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mardi, 27 juillet 2021

Des contrôles et vérifications inapplicables

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Olivier Baccuzat

Doit-on vraiment, comme l’a fait la semaine dernière la Défenseure des droits, s’inquiéter du « contrôle d’une partie de la population par une autre » avec la mise en place du pass sanitaire et du projet de loi sur lequel députés et sénateurs viennent de se mettre d’accord ? Si la proportionnalité des restrictions et des sanctions prévues peut légitimement poser question au regard des droits et libertés fondamentales de chacun, si on peut s’offusquer à juste titre de l’examen, imposé à marche forcée aux parlementaires, d’un texte ne prolongeant rien moins que l’état d’urgence sanitaire, à l’arrivée, ne risque-t-il pas d’y avoir davantage de peur que de mal tant plusieurs mesures de ce texte semblent tout bonnement inapplicables ?

Entre les contrôles dévolus à un « ex- ploitant de transport » comme la SNCF qui, amendes ou pas, va se heurter à la résistance assumée des cheminots, ceux devant être assurés par des forces de l’ordre dont les syndicats ont d’ores et déjà prévenu qu’elles feraient avec les moyens du bord, autant dire avec peu d’empressement, entre les vérifications dévolues, sans plus de détails, à des fonctionnaires des agences régionales de santé dont on ignore s’ils sont équipés pour la circonstance, et l’obligation de pass sanitaires dans les centres commerciaux laissée à la libre appréciation des préfets, l’indigestion administrative est totale.

Une énième fois depuis le début de cette crise sanitaire, l’appareil d’Etat démontre qu’il a le chic pour accoucher de procédures aussi brouillonnes que complexes là où précisément simplicité et souplesse devraient être les maîtres mots pour obtenir l’adhésion de tous. Tout le contraire de ce projet de loi dont il n’est pas acquis qu’il re- çoive dans son intégralité l’imprimatur du Conseil constitutionnel la semaine prochaine.

Source : l’Opinion 27/07/2021

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lundi, 26 juillet 2021

De la violence libérale

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Jarente de Sénac

La mondialisation est en train de ravager la planète. Entendons-nous bien sur le terme de mondialisation. Les pays échangent depuis des siècles et l’ancienne route de la soie nous en apporte le flagrant témoignage. Les épices venaient d’Orient pour agrémenter les mets des tables européennes, l’or des conquêtes espagnoles d’Amérique du sud, a apporté une prospérité inconnue en Europe au même titre qu’elle a alimenté ses guerres ; les Anglais ont tiré bénéfices de leurs colonies à l’image des Hollandais. Les exemples ne manquent pas d’une économie d’échange globalement heureuse. Certes, les Espagnols ont éradiqué les cultures indiennes (Incas au Pérou, Aztèques au Mexique), mais ce n’est pas le cas des Anglais en Inde, des Français en Afrique, des Européens en Chine.

Cependant ce n’est pas le cas d’une mondialisation reflet d’une économie libérale où plutôt d’un capitalisme débridé et qui modifie le mode de fonctionnement de l’économie. Aujourd’hui le libéralisme fait fi de tout, des hommes comme des cultures car son unique souci est la rentabilité du capital et l’accumulation de richesses. On revient à ce bon vieux Veau d’Or dénoncé dans la Bible, éminent symbole du lucre !

Aujourd’hui, on ne commerce plus en raison de la nécessité, on commerce en vue d’un cumul du capital. Ce n’est plus le besoin qui dicte sa loi, c’est le capital et derrière lui, l’actionnaire. Ajoutons à cela que ce que nous nommons « modernité » ou « progrès », c’est-à-dire l’ensemble des besoins industriels au sens le plus large, est un ogre énergétique dont l’appétit est gigantesque, pour ne pas dire sans fin. L’homme s’est encagé et l’on a du mal à voir où se trouve la porte de sortie. L’avenir n’est pas pavé de bonnes intentions.

Au réchauffement climatique, dont il devient plus difficile de nier les effets, vient s’ajouter un désastre écologique qui n’est jamais que la conséquence de cette course aux besoins grandissant en énergie. On le sait bien, le niveau de vie atteint par les Européens n’est guère extensible à la terre entière. Et pourtant, tous y aspirent (mis à part les rares tribus de la forêt amazonienne ou celles de Papouasie !), exception faite aussi de l’Afrique qui n’a jamais su gérer son destin et que se chargent de piller dans l’indifférence générale les Chinois et les Américains. Dans cette course, les Européens, et notamment la France, font figure de nains.

Longtemps l’Europe a été le moteur du développement en faisant montre d’un génie qui s’est exprimé dans la science, les arts et les lettres. Mais c’est surtout de son « progrès » scientifique que tout le monde a profité et profite toujours. Ne perdons cependant pas de vue ce que disait Rabelais : « Science sans conscience n’est que ruine de l’âme ». On a semble-t-il oublié ce sage conseil.

Sans tomber dans le catastrophisme béat, on a tout lieu d’être inquiet tant se multiplient les sources de conflit concernant les ressources. Les conflits à venir viendront de là. Et d’une la démographie galopante aussi. L’homme est en train de modifier son environnement à tus les étages. Or, quel que soit le scenario, l’homme sera toujours perdant face à la nature. On ferait bien de ne pas l’oublier.

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dimanche, 25 juillet 2021

Dix ans pour rien !

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Bertrand de Saint-Vincent

Dix ans que ça dure. A Nantes, la cour d’appel administrative vient d’annuler les autorisations d’un parc éolien dans les Côtes d’Armor, en raison de son impact négatif sur le paysage. Les travaux avaient déjà démarré et la société responble a annoncé se tourner vers le Conseil d’État. Près de Saint-Brieuc, malgré la colère croissante des pêcheurs, l’érection de soixante-deux mâts de 207 mètres de haut a été validée le long de côtes labélisées Grand Site de France. Dans le Nord, la Belgique saisit la justice pour tenter de faire annuler un vaste projet offshore du côté de Dunkerque... Quel gâchis ! De temps, d’argent, d’énergie. À quoi servent les dirigeants s’ils sont incapables de fixer une ligne claire sur un point aussi fondamental que la politique énergétique de la France ? À nourrir l’abstention. Malgré les recours, les dossiers alarmistes, les critiques étayées, les éoliennes continuent, dans un va-et-vient chaotique, à tracer leur sillon de laideur inutile. Coulés dans le béton, nourris de métaux rares, à l’extraction polluante, alimentés par des centrales à gaz, ces candides moulins à vent persistent à faire figure de sauveurs de la planète. Tous les rapports sur leurs limites – faible rendement, coût exorbitant, impact désastreux sur le patrimoine et l’environnement – n’y font rien. Aux yeux de leurs partisans les plus acharnés, ces encombrants pylônes demeurent le seul moyen d’avancer sur la voie magique de la neutralité carbone. Quoi qu’il en coûte.

Il est temps de dissiper le brouillard coupable qui entoure et dissimule la vraie nature de ces tourniquets ; d’extirper les arrière-pensées idéologiques de ceux qui aspirent à les voir balayer les fondements de notre croissance. « Du rêve aux réalités », comme le dit un documentaire dont l’audience témoigne de l’évolution de l’opinion, la marge est béante. L’exigence d’une énergie propre, renouvelable, est partagée par le plus grand nombre. On ne peut la laisser entre les pales d’une armée dont l’une des caractéristiques est de demeurer les bras croisés les trois quarts du temps.

Source : Le Figaro 24/07/2021

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samedi, 24 juillet 2021

Drôle de jeu

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Le billet de Patrick Parment

Difficile de raison garder dans le contexte sanitaire, social et économique qui est le nôtre aujourd’hui. Mais l’Etat, ou plutôt le seul président de la République, Emmanuel Macron, est responsable de ce climat délétère dans lequel nous baignons. Au lieu de faire de la pédagogie, Macron a eu recours à des mesures autoritaires. On a bien conscience que la vaccination pour tous n’ajoute pas aux maux que nous connaissons et globalement à défaut de protéger totalement – ce que ne garantissent d’ailleurs pas les laboratoires -, elle atténue la pandémie. Au stade où nous en sommes, il n’était donc pas nécessaire de soulever une population contre une autre, les non vaccinés n’étant pas plus nombreux que les vaccinés eux-mêmes qui sont à ce jour près de 32 millions. Et ce n’est pas fini.

Ce que l’on comprend mal en revanche, c’est le refus fait aux médecins de soigner avec des médicaments qui ont, semble-il, donnés des résultats. On pense évidemment au professeur Didier Raoult dont le traitement à l’hydroxychloroquine, flingué à vue pour des raisons qui nous échappent, a finalement mis en valeur la soumission du corps médical au politique. Et jusqu’à preuve du contraire, ce professeur est tout sauf un charlatan. Pourquoi l’avoir traité comme tel ?

Mais ce n’est pas l’unique traitement testé, il y en a d’autres, sous condition évidemment qu’ils ne mettent pas en danger la vie du patient. Je le dis d’autant qu’un de mes amis, diabétique, a été sauvé par son médecin via un traitement proche des recommandations du professeur Raoult. Je sais bien que toutes les Françaises ne sont pas rousses… Mais il eût été intéressant de tester d’autres pistes en laissant ce soin à nos médecins de quartiers. Pourquoi cela n’a-t-il pas été fait ? Cela aurait peut-être eu pour effet de désengorger les hôpitaux. Au lieu de cela on a eu droit à trois petits tours de paracétamol et rendez-vous à l’hôpital.

On a vu, au contraire, débarquer la grosse artillerie des laboratoires qui ont imposé leurs vaccins et suivis par la plupart de nos gouvernants en Europe. On se demande d’ailleurs à pourquoi le vaccin russe – Spoutnik V – n’est-il toujours pas homologué ? On voit bien que la politique et ses cantines sont derrière tout ce barnum où de forts intérêts financiers sont en jeu. Les gouvernants ont-ils agi dans la panique ? On a tout lieu de le croire et on se demande à quoi servent tous ces bazars scientifiques qui nous ont abreuvé d’informations contradictoires ? Et puis, cette question que sait-on de plus sur ce virus qui sévit depuis plus qu’un an maintenant ? Rien a priori.

Enfin, reste un sujet que l’on ne peut élucider, celui des populations extra-européennes, noires, maghrébines et autres que nos autorités auront bien du mal à contrôler et qui ne sont pas moins de 10 millions dans ce pays. On sait déjà que les mosquées ne seront pas contrôlées – les lieux de culte en général. Et ils sont nombreux à être réfractaires au vaccin. Alors on fait quoi Darmanin ? Castex ? Macron and Co ? Et ils ne sont pas qu’en Seine-Saint-Denis depuis que nos autorités éclairées les ont répartis sur tout le territoire.

Il semble bien que ce covid-taquin et ses variants va nous pourrir la vie pendant encore… un certain temps. Il revient à chacun d’aviser ce qui est le mieux pour sa santé sans que le ciel vengeur ne lui tombe sur la tête.

On peut consulter ce site

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Journal du chaos

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vendredi, 23 juillet 2021

Éloge mesuré de la dictature sanitaire

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En Europe, nous avons toujours été une terre de discussions, parfois vives, sur divers sujets. La vérité n’est atteignable que si le débat est libre et si toutes les opinions s’expriment. (Polemia)

Eric Delcroix

Le pays bruit de mille échos, dans les médias, dans les réseaux sociaux et jusque dans la rue, contre la « dictature sanitaire ». Certes, nous avons l’impression d’être sous une telle dictature, mal vécue après dix-huit mois de restrictions, de confinements ou couvre-feu. Mal vécue d’abord parce que maladroite, maladresse symbolisée par le maintien à la Direction de la Santé d’un bureaucrate qui nous avait dit que le masque « ne servait à rien », avant d’en justifier l’obligation, même au milieu de nulle part.

Sur le principe toutefois, et de façon momentanée, cette dictature informelle (le président n’a même pas activé l’article 16 de la Constitution) mais civique paraît justifiée, comme ce peut être le cas face à la guerre, aux grands cataclysmes ou aux dangereuses épidémies. Sommes-nous réellement dans ce dernier cas ?

De la gravité de l’épidémie

On entend dire là-contre que cette pandémie est assez modérée en termes de létalité, notamment au regard des grandes grippes de l’après-guerre, dites asiatique et de Hongkong. L’argument est certes pertinent, mais hélas inaudible car notre rapport à la mort a changé… et malheureusement aussi le rapport de nombre d’entre nous à la science et à la médecine.

Indéniablement, la pandémie de la covid-19 désorganise les sociétés contemporaines, notamment quant aux relations humaines, à la vie sociale et économique, à l’enseignement. Voilà pourquoi, cette quasi dictature, aussi médiocre puisse-t-elle être avec Emmanuel Macron, quand elle impose enfin une décision raisonnable, doit être admise. Il faut arrêter les confinements et autres couvre-feux et s’en donner les moyens.

Oui, la communauté scientifique peut être raisonnablement suivie quand elle postule la généralisation du vaccin, vaccin qui jusqu’ici nous a tout de même libérés de la variole, de la tuberculose, de la diphtérie ou du tétanos. Les « soignants » rétifs, acceptent l’obligation de vaccination contre l’hépatite B, mais pas contre le nouveau coronavirus ! Il est du ressort du pouvoir de veiller à ce que ces irresponsables cessent de transmettre cette maladie, notamment sous forme nosocomiale, à leurs patients.

Objections des opposants à la vaccination

Les opposants à la vaccination expriment en premier lieu un refus de la science qui frise la superstition.  La connaissance et la pratique des sciences (ici biologie et médecine), ne rend pas nécessairement le praticien scientifique. Prométhée ne s’enseigne pas, pas même aux étudiants en médecine : c’est un état d’esprit historiquement très européen… Louis XVI, plus hardi que nombre de nos contemporains, s’était fait inoculer le tout premier vaccin, celui de Jenner (1749-1823) ; il avait vu son grand-père Louis XV mourir de la variole et, de La Pérouse à Jenner, encourageait toutes les découvertes scientifiques. Peur de la nouveauté, peur de la science et du terme ésotérique d’ARN messager : et si cela induisait des cancers dans quinze ans, entend-t-on dire… Et si, en l’absence de vaccin, la covid 19 induisait des cancers dans quinze ans ?! Toujours la réponse du berger à la bergère ! Le génie de l’Occident fut tout de même de faire naître le science…

En second lieu, ces opposants, expriment un individualisme exacerbé que cultivent la ploutocratie (ou si vous préférez le capitalisme mondialiste) et l’extrême gauche, dans l’oubli de l’intérêt général. Étrangement, cette notion semble échapper à MM. Philippot et Dupont-Aignan qui manifestent une hargne d’anarchistes brouillons.

Oui, en cas d’épidémie aux conséquences désastreuses, les libertés publiques auxquelles nous sommes historiquement et esthétiquement attachés, peuvent être brièvement suspendues. Entendre des gens des milieux de la droite radicale reprendre le slogan « Mon corps est à moi »  (Moi ! Moi ! Moi !) des militantes de l’avortement sans limites, est confondant. Non, notre corps n’est pas une propriété ; nous entendons certes qu’il soit respecté, mais nous ne saurions prétendre le conserver comme libre vecteur de quelque peste que ce soit. Les mêmes opposants ne s’imaginent pas malades, mais il faudra quand même les soigner le cas échéant, aux frais de l’assurance maladie bien sûr, et peut-être avec une nouvelle catastrophique saturation des services de réanimation…

On sait, depuis plus de deux siècles que, pour éliminer les maladies endémiques ou épidémiques, le vaccin est un impératif catégorique, comme la quarantaine, depuis le Moyen-Âge, dont les fichus droits de l’homme ne permettent même plus l’application stricte.

Eric Delcroix est juriste, essayiste, écrivain, auteur de Droit, conscience et sentiment.

Source : site Polemia

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Pierre HILLARD : La grande réinitialisation, origines et conséquences

Intervention de Pierre Hillard lors de la troisième université d’été du Pays Réel organisée par Civitas au Puy-en-Velay.

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Source : MPI

11:12 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les naïfs espoirs des vaccinés seront vite douchés

 
La bête mangera tout le monde

Ce petit clip en dit long en quelques images. C’est probablement pourquoi il est en mode privé et totalement invisible sur Youtube sauf à en connaître l’adresse exacte. Étant donnée son efficacité, il y a fort à parier qu’il sera dénoncé rapidement et que YouTube le supprimera aussitôt. Probablement copié sur Odysee, nous nous chargerons de mettre à jour notre présent article. En attendant, les vaccinés, comme notre professeur agrégé de philosophie, devront en prendre de la graine : ils ne sortiront jamais du piège dans lequel ils s’enferment tous seuls.

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Source : E&R

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jeudi, 22 juillet 2021

Restauration : un patrimoine en danger

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La restauration ne saurait se résumer à ce que l’on trouve dans son assiette. La restauration en appelle d’abord à un certain art de vivre, fondement de notre patrimoine culturel et pour tout dire quasi consubstantielle à notre être. Le restaurant comme le bistrot sont inséparables de notre vie quotidienne et dont nous sommes maintenant privés depuis plus d’un an. Ce n’est pas sans conséquence pour ce que l’on appelle les métiers de bouche. Dans ce court article Natacha Polony cible bien les enjeux de cette profession en grand danger.

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mercredi, 21 juillet 2021

MERCREDI 21 JUILLET : JEAN-CHRISTOPHE GRUAU, LIBRAIRE PARISIEN, INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR TV LIBERTÉS

Cette dernière émission « Synthèse » de la saison est consacrée à la défense des librairies non-conformistes. Fort heureusement, il en existe quelques-unes en France. Ces librairies, dans lesquelles sont diffusés des livres que l’on ne trouve généralement pas ailleurs, sont des espaces de libertés essentiels pour ceux qui refusent la mainmise de l’idéologie dominante. Elles constituent une véritable alternative aux multinationales du prêt-à-penser que sont les GAFA dont l’objectif est d’avoir le monopole de l’édition et de la diffusion dans le monde.

Il nous a donc semblé opportun de donner la parole à l’un de ces libraires parisiens, Jean-Christophe Gruau (La Librairie française, 5 rue Auguste Bartholdi 75015), qui se battent quotidiennement pour que l’on puisse encore acheter librement les livres que nous souhaitons lire.

Il est reçu par Roland Hélie et par Philippe Randa, eux-mêmes éditeurs.

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LES PRÉCÉDENTES ÉMISSIONS CLIQUEZ ICI

SITE DE LA LIBRAIRIE FRANÇAISE CLIQUEZ LÀ

15:54 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Cette fin de semaine, en Provence : les journées d'été des Lansquenets

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Roland Hélie, Philippe Randa et Georges Feltin-Tracol

participent à ces journées.

En savoir plus cliquez ici

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Après le virus qui rend fou, le vaccin qui rend zinzin !

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Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés.

(Propos recueillis par Guirec Sèvres)

Le gouvernement impose à partir du 1er août le pass-sanitaire dans les manfestations publiques, les trains et les restaurants, ainsi que la vaccination obligatoire pour le personnel médical ; trouvez-vous ces mesures justes ?

Juste inacceptables autant que débiles, tout à fait, et on ne peut que saluer ceux qui manifestent contre ces mesures et/ou ceux qui engagent dès à présent des procédures judiciaires pour s’y opposer.

Une quatrième vague de contamination est tout de même en cours ; le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal parle d’un « tsunami viral » que seul la vaccination peut arrêter…

Si tsunami il y a, c’est bien le tsunami de la bêtise et celle-ci est d’ailleurs largement partagée, hélas ! chez les « pro » comme chez les « anti » vaccins… Pour les premiers, toute nuance, remarque, mise en garde et interrogations est juste… interdite ! Ils détiennent la vérité, seule et unique : hors du vaccin, point de salut ! Pour les seconds, les vaccins ne sont pas autre chose que du poison. Et on ne doit pas le discuter ! S’il y a bien une seule et unique vérité, c’est que ce virus, à défaut d’une hécatombe, rend fou. La preuve !

Il y a tout de même eu beaucoup de morts ?

C’est vrai, rappelons qu’il n’y a seulement QUE 98 % de cas-contaminés qui survivent, c’est effectivement effroyable ! Vous voulez les chiffres officiels, ceux du 20 juillet de Université Johns-Hopkins de Baltimore qui fait  référence en matière d'épidémiologie pour le Monde entier ? Allons-y…  Contaminations : 190, 9 millions (contre 178 au 20 juin) ; morts « estampillées » Covid-19 (avec toutes les réserves d'usage !) : 4,096 millions (au 20 juin : 3,865), soit ratio morts/contaminations 2,14 % (à la mi-juin, il était de 2,17 %) : on le voit, le ratio est parfaitement stable depuis la mi-mai 2021 !

Et en France ?

5,932 millions de cas personnes contaminées et…  111 680 morts, soit un ratio de 1,25 %, alors qu’il était de 1,81 % fin mai ! Et là, effectivement on peut légitimement s’interroger sur ces chiffres que la France a transmis au Johns-Hopkins car 33 % de baisse en un mois, c’est stupéfiant, comparé aux chiffres de la Suède, par exemple : un ratio (stable depuis mai) de 1,33 % (pas de confinement)… aux chiffres du Japon : 1,77 % de ratio (pas de confinement et ratio stable depuis mai)… aux chiffres de l’Allemagne (confinement draconien, ratio stable depuis mai) dont le ratio actuel est de  2,43 %… et aux chiffres de la Grande-Bretagne (confinement majeur) au ratio de 2,87 % (stable depuis mai) … Ces chiffres nous prouvent en passant que le confinement dont le gouvernement français brandit à nouveau la menace pour imposer la vaccination ne fait rien à l'affaire…

Avec une situation qui se serait notablement améliorée, pourquoi alors Emmanuel Macron panique-t-il alors de nouveau les Français ?

La France a précommandé 200 millions de doses de vaccins en décembre dernier, soit de quoi vacciner 100 millions de personnes avec deux doses ! Notre pays ne comptant que 67 millions d’habitants, faites le calcul… 134 millions de doses auraient seulement été administrées et encore, à condition que tout le monde y passe ! Mais tout le monde ne le souhaite pas (ou ne peut pas être supporter de vaccins, de ceux-là, on ne parle jamais)…  Le gouvernement français qui fait tout dans la précipitation allait donc courir le risque de voir des millions de doses de vaccins lui rester sur les bras. D’où scandale financier et preuve supplémentaire de son incompétence… Dans la précipitation, toujours et encore, il a donc décidé en plein été d’imposer le pass-sanitaire pour forcer la population récalcitrante à liquider ses stocks… Coûte que coûte et quoi qu’il en coûte comme dirait l’apprenti-sorcier de l’Élysée !

N’êtes-vous pas un peu complotiste pour dire cela ?

Être complotiste serait de croire qu’on a commandé des millions de doses de vaccin pour s’enrichir ou pour décimer la population ou pour je-ne-sais quelle stupidité encore… Je me contente que constater que chaque mesure prise l’est dans la précipitation et l’incohérence.

Un dernier mot sur la réalité du nombre de morts… Au Portugal, une décision de justice  a obligé le gouvernement à baisser les chiffres officiels de la mortalité due à la Covid 19 de 17 000… à 152 !

C’est le site Nice Province Info qui l’a révélé en premier, avant que cet article ne soit reprit sur Synthèse nationale et que je le publie à mon tour sur EuroLibertés : oui, suite à une pétition citoyenne, le nombre de décès vérifiés entre janvier 2020 et avril 2021 n’est en fait  que de… 152 ! Soit 0,9 % de la « réalité gouvernementale ». Et en France ? Et dans le reste du monde ? Plus qu’un « tsunami » de morts, cette pandémie du Covid aura surtout provoqué un tsunami de mensonges éhontés et de délires tous azimuts… !

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La stratégie de la peur... un entretien avec le sociologue Michel Maffesoli

Entretien réalisé le 20 juin dernier.

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mardi, 20 juillet 2021

Une société de suspicion généralisée

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La chronique de Philippe Randa

Quel auteur de roman policier, à l’imagination particulièrement asséchée, aurait-il pu songer à une telle motivation de crime : un différent sur une facture de téléphone ! On imagine la tête de son éditeur, voire de ses éventuels lecteurs : au fou ! Et pourtant… Pourtant, c’est le aussi sanglant que minable fait-divers survenu au Centre commercial de Claye-Souilly (Seine-et-Marne) en cette mi-juillet. Un client mécontent de son échange avec deux jeunes employés quitte la boutique de téléphonie pour aller chez lui se munir d’un couteau et revenir « planter » ses deux interlocuteurs, tuant l’un des deux, tout juste bachelier, et envoyant aux urgences son collègue, plus « chanceux »…

Ni motif crapuleux, ni motif passionnel, ni motif terroriste… Pire : la terrible réalité d’une société qui, chaque jour, défraie la raison, le bon sens, l’imaginable…

Pourtant, dans notre vie quotidienne, les signes avant-coureurs de cette monstruosité et de bien d’autres devraient nous alerter.

Aurait-il été imaginable, voici encore dix ou quinze ans – encore moins au siècle dernier –, que les caissières des grandes surfaces exigent désormais de contrôler systématiquement les cabas de leurs clients pour vérifier s’ils n’y dissimulent pas quelques marchandises dérobées ? Suivant ainsi les consignes de leur direction, lassée de voir augmenter le chiffre des « démarques inconnues », cette pudique appellation du vol…

Et ces restaurants où le serveur, après avoir noté votre commande, vous demande d’aller à la caisse régler d’avance l’addition avant qu’il ne vous serve, s’excusant du procédé, certes, mais invoquant l’augmentation extravagante des clients qui se carapatent une fois la dernière bouchée avalée… Certes, la grivèlerie a de tout temps existé, mais restait exceptionnelle… et aucun restaurateur ou hôtelier n’aurait osé systématiser le paiement d’avance !

Autre temps, autre mœurs…

Dans un temps que les moins de vingt ans n’auront pas connu, qu’on ait été peu argentés ou très aisés, l’insulte n’aurait été ni acceptable… ni acceptée !

Source EuroLibertés cliquez ici

Passée dans le quotidien Présent.

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Le pape François déclare une nouvelle guerre liturgique !

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L'auteur de cet article, François Floc'h, s'entretenant avec Mgr Moutel, évêque de Saint-Brieuc et Tréguier, en 2019 à Prat (22).

François Floc'h

Dans le motu proprio Traditionis custodes qui vient d'être publié par le Vatican, le pape François annule les dispositions prises par son prédécesseur, le pape émérite Benoît XVI. En 2007, par son motu proprio Summorum Pontificum, Benoît XVI voulait ramener la paix liturgique dans l’Église catholique en validant la messe dite "de saint Pie V", rebaptisée "rite extraordinaire", tout en conservant la messe dite "de Paul VI" de rite ordinaire.

L'affaire est un peu compliquée pour les non initiés mais, il faut le reconnaître, une paix liturgique un peu précaire mais bien réelle s'était ainsi installée. Preuve en est que le nombre de pratiquants réguliers du rite extraordinaire allait en augmentant régulièrement. Et surtout dans les jeunes générations qui forment notre relève.

Le pape François par son nouveau Traditionis custodes annule tout cet équilibre, déclare la guerre liturgique en des termes très jésuites où la charité est bien absente, et fait un pied de nez bien peu fraternel à Benoît XVI ! Tout cela écrit-il pour l'unité de l’Église. Il faut oser !

Même Michel Onfray, athée déclaré mais honnête, dans une tribune du Figaro, clame son écœurement et décrit les objectifs cachés : "Ce qui se joue dans cette affaire, c'est la suite de Vatican II, autrement dit l'abolition du sacré et de la transcendance". Patrick Buisson fait le même constat dans son livre La fin d'un monde.

Ce nouvel épisode de l'offensive que mène le clan progressiste contre la Tradition me fait repenser à ma grand-mère paternelle… Nous l'appelions Mamm Gozh, ce qui veut dire tout simplement grand-mère en breton. C'était une humble paysanne du Pays Pagan, au Nord Finistère. En retraite chez son fils Yves, à Dinan, à l'autre bout de la Bretagne, elle portait avec fidélité la coiffe du Léon.

Décédée en septembre 1963, elle avait constaté par elle-même les premières nouveautés liturgiques avant même la fin du concile Vatican II. Par petites touches, il y avait eu l'apparition de la langue vernaculaire dans les prières de la messe, la disparition du Dominus vobiscum, l'utilisation du tutoiement pour parler à Dieu, la communion dans la main… Je l'entends encore déclarer avec un grand chagrin dans la voix : "On nous change la religion !"

J'avais alors 17 ans et je me disais en moi-même : "La grand-mère radote !" J'ai compris quelques temps plus tard que ma grand-mère avait raison, que dans sa sagesse paysanne elle avait perçu avec justesse le chambardement qui commençait dans l’Église. Merci Mamm Gozh !

Bien plus tard, en juillet 2019, nous menions à sa dernière demeure l'abbé Antoine Le Bars, ancien recteur de Prat, dans le Trégor. Mgr Moutel, évêque de Saint-Brieuc et Tréguier, était venu présider la messe de funérailles, en l'église de Prat. Pendant la procession de bénédiction du défunt, je lui avait remis le texte d'une interview du cardinal Sarah dans laquelle il argumentait pour la célébration de la messe "ad orientem", prêtre et fidèles tournés vers l'Orient, donc vers le Christ de Jérusalem.

A la sortie de l'église, c'est Mgr Moutel qui était venu vers moi et un bref dialogue s'était engagé :

– Mgr : Le cardinal Sarah ne dit pas qu'il soit obligatoire de célébrer "ad orientem".

– Moi : Non bien sûr, il ne dit pas que c'est obligatoire mais que c'est bien préférable. C'est le sens du sacré qui est en jeu.

– Mgr : Mais, avant tout, il faut la charité !

– Moi : La charité ? Oui, bien sûr Monseigneur. Mais dans les deux sens !

Et nous nous étions quittés sans qu'il me donne un coup de sa crosse qu'il tenait d'une main ferme !

Aujourd'hui, après l'annulation du motu proprio de Benoît XVI, en un texte méchant dans la forme comme dans le fond, je sais que la charité ne viendra pas de la Rome moderniste. A nous de résister !

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Pierre Vial contre la dictature sanitaire

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Nous appelons nos amis et camarades à se mobiliser contre la dictature sanitaire imposée par Macron et ses sbires, en participant à toutes les actions organisées en ce sens. Mot d’ordre : « Pour la Liberté, Résistance ! ».

Pierre VIAL 

Terre & Peuple

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Cinéma : le conformisme est de rigueur !

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Xavier Eman

L’interdiction de se rendre dans les salles de cinéma faite, à partir de cette semaine, aux parias refusant la vaccination obligatoire ne devrait pas être trop difficile à supporter. En effet, après la piteuse pantalonnade des César, c’est au tour du festival de Cannes de finir de nous détourner de ce qui fut jadis le « 7e art » et qui ressemble aujourd’hui à quelque chose à mi-chemin entre un meeting LGBT et une séance chez le psychiatre.

IL ne fallait certes pas attendre grand-chose d’un festival dirigé par Pierre Lescure, ancien patron de Canal+ et incarnation paroxystique de « l’esprit » de cette chaine, à savoir le ricanement bobo faussement transgressif, et dont le président du jury était le militant racialiste noir Spike Lee. Un président d’ailleurs totalement à côté de ses pompes lors de la cérémonie de clôture, puisqu’il a annoncé la Palme d’or au début - et non a la fin - de la soirée, créant un important malaise dans le public et la panique des organisateurs.

La dite Palme d’or a donc été attribuée à Titane de Julia Ducournau, un film « trash » (en français : dégoûtant) selon la plupart des commentateurs, qui avait provoqué des nausées et des évanouissements chez certains spectateurs lors de sa projection, ce qui serait apparemment un gage de qualité et même d’excellence. Une vingtaine de personnes choquées par l’extrême violence des images avaient ainsi dû être prises en charge par les pompiers. Mais de quoi parle donc ce nouveau chef-d’oeuvre ? Titane narre Phistoire d’Alexia, une jeune femme victime d’un accident de voiture, à qui a été greffée une plaque de titane dans la tête, ce qui lui fait développer une attirance sexuelle pour les voitures (sic) ainsi que des pulsions meurtrières envers les hommes. Sera-t-elle sauvée par l’amour de Vincent, un pompier accroc aux piqures de testostérone, qui pleure son fils disparu enfant ? Si vous n’êtes pas impatient de vous précipiter dans les salles obscures pour avoir la réponse à cette angoissante question, c’est que vous êtes un affreux ringard, pour ne pas dire un « has been »complet.

Pour l’anecdote, on pourra aussi noter, en marge du palmarès officiel, la remise de la « Queer Palm », le prix LGBT, aune autre oeuvre au scénario tout à fait passionnant, La Fracture, où Marina Fois et Valeria Bruni-Tedeschi campent un couple lesbien au bord de la séparation, qui se retrouve à |’hôpital en pleine crise des Gilets jaunes. Encore un grand succès populaire en perspective...

Mais laissons le dernier mot à la lauréate de la Palme d’or, Julia Ducournau, tant son pompeux charabia est emblématique de ce qu’est devenu le grand raout annuel du cinéma international : « Je remercie le jury d’avoir reconnu le besoin avide et viscéral que nous avons d’un monde plus fluide et plus inclusif. J’appelle à plus de diversité dans nos expériences au cinéma et dans nos vies. Merci aussi au jury de laisser rentrer les monstres. »

Eh bien, pour notre part, nous préférons laisser les monstres entre eux.

Source : Présent 20/07/2021

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lundi, 19 juillet 2021

Le professeur Jacques Rougeot, l'un des fondateurs de l'UNI, est décédé

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Un communiqué d'Olivier Vial, président de l'UNI
 
J’ai la tristesse de vous annoncer le décès du Président Jacques Rougeot. Il nous a quittés cette nuit laissant un vide immense à l’UNI. Après avoir participé à la fondation de notre mouvement, il l’avait présidé pendant 42 ans. C’est sa plume qui a tracé, avec clarté et durant des décennies, notre ligne politique. Ses livres, La contre-offensive, La voie droite, L’engagement civique restent pour chaque militant les fondations de cette « école du courage » qu’il avait contribué à bâtir et dans laquelle chaque génération de militants s’est épanouie et s’est préparée à défendre nos valeurs et cette « civilisation française » à laquelle il tenait tellement.
 
Quand j’ai eu l’honneur de lui succéder à la tête de notre mouvement, j’ai toujours pu compter sur lui, sur son regard, ses conseils, ses analyses. Je garderai toujours en mémoire nos longues discussions sur la politique, nos échanges sur la littérature et le cinéma. Il va profondément me, nous manquer.
 
Mes pensées accompagnent sa famille et ses proches. Reposez en paix Monsieur Le Président.
 
 
NDLR - SN : À la fin des années 1960, juste après Mai 1968, alors que la terreur gauchiste triomphait dans les universités, avoir lancé un syndicat anti-marxiste comme l'UNI était un geste audacieux. Certes, nous ne partagions pas toutes les orientations de cette belle machine de guerre, mais, comme toujours, il convient de se remettre dans la contexte tourmenté de l'époque. Nous saluons donc la mémoire de ce combattant courageux qu'était le professeur Jacques Rougeot.
 
Roland Hélie

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Au Portugal les décès dus au Covid passent de 17 000 à 152 !

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On n’a pas l’habitude de lire les informations dans les journaux portugais, parce qu’on n’en maitrise pas la langue, et puis, si l’on n’a pas de connaissances ou de famille au Portugal, il faut bien reconnaître que l’intérêt est somme toute réduit.

C’est pour cela qu’une décision de justice est passée inaperçue, et bien entendu parfaitement occultée par nos médias nationaux subventionnés. Pourtant, elle pourrait ouvrir la voie à une même étude en France, je suis sûr que cela nous réserverait bien des surprises.

À la suite d’une pétition citoyenne (que refusent tous nos gouvernements, et l’on comprend pourquoi…), un tribunal de Lisbonne a été contraint de fournir des données vérifiées sur la mortalité due à la Covid 19.

Les ministères avançaient le nombre de 17 000 décès, mais selon la décision du tribunal, le nombre de décès vérifiés entre janvier 2020 et avril 2021 n’est en fait que de… 152 ! Soit 0,9% de la « réalité gouvernementale ». Tous les autres sont décédés pour diverses raisons, bien que leur test PCR fût positif.

La presse de connivence s’était engouffrée dans le mensonge d’État, mais on ne l’entend pas pour s’excuser, comme Paris Match du 8/02/2021.

Nous voyons bien que :

1) Il est quand même pour le moins indécent qu’une information aussi banale doive être rendue publique à la suite d’une procédure de Justice.

2) Le Pouvoir politique participe activement à une manipulation de grande envergure.

Et en France ?

Les données proviennent du Sistema de Informaçào dos Certificados de Obito (Système d’information sur les certificats de décès) le seul système de ce type au Portugal.

Publié par le site Nice Provence Info

Source portugaise  ICI

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Ite missa est

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Michel Onfray

Je suis athée, on le sait, mais la vie de l’Église catholique m’intéresse parce qu’elle donne le pouls de notre civilisation judéo-chrétienne bien mal en point. Car si Dieu n’est pas de mon monde, mon monde est celui qu’a rendu possible le Dieu des chrétiens. Quoi qu’en disent ceux qui pensent que la France commence avec  la Déclaration des droits de l’homme, ce qui est aussi stupide que de croire que la Russie est née en octobre 1917, le christianisme a façonné  une civilisation qui est la mienne et dont j’estime que je peux l’aimer et la défendre sans battre ma coulpe, sans avoir à demander pardon pour ses fautes, sans attendre une rédemption après confession, contrition et agenouillement. C’est fou comme ceux qui répugnent au christianisme en disant qu’il n’a pas eu lieu s’en trouvent imprégnés comme de rhum le baba que l’on sait !

Benoît XVI fut un pape philosophe formé à l’herméneutique et à la phénoménologie allemande. Il a également lu les auteurs catholiques français dans le texte. Son Jésus de Nazareth (2012) s’inscrit dans l’histoire de l’idéalisme allemand, notamment de l’hégélianisme qu’on dit de droite pour le distinguer de celui qui, dit de gauche, conduit au jeune Marx.

Le pape François n’est pas de ce niveau théologique, loin s’en faut. Mais il ne manque pas de la rouerie jésuitique qui fait que, venant de la Compagnie de Jésus, il choisit pour nom de souverain pontife celui qui se trouve le plus opposé des intrigues et des antichambres du pouvoir où les jésuites aiment à se trouver, à savoir celui de François d’Assise. Jorge Mario Bergoglio, chimiste de formation, vient du péronisme ; Joseph Ratzinger, théologien de formation, de l’antinazisme.

À mes yeux, l’acte majeur du pape Benoît XVI a été le discours de Ratisbonne où, le 12 septembre 2006, dans l’université allemande où il a été professeur, il a fait son travail de pape en estimant que le christianisme et l’islam entretiennent par les textes une relation antinomique, notamment sur l’articulation entre foi et raison, mais également sur la question de la violence en général et sur celle du djihad en particulier. Je dis par les textes car c’était ici son souci, il présentait en effet l’exégèse personnelle d’un dialogue situé au début du XVe siècle entre l’empereur Byzantin Manuel II Paléologue et un érudit persan. L’invitation à réfléchir sur cette question fut prise pour une insulte planétaire faite à l’islam...

L’acte majeur du pape François est, toujours selon moi, de s’être fait photographier devant un crucifix sur lequel Jésus porte le gilet  de sauvetage orange des migrants. C’est ici l’icône triomphante de Vatican II qui congédie tout sacré et toute transcendance au profit d’une moraline tartinée de façon planétaire comme une gourmandise de scout.

C’est selon cette logique qu’il faut comprendre la décision du pape François d’abroger, disons-le dans un terme profane, la décision prise par Benoît XVI de permettre la messe en latin, dite messe Tridentine, pour ceux qui le souhaitent. Dans Summorum pontificum, Benoît XVI libéralisait la messe dite de Pie V. Dans Traditionis custodes, François efface cette libéralité. Benoît XVI voulait dépasser le schisme avec les traditionalistes, François va le restaurer en prétextant bien sûr, jésuite un jour, jésuite toujours, qu’il entend de cette façon réunir ce qu’il sépare. Les vocations chutent avec Vatican II. Mais les religieux qui conservent le rite latin n connaissent pas la désaffection, mieux, ils remplissent les séminaires.

Le pape François préfère les églises vides avec ses thèses que pleines avec celles de Benoît XVI. Séparer n’est-ce pas la fonction dévolue... au diable ? L’étymologie témoigne. Si j’avais la foi catholique, je ne pourrais m’empêcher de penser à l’Épître de Jean qui dit : « Tout esprit qui divise Jésus-Christ n’est point de Dieu ; et c’est là l’Antéchrist, dont vous avez entendu dire qu’il doit venir ; et il est déjà maintenant dans le monde. » (I.4:3).

Ce qui se joue dans cette affaire, c’est la suite de Vatican II, autrement dit l’abolition du sacré et de la transcendance. La laïcisation du rite réduit à une liturgie dont La vie est un long fleuve tranquille a montré toute la puissance avec son curé cool qui joue de la guitare et chante bêtassement « Jésus, Jé-é-é-é-sus, reviens». Onpeutpréférerlechant grégorien sans être pour autant un nostalgique de Vichy...

Or le génie du christianisme, les différents conciles sur la possibilité ou non de figurer le christ témoignent a été de rendre possible une civilisation de l’allégorie, de la symbolique, de la métaphore. Le génie juif se trouve dans l’herméneutique, celui du christianisme dans l’explication des paraboles. Les juifs inventent l’herméneutique pour les plus savants, les rabbins lecteurs de la kabbale ;  les chrétiens élaborent l’herméneutique populaire, pour les fidèles à qui l’on raconte des histoires à déchiffrer avec l’histoire sainte. Notre civilisation de l’image, de la raison explicative, de la philosophie séparée de la théologie, procède de ce monde-là.

La messe en latin est le patrimoine du temps généalogique de notre civilisation. Elle hérite historiquement et spirituellement d’un long lignage sacré de rituels, de célébrations,  de prières, le tout cristallisé dans une forme qui offre un spectacle total - un Gesamtkunstwerk, pour utiliser un mot qui relève de l’esthétique romantique allemande.

Pour ceux qui croient en Dieu, la messe en latin est à la messe du Long fleuve tranquille celle que semble affectionner le pape François, ce qu’est la basilique romaine contemporaine de saint Augustin à une salle polyvalente dans une barre d’immeubles à Aubervilliers : on y chercherait en vain le sacré et la transcendance. Quelle spiritualité dans ces cas-là ? Disons-le de façon énigmatique, le pape François fait bien ce pour quoi il est là où il se trouve... Ajoutons d’une façon tout aussi énigmatique, mais pas tant que ça, qu’on se demande pourquoi nous vivons dans une époque avec deux papes.

*Dernier livre paru : « L’Art d’être français », Bouquins (Robert Laffont).

Source : Le Figaro 19/07/2021

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Répression des non-vaccinés : un « remake » des Gilets jaunes

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Michel Geoffroy Polémia cliquez ici

Les non-vaccinés sont à la dictature sanitaire ce que les Gilets jaunes étaient à la mondialisation heureuse : un front du refus qui s’installe en dehors de tout appareil partisan. Puisque pour l’essentiel tous les partis institutionnels se sont ralliés aux mots d’ordre de la dictature sanitaire. Ce sont les nouveaux Gilets jaunes, mais invisibles cette fois et qu’il faut pour cette raison désigner à la vindicte.

Les non-vaccinés, comme les Gilets jaunes, ne croient pas à la propagande du pouvoir et donc de Big Pharma. Ils se méfient de vaccins aux effets d’autant mal maîtrisés que les laboratoires qui les ont mis sur le marché ont décliné par avance toute responsabilité, avec la complicité de l’Union européenne et des gouvernants !

Ils ne comprennent pas que l’on veuille les vacciner de force : car, si le vaccin est aussi efficace qu’on le dit, en quoi des personnes non vaccinées constitueraient-elles une menace ? Et si le vaccin n’est pas si efficace que cela, alors pourquoi l’imposer à toute la population ? Ou pourquoi préconiser déjà une troisième injection ?

Les non-vaccinés ne font plus confiance, comme les Gilets jaunes, à des institutions et des médias qui depuis le début de la « pandémie » disent tout et son contraire, et donc mentent en permanence.

Comme les Gilets jaunes, ils ne veulent pas être traités comme du bétail que l’on vaccine ou que l’on marque à la chaîne, sous prétexte de protéger les « personnes fragiles » c’est-à-dire en réalité pour l’essentiel les vieux baby-boomers qui nous ont légué, en toute irresponsabilité, un monde invivable et qui votent pour Macron.

La macronie : répression et propagande toujours

Face aux non-vaccinés, comme hier face aux Gilets jaunes, la macronie a choisi la diabolisation, la propagande et la répression. Chassez le naturel, il revient au galop, dit-on.

Les médias mainstream, une nouvelle fois, ont joué leur rôle de relais du pouvoir et de préparation de l’opinion, comme on parle de préparation d’artillerie avant une offensive. En diffusant en boucle la peur de la quatrième vague. Et en lançant la chasse aux non-vaccinés, ouverte symboliquement par un autre Emmanuel : Emmanuel Lechypre, le 29 juin sur RMC.

Et, comme pour les Gilets jaunes, toute l’oligarchie et la bien-pensance politique, de Bernard Kouchner à Éric Ciotti, se sont rangées du côté du pouvoir, laissant éclater une nouvelle fois leur haine de classe en toute impunité. Comme lors des élections régionales et départementales, elles n’avaient pas de mots assez durs contre le RN et ses électeurs.

Pas de liberté pour les ennemis de la vaccination !

Salaud de non-vacciné !

On croyait jusque-là que la pandémie avait pour origine le petit pangolin ou le laboratoire de Wuhan. Mais non : pour nos maîtres piqueurs, le vrai coupable, c’est désormais le… non-vacciné !

Ce galeux irresponsable à cause de qui on risque d’être confiné de nouveau et qui va empêcher la relance de notre belle économie. Ou qui provoque la suspension de la braderie de Lille.

Salaud de pauvre ! Salaud de non-vacciné ! Salaud qui porte son masque en dessous du nez ! Salaud qui roule au diesel en fumant des clopes ! Salaud incivique qu’il faut dénoncer à la nouvelle Kommandantur médiatique !

France macronisée, France muselée

L’offensive politico-médiatique lancée contre les non-vaccinés démontre une nouvelle fois que la macronie n’est forte que pour taper sur les Français, que pour semer la discorde et la haine.

Car, quand il s’agit d’affronter les racailles de banlieue, l’explosion de la délinquance et de la toxicomanie, les zones de non-droit, les islamistes, l’Union européenne ou les bellicistes de l’OTAN, il n’y a plus personne en effet.

La France macronisée devient le seul pays occidental à se voir imposer la vaccination obligatoire de sa population et, comme au temps de l’URSS, le passeport intérieur (baptisé « passe sanitaire ») pour les actes quotidiens de l’existence. Un pays qui va donc imposer à chaque patron, à chaque commerçant, et finalement à chacun de contrôler ses salariés, ses clients ou ses voisins : il faudra montrer son passe sanitaire comme hier son Ausweis.

Quel symbole de la dérive liberticide et dictatoriale de la macronie !

Il est vrai que, compte tenu de son impopularité abyssale, Emmanuel Macron ne peut espérer une réélection qu’en muselant le peuple français, en truquant les élections et en fliquant tous ses opposants. Pour ce faire, la quatrième vague tombe à point ; en attendant la cinquième, qui permettra d’imposer le vote électronique et le vote par correspondance pour l’élection présidentielle de 2022…

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Epona dresse le bilan de la première saison des Entretiens du Parti de la France

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Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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Vers la stagflation et un krach

ROUSSET M 1.JPGMarc Rousset

La Bourse de Paris a terminé, ce vendredi, tout comme Wall Street, dans le rouge à 6.460, plombée par des inquiétudes sur une inflation américaine non temporaire, sur les variants du Covid et l’inégalité vaccinale dans le monde, sur la vigueur de la reprise et un ralentissement en Chine au deuxième trimestre. L’indice des consommateurs américains de l’université du Michigan est ressorti à seulement 80,8, contre 87, de consensus de marché, suite à la hausse des prix de 5,4 % sur un an aux États-Unis (7,3 % pour les prix de gros, au plus haut depuis onze ans). La Fed pourrait resserrer sa politique monétaire avant même, comme elle le prétend, que « la reprise soit complète ». En Europe, l’inflation a atteint 2,5 % en juin, en Espagne et au Royaume-Uni.

Le prix des logements aux États-Unis augmente plus rapidement qu’au sommet de la bulle des subprimes, il y a quinze ans. L’indice immobilier américain (FHFA) progresse à un rythme record de 15,7 % par an. Sur la base des 4.500 milliards de dollars créés depuis le début de la pandémie, l’inflation américaine pourrait osciller entre 5 et 10 % jusqu’à fin 2022. Les taux d’intérêt sont toujours nuls et la Fed achète toujours 120 milliards de dollars d’obligations chaque mois, alors que les programmes de relance de Biden vont conduire à un déficit budgétaire de 3.000 milliards de dollars, soit 15,5 % du PIB, ce qui équivaut à des chiffres d’une période de guerre, contre une moyenne de 8 % environ dans la zone euro.

De plus, les ménages américains ont amassé 2.400 milliards de dollars d’épargne excédentaire qui est gelée depuis quinze mois, ce qui est très supérieur aux ménages français (180 milliards d’euros). Dès que les dépenses reprendront, la vélocité de la monnaie, source d’inflation, reprendra son cours normal. La Fed, prise au piège de la dette, fait face au dilemme du resserrement monétaire immédiat qui conduira à un krach sur les marchés ou à ne rien faire, ce qui laissera le génie de l’inflation sortir de sa bouteille. La BRI (Banque des règlements internationaux) craint que les marchés ne réagissent avant la Fed, ce qui conduirait aussi à un krach.

Il semble également que l’effet déflationniste des 800 millions de travailleurs faiblement rémunérés de la Chine et de l’Europe de l’Est soit épuisé car les salaires ont augmenté d’une façon substantielle, même s’il y a encore de la réserve trop nombreuse en Inde et dans les pays émergents. La réalité, c’est qu’il y a trop d’argent pour trop peu d’offre. La Fed risque d’être forcée de réajuster le calendrier de sa réduction d’achats d’actifs et, comme l’écrit la BRI : « Plus les banques centrales tarderont, pire ce sera. »

De nombreuse pénuries hors normes perturbent l’industrie mondiale. 47 % des industriels français ont des difficultés d’approvisionnement. La politique des flux tendus sans stock de sécurité est remise en question et il peut être intéressant de produire local. Les coûts du transport maritime atteignent des records, à 8.800 dollars le conteneur de 40 pieds, et les fabricants chinois de conteneurs n’arrivent pas à produire suffisamment. En un an, les cours du cuivre et de l’aluminium ont progressé de 50 %.

Le professeur américain Nouriel Roubini est encore plus soucieux que la BRI : il estime que nous nous dirigeons, en fait, vers la stagflation car « la stagflation des années 1970 va bientôt se télescoper avec les crises de la dette de la période post-2008 ». Il écrit, dans le Guardian, que « la question n’est pas de savoir si cela aura lieu mais quand, car les ratios d’endettement sont beaucoup plus élevés que dans les années 1970 ». Il énumère les causes de stagflation : « retour du protectionnisme, vieillissement démographique dans les économies avancées et émergentes, restrictions d’immigration dans les économies avancées, relocalisation de la fabrication dans des régions à coût élevé, balkanisation des chaînes d’approvisionnement mondiales ».

Les marchés risquent de bientôt connaître le « moment Minsky » (autre célèbre professeur américain), suite au changement de politique des liquidités ou par peur du changement de politique à venir des banques centrales, c’est-à-dire le moment où les investisseurs surendettés, après avoir pris des risques élevés mettant en péril la stabilité du système, décident de vendre en masse, déclenchant une spirale de baisse auto-entretenue – ce que l’on appelle un krach.

Boulevard Voltaire cliquez là

00:41 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 17 juillet 2021

Vu, en Bretagne...

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17 juillet 1936 : l'Espagne se lève pour en finir avec la dictature rouge

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L'avis de Jean-François Touzé
 
17 juillet 1936, début du soulèvement nationaliste contre le gouvernement de Frente popular - Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE), Unión General de Trabajadores (UGT), Parti communiste d'Espagne (PCE), Confédération Nationale du Travail (CNT), Parti ouvrier d'unification marxiste (POUM) - et la multiplication des exactions, grèves, incendies d'églises plongeant l'Espagne dans le chaos révolutionnaire rouge et noir.
 
Soutenue par la Phalange et les organisations carlistes, l'armée d'Espagne prend ses responsabilités. Au delà des seules tribunes.
 
NDLR SN : sur l'Espagne nationaliste, lire aussi... 

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15:33 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Journal du chaos

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Alain de Benoist nous parle de son nouveau livre : "Survivre à la désinformation"

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00:49 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 16 juillet 2021

Samedi 17 et dimanche 18 juillet, dans toute la France : mobilisation nationale pour la Liberté

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00:38 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 15 juillet 2021

Le non-vacciné, bouc émissaire d’une sociéte malade

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Mathieu Slama*

Faut aller les chercher avec les dents et avec les menottes s‘il le faut ! Voici comment un éditorialiste d’une chaine d'information s‘exprimait, il y a environ deux semaines. A peu prés au même moment, un célébre économiste de gauche expliquait, sur une chaine concurrente, qu'il fallait rendre la vie des non-vaccinés « beaucoup plus difficile ». Sur une autre chaine encore, un médecin expliquait, il y a quelques jours, qu’il fallait faire en sorte que les non-vaccinés ne puissent plus faire grand-chose.

On ne saurait mieux illustrer l’hystérie qui s’est emparée de notre pays autour de la question vaccinale. Le gouvernement est le premier responsable de cette situation, usant d’une stratégie particulièrement pernicieuse qui consiste a agiter la menace d’un reconfinement à la rentrée et d’en rendre responsables ceux qui auraient décidé, pour quelque raison que ce soit, de ne pas se faire vacciner (tout en rappelant, comble du cynisme, qu’il ne faut pas créer de fractures entre vaccinés et non-vaccinés!). Cette stratégie du bouc émissaire fonctionne, puisque l’on voit fleurir, sur les réseaux sociaux, insultes et menaces envers les non-vaccinés, certains allant jusqu’a exiger qu’ils soient mis a l’écart de la société et qu’ils payent leurs frais d’hospitalisation avec leur propre argent. Cette fureur répressive et disciplinaire n’est que l’aboutissement d’une longue séquence liberticide, où les Français ont accepté les mesures les plus insensées au nom de l’ordre sanitaire qui leur fut imposé. Mais elle prend une tournure de plus en plus autoritaire et chaotique à mesure que le virus s‘installe et que l'inquiétude se répand. Tous nos fondements démocratiques, au premier rang desquels l’égalité entre les citoyens et la liberté de disposer de son corps, sont en train de voler en éclats. Le retour a une vie “normale” est désormais conditionné au vaccin, comme si le confinement, mesure contraire a toutes nos valeurs démocratiques, était consubstantiel a un potentiel rebond de l’épidémie.

Il nous faut revenir à la raison et rappeler quelques principes de bon sens. Primo, la vaccination protege celui qui décide de se faire vacciner des formes graves du virus : le non- vacciné n’est donc une menace que pour lui-même. Il n’y a, par conséquent, aucune raison de forcer quiconque a se faire vacciner, puisqu'll ss‘agit là d’un choix individuel qui n’a aucune conséquence pour celui qui a décidé de se faire vacciner. Pour les autres, à leurs risques et périls ! Secundo, la citoyenneté ne se divise pas. Il n’y a pas deux catégories de citoyens selon que l’on est vacciné ou non. Le passe sanitaire est une aberration éthique, juridique et démocratique. Tertio, le virus ne disparaîtra pas. Il faut apprendre à vivre avec, se faire vacciner si on le souhaite et reprendre le cours de nos vies. La liberté est notre bien le plus précieux: il serait temps qu’on se le rappelle, avant que l'on ne céde définitivement, par peur et par soumission, aux sirènes de la servitude.

* Mathieu Slama est consultant et analyste politique.

Source : Valeurs actuelles 1/07/2021

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