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vendredi, 17 septembre 2021

Incapable de financer sa campagne, Marine Le Pen appelle Macron à l'aide

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Le blog de Thomas Joly cliquez ici

Depuis des années, le RN a toutes les difficultés du monde à financer ses campagnes, ce parti surendetté étant considéré comme persona non grata par la plupart des institutions bancaires. Marine Le Pen, dans un courrier envoyé le 2 septembre demande donc à Emmanuel Macron de veiller à ce que le Parlement crée de « nouvelles possibilités de financement ». (Source)

Sous sa seule présidence et sa seule responsabilité, Marine Le Pen a fait du RN le parti le plus endetté de France, alors même que toutes ses campagnes électorales ont été remboursées et qu'il bénéficie du financement public. Mais où sont passés ses 25 millions d'euros de dettes ?

On imagine bien Clémenceau, en 1917, demander un prêt à la Bundesbank pour pouvoir continuer la guerre contre le Reich…

Si elle avait des convictions et un tant soit peu confiance en son score, elle emprunterait en son nom propre en gageant ses biens. Mais pour cela, il faudrait un peu de courage...

11:53 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Georges Feltin-Tracol nous présente sa nouvelle émission, "Vigie d'un monde en ébullition" sur Méridien Zéro

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Pour l'écouter cliquez ici

10:39 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Du contrat du siècle au camouflet de l’année

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Philippe Gélie

Joe Biden est sûrement content de son coup. Après avoir mis un genou à terre en Afghanistan, il se relève et marque un point important face à la Chine en embrigadant l’Australie dans sa nouvelle guerre froide. Le « partenariat stratégique », auquel Londres sert de caution européenne, doit encourager le brutal M. Xi à réfléchir à deux fois avant de provoquer l’Amérique ou ses protégés en Asie. Si, au passage, il faut piétiner un autre vieil allié, sur un Vieux Continent passé au second plan des préoccupations stratégiques, quelle importance ? Le coq français n’a qu’à lisser ses plumes, ravaler son orgueil et compter les milliards perdus de la commande annulée. Le « contrat du siècle» a fait place au camouflet de l’année.

On commence à être habitués aux mauvaises manières de Washington, surtout quand son industrie militaire est en jeu. Ce n’est pourtant que le dé- but. La nouvelle alliance, scellée autour de sous-marins à propulsion nucléaire, projette une coopération étendue à toutes les facettes des « guerres du futur », de la cyber défense à l’intelligence artificielle. L’octroi d’une technologie nucléaire – même non militaire au sens strict – à un pays qui s’en était prudemment tenu éloigné jusque-là change les règles du jeu. Il expose la région indo-pacifique à une dangereuse course aux armements. Sans doute poussé par l’agressivité chinoise,  Canberra  s’engage dans le bras de fer sino-américain, au risque d’être obligé de suivre en cas de conflit ouvert. La mise en garde adressée à la Chine est claire : l’Australie devient une plateforme américaine, susceptible d’accueillir bientôt ses missiles à longue portée et ses bombardiers furtifs. Si nécessaire, il ne lui faudra pas longtemps pour devenir elle-même une puissance nucléaire...

La France paie les pots cassés de ces tensions géopolitiques. Au-delà de la « colère » de ses dirigeants, sa réaction dira quelle place elle occupe réellement dans le grand jeu des puissances. Plutôt que de rappeler un ambassadeur ou de sortir de l’Otan, comme le suggère le bouillant Mélenchon, c’est sa capacité de rallier les Européens au projet d’« autonomie stratégique » qui peut faire la différence. L’urgence est là.

Source ; Le Figaro 17/09/2021

10:19 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La France n'a pas dit son dernier mot...

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"Dans la vie des nations comme dans la vie des individus, on passe par des phases d’abattement qui précèdent un redressement, par des phases de déclin qui annoncent une renaissance. J’ai moi-même connu ces moments de doute, de désespoir, où je ne voyais plus pour mon pays d’autre destin funeste que la décadence et la disparition tragique de la France.
 
J’avais mis au jour dans Le Suicide français la mécanique de l’idéologie progressiste qui a conduit notre pays à l’abîme. Mises en danger, ses élites ont compris que la survie de leur projet passerait par la radicalisation du processus de destruction.
 
Rarement nous avons été aussi affaiblis, désunis, subvertis, envahis qu’aujourd’hui.
 
Pas un jour sans sa provocation, sans sa déconstruction, sans sa dérision, sans son humiliation.
 
Sept ans après Le Suicide français, j’ai décidé de poursuivre le récit des choses vues, des choses tues, trop longtemps tues. Pour que la France ne se contente pas d’avoir un futur, mais trace aussi les voies d’un avenir. Pour continuer l’histoire de France.
 
L’histoire n’est pas finie.
 
La France n’a pas dit son dernier mot."
 
La France n'a pas dit son dernier mot, Eric Zemmour, éditions Rubempré, 352 pages, 21,90 €, en vente partout (s'il en reste).

09:32 Publié dans Livres, Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Réédition très attendue du fameux roman de Jean-Claude Rolinat : Pronuciamiento sous les tropiques...

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Entretien avec Jean-Claude Rolinat, auteur de Pronunciamiento sous les tropiques aux éditions Dutan.

(Propos recueillis par Fabrice Dutilleul)

Vous venez de publier aux éditions Dutan Pronunciamiento sous les tropiques. On vous connaissait plutôt spécialisé dans des reportages de voyages, des ouvrages « sérieux » sur la nature des États ou dans des biographies d’hommes et de femmes célèbres, comme Eva Perón, Oliveira Salazar, Ian Smith ou le maréchal Mannerheim. Pourquoi vous êtes-vous lancé dans ce genre littéraire ?

Oui, c’est mon premier et seul roman qui fait l’objet d’une réédition augmentée, enrichie des expériences vécues et de pays visités postérieurement à la première édition. Elle remonte aux années 1980. D’ailleurs, pour être tout à fait honnête, le canevas général de cette histoire avait été imaginé pendant quelques longues heures d’ennui lors de mon service militaire, du côté d’Offenbourg. C’est dire si ça ne me rajeunit pas !

Pourquoi avoir choisi l’Amérique latine comme cadre, comme décor à cette histoire qui mélange les genres, à la fois roman d’action, histoire d’amour, crises politiques, bruits de bottes et amitié trahie ?

J’ai toujours aimé ce continent qui mêle la passion et la violence, où se sont transplantées, en quelque sorte, des fractions d’Espagne et de Brésil sur des terres qui n’étaient pas vierges, où il y avait déjà des civilisations dîtes « précolombiennes ». Ces sociétés sont tombées sous le joug des « envahisseurs », pour finir par se mêler à eux dans des États nationaux à la construction fragile. On ne peut pas passer sous silence non plus la geste des « Libertardors » du XIXe siècle, les Bolivar, les San Martin, les Morazán, les O’Higgins… Des pays – Argentine, Uruguay et, dans une moindre mesure, Brésil et Chili exceptés – où s’est longtemps pratiqué le mélange des sangs. J’ai beaucoup lu ou survolé leurs auteurs les plus connus : Borgès, Gabriel Garcia Marques, Miguel Angel Asturias ou Mario Vargas Llosa et j’ai toujours été fasciné par ces hommes à poigne, ces caudillos qui se sont constitué des domaines à leur botte, des Trujillo, des Somoza, des Marco Perez Jimenez, des Tiburcio Carias, des Duvalier etc., aux destins hors normes… J’ai rêvé de cet exotisme avant même d’être allé sur place et d’y goûter son ambiance, de vivre ou d’imaginer l’excitation de ses foules les jours d’élection ou de révolution, ou tout simplement de profiter de décors de rêve, que ce soit les chutes d’Iguazu aux « trois frontières », les cascades d’Agua azul au Mexique, ou le lac Atitlan au Guatemala, avec sa couronne de volcans. Et comment oublier l’envoûtante forêt de l’Oriente équatorien sur les rives du Rio Napo ? On peut s’offrir à peu de frais le frisson de l’aventure, sans omettre d’aller voir ces fabuleux temples aux figures énigmatiques du Petén ou du Yucatan.

Quelle est la trame de votre roman ?

C’est une aventure dans laquelle le décor joue, certes, un rôle important. Elle s’inscrit dans un scénario politique contemporain. Tout ce qui se passe dans le pays imaginaire que j’ai inventé, si peu imaginaire d’ailleurs, a existé : le coup d’État militaire, le fameux « pronunciamiento » ou le « golpe », au choix. Il y en a eu d’innombrables en Amérique centrale comme en Amérique du Sud, très humoristiquement illustrés par Hergé avec ses fameux généraux Alcazar et Tapioca dans « Les aventures de Tintin ». La révolution castriste exportée ? Voyez le Nicaragua de la clique Ortega… Quant au débarquement de troupes américaines évoqué dans mon roman, le plus récent et le plus massif eut lieu en 1965 en République dominicaine, pour contrer une insurrection qualifiée de « communiste », comme celle du Guatemala en 1954, où la CIA patronna une intervention de mercenaires pour placer un homme à elle au Palacio nacional. Et puis, rappelez-vous le tragique ratage de l’affaire de « la Baie des Cochons » à Cuba où les Américains envoyèrent au casse-pipe les anticastristes de Floride.

Comme il s’agit d’un roman, votre histoire a des personnages de chair et d’os, et n’est pas seulement, disons un roman « politique ». Il y a des sentiments, des réflexions précédant l’action, des intérêts, des pulsions, l’amour même qui tient une place importante chez votre personnage principal…

Oui, c’est du cinéma écrit en quelque sorte. C’est le propre, je crois, de tout roman d’aventures et d’action. Mon « héros » va vivre des épisodes de sa vie d’une incandescente intensité, si je puis dire. Il n’y était pas préparé. Son ami, qui pense se servir de lui pour arriver à ses fins sans grands dommages, va trahir une amitié ancienne née de part et d’autre des Pyrénées. Un grain de sable inattendu, un coup de foudre aussi foudroyant que réciproque, va enrayer, perturber les rouages d’un mécanisme assez diabolique pour conquérir le pouvoir.

On trouve pas mal d’ingrédients classiques dans votre histoire, la haine, l’amour, la jalousie, la trahison…

… et les intérêts bassement matériels, oui, l’argent. Enfin tout ce qui fait, à peu près, je dirai la « pâte humaine », avec ses parts d’ombre et de lumière.

Pronunciamiento sous les tropiques de Jean-Claude Rolinat, éditions Dutan, collection « Les Bergers de l’évasion », dirigée par Philippe Randa, 220 pages, 21 €. Pour commander ce livre, cliquez ici

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jeudi, 16 septembre 2021

Entretien d'Eric Zemmour au Point

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Eric Zemmour publie La France n’a pas dit son dernier mot. Le Point a voulu savoir ce qui l’anime et le confronter à ses contradictions. Un entretien à la fois cordial et mouvementé.

Lire la suite ICI 

Source ; Le Point 16/09/2021

11:30 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 15 septembre 2021

Macron nous enfume !

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Le billet de Patrick Parment

C’est toujours la même rengaine : dès qu’un problème surgit au nez et à la barbe du politique et notamment de nos gouvernants, la réponse trouvée la plus rapide c’est d’injecter de l’argent. Comme si l’argent pouvait tout résoudre ! Emmanuel Macron vient de tomber dans le panneau et nous prend pour des billes. Après un déplacement loufoque à Marseille, carnet de chèque en poche, alors que toutes les politiques de la ville ont échoué, rebelote cette fois-ci à Roubaix afin de nous dévoiler les conclusions d’un fumeux « Beauvau de la sécurité ». Les deux affaires sont liées car ce sont deux déplacements qui s’inscrivent dans le cadre de la campagne de l’élection présidentielle.

Alors que des milliards ont été investi dans une soi-disant politique de la ville où se cassèrent les dents l’escroc Bernard Tapie, où le blanchisseur Jean-Louis Borloo, les trafics de drogue et son corollaire la délinquance dans les banlieues n’ont jamais été aussi prospères.

Et Emmanuel Macron, qui a tout intérêt à cajoler la police à une époque où les faits divers s’allongent de jour en jour en corrélation directe avec une immigration incontrôlée et une justice laxiste, trouve le moyen de nous en remettre une louche.

Force est de constater que les moyens dont dispose la police sont pour le moins vétustes. Mais la solution face à l’insécurité qui règne dans ce pays, n’est pas de gonfler les effectifs mais de rendre efficaces les mesures qui existent – comme d’appliquer simplement la loi - et si les relations entre police et justice ne se heurtaient pas à une forte dose d’incompréhension. Le coup de balai n’est pas à mettre au sein de la police mais bien de la justice. Mais ce n’est pas avec Dupond-Lajoie-Moretti que les choses vont s’arranger. Sauf que le problème, in fine, est moins celui du ministre de la justice que celui du pouvoir qui décide de la politique à mener en la matière.

Et, c’est bien là que le problème majeur réside. Pas besoin d’être grand clerc pour affirmer que les maux de la société française sont, à 90%, liés à l’immigration sans oublier d’inclure évidemment tous les naturalisés d’hier et de demain. Aucun président depuis Giscard d’Estaing n’a anticipé les dégâts que provoquerait le laxisme migratoire et le regroupement familial. Ce qui a abouti à la situation dans laquelle nous sommes aujourd’hui : la destruction lente de tout ce qui constitue le tissu social français en matière de culture et de civilisation. Et au final, ce qui est en cause, c’est notre conception même de la démocratie que nos politiques bafouent, par lâcheté et veulerie, de jour en jour.

Car, on l’aura bien compris, le problème est politique et relève d’une conception que l’on se fait de la France et des Français de souche, faut-il le préciser. Et dans ce marigot où baignent intellos des cavernes et politiciens abonnés aux droits de l’homme, le clair langage d’un Eric Zemmour fout la trouille à tout ce petit monde qui œuvre à notre disparition. Car c’est bien de cela qu’il s’agit. Les Français décideront-ils enfin à redresser la tête !

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mardi, 14 septembre 2021

Dernière minute : manif ce soir à Paris devant le CSA

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15:23 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Face à l'info d'hier :

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Macron n’aura fait que gesticuler et vider les caisses !

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Marc Rousset

En France, le Président Macron vit de l’argent facile emprunté parce qu’il n’a jamais eu le courage de diminuer véritablement les dépenses publiques, nonobstant l’usine à gaz jamais réalisée de la réforme technocratique des retraites, après l’usine à gaz du prélèvement à la source en lieu et place d’un simple prélèvement mensuel pour les impôts. La seule véritable petite réforme économique du quinquennat, c’est l’assurance chômage. Macron ne savait pas ou n’a pas eu la volonté d’engager les réformes difficiles pour diminuer les dépenses publiques, dès le début de son mandat.

