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jeudi, 24 février 2022

Sur la crise sanitaire : un livre non-conformiste co-signé par Philippe Randa et par Bernard Plouvier

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Terrible réquisitoire contre la gestion de la crise du Covid : deux ans que dure cette « dinguerie » que Jérome Salomon, toujours directeur général de la Santé à ce jour, osa comparer, sans crainte du ridicule, à la peste de 1347… « Les Français ont la mémoire courte », disait un Maréchal qu’il est politiquement in­cor­­rect de citer désormais ; « Les Français sont des veaux », affirmait un Général auquel tout le monde se croit obligé de faire référence maintenant. D’où l’idée venue à Ber­nard Plouvier et à Philippe Randa de rassembler leurs écrits, articles ou entretiens pour raviver la mémoire défaillante de leurs compatriotes, contredire la culpabilisation à leur encontre et dynamiter les mensonges qui leur font tant de mal depuis des mois…

Covid-19. Incompétence, panique et gros mensonges

La pandémie de coronavirus a donné lieu à une panique planétaire orchestrée par les politiciens de l’Organisation Mondiale de la Santé. Rares furent les pays, comme le Japon et la Suède, où les gouvernants gardèrent leur sang-froid. Ce ne fut pas le cas en France, où l’on connut l’effarant cabotinage de médecins aux avis contradictoires ; puis le show médiatique quotidien fut réservé aux seuls « experts » de la mouvance gouvernementale, une fois terminée la phase de cacophonie entre l’Élysée et des ministres déboussolés.

L’on changea de mesures, puis de protocoles et l’on généralisa la pratique de vaccins, en partie issus du génie génétique, avec une totale incertitude quant aux effets à moyen et long termes de cette chimère biologique : l’on a osé injecter de l’acide nucléique viral à des humains.

Certains esprits contestant mesures et principe, Emmanuel Macron enrage au point de se laisser aller à des invectives scatologiques à l’encontre de tous les réfractaires à la soumission envers les apprentis-sorciers des laboratoires pharmaceutiques, grands gagnants de cette folie collective, où l’on foule aux pieds les principes de l’immunologie et plombe les économies nationales.

Bernard Plouvier, en tant que médecin, et Philippe Randa en tant que chroniqueur politique, ont beaucoup écrits sur la Covid-19… D’où l’idée de ce Verbatim de leurs écrits, articles ou entretiens pour raviver la mémoire défaillante de leurs compatriotes et contredire les insultes prononcées à l’encontre de plusieurs millions d’entre eux.

Autant que leurs écrits, ce sont leurs dates de parution qui importent : elles confirment que, dès les premiers temps de cette pandémie et contrairement à ce que continuent d’affirmer, sans la moindre honte, politiciens et certains « spécialistes » dont la seule parole est autorisée, cette pandémie ne méritait en aucun cas la gestion alarmiste qui a été imposé aux populations… avec les dramatiques conséquences psychologiques, économiques et criminelles (maladies détectées trop tardivement, opérations reportées, etc.) dont il faudra bien établir tôt ou tard la macabre liste qui ne cesse de s’allonger…

Verbatim d'un délire sanitaire, Philippe Randa et Bernard Plouvier, Dualpha, février 2022, 244 pages, 25,00 € + 5,00 € de port.

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Le journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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Éric Zemmour : « Cette élection est notre dernière chance »

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Entretien publié dans Le Figaro du 22 février 2022 avec Charles Sapin et Albert Zennou cliquez ici
 
Le candidat de Reconquête ! dit vouloir ouvrir « une troisième page de l'histoire de la Ve République » .
 
LE FIGARO. - Le déclenchement d'un conflit armé sur le continent, en Ukraine, est-il inéluctable, selon vous ?
 
Éric ZEMMOUR. - Non, une nouvelle guerre sur notre continent doit absolument être évitée. La responsabilité de cette situation incombe d'abord à la Russie qui vient de violer la souveraineté de l'Ukraine, mais est aussi le résultat de la politique menée par les Occidentaux et l'Otan, qui n'ont cessé d'ignorer les préoccupations sécuritaires légitimes de la Russie en refusant tout dialogue sérieux sur l'ordre de sécurité européen. L'absence d'une puissance d'équilibre prive le monde d'une voix crédible pour proposer une médiation. Si elle redevient la puissance d'équilibre indépendante qu'elle doit être, la France a un rôle à jouer dans la recherche d'une solution négociée. Je l'ai dit depuis le 14 février : dès mon élection, je proposerai à la Russie et à tous les États européens qui le voudront la négociation d'un traité consacrant la fin de l'expansion de l'Otan en échange de la résolution des conflits territoriaux en Europe orientale, du respect de la liberté et de la souveraineté de tous les États concernés, y compris l'Ukraine, et d'un retrait des troupes russes à la frontière de l'Ukraine.
 
Vous avez décliné vos propositions quant à la transmission d'entreprises. Qu'en est-il de la propriété immobilière ?
 
Emmanuel Macron n'aime pas la propriété : il veut que l'argent circule et déteste qu'il s'enracine. Je veux exactement le contraire : je veux favoriser l'enracinement en France et la transmission familiale. Je m'inquiète que le taux de propriétaires n'augmente pas depuis dix ans, alors que les Français aspirent tellement à posséder leur maison ou leur appartement. Je veux que les foyers qui achètent leur premier logement soient exonérés de droits de mutation. De plus, rien n'est fait en France pour défendre les propriétaires qui sont taxés à chaque étape de leur détention : à l'achat, sur les loyers, sur la vente. Je vais vous dévoiler une mesure. Aujourd'hui, lorsque vous vendez un appartement qui n'est pas votre résidence principale et que vous le possédez depuis moins de trente ans, vous devez payer 19 % d'impôts sur le revenu et 17,2 % de CSG. Je veux exempter d'impôt sur la plus-value la vente d'un bien immobilier au bout de quinze ans de détention, contre trente ans depuis Nicolas Sarkozy. De plus, je sortirai la résidence principale du calcul de l'impôt sur la fortune immobilière. Il n'est pas juste que certains propriétaires soient tout à coup imposables en raison de la hausse démesurée des prix de l'immobilier et du foncier s'agissant de leur habitation principale. Sur les droits de transmission, je veux porter à 200 000 euros au lieu de 100 000 la limite de dons à chaque enfant, tous les dix ans au lieu de tous les quinze ans aujourd'hui. Je veux que cela bénéficie aussi aux grands-parents avec leurs petits-enfants. Je propose également une franchise pour ne pas payer de droits de transmission, quand il y a un décès, jusqu'à 200 000 euros par enfant. Ainsi, 95 % des Français ne paieront plus de droits de succession.
 
Vous revendiquez-vous de la doctrine libérale sur le plan économique ?
 
Je suis un pragmatique. Je ne me revendique d'aucune école. Si être libéral c'est être pour la liberté de marché et d'entreprendre, je le suis, comme quasiment tous les Français. Si être libéral, c'est avoir le dogme de la concurrence et se soumettre à la mondialisation heureuse, je n'en suis pas. En réalité, le mot « libéralisme » a été tellement dévoyé qu'il ne veut plus rien dire. On traite souvent le général de Gaulle de colbertiste, de dirigiste. Mais lorsqu'il était au pouvoir, les prélèvements obligatoires étaient à 33 % ! Je pense profondément que notre premier problème économique c'est l'impôt et les charges. Il est complètement fou d'avoir 47 % de taux de prélèvements obligatoires. Il faut baisser les charges et les impôts pour rétablir la compétitivité de nos entreprises. Comme pour permettre d'augmenter le salaire net, anormalement bas en France. Les chefs d'entreprise que je rencontre me disent tous la même chose : il faut augmenter le salaire net sans augmenter le salaire brut chargé. C'est l'équation que je cherche à résoudre dans mon programme économique. C'est pourquoi je propose une prime zéro charge pouvant représenter jusqu'à trois mois de salaire net ; une baisse de la CSG pour les salaires de moins de 2 000 euros, qui concerne 50 % des salariés, des fonctionnaires et des indépendants. Je veux le retour de la philosophie « travailler plus pour gagner plus » , avec les heures supplémentaires défiscalisées. Le corollaire de tout cela, c'est le refus de la lutte des classes. Je veux rassembler les classes populaires et les bourgeois patriotes. C'est la seule façon de rassembler, puis de gouverner.
 
Selon vous, le véritable clivage se situe entre vous et Emmanuel Macron ?
 
Il y a une opposition frontale entre Emmanuel Macron et moi sur notre vision de la France. Pour lui, la France est un simple territoire. Peu importe qui y est, qui y était, qui y sera... Pour lui, « il n'existe pas de culture française » mais des cultures en France. Il faudrait « déconstruire l'histoire de France » . Cette conception fait d'Emmanuel Macron l'idiot utile de l'islamisation du pays. À force de considérer que la France est un territoire neutre, un McDonald où chacun vient comme il est, c'est le nombre, et donc la démographie qui l'emportera. Je pense qu'il faut défendre au contraire l'histoire de la France éternelle qui a 1 500 ans. Cette conquête de l'Église, façonnée par sa langue, par sa littérature, par ses paysages, produit des hommes et des Français.
 
La maison royale des Bourbon-Parme vous a accordé son soutien au motif que vous glorifiez la France plutôt que la République. Vous clôturez vos discours par « et surtout vive la France » . Que représente la République, n'est-t-elle pas indissociable de la France ?
 
Je suis très fier de ce soutien. « La République, notre royaume de France » , disait Péguy. Il y a une continuité évidente entre la monarchie, l'Empire et la République. Ce sont les quarante rois qui ont fait la France, Napoléon qui l'a organisée, et la République qui s'inscrit dans cet héritage. Je n'ai évidemment rien contre la république. Je suis un républicain. En revanche, je veux que la république soit française. Ni italienne, péruvienne ou islamique. C'est pour cela que je dis « et surtout vive la France » . Jean-Luc Mélenchon me parodie en disant « et surtout vive la République ». C'est une question essentielle qui hante la République depuis la Révolution. Est-elle l'héritière de la France et d'une tradition millénaire comme je le crois ? Ou est-ce un simple régime ? Dans ce cas, la République peut être islamique. C'est Roubaix. C'est la République de Jean-Luc Mélenchon qui, en toute conscience, l'accepte et la glorifie sous le terme de créolisation. En n'arrêtant pas l'immigration, en 2050, la France sera le Liban en grand, une république islamique ensuite. Les lois de la démographie sont implacables si on n'y oppose pas la politique. C'est pour cela que je suis candidat.
 
Vous vous faites le chantre depuis de nombreuses années d'une union à droite. Cette promesse n'est-elle pas aujourd'hui compromise par le déséquilibre dans l'origine de ceux qui vous rejoignent. Plutôt qu'être un pont entre LR et RN, n'êtes-vous pas en train de bâtir un RN bis ?
 
Cette impression est une illusion d'optique. Nous avons reçu de nombreux ralliements venus du RN mais nous avons aussi beaucoup de ralliements venus de LR comme Guillaume Peltier, ancien numéro 2 du parti et porte-parole de Nicolas Sarkozy. Comme l'ancien député LR Nicolas Dhuicq, qui m'a rejoint hier, ou comme Philippe de Villiers, ancien ministre de Jacques Chirac. Il y en aura d'autres. Pour l'instant, les logiques partisanes bloquent quelques-uns. Avant le premier tour ou après, je suis convaincu que des personnalités issues de LR choisiront leur pays avant leur parti. Au second tour, il leur faudra faire un choix entre appeler à voter Emmanuel Macron. Ce que fera Valérie Pécresse à 20 h 02. Et appeler à voter pour moi. Ceux qui ne voudront pas appeler à voter Emmanuel Macron auront cette responsabilité face au pays, ils ne pourront ni voter blanc ni s'abstenir. Car cette élection est notre dernière chance.
 
Que répondez-vous à ceux qui assurent que votre qualification au second tour est la certitude d'une réélection d'Emmanuel Macron ?
 
La question du second tour ne se pose pas encore. Beaucoup de Français ne sont pas encore dans le premier. Si on croit les sondages, Emmanuel Macron gagne dans tous les cas. En novembre 1980, Valéry Giscard d'Estaing est à 60 % dans les sondages et François Mitterrand à 40. Nicolas Sarkozy était donné en février 2012 à 40 % contre François Hollande, pour ne finalement perdre qu'à un point et demi. Et je persiste à croire que s'il avait osé transgresser davantage sur l'immigration, c'est-à-dire proposer ce que je propose, il aurait été réélu. Ça ne veut pas dire qu'il n'y a pas d'enjeu. Ni que j'ai gagné, mais que c'est possible. Tout sera une question de dynamique et elle est pour l'instant pour moi. Je constate d'autre part, partout où je passe, que les gens attendent le match. Le débat du second tour entre Emmanuel Macron et moi. Tout le monde m'en parle. Ils ont raison, ce sera un véritable affrontement idéologique sur la civilisation que nous voulons.
 
En cas d'échec à l'élection présidentielle, resterez-vous à la tête de votre force politique ?
 
Je n'abandonnerai jamais 110 000 Français et des millions de gens qui votent pour nous et me disent « sauvez-nous ! » . Avec Reconquête ! nous ouvrons une troisième page de l'histoire de la Ve République. La première partie a été marquée par un affrontement entre le gaullisme et le Parti communiste, sur fond de guerre froide. Cette période s'est achevée avec François Mitterrand qui a renversé la malédiction en rassemblant communistes et socialistes. Il perd d'un souffle en 1974 mais réussit cette recomposition et gagne en 1981. Je pense que j'ouvre une troisième période. Ni Marine Le Pen, ni Valérie Pécresse ne veulent sortir de leurs boutiques. Moi, je veux rassembler toute la droite d'abord, puis tous les Français.

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Ukraine, Afghanistan, Irak, Libye, Syrie, implications et compromissions !

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Jean-Loup Izambert et Claude Janvier.

Auteurs du livre "Le virus et le président", IS édition. Extrait du chapitre 8.

Emmanuel Macron, à propos de la crise ukrainienne, joue à cache-tampon entre Joe Biden et Vladimir Poutine ! Magistrale poudre aux yeux juste destinée à ce que vous votiez prochainement pour lui en avril ou l'un de ses complices. 5 ans de règne sans dialogues, sans partages, - sauf avec ses amis et relations - et sans compassions. Vous croyez que l'on exagère ? Lisez ce texte documenté issu du chapitre 8 de notre livre "Le virus et le président", IS édition, et faites vous votre propre opinion.

« Nous sommes en guerre ». En écoutant Emmanuel Macron prononcer ces mots à six reprises avec un ton martial lors de son allocution du 16 mars 2020, nous étions inquiets.

Car en effet, un énarque-bancarisé en costard-cravate qui parlotte sur la guerre, ça fout le trouille.

Ça fout la trouille pour la simple raison qu'un tel chef des armées, constitutionnellement parlant, élevé au biberon de l'ENA et poudré-finance « pour plaire un peu comme une prostituée » – c'est lui qui l'a dit (1) – dans les allées de la Rothschild ne peut que nous la faire perdre.

Surtout celle contre la "pandémie"; du SRAS-CoV-2. Du reste, celle-ci était déjà perdue d'avance pour cause de bousillage du budget de la Santé depuis des décennies. Donc, pas de gros soucis. Il restait juste à compter les morts, dont la plupart auraient pu ne pas mourir sur ce champ de bataille du déshonneur.

Nous avons pensé qu'il allait vous parler enfin du bilan de la guerre contre l'Afghanistan de 2001 à 2014 avec l'OTAN. Pas vous ? Non, c'est vrai, vous êtes complètement désinformés sur le sujet et vous vous contentez de payer les aventures militaires de l'Élysée contre les peuples.

L'Afghanistan, c'est loin, et officiellement terminé depuis décembre 2014. Interloqués nous fûmes. « Guerre », « ennemi invisible », « première ligne », « combat »… Nous nous sommes dit : « Tiens, il va enfin nous parler des guerres françaises en Afrique ». L'Afrique, c'est plus proche que l'Afghanistan, et la France y entretient sa vieille tradition de massacres afin de sauver régulièrement des dictateurs corrompus qui permettent à ses sociétés transnationales de piller les richesses.

Tenez, par exemple, la République démocratique du Congo (RDC), l'un des pays les moins développés du monde à force de Françafrique, détient près de la moitié des ressources globales en cobalt et assure 60 % de la production mondiale. La réglementation de cette industrie y est pratiquement inexistante, les institutions très faibles, en grande partie en raison de son histoire d'exploitation étrangère depuis la période coloniale. Le cobalt entrant dans la fabrication des batteries Lithium-ion, la décision de certains constructeurs automobiles de privilégier la voiture électrique a entraîné une augmentation considérable de la demande.

Derrière les publicités en quadrichromie des villes silencieuses et propres de ces constructeurs se cache une autre réalité, beaucoup moins belle : l'extraction du cobalt se fait dans des mines artisanales congolaises dans des conditions souvent déplorables. « Généralement, des travailleurs – y compris des enfants – creusent avec un équipement de base dans des tunnels dangereux. Alors que le risque mortel d'effondrement est permanent, ils gagnent à peine assez pour se nourrir », indique Alexander Lefteris Papadovassilakis, chercheur au Centre de Politique de Sécurité de Genève. (2) Idem pour le lithium (Bolivie, Chili, Argentine), le nickel et le graphite destinés aux producteurs des mêmes batteries, dont l'extraction dans des conditions souvent inhumaines met de plus en péril l'équilibre écologique des pays d'où ils sont extraits en détruisant des sites naturels. Pratiquement pas de Code du Travail, peu ou pas de réglementation, surexploitation…

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mercredi, 23 février 2022

Obsèques du professeur Luc Montagnier : un hommage populaire

Petit tour d’horizon, devant la coupole du Père-Lachaise :

le reportage de FranceSoir

Et celui de Boulevard Voltaire :

Ce mardi 22 février après-midi avaient lieu au cimetière du Père-Lachaise, les obsèques du professeur Luc Montagnier. L’annonce de son décès avait été traitée avec une certaine indifférence par les médias de grand chemin, qui avait d’ailleurs tardé à s’en faire l’écho. On ne s’étonnera donc pas de leur absence ce jour dans le célèbre cimetière parisien.

Au moment où cet article est rédigé, seul Ouest-France relaie l’information, en s’appuyant sur les réseaux sociaux pour les images et n’en oubliant surtout pas de rappeler que ce scientifique célèbre dans le monde entier était « controversé », ce qui semble bien pour eux être l’info la plus importante à rappeler.

En l’absence aussi de tout représentant du gouvernement, pas même le ministre de la Recherche, c’est donc un hommage strictement populaire qui lui a été rendu, une foule importante ayant fait le déplacement pour lui dire merci et au revoir. Le professeur Christian Perronne et Jean-Dominique Michel étaient présents, de même que Martine Wonner et quelques autres résistants moins médiatiques. Mais somme toute peu de représentants du peuple.

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Source et article complet sur E&R

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Il manque 50 signatures, il reste quelques jours... Eric Zemmour s'adresse aux maires de France

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À quand des vaccinoriums ?

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La chronique de Philippe Randa

On ne dit pas « enfermer », n’est-ce pas ? Le terme est bien trop violent pour notre société de bisounours… enfin, de bisounours parfois quelque peu agressifs, comme ces voix qui s’élèvent pour réclamer de confiner les non-vaccinés, à l’exemple de l’Autriche qui a montré le vilain exemple en novembre dernier : tous les non-vaccinés étaient assignés à résidence… et, aux États-Unis d’Amérique, patrie auto-proclamée de la Liberté avec un grand « L », près de 40 % des démocrates seraient d’accord de « foutre tout ce misérable monde » en quarantaine, tandis qu’ils ne seraient que 30 % à nourrir de telles charitables intentions en Grande-Bretagne.

Et en France ? Valérie Pécresse et Xavier Bertrand, à l’époque tous deux candidats à l’investiture LR, l’envisageaient « au cas où », tandis que Christophe Castaner, président du groupe LREM à l’Assemblée nationale, n’en rejetait pas l’hypothèse.

D’autres suggèrent désormais la fin des soins gratuits pour les non-vaccinés… sans évidemment qu’il soit question de leur rembourser les cotisations obligatoires qu’ils ont payés des années durant ; c’est la proposition de Martin Hirsch, directeur général de l’AP-HP : « Les non-vaccinés doivent-ils bénéficier des soins gratuits ? » Brave gars, va !

Tout ce tohu-bohu m’en rappelle un autre, vieux d’une quarantaine d’années : dans les années 80, le Sida, maladie effrayante, faisait alors la Une des médias. Jean-Marie Le Pen préconisa la création de sidatoriums – comme il existe des sanatoriums pour les tuberculeux pulmonaires – afin d’isoler les porteurs du VIH et protéger ainsi le reste de la population.

Bonne ou mauvaise solution, chacun est libre d’en penser ce qu’il veut, mais au moins le leader du Front national ne refusait (évidemment !) pas qu’on soigne les malades, ni qu’on leur refuse une gratuité de soins à laquelle tout Français cotisant a droit…

Et pourtant ! Que ne l’a-t-on traîné dans la boue : les médias déchaînés comparèrent les sidatoriums – mais étrangement pas les sanatoriums – à des camps de concentrations et une telle stigmatisation des malades à une odieuse discrimination nous rappelant, bien sûr, les heures les plus sombres de…, etc., etc.

Comme quoi un « bien-pensant » d’aujourd’hui peut préconiser de faire bien pire que ce qu’un « mal-pensant » d’hier proposait sans déclencher les mêmes réactions d’hystéries.

Lisez EuroLibertés cliquez là

02:24 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 21 février 2022

Ottawa – Freedom Convoy : la presse canadienne se fait le porte-voix du gouvernement Trudeau

Devant l’actualité qui s’accélère autour du Convoi de la liberté canadien, Alexis Cossette a mis en ligne une nouvelle vidéo depuis celle réalisée il y a deux jours, ce samedi 19 février. Nous la mettons aussitôt à disposition de nos lecteurs.

La presse canadienne, anglophone ou francophone, s’est faite le servile relais de la propagande gouvernementale, à un point tel que même la presse étrangère alignée – dont le New York Times – s’est fendu d’articles critiques sur les choix du gouvernement Trudeau et sur la diabolisation injuste d’un mouvement pacifique. Retour en images sur le mouvement des camionneurs maté par la force et le mensonge médiatique.

Retrouvez ci-dessous l’interview de Mike Lindell citée dans le Web-journal d’Alexis Cossette :

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Mali : les éthers idéologiques expliquent l’éviction de la France

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Bernard Lugan

Le vendredi 18 février 2022, la junte militaire au pouvoir à Bamako a exigé que le départ des forces de « Barkhane » se fasse immédiatement, et non pas par étapes, comme l’avait annoncé le président Macron. Comment en sommes-nous arrivés à une telle situation et à une telle rupture ? 

Comme je ne cesse de le dire et de l’écrire depuis des années, notamment dans mon livre Les Guerres du Sahel des origines à nos jours, au Mali, les décideurs français ont additionné les erreurs découlant d’une fausse analyse consistant à voir le conflit à travers le prisme de l’islamisme. Or, ici, l’islamisme est d’abord la surinfection de plaies ethno-raciales millénaires qu’aucune intervention militaire étrangère n’était par définition en mesure de refermer. 

De plus, au moment où de plus en plus d’Africains rejettent la démocratie à l’occidentale, la France s’arc-boute tout au contraire sur cette idéologie vue en Afrique comme une forme de néocolonialisme. Plus que jamais, les dirigeants français auraient donc été inspirés de méditer cette profonde réflexion que le Gouverneur général de l’AOF fit en 1953 : « Moins d’élections et plus d’ethnographie, et tout le monde y trouvera son compte »… En un mot, le retour au réel africain et non l’incantation aux idéologies plaquées. 

 Voilà la grande explication de ce nouvel échec français en Afrique. Sans même parler du refus bétonné de simplement s’interroger sur les arguments de la junte malienne. Immédiatement clouée au pilori par Paris qui ne lui laissa aucune marge de manœuvre, cette dernière fut automatiquement acculée à une fuite en avant maximaliste afin de ne pas perdre la face. Les petits marquis qui font la politique africaine de la France devraient pourtant savoir qu’en Afrique, la priorité des priorités lorsque l’on entre en contentieux, est de ne jamais faire perdre la face à son interlocuteur. Mais cela ne s’apprend pas à Science-Po…

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IL ARRIVE ! Le nouveau numéro (n°59) de la revue Synthèse nationale est sorti, les abonnés vont très vite le recevoir...

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Et, si vous n'êtes pas encore abonné : cliquez ici

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dimanche, 20 février 2022

Jean-Claude Rolinat prendra la parole le samedi 12 mars au meeting du Parti de la France

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Devant le Mont-Saint-Michel, Eric Zemmour s'impose comme le seul candidat crédible face au Système mortifère de Macron

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Eric Zemmour et Nicolas Bay à Pontorson (50) entourés par les responsables normands parmi lesquels nous reconnaissons nos amis Franck Buleux et Emmanuel Camoin.

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samedi, 19 février 2022

Pourquoi la Russie rêve de prendre d’assaut l’ordre européen

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Fiodor Loukianov et Thomas Gomart

 Le président du Conseil pour la politique étrangère et de défense russe et le directeur de l’Institut français des relations internationales ont accepté de décrypter ensemble la « guerre politique » qui fait rage entre la Russie et l’Occident, ainsi que la crise ukrainienne. L’intellectuel russe, considéré comme influent au kremlin, affirme que la Russie n’envahira pas l’Ukraine car il s’agit d’un « grand bluff » de Poutine pour forcer une révision du statu quo en Europe. Mais il campe le cheminement intellectuel et stratégique d’une russie à la fois forte et désinhibée qui a bien l’intention de « réviser l’ordre de sécurité européen » qui lui a été imposé en 1991 alors qu’elle était en position de faiblesse. Loukianov dit noir sur blanc que l’idée de Moscou est de rétablir en Europe, « sans rideau de fer ni accessoires d’une confrontation stupide», « une ligne de division » « soft » mais « claire » «entre deux sphères de sécurité» avec «une zone tampon possible que devrait constituer l’Ukraine». Il affirme que l’option d’une finlandisation pourrait être négociée « avec toutes les garanties de sécurité » si Kiev en acceptait le principe. notant que la Russie est incapable de faire face à son histoire soviétique et au désir de ses voisins « d’échapper au tragique » et à la sphère d’influence russe, Thomas Gomart constate, lui, le « défi stratégique et conceptuel » qui se pose à l’Occident. La Russie dispose d’un « instrument militaire agile », qui a « changé la donne », et elle est prête à utiliser la force militaire si nécessaire, note-t-il.

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Source : Le Figaro 18/02/2022

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Journal du chaos

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vendredi, 18 février 2022

État d’urgence au Canada, fer de lance du contrôle financier mondialiste.

Entrevue avec Stéphane Blais sur Radio Quebec. Justin Trudeau vient de déclarer l'État d'urgence et utilise les banques pour réprimer les manifestants.

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Source : radioquebec.tv

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Samedi 19 février : Eric Zemmour au Mont Saint-Michel

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Pierre Cassen, président de Riposte laïque, prendra la parole le samedi 12 mars au meeting du Parti de la France à Paris

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Les princes de Bourbon-Parme soutiennent Eric Zemmour

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Le prince Charles-Emmanuel de Bourbon-Parme et son fils Amaury ont décidé de soutenir le candidat de Reconquête dans sa course à la présidentielle. Descendants du roi Louis XIV et de Philippe V d’Espagne, les princes s’engagent aux côtés d’Eric Zemmour, candidat dont ils estiment que le programme s’inscrit dans la longue et glorieuse histoire de France.

Regardez l'entretien cliquez ici

 

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mercredi, 16 février 2022

MARC ROUSSET, AUTEUR DE "COMMENT SAUVER LA FRANCE", INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR TV LIBERTÉS

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Économiste reconnu, Marc Rousset, diplômé d'HEC et de plusieurs prestigieuses universités américaines, a fait une brillante carrière internationale. Cela lui a permis de bien connaître d'autres univers et, fort de ses expériences, d'aimer encore plus la France, sa mère patrie.

Depuis des années, dans ses chroniques qu'il donne régulièrement à la presse et dans les livres qu'il publie, il met nos compatriotes en garde contre les effets pervers de la globalisation et de l'ultra-libéralisme. Aujourd'hui, les faits semblent lui donner raison.

Dans cette nouvelle émission "Synthèse", animée par Roland Hélie et Philippe Randa, Marc Rousset, en fin connaisseur de la Russie, soutient la politique du Président Poutine et dénonce les manipulations médiatiques de l'OTAN et des réseaux mondialistes à propos de l'Ukraine. Il nous présente aussi son dernier livre "Comment sauver la France : pour une Europe des nations avec la Russie" (Éditions du Panthéon) et il nous fait part de son soutien à la candidature d'Éric Zemmour à la présidentielle d'avril prochain.

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"La Bibliographie générale des droites françaises" en 5 volumes (réalisée par Alain de Benoist) vient d'être rééditée...

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Edité par Dualpha

Prix préférentiel pour l’achat des 5 volumes : 1 + 2 + 3 + 4 + 5 :  200 € (au lieu de 289 €)

Pour les commander cliquez ici

La plupart des auteurs dont nous nous sommes occupés ont connu un succès considérable. Certains ont vu leurs ouvrages vendus à des dizaines de milliers d’exemplaires, d’autres ont été lus dans le monde entier. Ce travail s’adresse au grand public cultivé, aux étudiants, aux chercheurs et aux lecteurs motivés. Alors même qu’il ne se sent pas nécessairement d’affinités avec les écrivains ou les théoriciens dont il s’est occupé, l’auteur de ce travail est à cet égard conscient d’être allé à contre-courant. À sa façon, toute bibliographie relève d’un “travail de mémoire”. Elle aide à maintenir hors de l’oubli des noms qui ont marqué une époque et joué un rôle dans la vie culturelle, littéraire ou intellectuelle. Elle offre au regard un panorama qui dévoile l’étendue d’une œuvre et permet d’apprécier l’influence que celle-ci a pu exercer. Elle restitue l’écho des polémiques et des passions qui ont marqué les décennies écoulées depuis la fin du XIXe siècle. C’est ainsi qu’elle contribue à l’histoire des idées.

Volume 1 (676 pages) : Arthur de Gobineau – Gustave Le Bon – Édouard Drumont – Maurice Barrès – Pierre Drieu la Rochelle – Henry de Montherlant – Thierry Maulnier – Julien Freund.

Volume 2 (550 pages) : Georges Sorel, Charles Maurras, Georges Valois, Abel Bonnard, Henri Béraud, Louis Rougier, Lucien Rebatet, Robert Brasillach.

Volume 3 (756 pages) :  Louis de Bonald, Alexis de Tocqueville, Georges Vacher de Lapouge, Léon Daudet, Jacques Bainville, René Benjamin, Henri Massis, Georges Bernanos, Maurice Bardèche, Jean Cau.

Volume 4 (792 pages) :  Joseph de Maistre, Ernest Renan, Jules Soury, Charles Péguy, Alphonse de Châteaubriant, Jacques Benoist-Méchin, Gustave Thibon, Saint-Loup, Louis Pauwels.

Volume 5 (648 pages) : Edouard Berth, Louis-Ferdinand Céline, Dominique de Roux, Raymond Abellio, Jules Monnerot, Paul Sérant, Jean Mabire, Jean Madiran, Dominique Venner, Jean Raspail.

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Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, invité à prendre la parole samedi 12 mars au meeting du Parti de la France

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Le livre "Mes quatre vérités" de Fernand Le Rachinel publié par Synthèse nationale : sortie grand public cette semaine

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Mes quatre vérités, Fernand Le Rachinel,

Les Bouquins de Synthèse nationale

450 pages, 29,00 € (+ 5,00 € de port)

Pour commander ce livre cliquez ici

 

Ce qu'en pense Jean-Claude Rolinat :

Fernand Le Rachinel, plusieurs vies en une...

À l’époque où les États-Unis étaient encore « l’Amérique » avec un grand « A », – pas cette décadente juxtaposition de communautés étrangères les unes aux autres -, on parlait des self made men, ces hommes qui « s’étaient faits seuls », qui s’étaient sortis de la médiocrité et de la misère, par leur courage, leur travail et leur talent. Et, à juste titre, on les admirait.

Fernand Le Rachinel, « meilleur ouvrier de France », businessman averti, conseiller-général, député européen et père de famille, qui s’est élevé dans la hiérarchie sociale à la force de ses bras et grâce à son intelligence, est de cette race-là. En plus, il ajoute une qualité bien rare de nos jours, la fidélité. Tout à fait par hasard, alors qu’élu local j’évoquais un jour, avec le député de ma circonscription Christian Jacob, le Parlement européen, – où tous deux avaient siégé en même temps mais pas sur les mêmes bancs -, nous parlâmes de Fernand. Il me fit une confidence, me disant à propos de ce dernier qu’il lui avait plusieurs fois glissé, « mais que fais-tu avec Le Pen, toi une personnalité locale bien implantée dans La Manche… ? », une sorte d’appel du pied. Le député Le Rachinel, quoique toujours avenant, était resté de marbre : non, il était fidèle à ses idées, à son parti et à son chef, pas question d’aller voir ailleurs si les pâturages étaient plus verts !

Son mandat d’élu français à Strasbourg, l’avait amené à visiter le Bouthan, le « pays du bonheur brut », une monarchie perdue dans les hauteurs himalayennes. Ce qui en dit long sur ce globe-trotter qui n’a pas hésité à investir en dehors de nos murs, en Europe, au Portugal et en Hongrie notamment. Mais il reste fidèle à ses premières amours, à sa passion première, au travail bien fait qui l’a conduit là où il est, l’imprimerie. Il a créé à Saint-Lô dans les locaux de son ancienne entreprise, un musée des arts typographiques où sont exposées les vieilles « bécanes » d’autrefois, et où l’on peut encore voir les caractères en plomb de jadis. Comme si cela ne suffisait pas, le sympathique Normand qui flirte avec les 80 ans, a encore mis depuis un bon moment déjà, une corde supplémentaire à son arc : il écrit. Dans sa bibliographie, déjà trois ouvrages, Le canton de Canisy, son pays, Mes vies comme un roman, où il se raconte, et Pèlerin de l’impossible, tout à la fois épreuve physique, et chemin spirituel en direction de Saint-Jacques de Compostelle…

Des vérités qui dérangent...

Avec Mes quatre Vérités, il pousse en 330 pages réparties en 27 entrées, un grand coup de gueule contre tout ce qui ne va pas dans notre « cher et vieux pays », toutes les inepties, les anomalies, les scandales, les injustices qui émaillent notre quotidien et qui accablent notre peuple. Avec lui, pas de cadeau pour les médiocres, et surtout pas de « langue de bois ». La vérité, en effet, éclate sous sa plume indignée.

Il écrit : « Toutes les vérités sont bonnes à dire : voici les miennes. » Dans son introduction, il nous éclaire sur sa pensée à propos de cette vertu : « C’est mon ADN, ma façon de faire et de voir : dire les choses, avec honnêteté, sincérité et surtout passion, même si elles déplaisent à certains ». Qu’on en juge sur pièce : « Beaucoup de celles et ceux qui nous dirigent restent aujourd’hui, impuissants… Ces guignols qui nous gouvernent. Oui, si rien ne change, nous irons droit dans le mur, la course est déjà engagée ». Pas de quoi se faire des amis dans le sérail !

J’ai particulièrement apprécié le chapitre consacré à l’Algérie, intitulé « Mémoire et vérité ». Là aussi l’auteur n’y va pas par quatre chemins et, à rebrousse-poil de la doxa dominante, il met « les pieds dans le plat » : « Revenir sur l’histoire de la guerre d’Algérie et sur les accords d’Evian, c’est parler de ce qu’on ne dit jamais : la falsification d’une histoire qui fut bafouée, transformée par un pouvoir aux ordres des dirigeants algériens. Macron est prêt à tout pour flatter un électorat issu de l’immigration. Une honte : la France est devenue le pays des reculades. »

Mais Le Rachinel ne fait pas que dans la nostalgie. Il empoigne à bras le corps les problèmes bien réels et contemporains, comme la faillite de l’enseignement, la justice dont la balance penche à gauche toute, la gestion du virus chinois qu’il intitule avec juste raison « Bienvenue en Absurdistan », la folie des mises aux normes, l’antiracisme et son corollaire, le terrorisme intellectuel, les médias et la désinformation, les tares du socialisme en matière économique, la folle fiscalité française, sans oublier l’administration avec un grand « A », véritable tonneau des danaïdes, qui pille le pays. On pourrait ajouter un sujet qui concerne des millions d’automobilistes, en lisant les pages consacrées à la sécurité routière.

Il n’oublie pas non plus d’égratigner au passage quelques personnalités qui peuplent notre « zoo politique », comme Anne Hidalgo, – « Notre-Dame de Paris ! » -, qui cherche désespérément des électeurs, Hollande, « benêt et heureux qui sourit aux anges », – l’homme qui disait en parlant des terroristes du tragique 13 novembre 2015, « Ce sont des Français qui ont tué vendredi d’autres Français » -, ou encore Pierre Moscovici, « qui a préféré quitter le navire gouvernemental à la dérive », mais qui n’est « pas parti les mains vides ».

Ce qui n’empêche pas notre écrivain  de tirer un coup de chapeau, au hasard, à Christine Tasin, militante républicaine et laïque, et au cardinal Robert Sarah, d’origine guinéenne, lequel n’hésite pas à dire aux Européens, «  Vous êtes envahis par des peuples qui vont vous dominer ».

Tout en confessant qu’il n’est pas un utilisateur de Facebook ou de Twitter, notre Fernand n’en stigmatise pas moins les « fake news » qu’il traduit à juste titre par « fausses informations », et n’oublie pas de citer, au passage, la cérémonie des Bobards d’or qui épingle chaque année les « journaleux » coupables de désinformation.

Mes quatre Vérités est un ouvrage décapant, présenté sous une élégante jaquette, bien écrit, facile à lire, – pas besoin d’avoir à portée de la main un cachet d’aspirine comme avec certains ouvrages prétentieux ! -, qui « passe en revue les grands enjeux de notre société et dénonce les multiples incohérences d’un système politico-médiatique à bout de souffle », comme il est écrit en quatrième de couverture.

En deux mots comme en cent, c’est un livre « roboratif » quoique facile à digérer, qui donnera des munitions à ceux des nôtres qui seraient en manque d’inspiration pour combattre un système d’autant plus dangereux, qu’il est, par endroits, agonisant.

Source Polémia cliquez ici

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mardi, 15 février 2022

Biden en Ukraine : courage, fuyons !

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Renaud Girard

Joe Biden continue à innover dans la grande stratégie. Il en est à sa troisième innovation stratégique sur l’arène internationale.

La première fut, en Afghanistan, son concept de retrait précipité sans nécessité. La seconde fut, avec l’Aukus, l’humiliation sans nécessité d’un allié serviable. La troisième est, aujourd’hui, l’hystérie sans nécessité face à des manœuvres militaires russes, cantonnées aux territoires de la Russie et de la Biélorussie.

Le président a ordonné le retrait d’Ukraine du personnel diplomatique et militaire américain, invoquant le risque imminent d’une invasion russe. Poutine a dit qu’il n’y en aurait pas. Mais Joe Biden y croit tellement qu’il a averti ses alliés que le déferlement des chars russes sur le sol gelé des grandes plaines ukrainiennes pourrait commencer à l’aube du mercredi 16 février 2022. Quelle précision dans le renseignement ! Depuis l’Irak de 2003 et ses prétendues armes de destruction massive, la CIA a dû faire beaucoup de progrès.

Biden aime l’Ukraine, où son fils a naguère trouvé un emploi fort bien rémunéré. C’est une nation jeune et sympathique. Le pays est issu de la désintégration de l’URSS, décidée par le Russe Eltsine, l’Ukrainien Kravtchouk, le Biélorusse Chouchkevitch, lors d’un dîner très arrosé, tenu en catimini le 8 décembre 1991, dans un pavillon de chasse de la forêt de Belovej (sud- ouest de la Biélorussie). La population ukrainienne est plus digne d’éloge que les oligarques tirant depuis trente ans les ficelles du pouvoir à Kiev. Elle a longuement manifesté son attachement à l’Europe durant l’hiver 2013-2014 ; elle a courageusement envoyé ses enfants se battre au Donbass, en août 2014, puis en janvier 2015, contre un ennemi beaucoup plus fort. Les oligarques, faisant de la corruption un système, ont hélas pourri la démocratie ukrainienne jusqu’à la moelle.

Si Biden aime, à raison, les Ukrainiens, pourquoi a-t-il décidé de faire partir tous les citoyens américains d’Ukraine ? Parce qu’il ne saurait, face au méchant ours russe, faire courir les mêmes risques aux diplomates et conseillers militaires américains qu’aux 3 millions d’Ukrainiens qui habitent Kiev ?

Les fonctionnaires américains, qui sont payés pour ça, ne devraient-ils pas au contraire rester auprès de leurs amis ukrainiens, dans cette phase que Washington décrit comme particulièrement dangereuse ? Voit-on les « barbares » russes pénétrer dans les enceintes diplomatiques pour y violer les femmes américaines et assassiner leurs compagnons ? Allons, allons, un peu de sérieux M. Biden. Reprenez- vous. En faisant fuir les investisseurs, vous avez déjà beaucoup pénalisé l’économie ukrainienne. Êtes-vous si sûr que votre hystérie réussira à obliger les Allemands à renoncer au gaz russe pour acheter du gaz de schiste américain ?

M. le président des États-Unis, vous n’avez pas jugé la situation avec suffisamment de sang-froid. Certes manœuvres militaires il y a. Mais y a-t-il eu, depuis l’automne, le moindre incident frontalier ou naval entre les Russes et les Ukrainiens ou entre les Russes et les pays de l’Otan ? Non.

Quand vous dites que M. Poutine n’est pas un tendre, vous avez raison. Mais cet ancien officier du KGB est-il un acteur géopolitique irrationnel ? Je ne le crois pas. Or quel serait son intérêt à envahir l’Ukraine ? Avoir à gérer une guérilla en plein cœur de l’Europe ? Il a connu l’échec soviétique en Afghanistan ; il n’a aucune envie de plonger l’Armée rouge dans un nouveau bourbier.

Quand il s’adresse à nous, Occidentaux, Vladimir Poutine est indéniablement rude sur la forme. Il n’hésite pas à laisser ses cybercorsaires infiltrer nos infrastructures. Mais, quand on l’écoute sans hystérie, on s’aperçoit qu’il n’a pas tort sur tout. Est-il vrai que les Occidentaux ont, après la décision de Moscou de retirer ses troupes d’Allemagne de l’Est, pris des engagements devant Gorbatchev de ne pas étendre l’Otan vers l’est ? D’après le témoignage de Jack Matlock, le dernier ambassadeur américain en URSS, c’est vrai.

On reproche à Poutine d’avoir, en août 2008, aidé militairement le séparatisme ossète en Géorgie. C’est exact. Mais l’Otan n’a-t-elle pas, en mars 1999, aidé militairement le séparatisme kosovar en Serbie ? En géopoliticien classique, Poutine est obsédé par la sécurité du territoire russe. Nous préférerions que sa priorité soit d’établir un État de droit en Russie. Mais il a 69 ans, et nous ne le changerons pas. Il ne veut pas d’une intégration de l’Ukraine dans l’Otan. Cette demande est-elle aussi scandaleuse qu’on le dit ? Posons-nous une seule question : comment réagirait Washington si la Russie entrait en alliance militaire avec le Mexique, et y installaitdes missiles braqués sur les infrastructures américaines ?

Source : Le Figaro 15/2/2022

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La main invisible...

Les forces mondialistes sont en déroute partout, malgré leur domination apparente. Quelles forces opèrent en coulisse contre le Nouvel Ordre Sanitaire?

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Karl Zéro : Mobilisons-nous contre la pédocriminalité !

Toutes celles et ceux qui ont vu 1SUR5, le film contre la pédocriminalité, ont compris l’extrême gravité du problème en France, qu’il était temps de se réveiller pour éradiquer ce fléau. Parmi vous, il y a des militantes et des militants politiques. C’est à vous que je m’adresse aujourd’hui. Nous avons envoyé à tous vos candidats 13 mesures d’urgence (elles sont à la fin) que nous souhaitons voir se transformer en loi, dès la prochaine mandature. Nous souhaitons pouvoir en débattre avec eux, et filmer ces débats, afin que chaque électeur puisse voter en connaissance de cause. La cause, c'est elle des enfants, et c’est à nos yeux la plus importante de toutes.

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lundi, 14 février 2022

L'essayiste Daniel Cologne, collaborateur régulier de la revue Synthèse nationale, apporte son soutien à Eric Zemmour

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Daniel Cologne 

On ne peut pas tout le temps « siéger au plafond », a écrit un jour Alain de Benoist. Il faut parfois quitter le ciel des idées platoniciennes pour descendre dans l’arène politique.

Malgré tout ce qui me différencie d’Éric Zemmour, je lui apporte mon soutien dans la compétition présidentielle. Certes, pour un guénonien ou un évolien, la déconstruction remonte bien plus loin que les années 60. Mais il est indéniable que, depuis soixante ans, un coup d’accélérateur est observable dans la remise en question des magistères, ces « quasi-transcendances », pour reprendre l’expression du philosophe belge Jacques Sojcher :

• le magistère du pater familias, qui n’implique aucune dévaluation du rôle féminin et maternel ;

• le magistère des enseignants à reconquérir face aux absurdes réformes des « pédagogistes » ;

• le magistère des langues anciennes, le latin et le grec, auxquels la langue française doit la majeure partie de sa richesse ;

• le magistère des grands écrivains et artistes, dont les œuvres ne sont presque plus étudiées à l’école ;

• le magistère du politique, supérieur au pouvoir des juges, des financiers et des media ;

• le magistère des « Eurochtones », qui ont le droit de choisir les populations avec lesquelles ils veulent vivre, sans tomber dans la persécution des minorités et la chimère de l’immigration zéro.

Pour avoir saisi le mouvement général de cette destruction des magistères depuis plusieurs décennies, Éric Zemmour mérite l’appui de tous ceux qui considèrent la hiérarchie (ieros archè) comme un principe sacré, compatible avec un développement qui n’est pas une émancipation, et avec une bienveillance qui n’est pas de la complaisance suicidaire.

Avec Éric Zemmour, pour construire ensuite une « eutopie » de Droite !

Le nouveau livre de Daniel Cologne :

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Pour le commander cliquez ici

 

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Le Parti de la France aux côtés d'Eric Zemmour

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Communiqué du Parti de la France

Le Parti de la France tenait le 11 février dernier un Bureau politique exceptionnel, suite au déferlement d’injures et de diffamations visant à dénoncer notre soutien à la candidature d’Eric Zemmour.

Le Parti de la France a pris acte de la décision du candidat de ne pas participer à la campagne de dénigrement du PdF, et nous saluons sa volonté de ne rien céder au politiquement correct.

Le Parti de la France continue donc sa campagne de soutien à la candidature d’Eric Zemmour, seule candidature offrant la possibilité aux idées nationales d’accéder au pouvoir

Notre campagne d’affichage est maintenue, ainsi que notre meeting parisien du mois prochain : La droite nationale avec Zemmour.

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L’affaire qui peut faire tomber Macron (et Pécresse)

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dimanche, 13 février 2022

Eric Zemmour à Saulieu (21)

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Ce matin sur C-News, le sénateur Stéphane Ravier a annoncé son soutien à la candidature d'Eric Zemmour

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On s'y attendait depuis quelques jours, c'est maintenant officiel, le sénateur des Bouches-du-Rhône Stéphane Ravier l'a annoncé ce matin sur C-News et Europe n°1, il soutient, comme tant d'autres cadres du RN, la candidature d'Eric Zemmour.

Vue l'hémoragie qui est celle que subit son parti, de plus en plus de patriotes commencent à s'interroger sur la nécessité de la troisième candidature de Marine Le Pen à la présidentielle du mois d'avril prochain. Affaire à suivre...

Il y a deux mois, Stéphane Ravier faisait visiter Marseille à une équipe de Livre noir :

 

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