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dimanche, 19 décembre 2021

Sortir enfin de la France des guignols !

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Le billet de Patrick Parment

Voici des décennies maintenant que les Français ont largement compris que les programmes électoraux des différents candidats – à droite comme à gauche – sont un ramassis de promesses jamais tenues. D’ailleurs, on se demande bien qui s’impose de les lire, tant ils sont aussi indigestes les uns que les autres ? En fait, hormis les élections municipales qui sont un vrai enjeu pour les électeurs, qu’il s’agisse des départementales, des régionales et plus encore de la présidentielle, toutes se jouent à la gueule du client. Et souvent sur un slogan, comme ce fut le cas avec Chirac et sa fameuse « fracture sociale », soufflée par Philippe Séguin, et bien évidemment jamais réduite.

En 2007, la partie se joua au final entre Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal, la représentante du parti socialiste. Au premier tour, à droite, la question fut vite réglée entre Sarkozy, Bayrou, de Villiers et Jean-Marie Le Pen. La gauche, une fois de plus, vécut un premier tour avec la présence de toute l’extrême-gauche – Besancenot, Buffet, Laguiller – à la manœuvre, ce qui facilita la présence de Ségolène Royal au second tour face à Sarko. Inutile de dire que cela se joua à la « gueule » du client. Et le programme dans tout cela ? Aucun intérêt. Sarko avait pour thème la défense de la classe moyenne et la résorption de l’immigration. Les Français crurent voter pour un homme d’action, ils découvrirent bien vite qu’il n’était qu’une couille-molle. Sarko paya la note de ce désamour qui se concrétisa par l’élection de François Hollande, autre couille-molle en modèle XXL.

Ce que l’on retient de ces va et vient droite-gauche, c’est que les Français sont bel et bien à la recherche d’un homme qui tienne compte, enfin, de leurs attentes. On notera également, lors de toutes les élections de ces dernières décennies, la montée en puissance des abstentionnistes et l’opposition également grandissante entre une France des villes et une France des champs, comme ne manqueront pas de le souligner des auteurs comme le géographe Christophe Guilluy (La France périphérique) ou le sondeur Jérôme Fourquet (L’archipel français).

Autre enseignement de ces dernières décennies, la France est majoritairement conservatrice. On le constate aujourd’hui avec l’effondrement de la gauche dont aucune de ses composantes n’atteint 10% dans les sondages. Le seul bastion qui reste à la gauche, c’est celui des médias qui distillent leur poison « droits de l’hommesque », soi-disant anti racistes, partisans d’une France qui serait multiculturelle et qui n’est en fait qu’une soumission à l’islamo-gauchisme d’un Mélenchon ou de tout ce ramassis d’idiots médiatiques incultes qui se répandent dans les médias. Eric Zemmour nous en a donné un bel aperçu en ayant face à lui une belle brochette de « haineux » venus non pour dialoguer mais pour en découdre, à l’image de cet imbécile d’Aymeric Caron, illuminé vegan, d’Alexis Corbière, béquille chancelante d’une France insoumise quasi inexistante ou la bouglionesque ministre franco-Cap verdienne à l’Egalité, Elisabeth Moreno qui n’a d’autre utilité que de figurer sur la photo à côté de Macron. Or, tous ces gens ne représentent rien aux yeux des Français.

Après avoir tout essayé d’un panel de prétendants tout aussi inopérants les uns que les autres, incapables d’affronter, voire de résoudre, le problème de l’immigration, source d’une insécurité grandissante, au même titre que d’éradiquer un islamisme de plus en plus présent au sein de société française, les Français se retrouvent de nouveau devant un choix qui, cette fois a l’avantage de la clarté et dont Eric Zemmour a fixé les contours : la lutte contre l’immigration et le retour à une identité française prioritaire dans tous les domaines. Face à lui, un Macron fatigué, ignorant tout des Français, et une Valérie Pécresse qui n’échappe pas à ce libéralisme bruxellois bon teint à la botte des Etats-Unis et des lobbies divers et variés. Et on a tout lieu, en effet, de s’inquiéter quand on entend Christian Jacob, patron du bouclar Républicains, clamer qu’un accord avec Zemmour est hors de propos. On sent bien là ressurgir le chiraquien inculte et franc-mac qui n’a d’autre conception de la France que parlementaire via le chèque qu’il empoche chaque mois aux frais du sang gaulois. On espère que cette fois, les Français vont enfin renverser la table !  

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samedi, 18 décembre 2021

Journal du chaos

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La fameuse émission de Cyril Hanouna avec Eric Zemmour

C'était jeudi dernier sur C8.

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09:15 Publié dans Présidentielle 2017, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 17 décembre 2021

"La France insoumise" montre son vrai visage : celui de la haine et de la soumission à l'idéologie dominante

Hier soir, à la suite de l'émission de Cyril Hanouna où était invité Eric Zemmour, une violente agression provoquée par deux histrions se réclamant du groupe stalino-mélenchoniste intitulé "La France insoumise" (une dénommée Raquel Cariddo et le mono-maniaque de l'antifascisme de salon Alexis Corbière), a visé le jeune et talentueux Stanislas Rigault, responsable des jeunes du mouvement Reconquête.

Ces méthodes d'intimidation dignes du système le plus criminel de tous les temps, à savoir le système soviétique, montre à la France entière le vrai visage de la cour de Mélenchon : celui de la haine de la France, de la soumission au prêt-à-penser mondialiste et de la violence anti-française.

Eric Zemmour, quant à lui, a montré une fois de plus lors de cette émission, avec brio et sincérité, qu'il devient jour après jour le seul candidat crédible de la droite de conviction capable de s'opposer victorieusement à Macron au printemps prochain.

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12:31 Publié dans Communiqués de presse, Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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12:26 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 16 décembre 2021

Jovanovic : « Netflix ment sur l’affaire Epstein » - Tueurs en Séries

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17:22 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Éric Verhaeghe : "Nous devons mener un combat politique de nature révolutionnaire"

Éric Verhaeghe, haut fonctionnaire et ancien énarque, pense que depuis le 12 juillet et l’annonce scélérate du président Emmanuel Macron, le peuple français s’est fait avoir et qu’il est désormais l’heure de mener un combat politique de nature révolutionnaire. Sans les armes ni le sang. En tant que haut fonctionnaire, il rappelle l’importance des fonctionnaires dans une dictature en marche qui s’annonce. Ces petits soldats zélés du système doivent être dénoncés lorsqu’ils participent de la grande saloperie ambiante, et ce nominativement. Qu’ils ne s’imaginent plus pouvoir être un rouage de la machinerie dystopique en toute impunité !

"Je pense qu’il y a une grande escroquerie de la part d’une mafia internationale qui est celle des laboratoires pharmaceutiques qui est en train d’exercer une tyrannie pour que les pouvoirs publics de chaque État se soumette à son bon vouloir et au bon vouloir des profits mondialisés. Et je pense que c’est une erreur de croire que la mafia internationale peut bafouer le respect de la dignité des peuples. Aujourd’hui, ce à quoi nous assistons, c’est à une caste mondialisée qui obéit à la mafia internationale des profits, qui bafoue le respect de la dignité des peuples. Et il faut qu’ils comprennent que là ils sont arrivés au bout de ce qu’ils pouvaient faire impunément."

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16:40 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 15 décembre 2021

UNE NOUVELLE ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR TV LIBERTÉS AVEC IGNACE ET PATRICK GOFMAN

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POUR REGARDER L'ÉMISSION CLIQUER ICI

Roland Hélie et Philippe Randa reçoivent, en première partie de l’émission « Synthèse », le dessinateur Ignace pour son 4e recueil annuel de dessins : "Pass sanitaire forever !" dans lequel il se déchaîne contre le harcèlement sanitaire.

En seconde partie, l’écrivain Patrick Gofman présente son livre "Vengeances de femmes". L’auteur, qui affecte de passer pour un misogyne éclairé, ne déteste pas en rajouter en allant puiser, dans l’Histoire, les faits divers, la mythologie, la littérature, ses propres aventures, des historiettes (comme on disait au Grand Siècle) où la femme n’a pas été – et n’est toujours pas… – la meilleure amie de l’homme.

RAPPEL :

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LES ALBUMS D'IGNACE CLIQUEZ ICI

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18:02 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Non-sens politico-sémantique

Almanach-Vermot-2021.jpgLa chronique flibustière

de Georges Feltin-Tracol

De nombreux et remarquables « Panoramas–Actu » sur la présente radio critiquent régulièrement les politiciens sans imagination, en particulier ceux qui profitent de la France pour toujours mieux la ruiner.

On a maintenant la confirmation qu’ils conçoivent les affaires publiques comme leur réserve privilégiée avec des noms de partis politiques inexpressifs. Depuis la fin du XIXe siècle, les partis présentaient leurs intentions programmatiques : L’Appel au Peuple bonapartiste, la Section française de l’Internationale ouvrière socialiste, le Parti républicain radical et radical-socialiste, le Parti paysan, etc.

L’ambiguïté commençait déjà à poindre avec des partis de droite qui refusaient de s’assumer en tant que tels comme l’Action libérale populaire de Jacques Piou et du comte Albert de Mun qui rassemblait les catholiques ralliés à la République, ou l’Union républicaine de France – Fédération républicaine de France (1924-1940) qui regroupait les députés de droite modérée. Il faut aussi noter que certains noms ne correspondent plus à leur évolution postérieure. Ainsi, se positionnant au centre, le Parti radical et ses succédanés ne défendent-ils plus aucune radicalité.

Le 9 octobre 2021, l’ancien Premier ministre Édouard Philippe a lancé un nouveau parti appelé Horizons, ce qui ne veut rien dire. « Horizons 2027 » aurait été plus parlant dans la perspective de la présidentielle suivante. Gageons que cette nouvelle formation politicarde dont le secrétaire général n’est autre que Christophe Béchu, le maire d’Angers, l’un des principaux détracteurs de L’Alvarium, n’a pas dû faire face à de nombreuses obstructions administratives et bancaires au contraire d’autres formations militantes.

Au lancement du parti philippiste participait La France audacieuse de Christian Estrosi, le maire « motodidacte » de Nice. Ce dernier ne pouvait pas nommer son association « La France frileuse » ou « L’Hexagone timoré ». Cette désignation fait surtout penser au slogan de François Bayrou à la présidentielle de 2002 : « La France humaine ». Il est vrai qu’il lui aurait été difficile de parcourir le pays à bord de son bus avec « La France bestiale » ou « La France automatique » inscrit dessus…

Le parti présidentiel incarne l’absence de tout signifiant. D’abord appelé En marche, il est devenu dès l’élection de son concepteur La République en marche. Faut-il comprendre que la République arrive à reculer ? LREM signifie surtout « La Répression en marche » avec une profusion inouïe de mesures liberticides établissant une tyrannie 2.0. Dans le marécage macronien où grenouillent de sémillants groupuscules (Territoires de progrès, Agir, En commun) vient chapeauter une sorte de « maison commune » appelée « Ensemble citoyens ! ». Et pourquoi pas « Ensemble clampins ! », « Ensemble moutons ! » ou « Ensemble béotiens ! » ?

La vacuité sémantique des partis politiques n’appartient pas aux seuls macroniens. D’autres partis prennent des noms grotesque. Cette mode se comprend avec la généralisation de l’« analphabétisme civique » d’une opinion sevrée d’informations et de propagande. Certes, il perdure encore le Parti communiste français, le Rassemblement national, Lutte ouvrière et même Europe–Écologie–Les Verts. Avant 2015, Les Républicains se nommèrent successivement « Union pour la majorité présidentielle » assez compréhensible avant de devenir une fumeuse Union pour un mouvement populaire (UMP).

Cette appellation avait été adoptée après de longues tractations. Certains avaient proposé « La Maison Bleue ». Aux législatives anticipées de 1988, l’alliance RPR –UDF attribuait à ses candidats l’étiquette URC, soit « Union pour le rassemblement et le centre ». Jean-Marie Le Pen s’en gaussa en parlant de l’« Union pour la redondance comique ».

Au cœur de l’UMP longtemps sarközyste, plusieurs tendances prenaient divers noms susceptibles de ravir les militants comme « La Droite libre ». En novembre 2012, les adhérents purent choisir entre la « Droite forte », la « Droite sociale », la « Droite populaire » et « Le gaullisme, une voie d’avenir pour la France ». La plus caricaturale se désignait « France moderne et humaniste ». Animée par Laurent Wauquiez, la « Droite sociale » s’adossait à un micro-parti de son fondateur, « Nouvel Oxygène ». Au moment de la guerre interne pour la présidence de l’UMP en 2012 entre François Fillon et Jean- François Copé, il exista de novembre 2012 à janvier 2013 un groupe dissident éphémère de députés fillonistes appelé « Rassemblement – UMP », une autre redondance loufoque.

Raphaël Glucksman a pour sa part créé en novembre 2018 Place publique. Combien d’électeurs comprennent-ils qu’il s’agit d’une allusion à l’agora athénienne et au forum romain ? En juillet 2017, Benoît Hamon lança Génération.s, point médian et écriture inclusive en plus. Vu les résultats électoraux, « Riquiqui » ou « Étriqué » serait plus approprié… Le débat public serait-il enfin plus riche avec « Lévrette politique », « Pissotière républicaine » ou « Mycose démocratique » ?

N’oublions pas que certains acronymes prêtent à sourire. En mars 2010, l’humoriste et saltimbanque chiraquien Patrick Sébastien mit brièvement un pied en politique avec le DARD ou « Droit au respect et à la dignité ». Il abandonna toute velléité politique trois mois plus tard, vexé et meurtri d’être qualifié par le système médiatique d’« apprenti populiste »… Des slogans électoraux sont parfois dignes de l’excellent Almanach Vermot. Aux municipales de 2020 dans la commune de Bezons dans le Val-d’Oise, la liste macroniste s’intitula « Bezons, de toutes nos forces ». Quant aux listes vertes, elles s’approprièrent le climat en s’intitulant, par exemple, « Pétahouchnock pour le climat » comme si le temps géologique se confondait ici avec une fébrilité électoraliste momentanée.

Instruit de tous ces précédents, l’instant est historique, Amis ! Votre serviteur fonde dès à présent son propre parti : le Mouvement bien profond. Nul doute qu’il remportera les prochaines échéances électorales avec plus de 500 % des suffrages avant même le premier tour surtout si on valorise son slogan principal : « Au fondement de la République, le Mouvement bien profond ! »

Salutations flibustières !


• « Vigie d’un monde en ébullition », n°13, mis en ligne sur Radio Méridien Zéro, le 7 décembre 2021.

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Emmanuel Macron, cinq ans de brouilles avec l’Histoire de France

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L’Histoire est une passion française qui a toujours suscité des querelles. Mais en ouvrant la boîte de Pandore de nos divisions nationales, Emmanuel Macron a commis une erreur, estime l’académicien Jean-Marie Rouart dans une pertinente chronique parue dans Le Figaro (13/12/2021)

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La candidate chiraquienne

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Richard Dessens EuroLibertés cliquez ici

Un ton devenu doucereux à la limite de la patenôtre, un thème de campagne évanescent, des propositions techniques sans vision d’avenir, un embourgeoisement tranquille de bon aloi, une nouvelle bonhomie de vieux routard de la politique qui évoque un Alain Poher ou un Gérard Larcher, avec un fond lointain d’une rengaine sécuritaire et anti immigrationiste, conservé en arrière-plan pour montrer qu’on est toujours un taureau… aux cornes de caoutchouc : tel est le portrait sans retouche de Marine Le Pen, prête à toutes les compromissions politiques pour obtenir un pouvoir dont son père n’avait jamais vraiment voulu, lui.

On dirait du mauvais Chirac des années quatre-vingt-dix, y compris son rejet haineux de Jean-Marie Le Pen à l’époque. Marine Le Pen est également en train de distiller progressivement le même rejet à l’égard d’Éric Zemmour aujourd’hui.

Marine Le Pen passe donc à la vitesse supérieure, comme le 1er décembre, invitée d’une Ruth Elkrief très compréhensive avec une réelle complicité. Complicité dans les objectifs – tuer politiquement Éric Zemmour – et surtout bien montrer que la grande presse officielle a accrédité Madame Le Pen dans le sacro-saint cénacle d’un système bien-pensant que Jean-Marie Le Pen avait tant décrié en son temps.

D’ailleurs, et c’est ce qui est le plus significatif dans la pensée – si on peut parler de pensée – de Madame Le Pen, c’est son adoption du vocabulaire des opposants d’Éric Zemmour pour l’attaquer, alors qu’elle affirme, encore pour l’instant, qu’il n’est qu’un « concurrent » et non un adversaire. C’est vrai qu’il lui faut ménager l’électorat d’Éric Zemmour pour espérer le capter plus tard.

On croyait rêver en entendant Marine Le Pen, condescendante, commisérative et « paternaliste » – la pauvre ! – donner des leçons à Éric Zemmour, tout en reprenant exactement les mêmes arguments et surtout les invectives, même mouchetées, de la plus parfaite mauvaise foi que ceux utilisés par Xavier Bertrand ou Jean-Luc Mélenchon, en passant par tout le gouvernement Macron et bien sûr l’ineffable Anne Hidalgo… le terme de « guignol » étant seulement suggéré en creux.

Lorsqu’on se rallie au vocabulaire de ses adversaires pour tenter d’éliminer un simple « concurrent », c’est qu’on a déjà rallié aussi l’essentiel de leurs idées, si tant est que Marine Le Pen ne soit pas au fond ce qu’elle a toujours été : une femme de la gauche bobo marquée par un héritage de droite confortable. En outre, elle justifie sereinement ses propos, avec un sourire entendu, en expliquant que la politique est un univers où mauvaise foi et mensonges constituent le lot quotidien. Dont acte, Madame Le Pen, pour revaloriser la chose politique.

Elle va encore plus loin en prenant le parti du journaliste de TF1, Gilles Bouleau, lors de son interview militante d’Éric Zemmour. Elle en profite même pour affirmer que le rôle des journalistes est essentiel et bienfaisant pour la démocratie, tout en disant, goguenarde, qu’ils sont parfois injustes… avec un grand sourire complice à une Ruth Elkrief radieuse.

Interview très réussie pour Madame Le Pen qui a parfaitement intégré les codes du système politico-médiatique pouvant lui permettre d’accéder au pouvoir. Pour faire du Chirac, ou au mieux du Sarkozy. Un Sarkozy d’ailleurs qui ne s’interdit pas d’ailleurs éventuellement d’appeler à voter pour Emmanuel Macron le cas échéant… La boucle serait ainsi bouclée.

On peut se mettre à la place des électeurs de toujours du Front ou du Rassemblement National qui retrouvent dans Zemmour un idéal abandonné et se demander s’ils pourront revoter un jour pour Madame Le Pen qui ferait plus une excellente adjointe de Valérie Pécresse, faute d’être même Chirac.

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mardi, 14 décembre 2021

Au nom de l’écologie, on impose la laideur

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Nicolas Chaudin *

Panneaux photovoltaïques, éoliennes, écoquartiers ont en commun d’être hideux. sous prétexte d’écologie, on détruit ce qui fait la beauté de nos paysages et de nos villes, et ceci avec la plus parfaite bonne conscience, s’inquiète l’écrivain. À quand une écologie qui se souciera de préserver la beauté de ce que nous avons reçu en legs ?

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(*) Nicolas Chaudin est écrivain, réalisateur et éditeur d’art français. Dernier titre paru, La Nuit des aventuriers (Plon, 2021)

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lundi, 13 décembre 2021

Générosité mal ordonnée

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Laurence de Charette

Sans doute Candide exprimerai-il sa surprise : quelle drôe de contrée ouvre à tout vent ses hôpitaux quand elle craint perpétuellement de manquer de lits et de bras pour soigner ses malades ?

L’an dernier, comme chaque année, plusieurs dizaines de milliers d’étrangers venus des quatre coins du monde ont frappé à la porte du système de santé français, poussés par une bonne raison: il est l’un des plus généreux au monde. Le dernier rapport sur la procédure d’admission au séjour pour soins - un dispositif distinct de l’AME (aide médicale de l’État pour les clandestins) et unique en son genre puisqu’il suffit à un ressortissant étranger d’invoquer l’impossibilité d’être soigné dans son pays pour demander à être pris en charge gratuitement en France - souligne crûment la tension croissante entre l’immense besoin de santé des populations à travers le monde et l’affaiblissement des capacités hexagonales.

Il met en lumière deux dérives dont est victime la générosité française : le dévoiement des motifs de santé dans les dossiers d’immigration et le développement d’une forme de « tourisme médical » - pour effectuer une PMA par exemple.

Evidemment, ces chiffres font partie de ces réalités dont le simple énoncé suscite toutes sortes de remontrances voire d’anathèmes ; comme si l’opprobe jeté sur le messager avait le pouvoir de changer les faits invoqués. Ils provoqueront à n’en pas douter de nouveaux sermons sur le thème de l’« humanisme ». Mais les bonnes consciences évoqueront-elles les manques chroniques e l’hôpital ? Parleront-elles de la pression qu’exerce, aussi, sur les dépenses de santé dans un pays où la dette n’en finit pas de croître et de ces déserts médicaux qui s’étendent à travers le territoire ? La pandémie a, en même temps, révélé la fragilité de notre système de soins et le fait que la santé est devenue la valeur suprême de nos sociétés modernes. Dans un tel contexte, ce rap- port rappelle - si besoin était - que la question de l’immigration doit être traitée sans faux- semblant, avant que la brutalité ne s’empare du débat et ne le prive de toute intelligence. Car, pourrait aussi dire Candide, c’est « rage de soutenir que tout est bien quand on est mal »...

Pour accéder au rapport ICI

Source : Le Figaro 13/12/2021

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dimanche, 12 décembre 2021

JAMAIS DEUX SANS TROIS : LA NOUVELLE-CALEDONIE DIT ENCORE NON À L’INDÉPENDANCE !

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Le troisième scrutin d’autodétermination prévu par les accords de Matignon signés en 1988 entre le loyaliste Lafleur (RPCR), et l’indépendantiste Tjibaou (FLNKS), - sous l’égide de Michel Rocard, alors Premier ministre de François Mitterrand -, a eu lieu ce dimanche 12 décembre. Comme les deux précédents référendums, c’est le « non » à l’indépendance qui est sorti du chapeau.

Mais cette fois-ci, la consultation avait une teneur particulière, les séparatistes du FLNKS ayant appelé au boycott des bureaux de vote. Prétexte trouvé ? La situation sanitaire. En fait, les héritiers politiques de Tjibaou n’étaient pas certains, cette fois encore, « d’emporter le morceau ». Ils préfèrent sans doute attendre l’inéluctable loi de la démographie : le jour où les Canaques seront plus nombreux que les Caldoches ! Mais ce calcul est-il judicieux ? Il n’y pas que les « blancs » qui sont opposés à la séparation d’avec la France. Les Wallisiens et autres immigrés du vaste Pacifique, y sont aussi, généralement, hostiles.

Une île politiquement éclatée

La Nouvelle-Calédonie jouit actuellement d’un statut intermédiaire entre celui d’une collectivité classique d’outre-mer, - le département/région, semblable à quelques nuances près, au statut métropolitain -, et celui de la Polynésie française, qui est un « pays », avec son président.

Il y a une coalition séparatistes, le FLNKS qui regroupe sous son aile plusieurs mouvements, - l’Union calédonienne, le Parti de la libération Kanak (Palika), le Parti socialiste kanak (Psk), l’Union du peuple mélanésien (Mlm) et le Rassemblement démocratique (Rdo) -, et une opposition, elle aussi composite, comprenant les rescapés du RPCR de Jacques Lafleur, des membres, - majoritaires -, de la communauté européenne, des Wallisiens et, aussi, une bonne minorité de Canaques qui ont compris que leur avenir dans le pacifique s’écrirait avec la France.

Le président de la République a acté les résultats, se félicitant « de ce cheminement inédit et pacificateur » et des « liens charnels et humains » qui lient ces îles du bout du monde à la métropole. Tiendra-t-il parole, et initiera-t-il de futures négociations entre toutes les parties pendant ce qui lui reste de mandat avant la « grande élection d’avril/mai » 2021 ? On le sait adepte du fameux « en même temps » : peut-on lui faire confiance ?

Déjà, les indépendantistes ont demandé un nouveau référendum en 2022. Espèrent-ils, comme en Irlande pour un tout autre sujet, avoir in fine satisfaction ? Il est vrai que les résultats, tout à fait justes et légaux, ne reflètent pas la réalité des opinions. Avec 96 % de « oui » obtenus avec seulement un électeur sur deux s’étant déplacé, on peut légitimement douter de l’état d’esprit réel de l’opinion canaque. (Combien sont-ils restés chez eux, de peur de braver l’interdit ?) Mais la loi est la loi, et les accords sont les accords. Il était prévu qu’au terme du troisième référendum, les accords de Matignon cessaient de s’appliquer et que le processus devait changer de braquet. Ou bien des négociations s’ouvriraient pour aller jusqu’à l’indépendance en cas de victoire du « oui », ou bien d’autres discussions devraient mener à un statut définitif d’autonomie dans le cadre de la République française.

Nous en sommes là. Les gens du FLNKS auront-ils recours à la violence pour venir à leurs fins ? C’est toute la question qui se pose, avec en toile de fond les manœuvres australiennes et surtout chinoises, puissances qui lorgnent d’un regard envieux  les ressources en nickel de la Grande terre, un quart des réserves mondiales de cette ressource bien nécessaire pour fabriquer des batteries électriques.

La France, veut-elle conserver son rang de  grande puissance… « moyenne » ?

Comme pour notre arsenal nucléaire, comme pour notre siège au Conseil de sécurité de l’ONU, la question est posée. Les Français veulent-ils que leur pays garde son rang et ne disparaisse pas dans le maelstrom européiste et atlantiste, ou sont-ils à ce point las de peser sur l’histoire du monde et de renoncer à ce que leur pays continue d’être, malgré eux, l’un des phares de l’humanité ? Les restes de notre empire colonial, - toutes ces « miettes » éparpillées dans notre outre-mer, les Antilles, la Réunion, les îles Eparses, l’Antarctique, le Pacifique -, nous assurent la possession du deuxième domaine maritime mondial, avec toutes les richesses supposées qui gisent dans les fonds marins.

Alors, devrions-nous renoncer à la Nouvelle-Calédonie parce que 3 % d’indépendantistes ont fait le déplacement en faveur du « non », et que plus de 40 % sont restés chez eux ? Certes, l’avenir n’est écrit nulle part, mais il peut s’écrire en Nouvelle-Calédonie/Kanakie, - c’est comme cela qu’il faut dire désormais -, en lettres tricolores.

18:27 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La Nouvelle Calédonie veut massivement rester française !

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Avec le résultat de la Nouvelle Calédonie qui veut rester française, pensons aujourd'hui à notre camarade Jean-Pierre Stirbois décédé pendant la campagne du référendum de novembre 1988...

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Donald Trump contre les « talibans d’internet »

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de Philippe Randa

Décidément, les États-Unis en général et les réseaux sociaux en particulier n’en ont pas fini avec Donald Trump !

Selon le site RT France, un groupe d’investisseurs institutionnels s’est engagé à lui apporter 1 milliard qui s’ajouterait « aux 293 millions de dollars déjà récupérés par  la “spac” Digital World Acquisition Corp lors de son arrivée à Wall Street en septembre ( …) En retirant les frais de transaction, Trump Media & Technology Group devrait ainsi récupérer 1,25 milliard de dollars pour financer le lancement du réseau social de l’ancien locataire de la Maison Blanche. »

De quoi assurer une naissance en fanfare !

« Truth Social » devrait être hébergé par RightForge, une société d’infrastructure internet qui souhaite « que le marché des idées reste ouvert ». Dixit sont directeur : « Si vous croyez que le Président devrait être interdit de plateforme, nous pensons que vous n’avez pas réellement envie de vivre dans un pays libre » ; aussi RightForge permettra-t-il que « l’Amérique reste fidèle à ses idées fondamentales. »

En octobre dernier, Donald Trump n’avait pas mâché ses mots : « Nous vivons dans un monde où les talibans ont une énorme présence sur Twitter alors que votre président américain préféré a été réduit au silence. C’est inacceptable. »

Éjecté l’année dernière comme le premier malpropre venu de Facebook, YouTube, Intagram ou encore de Twitter, alors qu’il dirigeait toujours la plus grande puissance mondiale et comptait quelques 35 millions d’abonnées sur Facebook et 24 millions sur Instagram, ces derniers vont-ils connaître le sort de « l’arroseur arrosé » avec le projet de future plateforme « Truth social » ?

L’avenir le dira, certes… Mais l’histoire regorge de précédents où des géants se croyant invincibles finissaient par mordre la poussière, selon l’adage que Jupiter rend fou ceux qu’ils veut perdre…

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Eric Zemmour s'adresse à la Nouvelle Calédonie

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samedi, 11 décembre 2021

Philippe de Villiers apporte son soutien à la candidature d'Eric Zemmour

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Ce matin, Philippe de Villiers a rejoint Eric Zemmour à Roissy. Il lui apporte son soutien et l'accompagne en Arménie pour un voyage de quatre jours.

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15:39 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Monsieur Z, le nouveau clip de Romain Guérin

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Voir, ou revoir, l'entretien entre Romain Guérin et Epona dans le cadre des entretiens du PdF cliquez ici

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Le discours d'un roi

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Selon Franck Ferrand, dans Valeurs actuelles (9/12), faisant allusion à Eric Zemmour, constate que les grandes allocutions deviennent si rares qu’il serait dommage de les manquer – n'en déplaise à tous ceux que le talent dérange. Franck Ferrand fait ici référence au grand et magnifique discours d’Eric Zemmour à Villepinte devant près de 15 000 personnes.

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Journal du chaos

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vendredi, 10 décembre 2021

Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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Conditions pour un retour de la vraie droite

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Excellent éditorial d’Ivan Rioufol du Figaro qui n’a jamais caché ses convictions profondes et encore moins mâché ses mots. A lire, cet édito au vitriol qui place dans leur vraie perspective les enjeux actuels d’une droite dont on n’est pas vraiment sûr qu’elle soit incarnée par Valérie Pécresse.

Lire la suite ICI

14:17 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Référendum en Nouvelle Calédonie : un entretien avec Jean-Claude Martinez sur Boulevard Voltaire

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Dimanche 12 décembre, le sort de la Nouvelle-Calédonie sera scellé : aboutissement d’un long processus dicté par les accords de Nouméa et, pour la troisième fois, les Calédoniens se prononceront par référendum pour ou contre leur indépendance. Jean-Claude Martinez, président fondateur de l’Union pour la Nouvelle-Calédonie, est professeur de droit public et sciences politiques à l’université Paris II Panthéon-Assas. Il publie Nouvelle Calédonie. Quoi qu’il en coûte, la France doit rester ! aux Éditions Godefroy de Bouillon et répond aux questions de Boulevard Voltaire

31dieexopkl-sx306-bo1204203200-298x482.jpgProfesseur Jean-Claude Martinez, pourquoi s’intéresser à ce territoire d’outre-mer si éloigné de la France ?

À l’époque de Joséphine Baker, et encore durant le premier septennat du général de Gaulle, dans les 180.000 classes françaises, il y avait au mur de grandes cartes de géographie de Paul Vidal de La Blache. Tous les enfants de 10 ans savaient où étaient Brazzaville, Pondichéry, Dakar, Saïgon, Phnom Penh, la terre Adélie ou Nouméa. L’éloignement de la Nouvelle-Calédonie, qui n’est d’ailleurs qu’à deux heures de Sydney, est une vision relative. Pour Louis XVI qui, depuis sa mappemonde, trace lui-même l’itinéraire de l’expédition de La Pérouse dans le Pacifique, il n’y a pas d’éloignement car il a la grande vision. Mais c’est sûr qu’aujourd’hui, avec le vieillissement de la population et l’augmentation du diabète, les problèmes de vision se sont aggravés. Même les candidats à l’élection présidentielle souffrent d’un rétrécissement de leur champ visuel. Tous ont perdu la vision périphérique. C’est révélateur que pas un seul candidat ne soit allé à Nouméa faire campagne pour le référendum du 12 décembre…

Alors que l’île de la Barbade vient de s’extraire de la Couronne d’Angleterre et qu’en France, la Guadeloupe et la Martinique s’embrasent, Emmanuel Macron entérine l’ouverture d’un débat sur l’autonomie de la Guadeloupe. Est-ce le sens inéluctable de l’Histoire ?

Mais non, le paradigme de l’autodétermination, c’est une vieillerie des sixties. C’est l’idée de la génération Sheila–Bouteflika, au temps des pantalons à patte d’éléphant, du festival de Woodstock et des concerts indépendantistes. Mais demandez au Sénégal s’il envisage l’indépendance de la Casamance ; à l’Angola s’ils vont se séparer de Cabinda ; au Maroc s’ils vont jouer à faire des référendums sur Dakhla ou à l’Éthiopie si elle va lâcher le Tigré. Même l’Algérie ne pense pas une minute à l’autonomie de la Kabylie.  Il n’y a qu’en France où, dès que le vent souffle quelque part, on va vite à la décentralisation. Et en plus, si le vent a la couleur d’un outrenoir Soulages, alors hop ! les dirigeants ont le hoquet et répètent en perroquet : « autodétermination ». C’est une pathologie nationale. Le syndrome du ringard postmoderne de Libé à l’Élysée. Tout le monde doit être autonome et même indépendant : les juges, les Kanaks, les enfants, « les territoires », les médias, les universités, la Guadeloupe – sauf, bien sûr, les non-vaccinés, Vincent Lambert et les « vieux » en EHPAD.

Dans votre ouvrage, vous dénoncez les conditions juridiques dans lesquelles le destin de la Nouvelle-Calédonie se joue depuis des années. Vous évoquez un « droit brutalisé » : pourquoi ?

Les accords de Nouméa de 1998, sous la présidence de Jacques Chirac et le gouvernement de Lionel Jospin, ont créé la préférence ethnique à l’emploi. Y compris dans les concours de la fonction publique. Le droit de vote n’est plus universel, avec quatre listes électorales : une conforme à l’égalité républicaine pour les élections présidentielles et législatives ; une autre, réduite, pour les référendums ; une troisième super réduite pour les élections provinciales réservées aux présents depuis vingt ans et même une quatrième, avec le droit du sang. Bien entendu, ces invraisemblables dispositions auraient dû être annulées par le Conseil constitutionnel.

C’est même encore plus « insensé », puisque l’accord de Nouméa consacre dans son préambule « l’esprit des rivières, de leurs embouchures », d’un ancêtre commun et du lien particulier des Kanaks à la terre. C’est cela, le « droit brutalisé » avec, en plus, six référendums depuis 1987 qui relèvent d’un « abus de droit constitutionnel ».

Si le oui à l’indépendance l’emporte, le 12 décembre, la vie des Calédoniens en sera-t-elle changée ?

Un oui à l’indépendance enclencherait deux effets domino. Le premier effet serait interne à la Nouvelle-Calédonie. Après la fête à Paris, un numéro de Libé aux couleurs kanakes, un cocktail géant rue Oudinot avec le Tout-Paris indépendantiste, des vagues de joie au gouvernement de Nouvelle-Calédonie, au Congrès, dans chaque tribu, avec des feux partout, la distribution des prix commencerait. Bercy, Oudinot, le Quai d’Orsay, Matignon et l’Élysée, évidemment, arriveraient avec des accords de partenariat et surtout les chéquiers. En face, bien entendu, en échange d’une base militaire française autorisée, juste le temps que les armadas chinoises arrivent à Nouméa, La Foa, Poindimié, comme à Djibouti, l’establishment kanak présenterait la liste sans fin des demandes. Pendant ce temps, les anciens loyalistes lucides vérifieraient leur passe sanitaire, leur passeport, et prendraient qui l’avion pour Paris, qui pour Sydney et de là quelques-uns aussi pour la Californie. Partie de Nouvelle-Calédonie, la France partirait très vite de la Polynésie. Avec, bien sûr, l’aide chinoise et de ses alliés mélanésiens.

Vous évoquez les appétits de la Chine et d’autres puissances mondiales sur ce territoire ; la France a-t-elle vraiment beaucoup à perdre ?

La Guadeloupe partira dès que ses habitants le voudront bien. M. Lecornu leur propose d’ailleurs déjà l’autonomie. Comme ils l’ont, au demeurant, cela veut dire l’indépendance. Pour la Guyane, Mme Taubira verra. Pour le moment, elle écrit des livres. Autant dire qu’il faut choisir : être un Hexagone mité ou être un empire maritime illimité. La totalité des candidats pour 2022 ont, eux, déjà choisi. Les plus audacieux veulent seulement un traitement antimite. Pour le reste, une France Monde sur tous les océans, c’est, à leurs yeux, bien grand. Or, ils sont souvent bien petits…

 

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Les hyènes de Washington : de Rama Yade en Rokhaya Diallo

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Alain Sanders

Après les déclarations de haine contre la France proférées de Washington, D.C., par la Wolof Rama Yade, on pouvait espérer un peu de répit. Au moins quinze jours sans de nouveaux crachats contre la France. Depuis l’étranger. Et par des racialistes qui doivent tout à la France. Eh bien, on se trompait.

Pour le coup, et toujours d’outre-Atlantique (désormais terre promise des racialistes et autres féministes, indigénistes, décolonialistes, wokistes, etc.), c’est l’échevelée Rokhaya Diallo qui s’y colle. Dans un article du gauchiste Washington Post où elle a été engagée pour des tribunes ponctuelles très orientées. Notons au passage que, pas plus que Rama Yade n’est gênée (elle qui est agressée par une statue de Colbert) d’habiter Washington, Rokhaya Diallo ne trouve à redire à ce titre de journal qui porte le nom d’un propriétaire d’esclaves...

Titre de l’article de la Diallo : « Ne laissez pas l’histoire inspirante de Joséphine Baker effacer le racisme omniprésent en France. » On se dit qu’ils doivent bien rigoler les Américains qui se souviennent que Joséphine Baker avait quitté les Etats-Unis pour échapper à un racisme prégnant. Et s’installer en France où le racisme n’existe pas. Sauf dans les cerveaux fiévreux des Yade et des Diallo.

On se dit aussi que Diallo aurait pu se réjouir de voir entrer dans le temple de Belphégor, au Panthéon, la « première femme noire » accueillie là (on s’abstiendra de commenter la manœuvre de Macron en l’occurrence) avec les honneurs républicains. N’y pensez pas ! Il faut le savoir : quoiqu’on fasse dans l’humiliation permanente de notre histoire, on n’en fera jamais assez.

C’en est au point que Rokhaya Diallo (bloc de haine tel qu’elle s’est naguère fritée avec Caroline Fourest, c’est dire) s’attaque à la mémoire même de Joséphine Baker, déplorant que cette dernière « ait toujours exprimé sa gratitude à la France et n’a jamais critiqué le colonialisme ». En quelque sorte, une « Bounty » comme disent les racialistes : noire dehors, blanche à l’intérieur. Elle aurait préféré, elle l’écrit, qu’on mît au Panthéon la traîtresse Gisèle Halimi impliquée « en faveur du peuple algérien pendant sa guerre contre la France ». Contre la France : tout est dit.

Elle n’a pourtant pas lieu de se plaindre de la France, Rokhaya Diallo. Elle est née d’un père sénégalais (militant socialiste) et d’une mère gambienne. Un côté sénégalais comme Rama Yade donc. Côté gambien, je ne sais pas si elle est d’ethnie mandingue, wolof, fula, diola, serahule, aku, sésère, manjaque, bianunka. Ce que je sais, en revanche, c’est que ce petit morceau d’Afrique enclavé dans le Sénégal et qui ne s’appelait pas encore la Gambie, fut – à partir du IXe siècle – le supermarché des esclavagistes arabo-musulmans qui y faisaient leurs courses pour un fructueux commerce trans-saharien. La plupart des tribus se convertirent à l’islam (vers le XIIe siècle). On ne sait pas si l’islamo-gauchiste Rokhaya Diallo (qui dénonce ce qu’elle appelle « les musulmans Seven Up », à savoir les modérés de l’islam) s’inscrit dans cette soumission.

Pour le reste, son cursus n’est pas celui d’une Cosette victime du racisme de la France : maîtrise de droit international, emploi chez IBM, master de marketing, école de commerce Novancia, un siège au conseil d’administration de Terra Nova, chroniqueuse sur RTL, Canal Plus, la radio Le Mouv’, Médiapart, C8 avec Hanouna, tapis rouge à LCI avec le dhimmi David Pujadas, etc.

En 2017, Rokhaya Diallo avait déjà craché sur la France à la tribune des Nations Unies. Sans provoquer la moindre réaction. Aujourd’hui, obsédée qu’elle est par la race, elle en est à salir la mémoire de Joséphine Baker. Sans conséquence : elle continuera d’être reçue comme une personne normale sur LCI.

Petit plus : puisque Valérie Pécresse est dans l’actualité, rappelons qu’elle a co-signé naguère, avec Rokhaya Diallo, pour célébrer la « diversité » et les bienfaits du multiculturalisme...

Source : Présent 9/12/2021

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Un nouveau numéro hors-série du quotidien Présent

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Site de Présent cliquez ici

Depuis la fin de la guerre d’Algérie, l’armée française a été maintes fois engagée dans des conflits locaux situés hors du territoire national sous bannière onusienne, européenne, américaine ou de l’OTAN, ou encore en application d’accords de défense bilatéraux. Les Opex ont impliqué des soldats des trois armées.

Les pages de ce Hors-Série ne sont pas un catalogue exhaustif des Opex de l’armée française, seuls certains événements, connus ou méconnus, sont évoqués et rappelés à nos lecteurs. Du Tchad à l’Afghanistan, du Liban à la Bosnie, du Cambodge à la Somalie, les militaires français sont intervenus partout, affirmant ainsi le statut de grande puissance militaire de la France et sa volonté de peser sur le plan international. Bien que les choix d’intervenir soient souvent contestables d’un point de vue politique et que, dans le cadre de coalitions comme en Irak ou en Afghanistan, le renfort de nos troupes n’ait modifié en rien le rapport de force, nos soldats ont droit à notre reconnaissance et notre estime. Fidèles aux traditions de leurs armes et de leurs unités, ils se sont montrés dignes de leurs grands anciens dans l’accomplissement de leur devoir. Certains y ont laissé la vie, qu’ils soient honorés pour leur sacrifice. 

Michel Vial

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Eric Zemmour sur France 2 : la réaction de Thomas Joly

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Communiqué de Thomas Joly,
Président du Parti de la France
 
Éric Zemmour a brillamment réussi son rendez-vous avec les Français sur France 2 hier soir.
 
Malgré une Léa Salamé arrogante et insupportable, il a pu développer avec calme et fermeté son diagnostic et ses solutions.
 
Comme prévu, Bruno Le Maire est venu réciter son catéchisme politiquement et économiquement correct, se drapant dans un antiracisme et un antifascisme éculés ; il a été laminé par un Eric Zemmour maîtrisant son sujet sur le bout des doigts. Quant à Samia Ghali, elle n'était clairement pas au niveau...
 
Enfin, s'il a été décevant sur les questions sociétales (IVG, mariage pour tous, peine de mort), cela démontre que Zemmour a besoin d'une aile droite capable de peser sur sa campagne. C'est ce à quoi le Parti de la France va s'atteler.

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Nationalisme appellation contrôlée

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Jean-Gilles Malliarakis, L'Insolent cliquez là

Les remous de la campagne présidentielle, qui désormais bat son plein, ne devraient pas dissimuler une problématique permanente, et centrale : celle du sens national. On peut appeler cette vertu de divers noms : patriotisme pour les uns, identité pour les autres, nationalisme osait-on invoquer autrefois, sans que ce mot ne fasse peur qu'aux victimes de la tremblante du mouton. Ces mots devraient être considérés comme plus ou moins synonymes dans notre langue. Barrès et Maurras, en tant que fondateurs en ont définitivement tracé les contours.

Dire comme on l'entend souvent que le nationalisme est un facteur de guerre, c'est considérer que le radical-socialiste Daladier, qui déclara la guerre en 1939, ou Viviani en 1914 étaient des nationalistes. Maurras prévoyait la guerre : il ne l'appelait pas de ses vœux, soulignant avec véhémence, combien il était monstrueux de ne pas s'y préparer. "Armons, armons" écrivait-il au moment de la crise de Munich de 1938. Lorsqu'elle survint en 1939, du fait de l'alliance Staline-Hitler (1) on put redécouvrir à quel point il avait tragiquement raison.

Constatons d'abord une ambiguïté : strictement, le mot et la rhétorique "nationaliste" ou "patriote" devrait transcender l'antagonisme droite gauche. Même si leurs solutions sont mauvaises et leurs liaisons internationales calamiteuses, un Mélenchon aujourd'hui, un Chevènement hier, se réfèrent, par intermittence, à un discours d'apparence "nationale". Or, ils s'expriment toujours sous les plis d'une idéologie qui s'appelle en fait le jacobinisme, terme qu'il semble préférable d'utiliser en l'occurrence et que ne récusent pas les "nationalistes de gauche".

Il faut donc saluer ici la parution récente d'un fort utile petit volume, où l'on retrouvera la plupart des questions que posent, aujourd'hui plus que jamais, la référence au nationalisme et sa dénaturation. L'ouvrage est intitulé "Critique du nationalisme" (2).

Le texte central, de 59 pages, est l'œuvre d'Arnaud Guyot-Jeannin. Intelligemment sous-titré comme un "plaidoyer pour l’enracinement et l’identité des peuples", il est encadré d'une fort éclairante préface signée d'Alain de Benoist (3), et plus encore d'une très dense et pertinente postface que l'on doit à Philippe Lamarque (4). L'ensemble de ce corpus mériterait sans doute de prendre le relais des "Doctrines du nationalisme". Ouvrage de référence de notre "classe soixante" ce livre avait été publié en 1959 par Jacques Ploncard d'Assac. Depuis, outre l'évolution historique, plusieurs écrits majeurs et indispensables complétaient le propos, en particulier "les Deux patries" du regretté Jean de Viguerie (5).

Ce nouveau petit livre offre un grand choix de fortes citations et d'idées justes.

On regrettera quand même l'absence de référence au christianisme, qui paraît pourtant peu dissociable de la patrie de Clovis, de saint Louis, de Jeanne d'Arc, de saint Vincent de Paul.

Les passionnés d'Histoire le chipoteront peut-être aussi sur quelques éclairages historiques incertains, sinon abusifs.

Non par exemple le nationalisme des jacobins n'est pas le produit de la "victoire" en 1793 (6).

Les adversaires de la Révolution, comme ses religionnaires, ont trop souvent tendance à la considérer comme un bloc. De ce fait beaucoup de lecteurs et disciples de Charles Maurras perçoivent assez mal, ou refusent de voir, la distance qui sépare un Jean-Joseph Mounier, premier président des États Généraux en 1789, ou un Mirabeau, des hommes du Comité de salut public de l'An II. Beaucoup ignorent que la première constitution votée en 1791 se voulait monarchique. On connaît, dans le camp adverse, la formule de Clemenceau. À cet égard, on ne rappellera jamais assez le contexte odieux du propos. Le Tigre, futur premier flic de France, faisait alors office de porte-parole des républicains radicaux. Il s'agissait de leur part, de retirer de l'affiche une pièce de Victorien Sardou osant opposer Danton à Robespierre. Non seulement, ils obtinrent gain de cause mais leur doctrine de l'unité de la Révolution prévaut, aujourd'hui encore, y compris dans la mémoire de leurs adversaires. C'est là un des passages les plus mensongers, car il en existe d'autres, de ce qu'on appelle le roman national.

En fait, contrairement à ce que suggère le raccourci de notre auteur, ce n'est pas en 1789 que sombre la monarchie, mais en 1791 au retour de Varennes quand les forces de sentiment se retournent contre la famille royale. Quant à la Grande Terreur son règne coïncide avec la période des difficultés de la guerre, certainement pas avec les victoires. Rappelons ainsi qu'en janvier 1793, c'est au moment de la mort du Roi que la Vendée s'insurge et refuse la levée en masse. Après Fleurus (26 juin 1794) vient Thermidor (le 27 juillet). Londres, sous l'influence du Premier ministre William Pitt le Jeune (7), jusque-là avait tout fait pour ne pas entrer dans la guerre européenne déclenchée au printemps 1792, doit-on le rappeler, par les Girondins.

Les jacobins comme les communistes entendent répandre leur système et l'imposer au reste du monde. Puisqu'ils incarnent la Raison et la Science, ils se doivent de régner par la Terreur à l'intérieur, et par la Guerre à l'extérieur. La branche modérée des fédéralistes girondins ne peut dès lors que laisser la place aux montagnards centralistes puisque guerre et révolution ne font qu'un.

Inhérente à toute révolution, la militarisation à marche forcée qu'on considère comme caractéristique du régime hitlérien en Allemagne, marquera encore plus dans leur longue histoire les deux grandes expériences communistes : ainsi en URSS, avant, pendant et après le règne de Staline ; en Chine, la soi-disant révolution culturelle peut être considérée comme un coup d'État militaire inventé par Mao en 1965-1966 pour retrouver le pouvoir. La logistique est assurée par le ministre de la Défense Lin Biao. Par la suite Deng Xiaoping comme Xi Jinping, trop souvent envisagés en occident comme l'expression du Parti-État exerceront eux-mêmes leur autorité comme détenteurs du secrétariat de la Commission militaire.

Si l'on s'en tient aux dimensions économiques, il est ainsi probable qu'au cours de toute son histoire la part du PIB soviétique affectée à la Défense, à la production d'un équipement considérable a toujours avoisiné les 25 %, véritable cause de l'effondrement du système en l'absence de tout complot occidental.

Cette hypermilitarisation, contraire aux véritables intérêts nationaux n'a en définitive rien à voir avec le nationalisme. Je ne crois pas qu'Arnaud Guyot-Jeannin s'y trompe, pas plus que ses lecteurs. Oui, le véritable patriotisme de notre temps c'est bien, comme il l'écrit, "l’enracinement et l’identité des peuples".

Notes

(1) Je ne puis que recommander à ce sujet mon livre dossier sur "L'Alliance Staline-Hitler".

(2) Critique du nationalisme" aux éditions Via Romana, 29 rue de Versailles, 78150 Le Chesnay tel 06 87 53 96 45, via.romana@yahoo.fr, octobre 2021, 96 pages.

(3) pp. 9-17

(4) pp. 87-94

(5) "Les Deux Patries" par Jean de Viguerie, nouvelle édition, 2017, 276 pages, Éditions Dominique Martin Morin.

(6) cf. page 62

(7) Disciple d'Adam Smith il s'attache par priorité à ce que le fondateur de l'économie politique appelle la Richesse des Nations, base véritable de leur puissance. Soulignons qu'au lendemain de la guerre d'indépendance américaine, la Couronne britannique était dans une situation d'endettement plus lourde que celle des Rois de France. Une fois leurs finances rétablies les Anglais seront en mesure de supporter le coût non seulement de leur propre guerre contre la Révolution et l'Empire, mais aussi de celle que mènent ses alliés autrichiens, prussiens et russes.

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jeudi, 09 décembre 2021

Le MNR soutient la candidature d'Eric Zemmour à l'élection présidentielle

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Depuis l’annonce de la candidature Zemmour à l’élection présidentielle, et depuis le magnifique meeting de Villepinte, la campagne présidentielle prend un tour inattendu : les patriotes français vont-ils enfin être entendus ?

Les attaques violentes que subit Eric Zemmour montrent que le Système se sent blessé au coeur.

Car Zemmour dénonce sans faux-semblant, sans langue de bois, toutes les tares du système, celles qui risquent d’entraîner la mort de notre pays.

Dans ces circonstances exceptionnelles, soutenons sans réserve la candidature Zemmour, c’est notre avenir qui est en jeu.

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Robert Dunoyer ne sera plus là.

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Quand Robert était là, je savais que nous pouvions être tranquille...

Robert Dunoyer faisait parti de ces hommes qui inspirent naturellement le respect. Son calme, sa discrétion et sa détermination suffisaient à stopper les ardeurs provocatrices éventuelles de nos opposants lors de nos réunions. Avec lui, et Les Mousquetaires du président (cette élite militante destinée à la protection de Jean-Marie Le Pen et des réunions auxquelles il participe - comme ce fut le cas à plusieurs reprises lors des Journées annuelles de Synthèse nationale), la bonne tenue et la bienséance étaient garanties.

Hélas, Robert ne sera plus là, il est décédé suite à une crise cardiaque hier... Merci Robert pour ton aide et pour ta fidélité. Nous ne l'oublierons pas...

A son épouse, à sa famille, aux Mousquetaires, toute la rédaction de Synthèse nationale présente ses condoléances attristées.

Roland Hélie

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