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mercredi, 27 octobre 2021

MAÎTRE GHISLAIN DUBOIS, AUTEUR DU LIVRE "LES CRIMES DE L'OTAN", INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR TV LIBERTÉS

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Me Ghislain Dubois, entre Philippe Randa et Roland Hélie, après l'enregistrement de l'émission "Synthèse" sur TV Libertés.

L’OTAN est créée le 14 avril 1949. Elle réunit les anciens alliés de l’Ouest pour faire face à l’Union soviétique et à ses satellites. Depuis la fin de la guerre froide, l’OTAN aurait dû disparaître car elle a perdu sa légitimité et sa raison d’être.

Or, il va en être tout autrement, l’OTAN ne cessera de croître en puissance, en nombre de membres, et en actions : Bosnie-Herzégovine, Serbie, Kosovo, Afghanistan, Irak, Libye, Syrie…

Les guerres de l’OTAN sont menées sans qu’aucun des États qu’elle frappe, bombarde, voire dépèce, ne constitue la moindre menace, n’exerce la moindre agression contre l’un de ses membres. L’OTAN agit avec ou sans la bénédiction de l’ONU, quitte à violer les résolutions votées par le Conseil de sécurité.

Toutes ces guerres sont menées au nom des droits de l’homme, mais elles cachent mal leurs buts réels, et derrière la fumée des « frappes chirurgicales » se cache le feu dans lequel brûlent et meurent des innocents.

Me Ghislain Dubois, avocat au barreau de Liège, a récemment publié « Les crimes de l’OTAN » (préface de Me Roland Dumas ; postface de Me Marcel Ceccald) aux éditions Dualpha. Il est l’invité de l’émission « Synthèse » et nous conte ici le combat qu’il mène depuis 10 ans pour que justice soit rendue à de nombreuses victimes civiles et innocentes de l’OTAN, au nom de ces Antigone et Hamlet des temps présents.

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18:07 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Quelles perspectives pour la candidature de Eric Zemmour ? Le point de vue de Bruno Mégret

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Bruno Mégret

L’élection présidentielle, que l’on voyait, il y a encore quelques mois, comme une réplique affadie de la précédente, paraît devoir être beaucoup plus riche dans ses débats comme dans ses enjeux. La raison en est la candidature d’Éric Zemmour qui vient troubler les positions acquises et déranger le jeu convenu des partis de la classe politique.

Alors qu’il n’a pas encore déclaré sa candidature, cet éditorialiste et auteur talentueux vient en effet de faire une entrée fracassante sur la scène politique. En quelques semaines il a réussi à occuper la première place dans les médias et il se trouve déjà crédité de près de 15 % des intentions de vote. Aussi faut-il s’interroger sur les perspectives qui s’ouvrent avec cette arrivée d’un homme nouveau dans la course à l’Élysée.

Une candidature médiatique

Cette candidature reflète d’abord de façon spectaculaire la domination des médias sur les politiques. Depuis longtemps déjà la classe journalistique s’affirme comme le premier pouvoir, un pouvoir qui place les hommes politiques dans la situation de devoir lui complaire ou de se trouver marginalisés. Cette prééminence médiatique s’est ensuite encore accentuée lorsque, sur les plateaux de télévision et dans les colonnes des journaux, les débats entre journalistes ont supplanté ceux entre politiques. Avec la candidature de Zemmour, une étape supplémentaire vient d’être franchie : ce sont les journalistes eux-mêmes qui se présentent maintenant aux élections ! Avec ce paradoxe cependant que ce journaliste candidat ne vient pas pour défendre le Système dont il est issu mais pour le contester.

L’enjeu identitaire au cœur des débats

On peut donc se féliciter de cette intrusion du monde médiatique dans le monde politique car les idées-forces qui sont les nôtres vont, à travers Zemmour, se trouver propulsées avec talent au cœur des débats de la présidentielle. La guerre de civilisation, que nous subissons dans le monde multipolaire d’aujourd’hui et qui menace l’existence même de notre civilisation européenne et de notre nation française, cessera d’être ignorée et l’immigration de peuplement qui risque de faire disparaître la France et les nations du continent pourra être enfin reconnue comme un danger majeur pour notre survie.

Une dynamique à conforter

Mais, au-delà de cette avancée extrêmement positive pour nos idées, quelles sont les chances de voir prospérer cette candidature si singulière ? La question qui se pose est en effet de savoir si le polémiste brillant saura endosser les habits de l’homme politique d’envergure capable de devenir le président dont la France a besoin pour renouer avec son histoire. Car Eric Zemmour est à cette heure un homme seul sur la scène publique. Malgré les nombreux appuis qu’il obtient pour gérer et soutenir sa candidature, il n’a pas à ce jour autour de lui des personnalités fortes et connues capables de relayer son discours.

Il ne dispose pas non plus pour l’instant d’un programme exprimant de façon concrète les solutions qu’il envisage de mettre en œuvre. Sans doute cela viendra-t-il après sa déclaration de candidature, mais ce point est important car la prise de conscience des problèmes liés à l’immigration et à l’insécurité est maintenant générale. Le clivage entre les candidats devrait donc se faire plus sur les solutions que sur le constat. Or les Français, échaudés par les programmes et les promesses toujours trahis par leurs élus, attendent maintenant des solutions d’envergure, qui soient à la fois efficaces et crédibles.

Un potentiel électoral important mais fragile

Il faut enfin s’interroger sur le potentiel électoral dont dispose Éric Zemmour. Sur le papier il semble à première vue extrêmement vaste. Se présentant comme porteur des idées qui étaient celles du RPR des origines, Zemmour peut en effet revendiquer les voix des électeurs traditionnels du parti LR issus de cette ancienne formation, ce qui représente un réservoir considérable. Du côté du RN, le potentiel est encore plus important, puisque Zemmour tient sur l’immigration le même discours que le Front National. Un discours que Marine Le Pen a progressivement édulcoré au point de se trouver aujourd’hui comme normalisée et membre à son tour d’une classe politique que son parti prétend pourtant combattre.

Les possibilités de conquête électorale sont donc au premier abord extrêmement prometteuses pour le candidat Zemmour. Mais ces perspectives doivent cependant être nuancées. Du côté LR, il devra faire face à une entreprise de diabolisation de sa personne qui a déjà commencé et qui pourrait dissuader de nombreux électeurs LR de voter pour lui. Du côté du Rassemblement national par ailleurs, Zemmour devra combattre l’argument du vote utile qui peut conduire une large fraction de cet électorat à rester fidèle à Marine Le Pen pour assurer sa présence au second tour.

D’une façon plus générale, on peut s’interroger sur l’état de l’opinion laquelle se trouve conditionnée par des décennies de propagande politiquement correcte et en partie déjà résignée à subir le vivre ensemble. Y a-t-il en conséquence une majorité de Français pour soutenir les propositions radicales d’un candidat qui voudrait réellement rompre avec le politiquement correct et mettre en œuvre les solutions qui seraient à la hauteur des enjeux ? En d’autres termes, les Français qui dénoncent l’incapacité du pouvoir à régler les problèmes de l’immigration et de l’insécurité, ne seraient-ils pas les mêmes à réprouver la radicalité des mesures qui, seules, pourraient les résoudre ?

Les deux scénarios

Il paraît dans ces conditions difficile de se faire une idée précise de la place qu’occupera Zemmour le soir du premier tour de la présidentielle. Deux hypothèses très contrastées sont aujourd’hui possibles.

Si le journaliste ne parvient pas à endosser les habits de l’homme d’État, si les solutions qu’il préconise inspirent la crainte des électeurs et provoquent un processus de discrédit sur sa personne, la dynamique du début peut s’éteindre progressivement et les résultats électoraux être ceux d’une candidature de témoignage.

Si, en revanche, Zemmour parvient à susciter la sympathie et le respect des Français, si son discours réussit à convaincre les électeurs et à entrer en résonance avec les sentiments de nos compatriotes, s’il parvient en conséquence à rallier des personnalités et des électeurs venus du LR et si, dans le même temps, il arrive à marginaliser Marine Le Pen au point de récupérer une large fraction de son électorat, alors tout pourrait devenir possible.

Dans tous les cas, Zemmour va déstabiliser encore un peu plus les partis en place. Il peut alors être à l’origine d’une recomposition politique devenue aujourd’hui indispensable. Or toute recomposition commence par une destruction et s’achève par une reconstruction. Aussi Eric Zemmour peut-il être le destructeur indispensable. Sera-t-il le reconstructeur tant attendu ?

Source Le Chêne n°101 cliquez ici

12:00 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pas de pénurie de main-d’œuvre !

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Arnaud Raffard de Brienne

Selon la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME), 44% des entreprises éprouveraient des difficultés à recruter faute de candidats adaptés à leurs besoins. Plus généralement, ce serait près de 270 000 postes vacants en France, au premier trimestre 2021, qui ne trouveraient pas preneurs. Par exemple, le secteur de l’hôtellerie et de la restauration aurait perdu, pour les raisons que l’on imagine, près de 240 000 salariés entre 2020 et 2021. Selon la Fédération nationale des transporteurs routiers (FNTR), il manquerait aujourd’hui 50 000 chauffeurs, ce qui n’est pas rien.

Mais la rengaine n’a rien d’original et cela fait des décennies que sévit le débat sur une présumée pénurie de main-d’œuvre et la multitude de postes vacants qui en résulterait, sous-entendant qu’il existerait de prodigieux gisements d’emplois dédaignés par les chômeurs. En vérité, il convient d’abord d’observer que, même si l’on constate effectivement un manque de candidats dans presque toutes les qualifications, une large majorité des emplois non pourvus relèvent des métiers de services comme le transport, le bâtiment, l’hôtellerie, la restauration et l’aide à la personne, tous emplois cumulant à la fois pénibilité, faible rémunération et précarité. Une offre mise en concurrence avec un système social jusqu’à présent plutôt généreux même si les contraintes budgétaires laissent présager d’importantes régressions en la matière. Certains milieux patronaux jusqu’au-boutistes, à tendance esclavagiste et toujours avides de chair fraîche à vil prix, ne voient d’issue que dans une relance de l’immigration alors que le pays compte, officiellement mais bien davantage au réel, 5 688 700 demandeurs d’emplois, dont 3 510 000 de catégorie A, sans aucun emploi, et 2 178 000 des catégories B et C, en sous-emploi. Et bien davantage d’immigrés ou issus de l’immigration.

Nous sommes par conséquent, loin, très loin de la moindre pénurie de main-d’œuvre et c’est plutôt l’abondance qu’il faudrait évoquer si certains tabous n’entouraient un débat aussi tronqué que truqué. Rien que pour le plaisir des chiffres, il y a treize fois plus de chômeur en catégorie A que de postes vacants et vingt-deux fois plus si l’on considère les catégories A, B et C.

Les vraies raisons d’une fausse pénurie

Et puis, comment traiter d’une pénurie de main-d’œuvre sans évoquer tout d’abord l’invraisemblable inadéquation entre l’offre et la demande ? Mais pareil constat entérinerait tout à la fois l’échec cuisant  de l’Education dite nationale et, plus largement, du système éducatif et d’orientation français en même temps que de la folle politique d’immigration ou plutôt de son absence. Il faudrait reconnaitre dans la foulée que la faible attractivité de certaines filières et métiers s’explique aussi par le cumul de tâches souvent inintéressantes, pénibles, parfois insalubres, assorties de conditions de travail déplorables et le tout dans un contexte de forte précarité. Enfin, sujet sans doute tabou lui aussi, comment ne pas au moins évoquer une inexorable montée de la fainéantise, conséquence tout à la fois d’un système social jusqu’ici très protecteur, d’une société survalorisant les loisirs et des infinies possibilités de distraction offertes par le numérique ?

Débattre d’une prétendue pénurie de main-d’œuvre sans évoquer ces trois principales pistes de réflexion et sans doute quelques autres n’améliorera sans doute jamais la situation d’un iota.

Article publié dans le quotidien Présent 27/10/2021

11:42 Publié dans Arnaud Raffard de Brienne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

IL EST SORTI... COMMANDEZ LE NOUVEAU LIVRE "POURQUOI ÉRIC ZEMMOUR , LA DROITE NATIONALE À L'HEURE DU CHOIX"...

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mardi, 26 octobre 2021

"Pablo" est décédé

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À nouveau, une triste nouvelle vient de frapper notre communauté militante. Jean-Paul Pellet, connu sous le pseudo de "Pablo", est décédé vendredi dernier d'une crise cardiaque. Retraité depuis quelques années, il avait quitté les Yvelines pour s'installer à Moulins dans l'Allier. 

"Pablo", je le connaissais depuis la fin des années 1970. C'était à l'époque un pilier de l'équipe militante parisienne du Parti des Forces nouvelles. Un gars solide qui parlait peu mais agissait bien... Nous sommes toujours plus ou moins restés en contact depuis ces années tumultueuses. Resté fidèle à la cause, il répondait presque toujours présent lors des manifs ou des meetings nationalistes... 

Le hasard fit que, il y a une dizaine d'années, nous nous sommes retrouvés presque voisins, ce qui nous donna quelques occasions de passer de bons moments ensemble. "Pablo" était resté le même... Il l'est resté jusqu'à vendredi dernier.

Il y a quelques semaines, il m'avait adressé un message très sympathique de soutien à notre revue Synthèse nationale et au combat que nous menons. Je n'avais pas eu le temps de le remercier... le temps passe toujours trop vite.

Merci "Pablo"... Tu étais notre camarade, on ne t'oubliera pas.

Roland Hélie

19:06 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Louis Fouché : "Cette crise est le point d’orgue d’un système entier qui est malade"

« Cette crise est un point de départ pour nous permettre d’aller plus loin et de travailler sur ce qui se passe au niveau monétaire, au niveau de l’école, au niveau environnemental. Cette crise est le point d’orgue d’un système entier qui est malade, parce que des multinationales ont décidé de s’en emparer, de nous désemparer de notre capacité à décider de notre destin. Le vrai ennemi ce n’est pas le virus, le vrai ennemi ce n’est pas Laurent Alexandre, Emmanuel Macron, etc., on s’en fiche, ces gens sont des Playmobil dans les mains de multinationales qui, elles, ne se sont jamais cachées de leur projet, c’est-à-dire détruire les peuples, les États, la capacité d’organisation, séparer pour prendre tout le pouvoir, prendre tout l’argent. L’ennemi, il est défini, et à partir du moment où vous l’avez défini vous pouvez commencer à travailler, c’est-à-dire se remettre en lien et recommencer dans tous les champs de l’existant à reprendre le pouvoir sur votre existence ».

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Source : E&R

18:16 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

François Guillaume : Pour retrouver des hommes politiques à la hauteur ?

Étonnante destinée que celle de François Guillaume, paysan devenu le puissant président de la FNSEA et un ministre de l'Agriculture. Son engagement l'a conduit aux plus hautes responsabilités de l'État sans que sa fidélité à la terre et aux valeurs de notre civilisation soit altérée. Cette fidélité fut le mobile de son action face à une classe politique plongeant dans des discours éthérés, le carriérisme, le manque de convictions, l'amateurisme, les affaires et la corruption. L'ancien député de Meurthe-et-Moselle publie "Les 10 commandements de l'homme politique" pour sortir du "tous pourris". Il prône le retour de la compétence, du bon sens, du courage, de la probité, l'humilité et la fierté nationale. Tout un programme !

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17:37 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Nos enfants sacrifiés

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16:29 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Restos du cœur : le ras-le-bol des bénévoles.

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Camille Galic

La démission en bloc à Fréjus des quinze bénévoles des Restos du cœur a indigné la nomenklatura, qui incrimine David Rachline, maire RN de la ville, pour son influence funeste, et ulcéré la direction des Restos qui rappelle sévèrement aux « mutins » que « la charte prévoit l’accueil inconditionnel et sans discrimination des personnes dans le besoin ». Sauf que cette charte oblige aussi les bénéficiaires de l’aide à produire leur carte d’identité ou leur carte de sé- jour, ce que ne peuvent faire les migrants. D’où, de la part des clandestins refoulés, des « comportements inadmissibles et des violences répétées », accusent les Fréjusiens. De plus, il n’est pas venu à l’idée des belles âmes que ces bénévoles de condition modeste, parmi lesquels plusieurs Gilets jaunes, sont également exaspérés de devoir distribuer nourriture et objets de première nécessité à une faune croulant sous les aides d’Etat et qui, souvent, s’empresse d’aller vendre la provende ainsi obtenue à bien plus miséreux qu’elle sur des marchés sauvages – voir à Paris, entre La Chapelle et Barbès sous le métro aérien, le bizness quotidien des Africains et des Tchétchènes comblés de dons par les organisations caritatives.

Source :Présent 25/10/2021

09:29 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Aura-t-on bientôt des prix multipliés par 10 avec toujours le même salaire ?

PIERRE JOVANOVIC sur l'hyper inflation qui arrive dont aucun média ne parle.

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00:33 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 25 octobre 2021

Eric Zemmour à Drancy et en Seine-St-Denis

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14:17 Publié dans Présidentielle 2022, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Face à la pénurie d’énergie, une seule solution : le nucléaire

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Patrice Cahart*

Europe vit une pénurie d’énergie. Les causes en sont multiples et, pour partie, extérieures. L’économie mondiale est brusquement repartie. La Chine méridionale a été privée d’hydroélectricité durant une période de sécheresse. Dans l’ensemble de la Chine, la production de charbon a reculé du fait d’un règlement de sécurité destiné à éviter les trop nombreux accidents. L’hiver européen de 2020-2021, assez long, a fait baisser les stocks de gaz, que les industriels cherchent à reconstituer malgré des manipulations russes. En Grande-Bretagne et en Allemagne, une carence de vent, au premier semestre de cette année, a fait tomber la production éolienne. Quelle imprudence d’avoir misé massivement sur cette ressource aléatoire! Et pourtant, la France veut imiter cette erreur.

Chaque fois, la déficience d’une source d’énergie a provoqué un report de demande sur les autres. La spéculation s’en est mêlée. Sur le marché français au comptant, le mégawattheure d’électricité (soit mille kWh) a atteint 260 euros et oscille encore aux environs de 85 euros - à comparer aux 50 euros moyens de 2019, dernière année avant la pandémie. Par ses interconnexions avec ses voisins, dont il était si fier, notre pays est en proie aux mêmes difficultés qu’eux, alors que l’importance de son parc nucléaire devait lui assurer une meilleure situation

Parmi les facteurs de hausse de prix de l’électricité, certains cesseront de jouer, mais d’autres perdureront ou se répéteront. À terme, le développement du numérique, celui des véhicules électriques, la préférence donnée au chauffage électrique pour les logements neufs, la substitution de l’électricité au gaz ou au charbon comme combustible pour diverses productions industrielles vont continuer de tirer la demande vers le haut. RTE Réseau de transport d’électricité s’attend à une hausse de 40 % à 50 % de la consommation française d’ici à 2050. Certains experts estiment ces pourcentages trop faibles... Comment faire face ?

Tout d’abord, il devrait être possible, au niveau européen, d’infléchir la tendance par des mesures de sagesse : interdiction des SUV, électriques ou thermiques, car la planète ne peut plus se permettre ce luxe ; prohibition des bitcoins, cette dangereuse monnaie non régulée, gourmande en électricité. Au niveau national, il conviendrait de favoriser la récupération de chaleur, laquelle a sur l’électricité l’avantage de pouvoir se conserver durant plusieurs jours (pompes à chaleur, capteurs thermiques préférables aux capteurs photovoltaïques, récupération de la chaleur des centres de données et de celle des égouts).

Parmi les sources d’électricité, seules devraient être encouragées celles qui ne sont pas intermittentes, et ne nécessitent donc pas un complément gazier polluant. Quelques possibilités existent encore du côté de l’hydroélectricité. La méthanisation des déchets agricoles bénéficie d’un engouement politique, mais doit être considérée avec prudence, en raison de son coût élevé et du risque que des quantités de maïs ou d’autres vivres n’y soient englouties.

La principale réponse au défi de la consommation électrique ne peut donc être trouvée que du côté du nucléaire, seule source capable de fournir des quantités de courant à la fois massives et régulières. Le stockage en profondeur offre une solution raisonnable au problème des déchets. Le président de la République nous laisse espérer, outre Flamanville 3, six nouveaux réacteurs de grande taille, plus des petits réacteurs modulaires. Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, tient néanmoins le raisonnement suivant : même si ce programme encore incertain est lancé dès maintenant, les nouveaux réacteurs n’entreront pas en service avant une quinzaine d’années (ou plutôt une dizaine) ; d’ici là, il faut donc poursuivre à marche forcée, et malgré les protestations des habitants, les implantations d’éoliennes et de capteurs photovoltaïques. Ce raisonnement est pernicieux.

Une éolienne terrestre ne fonctionne, en moyenne, dans notre pays, qu’à 24 % de sa puissance. Un capteur photovoltaïque, moitié moins. Où trouver le complément d’électricité nécessaire ? Nos voisins, qui veulent supprimer à la fois leurs réacteurs et leurs centrales à charbon, seront tous en difficulté. Peut-on alors admettre, comme certains le proposent, que le nucléaire devienne l’accessoire des renouvelables, et que les réacteurs, équipements lourds, soient éteints et rallumés en fonction inverse du vent et du soleil ? Le besoin grandissant d’électricité rend cette idée absurde. Les réacteurs, anciens ou nouveaux, devront fonctionner de façon continue – sous réserve des pauses pour entretien et des visites de sécurité.

Pour compenser l’intermittence des renouvelables, il ne reste plus que le gaz, affecté de trois défauts : il est devenu coûteux pour une durée difficile  à prévoir, il est de plus en plus russe, ce qui nous mettrait dans la dépendance de Moscou, et il est polluant. Par conséquent, au lieu de bénéficier au climat, la prolifération des éoliennes et des capteurs photovoltaïques lui nuirait. Si des raisons politiques la rendaient néanmoins inévitable, il faudrait la limiter de façon stricte : le photovoltaïque ne pourrait s’installer que sur les friches industrielles  (150 000 hectares) ; l’éolien terrestre ne pourrait se développer qu’en remplacement des engins anciens par d’autres plus puissants mais pas plus hauts, au même endroit.

S’ajoutant aux différentes solutions évoquées, les nouveaux réacteurs devraient normalement couvrir les besoins de la quinzaine d’années qui viennent. Mais à une condition : qu’ils s’ajoutent aux réacteurs en place, au lieu de s’y substituer. Barbara Pompili évoque l’arrivée de ceux-ci en fin de vie, et déjà les experts commencent à discuter des modalités de leur démantèlement. Or, aux États-Unis, six réacteurs ont été autorisés à fonctionner jusqu’à leur quatre-vingtième anniversaire : deux en Floride, deux en Virginie, deux en Pennsylvanie. Leur technique est similaire à la nôtre. L’âge moyen de notre parc est inférieur à 40 ans. Cela lui laisse donc, logiquement, une espérance de vie d’une quarantaine d’années.

Les deux réacteurs de Fessenheim ont été arrêtés à l’âge de 43 ans, alors qu’ils fonctionnaient parfaitement. D’après l’exemple américain, trente-sept années supplémentaires étaient possibles. Sur cette durée, et en retenant un prix de vente modéré de 50 euros le mégawattheure, EDF aura perdu, du fait de la fermeture du site, la bagatelle de 22 milliards d’euros de recettes. Le début des opérations matérielles de démantèlement n’est prévu que pour 2025. Vite, rouvrons Fessenheim !

Les réacteurs à neutrons rapides, qui créent plus de combustible qu’ils n’en consomment, ont de bonnes chances de parvenir à un stade commercial nettement avant 2050. La France s’est mise hors jeu deux fois, en abandonnant Superphénix (1997) puis le projet Astrid (2019). Elle sera trop heureuse, le moment venu, d’acheter cette technique aux États-Unis, à la Russie ou à la Chine. Puis viendra sans doute la fusion nucléaire, qui résoudra presque tous les problèmes d’énergie.

(*) Ancien élève de l’ENA. Ancien directeur de la législation fiscale à la Direction générale des finances publiques du ministère des Finances. Vient de publier « La Peste éolienne » (Éditions Hugo, 2021)

Source : Le Figaro 25/10/2021

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Blanquer à l’Education nationale, la dictacture en marche

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Claude Meunier-Berthelot est enseignante et essayiste. A l’en croire,  c’était couru d’avance ! Pour qui s’est penché sur le cas Blanquer dès sa nomination au poste de ministre de l’Éducation nationale et ne s’était pas laissé prendre à son enfumage permanent, il était clair que la dictature était en marche au sein même de l’Éducation nationale.

Lire la suite ICI

Source : Polemia

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dimanche, 24 octobre 2021

Les nouvelles armes de terreur des racailles

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La chronique de Philippe Randa

La « mode » n’est pas nouvelle, certes… Déjà, en 2017, France Soir nous apprenait qu’un homme gardait un lionceau dans un appartement. Cet original n’en était d’ailleurs pas à sa première fantaisie, s’étant « déjà fait remarquer pour avoir circulé dans les rues de Montreuil (Seine-Saint-Denis) à dos de cheval… »

Il ne s’agit pas là d’un simple faitdivers, « le trafic d’animaux sauvages représenterait pas moins de 16 milliards d’euros par an dans le monde », indiquait alors le Fonds international pour la protection des animaux.

Cinq ans plus tard, c’est Le Figaro qui nous apprend que la mode s’est amplement répandue, cette fois dans la « jungle des cités » : « Mis en scène par des footballeurs, des chanteurs et des rappeurs, les félins de compagnie nourrissent les fantasmes, le marché noir et le crime organisé. Les gendarmes multiplient les saisies. »

À l’évidence, ce n’est pas simplement pour se distinguer, façon « bling-bling », que les propriétaires investissent si cher dans cette « passion » très éloignée des buts de la fondation 30 Millions d’Amis.

Dans les banlieues de non-droit où les gangs pullulent, la présence de tels animaux sauvages n’est évidemment pas fortuites : elle terrorise comme il se doit de potentiels rivaux… On connaissait les combats de chiens (parfois de rats), assistera-t-on bientôt à des combats de fauves ? Sans compter les risques de voir de tels gentilles bébêtes échapper à leurs propriétaires et vaquer dans les rues, tout comme leurs congénères dans les savanes africaines.

Nos chères banlieues n’auront alors jamais aussi bien portées qu’à ce moment-là leurs surnoms de jungles urbaines… et certains de leurs habitants celui de sauvageons, tels que qualifiés, à la fin du siècle dernier, par Jean-Pierre Chevènement, alors ministre de l’Intérieur. Il parlait alors de mineurs multirécidivistes qui pourrissaient la vie dans les cités de banlieues, les rendant déjà invivables pour tous les honnêtes gens.

Mineurs, ils ne le sont plus, mais leur violence a grandit en même temps qu’eux. Ainsi que leur imagination dans l’utilisation de nouvelles armes de terreur, hélas !

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23:55 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 23 octobre 2021

Des responsables politique totalement irresponsables

Nicolas Charbonneau

Directeur de la rédaction du Parisien week-end

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Des responsables politiques totalement irresponsables, ainsi que des candidats à la magistrature suprême n’ayant jamais dépassé la poignée d’électeurs – et c’est heureux –, tentent régulièrement se rappeler au monde. Un tout petit monde au fond, mais tout de même. La semaine passée, l’un d’entre eux [ndlr. il s’agit de Philippe Poutou candidat du NPA] a sautillé de plateau télé en plateau télé pour dire qu’en France, « la police tue une quinzaine de jeunes chaque année ». Voilà quelqu’un qui a le sens de la nuance.

Qu’est-ce que ce candidat connaît du métier de policier ? Rien. Que sait-il de ces femmes et de ces hommes qui affrontent des manifestants venus en découdre avec des haches et des pioches ? Rien. Comment imagine-t-il la discussion dans certains quartiers où même les pompiers
sont attaqués et priés de dégager quand  ils viennent vous sauver ? Rien. Que comprend-il de la peur des enfants de policiers qui voient des photos de leurs parents placardées dans des cages d’escalier ? Rien. Est-il au moins allé voir le formidable film BAC Nord, qui décrit plutôt très bien le quotidien de professionnels qui affrontent des bandes assez peu enclines au dialogue apaisé ? On l’espère. Mais à quoi bon se renseigner, puisque ce candidat ne propose qu’une chose, désarmer les policiers pour que tout aille mieux. Personne n’y avait songé...

On a beau ne pas représenter grand-chose sur l’échiquier politique, balancer des petites phrases mensongères et antirépublicaines avec ce rictus de celui qui est content de lui, voilà un fonds de commerce sacrément nauséabond. Un discours qui vous range dans la catégorie de ceux qui racolent, pas dans celle des hommes responsables.

Source : Parisien Week-End 22/10/2021

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Il y a 65 ans, Budapest se levait contre la tyranie communiste...

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Aujourd'hui oubliée par la plupart de nos contemporains, l'insurrection nationale hongroise d'octobre 1956, il y a 65 ans, fut un événement considérable. En effet, pour la première fois depuis la division de l'Europe conçue lors de la réunion de Yalta, en 1945, un peuple se révoltait contre le système le plus criminel de tous les temps, à savoir le communisme.

Certes, la répression fut sanglante, mais cette révolution n'en demeure pas moins héroïque et exemplaire... Le Peuple hongrois, en  ce mémorable automne 1956, a redonné l'espérance à tous les peuples asservis par la barbarie communiste. Quelques décennies plus tard, en novembre 1989, le mûr de Berlin s'écroulait mettant définitivement, espérons-le, fin à l'ignominie marxiste.

Ce n'est donc pas un hasard si, aujourd'hui, la Hongrie nous montre à nouveau la voie à suivre face aux nouveaux dangers, à savoir l'immigration sauvage et l'islamisation qui en découle, qui menacent la liberté et l'identité de l'Europe...

N'oublions jamais la révolte de Budapest fin octobre 1956... 

Roland Hélie

Pour information :

Pour mieux comprendre ces événements, en 2016, Synthèse nationale a publié le texte intégral en deux volumes de l'étude magistrale de l'historien britannique Davis Irwing sur l'insurrection de Budapest. Il en reste quelques exemplaires que vous pouvez vous procurer de la manière suivante :

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Budapest, insurrection Tome 1 cliquez ici

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Budapest, insurrection Tome 2 cliquez là

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Journal du chaos

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Pour télécharger, cliquez ICI

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vendredi, 22 octobre 2021

Le journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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Grenoble : l'UNI fait reculer la direction de l'IEP

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Les 32 heures du degré zéro de la pensée politique

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Natacha Polony pense juste. Et moins par idéologie que par simple bon sens. C’est ainsi qu’elle s’attaque à la notion de travail jugé aliénante par toute cette gauche boboesque autant qu’ubuesque complètement à côté de ses pompes. Le travail est aliénant ! Certes, le travail à la chaîne dans les usines d’hier – automobile, métallurgie entre autres -, n’était pas ce que l’on faisait de plus attrayant, mais le fond du problème n’est pas là. Le travail ennoblit l’homme qui a tout lieu d’être fier des savoirs qu’il a élaborés au fil du temps. D’autant que ce que l’on appelle la modernité a grandement amélioré les conditions de travail des travaux pénibles. Même dans le monde paysan. Enfin ce qu’il en reste. Natacha Polony écrit fort justement : « Il ne vient pas à l’esprit de ces penseurs hors-sol qu’une des difficultés pour réindustrialiser est aujourd’hui la déperdition de ces savoir-faire précieux, comme on le voit dans tous les domaines de la confection et du textile ».

 Lire la suite ICI

 Source : Marianne 21.10/2021

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jeudi, 21 octobre 2021

Georges Feltin-Tracol vient de publier un nouveau livre reprenant ses chroniques hebdomadaires

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Communiqué de l'éditeur du livre :

Pourquoi le sénateur yankee John McCain était-il un pourri ? Quelle est cette autre droite polonaise ? Quelles sont les frontières de cœur du président turc Erdogan ? Donald Trump est-il vraiment le 45e président des États-Unis ? Qui est le Wauquiez allemand ? Que sait-on du « populisme de gauche » ? Peut-on avoir une autre vision de la Corée du Nord ? Quel est le phare spirituel de l’Europe ? Quel est le pire parti de France ? Les Bo-Bo peuvent-ils se révolter ?

Georges Feltin-Tracol répond à toutes ces interrogations. Il a donné en cinq ans des chroniques hebdomadaires taillées à la hache du (géo)politiquement incorrect. Les Éditions du Lore les ont enfin réunies dans un volume passionnant et… explosif !

Il offre au lecteur sensible aux interprétations non conventionnelles des analyses acérées et impertinentes jamais consensuelles. C’est un réel plaisir d’assister à la remise à l’endroit de l’actualité par le premier « bûcheron métapolitique » d’Europe d’expression française.

L'actualité à la hache, Georges Feltin-Tracol, éditions du Lore, 468 pages, 28,00 €

Pour l'acheter cliquez ici

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mercredi, 20 octobre 2021

Eric Zemmour en Bretagne, vendredi 29 octobre à Pleurtuit (35)

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Il reste quelques places, inscrivez-vous vite cliquez ici

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L’esprit national

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Voici la question à laquelle il est tout à la fois facile et difficile de répondre tant chacun a sa propre définition – ou presque - : de quoi l’esprit national est-il fait ? Ou dans sa version intello : quel est le fondement ontologique du Français ? Chaque époque en a donné sa définition. Hier encore, quand les Français partageaient la même communauté de destin, on en donnait une définition barrésienne : la bouf, la terre et le sang.  Aujourd’hui, avec le poids de l’immigration, les Français se sentent assiégés, marginalisés, ignorés par un pouvoir et une classe politique vérolés par l’idéologie des droits de l’homme, du politiquement correct et désormais par une « cancel culture » qui détruit tous les fondements de notre culture et de notre civilisation. Au point que nous en sommes arrivés qu’entre les gouvernants, les pseudo intellos – de gauche évidemment - et le peuple, le fossé ne cesse de s’agrandir. Deux mondes qui s’ignorent au point que l’on se pose la question de savoir ce que signifie le soi-disant régime démocratique qui serait le nôtre.

A l’occasion de la sortie d’un livre consacré à la mémoire de Christian Millau*, le journaliste et écrivain Thomas Morales nous donne sa version de ce qu’il entend par « esprit national » et l’on souscrit volontiers à cette approche qui fleure bon le coq au vin, la brandade de morue ou le cassoulet. Mais est-elle le reflet de la réalité. Elle l’est pour tous ceux qui entendent maintenir envers et contre tout l’esprit gaulois.

Petit rappel sur l’écrivain gastronome Christian Millau (1928-2017). Il commence sa carrière comme journaliste et fréquente la bande des Hussards (Blondin, Nimier, Jacques Laurent, Kléber Haedens, etc) et se révèle un chroniqueur talentueux là où cette droite littéraire sévit : La Parisienne, Opéra et collabore également au Monde (celui de Beuve-Méry) à l’Express (celui de Servan-Schreiber) et au Point. C’est alors qu’en 1969 avec son ami Henri Gault, ils vont révolutionner la presse gastronomique en créant le fameux Guide Gault et Millau. L’hebdomadaire va donner la parole aux jeunes chefs (Bocuse, Loiseau, Savoy, Guérard, Chapel, Sanderens) d’où naitra ce qu’on va appeler la nouvelle cuisine. Et qui repose essentiellement dans l’allègement d’une cuisine traditionnelle trop riche héritière d’Escoffier. Christian Millau n’oublie cependant pas qu’il est aussi un bon écrivain à qui l’on doit Au galop des hussards, Au fil des années 50, fin d’une époque, Paris m’a dit (tous parus chez Fallois) pour ne citer qu’eux.

(*) Christian Millau, une vie au galop. Portraits croisés, sous la direction de François Jonquères, préfcé par Frédéric Vitoux, de l’Académie française, Le Rocher ed.

Pour lire la chronique de Thomas Morales, cliquez ICI

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Ubu à la station-service

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Gaëtan de Capèle

C’est l’invité surprise de la campagne. La flambée subite des prix de l’énergie, que personne n’avait vue venir, occupe désormais tout l’espace politique. Elle obnubile le gouvernement, qui a déjà payé pour savoir ce que coûte la révolte des Français lorsque le plein d’essence devient prohibitif. S’y ajoute aujourd’hui une envolée des factures d’électricité et de gaz. Tout plutôt que le retour des « gilets jaunes » ! Elle galvanise aussi les candidats à la présidentielle. Tous ont beau jeu de proposer mille mesures qu’ils n’auront pas à mettre en œuvre.

Inutile de se raconter des histoires : par quelque bout qu’on le prenne, le problème est insoluble. Réduire les taxes qui représentent les trois quarts du litre d’essence ? Cela coûterait des milliards d’euros pour quelques centimes de baisse, qui laisseraient les automobilistes de marbre. Distribuer des chèques carburant aux plus modestes ? Cela suppose de créer une usine à gaz pour trier entre ceux qui possèdent une voiture et ceux qui n’en ont pas, ceux qui l’utilisent et ceux qui s’en servent moins, ceux qui méritent une aide et ceux qui, loin de rouler sur l’or, mais ne remplissant pas les critères, en seront comme d’habitude pour leurs frais.

Plutôt qu’un concours Lépine ruineux, cette crise de l’énergie pourrait utilement provoquer une réflexion collective sur le système ubuesque qui s’est progressivement installé en France. Celui d’une logique de compensation systématique des aléas de la vie par un État-providence désargenté, dont le « quoi qu’il en coûte » est la forme ultime. Cette politique du chéquier n’a de générosité que le nom. Elle exige en contrepartie un niveau de prélèvements unique en son genre, que les Français, contribuables ou consommateurs, paient au prix fort. Et conduit à des absurdités comme celle à laquelle nous assistons dans les stations-service : soulager, sur fonds publics, les automobilistes victimes d’une taxation prohibitive des carburants, elle-même indispensable pour remplir les caisses d’un État qui dépense sans compter...

Source Le Figaro 20/10/2021

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mardi, 19 octobre 2021

Patrick Jardin, le père d'une jeune fille assassinée au Bataclan, insulté par Le Monde

Le Monde qualifie Patrick Jardin, père d’une victime du Bataclan, de “père haineux”, puis change le titre de son article, pour parler de “la colère sans limite d’un père” : il réagit !

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Décès de François Porteu de la Morandière

6435.jpegUn communiqué de l'Union nationale des combattants (UNC UNC-AFN) :

Hervé Longuet, président national de l’UNC, les membres du conseil d’administration national et l’ensemble des adhérents font part du décès de François Porteu de la Morandière, président honoraire de l’UNC
 
Né à Sèvres le 20 mai 1928, le président François Porteu de La Morandière était à la fois un combattant, un chef d’entreprise et un citoyen engagé. Officier de réserve, il avait été rappelé pour servir sur le territoire algérien. A son retour, avec une poignée de camarades démobilisés comme lui, il avait fondé l’UNC-AFN qui s’était rapidement développée.

Il présidera cette UNC-AFN 27ans durant, contribuant à la fusion de cette jeune association avec l’UNC « historique ». Il avait assumé ensuite les fonctions de vice-président de l’UNC puis avait été élu président honoraire lors qu’il renonça à son mandat. Dans le même temps, François Porteu de La Morandière exerçait une activité professionnelle particulièrement intense comme Président directeur général de la société Galeries Malouines et Dinandaises.
 
Citoyen engagé au service de la cité, François Porteu de La Morandière avait démissionné de toutes ses fonctions associatives pour se lancer en politique. Il sera député (NDLR SN : FN) du Pas-de-Calais de 1986 à 1988, conseiller municipal d’Arras de 1989 à 1994, et conseiller régional du Nord-Pas-de-Calais de 1992 à 1998. Depuis 2006, il présidait aux destinées de l’Institut européen de relations et d’études internationales.
 
François Porteu de La Morandière était Chevalier de la légion d’honneur et officier de l’Ordre national du mérite. (...)

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In memoriam Laurent Wetzel

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Jean-Gilles Malliarakis

La disparition de ce vieil ami, âgé de 71 ans vient en un temps de pleine polémique entre ce qu'on appelle aujourd'hui la pseudo "mémoire", phénomène social peu fiable, et l'histoire, quête ardente et méthodique de l'exactitude des faits.

De la «mémoire» en effet il convient de toujours se garder, sans même l'honorer du qualificatif de mythe.

Laurent Wetzel était pour moi un de ces amis proches, avec lesquels on partage les mêmes convictions et les mêmes répulsions. "Je sais, disait Péguy, quels êtres me sont respirables et quels autres me font horreur". Depuis deux ans, hélas, tant d'entre eux disparaissent les uns après les autres, sans lien la plupart du temps, faut-il le remarquer, avec la pandémie venue de Chine.

Normalien, il avait notamment écrit un livre important : "Ils ont tué l'histoire géo" publié en 2012 chez François Bourin. La mort accidentellle de cet homme de grande culture, et d'une grande bonté, me prive d'un ami. Au moins lui aura-t-elle épargné à ce grand patriote la vue de ce que la France semble en train de devenir, entre invasion et repentance.

La messe catholique de ses funérailles en l'église Sainte-Jeanne-d'Arc de Versailles, ce 18 octobre, fut, sinon une consolation, du moins un beau moment d'hommage et d'adieu.

Voici exactement ce que sa fiche wikipedia écrit, de manière précise et chirurgicale, à ce jour, à propos de l'affaire qui va bouleverser son existence, affaire que ni les communistes ni les chiraquiens ne lui pardonneront jamais : d'avoir lutté pour la vérité et la liberté. S'étant fait élire comme anticommuniste en effet, il avait osé tenir ses promesses en procédant dans sa ville, une fois élu, à la "débolchévisation du paysage urbain".

À la suite des élections municipales de 1983, Laurent Wetzel était devenu conseiller municipal d'opposition UDF-CDS de Sartrouville, deuxième commune du département des Yvelines.

En octobre 1983, il refuse d'assister à l'inauguration d'une rue Marcel Paul en rappelant, entre autres, les agissements partisans de ce militant communiste dans le camp de Buchenwald. Il a révélé qu’en 1952 et 1953 la qualité de "déporté-résistant" avait été refusée à Marcel Paul parce qu’il avait été "arrêté pour des faits à caractère politique et non résistant" et parce qu’il "s’était rendu coupable, au cours de sa déportation, d’activités contraires à l’esprit de la Résistance". Cela lui a valu un déluge d’injures et un procès intenté par des associations de déportés et de résistants proches du Parti communiste.

Le 17 janvier 1985, le Tribunal de grande instance de Versailles le relaxe du grief de diffamation de la mémoire de Marcel Paul, après qu’il eut obtenu de la 17e Chambre correctionnelle du Tribunal de grande instance de Paris en décembre 1984 la condamnation de ses adversaires pour injure publique. En 1985, aux élections cantonales, Laurent Wetzel bat avec 56 % des voix le conseiller général sortant de Sartrouville, François Hilsum, membre du comité central du PCF, directeur-adjoint de L’Humanité et rédacteur en chef de L’Humanité-Dimanche. Il devient le suppléant du député de la 5e circonscription des Yvelines de 1988 à 1993.

Élu maire de Sartrouville en 1989 en battant Auguste Chrétienne, maire communiste depuis 30 ans, Laurent Wetzel procède, alors que tombe le Mur de Berlin, à une opération de "débolchévisation du paysage urbain". Le Conseil municipal renomme la rue Hô Chi Minh, Maréchal-de-Lattre-de-Tassigny; la rue Karl-Marx, Alexis-de-Tocqueville; la rue Lénine, Général-de-Gaulle; la rue Marcel-Cachin, Charles-Péguy; la rue Maurice-Thorez, Robert-Schuman; la rue Benoît-Frachon, Léon-Jouhaux; la rue Paul-Vaillant-Couturier, Pierre-Brossolette; la rue Jacques-Duclos, Saint-Exupéry, la rue Marcel-Paul D’Estienne-d’Orves, la rue Ambroise-Croizat Claudius Petit et la rue 19-Mars-1962, Bachaga Boualam. La salle municipale Nelson Mandela est également rebaptisée Félix Éboué.

Il a raconté la suite en 1997 dans un livre intitulé "Un internement politique sous la Ve République. Barbouzes et blouses blanches" publié chez Odilon Media.

La vengeance des communistes et de leurs alliés de toujours s'est abattue sur lui. Je suis heureux de l'avoir connu et fier d'avoir partagé avec lui le pain de l'amitié.

Source L'Insolent cliquez ici

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Eric Zemmour à Béziers avec Robert Ménard

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lundi, 18 octobre 2021

Jean-Frédéric Poisson à propos de Eric Zemmour

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Source cliquez ici

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Immigration : pourquoi douze pays de l’UE tancent Bruxelles

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Jean-Thomas Lesueur*

Le 7 octobre, les ministres de l’Intérieur de douze pays membres (Autriche, Bulgarie, Chypre, Danemark, Estonie, Grèce, Hongrie, Lituanie, Lettonie, Pologne, République tchèque et Slovaquie) ont adressé une lettre aux commissaires européens Margaritis Schinas, chargé de la Promotion de notre mode de vie européen, et Ylva Johansson, chargée des Affaires intérieures. Malgré son ton policé et constructif, la missive constitue un coup de semonce contre la politique migratoire européenne et une mise en demeure d’agir adressée à la Commission.

S’offrant de discuter et d’amender la « stratégie pour un espace Schengen plus fort et plus résilient », présentée par la Commission en juin, les signataires n’y vont pas par quatre chemins : le code frontières Schengen, adopté en 2006 et révisé en 2016, « ne traite pas suffisamment des franchissements illégaux des frontières extérieures », n’offre pas de règles claires », ne propose pas d’outils en cas de « grave menace », cantonne les instruments européens à la « surveillance des frontières » et pas à « empêcher les franchissements » ni à « lutter contre la criminalité transfrontalière » et refuse de prévoir la « barrière physique comme mesure de protection ».

En somme, la missive jette trois pierres dans trois jardins. La première est pour celui de la Commission elle-même. En rappelant à cinq reprises les « menaces et les attaques hybrides » que subissent leurs pays, les signataires dispensent une leçon de relations internationales à Ursula von der Leyen, qui avait promis de présider une « Commission géopolitique » lors de sa prise de fonctions. La Turquie hier, la Biélorussie aujourd’hui : des puissances hostiles et perturbatrices utilisent l’immigration comme une arme de déstabilisation et d’intimidation contre les Européens. Le Maroc n’a pas agi autrement en mai dernier. Le fait que les ministres de douze pays membres (soit presque la moitié) soient si insistants a une signification politique : avec ses instruments, ses procédures et ses mécanismes d’évaluation, la Commission a une approche fonctionnaliste, et non pas politique ni géopolitique, de la question migratoire. Et les signataires, eux, appellent à « une réponse efficace et immédiate »...

La deuxième pierre est pour le jardin de la Suédoise Ylva Johansson. En relayant les accusations d’associations « no borders » et de certains médias européens (principalement allemands), la commissaire chargée des Affaires intérieures avait publiquement mis en cause Frontex en février dernier. L’agence européenne était accusée d’avoir participé ou cautionné des opérations de « pushbacks » (refoulement de migrants sans leur offrir la possibilité de déposer une demande de droit d’asile) en Méditerranée, d’avoir tenté de dissimuler ces actes, d’être entre les mains du lobby des entreprises de sécurité, de renâcler à l’accueil de quarante « observateurs des droits fondamentaux » en son sein. Répétant que « l’immigration fait partie de ce qui rend notre continent prospère », Ylva Johansson semblait rêver de faire de l’agence une sorte de super ONG chargée de surveiller les frontières et de ramener sur la terre ferme européenne les migrants montés sur des bateaux de fortune.

Or, en plaidant pour que l’Union réduise les « facteurs d’attraction », les signataires demandent clairement que Ylva Johansson se fixe comme objectif la baisse des flux migratoires, et non seulement leur gestion. En réclamant que les frontières extérieures de l’Union soient « protégées avec un niveau de sécurité maximal », ils répondent à l’ancienne élue communiste devenue commissaire qui affirmait, l’an passé encore, que « la migration n’est pas une menace pour l’Europe ».

Quant à la troisième pierre, elle est jetée dans le jardin d’Emmanuel Macron et de la présidence française de l’Union européenne qui débutera le 1er janvier prochain. Les signataires, on l’a dit, réclament des actes et un objectif immédiat de baisse des flux. Mais il y a autre chose : contre « l’instrumentalisation de la migration illégale », ils se félicitent que certains pays aient « adopté des mesures résolues au niveau national ». Autrement dit, ils n’opposent pas action européenne et mesures nationales. Ils n’affirment pas, comme récemment le secrétaire d’État chargé des Affaires européennes Clément Beaune, que la politique migratoire « ne peut être qu’européenne ».

Face à la question migratoire comme face à la question de l’ordre juridique (donc politique) en Europe telle que l’a posée la Cour constitutionnelle polonaise, il y a de plus en plus nettement deux Europe. La liste des pays signataires de la lettre est éloquente : pas seulement la Pologne ni la Hongrie, si suspectes à Bruxelles et Paris, mais les pays d’Europe centrale et orientale, en plus du Danemark et de la Grèce : la Grèce avec laquelle France a signé plusieurs contrats de défense ambitieux, le Danemark dirigé par un gouvernement de gauche. Précisons en outre que l’Estonie est dirigée par un parti de centre droit qui siège dans le même groupe politique que LREM au Parlement européen, et que la Lituanie est dirigée par une coalition de centre gauche.

S’il serait prématuré de prétendre que la géographie de ces deux Europe est complètement fixée, ses contours s’affirment de plus en plus nettement. Le problème migratoire, en ce qu’il est une question existentielle qui touche à l’identité et à l’avenir des peuples et des cultures, contribue puissamment à en appuyer le tracé. Les douze pays signataires de la lettre du 7 octobre font preuve d’une lucidité salutaire devant les menaces de déstabilisation et, à terme, de dislocation qu’il recèle. Ils portent un regard éminemment politique sur ces réalités.

(*) Jean-Thomas Lesieur est le délégué général de l’Institut Thomas More, think tank libéral-conservateur

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