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samedi, 27 février 2021

Journal du chaos

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vendredi, 26 février 2021

La démocratie est-elle en danger ?

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Chloé Morin, experte associée à la Fondation Jean-Jaurès et Natacha Polony, directrice de la rédaction de Marianne publient respectivement Le Populisme au secours de la démocratie ? et Sommes-nous encore en démocratie ? deux ouvrages qui analysent la crise politique que nous traversons. Elles répondent ici lors d’un débat organisé par Marianne

A lire ICI 

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jeudi, 25 février 2021

S’il était candidat à la présidentielle, je soutiendrais Éric Zemmour

Andre Murawski-869.jpgAndré MURAWSKI

Conseiller régional

Hauts-de-France

Quatorze mois avant l’élection présidentielle de 2022, le paysage politique français présente un aspect particulièrement uniforme, même si des inconnues subsistent en provenance de telle ou telle formation.

Pour faire simple, les politiques conduites dans notre pays dans les domaines économique, social et, depuis quelques années, environnemental, présentent à la fois une grande continuité et une incontestable similitude. En effet, depuis le début des années 1990, ni la droite, ni la gauche institutionnelles ne se distinguent plus sur le plan doctrinal comme ce fut le cas à l’époque où le libéralisme et le marxisme proposaient des offres politiques clairement différenciées.

Jusqu’en 2017, la droite majoritairement représentée par le RPR, devenu l’UMP, puis LR, ainsi que la gauche, représentée elle par le PS, se sont succédé au pouvoir en ne se distinguant que sur certaines nuances. La gauche en matière sociétale ; la droite dans le domaine sécuritaire. Mais l’une comme l’autre ont souscrit au projet de construction européenne et consenti des transferts toujours plus importants de souveraineté y compris en renonçant à appliquer le principe de subsidiarité, pourtant explicitement reconnu par les traités. Inspirée par le projet européen, cette convergence des politiques a abouti, en 2017, à l’élection d’Emmanuel Macron qui a amalgamé les deux sensibilités au détriment du PS et de LR lors des élections législatives de 2017. Aujourd’hui, malgré des ancrages locaux encore solides, le PS comme LR ne semblent pas en position de reprendre l’initiative en 2022, faute de candidats incontournables.

Toujours jusqu’en 2017, le FN, ensuite devenu RN, est passé du statut de parti protestataire à celui de parti d’alternance, disposant seul au fil des ans d’une base électorale suffisante pour proposer une offre politique alternative. Ses espoirs ont toutefois été ruinés, tant par ses adversaires que par ses faiblesses internes. Ainsi, au moyen d’une tactique de diabolisation systématique mobilisant classe politique, représentants des médias, responsables associatifs et intellectuels influents, la gauche et la droite institutionnelles sont parvenues à isoler durablement le FN, condamnant tout accord, décourageant toute alliance et limitant finalement sévèrement son implantation sur le plan local. Mais c’est aussi le manque de professionnalisme qui a pénalisé le FN, entraînant un turnover très important préjudiciable en termes de compétences, une situation financière très préoccupante préjudiciable en termes d’indépendance et de marges de manœuvre, et des affaires judiciaires graves préjudiciables en termes d’image.

En réalité, il existe d’étranges similitudes entre LReM, parti présidentiel, et le RN. Les deux formations politiques soutiennent l’un Emmanuel Macron, l’autre Marine Le Pen, dont un sondage a indiqué qu’ils seront vraisemblablement présents au second tour de l’élection présidentielle, même si le même sondage montrait que les Français ne souhaitent pas cette configuration. Les deux partis rencontrent régulièrement des difficultés avec leurs élus et leurs cadres, et connaissent défections et démissions. Les deux partis sont confrontés à une fuite de leurs adhérents, même si ce phénomène est moins mesurable à LReM qui n’impose pas de cotisation à ses membres. Les deux partis adhèrent au nouvel ordre mondial, depuis le début pour la LReM, de plus en plus pour le RN dont le discours trahit une soumission toujours plus grande au politiquement correct qu’il s’agisse d’immigration, d’identité, de monnaie, de l’Union européenne ou, tout récemment, de dette souveraine. Après la convergence entre les anciennes gauche et droite institutionnelles, il semble donc, toutes proportions gardées, qu’un mouvement de convergence se dessine entre LReM et le RN.

LReM et le RN apparaissent donc aujourd’hui comme deux petits colosses, mais des petits colosses aux pieds d’argile, dont l’effondrement pourrait bien survenir de manière inattendue. Emmanuel Macron pourrait s’effondrer victime de l’impopularité de sa gouvernance, marquée par la casse sociale, la dure répression des Gilets Jaunes et la gestion chaotique de la crise du COVID-19. Marine Le Pen, pour ce qui la concerne, pourrait bien subir le contrecoup du recentrage de son discours, de l’abandon des fondamentaux du FN/RN et d’un manque de convictions nettement décelable, à tel point que le débat qui l’a opposée à Gérald Darmanin a été considéré comme ayant eu lieu « à front renversé ». Les Français qui ne se reconnaissent ni dans Emmanuel Macron, ni dans Marine Le Pen, et qui aspirent à une autre politique, plus protectrice de notre souveraineté nationale, plus respectueuse de nos libertés fondamentales, plus attachée à notre histoire et à notre identité, plus soucieuse de notre indépendance économique et culturelle, ces Français contemplent un espace. Un espace politique inoccupé.

Pour le moment en effet, cet espace politique est vide. Toutefois, il pourrait être rempli. L’histoire de France ne manque pas d’exemples de personnages qui ont répondu à l’appel du pays au moment où la classe politique montrait ses limites. Un récent sondage a révélé qu’un journaliste, Eric Zemmour, avait un réel potentiel.

Que penser d’Eric Zemmour ? Journaliste émérite et débatteur passionné, il a multiplié par 10 l’audience de la chaîne Cnews. Son œuvre d’écrivain, de polémiste, donne la mesure de ses qualités intellectuelles. Son essai « le Suicide français », fruit d’un long travail et de nombreuses réflexions, témoigne de l’étendue de sa culture et de son amour de la France. Son professionnalisme de journaliste engagé, intransigeant, montre la sincérité de ses convictions et les procès qui lui ont été faits ont révélé la force de son caractère. L’homme est intéressant. Son discours séduit. Etrangère à un sérail politique déconsidéré, sa candidature à la présidence de la République pourrait offrir une véritable alternative à nos compatriotes.

Zemmour sera-t-il candidat ? Lui seul peut répondre et il dispose encore d’un peu de temps. Doit-il être candidat ? La situation de la France lui est connue et s’il n’est pas homme à se dérober, il lui appartient de prendre sa décision dans la paix et le secret de sa conscience. Peut-il être candidat ? Je veux croire que si le destin le désignait, si les Français confirmaient le premier sondage et l’amplifiaient, sa candidature ne serait pas seulement possible : Elle serait nécessaire. En réalité, j’ignore si Zemmour sera candidat. Ce que je sais en revanche, c’est que s’il décidait de l’être, je me tiendrais à sa disposition pour lui apporter mon entier soutien, si tel était son désir.

Source Riposte laïque cliquez ici

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Fable celtique... Méditation au menhir de Saint-Uzec

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Fañch an Teureug (François l’Oursin, en français)

Il se dresse là, dans son enclos sacré, à la lisière de la lande d’ajoncs et de genêts, à un jet de pierre du fameux Radome de Pleumeur-Bodou… J’y suis allé pour m’y recueillir…

Les moines irlandais, quand ils sont arrivés en Armorique pour la christianiser, ont découvert des menhirs et des dolmens, comme chez eux. Missionnaires, ils n’ont pas cherché à gommer la civilisation qui était déjà là avant eux, mais plutôt à la réorienter vers la religion chrétienne. Ils n’ont pas abattu les menhirs, ils les ont christianisés ! Le menhir de Saint-Uzec est de ceux-là, qui porte, gravés dans le granite, les "instruments de la Passion" du Christ : la croix, l’échelle, les clous, le marteau…

Et là, au pied de ce menhir, j’ai médité… Cette réalisation des hommes, d’il y a si longtemps et pourtant encore si actuelle aujourd’hui, ne représente-t-elle pas pour nous le devoir de transmettre ?

Sur la côte bretonne, chaulé en blanc, le menhir devient un amer qui permettra au navigateur de faire le point, de savoir se positionner sur la carte, d'éviter les écueils, de prendre ses alignements pour rentrer sans encombre au port…

En son sommet, allumez un feu et il deviendra un phare qui avertira les marins de la présence de récifs mortels… Pièges courants en politique !

Placez une vigie en son faîte. Il avertira le recteur de la paroisse qui sonnera le tocsin au clocher du village pour alerter les habitants de l’invasion qui se prépare… Cela ne vous rappelle-t-il pas quelque chose ?

En petit modèle, le menhir peut être utilisé comme lest, allongé en fond de cale du bateau. L‘embarcation tiendra mieux la mer et gardera plus facilement le cap dans une mer tempétueuse… Ce qui arrive souvent en politique !

Au fond de la crique, le menhir servira de très sûr amarrage pour le mouillage de son esquif ! Cela lui évitera de dériver dans des courants mauvais et de s’échouer dans quelque vasière…

Et puis, en une ronde autour du menhir, les filles et les gars du village viendront danser au son nasillard de la bombarde de Matilin an Dall, le penn soner Mathurin l'Aveugle (*) ... Et dans la lande, des amours enflammeront les cœurs. Et viendront alors d’autres enfants qui continueront la longue chaîne des générations de chez nous…

Bref ! Dans la vie, en navigation comme en politique, un menhir c'est indispensable !

 … J’en étais là de ma méditation quand d’autres pensées plus rudes m’ont assailli…

Je vous vois venir… Vous allez penser : ce "Fañch" est un sacré flatteur, un courtisan bien prompt à faire des courbettes devant le Commandeur. Que nenni ! Je tente seulement de ne pas trop oublier. Ce que je raconte, c’est par pure nostalgie d’une jeunesse qui fut militante. Et parce qu'il faut rester lucide...

Dans une récente interview de Jean-Marie Le Pen, le journaliste remarquait que notre "Menhir" pardonnait souvent à ceux qui l’avaient trahi mais qu’il ne s’excusait jamais. A mon petit avis, c’est assez bien vu !

Il y a un point, au moins et capital, pour le quel nous pouvons faire des reproches à notre "Menhir" : en plaçant sa fille à la tête du mouvement pour lequel nous nous sommes tant dévoués, il nous a joué un bien mauvais tour !

Par cette décision, le Menhir a glissé un vilain petit caillou dans la chaussure des Nationaux. Dès lors, pas facile de piquer des pointes de vitesse sur le sentier des douaniers !

Depuis les débuts de l'héritière, nous étions méfiants. Quand on a abandonné son prénom de baptême pour en prendre un autre plus "maritime", c’est déjà mauvais signe. Quand le nouveau capitaine "shanghaille" un équipage douteux et qu'il change ensuite le nom du bateau et surtout de cap, là ça devient très critique. Les pêcheurs bretons vous le diront : ça porte la poisse !

Et si, en plus, l’on tente d’abattre méchamment le Menhir, alors là, ça devient grave et même impardonnable !

Mais, nous autres Celtes, nous avons la tête dure. S'avouer vaincus ? Pas question !

Dans la lande de Pleumeur, autour du menhir de Saint-Uzec, se cache sûrement un petit Korrigan qui ne va pas tarder à se dévoiler pour quelques facéties de sa composition !

Alors là, comme disent les Douarnenistes : "On aura du goût !" Kenavo !

En Trégor, février 2021

(*) Mathurin l'Aveugle ? Le bandeau sur l'oeil ? Ça ne vous dit pas quelque chose ? Bizarre, non ?

11:05 Publié dans Légendes et patrimoines identitaires | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Une France anomique

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Luc Rouban est sociologue et directeur de recherches au CNRS. Dans une note intitulée « La République désintégrée » pour le baromètre de la confiance publique du Centre de recherches politiques de Sciences-Po (Cevipof) il analyse le regard que portent les Français sur leur propre pays. Et il constate que ce qui gagne notre pays, c’est l’anomie, c’est-à-dire la disparition des valeurs communes à la société française. Autrement dit, tout ce qui fait une nation. Et notre propre modèle culturel depuis que la gauche a sinistré l’instruction publique pour la remplacer par un magma informe que certains n’ont pas hésité à qualifier de « fabrique des crétins ». Et rien n’indique que cette immigration ne s’arrête quand des préfets distribuent des cartes d’identité et des permis de séjour à quiconque arrive d’Afrique, du Pakistan et d’ailleurs, histoire d’en faire un bon Berrichon, Picard ou Breton, etc., comme le suggèrent un peu rapidement et à tort – à notre avis - Eric Zemmour ou Marine Le Pen. L’avenir des Français ne se joue certainement pas dans ces zones de non-droit qui pullulent sur notre territoire. Il n’y a que nos politiques et autres intellectuelles des cavernes pour ne pas le savoir.

Lire l’entretien ICI.

08:35 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 24 février 2021

Le site Medias-presse-info consacre un article au Cahier d'Histoire du nationalisme n°19 sur les mouvements nationalistes en Belgique de 1945 à 2000

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Source Médias presse info cliquez ici

Hervé Van Laethem a derrière lui déjà plusieurs décennies de militantisme nationaliste en Belgique. Au cours des dernières années, il s’est illustré à la tête du mouvement NATION. Il est également très présent et actif parmi les réseaux établis entre mouvements nationalistes à travers l’Europe. C’est également un fin connaisseur de la géopolitique syrienne qui a été reçu à plusieurs reprises par les autorités de ce pays, y compris par le président Bachar el-Assad.

Il signe chez Synthèse nationale un nouveau tome des Cahiers d’histoire du nationalisme. Le sujet qu’il aborde est généralement méconnu : les mouvements nationalistes en Belgique de 1950 à 2000. C’est que, de l’histoire des mouvements nationalistes en Belgique, les Français ne connaissent généralement (et mal) que le rexisme de Léon Degrelle, ce qui nous renvoie aux années trente, et le Vlaams Belang, parti nationaliste flamand dont les médias retiennent qu’il est un partenaire du Rassemblement National au Parlement européen.

Précisons d’emblée que ce recueil ne prétend pas être exhaustif. Bien au contraire, son auteur avertit en préambule qu’il s’est surtout intéressé aux groupes les plus radicaux.

Ce panorama des mouvements nationalistes de l’après-guerre en Belgique débute avec Jeune Europe, mouvement fondé par Jean Thiriart, Emile Lecerf et le Docteur Paul Teichmann et dont la ligne est passée de l’anti-communisme à une forme de national-bolchévisme (!), ce qui le rend assez inclassable.  On y retrouve ensuite notamment Occident Belgique, Ordre Nouveau Belgique, le Front de la Jeunesse, le Parti des Forces Nouvelles, le VMO, l’Assaut,…

Au-delà d’une présentation de ces mouvements et de quelques autres, l’auteur retient différentes campagnes menées par cette mouvance : les manifestations Touchez pas à nos églises en réponse aux occupations d’églises par des immigrés, les rassemblements Nationalistes contre l’OTAN et quelques autres parfois mouvementées.

Les souvenirs évoqués dans ce livre sont souvent le reflet de l’engagement personnel de l’auteur qui a d’ailleurs enrichi son ouvrage d’une importante série de photos – parfois inédites – et de reproductions d’affiches et de publications de ces mouvements aujourd’hui oubliés par la plupart des Belges.

Les mouvements nationalistes en Belgique de 1950 à 2000, Hervé Van Laethem, Cahiers d’histoire du nationalisme, éditions Synthèse Nationale, 182 pages, 24 euros

A commander en ligne sur le site de l’éditeur

LES MÉDIAS FLAMANDS EN PARLENT AUSSI CLIQUEZ ICI

18:50 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jean-Claude Rolinat, écrivain engagé et grand voyageur, invité de l'émission "Synthèse" sur TV Libertés

Jean-Claude Rolinat est un homme passionné. Passionné de politique d'abord, il est un militant actif de la Droite nationale et il a été élu local en Seine-et-Marne des années durant, il collabore aussi régulièrement au quotidien Présent et à la revue Synthèse nationale. Passionné de voyages aussi, il a ainsi visité pratiquement tous les pays du monde et, bien souvent, il a raconté ses voyages dans des livres passionnants (plus d'une vingtaine). Passionné par la géopolitique enfin, il anime chaque semaine sur Radio Libertés l'émission "Et pourtant elle tourne" où il revient sur les conflits qui secouent la planète.

Dans cette nouvelle émission "Synthèse", animée par Roland Hélie, Philippe Randa et Pierre de Laubier, Jean-Claude Rolinat nous parle (entre autres) de deux de ses ouvrages : "Chypre, l'épine turc dans le talon européen" (Édition des Cimes - 2020 cliquez ici) et son fameux "Dictionnaire des États disparus" qui vient d'être réédité chez Dualpha (cliquez là). 

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LIBERTÉ !

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Un communiqué de Pierre Vial

La manifestation de soutien à Génération identitaire a permis de démontrer qu’il y a un front de solidarité qui s’est constitué contre l’absurde chasse aux sorcières déclenchée par Darmanin.

Lui et ses semblables, qui se drapent si volontiers dans « les valeurs de la République », feignent d’oublier qu’un peuple a le droit et le devoir de lutter pour son identité. En s’appelant Terre & Peuple, notre mouvement affirme qu’un peuple et sa terre ont un lien d’union charnelle, que nulle idéologie déracinante ne pourra faire disparaître.

On redécouvre le bienfondé et la nécessité des frontières pour se protéger contre la propagation du Covid. Mais est autrement dangereuse la propagation d’une invasion incontrôlée par des gens qui ne peuvent ni ne veulent respecter notre identité et qui sont encouragés par toutes les forces de l’Anti-France.

Lorsque j’ai proposé, à la fin du XXe siècle, d’adopter le mot « identitaire » pour définir ce que nous sommes, je ne pensais pas que sa diffusion serait aussi rapide et aussi large. Aujourd’hui, les sondages montrent que la majorité des Français de sang (et non de papiers) se reconnaissent dans ce mot et approuvent sa signification. C’est un motif d’espoir en ce temps si noir.

Terre & peuple cliquez ici

JEAN-CLAUDE ROLINAT INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" DU MERCREDI 24 FÉVRIER SUR TV LIBERTÉS

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LES PRÉCÉDENTES ÉMISSIONS CLIQUEZ LÀ

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mardi, 23 février 2021

Les leçons du drame de Pau

 

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Camille Galic

Le 2 janvier 2017, Libération publiait un reportage poignant sur des migrants expulsés de Calais et recasés dans le centre d’accueil de Gelos, près de Pau, où un fonctionnaire de l’OFPRA tentait de les convaincre de retourner dans leur pays natal avec un viatique de 2 000 euros pour les Afghans et les Irakiens et de 2 500 pour les Erythréens, Soudanais et Ethiopiens. Ce qui scandalisait et désolait les travailleurs sociaux de l’Isard COS, l’association gestionnaire du lieu, qui redoutaient que « les procédures d’asile que chacun a engagées n’aient pas le temps d’aller à leur terme ». L’article était intitulé : « Les migrants vont nous manquer. » Le 18 février 2021, les militants de l’Isard COS étaient à nouveau en deuil, mais pour une autre raison : Cyril, père de famille de 46 ans et responsable de ce centre d’accueil dépendant de la fondation COS-Alexandre Glasberg était égorgé par un Soudanais furieux d’avoir été débouté du droit d’asile – après avoir été condamné par deux fois pour violences au couteau, sur un autre pensionnaire, puis sur un codétenu.

Selon son site, Isard COS offre 257 places aux demandeurs d’asile et réfugiés auxquels il garantit un « accompagnement global mais adapté à chaque situation familiale ou personnelle », et il leur propose aussi « des hébergements dans différents quartiers de la ville ». On partage la douleur des proches de Cyril – dont l’un déclarait encore la semaine dernière sur France Inter que « les migrants sont des gens magnifiques » – mais on est soulagé de voir que la fureur de son protégé s’est exercée contre lui et non contre un quelconque et innocent habitant des « différents quartiers » où le Soudanais aurait pu être hébergé. Ce « drame absolu d’autant plus épouvantable que la victime s’est engagée toute sa vie professionnelle dans la défense des migrants et de ceux qui postulent à l’asile » (cf. François Bayrou, maire de Pau) servira-t-il de leçon à l’Azuréen Cédric Herrou, qui se vante d’avoir fait venir en France « des milliers de migrants » ? Mais c’est Génération identitaire, coupable de vouloir empêcher ce type de tragédies, que le Pouvoir veut éliminer.

10 millions d’africains (au moins) en france.

En 2011, un rapport officiel évaluait la communauté afro-antillaise en France à trois millions d’individus. En dix ans, ce nombre a plus que triplé en ce qui concerne les seuls Africains, si l’on en croit Emmanuel Macron s’exprimant le 18 février dans le Financial Times en prélude au G7 tenu le lendemain : « J’ai plus de 10 millions de nos concitoyens [donc naturalisés] qui ont des familles de l’autre côté de la Méditerranée. » D’où sa préconisation de faire livrer par l’Europe des doses de vaccins anti-Covid aux soignants africains car « si on laisse s’installer l’idée que des centaines de millions de vaccins sont en train d’être faits dans les pays riches et qu’on ne commence pas dans les pays pauvres, c’est insoutenable ». Cette proposition a du reste scandalisé la très racialiste Ligue de défense noire africaine qui a tweeté aussitôt (orthographe respectée) : « Occupez-vous de la France, le continent africain se porte très bien, vôtre vaccin n’a que pour but de stériliser les africains vous ne parviendrez ja- mais à faire accepté cette abjection même avec vos pantins locaux. »

Source : Présent 23/02/2021

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lundi, 22 février 2021

Grand Reset : « On est dans la projection futuriste d’une société cauchemardesque et abominable »

Éric Verhaeghe est haut fonctionnaire, entrepreneur et essayiste. Dans son dernier ouvrage Le Great Reset : Mythes et réalités, qu’il a auto-édité, E. Verhaeghe décortique le livre de Klaus Schwab – fondateur du Forum de Davos – et Thierry Malleret – ancien collaborateur de Michel Rocard – paru cet été et intitulé Covid-19 : The Great Reset.

Un ouvrage « de combat politique » et de « domination idéologique », qui a fait couler beaucoup d’encre et alimenté les inquiétudes, qu’Éric Verhaeghe s’est efforcé de décrypter, cherchant à faire la part des choses et à mettre en lumière le véritable projet porté par les auteurs du Grand Reset.

Quels sont les projets de réformes politiques, sociales et économiques prônés par les auteurs du Grand Reset ? Ont-ils une chance d’aboutir ? Esprits de Liberté a rencontré Éric Verhaeghe pour répondre à ces questions. 

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NEW HOLD-UP + Le film Partie 2

Merci aux réalisateurs et acteurs pour leur travail exceptionnel.

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Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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11:18 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Au-delà de l'islamo-gauchisme

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Depuis 50 ans, l'Université est tenue par les gauchistes. Des villes entières sont noyautées par les islamistes, certaines, au nom de l'idéologie ou par simple clientélisme étant même en état de fait de cogestion avec les partisans de la charia. Des centaines de quartiers sont aux mains de la racaille. Des sections syndicales sont sous la coupe des groupes salafistes, des frères musulmans ou des organisations allogènes. Tous veulent la fin de notre civilisation. Il était bien évident que la jonction se ferait. Une des priorités de l'Etat national sera d'en éradiquer les effets.
 
Pour autant nous ne devons pas oublier qu'il n'y a pas que l'isamo-gauchisme à combattre. Il y a aussi l'islamo-progressisme, l'islamo-centrisme et l'islamo-droitiste.

11:13 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 21 février 2021

Premières craintes d’inflation et d’augmentation des taux d’intérêt

ROUSSET M 1.JPGMarc Rousset

L’indice CAC 40 a progressé de 1,23 %, au terme d’une semaine où ont ressurgi les inquiétudes liées à un grand retour de l’inflation dans les pays développés. Le Dow Jones a grappillé 0,11 %, mais le Nasdaq et le S&P 500 ont baissé respectivement de 1,5 % et 0,71 %. Les investisseurs apprécient les politiques monétaires laxistes pour tenter de raviver l’inflation et la croissance dans un monde déflationniste, mais beaucoup moins les risques réels d’inflation et de hausse des taux d’intérêt obligataires, ce qui les rend nerveux. Les banques centrales se montrent toujours accommodantes, mais leur position pourrait rapidement apparaître intenable ; elles pourraient être amenées à changer, plus rapidement que prévu, de braquet et de politique monétaire.

Le Bitcoin, canari dans la mine de la folie humaine, a dépassé les 50.000 dollars, galvanisé par Tesla, les grandes banques et tous les spéculateurs avides de la planète. 32 % des 18-24 ans affirment avoir déjà investi dans le Bitcoin ou envisagent de le faire. Le marché du Bitcoin dépasse maintenant les 1.000 milliards de dollars, ce qui est toujours infime par rapport au marché de l’or. Suite à des achats irrationnels, depuis le début de l’année, son prix a grimpé de 89 %, dans l’attente d’une nouvelle explosion de la bulle et d’une interdiction totale par les banques centrales, comme en Inde.

Alors que nous vivons depuis quelques mois dans un monde déflationniste (-0,3 % pour les prix en novembre et décembre 2020), les Français ont amassé 225 milliards en billets sous les matelas, ce qui correspond à une peur de l’effondrement du système bancaire, et 470,1 milliards sur les dépôts en banque à vue. La peur de l’inflation, suite au plan Biden de 1.900 milliards de dollars, commence aussi à s’emparer des esprits. L’économiste français Olivier Blanchard, établi aux Etats-Unis, craint que l’inflation ne conduise à une augmentation subite des taux d’intérêt par la Réserve Fédérale, d’où les risques d’un krach obligataire. Les prix des céréales ont déjà bondi sur les marchés internationaux : maïs +45 %, soja +56 %, blé +11 %. Suite à la pénurie de conteneurs, les prix du transport maritime se sont envolés, de même que ceux de l’acier en raison d’un déséquilibre entre l’offre et la demande (600 euros la tonne, soit +245 % depuis novembre 2020). Les prix des billets d’avion, des vêtements et des hôtels ont tous été touchés en 2020, au plus profond de la pandémie ; ils sont susceptibles de rebondir brusquement, à mesure que l’économie redémarre.

Biden, la nouvelle secrétaire au Trésor Janet Yellen et la Réserve fédérale américaine (Fed), contrairement à l’ancien secrétaire au Trésor et haut conseiller Lawrence Summers, ne craignent pas le retour de l’inflation des années 1970. Pour vaincre l’inflation, selon le New York Times, il avait fallu à l’époque augmenter fortement les taux d’intérêt, avec les risques de récession, et supprimer l’indexation des salaires. Or, l’inflation est le seul moyen de réduire le stock des dettes, d’où le dilemme cornélien entre deux écoles : ceux qui craignent la surchauffe économique, une nouvelle inflation et demandent à Biden de réduire ses plans d’aide économique, et ceux qui préfèrent ignorer les risques d’inflation, poursuivre la politique actuelle de la fuite en avant, en pensant avant tout au chômage et à la dette impossible à rembourser.

C’est la raison pour laquelle la Fed a assuré mercredi qu’elle maintiendrait ses taux très bas pour soutenir l’économie jusqu’au retour du plein emploi et continuerait à inonder les marchés de liquidités via des rachats d’actifs mensuels à hauteur de 120 milliards de dollars. Craignant la surchauffe, des investisseurs ont vendu leurs bons du trésor à 10 ans et les taux sont restés fébriles pour s’installer nominalement à 1,3 % tandis que, compte tenu de l’inflation, le taux réel sur les bons du Trésor à 5 ans continuait de baisser à -1,88 %.

À partir d’un taux à 1,5 % sur les marchés obligataires, un plus grand nombre d’investisseurs vendront leurs actions pour acheter des obligations, d’où des risques de krach à venir aussi bien sur les obligations (effet mécanique sur les cours des anciennes obligations suite à la hausse des taux d’intérêt) que sur les actions (vente des actions et diminution des profits des entreprises) dans les mois qui viennent, si les taux d’intérêt montent.

15:59 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ces dingueries produites par le conformisme

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Ivan Rioufol

Dans la France somnambule, la bêtise gambade. À côté de l’ordre sanitaire qui rêve d’un monde sous cloche, le politiquement correct multiplie ses dingueries. Vendredi dernier, le défenseur des droits, Claire Hédon, proposait d’expérimenter des lieux sans contrôles policiers, afin de ne pas « discriminer » les cités sensibles : une manière de pérenniser des zones de non-droit. Le même jour, France Culture saluait l’initiative d’un centre de théâtre invitant des jeunes «auteurs et autrices» à réécrire cinq pièces de Molière  «afin de le rendre plus accessible» et de le «désacraliser». Le 21 janvier, sur France Culture, un anthropologue liait Babar, l’éléphant de Brunhoff, à une «apologie du colonialisme ». Dans Le Figaro du 6 février, Alain Duault dénonçait la réécriture simplifiée du Club des cinq, et l’initiative de Disney d’interdire aux enfants Les Aristochats, La Belle et le Clochard et Peter Pan, pour cause de « clichés racistes ». À qui le tour ?

Dans cette grande débandade face aux minorités tyranniques, le gouvernement hésite sur l’ampleur à donnerau bicentenaire de la mort de Napoléon, le 5 mai 1821, contesté pour avoir rétabli l’esclavage dans les colonies. Le pouvoir n’arrive pas davantage à s’opposer  à l’usage de la repoussante « écriture inclusive » et son « point médian » (é·e) en usage dans l’enseignement supérieur, jusqu’au CNRS. À l’université Paris- Nanterre, une chargée de mission « égalité femmes-hommes et non- discrimination » a pour objectif de généraliser cette grammaire idéologique, destinée à lutter contre le patriarcat censé dominer la société. « Nous avons une culture sexiste et violente », affirmait comme une évidence, lundi sur Europe 1, Alexandre Kouchner, enseignant à Sciences Po : un cliché qui ne résiste pourtant pas aux révélations sur la vraie violence sexiste qui fut imposée par l’État islamique aux femmes chrétiennes ou yézidies (1).

Aujourd’hui comme hier, le conformisme est prêt à singer des moutonneries déjantées. L’autre semaine dans Le Figaro, Luc Ferry rappelait comment la « pensée 68 », en lutte contre l’éducation bourgeoise, en était venue à défendre des « rapports pédérastiques entre maîtres et élèves » ! Cette fois, la lutte contre l’oppression du mâle blanc occidental hétérosexuel est prétexte à des révisionnismes historiques, préludes aux chasses à l’homme. Partout, le déconomètre du camp du Bien s’emballe. En Grande-Bretagne, une école a effacé le nom de Winston Churchill car le résistant au nazisme fut aussi un défenseur de l’Empire. Aux États-Unis, c’est Abraham Lincoln et George Washington qui incommodent les idéologues du repenti. « Aujourd’hui, on peut violer pratiquement toutes les lois si on est dans la ligne du politiquement correct », s’alarme l’écrivain américain Thomas Chatterton Williams (L’Opinion, mardi). Cette « morale » réclame la censure.

Le statut de victime autoproclamée justifie des aberrations. La scène médiatique est devenue un forum psychiatrique. S’y étalent sans pudeur les névroses, les ressentiments, les douleurs enfouies. La justice populaire est invitée dans l’urgence à pallier la prudence du droit. Dans les affaires d’inceste et de pédophilie, la foule mateuse et lyncheuse commente les intimités exposées: la présomption de culpabilité du père est la règle. Se dire fragile suffit à condamner le «dominant». Pareillement, le législateur est prêt à réparer l’«injustice» faite aux femmes tributaires de l’homme pour faire un enfant. Si le Sénat a pu s’opposer à l’extension de la procréation médicale assistée (PMA) pour les couples de femmes, le gouvernement entend imposer cette filiation fictive. Derrière elle se profilent les embryons transgéniques et chimériques. Faudra-t-il attendre trente ans pour que des générations effarées dénoncent les lubies contemporaines ?

Limites de la « libération de la parole »

La « libération de la parole » vient justifier ces procès sans preuves. Ils sont lancés par des justiciers obsédés par la revanche et aveuglés par la haine. Pour certains, l’homme est un prédateur sexuel qu’il faut briser. Pour d’autres, il est un colonisateur qu’il faut traquer, y compris sur son sol. Dans les deux cas, des universités, idéologiquement infiltrées, sont devenues les incubateurs de ces luttes des sexes, des races, des civilisations. On est prié d’applaudir aux flots de mots qui débondent depuis le mouvement #MeeToo en 2017. Certes, certaines révélations sur des humiliations perverses faites à des femmes ou à des enfants ont aidé à une prise de conscience sur les aveuglements passés. Acquitté une première fois, Georges Tron, maire de Draveil (Essonne), a été condamné en appel, mercredi soir, à trois ans ferme pour viol sur une employée de mairie, au vu de sa seule emprise hiérarchique, désormais assimilable à une contrainte. Mais qui ose marquer une réserve sur les procédés utilisés par les gendarmes de la Vertu est soupçonné de cautionner le pire. Ainsi fait le terrorisme intellectuel attisé par la meute.

D’ailleurs, cette libération de la parole est plus un slogan qu’une réalité. Les lanceurs d’alerte sur la menace islamiste ou l’immigration de masse en savent quelque chose. Ces deux sujets valent des procès d’intention à ceux qui les abordent. La semaine dernière, c’était un homme de gauche, Didier Lemaire, professeur de philosophie à Trappes (Yvelines), qui subissait la foudre des censeurs pour avoir décrit le poids des fondamentalistes sur la ville. Depuis, il a dû quitter l’enseignement tandis que le maire, Ali Rabeh, est allé distribuer des tracts politiques au sein du lycée. Cette semaine, c’est le mouvement de droite Génération identitaire qui est menacé de dissolution par le ministre de l’Intérieur. Sa faute : militer contre l’immigration incontrôlée et l’offensive islamiste. Gérald Darmanin, qui cherche à criminaliser la pensée de ce groupuscule, participe à l’interdiction d’une libre expression sur deux sujets qui passionnent l’opinion. Faudrait-il dissoudre le peuple mal-pensant et en élire un autre, comme le suggérait Bertolt Brecht ? La pensée totalitaire n’est plus loin.

Les résistances arrivent

Devant cet effondrement de la raison, les résistances arrivent, heureusement. Pour faire face à l’offensive indigéniste et décoloniale, singulièrement en sciences sociales, Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, a tenté mardi d’alerter sur l’entrisme de l’islamo- gauchisme. Renaud Camus vient d’être relaxé pour un tweet, au nom de la liberté d’expression. Quant à Cyril Bennasar, il dénonce avec brio « l’arnaque antiraciste » (2) symbolisée par la militante Rokhaya Diallo. Serait-ce le début de la fin ?

Notes

(1) « La Putain du califat », de Sara Daniel et Benoît Kanabus, Grasset.

(2) « L’Arnaque antiraciste expliquée à ma soeur », Mordicus.

Source : Figaro 19/02/2021

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samedi, 20 février 2021

Contre la menace de dissolution, Génération identitaire a mobilisé samedi après-midi à Paris

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Quand le loup fait l’agneau !

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Vincent Trémolet de Villers

C’est le génie de la gauche dominante : être le loup et faire l’agneau. C’est le talent décourageant de nos gouvernants, et ici de Frédérique Vidal : donner à celui qui étend son hégémonie le statut de victime. Reprenons. L’islamo- gauchisme n’est pas une discipline, un domaine de recherche, c’est une réalité politique. L’alliance du « Prophète » et du « prolétariat », de la religion des « dominés » avec les minorités « opprimées ». Version intello, c’est Emmanuel Todd qui déplore que l’on caricature « Mahomet, personnage central d’un groupe faible et discriminé », Edwy Plenel qui se rêve en Zola des musulmans; version branchée, c’est Virginie Despentes qui s’emballe pour les frères Kouachi, « morts debout » pour ne pas « vivre à genoux ». Mais l’islamo- gauchisme n’est qu’un des symptômes d’une guerre idéologique beaucoup plus large menée inlassablement sous couvert de « rigueur universitaire ». On l’appelle « wokisme » outre-Atlantique ; chez nous, elle installe l’obsession de la race, du genre, de l’identité, des laboratoires de recherche jusqu’aux studios de la radio publique. Elle impose des concepts aussi incertains que militants : « privilège blanc », « gender fluid », « racisme systémique»... Point de liberté pour les ennemis de cette doxa. Syndicats et associations montent la garde. Ainsi, Bernard Rougier, sans l’aide de la région Île-de-France, n’aurait pas pu mener ses travaux sur l’islamisme en France ; ainsi, Sylviane Agacinski, Alain Finkielkraut et tant d’autres ont vu leurs conférences annulées dans des écoles et des universités ; ainsi se développent dans ces mêmes universités les réunions non mixtes, interdites aux Blancs. Ce qui menace la liberté académique et, bientôt, une véritable liberté de pensée, ce n’est pas la pauvre Frédérique Vidal, mais bien ces doctrinaires acharnés contre une civilisation qu’ils jugent intrinsèquement coupable. L’islamo-gauchisme n’est qu’un versant de cette bêtise sophistiquée. Là est le grand péril : atrophie de l’intelligence, effacement de la culture, pour aboutir, selon la terrible formule d’Allan Bloom, à des «âmes désarmées ».

Source : Le Figaro 20/02/2021

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Génération identitaire : message en défense

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Franck Buleux

Génération identitaire (GI), mouvement de communauté de jeunesse a été fondé en 2012 et s’est fait connaître médiatiquement initialement par une occupation d’un chantier de construction de mosquée à Poitiers, avant de participer activement, dans le cadre de La Manif pour tous, aux manifestations de protestations contre le démantèlement de la famille traditionnelle organisé par la majorité représentée par François Hollande. Loin d’être un simple mouvement politique, GI est un éveilleur de consciences, un lanceur d’alertes, d’ailleurs souvent reprises par les partis politiques de droite (RN, DLF, CNIP mais aussi l’aile droite de LR). Sans ambigüités mais sans exclusive. 

Cette fondation qui n’a rien à voir avec un supposé « Bloc radical » comme le répète à l’envi sur les médias complaisants le guide du CRAN (Conseil représentatif des associations noires de France) ou l’ancien fondateur de SOS Racisme, Julien Dray, toujours cadre du puissant (sic) Parti socialiste (PS) qui parle, sur CNews, de la proximité idéologique du mouvement de jeunesse identitaire avec le polémiste Alain Soral. Quand on sait que c’est l’avocat de GI, maître Gilles-William Goldnadel, au demeurant cadre du Centre national des indépendants et paysans (CNIP) qui a fait condamner ce même Soral, on pouffe de rire. Ces gens de gauche pratiquent systématiquement l’amalgame sans se préoccuper des réalités politiques. Est-ce de l’inculture ou de la mauvaise foi ? Probablement, un peu des deux.

Le combat de GI s’inscrit dans la défense in situ des valeurs et des traditions européennes, indiquant un ordre naturel de préférence à l’égard des populations : « les nôtres avant les autres ». Le terme « avant » signifie l’application du principe de subsidiarité, bien connu dans le cadre des règles européennes. Le principe de subsidiarité dans un cadre national n’a rien d’offensant, ni d’affligeant et encore moins de stigmatisant. Si, dans une famille, un invité est présent (parce qu’il est convié, rappelons-le tout de même), c’est parce que tout le monde a déjà le nécessaire. Pourquoi le critère familial ne s’appliquerait-il pas au national. Idéologie nauséabonde (sic) ou simple bon sens de la part de GI ?

Au-delà de cette défense de la proximité face au mondialisme, GI défend aussi - et surtout - une conception enracinée de l’histoire. Son combat a commencé en 2012 dans le cadre de la défense de notre territoire face aux intrusions et autres invasions culturelles et humaines. Poitiers est un emblème bien entendu. Sans haine, ni violence (ni condamnation pénale), des jeunes de GI ont « occupé » le toit d’une mosquée en construction. Dans la France de Hollande (ou de Macron : « blanc bonnet et bonnet blanc » aurait dit, à juste raison, le communiste Duclos, évoquant ainsi le duel Pompidou-Poher du second tour de la présidentielle de 1969), ces gens ont mis en danger leur avenir. Pourquoi ? Parce qu’il y a eu des poursuites pénales et que l’inscription d’un délit sur un casier judiciaire vaut interdiction pour certaines professions. Réfléchissons-y et reconnaissons-leur ce courage. Tout le monde ne peut pas se vanter, par écrit, d’avoir eu des rapports intimes avec de jeunes enfants et devenir député européen, profitant d’absence de toute poursuite. Heureux, les (nombreux) bénéficiaires de la prescription judiciaire…

L’hystérie judiciaire déclenchée dès 2012 par la ministre Taubira, qui a fait long feu, a laissé place à l’hystérie politique. Darmanin, c’est Taubira en pire. Il ne s’agit plus de faire condamner tel ou tel individu en détruisant sa réputation, le livrant à l’opprobre professionnel et social, mais de mettre au ban toute une communauté d’idées, de débats et de combats. Le retour du bannissement.

Pourquoi ? Voilà le nœud gordien, parce que ces jeunes ont voulu suppléer l’autorité légitime, celles des forces de l’ordre. Présents partout, utiles nulle part, sauf après 18h pour faire respecter le couvre-feu. En effet, les opérations de défense du territoire mises en place par GI, dans les Alpes, au printemps 2018, puis dans les Pyrénées récemment, se fondent sur le principe (légal) d’interdire à des clandestins (je sais, on doit dire « migrants » pour ne pas stigmatiser le délit de traverser une frontière sans visa) d’entrer illégalement sur notre territoire national. Pour une fois que des jeunes gens aident à faire appliquer des lois. C’est un peu comme si nos « racailles » allaient de barre d’immeubles en barre d’immeubles dénoncer les dangers de la drogue, mais cela n’arrivera pas puisqu’ils en vivent.

Le lecteur n’a pas besoin d’être convaincu sur la forme, la défense de l’intégrité d’un pays est essentielle à sa pérennité sauf s’il l’on souhaite sa dissolution. Dissolution, dissolution, vous avez dit « dissolution ». Oui, mais je parle, pour ce qui me concerne, de dissolution nationale, ce qui est hautement plus grave en matière de trahison que les faits soulignés par le ministère de l’Intérieur dans sa missive à GI.

Passons donc au fond, c’est-à-dire au juridique même si, dans cette affaire, nous avons compris que les incantations de Castaner (aile gauche de la macronie) et Darmanin (aile droite de la macronie) ont plus de poids que le droit seul. Le terme « milice » employé à tort et à travers vaut toutes les condamnations du monde.

Le problème purique est posé par l’article 73 du Code de procédure pénale : cette norme légale indique clairement que dans les cas de crime flagrant ou de délit flagrant puni d'une peine d'emprisonnement, toute personne physique a qualité pour en appréhender l'auteur et le conduire devant l'officier de police judiciaire le plus proche. Or, En France, la loi prévoit que le fait de séjourner de manière irrégulière sur le territoire constitue un délit passible d'un an de prison, de 3 750 € d'amende et de 3 ans d'interdiction du territoire. Certes elle est peu, voire pas appliquée du fait de la directive européenne retour qui tend à l’évitement de l’emprisonnement mais ce fait n’en constitue pas moins un délit. Et je ne reviens pas sur le sujet des « passeurs » ou des «aidants » qui contreviennent aussi à la loi et sont passibles de correctionnelle.

La loi est appliquée de cette façon : si un citoyen interpelle une personne en flagrant délit et si cette dernière coopère de son plein gré, en acceptant de le suivre et reste libre de ses mouvements, il n’y a pas application de l'article 73 du CPP. Donc il n'est pas obligatoire de faire appel aux forces de l'ordre "immédiatement". Dans ce cas-là, on voit bien l'importance d'avoir une caméra et un micro pour prouver que la personne interpellée était libre de ses mouvements et coopérait de manière volontaire. On peut penser ce cas rare mais il me semblait utile de l’évoquer.

Si Vous interpellez une personne en flagrant délit qui ne coopère pas et que vous la retenez contre son gré, voire même avec force (ou avec un moyen coercitif : menottes...)- vous appliquez dans cette situation l'article 73 du CPP : le militant est donc dans la stricte obligation de faire appel sans délai aux forces de l'ordre (cf. article 73 du CPP et code de déontologie de la sécurité privée).

Dans les cas qui nous intéressent, il n’apparait pas que les membres ou les sympathisants opérationnels de GI aient fait autrement que la stricte application de cet article.

Tout le reste n’est que politique. Notre gouvernement penche à droite et tend à perdre des électeurs sur son aile gauche, la dissolution de GI est une opportunité pour permettre aux bonnes volontés de se mobiliser, dès le premier tour de la présidentielle ou, à défaut, au second, en faveur de l’homme du « en même temps ».

Lorsque que François Hollande avait, entre deux défilés de La Manif pour tous, un peu de temps, son aspiration personnelle l’entraînait, casqué et botté, chez Julie Gayet. Quant à Emmanuel Macron, son passe-temps est de mobiliser les services des préfectures pour recenser et analyser tous les faits et gestes des militants et proches de GI. C’est un fait avéré en Seine-Maritime comme l’atteste le courrier du ministère de l’Intérieur au président de GI, visant à sa dissolution. Il faut le savoir, cette dissolution est prévue de longue date. L’approche de la présidentielle la rend urgente, quasiment indispensable. Il faut s’y opposer.

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Dans Présent d'aujourd'hui, un article de Francis Bergeron sur l'album d'Ignace

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Journal du chaos

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vendredi, 19 février 2021

Des Trégorois contre la dissolution de Génération identitaire

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À l'initiative de François Floc'h, ancien conseiller municipal (FN) de Lannion, un texte contre la menace de dissolution de Génération identitaire a été remis cet après-midi aux rédactions des journaux couvrant le Trégor. Il s'agissait pour François Floc'h, qui était accompagné en la circonstance par Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, de montrer que les mesures liberticides imposées par le ministre Darmanin étaient loin de faire l'unanimité en Bretagne...

Dans ce texte, François Floc'h explique le sens de son action :

En soutien de Génération Identitaire que Darmanin veut dissoudre !

François Floc'h - Lannion 

Eh oui ! C'est à l'article L 212-1 du Code de la sécurité intérieure que les services de Darmanin se réfèrent pour dissoudre Génération Identitaire. Comme si c'était cette association de jeunes militants qui mettait en péril la nation, et pas la nébuleuse islamique fortement implantée dans notre pays et responsables de multiples attentats !

L'objectif de Darmanin apparaît clairement : au-delà de Génération Identitaire, l'objectif est de criminaliser toute tentative de résistance à l'immigration-invasion !

Mais, qu'est-ce qui me donne le droit – le devoir ? – de dire Non ! à Darmanin ?

Oui, je suis un grand-père heureux d'avoir de nombreux petits-enfants dont je suis fier… Mais, j'ai honte et je suis inquiet !

Honte pour notre génération, celle des "Baby boomers" qui ont été élevés dans le coton ! Notre génération qui laissera derrière elle un pays disloqué, endormi dans le confort matériel, incapable de résister à tous les dangers qui nous  guettent.

Honte pour tous ces compatriotes et associations qui collaborent avec les profiteurs et les ennemis de notre pays qui viennent s'installer chez nous et nous coloniser.

Et je suis inquiet car nos enfants et petits-enfants devront être bien courageux pour contrer tous ces dangers. Et retrouver les voies d'un avenir de liberté, de souveraineté et de fierté.

Tous les jours, l'actualité nous apportent son lot de malheurs.

C'est pourquoi, j'exprime ici mes sentiments.

En hommage

• aux militaires morts en opérations extérieures. A leurs camarades de combat, toujours présents sur les terrains de conflits.

• aux policiers morts en service. A ceux qui veillent sur notre sécurité et qui sont si souvent lâchés par leurs hiérarchies. A commencer par le locataire provisoire de l’Élysée et ses ministres de l'Intérieur successifs. Le "premier flic de France" devient le "pire des flics" !

En mémoire des victimes des attentats islamiques qui ensanglantent nos rues, nos villages, nos églises ! Mes pensées vont aux familles de tous ces sacrifiés. Sacrifiés par l'idéologie du funeste "Vivre ensemble" et du "sans frontières" !

En honneur aux militants de Génération Identitaire. Association que le pouvoir macronien veut dissoudre ! Demain, à Paris, des manifestants se rassembleront pour soutenir ces jeunes résistants. Nous serons de cœur avec eux !

En 1973, paraissait le roman prophétique de Jean Raspail, Le Camp des Saints : l'invasion par la Méditerranée d'une flottille de ceux que l'on appellerait aujourd'hui "migrants". Déjà, l'auteur avait perçu la réalité politique qui se déroule aujourd'hui sous nos yeux : des dirigeants qui mettent en œuvre tout l'appareil de l’État – élus, armée, police, médias… – pour éliminer les opposants à cette invasion !

Quand le peuple français se réveillera de la torpeur du "politiquement correct" et de la repentance, qu'il se délivrera des chaînes qui l'étouffent et reprendra le pouvoir qui est le sien normalement, les coupables devront rendre des comptes !

Article de Synthèse nationale libre de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine.

18:01 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le n°56 de la revue Synthèse nationale vient de paraitre

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Sommes-nous condamnés à subir cette violence au quotidien ?

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Jean Chichizola

Tags injurieux, véhicules brûlés, menaces, agressions physiques... Le tout sur fond de pressions communautaires, criminelles, racistes ou de mécontentements plus quotidiens... Jeudi, avant de faire un point sur l’islam radical, Gérald Darmanin a tenu à rencontrer des élus de Seine-Saint-Denis confrontés à la montée des violences dans l’exercice de leurs fonctions.

Le 16 février, Alain Ramadier, député LR du département, a posé une question au gouvernement sur la succession d’actes perpétrés contre la municipalité LR de Bondy (pneus crevés, projectiles dans les vitres, harcèlement, cyberharcèlement, menaces, voitures brûlées, intimi- dations, injures publiques...). Le 9 février, Rachid Younsi, adjoint au maire chargé des finances, était attaqué dans l’hôtel de ville par deux individus qui l’ont étranglé et bourré de coups de poing. Il s’est vu prescrire huit jours d’ITT et a porté plainte.

Jeudi, le dialogue républicain fonctionnait pleinement avec la présence de représentants de La République en marche, des Républicains, de La France insoumise, de l’UDI, du PS et du PCF. Tous notaient une aggravation de la situation et soulignaient le fait que ces exactions visaient tous les élus quelles que soient leurs étiquettes politiques.

« Le climat à changé »

Le préfet de Seine-Saint-Denis, Georges-François Leclerc, insistait sur «la nécessité de porter plainte et de ne pas se désister » pour permettre aux enquêteurs et à la justice d’agir. Le maire de Bondy, Stephen Hervé, a remarqué que certains des agresseurs présumés auraient déjà été mis en cause dans d’autres agressions mais cette fois contre un conseiller municipal de Bobigny, élu sur la liste du nouveau maire PCF. Députée LFI, Sabine Rubin, a rappelé d’autres menaces ou agressions comme celle ayant visé le maire divers gauche de L’Ile-Saint-Denis, Mohamed Gna- baly, qui a porté plainte après avoir découvert son portail maculé de croix gammées et de l’inscription « A MORT». Ou celle du maire PCF de Noisy-le-Sec visé par des tirs de mortiers tirés visiblement par des trafiquants de drogue dérangés dans leur trafic. ancien maire des Pavillons-sous-Bois, le sénateur LR, Philippe Dallier, qui fut élu pour la première fois conseiller municipal en 1983, explique que «le climat a changé. Des bandes violentes cher- chent à mettre la main sur les élus, pour occuper des emplois, obtenir de l’argent. Cela n’existait pas dans les années 1980 ou 1990. La solution, c’est la rapidité de la riposte, l’interpellation des auteurs et des condamnations sévères ». Le ministre de l’Intérieur évoque lui aussi un « changement de climat » en soulignant que « ces attaques contre des élus, urbains comme en Seine-Saint- Denis, à Rillieux-la-Pape ou à Valence, ou en milieu rural, comme à Signes en 2019, s’accompagnent d’une hausse générale des agressions contre les personnes dépositaires de l’autorité, policiers et gendarmes, pompiers, enseignants... Il faut être intransigeant sans chercher d’excuses aux agresseurs et réaffirmer l’autorité ». Au- delà des mots, les bases de la police et de la gendarmerie nationales ont intégré les numéros de téléphone des maires de France pour que leurs appels soient traités prioritairement et les procureurs de la République ont reçu pour consignes de traiter en urgence toute plainte ou signalement portés à leur connaissance.

Source : Le Figaro 19/02/2021

09:46 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 18 février 2021

Face aux "arguments" de Darmanin, Génération Identitaire répond...

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16:24 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L'université française « gangrenée par l'islamo-gauchisme »

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Paul Vermeulen

Il n’est que temps mais peut-être malheureusement trop tard tant la jeunesse étudiante française est endoctrinée par ce que le ministre de l’Enseignement supérieur Frédérique Vidal nomme « l’islamo-gauchisme », conception politique totali- sante, par nature exclusive des autres, partie prenante de l’indigénisme et des courants dits post-coloniaux, très présents aussi dans les rangs de LFI : Frédérique Vidal a annoncé, dimanche 14 février 2021, sur CNews, qu’elle demandait au centre national de la recherche scientifique de mener « une enquête sur l’islamo-gauchisme à l’université ». L’idée est en soi louable, même si l’on peut d’emblée douter des conclu- sions à venir d’une enquête qui sera justement menée par l’un des fleurons, l’un des pôles universitaires parmi les plus gangrénés par l’islamo-gauchisme et l’indigénisme, le CNRS. Il y a belle lurette que pour être coopté au CNRS, il convient de montrer patte noire décoloniale et genrée. De même, d’avoir été très attentif à tout ce que l’on a pu dire, depuis l’école maternelle, au sujet de l’islam et des musulmans.

Ce dimanche 14 février, une phrase de la ministre de l’Enseignement supérieur a particulièrement retenu l’attention de médias eux-mêmes massivement bien- veillants, au moins, vis-vis des théories qui conduisent à vouloir déboulonner les statues, changer les noms des rues ou des écoles et réécrire l’Histoire enseignée dans l’Education nationale, sous l’angle des diffé- rentes minorités, lesquelles aimeraient conduire la barque de ce qui devrait se penser en France. La phrase ? « L’islamo-gauchisme gangrène la société dans son ensemble. L’université n’est pas imperméable. L’université fait partie de la société. » C’est dans ce cadre que les gauches radicales, le « gau- chisme » et les musulmans menant une guerre de conquête en France, puisque c’est la nature même de l’islam, se rencontrent et luttent de concert : cela s’appelle « l’intersectionnalité des luttes ». Kesako La pratique contemporaine des groupuscules révolutionnaires : des groupes, aux intérêts apparemment différents, mais ayant des luttes communes s’unissent dans le cadre de ces dernières, durant un temps donné. Des alliances de circonstance. Ici, l’islam et la gauche radicale s’unissent pour déstabiliser la société française. Or, cet islamo-gauchisme est extrêmement présent dans les facultés, ce que confirmait la ministre de l’Enseignement supérieur : « Ce qu’on observe à l’ université, c’ est que des gens peuvent utiliser leurs titres et l’aura qu’ils ont. Ils sont minoritaires et certains le font pour porter des idées radicales ou des idées militantes de l’islamo-gauchisme en regardant toujours par le prisme de leur volonté de diviser, de fracturer, de désigner l’ennemi etc. » Autrement dit, ils n’enseignent pas, ils militent en utilisant des postes payés par l’Etat. Leur but ? Diffuser des conceptions politiques confinant à la haine de la France. Ils ne sont pas si rares : Lyon 2 en est un archétype, où il n’y a plus de cours de sciences humaines mais des cours indigénistes.  

Source : Présent 18/02/2021

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L’Institut Iliade organise son VIIIe colloque annuel le 10 avril prochain à Paris.

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« AU-DELÀ DU MARCHÉ - L’économie au service des peuples »

A la faveur des bouleversements du « Siècle de 14 », les valeurs d’argent ont progressivement subverti les hiérarchies traditionnelles, fondées sur des critères éthiques et la notion de bien commun : sens de l’honneur, courage, exigence d’excellence, amour du beau, respect du sacré, fidélité aux siens et à la patrie. Tout ou presque est devenu marchandise, y compris ce qui n’a pas de prix. Il en résulte pour les peuples une aliénation et une perte d’identité qui prennent des formes multiples : conception de la « vie bonne » remplacée par la consommation frénétique, identités réduites aux marques que l’on porte et aux caprices individuels, disparition des anciens métiers au profit de « bullshit jobs » sans signification, destruction ou effacement de tout ce qui n’a pas d’utilité marchande immédiatement quantifiable : patrimoine, paysages, structures familiales, cultures et nations.

L’objectif de ce colloque est d’appeler à prendre le contre-pied de cette évolution délétère, afin de remettre l’économie au service des peuples. Il ne s’agit nullement de céder à la tentation du rejet des réalités économiques : une telle attitude serait profondément « impolitique », c’est-à-dire incompatible avec la vie de la Cité. Une économie prospère est l’une des conditions de la grandeur d’une civilisation et de la puissance d’un peuple, souverain sur sa terre. Mais pour être source de grandeur, l’économie doit être mise au service de valeurs plus hautes ; elle doit être ancrée dans un projet de civilisation, devenir porteuse de sens pour la communauté et chacun de ses membres. Ce sont ces voies alternatives que nous avons pour vocation d’explorer, pour qu’elles contribuent au réveil des peuples européens.

Avec les interventions de  Ferenc Almássy, Alain de Benoist, Charles Beigbeder, François Bousquet, Nicolas Buriez, Jean-Baptiste Fantun, Jean-Yves le Gallou, Pascal Gauchon, Jean Hubert, Hervé Juvin, Elisabeth Lefebvre, Marion Maréchal, Véronique Monvoisin, Gérald Olivier, Héléna Perroud, Olivier Rey, Philippe Schleiter, François de Voyer...

Ouverture des portes : 9 h 30
Fin des interventions : 18 h 30
Fermeture des portes : 19 h 00

Contact, demandes d’interviews et renseignements complémentaires : contact@institut-iliade.com

11:26 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 17 février 2021

LA MANIF DE SAMEDI CONTRE LA MENACE DE DISSOLUTION DE GÉNÉRATION IDENTITAIRE : 14 H, PLACE DENFERT-ROCHEREAU

23:22 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le sauvetage des Juifs de France

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Voici un sujet qui ne manque jamais de susciter une quelconque polémique. D’autant qu’un idiot utile comme Jacques Chirac, allant à l’encontre de la doxa gaulliste, avait dénoncé la responsabilité de Vichy dans la rafle du Vel d’Hiv en 1942, légitimant ainsi que l’Etat français ce n’était pas De Gaulle à Londres mais bien le maréchal Pétain à Vichy. Ça avait secoué sec dans les rangs gaullistes. André Posokhow, dans Présent (16/02), fait le point sur cette question en se référant aux meilleures sources et dénonçant ainsi quelques légendes.

A lire ICI

09:56 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

CONTRE LA DISSOLUTION : VENEZ SOUTENIR GÉNÉRATION IDENTITAIRE CE SAMEDI À PARIS

 

Un communiqué de Génération identitaire :

Génération Identitaire organise une grande manifestation ce samedi (20 février) à Paris à 14 h 00 pour protester contre la procédure de dissolution engagée à son encontre par le ministre de l’Intérieur. 

Venez dire que vous refusez que l’on criminaliste le refus de l’invasion migratoire.

Venez dire que vous refusez que l’on bâillonne des lanceurs d’alerte.

Venez dire que notre civilisation et notre pays méritent qu’on les défende.

Cette très grave décision doit concerner tous ceux qui refusent de se soumettre à l’idéologie dominante. Ils sont les prochains sur la liste. 

Rejoignez-nous massivement ce samedi à 14 h 00 à Paris pour dire NON à Darmanin et au gouvernement.

09:50 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |