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mercredi, 03 novembre 2021

Samedi 6 novembre : l'Action sociale populaire du Pasteur Blanchard fête ses 25 ans de combats

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Qui est le Pasteur Blanchard ?

Depuis des années, le Pasteur Blanchard se dévoue corps et âmes pour soulager la misère en Île-de-France. De la Cité de refuge de l’Armée du Salut dans les années 70, à l’actuelle présidence de l’Action Sociale Populaire (ASP), en passant par les médiatiques « soupes de la Gare Saint-Lazare » dans les années 90, il aura été de tous les combats contre la précarité.

Le combat continue depuis 2005 par le biais de maraudes organisées par l’ASP dans les rues de Paris. Une équipe soudée qui ont foi en l’engagement caritatif du Pasteur et de son épouse Catherine qui anime les activités de l’association. Depuis 2008, les actions ont été élargie à la visite de personnes âgées et en 2011 à l’aide de familles  défavorisés.

Comment peut-on les aider ? 

Par vos dons en argent CCP : 601 0275 Y 033 (délivrance de reçus fiscaux) ou matériels, duvets, couvertures, vêtements.

Contact :

Adresse postale : ASP BP7 91201 Athis-Mons Cedex

Téléphone : o6 74 03 18 15

Mél. : simonnot.fn@gmail.com

FAITE UN ACTE MILITANT EN VISITANT LE BLOG DE L’ACTION SOCIALE ET POPULAIRE, cliquez ici

Prenant conscience de sa vocation de travailleur social, le futur pasteur des pauvres découvre l’étendue de la misère, en tant qu’éducateur à l’Armée du Salut à Paris. Croyant, de culture protestante, il devient pasteur, après un stage pastoral et une ordination au Saint Ministère. En 2005, le Pasteur Blanchard portera sur les fonts baptismaux l’Action sociale populaire (ASP).

Il a publié plusieurs livres aux éditions Dualpha :

Martin Heidegger, philosophe incorrect, 2e éd., 2017
Aux sources du national-populisme : Maurice Barrès et Georges Sorrel, 2e éd., 2017
Mythes et races. Précis de sociologie identitaire, préface de Philippe Gautier, 2e éd., 2017
L’Alternative holiste ou la grande révolte antimoderne, préface de Patrick Gofman, 2017
Vilfredo Pareto, génie et visionnaire, préface de Georges Feltin-Tracol, 2019

… et aux éditions de l’Atelier Fol’Fer :

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La faim justifie les moyens, préface de Philippe Randa, (suivi d’un entretien avec le Pasteur Blanchard, par Gilles Clavel, vice–président de l’ASP, 2e éd.

(Pour commander un ou plusieurs des livres de Jean-Pierre Blanchard, cliquez sur les titres).

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Jeudi soir, Eric Zemmour sur C-News...

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L’impasse migratoire

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Yves Tréard

Ils sont afghans, syriens, irakiens ou iraniens pour la plupart d’entre eux. Arrivés clandestinement en Europe, ils convergent par dizaines de mil- liers vers les côtes françaises de la mer du Nord et de la Manche. Au péril de leur vie, sur de petites embarcations de fortune, ils tentent de rejoindre l’Angleterre. Un pays dont ils ont fait leur eldorado, mais qui ne veut pas les accueillir. Sous aucun prétexte. C’est donc à la Fran- ce de trouver la solution à cette impasse migratoire. En vain. Cela fait des années que cela dure et que Londres ne respecte pas ses engagements, y compris financiers, pour l’aider.

On peut, certes, déplorer l’attitude de la « perfide Albion ». Le Brexit n’y est toutefois pour rien. Les Britanniques n’ont jamais voulu intégrer les accords de Schengen pour mieux se protéger, précisément, de l’immigration illégale.

La responsabilité de l’Union européenne est en revanche pleine et entière. Aussi longtemps qu’elle ne saura pas contrôler ses frontières communes, qu’elle ne s’en donnera pas les moyens efficaces, ses États membres seront exposés à tous les courants d’air de la libre circulation des personnes.

En attendant, à cinq mois de la présidentielle, le pouvoir exécutif ne veut surtout pas que le débat s’enflamme. Sous la pression de militants associatifs en grève de la faim et pour éviter qu’une nouvelle « jungle » s’installe sur le littoral, il a décidé d’héberger à ses frais - aux frais du contribuable, donc - tous les clandestins qui se présenteraient sur place. Une décision on ne peut plus électoraliste pour acheter la paix. Elle ne fait pourtant que traduire l’impuissance française, notamment de ce gouvernement, face à l’immigration clandestine.

Elle signe une défaite sur le terrain et ne garantit certainement pas une victoire dans les urnes...

Source : Le Figaro 03/11/2021

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Une intéressante enquête de la Fondation Jean Jaurès

 

 

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Robert Spieler

Après une “radioscopie” publiée par l’Ifop la semaine dernière, la Fondation Jean-Jaurès se penche sur l’électorat d’Eric Zemmour. Cette étude est particulièrement significative et intéressante car un panel important a été sondé : 5 025 personnes pour l’Ifop et 16 000 électeurs potentiels pour Ipsos, alors qu’un sondage classique concerne en moyenne 1 000 à 1 500 personnes. A priori, la marge d’erreur est donc faible. A en croire cette étude, le quasi-candidat dispose d’un très solide ancrage, parvenant à rassembler plusieurs catégories de la population, réalisant des scores « relativement proches, quel que soit l’âge des électeurs, de 13 % chez les moins de trente-cinq ans à 17 % chez les plus de soixante ans », écrit la Fondation Jean-Jaurès, qui ajoute : « Il réalise des scores relativement proches également entre les principales pro- fessions, ce qui n’est pas le cas de Marine Le Pen. Il recueille aujourd’hui à peu près autant de voix chez les ouvriers (14 %) que chez les cadres et professions intellectuelles supérieures (16 %), de même qu’il obtient à peu près le même score chez les détenteurs d’un 2e cycle (14 %) que chez les électeurs n’ayant pas le bac ». Son électorat, compact, paraît particulièrement déterminé, 64 % de ses électeurs se disant sûrs de leurs choix, des chiffres proches de ceux de Jean-Luc Mélenchon (63 %) ou d’Emmanuel Macron (66 %). « 57 % de ses électeurs pensent qu’il sera qualifié pour le second tour et élu » et « 83 % d’entre eux estiment qu’il a l’étoffe d’un président de la République », un taux d’adhésion particulièrement fort.

Autre enseignement très intéressant : ses électeurs sont littéralement obsédés par l’immigration (75 %) et la délinquance (51 %) — respectivement 46 points et 24 points au-dessus de la moyenne, et ne se préoccupent guère de thématiques telles que l’environnement (12 %) ou les iné- galités sociales (7 %). 96 % pensent que l’islam est une menace pour la République (mais la République n’est-elle pas déjà en elle-même depuis plus de deux siècles une menace pour la pérennité et le rayonnement de la France ?) et 98 % qu’il faut fermer davantage la France sur le plan migratoire, observe la Fondation Jean-Jaurès, plus que l’électorat mariniste, davantage focalisé sur les problèmes sociaux, tels le chômage ou le pouvoir d’achat. Les fondations du vote Zemmour sont donc apparemment très solides, mais il accuse également de sérieuses faiblesses qui peuvent l’empêcher de l’emporter au second tour. Il y a ce que les Anglo-Saxons nomment le « Radical Right Gender Gap », soit le peu d’adhésion que suscite l’extrême droite auprès de l’électorat féminin, et stratégiquement Marine Le Pen a raison, de son point de vue, de “taper” sur la misogynie supposée d’Eric Zemmour. Les Françaises de moins de 35 ans ne sont que 8,2%àle soutenir (soit 10 points de moins que les hommes du même âge). Une réelle difficulté pour Éric Zemmour, qui continue de se dire « contre la parité ». Autre faiblesse mesurée par l’Ifop : « compte tenu de son positionnement plus libéral, Éric Zemmour ne parvient pas à capter la frange la plus populaire du lepénisme : la candidate du RN parvient à conserver dans son giron l’essentiel de ses ex-électeurs ouvriers (74 %) ou employés (71 %) ». Autre point à relever : 70 % des Français estiment qu’il n’a pas l’étoffe d’un président de la République (dix points derrière Marine Le Pen), un chiffre cependant assez peu inquiétant pour Zemmour qui devrait pouvoir aisément terrasser la plupart de ses adversaires lors des débats de l’élection présidentielle, du fait de sa faconde, de sa présence, de son culot et de son sens de la répartie. Il sait dire habilement ce que beaucoup de Français ont envie d’entendre.

Autre élément relevé par l’Ifop : y a-t-il aujourd’hui une surreprésentation du vote zemmourien dans les différents sondages publiés par la presse ces derniers jours ? En effet, « près d’un quart (23 %) de ceux qui déclarent s’intéresser beaucoup à la politique le choisissent pour candidat, contre seulement 9 % de ceux qui affirment au contraire ne pas s’intéresser à la politique », notent les auteurs. Comment évolueront les chiffres quand ceux qui se désintéressent aujourd’hui de l’élection, s’y intéresseront davantage ? Mystère...

Le dossier Zemmour de la Fondation Jean-Jaures, à voir  ICI

Source : Rivarol 03/11/2021

10:21 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

LE PROCES DES ATTENTATS DE PARIS DU 13 NOVEMBRE 2015 ET LE CANDIDAT ERIC ZEMMOUR

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Caroline-Christa Bernard 

Cela fait bientôt deux mois que le procès des attentats de Paris du 13 novembre 2015 a débuté dans l’enceinte du Palais de Justice de Paris où une salle d’audience a été spécialement construite pour accueillir les parties civiles.

En tant que témoin du premier cercle de l’attentat du Bataclan, j’ai assisté à plusieurs audiences dans l’enceinte de la Cour d’Assises Spéciale entourée de murs en bois blanc avec d’élégantes sculptures de marbre ornant la salle.

J’étais en effet convoquée à la barre du Tribunal ce mois d’octobre pour me constituer partie civile ayant été confrontée à un jeune homme décédé dans le bureau de l’administration du Bataclan au RDC de l’immeuble où j’étais domiciliée depuis dix ans et à des scènes de guerre et de chaos d’une grande violence sur nos trottoirs.

J’ai ainsi découvert l’ampleur de ce procès hors norme avec la présence d’une cinquantaine d’avocats, une centaine de gendarmes et de policiers, de nombreux journalistes et psychologues. Je me suis présentée à la barre du Tribunal à l’appel du Président Monsieur Jean-Louis Peries afin de décliner mon identité et livrer brièvement mon témoignage de cette nuit tragique du 13 novembre 2015.

C’est ainsi que j’ai pu longer le box des accusés ou quatorze prévenus sont placés derrière d’épaisses vitres en verre sous la haute surveillance de policiers lourdement armés. Mon attention s’est bien évidemment attardée sur Salah Abdeslam, le seul survivant du commando terroriste. Son regard était froid et hostile, il s’était rasé les cheveux le jour de ma venue au Tribunal. J’ai longuement observé ces accusés, ce sont des hommes à l’allure banale qui ont pourtant commis l’irréparable.

Six ans après la date du 13 novembre 2015, le traumatisme reste béant et insurmontable chez de nombreux rescapés et parents de victimes. Les récits des parties civiles sont insoutenables avec la description de sévices et actes de barbarie perpétrés à l’intérieur de la salle de concerts du Bataclan. Un père a notamment indiqué au Tribunal que son fils a été battu à mort par les terroristes qui lui ont également infligé des mutilations, son fils n’ayant plus de yeux dans les orbites lors de la visite mortuaire à l’institut médico-légal de Paris quelques jours après l’attentat. D’autres parents endeuillés ne sont plus en mesure de travailler, le chiffre d’affaires de leurs propres entreprises s’est effondré depuis la perte de leurs enfants. C’est le cas de Monsieur Patrick Jardin, le père de Nathalie qui travaillait comme éclairagiste lumière avec toute l’équipe du Bataclan au RDC de mon immeuble. Ce père meurtri a été contraint de fermer son affaire de locations de voitures et il se bat pour que la responsabilité de certains dirigeants politiques soit reconnue du fait de la non-intervention des forces de l’ordre et des militaires en faction devant le théâtre du Bataclan le soir du 13 novembre 2015. Cela reste en effet un mystère, une incompréhension, un secret d’Etat. Certains affirment que le gouvernement français a sciemment laisser perdurer le massacre afin d’y retirer certains intérêts notamment pour faire passer de nouvelles lois visant à renforcer le contrôle de la population française.

Malgré la gravité de ces attaques islamiques qui constituent clairement un acte de guerre contre la France, l’omerta reste très importante au sein de la caste politique, médiatique et judiciaire. C’est une page de l’histoire de France qui s’est écrite le 13 novembre 2015, ces attentats sont l’acte le plus meurtrier depuis la fin de la seconde guerre mondiale. En une nuit, nous avons quitté l’époque de l’après-guerre pour basculer dans une ère nouvelle sur notre territoire national, celle des affrontements ethnico-religieux et du grand djihad. Et pourtant, tout le déroulé de ce procès historique reste sous contrôle, aucune parole ne devant destabiliser l’ordre établi et le politiquement correct. Ainsi, il est totalement interdit de faire clairement le lien entre ces attaques meurtrières et l’idéologie coranique, le grand absent de ce procès étant en réalité l’islam.

Le Président Monsieur Jean-Louis Peries conteste toujours le fait que des mutilations à l’arme blanche ont été commises contre des victimes du Bataclan. Les parties civiles les plus virulentes dans leurs prises de parole sont relayées à la barre en fin de séance, en toute fin de journée, lorsque la salle d’audience s’est totalement vidée. Par ailleurs, le Président n’hésite pas à critiquer certains témoignages de parents de victimes considérés selon lui comme des discours trop politiques.

Les médias du système continuent également de pourchasser toute parole qui semblerait déviante sur le thème de l’islam au cours de ce procès, le mot d’ordre étant pour les parties civiles de ne jamais ressentir aucune haine ni ressentiment malgré le traumatisme ou la perte d’un être cher.

Il est à noter que certains rescapés des attentats ont préféré témoigner de façon anonyme à la barre par crainte d’éventuelles représailles et un juge d’instruction refuse que son visage apparaisse publiquement lors du procès ou à la télévision pour éviter tout prise de risque pour son intégrité physique.

Il en ressort une grande infantilisation, les parties civiles étant encadrées par le labyrinthe complexe de la procédure pénale d’un procès d’assises où aucun dépassement d’humeur, signe de colère ou d’indignation n’est toléré. J’ignore moi-même si des poursuites judiciaires pourraient être engagées à l’encontre des parties civiles qui se montreraient trop insolentes ou irrévérencieuses devant la Cour.

De façon inattendue et concomitante à ce procès hors norme des attentats du 13 novembre 2015, nous assistons en parallèle à l’arrivée spectaculaire d’Eric Zemmour dans le champ politique, sa candidature pour l’élection présidentielle de 2022 ne faisant plus aucun doute aujourd’hui. L’exclusion d’Eric Zemmour de la chaîne C-NEWS sur ordre du CSA est à mes yeux étroitement liée au déroulé du procès historique susvisé, Eric Zemmour n’ayant pas hésité à délivrer à l’antenne une parole de vérité dès l’ouverture de ce procès au mois de septembre 2021, peu de temps avant la sanction du CSA. Il semble évident que le maintien d’Eric Zemmour sur le plateau de Christine Kelly aurait permis au polémiste de livrer une toute autre lecture du déroulé des audiences du procès des attentats et cela devant des millions de téléspectateurs. Juste avant son éviction de la chaîne de télévision, Eric Zemmour a d’ailleurs eu le temps de rappeler sur C-NEWS que Salah Abdeslam a agit en tant que véritable musulman, le tout en conformité avec les préceptes du Coran. La grande crainte du CSA, du gouvernement, des médias et des instances judiciaires était en réalité qu’Eric Zemmour fasse publiquement un contre-procès des attentats du 13 novembre 2015 en rappelant le lien évident de ces attaques avec l’islam, le tout en totale opposition avec la vision et la censure imposées par le système en place.

En réalité, le CSA a permis à Eric Zemmour de bénéficier de tout son temps libre pour lancer sa campagne présidentielle avec des meetings et des rassemblements qui sont un véritable succès dans toute la France. Dans ses discours, Eric Zemmour n’hésite pas à revenir sur le drame du Bataclan et sur les autres attentats perpétrés contre la France en rappelant que ces offensives sont toujours commises au cri de « Allah Akbar ! ». Ainsi, le système n’a pas réussi à museler Eric Zemmour qui prend sans cesse la défense des victimes et des parents endeuillés en désignant clairement l’ennemi qui est l’islam. 

Et dans l’ombre d’Eric Zemmour, se cache Mme Sarah Knafo, sa conseillère personnelle, sans qui la candidature de l’écrivain polémiste à la présidentielle n’aurait jamais été possible. Sarah Knafo est une jeune énarque dont la famille est proche de celle d’Eric Zemmour, elle a su convaincre ce dernier de se lancer dans la bataille présidentielle, persuadée du potentiel exceptionnel de cet homme visionnaire à l’intelligence hors du commun. Mais c’est également en mémoire à son petit frère Dan que Sarah Knafo s’est lancée dans ce challenge. Car un drame familial a frappé Sarah Knafo dès l’enfance, sa mère ayant été violemment agressée en Seine Saint-Denis par des racailles alors qu’elle était enceinte de son frère qui naîtra avec un lourd handicap irréversible suite à cette agression. Dan Knafo est décédé en 2018 suite à des complications liées à son handicap. Une date décisive pour Sarah Knafo farouchement déterminée à agir en mémoire de son frère défunt et à changer le destin de la France en propulsant Eric Zemmour dans l’arène politique.

Le verdict des attentats de Paris du 13 Novembre 2015 est attendu au mois de mai 2022 au moment même où se jouera le sort des futures élections présidentielles. Il semble évident que ces deux évènements exceptionnels seront étroitement liés et auront une influence décisive sur le vote du peuple français. 

En octobre 2019, Caroline-Christa Bernard intervenait lors du Rendez-vous Bleu Blanc Rouge de Synthèse nationale :

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mardi, 02 novembre 2021

"Jetez-moi en prison, mais vous ne pourrez jamais me contraindre à votre vaccination"

Christine Anderson, députée européenne (Alternative pour l’Allemagne) : partout en Europe, les gouvernements font pression sur les citoyens pour qu’ils se fassent vacciner. Ce n’est qu’ainsi que la « pandémie » serait contenue, alors seulement nous retrouverions notre liberté. Mais rien de tout cela ne s’est réalisé, malgré le taux de vaccination élevé. Les personnes vaccinées peuvent être infectées et aussi tomber malades malgré la vaccination. Seul Big Pharma en a profité ici.

La prudence est de mise lorsque les élites politiques parlent du bien-être du peuple. Il faut se poser la question, à qui est-ce bon finalement ?  Les méthodes actuellement observées des dirigeants sont celles d’États oppressifs. Je m’y oppose de toutes mes forces !

« En ce qui me concerne, je ne serai jamais vaccinée avec un produit qui n’a pas été testé et qui ne me montre pas que la balance bénéfice/risque est positive, sans effet secondaire à long terme, ce qui n’est à ce jour pas garanti avec ces vaccins. Je ne serai pas réduite à un cobaye de laboratoire et je ne me vaccinerai pas sous prétexte que mon gouvernement me l’impose contre la liberté. PERSONNE N’ACHÈTE MA LIBERTÉ, CAR JE SUIS UNE PERSONNE LIBRE. Je mets au défi la Commission européenne et le gouvernement allemand de me jeter en prison. Mais vous ne pourrez jamais me contraindre à votre vaccination, si le citoyen libre que je suis, décide de ne pas l’être”.

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Source et suite ICI

17:04 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pierre Sidos, l’homme et ses œuvres très françaises

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Francis Bergeron

Les très remarquables Cahiers d’histoire du nationalisme publient un numéro consacré à Pierre Sidos (1927-2020), personnage peu connu en dehors de la sphère très politique et très engagée. Cet homme a pourtant largement participé à l’animation de la politique française pendant la seconde moitié du XXe siè- cle. Il l’a fait à travers les organisations successives Jeune Nation (1947-1958), Parti nationaliste (1958-1959), Occident (1964-1968), et L’Œuvre française (1968- 2013). Notons tout de suite que toutes ces organisations disparurent non pas de leur « belle mort », ou faute d’adhérents et de militants, mais du fait de dissolutions ju- diciaires des gouvernements successifs. De ce simple point de vue, il y a une sorte de continuité politique assez spectaculaire chez Pierre Sidos, et il y a l’affirmation d’un intéressant radicalisme.

Franck Buleux, à qui l’on doit cette étude parfaitement documentée, est un passionné du régionalisme normand (il préside la Société des écrivains normands), un peu dans l’esprit des travaux de Jean Mabire. Il est aussi l’auteur de quelques biographies (Savitri Devi, Jacques de Mahieu, Jean-Pierre Stirbois, Pierre Poujade). Par ailleurs, il publie simultanément, chez le même éditeur, un ouvrage collectif dont il a assuré la direction : Pourquoi Eric Zemmour ?, qui, comme son titre l’indique, apporte un soutien... radical au journaliste de CNews. La Normandie, Zemmour, des biographies de contemporains, nous sommes loin, à première vue, des centres d’intérêt très profilés sur un objectif politique militant, qui étaient ceux de Pierre Sidos.

Johnny Hallyday et Richard Bohringer

L’éclectisme des thèmes explorés par Buleux ne signifie pas pour autant un survol superficiel. Ce cahier sur Pierre Sidos est par exemple un modèle du genre : on y trouve une documentation photographique abondante, une chro- nologie sur six pages, qui permet de s’y retrouver dans la vie agitée de Pierre Sidos et de son clan familial, et quantité d’informations peu connues, comme l’histoire de sa candidature avortée à l’élection présidentielle de 1969, ou encore le texte de Pierre Vial, ancien de Jeune Nation, consacré à l’engagement de Johnny Hallyday et de l’acteur Richard Bohringer au sein du mouvement que dirigeait Sidos.

De toute la série des Cahiers, celui-ci est peut-être le meilleur par le caractère totalement novateur du thème traité. Il n’existait en effet à ce jour, a notre connaissance, aucune étude de fond sur ce courant activiste, qui avait ses spécificités, aucun travail important abordant sous l’angle purement historique le parcours de Pierre Sidos et, au-delà, celui de sa famille, de son père et de sa mère, de ses quatre frères, tous patriotes français, engagés parfois dans des camps opposés.

Voici d’ailleurs un thème qui mériterait d’être raconté, celui de la famille Sidos, prise dans sa globalité, cette somme d’héroïsmes au service de la patrie : Jean Sidos qui meurt au combat en 1940, Pierre et Jacques Sidos condamnés en 1944 et emprisonnés longuement en raison de leur appartenance au Francisme, François Sidos engagé dans le camp opposé, les Forces françaises libres, Henri Sidos tué en Algérie en 1957...

Des sagas familiales qui restent à écrire

Peut-on définir comme patriotes des hommes qui ont éventuellement choisi des camps différents, y compris ce- lui de la collaboration, et dont les engagements leur ont parfois coûté la vie ? Très certainement. Cette fratrie nationaliste voulait accomplir son devoir. Mais, dans certaines périodes troublées, le plus difficile n’est pas, pour une âme bien née, de faire son devoir, mais de savoir quel est son devoir. Beaucoup de familles de patriotes ont connu de telles affres. On pense aux d’Astier de La Vigerie (un communiste, un gaulliste, un royaliste), aux Vaugelas (un chef de la Milice, un Waffen SS, un FFL... ). Des situations de cette nature ont été nombreuses. L’endroit où se trouvaient les jeunes nationalistes au moment de la défaite de 1940 a souvent déterminé le camp choisi. Ce sont autant d’épopées, de sagas familiales qui restent à écrire. Un prochain Cahier d’histoire du nationalisme, peut-être

Source : Présent 30/10/2021

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13:09 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sur La France "insoumise" : intéressant (et poignant) témoignage...

Chaine de Tatiana Ventôse cliquez ici

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lundi, 01 novembre 2021

Geoffroy Lejeune, directeur de Valeurs actuelles, nous parle d'Eric Zemmour

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Source cliquez ici

17:29 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’avenir de la planète a des ratés… la France aussi

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Le billet de Patrick Parment

C’est à Glasgow en Ecosse que se réunissent la plupart des pays, industrialisés ou non pour tenter de se mettre d’accord sur les mesures à prendre face au réchauffement climatique. Sauf que les Chinois et les Russes ne seront pas de la fête. Pour la bonne raison que leurs intérêts économiques ne sont pas en phase avec les mesures que la COP 21 ne manquera pas de tenter d’édicter. Et c’est bien là le grand paradoxe de ces grands rendez-vous internationaux qui, au final, tournent au catalogue de bonnes intentions. Pékin n’entend pas freiner sa croissance et Moscou entend préserver ses avantages. Emmanuel Macron veut faire entendre sa voix au nom de l’Union européenne. Mais les seuls efforts des Européens ne suffiront pas, on s’en doute, à endiguer, contenir ou restreindre la nouvelle phase climatique que connaît la Terre.

En fait, on prend mal le problème. Il s’agit moins de prendre des mesures globales que de revoir nos modes de fonctionnement énergétique. Comme le souligne fort justement Jean-Marc Jancovici, ingénieur et expert reconnu sur les problèmes d’énergie, notre « modernité » ou notre présent si vous préférez, à l’heure de l’industrie et de l’informatique est de plus en plus gourmande en énergie. Et cette énergie est principalement fournie par le nucléaire, le pétrole, le charbon et le gaz. Autrement dit des ressources dites « non renouvelables » et que l’on exploite depuis des décennies. Il est bien évident que cela aura une fin. Or, il existe une autre énergie, inépuisable celle-là, mais qui n’en est qu’au stade expérimental, c’est l’hydrogène. Sa fabrication est complexe, mais le génie de « l’homme blanc » qui se manifeste depuis la Renaissance devrait en venir à bout. Du moins peut-on l’espérer.

De sorte que les solutions à notre portée aujourd’hui consiste surtout à revoir notre modèle économique basé sur une dépense effrénée. Or, même au sein de l’Europe, un accord sur les mesures à prendre n’est pas évident. Prenons pour seul exemple du nucléaire : la France est en avance dans ce domaine et bénéficie ainsi de l’énergie dont elle besoin à un moindre coût. Ensuite, rien n’est moins polluant que l’énergie nucléaire. Bref, cette énergie, est la solution à moyen terme étant donné que l’uranium est un matériau appartenant à la catégorie des non renouvelables. D’ici là, on aura maîtriser l’hydrogène. Espérons-le. Mais tel n’est pas la politique menée par les Allemands qui ont sur le dos la pression constante de ces faux écologistes qui ont fini par avoir la peau du nucléaire allemand. Les Polonais de leur côté ont bien compris que celui-ci offrait le meilleur rapport énergie/prix. Ils ne sont pas les seuls à l’Est. Et ce n’est pas la seule pierre achoppement à l’échelle européenne. Alors à l’échelle mondiale …

Le problème que nous avons en France, c’est bel et bien la désindustrialisation opérée par toute cette bande d’imbéciles que sont nos politiques qui vivent sous la perfusion des énarques. La France pompidolienne nous avait bâti un empire industriel fort sous la houlette de chefs d’entreprise visionnaires comme Ambroise Roux. Il aura suffi d’un Giscard et plus encore d’un bougli bougla chiraco-mitterrandisme pour réduire à néant tous ces efforts et faire de la France un désert industriel.

Mais, la pire gangrène dont souffre notre pays, c’est bel et bien son administration pléthorique déconnectée des réalités et qui à coup de normes, de lois et de règles diverses et variées et souvent imbéciles portent atteinte à toutes les initiatives entrepreneuriales. La France se meurt dans son carcan administratif. Mais la France se meurt aussi d’un système de protection sociale trop généreux dans la mesure où il est aspiré par une immigration pléthorique et d’un Medef irresponsable qui réclame de plus en plus son lot de chair fraîche immigrée. Comment sortir de ce cercle vicieux ? Telle est la question dont tous nos candidats à la présidentielle n’ont pas la réponse à l’exception d’Eric Zemmour.

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Le discours d'Eric Zemmour à Pleurtuit (35) vendredi dernier

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Rétablir deux vérités politiques

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

Avec l’écoulement des années, la mémoire collective flanche souvent, surtout quand le complexe médiatique d’occupation mentale la travaille en profondeur avec insistance. Il n’hésite pas en effet à tordre les faits, à travestir la réalité et à détourner le sens des évènements afin de se conformer à sa narration idéologique. Ses manipulations ne datent pas des fameuses fake news ou infox.

La politique d’intoxication volontaire de l’information se révèle désastreuse auprès des jeunes générations qui, dépourvues de sens critique et sans connaissances particulières de sujets plus ou moins historiques, contribuent à leur insu à entériner les déformations officielles. Prenons deux cas politiques français que les moins de vingt ans ne connaissent plus.

Le premier tour de l’élection présidentielle, le 21 avril 2002, marque la qualification de Jean-Marie Le Pen au duel final face au président sortant Jacques Chirac. Avec une avance de 194 505 voix, le président du Front national (FN) élimine le Premier ministre socialiste sortant Lionel Jospin.

D’abord choqués par cet incroyable coup de tonnerre, les hiérarques socialistes désignent très vite les responsables de cette élimination prématurée : le nombre élevé de candidats et la présence de Jean-Pierre Chevènement qui recueille 1 518 568 suffrages. Deux explications fallacieuses ! Seize candidats - trois trotskistes (Arlette Laguiller, Olivier Besancenot, Daniel Gluckstein), deux écologistes (Corinne Lepage, Noël Mamère), un chasseur (Jean Saint-Josse), deux ex-barristes (Christine Boutin, François Bayrou), deux libéraux (Jacques Chirac, Alain Madelin) et deux nationaux (Jean-Marie Le Pen, Bruno Mégret) – reflètent le large spectre politique du pays réel. La candidature de Jean-Pierre Chevènement sur une ligne nationale-républicaine favorable au rassemblement des souverainistes des deux rives (droite et gauche) n’attire que quelques électeurs socialistes. En fait, l’éviction de Lionel Jospin résulte d’une mauvaise campagne au cours de laquelle il déclare que, face aux licenciements industriels, « l’État ne peut pas tout » et que son « programme n’est pas socialiste ». Son échec reste l’exemple flagrant d’une campagne de premier tour conduite comme une campagne de second tour. Par ailleurs, bien que chef de file de la « Gauche plurielle », le Premier ministre battu avait accepté une multiplication des candidatures au sein de sa propre majorité parlementaire. Contre lui se présentaient Chevènement, les Verts, le communiste Robert Hue et l’exquise Christiane Taubira au nom du Parti radical de gauche (PRG). Or, les divergences entre le PS et le PRG sont d’ordre microscopique. Les 660 515 voix de Christiane Taubira se seraient naturellement portées aux deux tiers sur Jospin et, pour le dernier tiers, sur un autre candidat de gauche. L’élue guyanaise porte ainsi la lourde responsabilité de la défaite historique du candidat socialiste. Il va de soi que cette vérité ne se proclame pas, car ce serait presque outragé l’icône médiatique de la pseudo-diversité…

La seconde vérité politique à rétablir concerne les mairies FN dont la gestion dans les années 1990 aurait été ca-ta-stro-phique ! Au soir du second tour des élections municipales, le 18 juin 1995, le FN remporte trois municipalités grâce à Jean-Marie Le Chevalier à Toulon dans le Var, à Daniel Simonpieri à Marignane dans les Bouches-du-Rhône et à Jacques Bompard à Orange dans le Vaucluse. Deux ans plus tard, la liste de Catherine Mégret, l’épouse de Bruno Mégret déclaré inéligible par le Régime pour un prétexte futile, s’empare d’une autre commune des Bouches-du-Rhône, Vitrolles.

Le FN avait déjà dirigé des municipalités. Dès 1983, le maire de Thio en Nouvelle-Calédonie, Roger Galliot, se ralliait au FN, séduit par un ferme discours anti-indépendantiste. Thio devint cependant en 1985 un solide bastion indépendantiste. En 1989, un ancien député tour à tour démocrate-chrétien et gaulliste, naguère secrétaire d’État d’un gouvernement Pompidou, Charles de Pineton de Chambrun, devient le maire frontiste de Saint-Gilles dans le Gard. Toutefois, il démissionne en 1992. L’élection partielle fait retomber Saint-Gilles-du-Gard dans le giron de la droite molle. Charles de Chambrun (1930–2010) représentait la tendance modérée et atlantiste du FN. Il négocia au début des années 1980 l’implantation en France de l’ignoble Disneyland–Paris et les dérogations léonines au code du travail. Son action municipale timorée explique ce retrait prématuré.

Entre 1995 et 2001, les équipes municipales frontistes subissent le feu nourri des journalistes, des associations subventionnées et des services préfectoraux qui font leur maximum pour entraver les décisions communales.

En 2001 se tiennent de nouvelles élections municipales. Les « bobardements » et autres harcèlements incessants du Système sont-ils des succès ? Non, puisqu’il perd par 3 à 1. Les maires de Vitrolles, d’Orange et de Marignane sont réélus. Le FN gagne même avec Marie-Christine Bignon, la mère de Stéphanie Bignon, présidente de Terre et Famille, la commune de Chauffailles en Saône-et-Loire et plus précisément en Charolais, cette vieille terre d’Empire. Certes, les maires de Vitrolles et de Marignane portent à ce moment-là l’étiquette du MNR (Mouvement national-républicain). La seule défaite concerne Toulon pris par le futur macronien Hubert Falco.

Cette perte n’est pas une surprise. Pourtant, en 1997, Jean-Marie Le Chevalier (1936-2020) avait été élu député avant que son élection fût invalidée pour un motif bancal et que son épouse Cendrine, candidate à sa place, fût battue de peu par un abject « front ripoublicain ».

Le journaliste Serge de Beketch et l’écrivain Yves-Marie Adeline ont rapporté dans leurs souvenirs respectifs l’amateurisme de l’équipe toulonaise, les dissensions internes et les menaces fréquentes de la pègre locale très puissante, d’où le décès plus que suspect de l’adjoint au maire Jean-Claude Poulet-Dachary. Appartenant à l’aile modérée, venu du giscardisme et ami personnel de Jean-Marie Le Pen, Jean-Marie Le Chevalier manqua surtout d’audace et de ténacité, au contraire de ses homologues d’Orange, de Vitrolles et de Marignane.

En 2003, Catherine Mégret perd Vitrolles, victime des magouilles juridiques du Conseil d’État. Malgré son ralliement à l’UMP de Nicolas Sarközy, Daniel Simonpieri est vaincu en 2008 au profit d’un sarközyste dissident. Si Orange et Chauffailles conservent leurs édiles, ceux-ci ont abandonné l’étiquette frontiste. En 2020, Marie-Christine Bignon a transmis la mairie à Stéphanie Dumoulin et occupe une vice-présidence Les Républicains au conseil départemental de Saône-et-Loire. Seul Jacques Bompard demeure après vingt-six ans de mandat l’homme fort d’Orange. Lors des élections municipales et départementales, il est courant que dans ce coin de France, les seconds tours opposent sa Ligue du Sud au FN – RN. Un vrai rêve éveillé...

On aura compris qu’il faut sans cesse rapporter la réalité et contrer les mensonges éhontés du Système. C’est ça aussi, la réinformation !

Salutations flibustières !


• « Vigie d’un monde en ébullition », n°7, mise en ligne sur Radio Méridien Zéro du 27 octobre 2021.

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dimanche, 31 octobre 2021

Riposte laïque publie un livre remarquable sur Eric Zemmour...

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2022 ZEMMOUR AURA LE DERNIER MOT

Pierre Cassen est une figure bien connue de la sphère patriote. Amoureux de son pays, grand pourfendeur de l’idéologie mondialiste et de l’islamisation de la France, il a fondé Riposte Laïque en 2007. Organisateur de l’Apéro saucisson-pinard, des Assises internationales contre I'islamisation de nos pays et de nombreux colloques, notamment sur la liberté d’expression, auteur de Et la France devint la putain de l’islam, il poursuit un combat sans relâche au service de la défense de la France, de ses valeurs, de son mode de vie et de sa civilisation.

Jacques Guillemain quant à lui, est un lieutenant-colonel pilote de l'Armée de l’air devenu pilote de ligne. Retraité depuis quelques années, il est un fidèle contributeur de Riposte Laïque, avec plus de 1800 articles à son actif. Auteur de Macron le pire fossoyeur de la France, il fait partie de ces millions de citoyens profondément attachés à leur patrimoine culturel et qui refusent de se voir dépossédés de leur pays. Passionné de géopolitique et gaulliste convaincu, il prêche pour un retour inconditionnel à notre souveraineté nationale, bien loin de cette France asservie et sans frontières, noyée dans le grand village mondial que souhaite Emmanuel Macron.

Ces deux auteurs voient en Eric Zemmour l’homme providentiel, seul capable de transporter la France des ténèbres à la lumière, après 40 années de trahisons de ses élites. Un livre clair, précis, concis, qui ne s’embarrasse pas de grandes envolées lyriques ou de considérations philosophiques superflues. Puisse « Zemmour aura le dernier mot » convaincre le lecteur que 2022 sera le point de non retour, au delà duquel notre pays sera sauvé de la folie mondialiste ou bien sera condamné à mourir. Un vote existentiel donc.

2022, Zemmour aura le dernier mot, Pierre Cassen et Jacques Guillemain, 15,00 €, 25 € deux exemplaires, 30 € trois exemplaires .

Règlement par chèque à l’ordre de RIPOSTE LAIQUE à envoyer à RIPOSTE LAIQUE BP32 27140 GISORS

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Un monde sans fin

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samedi, 30 octobre 2021

Face à la terreur antifa : il est temps d'exiger la mise hors la loi des thuriféraires de l'anti-fascisme

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Jean-Marie Le Pen invité par Elise Blaise sur TV Libertés

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Jean Messiha : "Une fois qu'Eric Zemmour sera élu"...

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Journal du chaos

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Ces poisons qui rongent notre démocratie

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Ivan Rioufol

La France ne peut, décemment, donner des leçons de démocratie. Idem pour l’Union européenne (UE). Les « élites » françaises et bruxelloises tordent le nez, ces jours-ci, sur la Hongrie de Viktor Orban : le premier ministre est accusé d’avoir aboli les contre-pouvoirs et de se cabrer, avec la Pologne, contre l’ « État de droit » décrété par l’UE. Mais notre Assemblée nationale est elle-même devenue la caricature d’une représentation populaire. L’autre nuit, la possibilité pour le gouvernement de reconduire le passe sanitaire jusqu’au 31 juillet 2022 a été votée en présence de 261 parlementaires sur 577 : 55 % des députés n’ont donc pas jugé utile de venir défendre des libertés. Or elles sont malmenées par le nouvel hygiénisme d’Etat qui rêve d’une société infantilisée où chacun serait numériquement identifié et suivi. Les députés ? Des obligés de l’Exécutif.

Le chœur médiatique prédit une campagne présidentielle autour du pouvoir d’achat. Le sujet est assurément une préoccupation pour les gens. Mais le choix du gouvernement de distribuer une « indemnité d’inflation » de 100 euros aux 38 millions de Français qui gagnent moins de 2 000 euros net par mois est une désinvolture supplémentaire venant d’un pouvoir déconnecté. Une crise sociale ne s’achète pas seulement avec
de l’argent ; l’aumône est insultante. Cela fait trop longtemps que la société subit une « cascade de mépris » (Mirabeau). Rien n’a changé depuis 1789. Lire François Garçon (1) : « La France du XXIe siècle vit encombrée d’archaïsmes d’Ancien Régime. » Le point de rupture est atteint avec la macronie hors sol. « L’Assemblée, élue en 2017, est probablement la plus élitiste socialement depuis plus d’un siècle (...) », dit le sociologue Étienne Ollion (Libération, lundi).

La France est malade d’avoir été réduite à une démocratie d’apparence: une oligarchie a marginalisé la classe moyenne. Cette dernière représente environ 50 % de la population. Or elle a disparu (1 %) de l’hémicycle du Palais Bourbon, sans même parler du Sénat. L’Union européenne se moque pareillement des peuples quand ils réclament la maîtrise de leurs lois. Les Hongrois et les Polonais sont menacés de sanctions par Bruxelles parce qu’ils osent faire prévaloir leurs règles sur celles décidées par des apparatchiks non élus. Orban ne manque pas d’arguments quand il accuse l’Europe, samedi, de se « comporter avec nous et les Polonais comme avec des ennemis ». Le Hongrois compare cette politique impérialiste à la « doctrine Brejnev », qui imposait le communisme aux pays de l’Est sous tutelle soviétique. L’UE étouffe les nations renaissantes.

Le rappeler : les Français, consultés en 2005 par référendum, ont refusé à 55 % d’avaliser la Constitution européenne qui prétend chapeauter les États. L’annulation de leurs votes, avalisée dans l’entre-soi des « élites » en 2007 par le traité de Lisbonne, délégitime les prétentions de Bruxelles à imposer ses « valeurs », c’est-à-dire l’ouverture à l’Autre, la visibilité des minorités (notamment LGBT), la «diversité» culturelle. Frédéric Rouvillois le note (Le Figaro, 25/10) : le principe de primauté du droit européen ne figure pas dans les traités de Rome de 1957, socle de l’Europe contemporaine ; les juges l’ont introduit « en catimini ». C’est aussi en 2003, à l’initiative de Romano Prodi, président de la Commission européenne, que les bases d’une Europe multiculturelle ont été jetées par un « groupe de Sages », dans le dos des peuples, avec un « Dialogue entre les peuples et les cultures de l’espace euro-méditerranéen». La «démocratie» bruxelloise est une blague.

Dévoiement

Le désintérêt collectif porté à la défense des libertés individuelles, mises en cause par le confinement puis le passe sanitaire renouvelé, accentue le dévoiement de la démocratie française. L’absentéisme des députés lors du vote prolongeant l’état d’urgence est le reflet d’une apathie de la société. La progression de l’abstention, redoutée pour avril 2022, est un autre symptôme. L’hygiénisme d’État, cette nouvelle idéologie imposée par Macron le 12 juillet dernier, a été rendu implacable grâce à l’effacement des contre-pouvoirs, à la dramatisation de la contagion du Covid, à la diabolisation des opposants à cet ordre sanitaire. Or, derrière sa prétention à protéger d’un virus, cette quête de pureté contient les germes d’un possible totalitarisme, soft et dépolitisé. Ce régime liberticide est à l’œuvre en Chine communiste. En France, la surveillance collective, la dénonciation citoyenne, la ségrégation civique, l’intrusion de l’État dans

L’intimité des vies sont les premières régressions. L’Assemblée vient de voter, en violation du secret médical, la possibilité pour les chefs d’établissement d’accéder au statut vaccinal des élèves. Rares sont les parlementaires qui, comme Loïc Hervé mardi, osent dire : « Pour nous, le Sénat doit etre la Chambre qui restaure les libertés des Français ».

Les médias «progressistes» ne sont plus, eux-mêmes, à la hauteur de leur mission de défense des libertés d’opinion et d’expression. Lundi, sur le site de Mediapart, près de 200 journalistes avaient déjà signé un appel à «invisibiliser» les personnes «prônant des idées fascistes, racistes, xénophobes (...)», etc. Se prétendant «respectueux des valeurs démocratiques », ces censeurs appellent, sans le nommer, à faire taire Éric Zemmour et à dénoncer ceux qui lui donnent la parole. Or ce sectarisme et cette intolérance n’ont pas été dénoncés par les sociétés de rédacteurs. Elles étaient plus réactives quand il s’agissait de rappeler à l’ordre des confrères trop libres ou impertinents. Pareillement, l’accusation moutonnière en complotisme et en racisme, réservée par les médias à ceux qui avalisent, à la suite de Renaud Camus, le constat d’un «grand remplacement » en cours de la population européenne se révèle infondée: un sondage Harris Interactive publié par Challenges montre que deux tiers des Français s’inquiètent fortement de ce phénomène. Le déni du réel va de pair avec la démocratie sous surveillance.

La droite gagnante... peut perdre

Le politiquement correct est en miettes. Ses mensonges ne peuvent plus cacher l’état du pays. La gauche dissimulatrice en paie le prix : elle est balayée par la droite dont se réclament désormais 37 % des électeurs, contre 20 % pour la gauche (Le Figaro, mercredi). Mais la droite, rongée par ses divisions, est capable de perdre...

(1) France, démocratie défaillante, L’Artilleur.

Source : Le Figaro 29/10/2021

00:12 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 29 octobre 2021

Le Pays malouin en force pour acclamer Eric Zemmour à Pleurtuit (35) vendredi après-midi

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Malgré les quelques dizaines de pitoyables manifestants communistes, LGBT et verts tenus à distance par un imposant service d'ordre, les forces nationales et identitaires de la région malouines se sont retrouvées nombreuses (plus de 800 personnes) vendredi après-midi au centre Delta de Pleurtuit pour écouter et acclamer Eric Zemmour lors de la conférence organisée par l'historien, bien connu des Bretons, Reynald Secher sur la culture.

Nous reviendrons très vite sur cette belle réunion à l'issue de laquelle Eric Zemmour a dédicacé des centaines d'exemplaires de son livre "La France n'a pas dit son dernier mot".

Une satisfaction pour Synthèse nationale : le stock de livres "Pourquoi Eric Zemmour ? La droite nationale à l'heure du choix" cliquez ici que nous venons d'éditer et qui était proposé sur le stand librairie a été liquidé en quelques dizaines de minutes...

23:16 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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23:02 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les cités sont en feu, mais le gouvernement veut dissoudre l'Alvarium d'Angers...

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Un communiqué de l’Alvarium :
 
Nous venons d’apprendre par le compte twitter du ministre de l’intérieur Gérald Darmanin qu’une procédure de dissolution avait été engagée contre l’Alvarium.
 
Que faire ? Que penser ? Que dire ?
 
Déjà rétablir les faits, il y a l’Alvarium et la caricature qu’en ont produit des journalistes, militants d’extrême gauche (Josué Jean Bart, Emeric Evain, Maël Fabre, Maxime Macé, Pierre Plotu…).
 
L’extrême gauche, constituée essentiellement par une minorité de boomers vivant dans le ressentiment permanent et quelques uns de leurs enfants ayant succombé au lavage de cerveau parental, ne supporte pas l’Alvarium.
 
Pourquoi ? Parce que voir de très nombreux jeunes, beaux, intelligents, intègres rappeler par leurs paroles et leurs actes qu’il est impératif de s’occuper des nôtres avant les autres, que notre lien à nos racines est vital et essentiel, et que la solidarité communautaire est le seul mode de vie durable pour résister à la déshumanisation qui vient, leur est tout simplement insupportable. Alors pour lutter contre ce qu’on ne peut pas supporter, on calomnie, on défigure, on salit, on harcèle, on dénonce, on caricature, on attaque, on violente, on insulte.
Depuis sa fondation l’Alvarium essuie avec le plus grand sang-froid les attaques quotidiennes de l’extrême gauche, dénonciations publiques des militants à leurs employeurs suivies de licenciements par peur du politiquement incorrect, tombes familiales profanées, local tagué, sali, recouvert d’urines, menaces personnelles, harcèlement.
 
Comme le but de l’Alvarium est de rebâtir un peuple et une civilisation et non de s’attaquer à qui que ce soit, ses partisans n’ont jamais porté de l’attention à toutes ces attaques, ils n’ont pas cherché à y répondre ni même à porter plainte. La seule règle a toujours été de se défendre lorsqu’on est attaqué physiquement ou lorsque des plus faibles sont menacés. Toutes les soit-disant accusations de violence ont eu lieu dans ce contexte. Aucune attaque n’a jamais été menée par l’Alvarium. Les militants de l’Alvarium ont même de l’humour et ont souvent parodié les calomnies des journalistes militants.
 
Cette dissolution qui n’est pas la première, souvenons-nous de Génération Identitaire, vient confirmer le fait qu’il y a dorénavant en France des crimes de pensée. Certes ce n’est pas nouveau, la République Française a toujours eu tendance à idéologiser tout débat en divisant les Français en deux camps, en créant des ennemis intérieurs… mais un certain nombre de principes juridiques pouvaient encore laisser penser que le pluralisme, la liberté d’expression et la tolérance subsistaient malgré tout, de manière infime, résiduelle. Aujourd’hui c’est absolument fini.
 
Il est interdit de penser en France que notre héritage civilisationnel mérite d’être respecté et honoré, transmis aux générations futures, que notre peuple a une identité, que l’immigration dissout la société en communautés ethniques antagonistes, que la société de consommation pourrit l’humanité, que la mentalité du capitalisme individualiste et court-termiste produit de plus en plus d’injustices et de désastres écologiques. Maintenant vous n’aurez plus du tout, du tout, le droit de penser différemment de la pensée officielle du gouvernement. Alors s’il est interdit de penser différemment, imaginez ce qu’implique le fait de vivre différemment. Tout cela implique déjà aujourd’hui l’illégalité, le séparatisme.
Pourquoi le ministre de l’intérieur agit-il ainsi ? Sans doute pour des impératifs de communication liés à la campagne présidentielle, pour donner des gages à l’extrême gauche, pour conserver le « en même temps » macronien et dissoudre demain une organisation islamique, ou l’inverse, dissoudre une association musulmane pour plus facilement dissoudre après-demain une association française et catholique.
 
Ce dont ils semblent ne pas se rendre compte c’est que l’Alvarium, plutôt que d’inciter à la violence, la canalise. Combien de jeunes Français sensibles aux injustices que subit leur pays ont envie de laisser exploser leur colère ? S’ils ne le font pas c’est d’abord parce que la société neutralise la virilité des jeunes Européens mais aussi parce que des mouvements comme l’Alvarium savent transformer une colère en quelque chose de constructif : maraudes, nettoyages d’espaces publics, cercles culinaires, culturels, littéraires, artistiques, solidarité communautaire, formation…
 
Que faire ? Il importe de clamer haut et fort la vérité ! Non, l’Alvarium ne correspond aucunement aux caricatures médiatiques et gouvernementales. Tout cela n’est qu’un tissu de mensonges. Les militants de l’Alvarium sont des jeunes femmes et des jeunes hommes généreux, souriants, courageux, bons, sérieux, travailleurs, intelligents, cultivés, serviables… Ce sont de futurs pères et mères de familles, certains parmi eux sont même entrés au séminaire pour devenir prêtre. L’Alvarium, c’est un concentré de la meilleure jeunesse du pays. Ce ne sont même pas de petits bourgeois politicards qui essayeraient de faire une carrière et de vivre de la politique. Ce sont tous des étudiants ou de jeunes travailleurs humbles et honnêtes. Certains sont des bourgeois, d’autres des fils d’ouvriers ou d’artisans, d’autres encore sont fils d’immigrés.
 
Ensuite il faut préparer l’avenir. Certes on ne dissout pas des idées, mais une dissolution a quand même des conséquences pratiques pénibles. Vous n’aurez plus le droit de militer avec le même objet social, avec les mêmes dirigeants, avec le même noyau militant ni avec les mêmes méthodes. Tout est à reconstruire : locaux, communication, finances…
 
Faut-il recommencer exactement la même chose ? Cela serait peut-être une erreur car de toute façon nous serions amenés à être dissous de nouveau dès que le mouvement gagnerait en ampleur. Faut-il faire des petites choses cachées ? Peut-être pas non plus car c’est le meilleur moyen de disparaître totalement. Il faut réfléchir à une nouvelle manière d’exister en créant de véritables poches de résistance face à la dictature. Il faut se rendre tout simplement moins dépendant de l’Etat, des banques et des réseaux sociaux et pour cela il faut donc recréer des liens de proximité réels loin des villes et de la surveillance étatique.

22:59 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

1 sur 5 : le film de Karl Zéro contre la pédocriminalité

Nous dédions ce film à toutes celles et ceux qui, enfants, ont été sexuellement abusés.
Aux enfants qui le sont aujourd'hui.
Ensemble, nous devons faire changer la peur de camp.
Ensemble, nous allons définitivement éradiquer ce fléau de notre société.
Nous tenons à remercier toutes celles et ceux qui nous ont aidé à produire ce film, grâce à leurs dons, sur Ulule et Tipeee.
La bataille ne fait que commencer. Nous allons avoir besoin de vous toutes et tous.
Car 1 sur 5, ça fait 13 500 000 personnes... Plus toutes celles et ceux à qui 1 SUR 5 va ouvrir les yeux.
Ça fait du monde. Ça tombe bien, la présidentielle arrive.
Nous allons maintenant nous charger d'aller expliquer la réalité de la situation aux candidats. Leur proposer 5 mesures d'urgences.
Et nous vous diront tout. Qui reprend nos mesures dans son programme, qui s'engage à les faire voter dans les cent premiers jours, et qui... n'en n'a rien à faire.
Parce que si le fléau pédocriminel n'est pas un enjeu de société, alors... qu'est-ce qui en est un ?

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11:45 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Debout les damnés de la terre

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La démocratie, ce n’est pas d’écouter et de comprendre les plus précaires, mais de se souvenir que c’est le peuple, en tant que communauté politique, qui décide.

 L’édito de Natacha Polony dans Marianne 28 :10/2021

Lire la suite ICI

11:36 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 28 octobre 2021

Face au prétendu modèle social : la corporation et le solidarisme

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Jean-Gilles Malliarakis L'Insolent cliquez là

Le texte ci-dessous tend à répondre à une question formulée à propos de la corporation, sur laquelle j'avais d'abord été invité à écrire un article dans la revue Synthèse nationale : "de quoi parle-t-on" ? À la suite de quoi le directeur de cette revue avait programmé en 2020, juste à l'époque où tout a été arrêté en France par le confinement, une conférence qui n'a été prononcée que le 9 octobre 2021 (cliquez ici), et dont le thème "Solutions corporatives" comportait un indispensable point d'interrogation…

Il se trouve que, comme on le verra, quelques jours plus tôt, Éric Zemmour avait jeté tel un courageux pavé dans la mare, une condamnation du fameux modèle social français, supposé généralement tabou, sans indiquer cependant quels types de solutions il préconisait lui-même.

Je tiens à souligner en préambule, que, de mon point de vue la réponse que l'on va lire résulte d'une préoccupation qui a habité toute la vie militante de son rédacteur. On peut résumer en disant qu'il s'agit "d'arracher le Social à la gauche". On lira donc ci-dessous une sorte d'introduction à une théorie qu'on appellera "solidariste". On entendra par ce mot, la volonté de combattre la lutte des classes. La corporation s'y attache dans l'entreprise comme dans le métier. Elle s'oppose aussi bien à ce que cherchent à attiser les communistes, et la CGT, mais également aux calculs de la technocratie et d'une certaine finance à courte vue.

Texte de la conférence du 9 octobre 2021.

Il m'est agréable de faire part ici de mes idées sur le thème de la Corporation, dans le cadre du cercle de Synthèse nationale.

Je remercie le camarade Roland Hélie qui m'avait invité à m'exprimer devant vous pour le 4 avril 2020. Et puis s'est développée la crise du Covid, et le confinement a tout empêché.

  1. Le sentiment d'enfreindre un interdit

Cela m'est agréable aussi parce qu'au rythme où vont les choses nous allons bientôt entendre M. Attal, M. Véran ou M. Dupont-Moretti nous expliquer que l'idée corporative, en elle-même, doit être considérée comme contraire aux principes de la république.

Parler en bien du corporatisme nous expose d'ores et déjà aux foudres de la bien-pensance. "C'est mal puisque c'est défendu". Épatant...

Or, le lieu était bien choisi, à côté d'un ancien café peu connu du grand public, mais qui abrita, pendant des décennies, les rendez-vous bien réels, discrets car très marginaux par rapport à la loi, celui de la Révision organisée par les principaux antiquaires parisiens, contrant à leur manière le vieux privilège concédé depuis 1816 aux commissaires-priseurs. Il s'agissait bel et bien d'une organisation corporative illégale : grisant…

Car la répression du corporatisme a commencé très tôt dans l'histoire républicaine puisque dès la Terreur jacobine c'est un arrêté du Comité de Salut Public en 1794 qui prévoit tout simplement que "les ouvriers et les journaliers qui se coaliseraient sur le terrain professionnel seraient traduits devant le tribunal révolutionnaire". Autant dire qu'ils étaient, dans la plupart des cas, voués la guillotine.

  1. Un long héritage répressif

La codification par Napoléon des acquis de la révolution va conduire le Code pénal de 1810 à organiser l'interdiction de la grève, l'interdiction du syndicalisme ouvrier, mais aussi celle de la concertation patronale et de l'action sociale.

Voici les textes :

"Article 414. Sera puni d’un emprisonnement de six jours à trois ans et d’une amende de 16 francs à 3 000 francs, ou de l’une de ces deux peines seulement, quiconque à l’aide de violences, voies de fait, menaces ou manœuvres frauduleuses, aura amené ou maintenu, tenté d’amener ou de maintenir une cessation concertée de travail, pour forcer la hausse ou la baisse des salaires ou porter atteinte au libre exercice de l’industrie ou du travail.

Article 415. Lorsque les faits punis par l’article précédent auront été commis par suite d’un plan concerté, les coupables pourront être mis, par l’arrêt ou le jugement, sous la surveillance de la haute police pendant deux ans au moins et cinq ans au plus.

Article 416. Seront punis d’un emprisonnement de six jours à trois mois et d’une amende de 16 francs à 300 francs, ou de l’une de ces deux peines seulement, tous ouvriers, patrons et entrepreneurs d’ouvrage qui à l’aide d’amendes, défenses, proscriptions, interdictions prononcées par suite d’un plan concerté, auront porté atteinte au libre exercice de l’industrie ou du travail."

Tout cet attirail restera en vigueur jusqu'en 1864, année où Napoléon III imagine tirer parti de la réunion à Londres de la Première internationale.

  1. Une lutte pour le droit d'association.

Car si en 1791 on a dissous les jurandes remontant au règne de saint Louis, il s'agit de la loi D'Allarde. Contresignée par le roi, elle reprenait une préoccupation réformatrice de Louis XVI. Organisées depuis le XIIIe siècle les anciennes structures professionnelles devaient en effet évoluer. Leur abrogation n'avait échoué en 1776, qu'en raison du dogmatisme de Turgot. La loi Le Chapelier, seulement votée, elle, en juin par l'Assemblée, allait faire défense de les reconstituer sous quelque forme que ce soit, ce qui va s'appeler "délit de coalition".

Voilà un des piliers de l'édifice jacobin dont Napoléon fut le continuateur et que les conditions de la Restauration en 1814 et 1815 interdirent de modifier.

Il est donc tout à fait logique que, tout au long du XIXe siècle, les royalistes aient au contraire lutté pour reconquérir la liberté d'association, liberté reconquise par bribes, notamment pour les mutuelles et les syndicats, mais qui n'est réapparue qu'en 1901, – et d'une façon tout à fait insuffisante et peu sérieuse.

Nous y sommes habitués aujourd'hui, mais il existe l'exemple de l'Alsace et de la Moselle où la loi en vigueur est beaucoup plus solide : c'est la loi allemande de 1905. Contrairement à la nôtre, pas question de les gérer n'importe comment, il faut 9 noms de fondateurs et il ne suffit pas de détenir le cahier pour les diriger, etc. Ce qui s'est passé au FN quand le président statutaire, pourtant mis en minorité, a exclu la majorité des adhérents, ne serait pas concevable au-delà de la ligne bleue des Vosges. Ce qui s'est passé à Radio Courtoisie en 2006, non plus.

  1. Revenons donc à l'historique du mouvement corporatiste français

Prenant racine dans l'opposition à l'héritage jacobin, il prend toute sa force à partir de la Révolte des canuts de Lyon de 1834. Quand elle refuse de s'associer à l'opposition républicaine, on la taxe d'ultraroyalisme.

L'idée corporative se développe avec ce qu'on appelle alors la question ouvrière, en lien avec l'industrialisation et l'exode rural. En 1840, c'est le légitimiste Alban de Villeneuve-Bargemont qui alerte sur les conditions de vie du prolétariat naissant.

Parallèlement, en 1844 un certain Karl Marx, privat dozent de l'université de Halle, invente sa révolte philosophique matérialiste athée en liaison avec le fameux détournement de la dialectique hégélienne par Feuerbach. Il très vite voir dans le prolétariat l'instrument de sa pensée et entre en contact avec les socialistes français. Mais on doit rappeler fortement que dès 1846, Proudhon qui est un homme de liberté qui, par exemple entretiendra une correspondance d'une grande honnêteté intellectuelle avec l'économiste Bastiat, signifie à Marx sa rupture dans une lettre où il dénonce déjà le totalitarisme auquel conduit la pensée du philosophe.

Car il suffit de lire le Manifeste communiste de 1848 pour comprendre qu'il dénonce ce qu'il appelle socialisme féodal, par exemple celui de la Jeune Angleterre, plus encore que le socialisme utopique pour lequel il a surtout du mépris. Marx et Engels se veulent scientifiques : pas de place pour le romantisme, encore moins pour la religion "soupir de la créature opprimée".

Marx en 1864 parvient cependant à rédiger l'Adresse inaugurale de l'Internationale ouvrière dans le sens du socialisme étatiste.

  1. À partir de la Lettre aux Ouvriers du comte de Chambord de 1865, s'affirme la lutte pour le droit d'association.

En cela il faut savoir que La Tour du Pin est un fidèle mais aussi un disciple de ce prince doctrinaire sans doute peu formé à prendre le pouvoir et qui meurt en 1883. Leur pensée va inspirer à son tour et servir de socle à ce qu'on appelle doctrine sociale de l'Église :

l'encyclique Rerum Novarum de 1891 sous le pontificat de Léon XIII, un siècle après la loi Le Chapelier, 40 ans plus tard Quadragesimo Anno en 1931, et Centesimus annus en 1991 par Jean Paul II, dérivent toutes de cette critique solidriste et corporatiste.

Ce catholicisme social c'est donc tout à fait autre chose que la plupart des doctrines que l'on appelle socialistes, dans ma jeunesse tout le monde se disait socialiste, mais on en dénombrait 300 définitions. Pas plus le libéralisme que la corporation n'était vraiment offert sur le marché des idées.

  1. S'agit-il de vieilleries ? Pas du tout : il s'agit d'une actualité française brûlante sinon explosive sous la Macronie et du fait même de son aggravation des diktats de la haute administration et du gros argent.

Nous sortons à peine de 3 crises françaises, marquées par 3 impasses technocratiques. Celles-ci se sont aggravées en l'absence de dialogue entre l'administration et les professions organisées.

C'était déjà vrai en 2018 à l'origine de la crise des gilets jaunes. Au départ ils mobilisent la France périphérique, sur les ronds points, à partir de la question de l'automobile, face à la limitation de vitesse et à la taxation des carburants, questions incompréhensibles pour un bobo parisien dont plus de 60 % ne possède pas de véhicule. Tandis qu'une infirmière libérale, ou un commerçant non sédentaire, ou même un artisan est sur les routes en permanence. Comment expliquer à une caissière de supermarché qu'elle doit, pour sauver la Planète, prendre à la fermeture du magasin, des transports en commun... qui n'existent pas ?

En l'absence de corporations, on va imaginer un prétendu grand débat, une fausse concertation de citoyens tirés au sort, qui ne résout rien sauf à contourner la représentation nationale dans laquelle figurent quelque 80 % de fonctionnaires.

Cela est encore plus vrai dans la crise des retraites de 2019, car rien n'est plus "corporatif" que la question des retraites, qu'il s'agisse de l'âge, de la pénibilité, du droit des veuves à la réversion, du désir même d'arrêter de travailler, mais aussi des capacités d'épargne, de la propriété de l'outil de travail, etc.

La réforme des retraites restera infaisable parce que la retraite ne se pose jamais de la même manière selon les professions, ce qui a conduit à cette usine à gaz appelée compte pénibilité.

Les seules pistes de solution reposeront sur des régimes de retraite corporatifs de base et la plus grande liberté possible de l'épargne. Celui-ci pose aussi, bien sûr, le problème de la fiscalité, étroitement lié au droit de la famille, à la question des droits de succession. Le partage obligatoire égalitaire qui non seulement part de cette conception d'un homme qui né orphelin meurt célibataire. Mais ce partage, cette entrave systématique à la liberté de tester ne laisse libres que les patrimoines financiers sur une famille de 4 enfants on ne peut pas partager sur une base égalitaire ni une maison ni une terre ni une entreprise.

Une entreprise n'est pas divisible en elle-même, on ne doit pas la réduire au statut d'une société par actions. On en arrive à confondre la vente successorale quasiment inévitable avec les trucages sur l'attractivité fictive de la France, car on fait entrer dans les statistiques des investissements la captation étrangère.

Quant à la crise sanitaire, depuis 2020, d'étape en étape, la crise sanitaire se déroule dans le mépris des professions, à commencer par les soignants : toutes les décisions sont prises au niveau d'un prétendu conseil de défense, d'une incompétence totale, inventé par Sarkozy dans un tout autre contexte ; agences régionales de santé allez voir su Wikipédia qui les compose, aucun praticien de la médecine ; en face on impose aux restaurateurs, aux fleuristes, aux libraires, etc. des réglementations ubuesques, sur lesquelles on revient au gré des humeurs présidentielles. Les masques sont inutiles puis ils deviennent obligatoires même en plein air, dans la rue. Alors qu'il me semble que le fonctionnement d'un restaurant ou d'un théâtre ce n'est pas au gouvernement qu'on le connaît c'est dans la restauration, c'est dans la profession. Mais si on pouvait rire des polytechniciens en disant autrefois qu'ils savaient tout et rien de plus, pas le droit de rire avec les énarques et autres technocrates d'aujourd'hui.

  1. La corporation ne doit pas être conçue comme une simple solution d'urgence, pire encore, comme un plaquage administratif de plus. C'est au contraire le reflet de l'ordre naturel des sociétés.

À l'origine de cette démarche, on doit rendre hommage à la démarche de Frédéric Le Play grand fondateur de la pensée sociologique française. Contrairement à l'attitude dogmatique de la plupart de ses prédécesseurs, contrairement à un Turgot par exemple, qui pose en principe que « ce qui compte ce n'est pas ce qui est mais ce qui doit être », il va chercher d'abord à prendre connaissance des faits réels.

Et lorsque Le Play fonde en 1857 sa société d'Économie sociale il se situe ainsi volontairement en dehors du champ politicien, en constatant la réalité fondamentale de la famille, et, au-delà, celle de l'entreprise dans laquelle il va distinguer 6 principes essentiels, d'accord solidariste entre patrons et ouvriers parmi lesquels l'entente sur le salaire mais aussi le respect de la femme.

En 1870, face au désastre, il proclame « que Dieu a fait les nations guérissables. » Car toujours il constate que le libre retour à la loi morale, au bon vieux décalogue tout simplement, conditionne aussi la prospérité des peuples.

Oui, hélas… le Modèle social français actuel, au départ, s'est d'abord construit, au cours du XXe siècle dans la catastrophe et face aux malheurs de la patrie. Ce qui est positif dans ce modèle doit tout à la révolution corporative spontanée de l'été 1940, où l'on assista à l'espérance de la fin de la lutte des classes.

Puis viendra la charte du travail de 1941, en partie déviée par les technocrates du ministère des Finances, mais aussi le symbole du premier mai et de la retraite des vieux travailleurs, promise et non réalisée par le front populaire. Si après 1945 tout cela a été dévié, si les comités d'entreprise ont été détournés de leurs fonctions, si les communistes s'en sont emparés est-ce la faute au maréchal Pétain ?

Tout le mal vient plutôt de l'influence du parti communiste, qu'il s'agisse : des faux principes de la Sécurité sociale monopoliste, esquissés par Croizat dont le programme sera réalisé sous Chirac et Juppé 50 ans plus tard ; du statut du fermage conçu par Waldeck Rochet ; du statut de la fonction publique d'État organisée par Thorez en 1946 aggravé par Anicet Le Pors en 1983 ; de la mainmise sur EDF et surtout dee son "Conseil central des œuvres sociales" qui finance la CGT et c'est le communiste Fiterman qui donnera aussi, plus tard, sous Mitterrand, le contrôle du comité central d'entreprise de la SNCF etc..

En 1946 la confiscation des usines que Louis Renault entendait donner à ses ouvriers, vous savez tous, je pense ce qu'il en fut, une citadelle longtemps imprenable du PCF. Dreyfus qui fut ministre de l'Industrie de Mitterrand écrivit un livre "Une nationalisation réussi Renault" dans lequel il ne donne aucune chiffre représentatif de la gestion de la Régie étatisée…

C'est bien cela le Modèle social français qui bafoue notamment désormais la propriété du métier comme il bafoue la base même des jurandes professionnelles d'autrefois qui supposaient tout simplement aussi une foi commune et une citoyennté partagée, dans lesquelles pouvaient fonctionner une solidarité, et une hiérarchie des savoir-faire, de l'apprentissage à la maîtrise.

Pour toutes ces raisons nous ne confondrons pas non plus le social et le politique.

Zemmour a donc osé mettre en cause le 2 septembre à Lille ce modèle encrassé qu'il qualifie d'obèse. Bravo ! Mais quelle cure d'amaigrissement envisage-t-il pour remettre la France au travail ? Il a su ouvrir une brèche, très bien ; mais il ne s'agit donc pas nécessairement de prendre parti pour X, Y ... ou Z dans la course à la présidence, encore moins de rompre avec quiconque sachant que le monde ne tourne pas autour de cette élection.

Il s'agit de s'engouffrer dans cette brèche et de travailler à la corporation dans le métier, au solidarisme dans l'entreprise et à la subsidiarité dans la nation comme dans l'Europe, chaque chose à sa place.

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Le livre édité à l'occasion de cette conférence (initialement prévue en avril 2020 et reportée au 9 octobre dernier) Pour le commander cliquez ici

Au Puy-en Vellay, la Librairie non-conformiste "Arts enracinés" est victime d'un attentat

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Un communiqué de Maxime Sanial, libraire :

Suite à une campagne d’une agressivité sans précédent exercée contre nous par l’essentiel des organisations de gauche locales (LFI, EELV, PCF, CGT, FSU, SUD, le planning familial, Amnesty, l’opposition au sein du conseil municipal…) concentrée sur notre librairie et notre présence dans les manifestations anti-pass où des extrémistes cagoulés nous ont menacés de mort - ils ont heureusement été proprement virés de la manif’ par les organisateurs - et qui atteint son paroxysme depuis la semaine dernière, suite à l’annonce de la tenue samedi dernier 23 octobre d’une conférence sur le nationalisme, nous avons subi deux agressions, la première dans la nuit du 22 au 23 octobre durant laquelle notre vitrine a été détruite par le jet d’un pavé et la seconde la nuit dernière où notre vitrine a été encore davantage détériorée.

Non contents de ces actes qui démontrent magistralement leur niveau d’argumentation, lesdites organisations ont lancé une “manifestation” violente le lendemain à 16h, devant la mairie, non seulement pour faire annuler la conférence mais pour faire fermer notre librairie - objectif assumé par une responsable du “collectif antifasciste” interrogée par la presse. Sachant que nous participons tous les samedis à la manifestation anti-pass, que celle-ci se conclut habituellement à 16h devant la mairie et que notre librairie est située à trois minutes à pied de leur lieu de rassemblement, il s’agissait clairement d’un traquenard qui nous était tendu pour nous agresser à l’issue de la manif. Prévenus à temps, nous avons quitté le cortège et réussi à rejoindre notre librairie pour préparer la conférence qui devait se tenir à 17h. Ne nous voyant pas à l’arrivée du cortège, le groupe de 150 antifas agressifs et violents qui nous attendait a foncé en direction de la librairie pour nous attaquer. Heureusement, la police a pu nous protéger jusqu’à l’issue de la conférence qui s’est tenue comme prévu, en présence d’environ quarante-cinq personnes. Je tiens à remercier la police pour son intervention massive et la presse locale pour avoir communiqué sur la campagne agressive et les actes de vandalisme que nous avons subis, tout en précisant que la police est intervenue, non pas pour séparer deux groupes venus pour en découdre mais bien pour protéger les personnes venues voir une conférence d’une groupe violent qui s’était réuni dans l’unique but de les agresser. Cette manifestation violente et haineuse a très probablement excité contre nous des voyous qui nous ont vandalisés la nuit par deux fois.

Pour rétablir la vérité face à la campagne calomnieuse que nous subissons, nous invitons chacun d’entre vous, ainsi que la presse - locale ou non - à une réponse publique que je tiendrai ce samedi 30 octobre à 17h dans les locaux de notre librairie. Ce moment convivial autour d’un café sera l’occasion de répondre à cette campagne ordurière et mensongère en nous présentant aux Vellaves tels quels et sans les lunettes déformantes des calomniateurs, mais aussi de tendre la main à ceux qui s’interrogent sur nous mais qui souhaitent entamer un dialogue constructif et enfin d’appeler les responsables de cette situation à apaiser les tensions pour que cessent ces agressions qui, en plus de mettre en danger une famille qui n’a d’autre moyen de vivre que son commerce, a semé un climat de terreur dans le quartier samedi dernier et continue d’entretenir une insécurité ambiante la nuit, après la fermeture de notre librairie.

Enfin, étant donné le climat de menaces et de terreur que ces personnes tentent de répandre, il est plus que probable que notre vitrine soit vandalisée à nouveau, après que nous l’ayons reconstruite. Par conséquent, nous nous trouvons dans l’obligation de poser temporairement un contreplaqué, puis d’envisager rapidement l’installation d’un rideau métallique. Etant donné nos moyens limités et l’absence de subventions publiques, je fais appel à votre générosité en lançant une collecte de dons pour nous aider à supporter ces épreuves et à tenir dans le temps pour continuer à vous proposer une offre culturelle alternative et libre. Pour nous aider, je vous invite à relayer ce message sur vos réseaux et, si vous souhaitez nous soutenir financièrement, à me contacter par courriel à l’adresse suivante : maxime.sanial@protonmail.com

Merci beaucoup pour votre présence. Ensemble, nous gagnerons !

A bientôt

Arts Enracinés 06 32 25 93 59  

Le site cliquez ici

NDLR - SN : Soutenir Maxime Sanial et sa librairie agressée est un devoir militant. 

Avec Philippe Randa, au mois de juillet dernier, alors que nous nous rendions à l'université d'été des Lansquenets en Provence, nous nous sommes arrêtés visiter l'endroit. En plein coeur d'une ville moyenne comme Le Puy, ouvrir une telle librairie dans laquelle on peut trouver de nombreux ouvrages nationalistes et identitaires (y compris les Bouquins de Synthèse nationale) est, reconnaissons-le, un pari à la fois audacieux et courageux. Voilà pourquoi nous tenions à rencontrer Maxime et sa charmante épouse qui en sont les responsables. 

Non seulement cette librairie est parfaitement tenue et en plus, elle semble attirer de nombreux habitants de la régions qui viennent la visiter, y acheter et, souvent, assister aux conférences avec auteurs qui y sont organisées. Il n'en fallait pas plus pour susciter la colère et la violence des petits domestiques locaux du mondialisme et du parti de la finance apatride... La suite, Maxime vous la raconte ci-dessus.

En attendant qu'elle puisse rouvrir, n'hésitez pas à manifester votre soutien à cette sympathique librairie. 

R H

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Samedi 30 octobre : Eric Zemmour à Nantes

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Source Breizh Info cliquez là

Le 30 octobre 2021, à 17h, Eric Zemmour donnera une conférence au Zénith de Nantes Métropole, qui se situe ZAC d’Ar Mor, Boulevard du Zénith, Saint-Herblain 44800, France.

Il viendra y présenter son livre « La France n’a pas dit son dernier mot » mais aussi évoquer l’actualité, et sans soute sa probable candidature à l’élection présidentielle, qui semble de plus en plus forte, eu égard des intentions de vote dans les récents sondages.

Retenez votre place cliquez ici

Pour rappel, Eric Zemmour sera également la veille à l’Espace Delta, à Pleurtuit (35).

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14:11 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 27 octobre 2021

MAÎTRE GHISLAIN DUBOIS, AUTEUR DU LIVRE "LES CRIMES DE L'OTAN", INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR TV LIBERTÉS

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Me Ghislain Dubois, entre Philippe Randa et Roland Hélie, après l'enregistrement de l'émission "Synthèse" sur TV Libertés.

L’OTAN est créée le 14 avril 1949. Elle réunit les anciens alliés de l’Ouest pour faire face à l’Union soviétique et à ses satellites. Depuis la fin de la guerre froide, l’OTAN aurait dû disparaître car elle a perdu sa légitimité et sa raison d’être.

Or, il va en être tout autrement, l’OTAN ne cessera de croître en puissance, en nombre de membres, et en actions : Bosnie-Herzégovine, Serbie, Kosovo, Afghanistan, Irak, Libye, Syrie…

Les guerres de l’OTAN sont menées sans qu’aucun des États qu’elle frappe, bombarde, voire dépèce, ne constitue la moindre menace, n’exerce la moindre agression contre l’un de ses membres. L’OTAN agit avec ou sans la bénédiction de l’ONU, quitte à violer les résolutions votées par le Conseil de sécurité.

Toutes ces guerres sont menées au nom des droits de l’homme, mais elles cachent mal leurs buts réels, et derrière la fumée des « frappes chirurgicales » se cache le feu dans lequel brûlent et meurent des innocents.

Me Ghislain Dubois, avocat au barreau de Liège, a récemment publié « Les crimes de l’OTAN » (préface de Me Roland Dumas ; postface de Me Marcel Ceccald) aux éditions Dualpha. Il est l’invité de l’émission « Synthèse » et nous conte ici le combat qu’il mène depuis 10 ans pour que justice soit rendue à de nombreuses victimes civiles et innocentes de l’OTAN, au nom de ces Antigone et Hamlet des temps présents.

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Quelles perspectives pour la candidature de Eric Zemmour ? Le point de vue de Bruno Mégret

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Bruno Mégret

L’élection présidentielle, que l’on voyait, il y a encore quelques mois, comme une réplique affadie de la précédente, paraît devoir être beaucoup plus riche dans ses débats comme dans ses enjeux. La raison en est la candidature d’Éric Zemmour qui vient troubler les positions acquises et déranger le jeu convenu des partis de la classe politique.

Alors qu’il n’a pas encore déclaré sa candidature, cet éditorialiste et auteur talentueux vient en effet de faire une entrée fracassante sur la scène politique. En quelques semaines il a réussi à occuper la première place dans les médias et il se trouve déjà crédité de près de 15 % des intentions de vote. Aussi faut-il s’interroger sur les perspectives qui s’ouvrent avec cette arrivée d’un homme nouveau dans la course à l’Élysée.

Une candidature médiatique

Cette candidature reflète d’abord de façon spectaculaire la domination des médias sur les politiques. Depuis longtemps déjà la classe journalistique s’affirme comme le premier pouvoir, un pouvoir qui place les hommes politiques dans la situation de devoir lui complaire ou de se trouver marginalisés. Cette prééminence médiatique s’est ensuite encore accentuée lorsque, sur les plateaux de télévision et dans les colonnes des journaux, les débats entre journalistes ont supplanté ceux entre politiques. Avec la candidature de Zemmour, une étape supplémentaire vient d’être franchie : ce sont les journalistes eux-mêmes qui se présentent maintenant aux élections ! Avec ce paradoxe cependant que ce journaliste candidat ne vient pas pour défendre le Système dont il est issu mais pour le contester.

L’enjeu identitaire au cœur des débats

On peut donc se féliciter de cette intrusion du monde médiatique dans le monde politique car les idées-forces qui sont les nôtres vont, à travers Zemmour, se trouver propulsées avec talent au cœur des débats de la présidentielle. La guerre de civilisation, que nous subissons dans le monde multipolaire d’aujourd’hui et qui menace l’existence même de notre civilisation européenne et de notre nation française, cessera d’être ignorée et l’immigration de peuplement qui risque de faire disparaître la France et les nations du continent pourra être enfin reconnue comme un danger majeur pour notre survie.

Une dynamique à conforter

Mais, au-delà de cette avancée extrêmement positive pour nos idées, quelles sont les chances de voir prospérer cette candidature si singulière ? La question qui se pose est en effet de savoir si le polémiste brillant saura endosser les habits de l’homme politique d’envergure capable de devenir le président dont la France a besoin pour renouer avec son histoire. Car Eric Zemmour est à cette heure un homme seul sur la scène publique. Malgré les nombreux appuis qu’il obtient pour gérer et soutenir sa candidature, il n’a pas à ce jour autour de lui des personnalités fortes et connues capables de relayer son discours.

Il ne dispose pas non plus pour l’instant d’un programme exprimant de façon concrète les solutions qu’il envisage de mettre en œuvre. Sans doute cela viendra-t-il après sa déclaration de candidature, mais ce point est important car la prise de conscience des problèmes liés à l’immigration et à l’insécurité est maintenant générale. Le clivage entre les candidats devrait donc se faire plus sur les solutions que sur le constat. Or les Français, échaudés par les programmes et les promesses toujours trahis par leurs élus, attendent maintenant des solutions d’envergure, qui soient à la fois efficaces et crédibles.

Un potentiel électoral important mais fragile

Il faut enfin s’interroger sur le potentiel électoral dont dispose Éric Zemmour. Sur le papier il semble à première vue extrêmement vaste. Se présentant comme porteur des idées qui étaient celles du RPR des origines, Zemmour peut en effet revendiquer les voix des électeurs traditionnels du parti LR issus de cette ancienne formation, ce qui représente un réservoir considérable. Du côté du RN, le potentiel est encore plus important, puisque Zemmour tient sur l’immigration le même discours que le Front National. Un discours que Marine Le Pen a progressivement édulcoré au point de se trouver aujourd’hui comme normalisée et membre à son tour d’une classe politique que son parti prétend pourtant combattre.

Les possibilités de conquête électorale sont donc au premier abord extrêmement prometteuses pour le candidat Zemmour. Mais ces perspectives doivent cependant être nuancées. Du côté LR, il devra faire face à une entreprise de diabolisation de sa personne qui a déjà commencé et qui pourrait dissuader de nombreux électeurs LR de voter pour lui. Du côté du Rassemblement national par ailleurs, Zemmour devra combattre l’argument du vote utile qui peut conduire une large fraction de cet électorat à rester fidèle à Marine Le Pen pour assurer sa présence au second tour.

D’une façon plus générale, on peut s’interroger sur l’état de l’opinion laquelle se trouve conditionnée par des décennies de propagande politiquement correcte et en partie déjà résignée à subir le vivre ensemble. Y a-t-il en conséquence une majorité de Français pour soutenir les propositions radicales d’un candidat qui voudrait réellement rompre avec le politiquement correct et mettre en œuvre les solutions qui seraient à la hauteur des enjeux ? En d’autres termes, les Français qui dénoncent l’incapacité du pouvoir à régler les problèmes de l’immigration et de l’insécurité, ne seraient-ils pas les mêmes à réprouver la radicalité des mesures qui, seules, pourraient les résoudre ?

Les deux scénarios

Il paraît dans ces conditions difficile de se faire une idée précise de la place qu’occupera Zemmour le soir du premier tour de la présidentielle. Deux hypothèses très contrastées sont aujourd’hui possibles.

Si le journaliste ne parvient pas à endosser les habits de l’homme d’État, si les solutions qu’il préconise inspirent la crainte des électeurs et provoquent un processus de discrédit sur sa personne, la dynamique du début peut s’éteindre progressivement et les résultats électoraux être ceux d’une candidature de témoignage.

Si, en revanche, Zemmour parvient à susciter la sympathie et le respect des Français, si son discours réussit à convaincre les électeurs et à entrer en résonance avec les sentiments de nos compatriotes, s’il parvient en conséquence à rallier des personnalités et des électeurs venus du LR et si, dans le même temps, il arrive à marginaliser Marine Le Pen au point de récupérer une large fraction de son électorat, alors tout pourrait devenir possible.

Dans tous les cas, Zemmour va déstabiliser encore un peu plus les partis en place. Il peut alors être à l’origine d’une recomposition politique devenue aujourd’hui indispensable. Or toute recomposition commence par une destruction et s’achève par une reconstruction. Aussi Eric Zemmour peut-il être le destructeur indispensable. Sera-t-il le reconstructeur tant attendu ?

Source Le Chêne n°101 cliquez ici

12:00 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pas de pénurie de main-d’œuvre !

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Arnaud Raffard de Brienne

Selon la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME), 44% des entreprises éprouveraient des difficultés à recruter faute de candidats adaptés à leurs besoins. Plus généralement, ce serait près de 270 000 postes vacants en France, au premier trimestre 2021, qui ne trouveraient pas preneurs. Par exemple, le secteur de l’hôtellerie et de la restauration aurait perdu, pour les raisons que l’on imagine, près de 240 000 salariés entre 2020 et 2021. Selon la Fédération nationale des transporteurs routiers (FNTR), il manquerait aujourd’hui 50 000 chauffeurs, ce qui n’est pas rien.

Mais la rengaine n’a rien d’original et cela fait des décennies que sévit le débat sur une présumée pénurie de main-d’œuvre et la multitude de postes vacants qui en résulterait, sous-entendant qu’il existerait de prodigieux gisements d’emplois dédaignés par les chômeurs. En vérité, il convient d’abord d’observer que, même si l’on constate effectivement un manque de candidats dans presque toutes les qualifications, une large majorité des emplois non pourvus relèvent des métiers de services comme le transport, le bâtiment, l’hôtellerie, la restauration et l’aide à la personne, tous emplois cumulant à la fois pénibilité, faible rémunération et précarité. Une offre mise en concurrence avec un système social jusqu’à présent plutôt généreux même si les contraintes budgétaires laissent présager d’importantes régressions en la matière. Certains milieux patronaux jusqu’au-boutistes, à tendance esclavagiste et toujours avides de chair fraîche à vil prix, ne voient d’issue que dans une relance de l’immigration alors que le pays compte, officiellement mais bien davantage au réel, 5 688 700 demandeurs d’emplois, dont 3 510 000 de catégorie A, sans aucun emploi, et 2 178 000 des catégories B et C, en sous-emploi. Et bien davantage d’immigrés ou issus de l’immigration.

Nous sommes par conséquent, loin, très loin de la moindre pénurie de main-d’œuvre et c’est plutôt l’abondance qu’il faudrait évoquer si certains tabous n’entouraient un débat aussi tronqué que truqué. Rien que pour le plaisir des chiffres, il y a treize fois plus de chômeur en catégorie A que de postes vacants et vingt-deux fois plus si l’on considère les catégories A, B et C.

Les vraies raisons d’une fausse pénurie

Et puis, comment traiter d’une pénurie de main-d’œuvre sans évoquer tout d’abord l’invraisemblable inadéquation entre l’offre et la demande ? Mais pareil constat entérinerait tout à la fois l’échec cuisant  de l’Education dite nationale et, plus largement, du système éducatif et d’orientation français en même temps que de la folle politique d’immigration ou plutôt de son absence. Il faudrait reconnaitre dans la foulée que la faible attractivité de certaines filières et métiers s’explique aussi par le cumul de tâches souvent inintéressantes, pénibles, parfois insalubres, assorties de conditions de travail déplorables et le tout dans un contexte de forte précarité. Enfin, sujet sans doute tabou lui aussi, comment ne pas au moins évoquer une inexorable montée de la fainéantise, conséquence tout à la fois d’un système social jusqu’ici très protecteur, d’une société survalorisant les loisirs et des infinies possibilités de distraction offertes par le numérique ?

Débattre d’une prétendue pénurie de main-d’œuvre sans évoquer ces trois principales pistes de réflexion et sans doute quelques autres n’améliorera sans doute jamais la situation d’un iota.

Article publié dans le quotidien Présent 27/10/2021

11:42 Publié dans Arnaud Raffard de Brienne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |