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mercredi, 30 mars 2022

MERCREDI 30 MARS (À PARTIR DE 18 H) : CLAUDE CHOLLET, DIRECTEUR DE L'OJIM, INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR TV LIBERTÉS

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mardi, 29 mars 2022

Robert F. Kennedy, Jr. s'adresse aux Français

Robert F. Kennedy, Jr. « Les Français doivent comprendre qu’il s’agit d’un projet mondialiste pour créer une technocratie permanente qui nous gouvernera au profit des grandes entreprises plutôt que pour l’esprit humain, l’âme et la dignité humaines et la santé publique.

J’ai écrit ce livre pour que les Américains, qu’ils soient démocrates ou républicains, puissent comprendre le rôle pernicieux du Dr Fauci, qui permet aux entreprises pharmaceutiques d’asservir notre gouvernement et de subvertir notre démocratie. Je l’ai aussi écrit pour relater le rôle clef joué par le Dr Fauci dans le coup d’État qui se joue actuellement contre la démocratie.»

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Vous pouvez commander ce livre chez son éditeur par ICI

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Le succès d'Eric Zemmour :

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Ukraine : QUELQUES VÉRITÉS (PAS) BONNES À DIRE

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Indépendamment des pertes humaines qu’il est difficile à ce jour de quantifier - civils ukrainiens, militaires des deux camps - Vladimir Poutine a commis quelques erreurs majeures d’appréciation de la situation.

La première, en surestimant les capacités de son armée, qui semble en difficulté face à une résistance acharnée, malgré ses frappes bien souvent aveugles. La seconde erreur, en sous-estimant la rage à se battre des forces ennemies. On est en droit de s’interroger sur la capacité tactique des chefs d’unités russes sur le terrain, à voir comment se sont faits « allumer » les chars sur une grande route, alignés en file indienne, comme à la parade. Pas besoin de sortir de Saint-Cyr pour deviner que l’on n’engage jamais des blindés en terrain découvert, sans avoir fait procéder à une reconnaissance de l’avant… Quelles belles cibles pour les Ukrainiens, postés en embuscades, leurs modernes Panzerfausts à l’épaule ! Il semble que la doctrine d’emploi des moyens blindés n’ait pas évolué depuis l’ère soviétique. On a vu, à l’occasion des trois dernières guerres israélo-arabes – 1956, 1967, 1973 - ce qu’il en était, déjà, sur le terrain.

Troisième faute, un comble, Poutine a contribué à redonner vie à l’OTAN, un organisme qui, selon notre « Phare de la pensée nationale » - Macron – était en « état de mort cérébrale », sans oublier qu’il a également contribué à faire se resserrer les liens distendus unissant les pays de l’Union européenne.

Quatrième erreur, par ses bombardements massifs tuant de nombreux civils,  il a contribué à faire émerger une nation ukrainienne que l’on disait divisée entre Ukrainiens « pur jus », notamment du côté de la Galicie à l’ouest, et Russophones du Donbass que, justement, il se proposait de libérer.

Et, cinquième conséquence négative de ce conflit - qui nous affecte le plus tout autant que la mort de nos frères européens dans les deux camps - il retarde d’au moins une à deux bonnes décennies, sauf imprévu, tout espoir de constituer un ensemble continental pacifié de « Brest à l’Oural » comme l’exprimait De Gaulle, qui ne disait pas que des bêtises. Une sorte « d’Euro-Sibérie » déconnectée de l’emprise américaine, où les nations d’Europe occidentale, indépendantes mais  militairement soudées, échangeraient leurs produits finis et leurs biens de consommation courante, contre les immenses ressources minérales russes, une sorte d’échanges gagnants/gagnants.

Une consolation – pour longtemps ? – il semble qu’à part Renault qui s’est discréditée pour un bon moment - Mercédès et BMW lui tailleront des croupières lorsque la paix sera revenue ! - d’autres firmes françaises résistent aux insupportables injonctions du Président Zelensky, et restent sur le marché russe. Nous avions à Londres, le « général micro », il y a à Kiev un « Président télé » que les medias de la « bienpensance » viennent d’ériger en héros planétaire.

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Macron et la politique du grand écart

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Françoise Monestier

Les hasards du calendrier ont permis à Emmanuel Macron de bénéficier des avantages de sa double casquette de président sortant et de candidat au renouvellement de son mandat lors de la cérémonie d’hommage aux victimes de Mohamed Merah, organisée à Toulouse le 20 mars dernier par le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) et son responsable régional Franck Teboul, proche du maire de la ville. Flanqué de son épouse, le président de la République a rendu hommage aux victimes, quatre juifs dont trois enfants, deux militaires musulmans et un soldat catholique, en évoquant simplement « une vision dévoyée de l’islam » pour qualifier la tuerie perpétrée par celui que l’on avait d’abord présenté comme le « tueur au scooter ».

L’ombre de la Shoah

« Depuis dix ans, face aux drames, face à leur répétition, nous n’avons pas baissé la tête. [...] Nous n’avons rien cédé, rien abandonné, sûrs et fiers de nos valeurs, recherchant sans trêve l’équilibre ente la défense de nos libertés et le renforcement de notre sécurité », oubliant, pêle-mêle, Charlie Hebdo, Magnanville, le Bataclan, Samuel Paty ou nos soldats victimes des tueurs islamistes. En revanche, il a rappelé, en s’adressant au président israélien Isaac Herzog qui avait fait le déplacement depuis Jérusalem, que le Parlement s’est abrité fin 2019 sous le parapluie de l’ Alliance internationale pour la mémoire de la Shoah pour définir l’antisémitisme afin de lutter contre « ses formes les plus insidieuses, les plus pernicieuses comme les plus désinhibées ». L’occasion rêvée pour Franck Teboul, après avoir demandé une minute de silence pour l’Ukraine, de s’en prendre violemment, sans le nommer, à Zemmour, déplorant que « les vieilles thèses ressurgissent », évoquant ses propos visant « l’innocence d’un capitaine » ou l’idée qu’un « traître puisse être considéré comme un bouclier ». Pendant ce temps-là, les horreurs commises aux cris d’« Alla-hou Akbar » passaient au second rang et le CRIF peut continuer à tirer les ficelles.

Fausses notes ?

Des esprits chagrins noteront qu’aucun hommage n’a été rendu, pour cette commémoration, aux trois militaires abattus par Merah qui avait soigneusement préparé sa tuerie. « Ils n’ont rien fait et je pleure. J’ai perdu un fils de trente ans, un fils de la République », déplore Latifa Ibn Ziaten qui a regretté l’absence de paroles spécifiques pour les soldats. François Hollande n’avait pas fait mieux en 2012, en qualifiant de musulman le catholique Abel Chenouf, un des trois militaires tués par Merah, provoquant la réaction de son père qui condamnait « l’inculture, l’agression verbale et le mépris » de l’ancien président.

Autre fausse note dans cette cérémonie, l’hymne israélien a été chanté avant notre Marseillaise et Emmanuel Macron a invité le grand rabbin de France à réciter le kaddish, la prière prononcée pour les morts dans la religion juive, sans convier les représentants de la religion catholique et de la religion musulmane à faire de même pour les autres victimes.

Trois jours plus tard, le même Emmanuel Macron s’indignait, après la mort de Colonna, violemment agressé par un Camerounais djihadiste dans sa prison d’Arles, que les étendards aient été mis en berne par la collectivité de Corse, oubliant qu’en 1953 ces mêmes symboles de la République l’avaient été pour la mort de Staline (des millions de morts au compteur) et en 2013 pour Mandela. Histoire sans paroles.

Source : Présent 29/3/2022

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Allemagne. Le cabinet McKinsey a conseillé le gouvernement Merkel sur l’accueil des migrants… contre 30 millions d’euros

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SOURCE BREIZH-INFO cliquez ici

Le cabinet de conseil McKinsey, n’ayant versé aucun impôt en France depuis au moins 10 ans malgré des factures de plusieurs millions d’euros et dont l’un des responsables serait un proche d’Emmanuel Macron, est également intervenu en Allemagne. Pour conseiller le gouvernement Merkel sur l’accueil des migrants. Moyennant, là encore, une belle rémunération.

Quand McKinsey venait au chevet de l’Allemagne sous la pression migratoire

Puisque la France découvre progressivement (quoiqu’un peu tard) les relations troubles entre l’État français et McKinsey, il est donc temps de s’intéresser rétroactivement aux activités passées de ce cabinet de conseil en stratégie new-yorkais en Europe.

À ce titre, le cas de l’Allemagne est intéressant. Durant la crise migratoire de 2015, il s’avère que McKinsey a conseillé le gouvernement d’Angela Merkel dans sa gestion des flux de clandestins. Depuis, plusieurs titres de presse ont évoqué ces prestations de conseil.

Si le quotidien français La Dépêche s’interrogeait en février 2021 sur le rôle du « mystérieux cabinet McKinsey, qui accompagne Emmanuel Macron de la création d’En marche à la vaccination contre le Covid-19 », les projecteurs furent également braqués, cette fois par le Washington Post en juin 2017, sur la façon dont le cabinet de conseil avait « discrètement façonné la réponse de l’Europe à la crise des réfugiés ». Une réponse qui, comme en France pour les conseils en matière de stratégie vaccinale ou pour réduire les dépenses publiques, a conduit l’Allemagne à régler une facture plutôt salée à McKinsey.

Près de 30 millions d’euros pour ouvrir les portes de l’Allemagne aux migrants

Tandis que le pays était alors gouverné par la chancelière Angela Merkel, il faut donc rappeler que l’Allemagne a accueilli 1,5 million de clandestins en 2015, année marquée par ce que les responsables politiques d’Europe de l’Ouest et les médias mainstream appelèrent la « crise des migrants ». Avec la publication, dans ces mêmes médias, le 2 septembre 2015 de la photo d’un enfant syrien mort noyé, Aylan, l’objectif était alors à peine caché : faire accepter aux européens les mouvements de populations extra-européennes parmi les plus importants de l’histoire.

L’année suivante, en 2016, malgré les agressions de Cologne commises lors de la Saint-Sylvestre qui auraient dû alerter les autorités sur les conséquences néfastes de l’immigration massive, l’Allemagne accueillera un million de migrants supplémentaires.

C’est donc dans ce contexte, en octobre 2015, tandis que le pays était débordé par les flux de migrants et voyait ses structures d’accueil débordées, que l’Allemagne a eu recours aux services de McKinsey. À ce titre, Berlin a versé 29,3 millions d’euros au cabinet de conseil américain. Ce dernier a alors mené un travail en coopération avec l’Office fédéral des migrations.

La remigration, une idée que n’a pas eue McKinsey…

Parmi les projets de McKinsey figurait la mise en place de centres d’arrivée accélérée ayant la capacité de traiter les demandes en quelques jours afin d’éviter une accumulation des arriérés de dossier. À noter que le travail de la société sur les questions migratoires a également conduit ses consultants à prodiguer leurs conseils en Suède (en 2008 et 2009 pour un montant dépassant les 2 millions de dollars) et en Grèce, où, en 2017, un contrat d’un montant de 992 000 euros conclu entre McKinsey et le Bureau européen de l’asile aurait été passé sans « suivre la nécessaire procédure d’attribution des marchés publics », comme l’a notamment rapporté le journal Le Monde en 2020.

Quant aux préconisations du cabinet de conseil en matière de gestion des migrants, elles ont froissé certains experts en droit international du fait que cette gestion plus rapide des dossiers de demande d’asile aurait parfois conduit à priver les clandestins de certains droits comme celui regroupement familial.

Toutefois, pas question pour McKinsey de recommander à l’Allemagne une politique de remigration, concept popularisé depuis par Éric Zemmour. Ainsi, le centre d’études McKinsey Global Institute a publié en 2016 un rapport sur les « impacts et les opportunités des migrations mondiales. Le document décrit comment des procédures d’intégration plus efficaces pourraient stimuler les économies nationales tout en profitant aux migrants.

Voilà qui fait cher payé pour une idée répandue depuis longtemps au sein des gouvernements successifs, à savoir que l’immigration d’origine extra-européenne serait une « chance » pour nos sociétés occidentales, et plus particulièrement pour les tenants de l’économie. On connaît la suite…

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Éric Dénécé (spécialiste du renseignement) démonte Zelensky et l’OTAN

Eric Dénécé (Directeur du Centre Français de Recherche sur le Renseignement) : "J'avoue que je suis extrêmement choqué par l'écho médiatique et l'aura que l'on donne à Volodimir Zelensky qui est un acteur, un comédien (...) qui est responsable de ce qui se passe, lui et son entourage, n'oublions pas qu'il a été élu avec les voix des Russophones en 2019, il n'a pas appliqué les Accords de Minsk pour lesquels il avait été élu, ensuite il ne faut pas oublier que c'est un homme qui avait été mis en cause par les Pandora Papers, ce ne sont pas des racontars, il est accusé d'avoir dissimulé une grande partie de sa fortune, notamment avec sa société Maltex. Dès qu'il a été élu, il a nommé Sergei Shefir, qui était son producteur, comme principal conseiller. On sait aussi qu'il est accusé d'avoir blanchi près de 40 millions de dollars de l'oligarque Kolomoisky. Donc on a là quelqu'un qui est une forme de satire, je trouve qu'il faut le dire, et qui fait une véritable politique de communication très astucieuse, mais qui commence à se retourner contre lui. On l'a vu devant la Knesset il y a quelques jours où il a comparé ce qui se passait dans l'Est de l'Ukraine à la Solution Finale, alors inutile de vous dire que pour la moitié des élus israéliens c'était un véritable scandale, il nous a rejoué un grand coup de violon devant le parlement français sûr, vous le disiez tout à l'heure, le rapport entre Marioupol et Verdun, ça ne tient pas la route, et aujourd'hui, le chef de la diplomatie ukrainienne, qui est un de ses principaux adjoints, est en train de nous dire ce qu'on doit faire, c'est-à-dire que c'est lui qui décide de provoquer un boycott contre les produits, contre les magasins Auchan en Russie… Ainsi, ces gens qui ne représentent rien, ces gens qui n'ont cessé d'être manipulés volontairement par les Américains, je parle du gouvernement ukrainien, sont aujourd'hui responsables de ce qui se passe dans leur pays. Je fais une nette différence entre cette population ukrainienne qui est victime de la guerre et ce gouvernement qui a une énorme responsabilité, et au lieu de communiquer comme il le fait, on serait plutôt en droit d'attendre de sa part qu'il présente des excuses pour avoir été, un, à l'origine de ce conflit, et finalement il contribue à l'extermination de sa population."

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lundi, 28 mars 2022

La déplorable petite musique médiatique autour du « Macron assassin »...

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Un communiqué de Marion Maréchal :
 
Depuis hier, nous assistons à une déplorable petite musique médiatique autour du « Macron assassin » entendu à l’occasion du meeting d’Eric Zemmour.
 
Ce qui n’aurait dû être qu’une information accessoire est montée en épingle de toute pièce pour transformer ce sujet en « polémique » de campagne. Comment ne pas voir comme partial et partiel le fait de réduire ce grand événement à dix secondes d’un « slogan » lancé par une partie de la foule (et non par l’orateur lui-même) sur trois heures de discours ? Le seul véritable fait politique était la tenue du plus grand meeting de la campagne autour d’un candidat qui a réussi l’exploit de réunir près de 100 000 personnes. Nous aurions donc pu légitimement attendre de la part des journalistes une analyse de ce succès et du contenu des discours, en particulier celui d’Éric Zemmour. Un discours très dense dans lequel il a parlé sans détour de sa vision de la France, de l’État, de l’assimilation et de l’avenir.
 
Au lieu de cela, un certain nombre de journalistes semblent plus préoccupés par le fait d’obtenir la « condamnation » et la « contrition » des responsables politiques de Reconquête! qui n’y sont pourtant strictement pour rien. Certains journalistes ont manifestement raté leur vocation de curé ou de procureur.
 
J’ajouterai que l’on aurait pu attendre un tel émoi de la part de Madame Pécresse lorsque son soutien Jean-Christophe Lagarde parlait de « balle dans la tête d’Éric Zemmour » ou encore le même entrain de la classe politique à condamner les multiples attaques verbales et physiques subies par des militants RN et Reconquête! ces dernières semaines dans l’indifférence générale.
 
Il ne s’agissait pas en l’état de violence « symbolique » mais d’agressions bien réelles avec des militants aspergés d’essence, frappés à coups de couteau ou de matraque.
 
J’irai même plus loin et j’inviterais les journalistes à essayer de comprendre le fond de la colère qui pousse une foule pacifique à scander ce type de phrase. Bien que le contenu soit évidemment déplacé et critiquable, les personnes réagissaient alors à la liste de crimes énoncés par Éric Zemmour qui ont abouti au massacre de Français innocents, tués par la racaille ou le jihadisme sur notre sol. C’est la colère des dizaines de milliers de familles, de pères et de mères qui s’est alors exprimée devant un État et une justice qui ne les protègent plus, devant l’aveuglement du gouvernement, face à l’ensauvagement de la société qui s’exprime quotidiennement sur notre sol.
 
Je considère qu’un tel traitement médiatiquement est révélateur de l’inquiétude que suscite Éric Zemmour dans sa capacité à perturber un scénario électoral bien huilé. Les Français ont été les témoins de ces méthodes injustes durant des décennies, je suis convaincue qu’ils n’en sont plus dupes.

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"Macron assassin" : la minable polémique

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Réaction de Thomas Joly, président du Parti de la France :

La minable polémique sur le slogan « Macron assassin », que d'ailleurs quasiment personne n'a entendu dimanche au Trocadéro, est significative de la frustration de la caste politico-médiatique face au succès de ce rassemblement historique. Ils enragent et savent bien qu'Éric Zemmour a toutes ses chances d'accéder au second tour de l'élection présidentielle.

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Les nations doivent être défendues

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Absent depuis plusieurs mois de la vie intellectuelle et médiatique, Alain Finkielkraut fait son grand retour dans Le Figaro. L’académicien confie l’épreuve de la maladie qu’il a traversée et qui l’a obligé à interrompre son émission culte sur France Culture, Répliques. Lui, dont la mère est née à Lviv, ville anciennement polonaise devenue ukrainienne, livre son regard sur l’invasion russe à partir de son expérience familiale, mais aussi des lectures de Milan Kundera et Vassili Grossman. Il voit dans l’agression de l’Ukraine la persistance de la Russie impériale et dans la résistance de Kiev le rappel que les petites nations ne sont pas des concepts abstraits mais des lieux et des attachements à préserver.

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PHÉNOMÉNAL !

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AVEC ROLAND HÉLIE, LA DÉLÉGATION DU TRÉGOR (EN FORCE ET EN FORME) POUR VENIR SOUTENIR ÉRIC ZEMMOUR À PARIS...

12:22 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 27 mars 2022

En force dimanche 27 mars à Paris avec Eric Zemmour

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samedi, 26 mars 2022

Charles-Henri d'Elloy a "fait un tabac" ce samedi après-midi à la Librairie française en présentant son dernier livre : Le procès de Jupiter

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Belle après-midi de dédicaces. Merci à tous ceux qui ce sont déplacés. Toutes mes excuses aux lecteurs qui sont arrivés après la rupture de stock du "Procès de Jupiter". Ce n'est que partie remise. Merci de vos encouragements.

Charles-Henri d'Elloy

Acheter le livre : cliquer ici

23:07 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Colloque de l'Institut Iliade

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Le prochain colloque de l’Institut Iliade a pour thème, identité, souveraineté, sacré. Il aura lieu le Samedi 2 avril 2022 de 10 heures à 19 heures à la Maison de la chimie, 28 rue Saint-Dominique, Paris 7ème – métro : Invalides.

Pour s'inscrire, cliquez ICI

 

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Les effets de la crise ukrainienne sur l’économie mondiale

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Christophe Barraud, prévisionniste chez Market Securities, analyse l’effet de la guerre d’Ukraine sur l’économie mondiale, concomitante de la crise sanitaire et du choc d’inflation.

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Source : Le Fiagaro 26/3/2022

 

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Journal du chaos

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vendredi, 25 mars 2022

Eric Zemmour était ce matin aux côtés des riverains de "la colline du crack" à Paris

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Pendant que certains passent leur temps à pérorer sur les pseudo sondages, Eric Zemmour, avec courage et détermination, est allé ce matin à la rencontre des habitants de la Porte de la Villette à Paris, là où sévissent les trafiquants et consommateurs de crack.

Eric Zemmour : "Je me suis déplacé à la « colline du crack » en plein Paris, pour soutenir les riverains qui vivent l’enfer à ciel ouvert.

Cette insécurité liée à l'immigration massive est insupportable. Il faut montrer aux Français le vrai visage de l'insécurité.

Dans quelques semaines, j'y mettrai fin".

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Sortie le 25 mars du nouveau numéro de la revue Eléments

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Chez votre marchand de journaux.

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Paris, dimanche 27 mars, 14 h : TOUS AU TROCADÉRO !

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Samedi 26 mars, de 14 à 18 h, Charles-Henri d'Elloy dédicacera "Le procès de Jupiter" à la Librairie française à Paris

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Le procès de Jupiter cliquez ici

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Nous subissons une immigration sans précédent

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Dans un entretien exclusif, l’ancien ambassadeur et ancien directeur général de la DGSE, Pierre Brochand,  explique pourquoi, selon lui, l’immigration est le défi le plus important auquel nos sociétés sont confrontées. L’immigration de masse que vit la France depuis des décennies a créé des groupes culturels distincts dans notre pays, estime Pierre Brochand. Il juge que l’Europe est la seule partie du monde à nier l’importance de l’homogénéité culturelle. Or, pour l’ancien directeur général de la DGSE, la société des individus occidentale multiculturelle est vouée à des déchirements profonds. Il faut, plaide-t-il, un changement de cap complet de nos politiques publiques pour faire face à ce défi.

Lire la suite ICI

Source : Le Figaro 25/3/2020

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L’impossible double guerre

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Christian Daisug

Pourquoi les Etats-Unis ne sont-ils pas intervenus militairement en Ukraine pour tenter de s’opposer au déferlement de l’armée russe ? Plusieurs raisons furent avancées, notamment la possibilité d’un enchaînement fatal vers une conflagration mondiale et la préférence de Joe Biden pour des sanctions économiques punissant Vladimir Poutine, président de la Fédération russe. Cependant, l’argument qui emporta la décision à la fois de la Maison Blanche et du Pentagone n’a rien de commun avec cette prudence calculée et ce choix de moyens : il est stratégique. Les Etats-Unis refusent de prendre le risque d’avoir à combattre sur deux fronts simultanés. Or, s’ils avaient estimé leur présence indispensable contre les envahisseurs de l’Ukraine, à l’autre bout du monde, Xi Jinping, le président chinois, aurait très bien pu sauter sur l’occasion et ouvrir des hostilités afin de s’emparer de Taiwan. Il n’attend que ce scénario et compte sur les faiblesses de l’Amérique.

En fait, ce ne sont pas tant les faiblesses, toute relatives, de leur superpuissance en déclin qui inquiètent les autorités de Washington que la force impressionnante de la Chine. En vingt-cinq ans, celle-ci s’est hissée sur les plans militaire et économique – deux domaines intimement liés – au niveau du pays que son ambition a pris pour cible. Elle le nargue. Elle le défie. Elle guette la moindre de ses défaillances ou de ses erreurs pour croiser le fer et essayer de prendre sa place. Xi a davantage de navires que Biden et peut utiliser des missiles supersoniques que son rival ne possède même pas. Il est vrai que les bombardiers indétectables restent le joyau de l’US Air Force, mais elle n’en dis- pose que de vingt. Si les Etats-Unis voulaient voler au secours de Taiwan, les experts ont calculé qu’ils devraient engager en avions, sous-marins, commandos, reconnaissance et renseignement, les trois quarts de leur armée. Que resterait-il pour un théâtre d’opérations en Europe ? Des unités clairsemées dotées d’un ma tériel insuffisant. Autrement dit, une Amérique faisant pâle figure devant une Russie plus décidée que jamais à prendre sa revanche.

Conclusion : pour les Etats-Unis, Taïwan est infiniment plus importante que l’Ukraine. L’île rebelle sert de verrou à leur influence dans le Pacifique. Si Xi parvenait à le faire sauter, Washington ne serait plus en mesure de défendre ses trois principaux alliés dans la région – Japon, Philippines et Corée du Sud – ni même de poursuivre avec eux un intense commerce : ses dirigeants auraient perdu la face. La Chine communiste aurait obtenu ce dont elle rêve depuis sa fondation : l’effacement de l’ultime symbole de l’ancien régime. Xi fait de cet objectif l’apothéose de son programme et le fer de lance de sa carrière. Son alliance avec Poutine sent le pétrole, le commerce et la fructueuse complicité face à l’adversité. Elle sent aussi la menace d’un double embrasement armé. Le Pentagone tient à sa formule : les alliés européens sont mieux placés pour tenir tête à la Russie que ne le sont les alliés asiatiques pour contenir la Chine.

Source : Présent 24/3/2022

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jeudi, 24 mars 2022

QG de campagne au siège de Reconquête...

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Du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes

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Dans son dernier édito de Marianne, Natacha Polony s’interroge sur la Corse et plus particulièrement décortique ce que pourrait signifier une « autonomie de la Corse » avancée par le gouvernement. Rappelant que le pacte républicain repose sur une France « une et indivisible ». Ce qui ne l’empêche pas, comme le rappelait Renan qu’elle est aussi une et diverse.

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Ukraine : retour au réel

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L’Europe peut sembler trop prudente à l’égard de Poutine… Mais c’est elle qui paierait le prix fort d’une escalade militaire avec le Kremlin.

Les accords de Minsk font suite à l’entrée des Russes dans le Donbass… Mais ils reconnaissaient une autonomie de la région non respectée par les Ukrainiens.

Comme tout pays, l’Ukraine peut demander son adhésion à l’Otan… Mais la promesse a bien été faite à la Russie que l’Alliance atlantique ne s’étendrait pas vers l’est.

Personne ne sait où la guerre de Poutine nous mène… Mais on peut encore envisager qu’elle puisse s’arrêter à la seule Ukraine ?

Vladimir Poutine a menti et s’étend vers l’ouest… Mais au début des années 2000, l’Occident a aussi beaucoup menti et n’a pas accepté la main tendue par Moscou.

Non, les Américains n’ont pas financé des laboratoires d’armes biologiques en Ukraine… Mais ils sécurisent des installations de recherches contre les épidémies.

A la frontière polonaise, un bel élan de solidarité se met en place… Mais des sectes en profitent pour étendre leur influence.

L’Europe sanctionne financièrement la Russie… mais elle ne parvient pas à l’asphyxier.

La Crimée est annexée par Poutine… Mais un vrai référendum aurait pu clarifier la question.

Zelensky agit en héros… Mais son nom apparaît bien dans la liste des fraudeurs fiscaux.

Les citoyens font preuve de générosité… Mais le patronat polonais se frotte les mains.

Source : Marianne 24/3/2022

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mercredi, 23 mars 2022

GPA : Trafic humain en Ukraine – Le scandale Biotexcom

Alors que l’Ukraine est sous les bombes, une agence de GPA ose profiter des circonstances pour diffuser une vidéo « publicitaire » : elle consiste à vanter son efficacité à déplacer des dizaines de nouveaux-nés et, littéralement, à les stocker dans un sous-sol.

Cette vidéo atteste hélas de l’ampleur de ce trafic humain international. Elle témoigne de la chosification des enfants, emmenés loin de leur mère dès les instants de leur naissance pour être livrés à des inconnus. Dans l’urgence de toucher le prix de ces enfants, ces trafiquants ne réalisent même plus la monstruosité de ce qu’ils diffusent.

Sur les plateaux TV, les commanditaires sont reçus avec empathie quand des femmes, exploitées comme mères porteuses parce que très pauvres, dont aucun ne questionne les conditions de (sur)vie, sont retenus à Kiev, sous les bombardements, pour assurer la livraison du bébé commandé et attendu.

BIOTEXCOM, agence de GPA ukrainienne réalise une campagne publicitaire scandaleuse attestant de l’ampleur de ce trafic international de bébés. L'aliénation de la femme, le trafic humain de la GPA est inacceptable. La promotion de cette pratique indigne doit être empêchée et interdite. Il est temps de dire STOP. Il est temps de sauver ces femmes exploitées et d'exiger l’abolition universelle de la GPA ! Signez la pétition sur ukrainiennesendanger.com

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Trois questions à Bruno Mégret

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Francis Bergeron :  Vous avez apporté votre soutien à Eric Zemmour. Est-ce l’homme, sa capacité à faire travailler ensemble des talents divers ou son programme qui vous séduit essentiellement ?

A vrai dire, rien de tout cela. Ce qui m’a amené à soutenir Eric Zemmour, c’est essentiellement la conscience qui est la sienne des réalités géopolitiques du monde d’aujourd’hui. Car, comme lui, je crois que nous vivons maintenant dans un monde multi- polaire où s’affrontent les civilisations. Or, la nôtre, la civilisation européenne et chrétienne, est aujourd’hui attaquée par d’autres civilisations. On pour- rait citer la Chine qui, avec les pays émergents, dépèce notre économie grâce au libre-échangisme mondial, ou les Etats-Unis qui polluent notre culture avec des idéologies funestes comme récemment le mouvement « woke ». Mais c’est surtout bien sûr le monde arabo- africano-musulman qui nous menace le plus gravement en cherchant à nous imposer, par une immi- gration massive et inassimilable, sa propre civilisation en lieu et place de la nôtre. Il fallait mieux faire connaître aux Français cette réalité mortifère qui me- nace notre identité. Je crois qu’il l’a fait avec talent.

Quelle est votre définition de « la vraie droite », qui justifie ce choix et fait la différence avec Marine Le Pen ?

Je ne théoriserai pas la notion de vraie droite, c’est celle qui s’oppose à la fausse droite entièrement dominée par le politiquement correct. Et, à cet égard, à mes yeux en tout cas, Eric Zemmour comme Marine Le Pen font l’un comme l’autre partie de la vraie droite. L’un et l’autre combattent le politiquement correct et défendent notre identité face au mondia- lisme. Je regrette cependant que ni l’ un ni l’autre n’explicite vraiment la nécessité, pour réaliser le grand changement qu’ils proposent, de remettre en cause l’Etat de droit, c’est-à-dire la dictature juridique que nous impose notamment le Conseil constitutionnel. Une institution qui s’érige en tribunal idéologique et bafoue la souveraineté populaire. Habitée par l’ idéologie politiquement correcte, cette juridiction n’hésite pas en effet à censurer les lois votées pourtant par les élus du peuple dès lors qu’elles ne sont pas conformes à l’idéologie du Système. Ce qui veut dire que, si le Conseil constitutionnel n’est pas remis à sa place, une bonne partie du programme de Marine Le Pen comme d’Eric Zemmour ne pourra pas être mis en œuvre. Il faudrait donc dénoncer ce gouvernement des juges et prévoir une réforme constitutionnelle qui instaure par exemple un droit d’appel des décisions du Conseil constitutionnel, donnant le dernier mot au peuple soit par un référendum soit pas un vote ultime de l’Assemblée nationale.

Si l’on en croit les sondages, la candidate du RN resterait le principal adversaire de Macron. Mais y a-t-il un risque de voir Mélenchon s’imposer à la deuxième place ? Et, dans ce cas, faut-il se préparer au « vote utile » dès le premier tour ?

Je ne crois pas que Mélenchon puisse se qualifier pour le second tour. Je pense que c’est un candidat de la vraie droite, ou si vous préférez de la droite nationale, qui sera l’adversaire de Macron. Il faudra alors que celui de Zemmour ou de Marine Le Pen qui ne sera pas qualifié se désiste clairement en faveur de l’autre et que toutes les voix se rassemblent pour battre Macron et faire triompher nos idées. 

Source : Présent 23/3/2022

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mardi, 22 mars 2022

Après les éoliennes, la nouvelle escroquerie écologiste : la méthanisation

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Sortie très prochaine d'un livre consacré à ce nouveau scandale rédigé par Bernard Germain

Il y a deux mois Bernard Germain était invité à l'émission Synthèse sur TV Libertés.

Peu de gens savent ce qu’est la méthanisation. Et pour cause, ces structures ne sont construites qu’à la campagne, loin des villes.

La méthanisation leur est présentée comme le moyen de produire du gaz « bio », ce qui préserverait notre dépendance vis à vis de l’étranger.

Ce gaz « bio » est produit à partir de déchets, notamment les déjections animales, ce serait donc écologique et vertueux.

Enfin, la méthanisation est présentée comme une solution mise en œuvre « à la ferme », assurant un petit complément de revenu aux agriculteurs qui souffrent tant des prix reçus pour leurs productions.

Au final, la méthanisation n’aurait que des avantages.

Mais la réalité est bien différente.

L’auteur de cet ouvrage a été confronté à la tentative d’installation d’une structure de méthanisation proche de son domicile en Bretagne.

Il s’est opposé à ce projet avec des centaines d’habitants de son bourg.

Ce livre explique d’abord ce qu’est la méthanisation, ses dangers pour l’environnement et les populations, ainsi que sur le plan économique.

Il démontre aussi que la méthanisation, qui est l’un des piliers des « énergies renouvelables » n’est qu’une escroquerie sur tous les plans.

Il constitue aussi un guide pour l’action à destination de ceux qui souhaitent s’opposer.

À lire d’urgence … si vous ne voulez pas être victime de cette nouvelle escroquerie écologique.

Méthanisation, la nouvelle escroquerie écologiste, Bernard Germain, édité par Synthèse nationale, mars 2022, 104 pages, 18,00 €

Pour acheter ce livre cliquez ici

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Entretien avec Alain de Benoist sur les crises du moment

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Entre la guerre en Ukraine, la fièvre nationaliste corse, les élections présidentielles qui arrivent, la radicalisation de la vie politique en France, il y avait énormément de sujets que Breihz Info voulait aborder en cette fin mars avec Alain de Benoist. C’est chose faite avec cet entretien.

Lire l'entretien ICI

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Les Etats-Unis n’ont rien à espérer de la Chine

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Christian Dalsug

De solides preuves accumulées dès le début du mois de janvier dernier ont persuadé les Américains que Vladimir Poutine, président de la fédération de Russie, était en train de programmer l’invasion de l’Ukraine. L’attaque devait avoir lieu fin janvier. C’est alors que se greffèrent sur ces sombres desseins deux opérations extérieures et contradictoires. L’une, venue de Washington, sollicita l’influence du président chinois Xi Jinping sur Poutine pour tenter de tuer cette guerre dans l’œuf ; l’autre, née à Pékin, demanda au Kremlin de remettre les affrontements militaires à la fin des Jeux olympiques d’hiver. Deux initiatives croisées : la première échoua lamentablement ; la seconde fut couronnée de succès.

Pour sceller leur « mariage de raison », Poutine et Xi se rencontrèrent à Pékin le 4 février ; l’Ukraine n’avait plus que quelques jours de paix à vivre. Dépitée, la Maison-Blanche prit conscience du décalage de sa diplomatie. Dans cette affaire, la Chine avait quelques longueurs d’avance sur elle.

Pourtant, ce camouflet administré non sans un certain mépris ne découragea pas le moins du monde Joe Biden qui chargea Jake Sullivan, son conseiller pour la Sécurité nationale, de relancer la Chine afin d’utiliser son poids pour, cette fois, arrêter la guerre. La rencontre de Sullivan et du ministre Yang Jiechi dura sept heures. Pour rien. Les Etats-Unis et l’Europe perdirent brutalement leur double illusion : dans cette affaire, le couple qu’ils forment n’a qu’un crédit très limité ; en revanche, le couple sino- russe paraît résister aux secousses du conflit. Pékin a refusé de qualifier Poutine d’« envahisseur », d’œuvrer pour un cessez-le-feu ou de rejoindre les Occidentaux dans leurs sanctions contre le Kremlin. Xi a réaffirmé la pérennité des accords du 4 février. Mieux : il a ouvert ses banques à son partenaire et doublé ses échanges commerciaux avec lui.

Ni le coût humain, économique et diplomatique des opérations militaires, ni les risques de mesures coercitives n’ont fait reculer Xi. Si sa tactique a dû changer au gré des événements ponctuels, sa stratégie, jusqu’à preuve du contraire, reste la même. Pourquoi ? Cinq raisons :

  1. – Poutine et Xi sont de vieux complices avec des pays qui, sur les plans politique et économique, ont prouvé leur complémentarité. La Russie propose son pétrole et son gaz, la Chine sa masse et sa puissance. Pour remplacer les Etats-Unis, il vaut mieux être deux. D’autant qu’aucune rivalité ne pourrait ternir le tandem à long terme : Poutine se fixe en Europe et au Moyen-Orient, Xi lorgne l’Indo-Pacifique et l’Asie centrale.
  2. – L’autre semaine, Emmanuel Macron et Olaf Scholz, le chancelier allemand, ont participé à un sommet virtuel avec Xi. Les « durs » à Pékin tirèrent de ce contact deux conclusions sans surprise : les Européens ne sont prêts ni à défendre leurs arguments par la force ni à rompre tous liens avec la Chine. Reste la gestion d’un moment difficile...
  3. – Xi fut surpris par la résistance des Ukrainiens. Et par l’absence – ou le dérapage – d’une opération « coup de poing » qui était sans doute initialement prévue. La guerre traîne trop et empoisonne l’ atmosphère générale. Mais, pour Xi, ce qui importe, c’est l’OTAN. A l’image des capitales européennes, l’« obsession » de son allié Poutine n’a pas bougé. Un signe encourageant pour les deux compères. La paix viendra. C’est donc une question de temps.
  4. – On pourrait imaginer Xi intervenant en fin de course afin de contribuer au ficelage d’un cessez-le-feu. Que pourrait-il mettre dans la balance ? Quelques concessions qui ne troubleraient pas Poutine, « son meilleur ami » : mariage de raison oblige. Les experts, ici, ne croient pas à un Xi lâchant du lest. Il a misé toute sa carrière sur le nouvel axe Moscou-Pékin. Le moindre retour en arrière serait assimilé à un aveu d’échec. Une raison suffisante pour le limoger cet automne au XXe congrès du Parti communiste.
  5. – Ultime justification à la route tracée par Xi : la faiblesse et l’incohérence des Etats-Unis. Obnubilés par l’humanitaire ukrainien, ils ont manqué de stratégie à long terme. A cela s’ajoute un budget militaire centré sur le défensif, une politique énergétique aberrante et un président qui n’est pas pris au sérieux. L’axe Moscou-Pékin est à la fois un défi et un test. Appliqué à l’affaire ukrainienne, cet axe recèle une charge offensive multipliée par cent. A Washington, l’establishment ne semble pas s’en être rendu compte.

Source : Présent 22/3/2022

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