Actuellement, Macron et son gouvernement, au lieu de faire la guerre à l’insécurité dans nos banlieues et à l’invasion migratoire qui menace l’identité de la France, continuent à mener la guerre facile contre le Covid avec l’argent public emprunté, à coups de déclarations sans fin, de seringues et de passes sanitaires, et à nous faire miroiter une reprise économique conjoncturelle qui ne signifie absolument rien, tout comme les Byzantins se querellaient sur le sexe des anges avant de tomber sous les coups des cimeterres turcs.

La réalité économique de la France, c’est une dette publique avec les engagements hors bilan de 7.000 milliards d’euros, soit une dette de 100.000 euros par Français. Les Pays-Bas exportent davantage que la France avec une balance commerciale excédentaire de 65 milliards d’euros, alors que la France est en déficit de 82 milliards d’euros. La part de marché mondial de la France dans les biens industriels est passée de 6,3 % à 3 %, soit moins que les Pays-Bas ! L’industrieuse, plus maligne et sérieuse Allemagne est en excédent de 182 milliards d’euros ; même l’Italie a une balance commerciale excédentaire de 64 milliards d’euros.

En quarante ans, le PIB industriel de la France est passé de 23 % à 10,5 % du PIB, tandis que le nombre d’emplois industriels est passé de 6 millions à 2,7 millions, avec une perte de 2 millions ces vingt dernières années. L’industrie française est laminée suite à la non-compétitivité française avec des charges sociales et fiscales trop lourdes, face aux autres pays de l’Union européenne et à la délocalisation dans les pays de l’Europe de l’Est, en  et dans les pays émergents.

Le gouvernement laisse filer les dépenses avant les élections, renonce définitivement à la réforme des retraites, annonce de nouvelles dépenses pour la contraception des femmes de moins de 25 ans et pour les jeunes (2 milliards d’euros), un nouveau plan de 30 milliards d’investissements avec de l’argent encore emprunté. Le pire déficit public en Europe pour 2021 sera le déficit français, supérieur à 9,11 % du PIB. Mais quand et qui va pouvoir payer la facture ? La dette publique qui vient s’alourdir de 424 milliards d’euros avec le « quoi qu’il en coûte » est déjà de l’ordre de 120 % du PIB. Alors, la relance du Président Macron avec de l’argent emprunté, des billets imprimés et des produits importés ? Une illusion pour se faire élire par ceux qui croient avoir remporté une bataille décisive pour l’avenir français face à la grippe parfois mortelle du Covid !

Le bilan de la BCE est gonflé comme jamais, suite à la création monétaire du « QE » (8.035 milliards d’euros au lieu de 1.200, en août 2007) ; le taux d’intérêt européen, qui était de 3,25 % en 2007, est passé aujourd’hui à -0,5 %. Les banques centrales n’ont fait que créer de l’argent ex nihilo en inondant le monde de liquidités, mais comment sortir de ce guêpier sans créer un krach et l’effondrement du système lorsqu’il faudra augmenter les taux d’intérêt ou réduire les liquidités (« tapering ») ? Avec un taux à 6 %, les intérêts à payer représenteraient environ les deux tiers du budget de l’État français !

Macron n’a fait que poursuivre la politique facile et démagogique de la fuite en avant de ses prédécesseurs, aidé par la BCE, en empruntant à tour de bras, sans s’attaquer aux dépenses publiques, en pratiquant seulement quelques réformes sociétales décadentes pour plaire à la galerie « bien-pensante » et en laissant rentrer 2.500.000 immigrés, ce que nous n’aurions pas connu avec Fillon. S’il est réélu, la seule chose de certaine, c’est que pendant son mandat, nous aurons probablement au moins 2.500.000 immigrés de plus, que la France connaîtra enfin la faillite méritée depuis longtemps lorsque les taux d’intérêt augmenteront et que le Système explosera en même temps que la zone euro !

NDLA : pour les chiffres de l’immigration, cf. les chiffres du ministère de l’Intérieur pour l’année 2019. 275.000 titres de séjour + 130.000 demandes d’asile, auxquels il faut ajouter 40.000 MNA et environ 60.000 clandestins (voir rapport du Sénat), soit un total annuel de 500.000. D’où 2.500.000 sur un quinquennat.

Boulevard Voltaire cliquez ici

13:59 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Eric Zemmour quitte CNEWS et lance sa propre chaîne YouTube

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La chaîne YT d'Eric Zemmour cliquez ici

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lundi, 13 septembre 2021

Le Parti de la France signe désormais d’un Z comme Zemmour !

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La chronique de Philippe Randa

On sait depuis Uderzo et Goscinny et les aventures de leurs héros Astérix et Obélix qu’en Gaule, tout se termine par des banquets. Mais en politique, tout peut-il commencer par une fête… du cochon ?

Celle du Parti de la France Bretagne, en cette année 2021, n’est certes pas la première ; elle est même devenue le rendez-vous annuel et incontournable de nombre de patriotes de l’Ouest qui refusent, plus que jamais, de voir se terminer l’histoire de France dans le chaos mondialiste.

Mais cette année-ci, à quelques mois d’une élection présidentielle qu’on nous annonce jouée d’avance (et tout aussi perdue d’avance pour les patriotes, dixit de sérieux sondages connus pour ne jamais se tromper), il n’est pas question de baisser les bras, comme l’ont rappelé les trois invités d’honneur lors de leurs interventions ; de Thomas Joly, président du PdF à Pierre Cassen, président de Riposte laïque en passant par Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, la cause est désormais entendue : « Il n’y a pas de fatalité du déclin, il n’y a que la volonté des Hommes », a martelé Roland Hélie sous les applaudissements.

(Pour regarder leurs interventions, cliquez ici).

Et dans une unanimité qui semblait (à peine) concertée, (à peine) inattendue et (pleinement) enthousiaste, les trois orateurs ont appelé à soutenir sans restriction un homme pas encore déclaré à faire don de sa personne à la France, mais déjà tellement omniprésent dans les craintes des uns ou les espoirs des autres.

Le choix des orateurs est donc fait, sans hésitation, pour ce chroniqueur surgit des médias, courant vers la candidature au galop, et signant d’un Z son nom à la pointe de ses chroniques !

L’avenir dira dans les mois qui viennent s’il sera vainqueur à cette occasion, comme le renard masqué qui enchanta notre enfance l’était, lui, à chaque fois…

Source Présent cliquez là et EuroLibertés cliquez ici

17:47 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, interrogé par Epona dans le cadre des entretiens du Parti de la France

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16:31 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Une communiquation de Roland Hélie :

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16:20 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

« LE MENSONGE ET LA CREDULITE S’ACCOUPLENT POUR FORMER L’OPINION. » Paul VALERY

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Pieter Kerstens

Il n’est un secret pour personne de dire que depuis des siècles, la désinformation, la propagande et le mensonge sont abondamment utilisés pour diriger les peuples.

Et ce qui est affligeant, c’est de constater que la grande majorité des journalistes et des analystes politiques ou économiques acceptent d’être les complices de pouvoirs qui usent de procédés malsains pour manipuler des citoyens naïfs ou crédules.

Ainsi en est-il de la multitude d’informations que nous avons reçu ces derniers temps et concernant la pandémie du Coronavirus-19, découvert en Chine dès novembre 2019.

Bien plus tôt, le 11 septembre 2000, des vidéos, des images, des comptes-rendus, des conférences de presse et des éditoriaux à propos des attaques contre les tours du WTC à New York ont désigné Al-Qaïda et Oussama Ben Laden comme étant les concepteurs et les auteurs de ces attentats terroristes.

Et durant cet été les médias et les « experts » du climat ont tous attribué les inondations catastrophiques, les incendies dévastateurs ou la montée des océans au réchauffement climatique, seule conséquence de l’activité humaine et de sa pollution atmosphérique.

Le Covid-19 est-il vraiment plus mortel que la grippe ?

Début 2020, en France le gouvernement affirmait haut et fort qu’il n’était pas nécessaire de porter un masque, à l’image des pays asiatiques, et que l’épidémie n’atteindrait pas l’Europe. Pas question non plus de mettre en branle une campagne de dépistage systématique des gens contaminés, ni de les placer en quarantaine. Plus tard, le docteur Micron et son équipe de branquignoles déclarait que « nous sommes en guerre » et que tout le monde était assigné à résidence avec interdiction de circuler librement hors de son domicile, sauf à signer soi-même une « attestation » pour aller acheter son pain !

Les économies et une grande partie de l’activité industrielle étaient mises à genoux et depuis, les effets néfastes se sont fait sentir, malgré l’obligation d’un « passe sanitaire » imposé dans certains lieux, mais non dans les endroits clos où les gens sont serrés comme des sardines, dans le métro, les bus ou les trams…

De plus, des dizaines de millions d’Européens ont été vaccinés mais avec des substances qui, selon les déclarations des chefs d’Etats et de l’OMS, n’excluent pas la contamination, ni la propagation ou l’immunisation contre cette maladie. La finalité d’un vaccin n’est-elle pas d’immuniser les êtres vivants (hommes et animaux) contre une épidémie, comme la tuberculose, la variole, le choléra ou la fièvre jaune ? On peut donc être sceptique à propos de la réelle protection de ces « thérapies géniques » innovantes mais non concluantes pour se protéger du Covid-19.

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Voyageurs pas contents : le contrôleur ne leur demande pas leur Pass Sanitaire !

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Hugues Bouchu
 
Ce n’est pas la « Bataille du rail » qui m’aura inspiré pour prêter attention à l’attitude professionnelle du contrôleur du TGV dans lequel je me trouvais, mais bien plutôt la réaction de voyageurs à son encontre.
 
En effet, lors de son passage, plusieurs personnes lui ont présenté mécaniquement leur pas-sanitaire, avant même le titre de transport. À cela, notre contrôleur a préféré les rassurer en leur indiquant que sa déontologie personnelle et professionnelle l’empêchait de répondre à leur demande : « Ce n’est certainement pas moi qui vais vous demander votre pass-sanitaire ! ».
Surprise et agacement de plusieurs sollicitants…
 
J’ai fini par m’intéresser à la personne de ce courageux agent de la SNCF. Après plusieurs échanges autour d’un café dans le wagon restaurant, il me confiait qu’il risquait gros au vu de sa hiérarchie, car déjà remarqué par celle-ci. Les services internes de cette entreprise demandant apparemment d’assurer par équipe volante le contrôle des billets, mais aussi des codes QR dit sanitaire. Or notre ami s’est arrangé par un calcul savant sur l’organisation de son planning et de ses trajets, pour passer au travers de ces exigences.
 
Arrivé à une correspondance, notre contrôleur fut invité à rejoindre ses collègues de la sécurité, montés lors de cet arrêt en gare. Une vive discussion s’est alors fait entendre entre eux… Il m’était difficile de traduire les paroles, étant donné l’éloignement depuis ma place. Je crains que ce sympathique contrôleur n’ait été remarqué par un membre SNCF en civil et peut-être signalé auprès des services de sécurité…
 
Toujours est-il que cette petite histoire m’aura apporté un nouvel espoir de résistance silencieuse et discrète.
 
« Madame, Monsieur, la SNCF vous remercie de l’avoir choisie pour votre voyage… »

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Qu’ils sont drôles, ces écolos !

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Robert Spieler

Boulevard Voltaire consacre un article très amusant aux journées d’été de la secte gaucho-écologiste. Il note que « le jargon progressiste foisonne, les guillemets pleuvent, des petits points s’intercalent, ici des angli- cismes abscons, là-bas des mots surgis de nulle part. » Les “allumé.e.s”, presque “tou. te.s prétendant.e.s” à la présidence de la République, se sont retrouvés à Poitiers, ville dont une allumée d’élite, Léonore Moncond’huy, est maire. C’est elle qui expliquait que « l’avion ne doit plus faire partie des rêves d’enfants ». Dès le premier jour, ce fut un concentré de charabia. Accrochez-vous. Un « boot camp écoféministe » consacré à « l’empouvoirement » des femmes est proposé aux participants. C’est fort, note Boulevard Voltaire : quatre guillemets, un anglicisme et un mot bizarroïde en une seule phrase ! Important : le boot camp se déroula en « mixité choisie ». C’est quoi, ça ? Après une longue enquête, je suis en mesure de révéler qu’il s’agit d’« exclure la présence de personnes qui feraient partie des groupes dominants et/ou oppressifs » . Il y eut aussi un atelier intitulé « Le temps des nouvelles stigmatisations ». Car les pauvrichonnes et les pauvrichons souffrent atrocement des accusations dont certains les accablent : islamogauchisme, séparatisme, racialisme, indigénisme, décolonialisme et autres féminismes anti-hommes. D’autres ateliers sui- virent. Au programme : « déconstructions diverses et variées, résistance face aux dynamique nationalistes, antieuropéennes, racistes, islamophobes, antisémites ou encore virilistes ».

Comme il se doit, le thème de l’écologie ne fut quasiment pas abordé. Le sommet du délire, on le doit à Sandrine Rousseau, candidate à la candidature à la prochaine élection présidentielle avec, important de le préciser, une équipe de campagne “non racisée”. Cette fanatique du “woke”, à la pointe de l’inclusivité et de la diversité, a un programme « en forme de rééducation », pour reprendre la formule de Boulevard Voltaire : « Une formation obligatoire sur l’inclusion et la diversité sera dispensée à toutes les personnes souhaitant ouvrir une entreprise. Elle sera également proposée à tou.tes les salarié.es et aux employeurs. » L’excitée du bulbe a aussi pour projet de « soutenir les mouvements féministes et écoféministes » (écoféministes, c’est quoi, ça ?) et entend défendre les « droits humains » (sic), y compris pour les femmes de porter la burka en France. Autre importante considération, à méditer : « nous prenons, nous utilisons et nous jetons le corps des femmes, le corps des racisés. Nous ne voulons plus ça et c’est ça, la révolution que je vous propose ». Mais le sommet de l’imbécillité la plus crasse a été atteint avec cette considération de Sandrine Rousseau : « S’il y a des Afghans potentiellement terroristes, il vaut mieux les avoir en France pour les surveiller ». Remarquez que le ministre des Affaires étrangères, Le Drian, ne fait guère mieux quand il exprime son souhait de voir les Talibans former un « gouvernement inclusif » en Afghanistan. Pourquoi pas. On attend avec impatience un gouvernement taliban LGBTQIA+...

Source : Rivarol 8/09/2021

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dimanche, 12 septembre 2021

Le pire ennemi de l’Occident, c’est l’Occident lui-même

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Entretien croisé de Pierre Manent et de Pascal Bruckner.

Il y a vingt ans, les tours jumelles du World trade center s’effondraient à new York, et avec elles, nombre d’illusions intellectuelles. le rêve d’une paix perpétuelle, d’une mondialisation heureuse et d’une convergence démocratique laissait place au retour du tragique. Vingt ans plus tard, les talibans sont de nouveau maîtres de l’afghanistan, des régimes autoritaires s’assument et l’islamisme triomphe en plusieurs points du globe. l’Occident a-t-il encore un avenir ?

Entretien mené par Eugénie Bastié pour Le Figaro 11.09.2021

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samedi, 11 septembre 2021

Journal du chaos

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jeudi, 09 septembre 2021

La couverture du livre d'Eric Zemmour dont la sortie est prévue la semaine prochaine

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Sortir en Mayenne

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Afghanistan : une débâcle militaire et idéologique

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Caroline Galacteros

 Beaucoup a été dit sur le retrait désastreux des forces américaines d’Afghanistan, après 20 ans d’une présence massive et dispendieuse qui a échoué à construire, ou même à ébaucher, un État, des institutions, une armée afghane, moins encore à homogénéiser une société civile autour de valeurs et pratiques occidentales avec lesquelles la structure tribale et clanique du pays comme sa géographie cloisonnée sont par essence incompatibles. Le « cimetière des empires » porte décidemment bien son nom.

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Machine Rousseau rend hommage à Jean-Pierre Belmondo

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Jany Leroy Boulevard Voltaire cliquez ici

Lorsque la surréaliste écolo Sandrine Rousseau apprend le décès de Jean-Paul Belmondo et constate les messages qui fusent de toutes parts, une angoisse l’envahit.

Elle ne le connaît pas. Était-ce un écrivain, un danseur, un cultivateur bio, un animateur télé ? Suite à une enquête intensive, la militante EELV apprend qu’il s’agissait d’un grand acteur. Une figure française. Une légende. Ah ! mon Dieu. Il lui faut réagir aux côtés des grands de ce monde. Après quelques déclarations malheureuses, il est temps d’apparaître normale, équilibrée, dans la droite ligne des officiels sérieux qui rendent hommage à ce monument du cinéma français.

« À moi, smartphone ! À moi, Twitter ! Un message bien senti viendra redorer l’image de Martienne que les médias dressent de mooââ. » 140 signes plus tard, le texte suivant tombe sur les écrans :

« Merci Jean-Pierre #Belmondo d’avoir porté haut le cinéma français. Une dernière

cascade en espérant qu’elle n’ait pas été difficile. »

À la lecture de ces lignes, la stupeur gagne les internautes. Ca alors ! Un « Jean-Pierre » Belmondo qui décède le même jour que Jean-Paul. Quelle coïncidence !

La suite confirme, hélas, que Géraldine Rousseau parle bien du Belmondo Jean-Paul disparu à 88 ans. Au QG des écolos, Yannick Jadot se ressert un verre de Champomy™. « Elle nous tuera tous, les uns après les autres. On ne peut pas lutter contre une athlète de ce niveau. »

À l’entrée en matière pétaradante du tweet succède, toutefois, une petite déception. Blandine Rousseau semble savoir que l’acteur se livrait à des cascades. Pour l’homogénéité de l’ensemble, chacun s’attendait plutôt à une confusion avec Rocco Siffredi via la formule « Une dernière galipette en espérant qu’elle n’ait pas été difficile ». Mais ne soyons pas trop exigeant avec Machine Rousseau. Sa communication est encore balbutiante.

Dans un souci de remise à niveau avec la réalité terrestre, la professionnelle du message halluciné s’est enfermée dans un cinéma avec, pour objectif, de prendre connaissance de la filmographie française de ces trente dernières années. Yannick Jadot a prévenu la presse : « Elle se prépare pour le décès de Fernandel. »

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Le CSA s'en prend à Eric Zemmour

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08:44 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 08 septembre 2021

ERIC ZEMMOUR RELAXÉ DES ACCUSATIONS D'INJURE ET DE PROVOCATION À LA HAINE POUR DES PROPOS TENUS EN 2019

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Source C-News cliquez ici

La cour d'appel de Paris a relaxé ce mercredi 8 septembre Eric Zemmour, qui était poursuivi pour injure et provocation à la haine pour des propos sur l'islam et l'immigration prononcés en 2019.

Dans les motivations de son arrêt, dont l'AFP a obtenu lecture, la cour d'appel a jugé qu'«aucun des propos poursuivis ne visent l'ensemble des Africains, des immigrés ou des musulmans mais uniquement des fractions de ces groupes».

«Il n'est nullement justifié de propos visant un groupe de personnes dans son ensemble en raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée», ajoute la cour, «d'où il suit que les infractions poursuivies ne sont pas constituées».

Lors d'une «convention de la droite» organisée par des proches de Marion Maréchal, le 28 septembre 2019, Eric Zemmour avait prononcé un discours estimant que les immigrés étaient des «colonisateurs» et que la France subissait une «islamisation de la rue». Le voile et la djellaba représentent «les uniformes d'une armée d'occupation», avait-il également avancé.

Il avait été condamné en première instance à 10.000 euros d’amende.

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Manifestations anti-passe sanitaire : comment s’en étonner ?

MNR.jpgUn communiqué du MNR :

Depuis plusieurs semaines, de nombreuses personnes manifestent leur refus de la politique sanitaire du gouvernement : en effet les obligations instaurées pour accéder à de nombreux services sont vécues, avec raison, comme des entraves à la liberté.

Mais la liberté fondamentale qui est bafouée est, pour les médecins, la LIBERTÉ DE PRESCRIRE.

Comment justifier le refus, par les autorités, de l’utilisation de l’hydroxychloroquine et de l’ivermectine ?

En vérité, de nombreux médecins seraient prêts à les prescrire contre la covid : le Conseil National de l’Ordre des Médecins ferait-il régner la terreur parmi les praticiens ?

Le refus d’utiliser des médicaments peu chers et connus depuis de nombreuses années est le scandale fondamental de la politique sanitaire, menée pour le plus grand profit des fabricants de vaccins.

18:56 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La Fête du cochon grillé dimanche dernier à côté de Rennes

 

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mardi, 07 septembre 2021

Jean-Paul Chayrigues de Olmetta invité de Martial Bild sur TV Libertés pour présenter son nouveau livre "Théâtres, mes amours"

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Pour commander ce livre cliquez ici

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Le souper de Béziers

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François Floc'h

Une fois de plus, Robert Ménard a lancé une nouvelle idée qu'il pense être utile pour la future élection présidentielle. Mais, nous sommes de plus en plus nombreux à avoir du mal à slalomer entre les "bonnes" idées de Robert Ménard.

Robert Ménard a donc lancé une invitation à Marine Le Pen et à Eric Zemmour : venir tous deux à Béziers pour "discuter ensemble, autour d'une table". En public ? Cela n'était pas précisé dans le tweet de Monsieur le Maire.

Eric Zemmour, en bon débatteur, a tout de suite donné son accord pour cette invitation à débattre. Ce n'est pas étonnant. Eric Zemmour a montré maintes fois sur Cnews que les confrontations d'idées ne lui faisaient pas peur. Nous pouvons même dire qu'il aime ça !

On peut donc aisément supposer qu'il donnait sa préférence à un débat public. Car il sait que l'Audimat grimperait fortement pour cet événement politique ! Et ça, c'est bon pour l'avenir...

Marine Le Pen, elle, a fait savoir qu'elle était "d'accord pour un dîner avec Éric Zemmour à Béziers"… Et elle a chargé son entourage de propager quelques banalités...

L'affaire en est là pour l'instant. Mais, il nous revient en mémoire l'histoire d'un autre souper.

Celui élégamment mis en scène par Edouard Molinaro dans le film Le Souper, sorti en salle en décembre 1992. Un beau et terrible film !

Nous sommes le 6 juillet 1815. L'armée française vient d'être vaincue à Waterloo, Napoléon a abdiqué. Alors que le peuple français se pose de sombres questions sur son avenir, deux hommes soupent à huis clos, Talleyrand et Fouché. Cette nuit-là, ils vont se livrer a un duel verbal dont l'enjeu est l'avenir de leur pays. Ce n'est pas rien !

Le rôle de Fouché, ancien ministre de la Police, et actuel chef du Gouvernement provisoire, est tenu par Claude Brasseur. Celui de Talleyrand, ancien diplomate sous différents régimes, est tenu par Claude Rich. Tous deux, en ce huis clos haletant, sont brillantissimes de vérités.

Un excellent film, qui nous invite dans les arcanes de la politique pour un souper succulent de rhétorique, où l'on se retrouve au cœur du cynisme entre ces deux personnages ingrats et machiavéliques. Des acteurs très justes au service d'un scénario qui spécule sur une histoire passionnante au sein de la grande Histoire. A voir, entre autres, comme un festival de belles répliques dans une langue française alors impeccable et qui se perd aujourd'hui.

D'entrée, disons-le bien fort : entre les deux convives du souper de 1815 et ceux du souper incertain de Béziers, aucune similitude, aucune situation comparable ! Mais, on se prête à rêver d'un débat qui mérite d'être public, lui. Car, il est quand même une constatation que l'on peut faire et qui est qu'en 2022 comme en 1815, l'avenir de la France est bien sombre. Que les périls sont grands. Que l'élection présidentielle qui arrive est lourde d'enjeux. Qu'il serait bien coupable de se tromper de candidat !

 

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lundi, 06 septembre 2021

La débâcle afghane

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Les commentateurs racontent – comme souvent – tout et n’importe quoi sur la situation actuelle en Afghanistan. Combien sont allés sur le terrain et connaissent la situation « de l’intérieur » ? Le quotidien Présent a demandé  à Marc Charuel, écrivain, ancien grand reporter pour Valeurs actuelles et correspondant de guerre, de nous livrer son analyse.

Lire la suite ICI

Présent 4/09/2021

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