Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

dimanche, 28 mars 2021

Eric Zemmour : « Comme Michel Onfray, cela fait des années que je dis que l’on va vers la guerre civile »

Eric Zemmour : « Comme Michel Onfray, cela fait des années que je dis que l’on va vers la guerre civile ». Excellent débat vendredi 26 mars sur Cnews entre Éric Zemmour et Michel Onfray sur la décadence française.

x1080.jpeg

Source Breizh info cliquez ici

12:15 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 27 mars 2021

Ce que disent les « violences des jeunes »

violence.jpg

Alain Sanders

Verdun, Aulnay, Bobigny, Argenteuil, Dijon, Nîmes, Reims, Nantes, Rennes, Tours, Montargis, Blois, Lyon et ses zones de non-droit, Marseille et ses zones de non-France, déjà certains arrondissements de Paris, etc.: il n'est désormais guère de villes de France qui ne soient le théâtre - et parfois quotidiennement - de ce que les médias, qui pratiquent la langue de B(l)ois, appellent des « violences de jeunes ».

Récemment, et à propos de Blois justement, Présent titrait plus précisément sur les « violences ethniques ». C'est exactement de cela qu'il s'agit. A une écrasante majorité - et les policiers, et les médias, et les politiques le savent parfaitement, mais se taisent (par crainte d'être montrés du doigt ou par idéologie complice) - ces violences de plus en plus violentes (on tue désormais) sont le fait de « jeunes » issus de l'immigration. Et pas de l'immigration finlandaise, uruguayenne, népalaise,mais maghrébine et subsa­ harienne. Si on ne dit pas ça, on ne dit rien.

Les chaînes d'info continue, qui traitent de ces « incidents » dans les « quartiers sensibles », ne soulignent bien sûr jamais cette surreprésentation extra-européenne. Ce qui ne trompe personne : les images des reportages parlent d'elles-mêmes.

Dernièrement je regardais, sur l'une ou l'autre de ces chaînes, un reportage énamouré sur - je cite - « la brigade des daronnes » de Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne). A savoir un petit groupe de six ou sept femmes, d'origine maghrébine et africaine, certaines vêtues « comme là-bas, dis », patrouillant pour inviter les « jeunes » du quartier à ne pas traîner, notamment après le couvre-feu. On les verra croiser quatre ou cinq de ces « jeunes » évidemment respectueux des « daronnes » et sages comme des images... Bref, un foutage de gueule à usage de bobos cathodiques... Il n'empêche que l'animateur et ses invités vont s'extasier sur ces «daronnes» (où sont leurs maris ? Mystère...), ne trouvant pas de mots assez forts pour dire leur admiration et patin et couffin...

Naguère, on nous a fait le coup des « GrandsFrères » (et des associations gavées de subventions) qui allaient, wallah, canaliser les « minots ». Non seulement ces « Grands Frères » n'ont rien canalisé, et tout au contraire, mais certains d'entre eux ont utilisé la piétaille des plus jeunes comme choufs, mulets, exécuteurs de basse œuvre.

On interroge un responsable d'association à Garges-lès-Gonesse ? Il est d'origine maghrébine. On interroge un autre responsable d'association à Trappes ? Il est d'origine maghrébine. Un responsable d'association dans les quartiers Nord de Marseille ? Il est d'origine maghrébine. On interroge un travailleur social dans l'Essonne ? Il est d'origine maghrébine. Et celui-là impute sans hésiter les violences au virus : « Il faut comprendre, on interrompt les clips de rap qu'ils tournent d'habitude...».

Sur les plateaux des chaînes d'info continue, les présentateurs, les consultants, les consultés, les experts autoproclamés, la ribambelle de médecins (qu'on préférerait voir à leurs postes et qui squattent les plateaux, donnant péremptoirement leur avis sur tout et le reste), les Bilger, les Dassier, les Zeribi, les Béglé, les Dartigolles, les Philippe Guibert (roi des faux derches), les Barbier, les Duhamel, les Laurence Saillet (la pire de tous), les Domenach, les Douste-Blazy, les Jeudy, etc., se lamentent (« Quel drame cette jeunesse à la dérive », « Ah, c'est bien triste», « Le couvre-feu exacerbe les passions », «Mais quelle solution ? », etc.). Sans jamais nommer le  mal. Et en préconisant des trucs vieux comme Hérode (et qui ont sombré dans le ridicule), comme le déploiement de médiateurs et d'éducateurs sociaux (là, va savoir pourquoi, ils n'emploient pas le féminin: médiatrices et éducatrices)...

Ils répètent aussi à l'envi que lorsque les « jeunes » ne s'en prennent pas à la police (et à tout ce qui représente la France et ses institutions), ils tapent la misère aux populations des zones de non-droit, pourtant leurs coreligionnaires et congénères. Ce n'est pas faux. Et ça va désormais plus loin que des voitures incendiées. A Bondy (Seine-Saint-Denis), le 26 février dernier, dans la maison de quartier Nelson-Mandela (tout un programme...), Aymen, 15 ans, est tué par balles. On a arrêté Walid, 17 ans, et son frère, Mohammed, 27 ans. Ce dernier, dealer notoire, a un lourd passé judiciaire, mais si vous interrogez ses voisins, sa sœur, Fatiha, Karim, son oncle, ils vous disent qu'il était « gentil, tranquille, sans histoire»...

Vous n'en avez pas marre de ces « incidents » qui encombrent nos infos et de ces violences qui sont étrangères à notre civilisation et à nos mœurs ? Moi, si.

Source : Présent 25/03/2021

16:10 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Journal du chaos

couv nn.jpg

Pour télécharger, cliquez ICI

07:09 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 26 mars 2021

Acharnement judiciaire contre Jacques Bompard, maire d'Orange

165405014_4147557655276490_8404139377201690437_o.jpg

Un communiqué de Jacques Bompard, maire d'Orange 
 
Voici le commentaire à chaud de mon avocat que je partage avec vous concernant l'arrêt de la Cour d'appel de Nîmes.
 
Sachez que j'ai la conscience nette. Je tiens particulièrement à souligner que nul ne m'a jamais reproché dans cette procédure un quelconque enrichissement personnel ou un quelconque détournement de fonds publics. La commune d'Orange, dont j'ai réussi avec mon équipe à résorber l'entièreté de la dette, n'a pas eu à souffrir la perte d'un seul euro à cause de moi. Il est bon que la confusion entretenue par le chef de "prise illégale d'intérêts" soit clairement dissipée.
 
Je m'expliquerai en toute franchise et en toute transparence très vite devant les Orangeois. Seul leur jugement m'importe aujourd'hui et pour l'avenir.
 
Je remercie d'ailleurs tous ceux qui me témoignent de leur sympathie et de leur affection depuis 24 heures.
 
Site de Jacques Bompard cliquez ici

16:51 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Cette liberté dont on se gargarise

6a00d8341c715453ef026bdec68bd1200c-320wi.jpg

Jean-Gilles Malliarakis 

Le 18 mars, le glorieux Conseil supérieur de l'audiovisuel, que le monde nous envie, communiquait à la presse et au monde à propos de la décision qu'il venait de prendre, de sanctionner la chaîne CNews.

Voici le texte de ce document qui n'a peut-être pas reçu la publicité qu'il mérite et que ses rédacteurs attendaient : 

"Au terme de la procédure engagée à la suite de propos tenus au cours de l'émission Face à l'info du 29 septembre 2020, le Conseil supérieur de l'audiovisuel a prononcé ce jour une sanction d'un montant de 200 000 € à l'encontre de la chaîne CNews.

Le Conseil a considéré que la chaîne avait manqué à ses obligations, tant au regard de la loi du 30 septembre 1986 que de sa convention. Quand bien même ces propos ont été tenus dans le cadre d'un débat en lui-même légitime sur la politique d'accueil des mineurs étrangers isolés en France et sur la politique d'immigration, ils ont été de nature à inciter à la haine envers les mineurs étrangers isolés, et ont véhiculé de nombreux stéréotypes particulièrement infamants à leur égard, de nature à encourager des comportements discriminatoires. Par ailleurs, le Conseil a estimé que la maîtrise de l'antenne n'avait pas été assurée, d'autant plus que l'émission a été diffusée en différé et sans modification, ainsi que l'a souligné le comité d'éthique du Groupe Canal + dans son avis rendu le 22 octobre 2020.

De manière générale, la loi du 30 septembre 1986, loi de liberté, affirme et protège la liberté de communication et la liberté éditoriale des médias audiovisuels. Garant de ce principe reconnu par la Constitution, le Conseil supérieur de l'audiovisuel veille scrupuleusement au respect de cette liberté consubstantielle à la démocratie. À cet égard, il est naturel que les débats qui traversent la société trouvent toute leur place dans les médias audiovisuels, y compris sous une forme polémique.

Néanmoins, la loi fixe des limites à l'exercice de cette liberté. Elle exige, en particulier, que les programmes mis à la disposition du public ne contiennent ni incitation à la haine ou à la violence fondée notamment sur les origines, la religion ou la nationalité. Conformément à ses missions, le Conseil ne manquera pas d'intervenir chaque fois que ces limites seront franchies."

Fermez le ban. Fin de citation…

Il s'agissait d'une émission d'Éric Zemmour, l'une des têtes de Turc de l'islamo-gauchisme, ce qui n'apparaît pas dans le texte du communiqué.

S'agit-il d'une décision de "justice", décision que, dans ce cas, on n'aurait pas le droit de commenter, et que le CSA, institution créée par Mitterrand et que Jean Ferré appelait le Contrôle socialiste sur l'audiovisuel, serait habilité à prendre ? Ou faut-il ne voir qu'une décision d'injustice ayant vocation à être effacée en appel ?

L'avenir le dira. Mais ce que l'on doit retenir c'est la volonté de frapper à la caisse, à hauteur de 200 000 euros, le prix d'une gentille maison, une chaîne dont le journaliste vedette déplaît au politiquement correct.

Un tel message parfaitement clair confirme un travail auquel s'est récemment livré votre chroniqueur pour la revue Lectures françaises, à paraître prochainement sur le thème Feue la liberté d'expression.

Peut-être faudra-t-il bientôt défiler en scandant "Nous sommes tous Zemmour", que nous approuvions ou non toutes les déclarations de l'intéressé. Sans doute faudra-t-il se battre pour abolir les lois scélérates qui permettent à des aréopages opaques de quadriller les médias et de tétaniser les journalistes.

En tout cas nous devrons de plus en plus nous méfier de la trilogie républicaine de Liberté, Égalité, Fraternité qui, comme chacun sait est aussi la devise du grand orient de France, taguée sur toutes les prisons

L'Insolent cliquez ici

15:57 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

TROIS QUESTIONS À JEAN-CLAUDE ROLINAT À PROPOS DE SON LIVRE SUR CHYPRE 

couv Chypre 600.jpg

Propos recueillis par Basile Tomé

Erdogan a refait parler de lui à l’occasion du financement par la municipalité de la grande mosquée de  Strasbourg. Cela vous étonne-t-il ?

Pas du tout, la Turquie islamiste néo-ottomane sous la houlette de l’AKP, le Parti de la justice et du développement, sorte de synthèse entre le nationalisme turc et l’islamisme, développe une politique impérialiste. La Turquie est présente en Syrie pour contenir le Rojava kurde et, de temps en temps, pour combattre les commandos du PKK réfugiés au Kurdistan irakien, sans oublier sa présence en Libye ou elle aide Tripoli à lutter contre l’Armée nationale libyenne du maréchal Haftar, ainsi qu’en Méditerranée orientale où sa marine joue un jeu dangereux. De plus, elle a aidé d’une façon décisive l’Azerbaïdjan à se débarrasser, si je puis dire, partiellement, des Arméniens chrétiens dans le Haut-Karabakh.

Revenons plus particulièrement sur la Méditerranée orientale. Quel est son jeu trouble dans sa revendication des eaux territoriales de la mer Égée et sa présence dans le tiers nord de Chypre qu’elle a érigé en République turque de Chypre du Nord ?

La Turquie est une menace pour la Grèce, et sa candidature à la porte de l’Union européenne est une insulte au droit. En effet, voici un pays qui voudrait adhérer à une association d’États alors qu’elle occupe un tiers de la superficie de l’un de ses membres !

Parlez-nous  alors, plus particulièrement de Chypre, objet de votre livre, Chypre l’épine turque dans le talon européen, publié aux éditions des Cimes ?

Vaste île de la Méditerranée, Chypre est au carrefour de toutes les civilisations qui ont émergé dans la région : la Grèce antique, les Croisés, les Musulmans, les Britanniques…Elle se trouve actuellement au centre d’enjeux ethniques, militaires, géopolitiques et civilisationnels importants. Partagée en 1960, - dans la violence-, entre Grecs et Turcs, elle est la cible de l’appétit vorace du néo Sultan qui voudrait ressusciter la puissance impérialiste de la Sublime porte ottomane. En reprenant l’histoire de cette île d’Aphrodite qui a tout pour plaire aux touristes, je tente de présenter d’une façon vivante et sans détour, la problématique d’une crise qui risque, prochainement, d’éclater « à chaud ». Les nouvelles ressources énergétiques sous-marines découvertes entre les côtes grecques, turques, chypriotes et celles des pays du Levant, risquent d’attiser les tensions et les revendications des uns et des autres. Je reviens d’une façon synthétique sur l’histoire récente et animée de la Turquie contemporaine qui soutient à bout de bras la République turque de Chypre du nord (RTCN), un État qui n’est reconnu, et pour cause, que par la seule Turquie.

Chypre, l'épine turc dans le talon européen, Jean-Claude Rolinat, Editions des Cimes, 233 pages, largement illustré de photos couleurs, 20 euros…

Le commander cliquez ici

15:50 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Au loup...

banderole af.jpg

Le billet de Patrick Parment

Deux militants du mouvement royaliste d’Action française ont pénétré dans l’hémicycle du conseil régional d’Occitanie, à Toulouse, dirigé par la socialiste Chantal Delga - dont la succession aux prochaines régionales n’est pas assurée -, en brandissant une simple banderole. Il n’en fallait pas plus pour que tous les sicaires de la classe politique se mettent d’un coup à hurler au loup ! L’occasion était trop belle !  

Mais au fait de quel délit majeur se sont rendus coupables nos deux valeureux chevaliers ? Ils ont simplement brandi une banderole sur laquelle on pouvait lire « islamo-gauchistes, traîtres à la France ». Le service d’ordre est intervenu et les pandores ont embarqué les deux intrus.

Une bonne occasion pour la présidente socialo Chantal Delga, fonctionnaire territoriale de profession, de se ridiculiser en beuglant « condamner fermement cette action violente (?) de la part de militants d’extrême droite ». Et d’ajouter qu’elle allait porter plainte. Mais contre quoi ? Brandir une banderole ! Quel acte fascisant en effet ! Et d’ajouter, car le ridicule ne tue pas, « On sent en France qu’il y a un climat très tendu. On est en train de créer une société d’ennemis. Je crois qu’il va y avoir une escalade avant la présidentielle ». Ah bon, mais qui en est responsable ? Certainement pas nos deux brandisseurs de pancarte. Faut pas aller loin pour trouver la réponse !

Là où l’affaire se corse, c’est qu’Emmanuel Macron, notre bien chancelant président, a trouvé bon de s’en mêler, sur l’air de pin-pon-pin-pon : « En envahissant le conseil régional d’Occitanie, l’extrême droite a une nouvelle fois montré son vrai visage : action violente, volonté de bâillonner la démocratie et de diviser les Français » Nos deux chevaliers peuvent être fiers d’avoir bâillonné à eux seuls la démocratie. Le problème, c’est qu’elle est toujours debout et toujours aussi malade ... et pas que du covid-19 !

Il n’en fallait pas plus pour que la cohorte des pleureuses démocratiques y mêlent leur voix de fausset. Le maire de Toulouse, le LR Jean-Luc Moudenc, a condamné « fermement » comme il se doit. Xavier Bertrand – l’assureur du Nord - qui bêle « c’est à la démocratie que ces militants d’extrême droite s’attaquent ». Ou encore le sieur Jean-Luc Mélenchon qui confirme bien sa tendresse pour les islamistes en déclarant : « C’est signé Macron, Darmanin, Schiappa, Olivier Faure et autres chasseurs d’islamo-gauchistes ». Avec Mélencchon, ce qui est bien, c’est qu’il fout tout le monde dans le même sac !  Mais le plus surprenant dans cette affaire, du moins en apparence, c’est la réaction de la mère Marine Le Pen qui a joint sa voix à celle de ceux que l’on pensait être ses ennemis… politiques bien sûr ! Ben non. Elle aussi joue les pleureuses, via son candidat aux régionales sur place, Jean-Paul Garraud, qui a dénoncé cette intrusion « inadmissible ».

Rien de nouveau sous le soleil, me direz-vous. Mais au lieu de chasser les Black Blocs autrement plus violents que nos deux braves militants royalistes, la classe politique montre une fois de plus son immense désarroi face à un Rassemblement national qui ne cesse de confirmer qu’il est bien, avec les abstentionnites, le premier parti de France. De son côté Marine Le Pen confirme une fois de plus qu’elle n’est pas en phase avec sa base militante, autrement plus radicale et qu’incarnait bel et bien, son père, Jean-Marie. Une fois de plus, le grand cocu de l’affaire, le peuple français dont le seul et unique défenseur est bien cette extrême droite que tous ces faux démocrates ne cessent de dénoncer. Et pour cause !

10:39 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 25 mars 2021

Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

16:38 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Manger... un sujet très politique !

malbouffe_gallerylarge.jpg

Le pays de la gastronomie n’échappe pas à la logique consumériste des industriels de l’agroalimentaire qui au nom du profit… nous empoisonnent. Certes, l’Etat et son Office central de répression des fraudes, malgré ses faibles effectifs, tente de faire son boulot. Mais on comprend mal pourquoi – ou plutôt on ne comprend que mieux - les grandes officines de l’agroalimentaire ne sont pas mieux contrôlés. Récemment encore, Lactalis a été sous le feu des projecteurs, le lait qu’il commercialise est dénué des propriétés qui font sa valeur nutritive… au nom de sa conservation et pour éliminer les pertes. Peu de domaines échappent à la fraude, du poisson à la viande en passant par les produits bio. C’est ce que dénonce cet ouvrage salvateur, Manger du faux pour de vrai (Robert Laffont ed.), d’Ingrid Kragl, directrice de l’ONG Foodwatch France. Voici un ouvrage qui devrait ravir Périco Légasse, le journaliste de Marianne ardent défenseur des terroirs et du meilleur de ce que produisent encore nos paysans. Sujet politique disions-nous ! Oui, parce que la bonne santé du peuple passe d’abord par une alimentation saine, malheureusement sacrifié sur l’autel du profit par les satrapes de l’agroalimentaire. Quand ce n’est pas avec la complicité des politiques…

Lire l’article du Parisien ICI

12:00 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 24 mars 2021

L'émission "Synthèse" avec Thomas Ferrier sur TV Libertés

Thomas Ferrier est un militant européen. Même s’il connaît parfaitement la législation européenne, il n’est pas pour autant un thuriféraire du "machin bruxellois". Sa conception de l’Europe repose plus sur des réalités civilisationnelles que sur des considérations économiques et technocratiques absconses. De plus, passionné par les différents courants idéologiques qui ont traversé notre continent au cours du XXe siècle, il vient de publier une étude intitulée "Fascismes d’Europe" (éditions Synthèse nationale, collection « Idées »). Dans cet entretien avec Roland Hélie, Philippe Randa et Pierre de Laubier, il développe son point de vue sur la question européenne.

Pour se procurer "Fascismes d’Europe" : cliquez ici

Pour suivre la chaine du Professeur cliquez là

RL Annonces copie 8.jpg

22:42 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le colloque de l'Iliade, initialement prévu pour le 10 avril, est reporté au samedi 29 mai prochain

affiche_684302.thumb53700.1613508780.png

Les mesures gouvernementales restrictives actuellement en place ne nous permettent plus de tenir notre manifestation à la date, initialement prévue, du 10 avril. Ayant anticipé ce contretemps, nous reportons le colloque au samedi 29 mai 2021, aux mêmes horaires et avec le même programme. 

Si vous avez déjà acheté votre billet, il reste valable pour cette nouvelle date

VIII° colloque de l'Institut Iliade, samedi 29 mai 2021 de 10h00 à 18h30. Maison de la Chimie, 28 rue Saint-Dominique 75007 Paris.

À la faveur des bouleversements du « Siècle de 14 », les valeurs d’argent ont progressivement subverti les hiérarchies traditionnelles, fondées sur des critères éthiques et la notion de bien commun : sens de l’honneur, courage, exigence d’excellence, amour du beau, respect du sacré, fidélité aux siens et à la patrie. Tout ou presque est devenu marchandise, y compris ce qui n’a pas de prix. Il en résulte pour les peuples une aliénation et une perte d’identité qui prennent des formes multiples : conception de la « vie bonne » remplacée par la consommation frénétique, identités réduites aux marques que l’on porte et aux caprices individuels, disparition des anciens métiers au profit de « bullshit jobs » sans signification, destruction ou effacement de tout ce qui n’a pas d’utilité marchande immédiatement quantifiable : patrimoine, paysages, structures familiales, cultures et nations.

En savoir plus cliquez ici

22:41 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Squat de St Julien des Points : les provocations squatteresques continuent

image003.jpg

Un communiqué de la Ligue du Midi

Les squatters de Saint Julien des Points avaient prévu de manifester ce samedi 20 mars à proximité du squat, mais cette fois-ci sur la commune de Ste Cécile d’Andorge située côté Gard, de l’autre côté du pont. Ils avaient battu le rappel de tout leur cousinage du sud de la France jusque dans le Var.

Evidemment comme la Ligue du Midi l’affirmait depuis une dizaine de jours, les antifas-squatters professionnels ne pouvaient pas laisser passer l’aubaine que constitue à l’entrée de la commune l’ancien hôtel « chez Vivi » qui est symétrique à « l’Hôtel des Cévennes ».

La Ligue du Midi, très à l’aise dans son rôle de lanceur d’alerte avait mis tous les acteurs devant leurs responsabilités. Aussi c’est sans surprise que nous avons appris qu’à la première heure, samedi matin, une vingtaine d’ouvriers, -mandatés par le maire Pépin de Ste Cécile-, a muré à l’aide de mortier et parpaings les 25 ouvertures de l’hôtel en déshérence.

Evidemment tout cela a un coût… il est estimé à 15 000 euros auxquels il convient d’ajouter le cordon de gendarmes mobiles qui ont attendu sagement que le ciment fasse sa prise. Aux dernières nouvelles il semblerait que la mairie ait pu trouver une solution qui évitera à la commune de supporter cette dépense. En tous cas, ce n’est pas la préoccupation des fainéants-crasseux qui se soucient des finances publiques comme de leur premier pétard.

Enjambant les clôtures, pénétrant dans les jardins, faisant fi de la propriété privée, les squatters n’ont pas tardé (comme d‘habitude) à se faire détester jusqu’à ce qu’ils tombent face à une troupe de gens du cru qui effectuaient une ronde destinée à empêcher les chapardages et les incursions dans les écuries. L’échange fut bref, mais musclé ce qui prouve que dans les Cévennes on sait encore pratiquer la distribution de « marrons ». Les plus impertinents des paysans ont même oser affirmer que la traversée du ruisseau de l’Andorge restera dans les mémoires, comparable au passage de la Bérézina 

Comme l’a dit un vieux cévenol, témoin attentif de cet échange, « les plus courageux qui, au lieu de rester bien au chaud à l’abri des gendarmes (*) ont tenté de rejoindre leur squat y ont laissé leur nez, leurs arcades et même leurs c…s mais surtout leur dignité. »

La Ligue du Midi met en garde les autorités contre tout laxisme vis-à-vis des squatters qui ont pour objectif final la constitution au confluent des départements de la Lozère et du Gard d’une Zone A Défendre (ZAD) dans le style de Notre-Dame des landes. Si une telle abomination devait advenir on peut être assurés que la Ligue du Midi, assumerait sa part de défense, sur le terrain, de cette terre des Cévennes.

La Ligue profite de ce communiqué pour préciser qu’en raison de la tenue le samedi 20 mars d’une séance de formation à Montpellier, elle n’a pas contribué à la « Bérézina » des crasseux, mais qu’elle le regrette vivement.

Certains journalistes relayent sans les vérifier des énormités telles que : « les squatters pratiquent « la propriété d’usage » ou bien « nous voulons remettre les lieux en état de propreté » (**)…  Avant de diffuser de telles sottises, ils feraient bien de se rapprocher de nos porte-paroles afin de vérifier l’information à la source. Pour l’instant on notera, que cette parole est réservée à 100% aux milices d’ultra-gauche.

Notes

(*) Les anarchistes, contrairement à ce qu’on pourrait penser adorent les gendarmes et l’Etat surtout quand ils chouinent

(**) Pour vous donner une idée de l’état des lieux après le passage des crasseux, voir les photos après leur départ du barrage de Sivens.

La Ligue du Midi cliquez ici

22:31 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le nouveau numéro de Réfléchir et Agir est sorti

164552595_299900098204775_9053703624952256461_o.jpg

En vente chez votre marchand de journaux

22:25 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vincent Vauclin (MND) invité sur Radio Courtoisie samedi 27 mars

ExPIwVYWEAA7wbw.jpg

20:42 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Foutu virus !

Le billet de Patrick Parment

On a beau allez de confinement en couvre-feu, ce foutu virus ne semble pas devoir reculer. Il crée même le désarroi au sein des gouvernements. Et notre plus grand handicap dans cette affaire est que les Européens n’arrivent pas à élaborer une stratégie commune. L’Italie enchaîne les confinements. L’Espagne relâche la pression dans ses régions majeures comme Madrid ou la Catalogne, faute de pouvoir indemniser ses commerçants et restaurateurs.  Angela Merkel met son pays sous cloche pour les fêtes de Pâques. La Suède continue son voyage solitaire en ne confinant pas, faisant simplement appel à la discipline de ses concitoyens. Au Royaume-Uni, on vaccine à tour de bras.

En France, le gouvernement nous fait surtout part de ses hésitations disant tout et le contraire de tout et au final n’importe quoi. Macron, qui tient compte du ras-le-bol ambiant, nous confine sans confiner. Jean Castex, à la rigolade générale, invite les Français à sortir mais surtout à n’inviter personne chez eux. Car la contamination, on le sait, se fait en espace clos. Mais les écoles restent ouvertes. On interdit les déplacements interrégionaux, mais les TGV sont bondés permettant du virus de se balader itou.

Et puis et puis il y a les suspicions concernant le vaccin AstraZeneca. Les témoignages contre ce vaccin, en raison de ses trop nombreux effets secondaires, affluent de toute part. Comme par hasard l’Europe vient de confirmer son « efficacité », un peu rapidement à mon goût, et cela respire le travail des lobbies et les enjeux économiques en cause dans cette affaire. Si Pfizer et Moderna semblent – a priori – efficaces, il en va de même semble-t-il avec le Spoutnik-V russe. Mais pour des raisons politiques, l’Europe, à la botte de Washington, ne semble pas pressée de l’homologuer tant elle souscrit à la guerre que mènent les Américains contre la Chine et la Russie. Joe Bidet ne vient-il pas de traiter Vladimir Poutine de « tueur » ! Passant ainsi sous silence les catastrophiques interventions militaires américaines qui ont fait la ruine des pays concernés tels l’Afghanistan, l’Irak, la Syrie. Combien de morts, mister Joe Bidet ?

Enfin, mon scepticisme est grand, dans la mesure où l’on sait qu’élaborer un vaccin demande des années de recherches et d’études et que malgré les sommes englouties depuis des décennies on n’a toujours pas trouvé un remède au sida. En attendant, on a toujours cette épée de Damoclès au-dessus de nos têtes avec ce foutu virus. Car on ne sait toujours pas quel est l’impact réel des différents vaccins sur son recul, si recul il y a. Si l’on part du principe que les vaccins – hormis l’AstraZeneca – ne peuvent pas nous faire plus de mal qu’un vaccin contre la grippe, allons-y, même à reculons. Mais on peut se dire aussi que « les autres » étant vaccinés, inutile d’aller à l’abattoir.

13:37 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 23 mars 2021

Nouvelle barbarie

konk.jpg

Laurence de Charette

Rixes mortelles, batailles armées, passages à tabac sanglants, professeurs attaqués… La simple chronique de l’activité policière ne laisse aujourd’hui plus de place aux discours euphémisants qui nous tiennent lieu de cache-sexe depuis tant d’années. Quoi qu’en dise le garde des Sceaux, la violence des mineurs a franchi un seuil que les professionnels décrivent avec la triste précision des témoins de terrain. Après le meurtre d’Alisha, après le lynchage du jeune Yuriy, après les nuits d’émeutes urbaines à Blois, après, après... Ils font un triple et terrible constat.

D’abord, la violence gangrène des adolescents de plus en plus jeunes, elle s’enracine dès la sortie de l’enfance et souvent avant. Rien, ensuite, ne semble à même de l’endiguer : elle a, en réalité, changé de nature. Confrontés à des agresseurs dénués de culpabilité ou d’empathie envers les victimes, dépourvus de cette ultime limite intérieure qui seule peut retenir le bras de celui qui ne s’inscrit plus dans l’ordre de la loi, les éducateurs, à court de mots, ne parlent plus de «violence », mais d’« ultraviolence ». Cette nouvelle barbarie qui s’est engouffrée dans l’effondrement de toute notion d’autorité et la faillite de nos politiques d’intégration constitue, sans nul doute, l’un des phénomènes sociaux les plus inquiétants de notre temps.

Enfin, elle fait l’objet d’une incompréhensible impunité ! Le Parlement vient d’adopter une énième réforme de la justice des mineurs, cette justice hérités d’autres temps, tellement attachée à l’excuse et si peu à la sanction, dont le laxisme est aujourd’hui largement instrumentalisé par les mineurs et les réseaux qui les utilisent. Il faudrait en espérer quelques progrès…

Car il n’est plus possible d’ignorer – sous peine de les voir s’étendre rapidement - les ravages de cette délinquance protéiforme qui fertilise le terreau de la radicalisation et déstabilise l’école, désormais soumise, comme toute la société, à ses attaques mortifères. Inutile de nous bercer d’illusions : la bataille n’est pas gagnée, tant sont nombreux et profonds les aveuglements et les renoncements qui la précèdent.

Illustration : dessin de Konk

Source : Le Figaro 23/3/2021

11:06 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les variations de la Ligue

salvini.jpeg

Georges Feltin-Tracol

Il faut revenir sur le soutien officiel qu’apporte la Lega de Matteo Salvini au gouvernement de Mario Draghi. On ne doit cependant pas oublier que la vie politique italienne riche en exemples transformistes (le passage d’élus d’un camp à un autre) s’apparente à une comedia dell’artepermanente.

Malgré l’impulsion dans un sens national-souverainiste donné par le secrétaire fédéral Salvini, la Legademeure foncièrement un mouvement fédéraliste qui garde en son sein des tendances composites. Avant de devenir le chantre de la cause du Pô, Umberto Bossi était proche de l’extrême gauche. Sa rencontre avec les autonomistes francophones du Val d’Aoste, par ailleurs disciples du philosophe suisse Denis de Rougemont, l’ancien non-conformiste des années 30, est cruciale dans son itinérairepolitique. Quant à Salvini, le journal Le Monde a naguère publié une photographie de lui, jeune élu au conseil municipal de Milan portant à la boutonnière une épinglette du drapeau basque et une autre à l’effigie du Che Guevara. Matteo Salvini animait alors une faction « Communistes pour la Padanie ». Ce groupe cohabitait à l’intérieur de la Ligue du Nord avec des tendances libertariennes ou néo-celtiques paganisantes.

En décembre 1989, la Ligue du Nord naît de l’accord conclu entre des formations autonomistes, régionalistes, voire indépendantistes : les puissantes Ligues lombarde et vénète s’allient à Piémont autonomiste, à l’Union ligure, à l’Alliance toscane et à la Ligue d’Émilie – Romagne. Le discours officiel de la Ligue va alors varier au gré des circonstances politico-électorales. Tantôt elle prône la sécession de la Padanie, tantôt elle envisage une république fédérale constituée d’une Italie méridionale ouverte à la Méditerranée, d’une Italie centrale orientée par Rome et d’une Haute-Italie plus tournée vers les mondes alpin et danubien (les Habsbourg ont régné de 1815 à 1859 sur la Lombardie et jusqu’en 1866 sur la Vénétie).

On retrouve ces fluctuations politiques au Parlement européen. De 1989 à 1994, les euro-députés liguistes siègent dans le groupe écologiste – fédéraliste « Arc-en-ciel » aux côtés de la Volksunieflamande et des nationalistes de gauche écossais. La Ligue soutient en 1994 l’euro et entre au groupe centriste des libéraux, démocrates et réformateurs en compagnie de l’UDF de Valéry Giscard d’Estaing. En 1999, la Ligue participe avec le FN, le Vlaams Blok et les libertaires italiens au Groupe technique des indépendants que la Cour de justice de l’Union européenne invalide en 2001. En 2004, les liguistes adhèrent à « Indépendance et Démocratie » avec Philippe De Villiers, l’UKIP et les calvinistes fondamentalistes néerlandais. Les élus de la Ligue rejoignent ensuite successivement l’« Union pour l’Europe des Nations » (avec le RPF de Charles Pasqua et le PiS polonais), puis « Europe de la Liberté et de la Démocratie » (avec le LAOS national-conservateur grec). En 2015, la Legas’associe avec le FPÖ autrichien et le FN dans le cadre d’« Europe des Nations et des Libertés ». Enfin, en 2019, le RN, l’AfD, le FPÖ et la Ligue forment « Identité et Démocratie ». Certains spéculent déjà sur une adhésion prochaine au Parti populaire européen

Par-delà l’activisme de Matteo Salvini, la Ligue du Nord n’est pas un mouvement centralisé et monolithique. Son principal dirigeant doit compter sur une opposition interne qui reprend les aspirations des PME et des entrepreneurs de Lombardie et de Vénétie. Candidat malheureux au secrétariat de la Ligue face à Salvini, Gianni Fava (20 % des votes militants) déplore dans l’hebdomadaire français L’Express du 15 août 2018 que « Salvini a volé notre rêve. Il s’est approprié notre mouvement d’inspiration libérale et pro-européenne, et il l’a transformé en parti souverainiste d’extrême droite, résolumment hostile à Bruxelles ».

L’inflexion prise par le « Capitaine » vers le national-souverainisme ne l’empêche pas de louvoyer. Ainsi renonce-t-il à sortir de l’euro après la défaite présidentielle de Marine Le Pen en 2017. Il donne aussi des gages à la bien pensance médiatique. Il refuse de reconduire aux européennes de 2019 le sortant Mario Borghezio. Cinq ans auparavant, la direction liguiste cherchait déjà à s’en débarrasser en l’envoyant dans la circonscription électorale de l’Italie centrale (Latium, Toscane, Ombrie, Marches) où l’ancien militant de la branche italienne de Jeune Europe de Jean Thiriart aurait perdu son mandat. Or, Mario Borghezio fut réélu (5837 voix au vote préférentiel) grâce à l’appui décisif de CasaPound. Rappelons que les ministres liguistes de l’Intérieur n’ont jamais cessé de persécuter le mouvement de Gianluca Ianonne et se sont montrés incompétents dans l’arrêt de l’immigration clandestine.

À la lumière de ce rappel historique, on ne doit donc pas être surpris par le parcours sinueux de la Ligue du Nord. Malgré une volonté séparatiste qui anime maints de ses militants et de ses cadres, la Lega appartient bien à l’esprit politique italien.

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°206, mise en ligne sur TVLibertés, le 16 mars2021.

Europe maxima cliquez ici

00:10 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Plaidoirie de Me Gilbert Collard en défense de Marine Le Pen…

ffrrr.jpeg

François Floc'h (∗)

J'aime bien Gilbert Collard ! Il ne manque pas de culot.. Son langage est fleuri, inventif, percutant. En ces temps d’apathie politique et d'auto-censure, son côté "grande gueule" n'est pas pour nous déplaire. Avec lui, on ne s'ennuie pas ! Et c'est important pour capter l'attention de l'électeur… L'eau tiède n’intéresse personne !

Tout récemment, invité sur Sud Radio – avec TV Libertés, rare espace de liberté d'expression du PAF, le fameux Paysage Audiovisuel Français – il a répondu à Eric Morillot qui le questionnait sur la future Présidentielle. Le propos est intéressant et mérite d'être noté bien qu'il sente un peu trop le cirage… de pompes ! Étonnant de la part de Gilbert Collard...

 Eric MorillotOn parle beaucoup d'une candidature d'Eric Zemmour. Est-ce que vous la craigniez ?

Gilbert Collard Il faut se méfier des ruses de l'Histoire… Eric est un ami. S'il est candidat, il ferait battre Marine. Je crains une candidature qui pourrait appauvrir... nous retirer des voix que l'on pourrait avoir. C'est clair. Je pense qu'il faut un rapprochement entre Eric Zemmour et Marine.

Eric MorillotMais, vous ne pensez pas qu'il pourrait dépasser Marine Le Pen au 1er tour ?

Gilbert Collard Non, je ne crois pas. Parce que l'on oublie quand même trop facilement que Marine, elle, offre aux Françaises et aux Français une expérience unique. Celle d'une femme qui a pris des coups, qui a reçu des tempêtes en pleine figure, des tempêtes politiques, affectives, humaines, et qui n'a jamais mis le genou à terre.

Et, ce dont la France a besoin c'est de quelqu'un qui ne s'agenouille pas, ni devant la repentance, ni devant l'Histoire, ni devant l'Union européenne, ni devant les banlieues, ni devant les zones de non-droit, ni devant la perte de souveraineté.

Et, elle a cet avantage, elle, à l'épreuve du feu, elle a eu ses brûlures et elle a tenu le coup. C'est assez unique.

 […] Et puis l'on passe à une questionnement sur l'Euro. Etc. Etc.

Cette réponse de Gilbert Collard m'a laissé fort perplexe…

Car, nous en connaissons tous des militants du "FN canal historique" qui ont pris des "tempêtes en pleine figure" en des temps politiques bien plus difficiles qu'aujourd'hui ! Et le premier d'entre nous, notre Jean-Marie Le Pen. L'argument de Gilbert Collard n'est donc pas recevable.

Gilbert Collard fait appel à notre mémoire. Et bien, prenons-le au mot !

A la question "Qui n'a jamais mis réellement le genou à terre ?", on peut lui rétorquer :

Qui s'est lancé dans une dédiabolisation stérile qui frise la compromission sinon le ridicule ?

Qui n'a jamais énoncé la moindre critique des lois mémorielles (Pléven, Gayssot, Perben) ? Lois qui bloquent les nécessaires débats, génèrent une auto-censure pernicieuse et empêchent ainsi les solutions salutaires.

Qui n'a manifesté aucun engagement contre les lois dites de "bioéthiques". A défaut de participation, aucun soutien à La Manif pour Tous. Et même aujourd'hui, annonce par Jordan Bardella que les lois Taubira faisaient maintenant partie des acquis de la République et que l'on n'y toucherait pas !

Pauvres Gilets Jaunes qui ne demandaient rien – à tort – aux Politiques mais qui auraient pu recevoir au moins quelques signes de sympathie. Rien, le néant !

Et puis, tout récemment, les cadres du RN auraient reçu des consignes pour ne pas participer à la manifestation de soutien à Génération Identitaire ! Des petits jeunes courageux qui veulent rester debout et utilisent seulement la technique d'Agitprop bien utile en politique !

Qui a dit à de multiples reprises que l'Islam était compatible avec la République ? Manifestant ainsi, en plus de ses lacunes historiques, son manque de volonté politique en ce domaine. Qui a dit que le Grand Remplacement n'existait pas ?

Décidément, cela fait beaucoup pour quelqu'un qui n'aurait jamais mis le genou à terre !

A la réflexion, c'est plutôt Eric Zemmour que j'ai reconnu dans le portrait dressé par Gilbert Collard. Il faudrait évoquer les oukases soviétoïdes du CSA qui semble craindre davantage l'éditorialiste de CNews que la présidente du RN. Et il est un critère qui ne trompe pas : au compteur des passages devant la 17e Chambre, pour propos de quelqu'un qui ne veut pas mettre le genou à terre, Eric Zemmour sort largement vainqueur !

(∗) Ancien secrétaire départemental FN des Côtes d'Armor.

00:00 Publié dans François Floc'h, Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 22 mars 2021

MERCREDI 24 MARS, À PARTIR DE 18 H, THOMAS FERRIER, INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR TV LIBERTÉS

RL Annonces copie 8.jpg

LES PRÉCÉDENTES ÉMISSIONS CLIQUEZ ICI

ACHETER SON LIVRE CLIQUEZ LÀ

COVID-19 : qu’ils arrêtent de nous emmerder !

Capture d’écran 2021-02-04 à 11.58.43.png

Pieter KERSTENS.

Durant les 15 derniers mois, jour après jour, les médias ne cessent de diffuser la propagande hystérique des gouvernements européens et nous submergent par leur stratégie de la terreur.

ORDRES + CONTRORDRES = DESORDRES.

L’épidémie ne devait pas se diffuser en Europe et se cantonner à l’Asie selon les déclarations de certains ministres de la Santé, au début de l’an 2020.

Puis on nous a dit que le port du masque n’était pas essentiel si l’on n’était pas malade.

Ensuite, le dépistage des malades ne présentait pas d’urgence.

Et l’isolement dans des centres médicaux était superflu.

Le manque d’appareils respiratoires pour la réanimation artificielle par contre, lui, était criant.

Il fallait donc absolument pallier cette carence par des interdictions de circuler de mars à mai 2020.

Les clowns qui dirigeaient l’Europe nous avaient promis la Lune, en affirmant dès juillet 2020 que les vaccins allaient résoudre tous les problèmes et nous conduire vers « le monde d’après », sans couvre-feux…

Enfin, après l’annonce fin 2020 de divers sérums disponibles sur le marché, la Commission Européenne aurait commandé plus d’un milliard de doses pour les 26 pays de l’Union.

Fin mars 2021, après 3 mois, seuls 10% des européens auraient reçu la 1ère injection ( sauf Malte 25%) contre 50% en Grande-Bretagne, 30% aux USA et 25% mais 65% en Israël.

Cela démontre clairement les incompétences, l’incurie et l’incapacité de la majorité des Chefs d’Etat et de Gouvernement en Europe pour la gestion de cette crise, alors même que ceux-ci ont imposé des Plans d’Urgence Sanitaire qui les autorisent à gouverner par décrets, en court-circuitant les Parlements !

LES POURRITICARDS SE FOUTENT DU MONDE : ON DOIT LES DEGAGER !

Sous prétexte de « sauver les hôpitaux » et les plus vieux de la société, « les plus fragiles » (lire les obèses, les diabétiques ou les cardiaques) les princes qui nous gouvernent ont stoppé la majeure partie des activités économiques de nos pays et assigné leur population à résidence. De nombreuses interdictions d’activités limitent les déplacements des personnes et conduisent à creuser le gouffre des dettes publiques et l’explosion du chômage, malgré de multiples aides, subventions ou prêts qu’il faudra quand même rembourser un jour.

NON, leur « monde d’après » ne sera pas différent du monde de 2019.

Et pour ceux d’entre nous qui ne sont pas tombés dans la paranoïa ou l’hystérie il est tout de même évident de constater que ce Covid-19, SRAS-COV-2, est une fois encore venu de Chine et ne tuera pas de façon terrifiante tout le monde, mais évidemment les plus âgés (dont je fais partie) comme c’est logique, car nous ne sommes pas éternels !

Enfin, il est quand même curieux que PAS LE MOINDRE EXPERT OU MEDECIN ne compare cette épidémie à d’autres fléaux qui accablent aujourd’hui notre planète.

Depuis 15 mois, le Covid-19 est la cause de 2,717 millions de décès dans le monde, soit en moyenne 6.000 par jour (et 4.500 le 20 mars 2021).

Mais TOUS LES JOURS, ce sont 25.000 personnes qui meurent de faim sur notre Planète (source « La faim » de M. Caparros en 2015) soit 9,125 millions de décès par an dus à la faim surtout au Soudan du Sud, au Yémen, en Afghanistan, à Haïti, au Venezuela, en Ethiopie ou en République du Congo, sans oublier l’Inde, le Pakistan ou le Bangladesh par exemple. Quelle télévision, quelle radio ou journal à grande diffusion en a fait ses gros titres ces derniers mois ? Silence dans les rangs, ce n’est pas le sujet qui fait encore pleurer Margot. 

OUI, la faim tue 5 fois plus que le Covid dans le monde en ce mois de mars 2021 et là, pas de vaccin ?

Où se trouve la priorité ? Dans les poubelles : 930 millions de tonnes de denrées alimentaires ont été gaspillées en 2019 (soit 120 kgs/an par consommateur) ! (source = Programme des Nations Unies pour l’Environnement).

16:43 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Rendez-nous nos humanités greco-romaines*

antiqiité.jpg

L’Antiquité gréco-latine, son étude et son héritage, sont gravement mis en cause dans les pays occidentaux. Il est crucial pour notre avenir de les défendre, soulignent les 41 signataires,  tous professeurs d’université français et italiens, hellénistes, latinistes, historiens et philosophes. (source Le Figaro 22/3)

(*) le titre est de la rédaction

Lire la suite ICI

 

12:20 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La lutte des races a remplacé la lutte des classes

1086695-yves-threard.jpg

Yves Thréard

Gauche, qu’as-tu fait de tes enfants ? Tu les voulais universalistes, ils tiennent maintenant des discours racistes. Tu les souhaitais militants de la diversité, ils revendiquent désormais le droit à l’exclusion. Tu les espérais fidèles à des valeurs d’égalité, d’égalité, ils sombrent à présent dans l’activisme identitaire. Depuis quelques années, la dérive de l’Unef, école de la contestation estudiantine et sociale, est patente. Le syndicat vient encore de se distinguer, par la voix de sa présidente, qui a déclaré organiser des réunions « non mixtes racisées ». Sa vice-présidente, elle, s’affiche partout couverte du voile islamique.

Jean Jaurès doit se retourner dans sa tombe ! Jean-Luc Mélenchon, lui, n’y voit rien à redire, au contraire. Cela n’est pas étonnant, car l’Unef est à l’image d’une partie de la gauche d’aujourd’hui, rattrapée par l’islamo-gauchisme. La lutte des races a remplacé la lutte des classes. En perte de vitesse, les trotskistes défroqués pensent avoir trouvé, avec les minorités, un nouveau prolétariat à défendre. Feu sur le mâle blanc, violeur en puissance, coupable héritiers du colonialisme, du sexisme, de l’oppression chrétienne et capitaliste. Le virus gagne les esprits de toute la sphère éducative, de certaines fédération de parents d’élèves à l’université.  Il se propage dans les instituts de sciences politiques, où s’exerce la chasse aux professeurs récalcitrants. Science Po Paris consacre même tous les ans une journée à la gloire du hidjab. La censure frappe les conférenciers mal-pensants, les spectacles non conformes aux canons de l’indigénisme et les plus grands auteurs ; Eschyle en a fait les frais à la Sorbonne.

Condamner ce glissement sectaire, mélange d’arrogance et d’ignorance, revient à passer pour un suppôt de l’extrême droite. Sans doute est-ce là l’explication du faible nombre de voix qui ont le courage de le dénoncer et de le combattre. L’État lui-même devrait ouvrir les yeux en cessant de subventionner des organisations comme l’Unef. Stop à la décadence idéologique !

Source : Le Figaro 22/03/2021

10:16 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Risques de corrections boursières, de krachs obligataires et d’actions en 2021

ROUSSET M 2.JPGMarc Rousset

Le CAC 40 a fini en net repli de 1,07 %, ce vendredi, en dessous des 6.000 points, à l’issue d’une semaine volatile, perturbée par les craintes inflationnistes et les taux d’intérêt américains à 10 ans. Les taux obligataires états-uniens, qui semblaient s’assagir, sont repartis à la hausse jusqu’à 1,74 %. L’irrationnel s’empare des esprits dans un monde instable, surendetté, qui croule sous les liquidités des banques centrales. L’or surréagit à la baisse avec des cotations autour de 1.730 dollars l’once, trop sensible à la hausse nominale des taux d’intérêt, tandis que le Bitcoin spéculatif prend son envol vers des sommets à plus de 60.000 dollars, même si la camarde l’attend au bout du chemin. Selon Jean-Claude Trichet, la bulle des crypto-actifs ressemble à la célèbre bulle des tulipes néerlandaises au XVIIe siècle. Un projet de loi qui a de grandes chances d’être adopté au Parlement indien vise à interdire le négoce, le minage et la détention du Bitcoin  et de toutes les cryptomonnaies dans l’ensemble du pays. En Chine, le minage est d’ores et déjà interdit.

Quant à l’or, il attend, au contraire, patiemment son heure. La Pologne veut encore acquérir 100 tonnes du métal précieux, après avoir déjà doublé ses réserves. La Banque centrale polonaise pourrait supplanter la Banque d’Angleterre en termes de réserves d’or. De plus, les règles de Bâle III devaient entrer en vigueur le 28 juin 2021 : l’or physique sera alors considéré comme un actif bancaire de niveau 1. Il aura alors le même poids, dans le bilan d’une institution financière, que des espèces en euros ou des obligations souveraines d’État. Jusqu’à présent, l’or était considéré par les banques centrales comme un actif de niveau 3, ce qui signifiait une décote de 50 % par rapport à un actif de niveau 1. Les banques centrales seront donc d’autant plus intéressées à acheter de l’or physique pour le mettre en réserve dans leurs coffres.

Aux États-Unis, la masse monétaire M2 augmente à la verticale tandis que la vitesse de circulation de la monnaie diminue tout aussi rapidement d’une façon opposée. Les sommes énormes engagées par Joe Biden pour stimuler l’économie seront payées par une hausse de la fiscalité aussi bien par les entreprises (impôts sur les sociétés à 28 %) que par les particuliers (impôts sur le revenu, taxes sur les plus-values) ou par l’inflation. La croissance, en 2021, pourrait être de 6,5 % aux États-Unis avec une inflation de 2,4 %. Le déficit budgétaire a atteint 17 % du PIB, en 2020, et la dette américaine n’est pas soutenable à long terme, si l’on ne modifie pas la trajectoire des dépenses publiques.

En France, le coût de la crise sanitaire, en 2020, pour l’État est au minimum de 160 milliards d’euros, selon le ministre des Comptes publics Olivier Dussopt. La commission Arthuis, chargée d’un rapport sur les finances publiques, nous met en garde : l’endettement de la France devrait atteindre 133 % du PIB, en 2030, et 150 % du PIB, en 2045. Une remontée des taux d’intérêt serait mortelle pour la France. 1 % de taux d’intérêt supplémentaire représentera 28,8 milliards d’euros, en 2030. 10 % de taux d’intérêt supplémentaires… les recettes totales du budget de l’État français ne suffiraient alors pas à payer, sans inflation, les seuls intérêts de la dette ! La France de Macron est un pays au bord de la banqueroute.

À terme, une forte inflation semble donc inévitable pour rembourser la dette en monnaie de singe. La monétisation de la dette par la BCE est une première forme d’effacement de la dette. La politique budgétaire de la fuite en avant continue. Patrick Artus estime que nous sommes au tout début d’une bulle sur les actions et l’immobilier, les banques centrales n’ayant plus comme seule solution, afin d’éviter l’effondrement, que d’empêcher la baisse des actifs et donc de créer des bulles. Ray Dalio, le fondateur de Bridgewater, estime qu’il faut être stupide pour investir aujourd’hui dans des obligations ; il faut acheter des actifs tangibles. Rabobank, de son côté, prédit des augmentations de prix bibliques à venir pour les denrées alimentaires. Pour l’instant, le président de la Fed Jerome Powell ne souhaite rien faire pour éviter l’inflation ; une surchauffe à venir de l’économie américaine est donc probable.

À terme, la Fed devra cependant essayer de maîtriser les taux afin qu’ils ne montent pas trop vite. La BCE a déjà annoncé son désir de stopper la hausse des taux obligataires en contrôlant la courbe des taux. La seule chose certaine, c’est que le pacte de stabilité de Maastricht est enterré. Une correction boursière est possible dans les semaines qui viennent, suivie d’un krach obligataire, avec ensuite un krach possible des actions à partir du mois d’août, si l’on en croit les prévisions du Forum monétaire de Genève.

00:55 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 21 mars 2021

Baccalauréat « cadeau Bonux » !

cadeau-Bonux.jpeg

La chronique de Philippe Randa

Dans quelques mois, ce sera, comme chaque année, pour des milliers de lycéens, l’examen du Baccalauréat. Fébrilité ou franche angoisse pour les uns, cauchemars pour d’autres…

Cauchemars ? Comme on les comprend ! Rendez-vous compte qu’en 2020, 4 % des candidats ont échoués ! Hé oui ! selon la direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance (Depp), le taux de réussite après rattrapage, n’a atteint que 95,7 %, vous rendez-vous compte ?

Bien sûr, il y a cette fichue épidémie de Coronavirus qui a empêché une tenue normale des examens. C’est sans doute, c’est forcément, c’est évidemment l’explication de ces 4 % de victimes. Cela n’a permis à notre glorieux examen – dont le monde entier se gausse, non ! nous envie ! – de n’être en hausse par rapport à 2019 « que » de 7,2 point ! (Toutes séries confondues, 60 % des candidats avaient obtenu leur diplôme en 1960… mais déjà 84,5 % en 2012).

J’interrogeais récemment un professeur de terminale, lui demandant ce qu’il pensait du niveau des bacheliers actuels. Sa réponse a été claire : « Après la guerre, 30 000 élèves environ obtenait le baccalauréat avec le niveau requis… Aujourd’hui, sur les 700 000 (713 900 en 2020) qui le décrochent, il y en a toujours 30 000 qui ont, sinon le niveau, n’en demandons pas tant ! du moins “un” niveau ! »

Je rapportais cette sentence à un ami médecin qui, lui, m’a appris que les élèves qui ont le meilleur niveau scolaire actuellement sont… africains ! Comme je m’en étonnais, il m’expliqua pourquoi : « Mais parce que là-bas, c’est encore l’école d’avant… Ils ont 30 ans de retard sur les “réformes” de l’Éducation nationale et en sont encore à apprendre, ne serait-ce qu’à lire, écrire et compter… Et quand ils sortent des écoles tenues par des Jésuites, particulièrement, on peut parler d’un certain “niveau”, à l’évidence ! »

Mais, désabusé, il ajouta néanmoins : « C’est le cas aujourd’hui, oui ! Mais eux aussi connaîtront le nivellement par le bas comme nous et auront le “Baccalauréat Bonux”… Le plus tard possible pour eux, j’espère !… »

Lire EuroLibertés cliquez ici

19:29 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La proposition choc de Bruno Mégret : « Un état d’exception pour sauver la France »

MEGRET B 1.jpg

Source Polémia cliquez ici

Bruno Mégret

Le constat que la France est en voie d’effondrement est si évident qu’il n’existe plus, aujourd’hui, que quelques utopistes pour croire que la France va de mieux en mieux. Les ravages causés par l’immigration extra-européenne à notre pays sont innombrables. On pense évidemment à l’insécurité et à l’islamisation mais de nombreuses autres problématiques en découlent.

Face à ce déclin qui semble inexorable, Bruno Mégret, ancien dirigeant du Mouvement national républicain, propose un plan d’action pour éviter la catastrophe.

Ce texte publié par Polémia comporte trois parties. Une première qui présente l’objectif de Bruno Mégre, une deuxième partie qui dévoile la proposition de texte d’une réforme constitutionnelle et, enfin, une troisième partie qui revient sur les cinq lois d’exception à mettre en place selon Bruno Mégret.

Polémia

Un état d’exception pour sauver la France

Aujourd’hui la France connaît une crise historique car, au-delà de la crise sanitaire, c’est l’existence même de la nation qui est désormais menacée. Menacée par des populations étrangères ou d’origine étrangère qui, loin de s’assimiler, cherchent à installer sur son sol leur propre civilisation théocratique. Menacée aussi par la faiblesse de l’État qui se révèle incapable de faire respecter son autorité, de protéger les Français et de défendre leur identité.

Une impuissance générale face au déclassement de la France

Notre pays est tellement affaibli que son déclassement ne peut plus être nié et que beaucoup, même dans la classe médiatique, commencent à le dénoncer haut et fort. Malheureusement, le politiquement correct est à ce point ancré dans les esprits que personne n’ose imaginer des solutions qui soient à la hauteur des menaces. Et chacun de proposer des mesures qui, pour respecter l’état de droit, ne changeraient rien à rien. Si bien que se dégage maintenant de la classe politique et médiatique un sentiment général d’impuissance qui laisse augurer le pire.

Or, des solutions existent qui permettraient, avec l’appui du peuple, de changer radicalement la donne.

Des lois d’exception qui sauveraient le pays

Il ne faut plus en effet essayer de modifier laborieusement le fatras législatif et réglementaire dans lequel nos dirigeants actuels s’enlisent. Il faut recourir au principe des lois d’exception. Des lois qui ont le grand avantage d’aller droit au but politique recherché en rendant illégales, sans même les énumérer, toutes les dispositions en vigueur qui empêchent de l’atteindre. Des lois qui, par leur simplicité et leur clarté, donnent donc au pouvoir exécutif une force qu’il a aujourd’hui perdue. Certes, ces lois, qui ignorent les interdits actuels du politiquement correct, de l’état de droit et du gouvernement des juges, ne pourraient être adoptées que pour une période limitée de dix années par exemple. Mais si au bout d’une décennie la situation de notre pays s’est considérablement améliorée, qui peut croire que les Français décideraient alors d’un retour en arrière ? Or, c’est bien ce qui se produirait car, avec ce dispositif d’exception, tout redevient possible.

Stopper toute nouvelle immigration

Ainsi l’immigration pourra-t-elle être stoppée complètement pour une durée de dix ans afin de résoudre les problèmes majeurs qu’elle a engendrés. Quand votre maison est envahie par les eaux, vous commencez par colmater la voie d’eau avant de réparer les dégâts. La première loi d’exception devra donc rendre illégales toutes les dispositions qui provoquent aujourd’hui l’arrivée de nouveaux immigrés, y compris le regroupement familial et le droit d’asile.

Limiter l’islam à la sphère privée

S’agissant de l’islam, il doit quitter l’espace public. Les musulmans, qui, bien sûr, doivent pouvoir continuer à pratiquer leur religion, devront le faire dans la sphère privée sans plus chercher à vouloir adapter notre pays à leurs coutumes. Une deuxième loi d’exception devra donc rendre illégales toute mesure et toute pratique prenant en compte les spécificités de l’islam. En revanche, la religion musulmane, comme toutes les religions, doit être respectée et ma conviction est qu’il faut mettre un terme aux blasphèmes publics.

Bruno Mégret : « La droite doit en finir avec le politiquement correct »

Neutraliser les fauteurs de troubles

Une autre loi doit permettre au gouvernement de placer dans des centres fermés les délinquants multirécidivistes, les individus radicalisés ainsi que les terroristes libérés par les tribunaux, assurant d’un coup une amélioration spectaculaire de la sécurité par la mise à l’écart de ceux qui commettent l’essentiel des délits.

Dans le même esprit, une quatrième loi d’exception devra donner tout pouvoir aux représentants de l’État pour investir les zones de non-droit et y rétablir par la force la normalité républicaine.

Une autre enfin devra lever tous les obstacles à l’expulsion effective des clandestins et des délinquants étrangers.

Faire sauter le verrou du Conseil constitutionnel

Encore faut-il pouvoir faire voter de telles lois qui aujourd’hui seraient aussitôt censurées par le Conseil constitutionnel et provoqueraient une condamnation de la France devant la Cour européenne des droits de l’homme. C’est pourquoi il faut au préalable que la France quitte cette instance européenne et réforme le Conseil constitutionnel. Pour la Cour européenne, il suffit que le gouvernement français notifie à celle-ci sa décision de retrait. Pour ce qui est du Conseil constitutionnel, la question est plus difficile car ce dernier est maintenant au centre du verrouillage politiquement correct de notre pays. Il ne se contente plus en effet de juger en fonction des articles de la Constitution, comme c’était le cas dans les premières années de la Ve République, mais il se détermine maintenant en fonction de l’interprétation qu’il fait des textes du préambule. Ce qui lui permet de censurer toutes les lois qu’il juge politiquement incorrectes.

Pour rompre avec l’impuissance engendrée par cette instance, il est donc essentiel de rendre le pouvoir au peuple. Pour cela il faut instaurer un droit de recours du président de la République sur les décisions du Conseil constitutionnel qui donnerait le dernier mot aux Français, soit par un référendum soit par un ultime vote de l’Assemblée.

Un référendum pour légitimer l’état d’exception

La réforme du Conseil constitutionnel ainsi que l’adoption des cinq lois d’exception devraient alors faire l’objet d’un référendum qui permettrait ainsi aux Français de doter le pouvoir exécutif des moyens d’exception lui permettant de sauvegarder la France.

Un état d’urgence qui trouverait sa légitimité dans l’intérêt supérieur de notre nation et de notre civilisation. Car, comme le disaient les Romains : Salus populi suprema lex. La loi suprême, c’est le salut du peuple.

Texte de la réforme du Conseil constitutionnel

Dans l’article 62 de la Constitution, la formule « Les décisions du Conseil constitutionnel ne sont susceptibles d’aucun recours » est remplacée par le texte suivant : « Les décisions du Conseil constitutionnel concernant la constitutionnalité des lois sont susceptibles d’un recours par le président de la République. Celui-ci soumet alors la disposition incriminée à référendum ou en saisit l’Assemblée nationale qui se prononce par un vote ultime et sans appel. »

Bruno Mégret : « De Gaulle, revendiqué par tous, suivi par personne »

Texte des cinq lois d’exception

Loi d’exception n° 1 – Stopper toute nouvelle immigration

Sont abrogées pour une durée de dix années toutes les dispositions légales, réglementaires ou jurisprudentielles permettant ou facilitant l’arrivée et le maintien sur le sol national de nouveaux étrangers ressortissants d’un pays d’immigration.

La liste non exhaustive des principales dispositions visées par la présente ainsi que la liste des pays d’immigration et le traitement des cas particuliers font l’objet d’un décret du président de la République.

Loi d’exception n° 2 – Rendre effective l’expulsion des clandestins

Sont abrogées pendant une durée de dix années toutes les dispositions légales, réglementaires ou jurisprudentielles empêchant, gênant ou ralentissant l’expulsion des étrangers présents irrégulièrement sur le sol national.

La liste non exhaustive des principales dispositions visées par la présente fait l’objet d’un décret du président de la République.

Loi d’exception n° 3 – Placer l’islam hors de l’espace public

Sont abrogées pendant une durée de dix années toutes les dispositions légales, réglementaires ou jurisprudentielles et toute pratique administrative, économique, associative ou sociétale visant explicitement ou implicitement à permettre ou favoriser l’expression publique des spécificités de l’islam.

Une liste non exhaustive des principales dispositions visées par la présente fait l’objet d’un décret du président de la République.

Loi d’exception n° 4 – Rétablir la sécurité

Pendant une durée de dix années, le gouvernement pourra, par simple décision administrative, faire interner tous les délinquants multirécidivistes et tous les fauteurs de troubles connus des services de sécurité dans des centres fermés de réinsertion civique. Pour assurer le contrôle juridictionnel de ce dispositif, des tribunaux d’exception seront créés. Toutes les dispositions légales, réglementaires ou jurisprudentielles contraires au présent texte seront abrogées.

La mise en œuvre de ce dispositif fait l’objet d’un décret du président de la République. Il en va de même de la liste des personnalités composant les tribunaux d’exception.

Loi d’exception n° 5 – Reconquérir les territoires perdus

Pendant une durée de dix années, le gouvernement pourra procéder à des opérations systématiques de reconquête territoriale, conduites pour chaque territoire par un préfet coordonnateur. À l’intérieur de ces périmètres, ce dernier disposera de tous les pouvoirs qu’il jugera nécessaires pour rétablir durablement la sécurité, l’autorité de l’État et le respect des lois et coutumes de la nation.

Il pourra notamment procéder en tant que de besoin à des fouilles, des perquisitions, des expulsions de locataires, des interpellations et des relégations en centres fermés de réinsertion civique. Il pourra aussi modifier la structure de peuplement de ces territoires et donc modifier ou annuler les baux de location.

À cette fin, les dispositions légales, réglementaires ou jurisprudentielles contraires aux décisions du préfet coordonnateur seront suspendues sur le territoire concerné.

Un décret du président de la République précise les modalités de mise en œuvre de ces opérations.

18:19 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La bretonne Ann Cayre chante la complainte des Martyres d’Orange

Composé par Patrice Martineau, arrangé par Antoine Allemand, ce nouveau titre de Ann Cayre a de quoi surprendre ! Il a été enregistré dans un studio vendéen, en décembre 2020. La réalisation du clip a été confiée à Armel Joubert des Ouches, journaliste, caméraman et auteur-Compositeur. Ann Cayre s’attaque ici à un répertoire bien différent de celui auquel on était habitué à l’entendre. Le texte a été écrit par une religieuse, Soeur Théotiste, en juillet 1794. Quelques heures… avant d’être guillotinée parce qu’elle refusait d’abjurer sa Foi…

Ce nouveau titre de Ann sera bientôt sur le prochain CD de Patrice Martineau, en chanson bonus.

Source Breizh info cliquez ici

maxresdefault (1).jpeg

11:10 Publié dans Web | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 20 mars 2021

Le Souverainisme Gallois, pas plus Identitaire que sa Version Écossaise

le-souverainisme-gallois.jpg

Rémy Tremblay

Les récents sondages effectués dans le Pays de Galles, au nord-ouest de l’Angleterre, démontrent qu’il y aurait un engouement pour l’indépendance. Ils seraient aujourd’hui 40%, particulièrement les jeunes (cliquez ici), à s’affirmer en faveur d’un tel projet, alors que l’option souverainiste a longtemps stagné sous la barre du 10%. Le contexte y est pour beaucoup; nombreux sont les Gallois qui soulèvent de nombreux griefs face à la gestion pandémique de Boris Johnson et d’ailleurs les travaillistes gallois n’hésitent pas à utiliser cette vague séparatiste pour tenter de négocier un « fédéralisme renouvelé. »

En tant que tel, le projet de souveraineté est officiellement porté par le Plaid Cymru d’Adam Price, parti dont le programme n’est pas sans rappeler celui des socio-démocrates du Scottish National Party (SNP) ou du Parti québécois (PQ). À l’origine ce parti fondé en 1925 faisait de la défense des traditions et de l’ethnie galloises le point central de son programme, une démarche “volkish” qui le rapprocha idéologiquement d’autres mouvements anticonformistes de l’avant-guerre. Toutefois, il s’est converti dans les années 60 dans la défense d’une souveraineté civique vidée de tout substance. Le parti annonce d’entrée de jeu son adhésion au multi-culturalisme en faisant une profession de foi, qui, bien qu’historiquement pas tout à fait vraie, est sans ambiguïté : « L’idée du Pays de Galles comme une communauté de communautés, unies dans sa diversité, a toujours été au cœur de la mission du Plaid Cymru. » (LIEN).

Exactement comme c’est le cas dans cette constellation séparatiste qui comprend les Écossais, les Catalans, les Basques, les Québécois, les Bretons et tant d’autres.

Ce n’est pas nécessairement que ces peuples ont renié leurs racines ou ne tiennent pas à leur identité, mais plutôt que les élites indépendantistes rejettent toute forme de nationalisme pour adopter une approche mièvre dictée par la rectitude politique. La souveraineté peut donc avancer sans risque de se faire diaboliser. Mais le remède est parfois pire que le mal qu’on veut curer : en renonçant à définir le peuple qu’ont dit représenté, en le limitant à une expression purement géographique, on porte un projet vide. L’indépendance est un projet visant à permettre à un peuple, doté de caractéristiques qui lui sont propres, et non à un territoire, qui n’est sans le peuple qui l’habite qu’une parcelle de terre, au rang de nation souveraine.

Sans cette prise de conscience, tout rêve souverainiste reste un simple projet de bureaucrate qui espère éviter de dédoubler sa paperasse à deux administrations.

Mais il y aussi le terme souveraineté que ni le SNL, ni le PQ, ni même le Plaid ne définissent réellement. On fait l’impasse sur le « peuple » mais également sur la « souveraineté » comme telle. Car dans les faits, comme l’a fort bien souligné Pierre Hillard, ce que proposent souvent les souverainistes actuels c’est de simplement faire sauter l’administration nationale pour se placer directement sous tutelle des organismes internationaux. Sur ce point il n’a pas tout à fait tort : le SNL et le Plaid sont partisans d’une Union européenne forte et le Parti québécois n’envisage pas de se libérer de la tutelle mondialiste actuelle; il aimerait juste qu’un siège à l’OTAN, à l’ONU et au FMI soit marqué d’un fleurdelysée. La souveraineté en ce sens n’est qu’une déformation sémantique : on recherche dans les faits une gestion plus localisée du mondialisme.

Pour en revenir au Pays de Galles, il est peu probable qu’un référendum soit tenu sur la question à brève échéance. Lorsque la poussière retombera après la pandémie, la balloune indépendantiste risque de se dessouffler, à moins bien sûr que le Plaid ne redonne un moteur à sa cause en lui insufflant un sens profond.

Vox NR cliquez ici

 

12:34 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un homoncule (1) à l’Éysée !

81GbKzIkNOL._AC_SX450_.jpg

Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés.

(Propos recueillis par Guirec Sèvres)

Après les confinements « strict pour tous », puis « moins strict » en 2020, nous voilà avec un confinement « localisé pour certains » aux contraintes incompréhensibles… Votre avis ?

Un avis confirmé : le gouvernement ne maîtrise plus rien… sinon (encore) les médias mainstream, de moins en moins écoutés ! Beaucoup d’observateurs avaient jugé il y a un mois qu’Emmanuel Macron, enfin ! avait compris l’impasse dans laquelle son calamiteux Conseil scientifique et son gribouille Ministre de la Santé Olivier Veran avait fourvoyé son quinquennat ; il avait surpris tout le monde par sa décision de ne pas reconfiner, sachant que les beaux jours allaient arriver, que l’immunité de millions de Français ayant eu la Covid-19 (la moitié d’entre eux sans s’en rendre compte), ajoutés à la campagne de vaccinations, aussi lente et cahotique soit-elle, la situation allait automatiquement s’améliorer. La Covid allait reculer avant son retour probable à l’automne prochain, sous une forme ou une autre, importante ou non, comme c’est habituel avec les virus… Un coup de théâtre qui avait alors sévèrement clashé tous ces insupportables pontes de la médecine « alarmistes » qui ont pris leurs habitudes sur certains plateaux de radios ou de télés… Il lui fallait tenir 1 à 2 mois. C’était trop pour lui et on a donc assisté à une reddition en bonne et due forme. L’interruption du vaccin AstraZeneca n’est même pas une raison, puisque son utilisation a été reprise au bout de quelques jours seulement. Résultat, Emmanuel Macron qui était apparu comme un Président à poigne, ce que les Français réclament dans leur immense majorité, a démontré qu’il n’est finalement qu’un homoncule. 

Comment expliquer un tel gâchis ?

Ce virus a rendu fou – titre d’un livre de Bernard-Henry Lévy – nombre de dirigeants dans le monde. Pris de panique, ils ont alors fait paniquer leurs compatriotes respectifs. Il faut dire qu’ils ont mis le paquet pour cela et c’est bien là leur plus grande – la seule ? – réussite dans cette histoire… Aujourd’hui, ils ne savent plus comment se sortir du bourbier dont ils sont responsables : face à des populations qu’ils ont terrorisées pour une pandémie extrêmement peu mortelle (même si certains continent d’assurer le contraire, les chiffres sont là qui les démentent), aux victimes extrêmement ciblées (personnes âgées ou à grandes comorbidités, ça au moins, tout le monde semble l’admettre), nos gouvernants ne peuvent plus, du jour au lendemain, changer de braquets : ce serait admettre qu’ils ont fait n’importe quoi. Déjà qu’ils appréhendent à juste titre de devoir répondre tôt ou tard de leur action sinon devant les tribunaux, en tout cas devant l’opinion publique, on comprend qu’il fasse « durer le plaisir » autant que faire se peut. Et sous les coups de boutoirs des uns, des autres, des sondages, de la réalité au jour le jour, de ce qu’ils découvrent ou de ce qu’ils refusent obstinément de constater, ils manœuvrent au doigt mouillé, à l’écoute du dernier qui a parlé ou parlé le plus fort…

Vous ne pouvez pas nier qu’il y a des virus mutants, ni des morts du coronavirus…

Il ne s’agit pas de le nier, mais de ne pas être dupe que des épidémies, et autrement plus mortelles, l’humanité en a toujours subies, que celle de ce coronavirus-là n’imposait absolument pas de tels délires sanitaires… et surtout d’alerter sur les conséquences physiques, psychologiques qu’endurent les gens, au-delà de celles, évidentes, sur l’économie. Des conséquences dont la mortalité finira peut-être par rejoindre celle – réelle et non pas apocalyptique comme certains nous l’assène sans répit – de la pandémie elle-même… La rejoindre ou bien même la dépasser, car qui peut affirmer que la faillite désormais évidente de nos institutions politiques – une majorité parlementaire qui se délite chaque mois et une opposition parlementaire au silence assourdissant ! – et la mise en évidence de la bêtise et de l’incompétence de nos dirigeants, ne vont pas déboucher sur des émeutes, révolutions, guerres civiles et autres joyeusetés dont l’histoire est jalonnée ? Quant un Pouvoir est faible, voire grand-guignolesque, comme le quinquennat Macron avec ses Benjamin Griveaux, Sibeth Ndiaye, Agnès Buzyn, Olivier Veran, Christophe Castaner ou Jean Castex (quelle brochette !), cela aiguise forcément bien des appétits et pas que des plus ragoûtants. 

Comment expliquez-vous que nombre de nos compatriotes soient toujours terrorisés par la Covid ?

Ils ne sont peut-être plus si nombreux que cela, mais combien acceptent de le reconnaître ? On reconnaît plus facilement qu’on s’est trompé qu’on a pétoché. Vous verrez ! Quand cette crise sera terminée et qu’on appréhendera plus sereinement les faits – car toute vérité finit toujours par percer, même si elle met parfois le temps pour cela –beaucoup continueront à vous affirmer qu’on a frôlé la fin du Monde… alors qu’on a seulement dépassé la ligne jaune de la raison. Quoique largement dépassée, certes ! 

Note

(1) Du latin homonculus (« petit homme ») : version miniature, souvent caricaturale, d'un être humain que certains alchimistes cherchaient, prétendument, à créer.

EuroLibertés cliquez ici

10:58 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

De la Francophonie à la francité.

pourquoi-le-monde-aime-autant-la-france-1110394.jpeg

L'avis de Jean-François Touzé
 
20 mars, journée de la Francophonie.
 
L'organisation internationale (OIF) qui prétend en être l'expression pourrait être, s'il existait une volonté nationale et un État digne de ce nom, une machine puissante de développement offensif de la langue française dans le monde en même temps qu'une arme de force au service du rayonnement et de l'influence de notre pays.
 
Hélas! Regroupant 88 États dont plus de la moitié ne sont ni francophones ni francophiles, ni même liés à nous par un destin commun - les Emirats arabes unis, le Qatar, la Papouasie-Nouvelle-Guinée, le Mexique, la Bosnie, par exemple - cette institution molle et sans effet autre que la dilapidation de notre argent public et le reclassement de caciques du régime battus aux élections ou de Hauts-fonctionnaires en mal de sinécure, consacre désormais le plus clair de son temps à la promotion des droits-de-l'homme, du développement durable, de la défense des minorités, des questions climatiques et de l'accueil des réfugiés.
 
La droite nationale au pouvoir devra procéder à la dissolution pure et simple de cette organisation fantoche et la remplacer par un outil efficace, de rang ministériel, porté par un projet ambitieux au service global de notre langue française, de notre civilisation française, de notre esprit français, de nos intérêts français, culturels, économiques et politiques, de notre grandeur française.
 
Ce projet, c'est la Francité.

10:52 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le collectif Némésis dans les locaux de Society : plongée dans l'enfer des bobos parisiens

6016f9ea87f3ec2805062726.jpeg

 

10:40 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |