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lundi, 28 juin 2021

Tout est possible

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Alexis Brezet

Le vieux monde est de retour ! En Paca, le Rassemblement national espérait qu’un sursaut de participation, symétrique de celui qui lui avait coûté la victoire entre les deux tours des régionales de 2015, viendrait cette fois inverser la donne en sa faveur; le sursaut n’a pas eu lieu. Résultat : rien ne change. Sept régions de droite, cinq régions de gauche! Tous les sortants sont reconduits. D’un scrutin à l’autre, la carte politique de la France des régions ne bouge pas d’un iota.
Tout ça, pour ça ! Un scrutin pour rien ? C’est ce que prétendront tous ceux qui, pour une raison ou pour une autre, ont intérêt à minimiser les conséquences de cette « parenthèse » minée par l’abstention, et, disent-ils, absolument « déconnectée » des échéances futures. En vérité, par ce qu’elles révèlent de l’état de l’opinion autant que par les effets qu’elles ne manqueront pas de produire, ces élections régionales rebattent fortement les cartes politiques qu’on disait déjà distribuées, une fois pour toutes. Dans cette France morcelée, émiettée, éparpillée façon puzzle (qu’on pense au nombre de quadrangulaires et de penta- gulaires ce dimanche), dans cette France dont l’abstention massive dit l’indifférence et la colère, tout est désormais possible. Macron, Le Pen, un candidat de droite : chacun, désormais, peut prétendre accéder au second tour de l’élection présidentielle. Quant à en prédire l’issue, bien malin qui pourrait ! À un an de l’échéance, le jeu politique n’a jamais été aussi ouvert.

Pour le Rassemblement national, que la dramaturgie politico-médiatique avait par avance sacré vainqueur des régionales, le coup est rude. Après les déconvenues successives des législatives, des européennes et des municipales, voici Marine Le Pen renvoyée à l’ancienne malédiction. Le « plafond de verre » est un plafond d’airain ! De quoi répandre le poison du doute chez ses partisans - « Ça ne marchera donc jamais ! » - et, parmi ses troupes, celui de la contestation. Turbulences en perspective.

 Source : Le Figaro 28/06/2021

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dimanche, 27 juin 2021

La reprise est là, mais la France de Macron est déjà en faillite !

ROUSSET M 2.JPGMarc Rousset

La droite « fourmi » allemande met déjà en garde la France sur son budget, souhaitant une « Union de la stabilité et non une Union de la dette », même si la chancelière Merkel est consciente que des dépenses publiques gigantesques devront être budgétées dans le secteur des hautes technologies et plus particulièrement dans l’intelligence artificielle, l’informatique quantique, les batteries et les puces électroniques. La France « cigale » qui gaspille depuis 40 ans avec une politique socialiste de dépenses de fonctionnement inacceptables (âge de la retraite, 35 heures, régimes spéciaux, invasion migratoire, 2 millions de fonctionnaires en trop…) risque de caler beaucoup plus vite qu’espéré, rattrapée par ses dettes passées, de ne plus pouvoir emprunter en raison de la hausse des taux, ce qui l’empêcherait alors d’investir dans les investissements d’avenir.

Le budget 2022 de Bercy est une plaisanterie irréaliste, un conte de fées qui se paie de mots. Alors que les dépenses publiques ont augmenté de 1,9 % en 2019, 1,3 % en 2020, 2,3 % en 2021, Olivier Dussopt veut nous faire croire qu’elles n’augmenteront plus chaque année, à partir de 2022, que de 0,7 % jusqu’en 2027. On vient d’apprendre que la seule assurance maladie, en équilibre ces dernières années, connaîtra en 2021, après 2020, de nouveau un déficit substantiel de 31 milliards d’euros ! Le déficit public et la dette publique en 2022 seront bien supérieurs aux 5,3 % et 116,3 % du PIB annoncés. La réforme des retraites du technocrate Macron, après l’usine à gaz du prélèvement à la source en lieu et place d’un simple prélèvement mensuel basé sur l’impôt de l’année précédente, devrait se limiter à une simple augmentation de l’âge du départ à la retraite et à la fin immédiate des régimes spéciaux, sans vouloir chambouler pour autant, d’une façon injuste, tout le système.

La dette publique française à la fin mars 2021 représente déjà 2.739,2 milliards d’euros et 118,2 % du PIB. L’endettement de la France représente donc le double de l’autorisation maximale de 60 % du PIB. Bruno Le Maire est obligé de changer le texte de sa chansonnette : il reconnaît que la croissance ne suffira pas pour rembourser la dette, qu’il faudra (mais demain, toujours demain) des réformes de structure, diminuer fortement les dépenses publiques sans rien décider pour l’instant avec Macron. Les taux finiront un jour inéluctablement par remonter ; les marchés, ce que reconnaît la Cour des comptes, peuvent décider d’arrêter de prêter du jour au lendemain.

Tandis que les autres pays vont voir leur taux d’endettement diminuer, la France gardera au mieux son taux démentiel et la moindre hausse des taux d’intérêt sera le coup de grâce qui la conduira au tapis ! Les perspectives d’inflation aux États-Unis pourraient faire connaître au monde d’ici un an ou deux, avec ces gigantesques masses monétaires déjà créées par les banques centrales, une situation semblable aux années 1970 avec des taux d’intérêt qui s’étaient élevés au-delà de 20 % dans les premiers jours de 1981 ! Le système occidental ne supporterait pas aujourd’hui une augmentation de taux d’intérêt au-delà de 3 %. Dans ces conditions, l’inflation a de beaux jours potentiels devant elle. En Angleterre, l’inflation vient déjà de dépasser les 3 %. Une augmentation rampante non temporaire de l’inflation est pour l’instant plus que probable partout dans le monde.

La dernière réunion du G7 n’était qu’une exhortation à poursuivre la fuite en avant de la création monétaire et de l’augmentation des dépenses publiques ; Mario Draghi a alors déclaré qu’il était absolument nécessaire de rassurer les investisseurs avec un « ancrage budgétaire à long terme », pour éviter une hausse des taux d’intérêt. Faut-il encore que cet ancrage budgétaire soit sérieux, ce qui n’est pas le cas de la France… Draghi, de son côté, a fait son possible pour favoriser, dans ses budgets, l’investissement en Italie, mais il n’a pas encore gagné la partie pour autant. La situation de la France et de l’Italie ne tient en fait qu’à un fil, et le moindre nouveau cygne noir déclencheur d’une hausse des taux d’intérêt conduira inéluctablement ces deux pays à la faillite officielle, au retrait de la zone euro afin de pouvoir dévaluer la lire et le franc, ce qui créera une gigantesque hyperinflation.

 
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L'éditorial du n°57 de la revue Synthèse nationale

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Détruire le système avant qu'il nous détruise...

Roland Hélie,

directeur de Synthèse nationale

(15 juin 2021)

Décidément, la macronie, aussi consternante soit-elle, nous offre chaque jour une bonne raison de ne pas désespérer. Quoi que fassent ses acteurs, quoi qu'ils disent, il y a, à chaque fois, fort à parier que le lendemain, avec le même angélisme et la même condescendance, ils nous diront et imposeront le contraire. Ce qui, vous en conviendrez, nous incite à prendre avec le recul qui s'impose toutes les décisions gouvernementales.

Après avoir cafouillés durant plusieurs mois face à l'épidémie venue de Chine et voyant le ras-le-bol que cette incurie a provoqué, Macron et sa cli-que, en bons petits domestiques locaux de la finance mondialisée, cherchent un moyen pour s'en sortir "la tête haute". Les confinements, les masques, les tests, les vaccins... étant de plus en plus, malgré quelques sondages discutables, rejetés par une partie grandissante de nos compatriotes, les têtes pensantes du Système veulent maintenant nous imposer leur dernier gadget-miracle, le fameux "passe-sanitaire", en attendant l'implantation, un jour, pourquoi pas d'une puce électronique permettant de contrôler (et donc orienter) les faits et gestes de chacun d'entre nous (ce qui, d'ailleurs, est déjà un peu le cas avec nos smartphones). En fait, si nous étions "complotistes", nous pourrions presque imaginer que le coronavirus serait une aubaine pour la réalisation de leurs machiavéliques plans liberticides.

L'épidémie, conséquence directe de la globalisation.

Que l'on ne se trompe pas. On ne rappellera jamais assez que l'épidémie qui frappe la plupart des pays du monde depuis un peu plus d'un an n'est que la conséquence logique de l'économie globalisée imaginée et réalisée depuis plusieurs décennies par les "décideurs de Davos", cette station hivernale suisse des plus huppées qui voit se tenir chaque année un Forum mondial rassemblant les pseudos élites politico-économico-intellectuelles venues du monde entier. En faisant de la Chine (et d'une partie de l'Asie) la zone industrielle de ce qu'ils appellent "le village planétaire" et en y concentrant une grande partie des usines polluantes, il n'était pas besoin d'être un grand de-vin pour deviner qu'on allait tout droit vers une catastrophe écologico-sanitaire. Mais les "penseurs de Davos", ne voyant que le profit à court terme des multinationales (et aujourd'hui celui des GAFAM), en avait décidé ainsi. On voit les résultats : chômage grandissant, pollution insupportable, renaissance de l'impérialisme économique chinois, migrations incontrôlées, apparition d'épidémies inconnues jusqu'à présent... En fait de "décideurs", ou de "penseurs", nous ferions mieux de parler des "prédateurs de Davos".

Et comme ces gens ne doutent de rien, après avoir provoqué le désastre que l'on sait, toute honte bue, ils en redemandent encore. Au lieu de déposer le bilan de leur entreprise criminelle, ils instrumentalisent la grande peur engendrée par la maladie "chinoise" et ses variants pour nous imposer leur nouveau concept (une sorte de "saison deux" de l'aventure mondialiste), à savoir "la grande réinitialisation" (1). Finies les nations, finies les civilisations, finies les identités : en route vers un monde meilleurs, aseptisé et globalisé, dans lequel tout le monde, il serait gentil, tout le monde, il serait dans les clous, tout le monde, il fermerait sa gueule et tout le monde, il enrichirait les puissances financières (celles justement que l'on glorifie à Davos).

Une telle politique ne pourra se réaliser qu'aux dépens des peuples qui devront s'estimer heureux de toucher le "salaire universel", sorte de prime à l'oisiveté et à la soumission. Cette perspective peu réjouissante emporte somme toute l'adhésion d'une bonne partie des gagnants de la mondialisation, à commencer par les bobos des aires urbaines.

La bobocratie, justement, parlons-en...

La bobocratie adore donner des leçons. Ses membres vous étiquettent, vous distribuent bons et mauvais points avec une facilité déconcertante. Si votre façon de voir leur paraît conforme, vous voilà rangé dans le camp du Bien. En revanche, si vous vous aventurez à émettre le moindre doute ou, pire, vous exprimez un vague sentiment national, voire identitaire, vous voici condamné, sans autre forme de procès, aux ténèbres extérieures, au camp du Mal… Et après tout, puisque nous qui faisons vivre Synthèse nationale, nous y sommes relégués, qu’il nous soit permis de prendre un malin plaisir à l’évocation de la "mésaventure" d’un Bernard Tapie, violenté et dévalisé par quatre représentants de cette immigration qu’il considérait, hier, com-me une chance pour la France ; ou à celle d’un Olivier Duhamel, grand moraliste devant l’Éternel, rattrapé par son passé peu reluisant de (présumé) violeur incestueux.

Au-delà de ces deux piliers de la bien-pensance, désormais vermoulus, c’est l’ensemble de la bobocratie qui s’avère perverse et néfaste. Ses membres, obsédés par l’argent, le paraître, le pouvoir, grisés par leurs idées confortables et leur morale de bisounours, voient en fait bien plus leurs petits intérêts immédiats que ceux du pays et de ses habitants.

Rien n'est perdu...

Que les bobos le veuillent ou non, les Peuples et les Nations sont des réalités qui ne se laisseront pas détruire sans résister. La première étape de cette résistance salvatrice pour le peuple français, c'est la prise de conscience des dangers qui le menacent. Le combat que nous menons depuis près de quinze ans à Synthèse nationale, aux côtés de l'ensemble des forces patriotiques, identitaires et non-conformistes, va justement dans ce sens. À travers notre revue, nos éditions, notre site et nos multiples campagnes, colloques et réunions, nous essayons d'éveiller nos compatriotes. Certes, nous ne sommes pas les seuls (heureusement) mais (modestement) nous pensons que notre action est utile.

L'élection présidentielle de 2022 doit retenir notre attention. Tout laisse à penser que les résultats de la droite nationale seront en hausse et nous ne pouvons que nous en réjouir. Cependant, il ne faut pas se laisser aveugler. Si les sondages donnent actuellement à Marine Le Pen des intentions de votes allant parfois au-dessus des 30% au premier tour, il ne faut pas oublier qu'il en allait de même six mois avant l'élection de 2017. Au final, elle fit 21% et on peut se demander si sa présence au second tour fut aussi bénéfique pour l'idéal national qu'on veut bien le dire.

En fait, les Français qui suivent la présidente du Rassemblement national le font plus par opposition à la politique mondialiste, européïste et immigrationniste des partis du Système que par adhésion à son programme qui, il faut le dire, est de moins en moins nationaliste et de plus en plus similaire à celui du RPR, leurre chiraquien de la fin du siècle dernier, qui porte une lourde responsabilité dans le délitement de notre pays. Partant du constat qu'il n'y a actuellement pas d'autre offre, ces électeurs potentiels se contentent de Marine, même si celle-ci, de part ses orientations programmatiques à géométrie variable et la gestion calamiteuse de son mouvement, est loin de faire l'unanimité. Qu'elle soit ou non au second tour ne changera pas, admettons-le, grand chose.

Parmi les symptômes d'un renouveau national, il y en a un qui n'a échappé à personne. C'est l'émergence politique du polémiste de talent Éric Zemmour. Le succès de son émission quotidienne sur la chaîne C-News, qui pulvérise toutes les audiences, est là pour le prouver. Chaque soir, il commente sans concession et avec conviction l'actualité et il prend des positions qui ressemblent de plus en plus à un programme. Certes, Zemmour n'a pas encore fait part de ses intentions, mais force est de reconnaître qu'il serait le mieux placé pour rassembler réellement toutes les forces enracinées, bien au-delà du Rassemblement national, et à faire ainsi bouger les lignes.

Ni la droite nationale et identitaire ni, encore moins la France n'ont le temps d'attendre. Plus le temps passe, plus la situation s'aggrave. Chaque jour, le grand remplacement s'accentue et bientôt les Français de souche seront minoritaires chez eux. La présidentielle de 2022 verra-t-elle l'apparition d'une nouvelle force salvatrice capable de détruire ce Système avant qu'il nous détruise ? Le temps presse, l'avenir nous le dira très vite.              

(1) Cf. "The Great Reset", le livre de Klaus Schwab, président-fondateur du dit Forum. Nous en avons parlé dans notre précédente livraison (Synthèse nationale, n°56, hiver 2021-2021 cliquez là).

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Invité de Martial Bild sur TV Libertés, le philosophe Michel Maffesoli analyse l'actualité

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Francis Bergeron, directeur de Présent, invité de l'émission "Synthèse" sur TV Libertés

40 ans après sa création, Présent est toujours présent

Fin 1981, quelques mois après l'élection de François Mitterrand, paraissait le premier numéro du quotidien national et catholique Présent. Créé par quelques journalistes engagés, parmi lesquels François Brigneau et Jean Madiran, ce journal allait très vite devenir l'un des vecteurs essentiels du combat national. 40 ans après sa création, Présent est toujours présent et, chaque jour, il contribue à la nécessaire réinformation de nos compatriotes.

C'est de cette aventure exceptionnelle dont il fit parti dès le début que Francis Bergeron, son actuel directeur, vient nous parler aujourd'hui... Il est l'invité de l'émission "Synthèse" animée par Roland Hélie et Philippe Randa, avec la complicité du professeur Pierre de Laubier.

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Le site de Présent cliquez ici

Les précédentes émissions cliquez là

10:51 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 26 juin 2021

David Rachline et Marine Le Pen cherchent-ils à empêcher Thierry Mariani de gagner ?

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A 48 heure du second tour, David Rachline, maire RN de Fréjus, fait la promotion de la loi Taubira dénaturant le mariage et Marine Le Pen taille en pièce CNews, seule chaîne de télévision qui invite les représentants de la droite nationale. Combien de temps Thierry Mariani tiendra-t-il au sein de ce parti qui ne supporte pas qu’une tête puisse dépasser ? Grande tristesse pour Thierry Mariani…

Source Le Salon beige cliquez ici

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Journal du chaos

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Du 22 au 25 juillet, en Provence, Vie réunion d'été des Lansquenets dirigée par Gabriele Adinolfi

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Provence 22-25 juillet 2021
Vle RÉUNION D’ÉTÉ DE LANSQUENETS EUROPÉENS
Ce qui ne me tue pas me rend plus fort
A l’assaut de la Nouvelle Normalité.
Fournissons des anticorps contre la pandémie idéologique.

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01:03 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 25 juin 2021

Richard Boutry sur la violence symbolique.

Les peuples sont de plus en plus dépossédés de leur pouvoir et soumis à une domination symbolique.

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17:23 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Second tour : éliminer politiquement les individus les plus nocifs pour la France

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Un communiqué de Thomas Joly, Président du Parti de la France :
 
Pour les Régionales comme pour les Départementales, le Parti de la France appelle les électeurs à faire battre la gauche dimanche, quelle que soit l'étiquette de ses représentants, en votant pour la liste ou les candidats les mieux placés pour le faire.
 
Au second tour, c'est un devoir d'éliminer politiquement les individus les plus nocifs pour la France et les Français.

14:01 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

C’est quitte ou double

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Tous les regards sont tournés vers la région PACA, parce que les chances du RN y sont les plus fortes. Et parce que la victoire ou la défaite de Thierry Mariani pésera trés lourd pour la suite, c’est-à-dire pour la présidentielle, dont les dates sont désormais connues : dans dix mois, les 10 et 24 avril 2022. De ce fait, l’élection de dimanche en PACA prend une allure de quitte ou double. En tout état de cause, aucune voix ne doit manquer a Thierry Mariani, méme si l’abstention est prônée au nom d’on ne sait quelle mirifique martingale politique.

Suite de l’édito de Francis Bergeron dans Présent (25/06), ICI

12:09 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 24 juin 2021

Quand Libération "honore" TV Libertés

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Libération du 23 juin 2021

Regardez TV Libertés cliquez là

23:40 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un mea culpa médiatique, c’est possible ?

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Natacha Polony

Si l’on songeait à interroger les citoyens pour savoir qui ils jugent responsable du naufrage démocratique dont ces élections régionales, avec leur abstention à 66,7%, ne sont qu’un épisode de plus, nul doute qu’ils citeraient en bonne place « les médias ».

Lire la suite ICI

Source : Marianne 24/06/2021

13:38 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dernière escale avant le désastre*

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Michel Onfray

Voilà un personnage multiple. Le tribun cathodique ne doit pas faire oublier l’écrivain, le philosophe et surtout le précepteur. Celui que des milliers d’« élèves » passionnés sont venus écouter évoquer les grands textes lorsqu’il animait l’Université populaire de Caen. Son nouvel essai, L’Art d’être français (Éditions Bouquins), s’inscrit dans ce long et beau travail de transmission. « Traité existentiel pour voyager en mer par temps mauvais », il prend la forme d’une série de lettres adressées à des jeunes de 20 ans désireux de connaître, de travailler et de lire. Michel Onfray y rend hommage à ses propres maîtres : Rabelais, Descartes, Voltaire, Marivaux, Hugo. De leurs œuvres, il tire des leçons pour notre époque ainsi qu’un portrait subtil et passionné de la France d’hier et d’aujourd’hui. En le lisant, on se surprend à avoir envie de redevenir étudiant.

Lire la suite ICI

(*) Le titre est de la rédaction

12:12 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

Merci à Jean-Marie Le Pen

pour ses compliments à notre revue.

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11:09 Publié dans 09 - La 9e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Trégor avec Eric Zemmour

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Un peu partout dans le Trégor (22) apparaissent

depuis ce matin des affiches "Zemmour Président !"

00:42 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 3 juillet : vente de livres des Amis d'Alain Pascal à Paris

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mercredi, 23 juin 2021

Schiappa se ridiculise

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Robert Spieler

Cela a été un très grand moment d’hilarité pour tous les observateurs. Un “grand” (pas si grand que cela) meeting en plein air avait été organisé par LREM au parc Floral de Vincennes devant quelques centaines de militants pour soutenir sa tête de liste aux élections régionales et Ile-de-France. Il s’agissait de soutenir Laurent Saint-Martin que personne, en effet, ne connaît. Ce fut grandiose. On entendit un hurluberlu beu- gler dans un mégaphone, avec une voix de fausset : « C’est l’Île-de-France qui va s’enflammer. Votez Laurent ! », reprenant à plusieurs reprises la ritournelle « Allez, Allez », dans le registre supporter de foot. On a oublié de vous dire : il ne s’agissait pas d’un meeting classique, où l’on s’ennuie à mourir à écouter les mêmes propos convenus. Non, on se voulait être dans l’ambiance Foire du Trône. Le mégaphone sur pattes sauta sur la scène, pour rejoindre l’ambianceuse en chef, Marlène Schiappa elle-même ! Celle-ci se mit à sautiller, à se tortiller, à crier dans son micro, à chanter (abominablement mal). Elle se la jouait fan déchaînée. Mais, au fait, il fallait quand même prononcer le patronyme du candidat. « Laurent qui ? » interrogea notre animatrice. « Laurent Saint-Martin » répondit le mégaphone, car l’assemblée ne se sou- venait plus vraiment de son patronyme.

Mais Marène insistait : « Et la surprise de juin, ce sera qui ? » Un petit indice ! « Laurent… » ? Zut, l’assemblée avait déja oublié son nom. Le mégaphone sur pattes dut intervenir pour résoudre cette énigme : « Saint-Martin ! » La chauffeuse de salle n’en pouvait plus. Elle se prenait pour Sylvie Vartan dans ses plus belles années : « Vous avez une énergie extraordinaire, on va vous demander de la garder avec vous et de la redonner à chaque fois que quelqu’un vient sur scène », minauda-t-elle. C’était (presque) comme à la fête à Neu-Neu. Mais attention, ajouta Marlène : « Il faut garder cette énergie pendant huit jours... Être à fond 24 heures sur 24 pour faire campagne. On va chercher les électeurs UN PAR UN ! » Oui mais, zut, « il y a encore des gens, en Île-de-France, qui ne savent pas que... », déplore l’animatrice, qu’il y a des élections et que LREM présente des listes et « que la liste d’Emmanuel Macron est la liste de Laurent ? De Laurent ? » Le public ne se souvenait plus vraiment de son nom mais, Dieu merci, il y avait le mégaphone sur pattes qui le leur rappela. Et Marlène continuait à chantonner : « Quand le parc floral se met à chanter, c’est l’Île-de-France qui va s’ambiancer », tout en sautillant et en invitant l’assemblée à se lever pour manifester son enthousiasme pour « Laurent ». Au fait, Laurent qui ? S’étant trouvée très drôle, Marlène a ajouté : « Je ne crois pas que c’est parce qu’on est ministre qu’on est obligé d’être sinistre, et je pense qu’on peut être sérieux sans se prendre au sérieux ». Quelques applaudissements. Très contente d’elle, elle a conclu avec un colossal humour : « Je l’avais préparée, celle-là »...

Certains ont évoqué « un meeting complètement lunaire ». « Lycéenne, ado attardée, sotte, hystérie, GO du Club med » : Marlène Schiappa fut flinguée sur CNews, chez Pascal Praud... Jean Messiha a lui commenté : « on a l’impression que c’est un peu un gouvernement d’ados attardés. Moi j’ai personnellement saisi le Club Med sur Twitter (il l’a fait !) pour lui dire qu’on avait une candidate avec un haut potentiel pour être Gentille Organisatrice, puisque au train où elle va, elle peut aussi faire la danse des canards, et le concours de t-shirt mouillé »... Frédéric Durand a, quant à lui, analysé : « c’est Ségolène Royal qui a inauguré ce style-là, une forme de vacuité permanente dans les mises en scène, on fait copain-copain avec le public ». La pauvre Schiappa pleurniche en déclarant : « Nous ne nous excuserons jamais de faire des campagnes joyeuses et bienveillantes. Je ne m’attendais pas à cette violence », évoquant bien sûr le machisme en politique. Décidément, il faut que Marlène change de métier...

Source : Rivarol 23/06/2021

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Le nouveau numéro de la revue Synthèse nationale (n°57) arrive chez les abonnés...

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mardi, 22 juin 2021

La pasteurisation mène à l’abstention

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Jean-Yves Le Gallou Polémia cliquez ici

La forte abstention favorise toujours les partis qui ont des clientèles. Elle défavorise donc le Rassemblement national.
La seule manière de limiter la casse, c’est de porter un discours capable de mobiliser. Une attitude à l’inverse de la pasteurisation voulue par Marine Le Pen, dont la stratégie est désastreuse.

La forte abstention a toujours pénalisé le vote Rassemblement national mais la stratégie de Marine Le Pen a amplifié le phénomène :

  • mépris de tout enracinement local ;

  • purges permanentes ;

  • condamnations des  plus courageux ;

  • discours de plus en plus pasteurisé par peur des vagues ;

  • invisibilité dans les assemblées.

Au cours de cette campagne, le Rassemblement national de Marine Le Pen n’a cessé de donner des gages :

  • désaveu des identitaires (Poitiers, Escufon) ;

  • absence sur les votes sociétaux au Parlement ;

  • affirmation selon laquelle un islam républicain serait possible ;

  • Soumission à une assesseur voilée.

L’or en plomb

Malgré un minimum d’expérience, je reste scotché par la capacité de Marine Le Pen à transformer l’or des situations en plomb électoral. La pasteurisation du Rassemblement national s’avère être un désastre. En contexte d’abstention, seuls les discours forts sont audibles.

Dommage qu’il n’y ait eu personne au Rassemblement national pour expliquer à Marine Le Pen :

  • qu’avant le 2e tour de la présidentielle il y avait le 1er ;

  • qu’avant la présidentielle il y avait les régionales ;

  • que c’est la clarté et la radicalité qui permettent de mobiliser, non la pasteurisation.

23:56 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mercredi 23 juin : Francis Bergeron, directeur de Présent, invité de l'émission Synthèse sur TV Libertés

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Les précédentes émissions Synthèse cliquez là

 

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Le Pearl Harbor médiatique

La reconquête de la souveraineté américaine passe par la neutralisation des médias de propagande.

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Pierre Hillard: Après le covid, une cyberattaque mondiale ?

Quel avenir nous réservent nos "élites" mondialisées ? Depuis l'arrivée de la covid et les troubles qui en ont découlé, les oligarchies du monde entier semblent vouloir accélérer leur politique sur les peuples. Dans ce numéro de "Politique & Éco", Pierre Hillard, docteur en sciences politiques, dresse le panorama, véritable continuum, de l'idéologie mondialiste des origines à nos jours : de l'ouvrage "Utopia" de Thomas Moore en 1516, en passant par l'esprit des Lumières, l'Union paneuropéenne internationale, jusqu'aux dessins des différentes organisations comme le FMI ou le Forum économique international de Davos de Klaus Schwab, qui redoute une cyberattaque mondiale susceptible de provoquer l'effondrement du système financier international. Un entretien de salubrité publique...

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La station Europe 1 en grève

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Le billet de Patrick Parment

Hier encore propriété d’Arnaud Lagardère, qui soit dit en passant, aura passé sa vie à détruire l’empire que son père avait construit, Europe 1 vient de tomber dans l’escarcelle de Vincent Bolloré, via Vivendi dont il est l’actionnaire majoritaire. Il faut bien dire que cette station n’a cessé de perdre son audience malgré la valse des « patrons » qui se sont succédé à sa tête. On arrive donc en fin de course, avant liquidation serait-on tenté de dire. Bolloré ramasse donc la mise d’une station qu’il lorgnait depuis belle lurette. Vincent Bolloré est un personnage intéressant, un grand corsaire de la finance, issu d’une famille de Bretons qui compte dans ses rangs un homme qui nous est cher, Gwenn-Aël Bolloré. Outre qu’il fut un membre du commando Kieffer pendant la Seconde Guerre mondiale, on lui doit d’avoir financé l’une des plus originales réussites éditoriales avec la maison d’édition La Table ronde, que dirigea de main de maître Roland Laudenbach. L’homme est indissociable de ses auteurs mais surtout amis que furent Antoine Blondin, Jacques Laurent, Michel Déon et bien d’autres. Résolument du côté de l’OAS, cela vaudra à Gwenn-Aël Bolloré bien des ennuis avec un certain De Gaulle. Mais passons.

L’ombre de Vincent Bolloré plane désormais sur Europe 1 où une quarantaine de salariés se sont mis en grève. Au rang desquels d’ailleurs d’illustres inconnus pour la bonne raison que personne ne les écoute. Et pour cause, ils font tous partis de cette bien-pensance qui entend dicter à ses auditeurs où se trouve le bien et le mal. Conclusion, les auditeurs se sont barrés. Dans ce lot s’immiscent quelques figures connues comme Anne Roumanoff ou Nicolas Canteloup qui ne font plus rire personne depuis belle lurette. Et dans une déclaration, tous ces tocards osent affirmer « on ne nous enlèvera pas notre fierté, ni notre déontologie ». Voici longtemps qu’ils se sont assis dessus. Avouez qu’il y a de quoi se marrer.

Car le fond du problème pour ces petits marquis biberonnés aux droits de l’homme, c’est l’éclatante réussite de Vincent Bolloré dans les médias et notamment à la télévision où il a donné vie à CNews et confirmé l’audience d’un Eric Zemmour. D’un Pascal Praud et de quelques autres. Car Vincent Bolloré a compris une chose : les Français en ont marre d’entendre « la voix de son maîtres » matin-midi et soir par une bande d’incultes nettement plus préoccupés de la préservation de leur casse-croûte que d’exercer honnêtement leur profession. Profession qu’ils ne cessent de dévoyer. Le Monde, Libération pour l’écrit et France Télévisions avec Delphine Ernotte aux commandes étant quelques exemples parmi d’autres. Et c’est d’autant plus vrai que le délégué syndical SNJ a vendu la mèche : « Si Bolloré va jusqu’au bout du rapprochement avec CNews, où on entend les discours de l’extrême droite, Europe 1 n’existera plus. Du moins, pas la radio indépendante (?), impertinente (?) et qui a le souci de la vérité (?) des informations ».

Tout est dit, la France des Gilets jaunes n’a pas le droit à la parole ! Sauf chez Bolloré.

 

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lundi, 21 juin 2021

A force de vouloir faire comme tout le monde, on finit comme tout le monde...

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Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale

Le premier tour des élections régionales et départementales a été marqué par une abstention inégalée jusqu'à présent. Rien d'étonnant à cela : tous les partis du Système en présence défendent à peu près la même politique de soumission face au mondialisme, au brassage migratoire et le seul parti censé rompre avec ce ronronnement funeste passe son temps à singer ses adversaires.

En effet, après l'échec des municipales de juin 2020, les résultats décevants du Rassemblement national aux élections d'hier démontrent, pour la seconde fois en un an, les limites de la stratégie dite de "normalisation" menée par sa direction actuelle.

Il y a quelques années, Jean-Marie Le Pen rappelait, avec un rien de malice (et sans doute un peu d'amertume), que ce n'est pas "au moment où le diable devient sympathique qu'il faut se dédiaboliser". La soirée de dimanche semble lui avoir donné raison.

Nous ne reviendrons pas ici sur l'accumulation d'erreurs stratégiques et psychologiques qui a caractérisé la vie du RN-FN ces dix dernières années (en particulier le sort réservé au fondateur du mouvement en 2015). Force est de constater que les résultats ne sont pas au rendez-vous, loin s'en faut. L'abstention massive de dimanche en est la preuve. Les électeurs nationaux sont de plus en plus nombreux à bouder le RN et celui-ci s'arcboute désespérément sur sa stratégie suicidaire. Manifestement, une introspection et une remise en question s'imposent mais je doute qu'elles interviennent à court ou même à moyen terme... Le RN est devenu un parti comme les autres et il entend le rester. Il a abandonné ses fondamentaux pour devenir le perroquet du discours dominant. Tant pis pour lui...

Pour autant, il ne faut pas désespérer. Cet enlisement du RN ouvre un boulevard à celui qui saura relever l’étendard et incarner à son tour les idées de la droite nationale, sociale, populaire et identitaire pour rendre à notre nation sa fierté, sa vitalité, sa liberté. Un nom vient bien sûr à l'esprit. Chaque soir, cet homme de talent s'adresse à un nombre grandissant de Français qui retrouvent en lui les valeurs et la volonté abandonnés. Il n'est pas encore candidat mais bientôt il fera part de ses intentions… Je vous laisse deviner de qui il s'agit.

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Abstentionnistes : premier parti de France

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Le billet de Patrick Parment

Il fallait s’y attendre, le taux d’abstention pour ces élections régionales et départementales a atteint un niveau record avec un peu plus de 66,1 %. Les raisons, et les analyses, invoquées relèvent toutes du Bric à Brac de feu le dessinateur Gotlib : délitement des partis, confinement, absence de débat, flou sur les enjeux. Et pour couronner le tout on voudrait nous faire croire que les Français sont dégoutés de la politique, ce qui est vrai en l’état actuel des choses, mais nos brillants analystes se gardent bien de nous dire pourquoi ! Explications.

A cela plusieurs raisons. D’une part ces élections régionales et départementales participent d’un imbroglio administratif dont les Français ont tout lieu de se plaindre. L’administration est une entité autonome qui n’est plus au service des citoyens mais qui gère ses propres intérêts. Et les gouvernements successifs n’ont rien fait pour la bonne raison qu’ils sont pour la plupart membres de cette administration : énarques, profs, politicards, etc., qui vivent sur le dos de la bête, le contribuable. Par ailleurs la désertification des campagnes n’est pas une vue de l’esprit quand la poste, la banque et l’école désertent nos communes au nom de la rentabilité exigée par Bercy.

Les autres raisons sont politiques. Globalement les partis politiques ne sont plus le reflet de ce que les Français en attendent. Les partis politiques sont aujourd’hui des pôles emplois pour leur petit personnel. Aujourd’hui deux France cohabitent : la France réelle, celle du peuple français – Gaulois – encore majoritaire et une France virtuelle, celle des politiques et plus encore les tenants de cette idéologie mortifère et droits de l’hommesque qui veut nous faire croire que la France est multiraciale, multiculturelle. Les Gilets jaunes ont été la réponse parfaite de cette France qui veut rester française et surtout maîtresse de son destin. Les médias mainstream y sont pour quelque chose qui présentent une France irréelle. Et la classe politique, de droite comme de gauche, adhère à cette idée d’une France qui n’existe pas. Il suffit d’ouvrir la téloche et regarder non seulement les informations mais aussi les divertissements d’une rare médiocrité où les feuilletons branchés politiquement correct pour hurler de rire et de dégoût. La France profonde ne s’y trompe pas.

Ensuite, il est un sujet qui énerve particulièrement les Français, c’est l’immigration et la violence qui en découle. Et pas seulement celle des banlieues mais aussi celle de nos bourgs et bourgades. De ça, les Français n’en peuvent plus. Et le baratin de nos politiques sur le sujet ne prend plus. Depuis Chirac, alors premier ministre de Giscard, jusqu’à Macron aujourd’hui, on n’a fait qu’assister à l’impuissance de l’Etat et à la lâcheté des hommes politiques sur le sujet. Tous se défilent de peur de passer sous les fourches caudines de l’idéologie dominante. Dans le même temps, un Mélenchon, révolutionnaire en carton pâte, se ridiculise, Olivier Faure (PS) disparaît des écrans et les satrapes de gauche, les grands penseurs des broussailles à la Olivier Duhamel dévoilent leur vrai visage : celui d’une élite de gauche au service de ses seules ambitions – sonnantes et trébuchantes -, et plus encore de leurs turpitudes. Quand ils ne se font pas prendre la main dans le pot de confiture.

Dernier aspect de cette classe politique, tous les partis sont incapables de nous livrer une vision cohérente du monde et de la société française en particulier qui se défait sous leurs yeux. Députés, sénateurs, présidents des bazars représentatifs des communes et des départements, tous voient bien ce qui se passe mais ne font rien. Ils assurent d’abord leur casse-croûte. Et après, ils voudraient que les Français se déplacent alors qu’ils sont déjà cocus ?

Deux infos majeures caractérisent ces élections. Tout d’abord le taux d’abstention – 66,1% aux dernières nouvelles -, ce qui est énorme et qui interpelle notre régime soi-disant démocratique. Une minorité peut-elle dicter sa loi à une majorité et si tel est le cas, comment s’appelle ce régime ? Deuxio, le Rassemblement national, alors qu’il cartonnait dans les sondages, s’effondre. A cela une raison majeure, Marine Le Pen a tellement mis d’eau dans son vin qu’elle a dénaturé ce qui faisait l’originalité du parti sur une ligne dressée par son père. La force du Front, c’était son irréductibilité au discours ambiant. Sauf que Marine Le Pen et ses gitons ont décidé de se la jouer Gay Pride et droits de l’homme. Elle paie la facture, les Français n’aimant guère qu’on les prennent pour des cons.  La triste leçon de ces élections, c’est que les partis politiques et les politicards vont pouvoir reprendre leurs petites magouilles. Mais sans nous !

 

07:47 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Si l’inflation doit être temporaire, pourquoi les Bourses s’affolent-elles ?

ROUSSET M 1.JPGMarc Rousset

La Bourse de Paris, qui n’en finissait pas de monter tous les jours un peu plus haut vers les niveaux de la bulle de septembre 2000, a brusquement chuté de -1,46 %, ce vendredi. À Wall Street, le Dow Jones a enregistré sa plus grosse perte hebdomadaire (-3,45 %) depuis fin octobre, tandis que le NASDAQ perdait 0,92 % et le S&P 500 1,91 %. Lors d’une réunion monétaire, la Fed a en effet envisagé pour la première fois, ce jeudi, deux hausses de ses taux directeurs d’ici 2023, tout en rappelant que l’accélération de l’inflation était temporaire et qu’elle devrait se stabiliser en 2022 et 2023. Quant au taux à dix ans sur la dette américaine, il a reflué légèrement à 1,51 %.

En mars 2021, la prévision d’inflation de la Fed était de 2,4 % pour l’année. En juin, la Fed vient d’estimer que l’inflation serait de 3,4 %. La question est de savoir quel sera le taux d’emballement réel de l’inflation en septembre, auquel cas, la Fed sera amenée à envisager des augmentations de taux plus rapides et plus élevées que les deux petites hausses de taux de 0,25 %, ce qui correspondrait à un taux de 0,75 % d’ici 2023, au lieu des 0 % à 0,25 % actuels. Cet emballement potentiel de l’inflation, avec des conséquences sur les taux, préoccupe les marchés.

Un grand nombre d’économistes, ne serait-ce qu’à cause de la hausse vertigineuse de certaines matières premières et du prix de certains produits chinois, estiment que l’inflation sera importante et permanente. L’indice des prix à la production a bondi de 0,8 % en mai, aux États-Unis, ce qui porte la hausse à 6,6 % sur 12 mois. Le taux de chômage de 14,4 %, en avril 2020, est retombé à 5,8 % et le taux de croissance de 6,4 % en taux annuel du premier trimestre 2021 devrait être encore plus élevé au deuxième trimestre. Il n’est pas du tout certain que les facteurs temporaires de hausse d’inflation (insuffisance momentanée de l’offre et goulots d’étranglement) prédominent sur les facteurs de tendances de fond (liquidités abondantes, augmentation de la vitesse de circulation de la monnaie, énormité des dépenses publiques envisagées par Biden, augmentation post-Covid de la demande en biens et services des particuliers, hausse des matières premières, manque de main-d’œuvre à bas salaire).

En France, les dépenses publiques censées, aujourd’hui, rémunérer les chômeurs ou aider les entreprises ne font que s’ajouter à la gabegie honteuse qui dure depuis quarante ans. L’ancien socialiste Pierre Moscovici, nommé premier président de la Cour des comptes par Macron, est juste capable de nous dire « que nous devons retrouver des marges de manœuvre pour préparer les prochaines crises éventuelles ». Il reconnaît que « la croissance ne suffira pas à réduire la dette publique et qu’une maîtrise des dépenses doit être engagée ». Il demande de faire refluer la dette publique à partir de 2027 au lieu de 2030 alors que la France sera en faillite bien avant cette date, suite à la hausse inéluctable à venir des taux à long terme.

Le président de la Banque de France Villeroy de Galhau nous dit qu’il est temps de sortir aujourd’hui du « quoi qu’il en coûte », mais la réalité, c’est que la crise a été surfinancée par le Président Macron : sur les trois années 2020-2022, les mesures de soutien auront atteint 424 milliards d’euros, soit deux fois plus que la perte de PIB de 250 milliards d’euros sur la même période, selon l’institut de conjoncture Rexecode.

Le gouvernement actuel a cependant la sagesse de ne pas écouter les « hurluberlus » du CAE (Conseil d’analyse économique) et de l’École d’économie de Paris, qui préconisent la « monnaie hélicoptère » pratiquée par la BCE, avec un chèque de 800 euros par citoyen. On raserait de nouveau gratis avec ces technocrates de salon en augmentant l’inflation, suite à une création monétaire sans contrepartie, et donc une perte, à l’actif du bilan de la BCE.

Inflation, hausse des taux à venir inéluctable : les mailles du filet se resserrent sur la France qui paiera un jour ou l’autre par la faillite et/ou l’hyperinflation son laxisme socialiste de droite et de gauche depuis quarante ans ainsi que l’irresponsabilité, la lâcheté, la fuite en avant de ses dirigeants républicains droit-de-l’hommistes bien-pensants.

02:02 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 19 juin 2021

Journal du chaos

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vendredi, 18 juin 2021

Que faire dimanche ? Vous pouvez aller voter...

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Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale

Dimanche prochain se déroulera dans toute la France la première manche des élections régionales et départementales. Nous ne nous étendrons pas ici sur les campagnes et les programmes des listes en présence, les lecteurs de Synthèse nationale ont généralement une maturité politique suffisante qui leur permet de se faire une idée sur la question. Nous allons donc "faire simple" : d'un côté tous les candidats des partis du Système qui acceptent (et soutiennent) la dilution de notre nation et de notre civilisation dans le magma mondialiste et, de l'autre, ceux qui se réclament, au sens large du terme, du "camp patriotique". Le choix est donc vite fait...

Certains, parmi nos amis, figurent sur des listes du Rassemblement national. D'autres, comme notre chère Valérie Laupies en PACA ou Jean-Eude Gannat en Anjou (pour ne citer qu'eux), animent avec courage et abnégation des listes locales qui se présentent pour incarner une conception plus novatrice du combat national et identitaire. Il y en a aussi qui figurent sur des listes régionalistes ou sur celles de DLF ou de Via... Tout cela prouve au moins que, faute d'avoir un véritable chef de fil rassembleur, notre famille politique ne manque pas d'initiatives ni de vitalité.

Synthèse nationale n'est pas un parti ni une organisation dogmatique qui donnerait des consignes strictes à ses militants. Bien au contraire, nous sommes avant tout une revue d'idées qui s'adresse à toutes les composantes du "mouvement national".

Voilà pourquoi, dimanche prochain, nous invitons nos lecteurs à voter pour les listes patriotiques présentes dans leurs départements et leurs régions qui leur sembleront les plus sincèrement en accord avec notre idéal nationaliste et identitaire 

Nous savons que nous n'avons plus l'éternité devant nous et que la France doit se réveiller au plus vite si elle ne veut pas disparaître à jamais.

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Les Anti-éoliens à la conquête du département de l'Aisne

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Isabelle Dekkers est militante anti-éolien dans l'Aisne. Elle affrontera en compagnie de son binôme Luc Templier la liste soutenue par Xavier Bertrand à Saint-Quentin.  Sur le canton de Marle se présente  Hervé Bernardeau, le médecin généraliste de Marle et la juriste Lola Puissant pour défendre les couleurs de la France. Ils présentent une opposition claire et déterminée à l'implantation d'éoliennes.

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