient dérégler en profondeur les paramètres de la prochaine élection présidentielle. La question du passeport sanitaire, qui a reçu le nihil obstat du Conseil constitutionnel, sous quelques réserves, soulève assurément des questions fondamentales sur le modèle de société qu’il risque d’engendrer. Mais l’émergence en temps réel d’un clivage autour de cet enjeu est d’une autre nature et canalise les passions politiques dans une impasse, et cela plus encore lorsqu’il s’exprime dans sa formule plus extrême, avec le clivage entre pro-vaccins et antivax. Ce dernier habille dans un langage nouveau l’affrontement depuis un bon moment ritualisé entre les «républicains» et les « populistes », entre la « démocratie » et l’« extrême droite » entre les « progressistes » et les « lépreux ». Les schémas politiques les plus stériles des dernières années sont réactivés pour accueillir cette nouvelle querelle tout en écrasant la complexité du monde : on en vient presque à oublier qu’on peut être tout à la fois partisan de la vaccination massive tout en confessant de vraies réserves devant la société du traçage généralisé.
La reconstruction exclusive du débat politique autour des modalités de sortie de la pandémie entraîne déjà une oblitération de sujets fondamentaux qui auraient dû, et devraient encore, structurer la conversation civique jusqu’à la prochaine élection présidentielle, la question de l’immigration n’étant pas le moindre d’entre eux alors que la France semble engagée dans une dynamique de partition ethnique qui pourrait un jour devenir irréversible.
Il y a quelque chose d’étonnant à ce que la question de l’immigration massive et de ses effets ne soit pas celle qui structure l’ensemble de la vie politique, tant elle bouleverse des domaines de la vie collective en apparence aussi contrastés que la sécurité ou l’éducation. C’est une révolution racialiste qui se constate en France, au nom du décolonialisme. De même, on aurait pu espérer que l’autre grande épidémie des temps présents, c’est-à-dire la diffusion du wokisme, engendre une réaction vive, et cela particulièrement en France, qui dispose de ressources inouïes dans sa culture pour y résister. La névrose woke dérègle les coordonnées fondamentales de l’existence, pour peu qu’on garde à l’esprit qu’elle cherche à anéantir les fondements sexués de l’humanité en la condamnant ainsi à une déstructuration psychique inédite.
Ne serait-il pas temps aussi de faire de la restauration de la liberté d’expression une cause démocratique à part entière, pour qu’enfin le débat public se délivre des nombreuses censures qui pèsent sur lui ?
Il n’est pas interdit d’être pessimiste. On s’en souvient, la présidentielle de 2017 avait été détournée de sa trame de fond par l’absurde question des complets de François Fillon et de l’emploi supposé fictif de son épouse, qui avait fait oublier aux Français le temps d’une élection que leur pays avait été depuis 2012 la cible d’attentats islamistes à répétition. On était en droit d’y voir une confiscation médiatique de la vie politique et un kidnapping démocratique. Naturellement, la crise sanitaire est d’une tout autre nature et nul n’aura l’idée de placer sur le même plan une minable opération de torpillage contre le candidat de la droite à l’époque et une crise d’envergure historique qui a placé un temps la planète à l’arrêt. Mais un point de comparaison demeure : une société qui rate chacune de ses échéances démocratiques en se montrant incapable de placer au cœur de sa vie publique la question des fondements compromis de son existence historique. À ne jamais savoir traduire en polarisations fructueuses les tensions qui la structurent, la démocratie engendre un sentiment d’aliénation qui à la fois hystérise la vie publique et imprime dans la conscience collective un profond sentiment d’impuissance politique.
On pourrait le dire autrement : depuis quelques décennies, la société française, comme les autres sociétés occidentales, est engagée dans un processus historique qu’on assimilera sans exagérer à un véritable changement de civilisation. Elle le sent, elle le sait, même, mais peine à avoir une emprise sur cette dynamique, comme si elle était poussée par un supposé sens de l’histoire qui forcerait les hommes à s’adapter à l’inéluctable, sans qu’ils parviennent vraiment à façonner leur destin. Trop souvent, le politique se perd en ratiocinations gestionnaires ou en spéculations publicitaires. Y aura-t-il encore demain un peuple français ou sera-t-il seulement occupé désormais à négocier les termes de sa minorisation ? La crise sanitaire sera depuis longtemps chose du passé que cette question demeurera encore centrale, tant qu’il y aura des Français pour se la poser. Mais plus le politique s’en éloigne, et la relativise, et plus elle devient explosive.
Source : Le Figaro 7/08/2021
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Journal du chaos
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Sexualisation des enfants et pedocriminalité: entrevue avec Marion Sigaut
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vendredi, 06 août 2021
Libérez-vous de la pensée dominante : lisez les livres, les CD et les revues publiées par Synthèse nationale
09:46 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 04 août 2021
Dans un grand entretien publié par "Nice Matin", Eric Zemmour dévoile ses positions sur l'immigration...
14:19 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les manifestants ne sont pas en congé
Louis Marceau
Pas de congé pour les défenseur de la liberté : samedi, plusieurs centaines de milliers voire un million de Frangais ont à nouveau défilé contre l’instauration du passe sanitaire. Tantét silencieux, tant6t méprisant, le gouvernement a créé malgré lui un mouvement qui est parti pour durer...
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Source Présent 3/08/21
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lundi, 02 août 2021
Parution du n°88 du magazine Terre & peuple
L'éditorial de Pierre Vial :
MONTJOIE SAINT DENIS !
Au Moyen Age c’était le cri de guerre des chevaliers français chargeant l’ennemi. Aujourd’hui il est considéré par les crétins qui sont au pouvoir comme subversif. Ce qui révèle l’état de décadence, de déliquescence, de pourriture, d’inversion des valeurs dans lequel est tombée la République macronienne. Voilà une bonne raison pour que ce cri soit repris par tous ceux qui ont décidé de faire la guerre - oui, la guerre – au macronisme, à ses pompes et à ses œuvres. Des journalistes incultes (pardon pour le pléonasme) affirment du haut de leur docte ignorance que c’est un slogan royaliste. C’est une stupidité, une de plus, car ce cri de guerre n’est pas né avec les disciples de Maurras, qui, tout simplement, y trouvent une référence à d’ancestrales traditions, ce qui est tout à leur honneur.
L’historienne Anne Lombard-Jourdan explique que l’étymologie du terme Montjoie est francique (Mundgawi) signifiant « celui qui protège le pays », et que ce cri ancestral a été christianisé avec saint Denis, le Montjoie étant la bannière de l’armée, l’oriflamme rouge, derrière laquelle elle se rassemble pour marcher à la bataille et que le roi va chercher à Saint-Denis avant d’engager les combats.
C’est aujourd’hui un appel au combat qui peut rassembler, au-delà des étiquettes, tous ceux qui veulent se battre pour la défense de notre terre et de notre peuple. Quant à Macron, le soufflet qu’il a reçu est une bien faible sanction pour un homme qui a été installé là où il est par ceux qui veulent achever la destruction de la patrie française. Il faut donc le ranger dans la longue galerie des agents de l’Anti-France.
Murés dans leur jacobinisme, les Macroniens veulent ignorer tout ce qui fonde l’enracinement des êtres dans leur identité. Ils méprisent ainsi l’enseignement des langues régionales, pour la défense desquelles plusieurs milliers de personnes ont manifesté le 29 mai, de Bretagne au Pays Basque, d’Alsace en Catalogne et en Corse.
La faillite des Macroniens est, aussi, spectaculaire en matière d’insécurité. En témoigne Xavier Raufer, criminologue reconnu et docteur en géopolitique, qui fait un bilan sans concession de quatre ans de macronisme, en ciblant l’action du ministre de l’Intérieur Gérard Darmanin et en qualifiant de « dérisoire » la lutte contre le trafic de drogue tout en mettant le doigt sur les dysfonctionnements du ministère. Mais Raufer ne met pas en cause le seul Darmanin. Il épingle « la succession de tocards que nous avons eu comme ministres de l’Intérieur ». Il précise : « La série des tocards a démarré avec l’arrivée de Cazeneuve. C’est un petit roquet qui aboie et un lâche (…) Par la suite Castaner est arrivé. Ce dernier est un authentique pitre ». Darmanin ? « Il pourrait faire du showbiz intelligent mais le sien ne l’est pas ». La drogue ? « Lutter contre le trafic de drogue consiste à vider l’océan avec une petite cuillère (…) Les narcos se mettent dans les poches à peu près 1,2 à 1,4 milliard d’euros par an ». Pour finir, un chiffre : « Partis de notre base de données nous avons comptabilisé, en France, 187 nuits avec une ou plusieurs émeutes ».
Devant la faillite des politiciens français, toutes étiquettes confondues, on est évidemment tenté de regarder ailleurs. Par exemple en Russie, où Poutine a fait une démonstration de courage politique en déclarant à la Douma : « En Russie, chacun doit vivre comme les Russes. N’importe quelle minorité, de n’importe où, si elle veut vivre en Russie, marcher et manger en Russie, devrait parler le russe et doit respecter les lois russes. S’ils préfèrent la Loi de la Charia et vivre selon leurs préceptes, alors nous conseillons aux Musulmans d’aller vivre là où telle est la loi nationale. La Russie n’a pas besoin de minorités musulmanes. Les minorités ont besoin de la Russie et nous ne leur accorderons ni des privilèges spéciaux ni n’essaierons de changer nos lois pour les adapter à leurs désirs, peu importe leurs hurlements contre notre prétendue « discrimination ». Nous ne tolérerons pas le manque de respect à notre culture russe. Nous devons savoir tirer les conséquences face aux suicides de l’Amérique, de l’Angleterre et de la France, si nous voulons survivre en tant que nation. Les Musulmans conquièrent ces pays mais ils ne prendront pas le contrôle de la Russie. Les coutumes russes et nos traditions ne sont pas compatibles avec leur manque de culture ou leurs coutumes primitives. Lorsque cette honorable assemblée pense à promulguer de nouvelles lois, elle doit prendre essentiellement en considération l’intérêt national russe, elle ne doit nullement prendre en compte la Charia ».
Les membres de la Douma, debout, ont salué par une ovation de cinq minutes ce discours.
Site de Terre & peuple cliquez ici
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dimanche, 01 août 2021
Autorité liquide
Vincent Trémolet de Villers
Tolérance zéro ! Le citoyen qui, entre deux doses de vaccin, viendra, en plein mois d’août, s’asseoir à la terrasse d’un café de village sera hors la loi. Quelle peine pour ce délinquant et le complice qui aurait choisi de le servir ? Pendant une semaine, le Parlement s’est enflammé sur des amendes mirobolantes, la prison en cas de récidive : dormez tranquille, l’État s’occupe de tout. Mais comment dormir tranquille quand il est de plus en plus d’endroits en France où l’État ne contrôle plus rien ? Assez des coups de menton pour les coups de fourchette : prenons la mesure de la violence ordinaire qui se déploie dans les centres des grandes métropoles comme dans les petites villes de campagne. L’enquête chiffrée que nous publions aujourd’hui en fait le saisissant panorama. Aucune région de France n’est épargnée. L’agressivité comme pratique sociale, la disparition du civisme, la progression galopante du sentiment d’impunité se vérifient désormais à l’œil nu. Une minorité survoltée s’affranchit de toutes les règles, une majorité silencieuse oscille entre peur, résignation et colère froide face à cette intimidation.
Que fait la police ? Ce qu’elle peut pour protéger les règles qui fondent la vie en société. Prise en tenaille entre la surveillance vigilante des ligues de vertu et l’arrogance victimaire des petits délinquants, elle s’efforce d’incarner, dans ce chaos de basse intensité, la force du droit, la loi commune. Elle n’y parviendra jamais seule. L’effacement de toute fermeté au profit d’une autorité liquide caractérise ce moment adolescent. Quand parents, professeurs, gendarmes, magistrats, élus tentent, malgré tout, d’en faire usage, c’est à contre-courant d’un laisser-aller généralisé. Le ressenti plutôt que l’effort, l’excuse plus que le mérite, l’instinct plus que la culture, l’émotion plus que la raison, la violence plutôt que l’ordre. En retour, l’État faible se fait tatillon, arbitraire. Il s’abîme, de lois inapplicables en réglementations sanitaires à faire pâlir de jalousie et Kafka et Gogol. Au sentiment prégnant d’insécurité s’ajoute inévitablement celui d’une profonde iniquité.
Source : Le Figaro 29/07/2021
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samedi, 31 juillet 2021
En chanson... interprétée par Joël La Bruyère
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Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
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Mobilisation alsacienne en faveur de la candidature d'Eric Zemmour...
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Parution du nouveau numéro (n°191) de la revue Eléments
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Les chiffres qui en disent long...
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Journal du chaos
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C’est grave, docteur ?
Alain de Benoist
Après l’ère du soupçon, l’ère du délire. Sous l’influence du politiquement correct, du néoféminisme halluciné et d’un néoracialisme obnubilé par le cutané, le politique tourne maintenant au psychiatrique. Objectif : mettre en accusation la « blanchité » (whiteness) au nom de la supériorité noire, et l’« hétérocaptivité » au nom d’une misandrie associée à l’idée que la distinction masculin-féminin ne correspond à rien.
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Source : Revue Eléments n° 191
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jeudi, 29 juillet 2021
Le Puy-en-Velay : les nervis du Système s'en prennent à la Librairie "Arts enracinés", véritable espace de Liberté, ouverte récemment au coeur de la ville
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Faits divers ? Pas si sûr...
Camille Galic
En théorie, le château de Poligné, datant du XVIIe siècle et classé en Ille-et-Vilaine aux Monuments historiques, avait été loué du 10 au 17 juillet pour « une famille de dix personnes participant à l’anniversaire du grand-père ». En fait, plus de 150 jeunes, presque tous mélanodermes, ont déferlé pour assister plusieurs soirs de suite au « showcase exclusif Négrito » proposé par des rappeurs et faisant un boucan infernal. Malgré plusieurs demandes pressantes de la propriétaire des lieux a la gendarmerie, il a fallu qu’une fusillade oppose les fêtards et fasse deux blessés pour que les pandores se décident a intervenir et a faire évacuer les lieux, jonchés d’immondices, de bouteilles d’alcool vides, de narghilés et de bonbonnes de protoxyde d’azote, ce gaz hilarant désormais indissociable de toute réjouissance. Et ne parlons pas des massifs de fleurs saccagés, des plates-bandes transformées en parkings, de la piscine remplie d’excréments, des tapisseries et rideaux arrachés ni des vasques et meubles d’époque brisés. Quand on vous disait que les Noirs avaient un sens inné de la fête !
Fleury-Mérogis… hôtel quatre étoiles
On le sait, de belles âmes se sont émues de |’« exploitation dégoûtante » des attentats islamistes du 13 novembre 2015 par les Amis d’Eric Zemmour. Les familles des victimes et les rescapés de ces massacres s’émeuvent-ils aussi du coût extravagant pour la collectivité nationale de l’emprisonnement à Fleury-Mérogis de Salah Abdeslam, instigateur, logisticien et sans doute acteur de ces tueries qui firent 131 morts en région parisienne, et seul survivant du commando, cité à partir de septembre devant la Cour d’assises spéciale de Paris ? De l’aveu même du ministère de la Justice répondant à une question écrite du député RN Sébastien Chenu, « le coût de la détention du terroriste par les services pénitentiaires s’éléve 4 433 000 euros par an, soit environ 36 000 euros par mois ». Une somme énorme s’expliquant par l’entretien du djihadiste (35 500 euros par an pour sa nourriture, le blanchiment de son linge et le chauffage de sa cellule) mais surtout, selon Capital, par la rémunération (397 000 euros) des « huit agents qui se relaient jour et nuit pour assurer une veille continue du détenu ». De crainte sans doute qu’il mette fin à ses jours et, surtout, ne soit suicidé par des « fréres » redoutant qu’il ne se montre trop disert à son procés. Autre précision donnée par la Chancellerie : l’une des cellules attenantes à celle occupée par le Maroco-Francais « est laissée libre et équipée, en cas d’incident. Une autre cellule voisine reste vide, pour des raisons de sécurité. Le dispositif de surveillance des gardiens est abrité dans une quatrième cellule. Enfin, le détenu utilise occasionnellement une cinquième cellule, équipée d’un rameur et d’un vélo ». Toutes gâteries dont l’essayiste Hervé Ryssen, emprisonné plusieurs mois a Fleury-Mérogis pour mal-pensance, n’aurait même pas osé rêver.
Source : Présent 27/07/2021
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Une journée pour la diversité ? Quelle curieuse idée...
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Bob Morane, le héros aux mille vies
Aristide Leucate
Il a quitté la Vallée infernale pour rejoindre les Berges du temps. Henri Vernes, créateur de Bob Morane, s’en est allé, à 102 ans, rejoindre les Hergé, Jean Ray, J.-H. Rosny aîné, Bob de Moor et autres Edgar P. Jacobs qui, auteurs de BD ou romanciers d’aventures ou de fantastique, constituent la galaxie belge de la littérature d’évasion la plus imaginative d’Europe.
Bob Morane ! Trois syllabes qui résonnent d’un son si particulier dans l’esprit de plusieurs milliers de lecteurs francophones. Tous ont à l’esprit les noms de personnages immortels tels Bill Ballantine (complice écossais de l’aviateur français qu’il appelle Commandant), Monsieur Ming, alias l’Ombre jaune, ennemi juré des deux précédents et qui, à l’instar du phénix, revient sans cesse – pour le plus grand bonheur des aficionados – se mettre en travers de leur route, la troublante et énigmatique Miss Ylang-Ylang, chef du SMOG – organisation criminelle internationale qui n’est pas sans rappeler celle du SPECTRE opposée à l’agent 007 de Ian Fleming –, meilleure ennemi de Morane qui la subjugue, Tania Orloff, nièce de Ming qui, secrètement éprise du trentenaire aux cheveux noirs et drus, a toujours quelques scrupules à contrecarrer les plans criminels de son oncle, Roman Orgonetz, dit encore « l’homme aux dents d’or », espion cruel qui a juré la perte du reporter de la revue Reflets.
Né Charles-Henri-Jean Dewisme à Ath, dans le Hainaut, le 16 octobre 1918, il aura, lui aussi, une vie d’aventures. À 19 ans, il s’amourache d’une jeune Chinoise qu’il suivra jusqu’à son bordel de Canton, avant de revenir en Europe où il sera, tout à tour, courtier en pierres précieuses, agent des services de renseignement belges, puis des services secrets britanniques durant la Seconde Guerre mondiale, rejoignant ainsi la Résistance. Après-guerre, il travaille pour une agence de presse américaine et en qualité de correspondant pour deux quotidiens français.
En 1953, il est approché par Jean-Jacques Schellens, directeur littéraire des Éditions Marabout. Après un premier texte convaincant – Les Conquérants de l’Everest –, il signe La Vallée infernale, toute première aventure de Bob Morane qui le propulsera au firmament du succès et en fera un des plus solides piliers de la maison belge. À un rythme effréné, il écrira plus de deux cents romans contant les péripéties de son héros à travers le monde. Écrivain infatigable, il publiera d’autres livres sous divers pseudonymes (dont, sous le nom de Jacques Colombo, une torride série d’espionnage, Don, au Fleuve noir). Après avoir été croqué pour les couvertures des livres par Pierre Joubert, Henri Lievens ou Coria (pour la Bibliothèque verte), Bob Morane fera une incursion remarquée dans le 9e art grâce aux talents successifs de Dino Attanasio, Gérard Forton ou William Vance.
Avant d’inspirer la chanson « L’Aventurier » au groupe Indochine en 1982, la télévision française s’emparera du mythe dans les années soixante. C’est Claude Titre qui endossera la tenue du personnage vernésien, tandis que Billy Kearns tentera de rentrer dans la peau de Bill Ballantine. La série, qui comptera deux saisons et 26 épisodes, échouera totalement à restituer l’atmosphère bondissante, si singulière, des romans d’Henri Vernes.
Toutefois, ce séducteur hors pair qui aura pour ami Blaise Cendrars, Jean Ray ou Le Corbusier se montrait, dans la vie, assez péremptoire, sinon tranché dans ses jugements. N’ayant pas de mots assez durs contre « les horreurs du christianisme », il fustigeait dans un même élan son compatriote Hergé auquel il reprochait le racisme de Tintin.
Vétilles sans importances pour un homme qui aura fini par être totalement éclipsé par son héros auquel nombre d’adolescents prirent plaisir à s’identifier.
Source Boulevard Voltaire cliquez là
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mercredi, 28 juillet 2021
L’animal est-il une personne ?
Alain de Benoist a publié à la fin de l’année dernière, La Place de l’homme dans la nature. En effet, c’est en voulant répondre au livre d’Yves Christen, L’Animal est-il une personne. ?, que le philosophe s’est aperçu que le sujet était loin d’être anodin. D’où ce livre, percutant et qui remet à leur place une bonne fois pour toutes les cinglés antispécistes qui voudraient nous priver du plaisir d’un beau et bon morceau de viande et coller au chômage des professions entières, éleveurs et cuisiniers. Michel Geoffroy nous fait part de tout le bien qu’il pense de ce livre. La chasse est ouverte.
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L’animal est-il une personne, d’Yves Christen, Flammarion - La place de l’homme dans la nature, par Alain de Benoist, éditions de La Nouvelle librairie.
Site de La Nouvelle Librarie
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CUBA LA ROUGE : RAFRAICHISSONS LES MÉMOIRES…
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Cette « île crocodile », surnommée ainsi en raison de sa forme géographique, et de élevage que l’on y fait de ce « charmant » animal, - peut-être aussi une allusion aux vieux caciques du Parti communiste qui tirent les ficelles en coulisse -, est entre les mains des kleptocrates du clan Castro depuis 1959 et sa révolution de la Saint-Sylvestre.
Un faux romantisme
Tout avait pourtant bien commencé. Les photos du jeune chef rebelle et de ses maquisards de la Sierra Maestra, cartouchière en bandoulière et fusil à la main, faisaient le tour du monde, et attiraient la sympathie de tous, y compris et surtout celle des Américains. (Qui voulaient se débarrasser à bon compte, comme à Santo-Domingo avec Rafaël Trujillo, d’un caudillo devenu « trop encombrant ».) Pensez, un jeune avocat rebelle qui plus est barbu comme un révolutionnaire du XIXe siècle, face à un vieux dictateur, le général Fulgencio Batista, c’était vendeur. Un pur descendant de Galicien* contre un sang-mêlé. Paris-Match, pour ne citer que cette revue qui fut jadis un grand magazine, en fit des tonnes. Mais bien vite, le nouveau pouvoir allait montrer son vrai visage, celui hideux d’une dictature communiste. Le jeune intellectuel avait bien trompé son monde. Très rapidement, de nombreux Cubains furent contraints à l’exil pour échapper à la sanguinaire épuration menée avec un zèle criminel par un certain médecin argentin, Guevara, qui allait se faire mondialement connaitre sous le nom du « Che ». Les États-Unis, sous le magistère de Kennedy, tentèrent bien de renverser Castro, mais l’expédition de la « Baia dos cochones », la « Baie des Cochons » en 1961, tourna à la catastrophe. Le « parrain » américain des révoltés cubains laissa tomber ses protégés qui finirent, pour les plus chanceux, dans les geôles castristes de l’île des Pins, au grand dam des exilés de Floride. Déjà, à cette époque, les pénuries de produits courants commençaient à pointer leur nez, et l’embargo US n’arrangeait rien.
D’années en années, les files s’allongeaient devant des magasins aux rayons quasiment vides, comme dans la Roumanie de Ceausescu. Le système monétaire reposait sur deux jambes, le péso local et le dollar, quasi officiel, la monnaie de l’ennemi ! Les Cubains, qui voulaient s’acheter des chaussures ou des vêtements corrects de marques étrangères, devaient solliciter la complicité des touristes pour pouvoir s’approvisionner dans les seuls magasins réservés à ces derniers, le tout payé avec les billets « verts », bien sûr ! Vingt ans après la « geste » du Movimiento 26 de julio et du yacht Granma, à bord duquel Castro avait clandestinement quitté les côtes mexicaines pour débarquer dans l’Oriente, ça « tournait vinaigre » à La Havane.
Une île sous écrou, le troc avec les Soviétiques !
Les Cubains n’avaient pas encore reçu l’autorisation d’ouvrir leur maison à des étrangers afin de pouvoir y faire une sorte d’activité « bed and breakfast » pour améliorer l’ordinaire. Les chauffeurs de taxi acceptaient, en douce, de se faire payer la course en monnaie étrangère, le Dollar de préférence, et se cachaient littéralement le visage au moment de la transaction. Ambiance ! On ne risquait pratiquement aucune agression, rien, un policier en uniforme étant de garde statique, tous les cinquante mètres. C’était et c’est là, le seul avantage d’une dictature pour un touriste. Cuba a toujours eu la réputation d’avoir un bon système de santé. Vrai ou faux, elle a exporté ses médecins un peu partout dans le tiers-monde, histoire de se faire de la « pub » à bon compte. Le régime castriste, un autre rare bon point, fut de faire accéder le pays à un bon niveau scolaire. Vous me direz, comparé à celui de la France, il n’y a pas un grand mérite au classement Pisa !
L’île caraïbe vendait son sucre à l’URSS à un prix supérieur au marché, et cette dernière lui vendait du carburant en dessous du prix du marché. En échange de quoi ? Cuba fournissait la chair à canon alimentant les entreprises guerrières des Soviétiques, notamment en Afrique. Comme beaucoup de Cubains sont noirs ou mulâtres, les Russes pensaient que les Cubains seraient mieux acceptés qu’eux ou que leurs complices est-allemands par les populations locales. Un calcul qui ne s’est pas avéré tout à fait juste, notamment en Angola. Là aussi, si les Américains avaient joué le jeu de la carte occidentale, au lieu de laisser tomber les Sud-Africains qui y menaient une vaste offensive à partir de la Namibie, - coordonnée avec les milices de l’UNITA de Jonas Savimbi -, ce vaste pays lusophone où la crème de la colonisation portugaise s’était échinée, ne serait pas tombée entre les mains des marxistes. Bref, ne refaisons pas l’histoire, mais nombre de cercueils revenaient au pays de la rumba et du mambo. L’aventure « néo-coloniale » du satrape Castro commençait à coûter cher à Cuba. La population murmurait : cette guerre « anti-impérialiste » conduite par procuration au bénéfice du « Grand frère »,ne faisait pas les affaires du petit peuple. Cette partie de la population hostile au communisme ne pouvait pas faire grand-chose, chaque quartier, chaque maison étant encadrée par des membres des CDR, les Comités de défense de la révolution. C’est à dire un mouchard qui notait tout, les va et vient des uns et des autres, - qui venait, qui sortait -, bref, une espionite aigue à grande échelle, une malsaine activité qui n’a pas cessé un seul jour.
L’éruption !
C’est tout ça qui est ressorti, qui a explosé les semaines dernières, avec le manque de victuailles et de perspectives d’avenir. Sans le communisme, Cuba pourrait être une île riche, largement capable de rivaliser avec la République Dominicaine au plan touristique, pouvant mieux exporter ses produits tropicaux, son tabac, installer des « maquilladoras » comme au Mexique… Bref retrouver, à terme, le niveau de vie qu’elle avait AVANT, quoique l’on puisse dire du régime corrompu et délictueux de Batista. Il est vrai que sous son règne, La Havane, c’était la ville des tripots, de la prostitution et des gangsters américains. Pourtant cette dictature assurait, tout de même, un assez bon niveau de développement à l’île. Laquelle était, dans les années cinquante, classée parmi les pays d’Amérique latine, - avec l’Argentine et le Venezuela -, en tête du peloton. Avec la chute de l’URSS en 1991, tous les avantages marchands que tirait Cuba de ses relations avec la grande Russie, sont allés progressivement dans le panier des souvenirs « heureux », même si Moscou entendait conserver Cuba comme un pion dans le jeu qui l’oppose aux États-Unis. Obama, au grand dam des exilés cubains de Floride, avait reconnu le gouvernement communiste et ouvert une ambassade dans l’île. Actuellement, il semble que Jo Biden lève progressivement les sanctions qui pourrissent la vie des îliens. Ce qui n’a pas fait baisser pour autant la pression dans la marmite. Mais tout de même, la levée progressive de l’embargo et la fourniture de pétrole iranien ou vénézuélien, va desserrer un peu l’étau qui étreint La Havane.
Mais le peuple cubain en a assez de cette dictature qui ne lui offre aucune perspective d’avenir, pas plus que du pain. Les pièces détachées des « belles Américaines » qui font la fierté des Cubains, manquent, et les transports en commun, dans certains endroits, ont eu recours aux chevaux ! Il n’y a aucun espace de liberté, les gens qui ont pu fuir ne reviendront pas et, grâce à leurs dons, mettent sous perfusion les membres de leur famille restés au pays. Les camps de prisonniers sont plus abondants en locataires que les produits de première nécessité dans les épiceries ou les pharmacies. Les tickets de rationnement, plus d’un demi-siècle après la révolution, sont toujours de mise. La pandémie, - qui n’est certes pas du fait du régime -, assèche le tourisme qui amenait des devises. Donc, des milliers et des milliers de Cubains sont descendus dans la rue pour manifester contre le pouvoir. Ce dernier n’a pas fait dans la dentelle, faisant tirer ses troupiers à balles réelles, et invitant ses partisans à contremanifester. Des morts, des arrestations, de quoi rafraichir l’ardeur protestataire.
Le nazisme a disparu, mais le « cadavre » communiste bouge encore !
Et dire qu’il y a encore, dans la France de 2021, des gens pour se réclamer du marxisme. Il y a même un olibrius qui veut se présenter à l’élection présidentielle sous l’égide du parti au marteau et à la faucille ! Au fou ! On avait pu penser qu’avec la mort de Fidel Castro en 2016, son remplacement par son frère Raoul, puis la démission de celui-ci en 2019 au bénéfice de Miguel Diaz Canel, - un apparatchik du Parti communiste cubain, le PCC -, l’étreinte mortifère allait se relâcher. Que nenni, le visage des dirigeants changent peut-être, mais la matière est la même, la pâte dont ils sont faits est identique. Et le pire pour nous, est de voir en Occident des jeunes crétins porter un t-shirt à l’effigie de Che Guevarra, ce tueur congénital, que Castro avait expédié au Congo ex-belge et en Bolivie pour exporter sa révolution. Il finit comme il avait commencé, dans la violence, à savoir, tué comme un chien par des rangers dans la selva bolivienne. Tout a été faux dans cette révolution cubaine frauduleusement nimbée d’un halo de « romantisme ». Il n’y a eu rien de « romantique ». Ce n’était pas Lamartine en 1848 ! Fidel Castro a trompé son monde. Et certains fidèles l’ont quitté. Bien mal leur en pris, comme Hubert Matos ou Camilo Cienfuegos, fidèle parmi les fidèles, qui périt mystérieusement en octobre 1959, dans un étrange accident d’avion**. Si dans « le cochon tout est bon », comme le dit un dicton populaire, dans la révolution cubaine tout, ou presque, est à rejeter.
* Ce qui explique l’étrange complicité entre une Espagne franquiste à la tête de laquelle régnait un certain général Franco, lui-même Galicien, et un satrape communiste d’ascendance galicienne !
** « L’avion, ce mystérieux tueur de célébrités » à L’atelier Fol’Fer, et « Pronunciamiento sous les tropiques, » éditions Dutan/Dualpha, du même auteur.
11:22 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |