lundi, 04 avril 2022
Sauver la France !
Dans un entretien au Figaro, Eric Zemmour assure ne pas croire aux sondages et dit sa certitude d’être présent au second tour. Il nous précise les raisons de sa démarche, de son basculement de journaliste à candidat à l’élection présidentielle. Avec pour seul et unique mot d’ordre : l’amour de la France. Pas celle de Macron, ni de Marine Le Pen et encore moins de Valérie Pécresse, incapables qu’ils sont de nous dresser l’avenir d’un destin commun dans une France fracturée par l’immigration.
Lire l’entretien ICI
Source : Le Figaro 4/4/2022
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dimanche, 03 avril 2022
Charles-Henri d'Elloy, le procureur de Jupiter, est l'invité ce soir d'Epona sur la télévision du Parti de la France
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18:52 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Eric Zemmour répond aux attaques d'Emmanuel Macron
Invité sur LCI, j'ai répondu aux questions d'Adrien Gindre.
Emmanuel Macron me cible parce qu’il sait que je suis son seul adversaire, son contraire idéologique et politique.
Je vous dis pourquoi il est du côté des délinquants, alors que je suis du côté des victimes.
Pourquoi dans le scandale Macron McKinsey les Français sont volés trois fois.
Pourquoi je suis le vote vital pour l'élection présidentielle, ces dimanches 10 et 24 avril.
Eric Zemmour
17:50 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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LA SALLE ÉTAIT LOIN D'ÊTRE PLEINE SAMEDI APRÈS-MIDI POUR LE MEETING DE MACRON... QUEL CONTRASTE AVEC LE TROCADÉRO D'ÉRIC ZEMMOUR !
Concrètement, le bide de Macron remet les idées en places sur la confiance que l'on peut accorder aux sondages publiés...
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10:53 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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J'ai rencontré cette France qui se lève avant tout le monde
Eric Zemmour
Ce matin (samedi matin - NDLR), j’étais à Rungis.
Ou plutôt : cette nuit, car Rungis se lève avant toute la France.
Ce marché qui alimente le pays entier est le symbole du travail courageux, généreux, qui ne recule devant aucun effort.
Ici, on nourrit le peuple.
Rungis est le plus grand marché d’Europe. 234 hectares, 1 200 grossistes, un chiffre d’affaires qui dépasse les 10 milliards d’euros : ce lieu unique démontre toute la puissance de l’agriculture française. Ce qui se vend à Rungis cette nuit se trouvera demain dans les assiettes des familles les plus humbles, comme dans celles des restaurants gastronomiques les plus réputés au monde.
Discuter avec les marchands de Rungis est une expérience politique saisissante.
Contempler cet univers si riche en produits de grande qualité et en si grand nombre, vendu par des passionnés, et songer à la misère où sont plongés nos agriculteurs, m’inspire de la tristesse et de la colère.
Comment l’État peut-il négliger tant de savoir-faire paysan et commercial, au point que toutes les filières du secteur peinent à boucler les fins de mois, et que les Français s’alimentent de plus en mal ?
Nous tenons là le résultat tragique de décennies de mépris pour le monde de la terre, sa fragilité et ses exigences.
Les technocrates ont toujours eu du mépris pour les paysans. Nous récoltons aujourd’hui les fruits amers de cette arrogance et de cet aveuglement. Dans nos campagnes, les suicides se multiplient. Chacun d’eux est le symptôme d’un drame national.
Où sont les coupables ?
- L’Europe et ses contraintes délirantes.
- L’effondrement de notre identité, qui saccage nos traditions agricoles.
- Les diktats de la grande distribution.
- La bureaucratie, qui taxe et impose toujours plus, et noie nos producteurs sous la paperasse et les règles injustes.
- La politique de la ville, qui fait passer les banlieues avant tous les autres territoires.
- Le refus étatique de prendre en compte la chute de la natalité et donc la désertification des campagnes qui pousse nos paysans à fuir leurs terres.
- Le gaspillage de l’argent des contribuables par des hauts fonctionnaires, gaspillage qui a des conséquences catastrophiques sur le pouvoir d’achat.
Tout cela est à changer d’urgence.
L’assistanat généralisé, qui accorde à ceux qui ne travaillent pas des privilèges qu’elle refuse aux Français qui travaillent. Et tout cela se retrouve, démultiplié, dans les problèmes que subissent les travailleurs de Rungis.
Je regarde la réalité en face, comme nos paysans, je dis la vérité sans aucune censure, comme nos paysans, j’exige des solutions claires et nettes, J’aime sincèrement le monde rural, je l’écoute, je le comprends, je veux enfin le favoriser parce que nous ne sauverons pas la France sans lui.
Je veux défendre le monde du travail et je veux que le travail paie enfin.
Pour nos paysans, comme pour nos commerçants, nos indépendants, nos forces de l’ordre et tous les autres : je ne veux plus de cet Etat qui prend le fruit de votre travail pour le dilapider dans des dépenses folles, pour être généreux avec le monde entier ou pour faire vivre à vos frais l’immense machine bureaucratique.
Je veux taxer moins pour gagner plus.
Et pour cela, je suis le candidat à cette élection qui propose le plus de baisses d’impôts, de charges et de taxes : 22 milliards d’euros de moins chaque année !
C’est 423 millions d’euros par semaine qui ne seront plus pris dans vos poches.
60 millions d’euros par jour que vous pourrez enfin garder pour vous et votre famille.
Cette nuit, j’ai rencontré la France qui se lève avant tout le monde.
Je la défendrai.
Vive la France !
10:53 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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"Sécession" : le premier livre de Yann Vallerie, rédacteur en chef de Breizh-info.com
La chronique flibustière de
Georges Feltin-Tracol
Collaborateur au site Novopress, puis rédacteur en chef à partir de 2013 du remarquable site d’information libre Breizh Info, Yann Vallerie signe son premier essai avec une préface de Piero San Giorgio. Explosif, son contenu ne se résume pas en une énième dissertation politico – géopolitico – métapolitico – philosophique pesante. Ce livre de 102 pages mesure 11 cm par 17,7; ces dimensions en font un ouvrage facile à lire n’importe où puisqu’il entre dans une poche quelconque. C’est un grand avantage à l’heure de l’effondrement de la lecture.
Tout curieux rétif au prêt-à-penser officiel peut découvrir Sécession de Yann Vallerie grâce à sa couverture. L’Hexagone français – sans la Corse – est repeint aux couleurs du drapeau de la Confédération sudiste pendant la Guerre de Sécession nord-américaine sans les treize étoiles remplacées par trois personnes (le père, la mère et l’enfant ?) entourées par un masque coronaviral barré, un fusil, un chapelet et un livre. La bannière à la croix de Saint-André est probablement un clin d’œil facétieux aux bâtons noueux de Bourgogne, principal symbole militaire de la Monarchie hispanique d’origine habsbourgeoise.
Par-delà ces considérations vexillologiques, le sous-titre pose une interrogation cruciale : « Comment vivre hors de la République française totalitaire ? » Yann Vallerie n’entend pas quitter sa chère Bretagne pour s’installer en Côte d’Ivoire ou en Afghanistan. Il propose au contraire de sortir du système mortifère. Il part d’un fait qu’il n’énonce pas, mais qui est flagrant : la mort de la France. Toutefois, au contraire d’un célèbre candidat-essayiste, elle ne s’est pas suicidée, mais elle a bien été assassinée. L’assassin se nomme la République dite française. Face à ce remplacement politico-idéologique presque achevé, l’auteur présente en quatre chapitres concis et percutants une méthode réaliste afin de rompre avec le Moloch républicain. Il estime en effet qu’il importe de se détourner du Régime et de poser les jalons d’un autre choix. Pragmatiques, ses propositions provoqueront certainement le mécontentement des éternels cocufiés de la politique française, à savoir les « nationaux – droitards ».
Sécession sort involontairement dans un contexte politico-médiatique favorable. En Corse, une jeunesse impétueuse et revendicative proteste et défile au cri d’« État français assassin ! »; « République française tueuse ! » aurait été mille fois plus juste. Et qu’observe-t-on ? Le gouvernement kleptocratique parisien si impitoyable envers les Gilets jaunes et les associations identitaires envisage des négociations. Les événements survenus sur l’Île de Beauté à la suite de l’odieuse agression d’Yvan Colonna par un détenu islamiste, confirment le point de vue de Yann Vallerie. « Si, sur le terrain, le rapport de forces est à l’avantage des locaux, alors, la République une et indivisible ou pas, l’État plie. » Quel formidable exemple pertinent pratiqué à Corte, à Bastia et à Ajaccio !
L’enraciné européen d’expression bretonne qu’est l’auteur appelle par conséquent à « faire sauter la déconstruction gauchiste qui est devenue l’essence de la République française depuis la fin des années 60 ». Il dénonce par ailleurs l’école soumise au conformisme pédagogique d’occupation mentale. L’« éducation nationale » n’instruit plus, elle déforme des esprits malléables qui subissent ainsi des dégâts irréparables. Certes, « niant son échec absolu, la République français entend à la fois soumettre à autorisation les réfractaires à ce système à broyer les enfants ». Le Régime cible l’instruction à domicile et les écoles hors contrat, encore préservées de l’idéologie des « gens des lettres » LGBTQIAXYZ+++ et d’un cosmopolitisme aux multiples facettes.
Ce sympathique plaidoyer pour la séparation, la rupture, la sécession emporte l’adhésion, sauf sur un point. « Le retour à la presse papier et au samizdat est un leurre, affirme Yann Vallerie. Une régression même, puisque ce serait un retour à la marginalité du départ. » Pourquoi alors veut-« on » (« qui ? ») étouffer l’hebdomadaire Rivarol ? Pourquoi Yann Vallerie a-t-il imprimé ce livre et non pas rendu disponible en format pdf sur Internet ? La hausse régulière du prix du timbre et des frais de port pénalisera les projets éditoriaux dissidents, ce qui n’est pas une coïncidence fortuite. Ne miser que sur le numérique alors que le CSA et HADOPI forment dorénavant l’ARCOM dont les employés suivent des formations inclusives, s’apparente à une mauvaise tactique. L’indispensable reconquête culturelle s’organise autour de deux axes complémentaires : une présence active sur Internet et une profusion, éventuellement clandestine, de samizdat, de journaux, de revues, de dazibao, de tracts et de livres. Il sera toujours plus difficile aux forces régimistes de localiser une imprimerie secrète, éditrice de pamphlets virulents ou d’enquêtes dévastatrices, que de censurer la Grande Toile virtuelle. D’ailleurs, Yann Vallerie applique déjà cette sécession dans le cadre factuel de cet ouvrage qui ne comporte pas d’ISBN et de code barre. Pourquoi ? La page pour le commander au prix de 15 € l’explique volontiers. Il s’agit d’abord de contourner les grandes plateformes de distribution qui asphyxient les éditeurs et les auteurs. L’auteur considère ensuite qu’il n’est pas normal qu’un éditeur doive, avant même d’éditer, s’acquitter d’une taxe supplémentaire prise par l’Etat (une cinquantaine d’euros pour avoir un ISBN). On peut donc se le procurer sur le site dédié ou par chèque bancaire à l’ordre de Breizh Information (BP 201, 29 834 Karaez/Carhaix PDC1) en précisant bien que c’est pour le livre Sécession.
Ce livre ouvre dans tous les cas de grandes perspectives de libération populaire et identitaire dans le cadre de communautés informelles soudées et structurées. Le temps presse. La survie des autochtones albo-européens passe par un choix crucial : soit l’infâme République hexagonale les écrasera, soit ils la chasseront de leur quotidien afin que leur retrait suscite finalement un salutaire renversement.
Salutations flibustières !
Pour le commander : cliquez ici
« Vigie d’un monde en ébullition », n°26, mise en ligne le 29 mars 2022 sur Radio Méridien Zéro.
10:50 Publié dans Georges Feltin-Tracol, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Mercredi 6 avril à 20 h : réunion de Reconquête à Marmoutier (67)
00:29 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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samedi, 02 avril 2022
LES BOMBENT PLEUVENT SUR MARIOUPOL, MAIS LE BUSINESS SE POURSUIT !
Pieter Kerstens
Jour après jour, semaine après semaine, les médias nous inondent d’images tragiques et de commentaires catastrophiques sur la guerre en Ukraine. La propagande marche à fond !
Les gouvernements et les politicards occidentaux refusent d’affronter le « monstre » de Moscou les armes à la main et cherchent toutes sortes de moyens pour conduire la Russie à la faillite.
L’Ukraine et la Russie étant des opérateurs importants sur le marché mondial des hydrocarbures et des matières premières agricoles ou minières, les discours officiels de l’Union Européenne nous préparent à des hausses de prix et des pénuries importantes. Tout ceci, par solidarité morale avec Kiev et pour « cesser de soutenir l’effort de guerre de Moscou » quand on remplit son réservoir ou quand on se chauffe au gaz.
Cette forme de chantage envers nos populations est ignoble et trahit la lâcheté de nos dirigeants.
FAUT ARRETER DE NOUS PRENDRE POUR DES CONS !
Pendant des semaines on nous a présenté Volodymyr Zelenski comme un archange héroïque et Vladimir Poutine un fou sanguinaire : le Bien attaqué par le Mal. Comment ? Ce n’est pas aussi clair ? ? ? Depuis le début de la guerre, de nombreuses sanctions ont été prises par les Occidentaux pour punir le maître du Kremlin, dont l’interdiction d’utiliser le système SWIFT qui permet aux banques le transfert des opérations financières partout dans le monde. Interdiction pour tous, SAUF pour les banques russes qui s’occupent des transactions concernant le gaz, le pétrole et autres matières stratégiques indispensables à l’Europe.
De vastes campagnes médiatiques ont imposé aux entreprises européennes un chantage moral pour cesser leurs activités en Russie. En France on a vu le Khmer vert, Yannick Jadot, accuser le PDG de Total, Patrick Pouyané de « criminel de guerre ».
Mais si l’Europe doit stopper ses achats de pétrole ou de gaz, les Etats-Unis eux, ont augmenté leurs importations de pétrole russe du 19 au 25 mars de 40% ! Parce que le slogan « America first » s’impose pour éliminer tous les concurrents des potentats yankees, en imposant l’achat de leurs propres productions et en continuant leur business avec les pays selon leurs intérêts.
Les interventions américaines menacent l’Europe de désindustrialisation et de pertes d’emplois massives, car Biden veut transférer vers notre continent un gaz de schiste couteux qui plombera la compétitivité de nos entreprises.
Depuis le 1er avril, la Russie exige que le paiement des achats de pétrole ou de gaz en devises étrangères soit envoyé directement sur son sol, dans les banques russes, et non plus en dépôt dans une banque étrangère où les fonds sont susceptibles d’être gelés et inutilisables, au nom des sanctions décrétées contre la Russie. Ainsi, Gazprom est finalement bien payée en roubles.
LES OLIGARQUES UKRAINIENS ET ZELENSKY CONTINUENT A SE GAVER !
Parce que depuis l’intervention militaire russe en Ukraine, le gazoduc Brotherhood qui traverse le pays vers la Pologne et l’Europe n’a jamais été arrêté. Zélensky et sa clique de corrompus ont toujours perçu les péages liés au droit de passage des millions de m3 de gaz qui transitent tous les jours à travers l’Ukraine. De plus, le « héros » de Kiev se sert en permanence du gaz russe circulant par le gazoduc, pour chauffer et alimenter les villes ukrainiennes.
Et saviez-vous que l’Ukraine « démocratique » a interdit ces deux dernières années la parution de 22 journaux et les émissions de deux télévisions ?
« Qui n’entend qu’une cloche n’entend qu’un son… »
13:23 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Journal du chaos
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09:20 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Assez de scandales ! Avec Eric Zemmour, il est temps de dénoncer la collusion entre Macron et McKinsey...
Je veux vous parler du scandale d'Etat Macron McKinsey. Toute la France commence à en parler et elle a raison d’en parler. Car cette affaire démontre de manière éclatante tout ce dont nous ne voulons plus et tout ce que symbolise Emmanuel Macron : le manque absolu de respect pour votre argent, le copinage et le cynisme dangereux qui règnent à l’Élysée depuis cinq ans.
Eric Zemmour
01:03 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Un entretien avec Bernard Germain, auteur de "Méthanisation : la nouvelle escroquerie écologiste"
Propos recueillis
par Guirec Sèvres
Pourquoi ce livre sur la méthanisation ?
Ce sujet, inconnu de la plupart de nos compatriotes - particulièrement ceux qui vivent en ville - va inévitablement être largement discuté dans les prochains mois. Pour deux raisons majeures :
- initialement, la méthanisation était présentée par ses promoteurs comme le moyen de produire du « gaz vert », donc écologique. Elle fait partie des moyens qui permettraient avec les éoliennes de développer des énergies « propres », en relation avec une baisse du recours à l’énergie nucléaire.
- le conflit actuel entre l’Ukraine à la Russie a souligné notre dépendance vis à vis de la Russie, principal fournisseur de gaz pour l’Europe. Certains souhaitant sur ce plan ne plus être dépendant de la Russie, des solutions alternatives vont donc être recherchées. Le développement massif de la méthanisation fait partie des solutions possibles.
Il m’est donc apparu intéressant de rédiger ce livre afin d’exposer ce qu’est la méthanisation et surtout de donner au lecteur les moyens de répondre à la question : « est-ce une bonne idée ? ».
Pouvez-vous en quelques mots nous dire ce qu’est la méthanisation ?
C’est un procédé qui consiste à produire du gaz (méthane) à partir de déchets (excréments d’animaux, boues de stations d’épuration...) qui, mélangés avec du carbone (végétaux), vont en milieu anaérobie et sous l’action de micro-organismes, produire du méthane.
Ce méthane est récupéré et après épuration, sera injecté dans le réseau de gaz ou être injecté dans une turbine et brûlé. Ce qui permettra de produire de l’électricité qui sera vendue à EDF.
A l’issue du processus, il reste des déchets (90 % de ce qui entre !). C’est le « digestat » qui sera épandu à la surface des champs en qualité « d’engrais ».
A l’origine, la méthanisation devait se pratiquer « à la ferme » et constituer un petit complément de revenu pour les agriculteurs durement touchés par les prix auxquels ils doivent vendre leurs productions.
Sur le papier, tout cela semble très bien. Est-ce bien la réalité ?
Absolument pas. L’idée de base (la méthanisation « à la ferme ») a vite été remplacée par des structures de plus en plus grosses que le petit paysan ne peut pas s’offrir.
Certains se sont engouffrés dans le créneau ayant vite compris qu’il y avait beaucoup d’argent à gagner, d’autant que les subventions sont largement distribuées (Europe, ADEME, Régions, Départements...) auxquelles il convient d’ajouter des contrats sur 15 à 20 ans, à prix garantis.
Par ailleurs, l’équation économique de la méthanisation est absolument consternante.
Enfin, la méthanisation est une authentique catastrophe pour l’environnement et les populations.
Avez-vous été confronté à ces problèmes ?
Oui. J’ai découvert la méthanisation il y a trois ans. Un projet d’unité de méthanisation a tenté de s’installer près de mon domicile, dans un joli petit bourg des Côtes d’Armor vivant largement du tourisme. L’affaire n’est pas terminée. Elle est en jugement.
Je me suis fortement engagé dans la mobilisation contre ce projet. C’est à cette occasion que j’ai appris tout ce que je sais dans ce domaine. Je fais largement part de cette expérience dans le livre.
Votre livre explique donc ce qu’est la méthanisation et comment la combattre ?
Effectivement, au-delà d’une présentation de la méthanisation, ce livre donnera aussi à tous ceux qui sont confrontés à un projet d’unité de méthanisation, des informations précieuses sur la manière de s’y opposer.
Il n’y aura jamais de méthanisation au Champ de Mars à Paris. Les « bobo-écolo » trouveront certainement le concept formidable d’autant qu’il est qualifié de « vert ».
Mais les habitants des campagnes, confrontés à la réalité de la méthanisation ont et auront un point de vue radicalement différent, basé sur leur expérience.
Quant au pays tout entier, il me semble urgent que des hommes politiques prennent conscience de la catastrophe qui s’annonce si la filière devait connaître un fort développement.
Qu’ils prennent conscience... et surtout qu’ils se mobilisent pour empêcher ce désastre à venir.
"Méthanisation : la nouvelle escroquerie écologiste", Bernard Germain, Les bouquins de Synthèse nationale, collection Pourquoi ?,106 pages, 18,00 € cliquez ici
00:48 Publié dans Bernard Germain, Livres, Rencontre avec... | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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vendredi, 01 avril 2022
Entretien avec Patrick Drahi : « pourquoi j’ai décidé de soutenir Zemmour »
Source OJIM cliquez ici
En cette Sainte-Hugues du premier avril 2022, Patrick Drahi crée la surprise en annonçant son soutien à Éric Zemmour. Il a accordé à Claude Chollet et à l’Ojim un entretien exclusif par téléphone.
Claude Chollet : Monsieur Drahi, merci de cette exclusivité qui sonne comme un coup de tonnerre dans la campagne électorale un peu molle de la présidentielle du printemps 2022. Votre soutien est-il une décision récente ou au contraire est-il préparé depuis un certain temps ?
Patrick Drahi : Vous permettez que je vous appelle Claude ? Vous savez Claude que je suis un homme discret, je ne me répands pas dans les médias, j’ai une vie familiale rangée, je travaille beaucoup et je ne fréquente pas les journalistes, heureusement (rires). Je voyage constamment pour mes affaires mais ma résidence principale est en Suisse, un pays où la sécurité est assurée, celle de mes enfants comme la mienne. Mais les témoignages des français qui vivent dans des « quartiers sensibles », où les femmes non voilées ne peuvent pas sortir dans la rue ou ceux des autres jeunes filles qui ne peuvent pas prendre le métro ou le RER sans être importunées ou pire, m’avaient déjà fait réfléchir et le programme de Zemmour sur la sécurité avait déjà trouvé un certain écho en moi.
Claude Chollet : Vous permettez que je vous appelle Patrick ? Patrick, vous parlez d’un « certain écho » mais ce n’est pas suffisant pour annoncer un soutien franc et surtout public ?
Patrick Drahi : J’ai hésité Claude, j’ai hésité. À cause du qu’en dira t’on, à cause de ma famille, à cause de mes affaires aussi où les risques sont réels de contre-mesures – fiscales, sociales, réglementaires — des autorités sur mon empire téléphonique. Mais ce qui a emporté mon adhésion, c’est le meeting du Trocadéro. Ces dizaines de milliers de gens, cette atmosphère à la fois d’exaltation et gentille, la ferveur générale, les drapeaux agités, le remarquable discours d’Éric, tout ça m’a fait sauter le pas. J’étais incognito dans la foule avec un chapeau pour ne pas être reconnu. À la fin du discours j’ai jeté mon chapeau en l’air et j’ai crié comme tout le monde « Zemmour président ! »
Claude Chollet : Vous avez évoqué de possibles difficultés pour vos affaires téléphoniques mais qu’en est-il pour Libération. Le rédacteur en chef Dov Alfon, vient de publier un communiqué « Pas ça, pas vous, pas maintenant ».
Patrick Drahi : Je connais bien Dov qui est franco-israélien comme moi. Vous savez qu’il a travaillé pour les services de renseignement de l’armée israélienne, il connaît la musique. Je pense qu’il a fait ce communiqué pour calmer sa rédaction qui est toute acquise à la cause libérale libertaire et aux valeurs mondialistes de la société de consommation avec ses tares et ses excès. Je suis pour la famille, pour l’ordre, pour la transmission.
Claude Chollet : Quand même, le quotidien préparerait sa Une pour demain avec votre photo estampillée « La Honte ». Un des rédacteurs, Pierre Plottu menace de s’émasculer publiquement en signe de protestation. Vous n’êtes pas gêné ?
Patrick Drahi : (en colère), Ces petits cons ne vont pas me mettre une étoile jaune quand même ? Vous savez que je contrôle la fondation qui est au-dessus de la société éditrice du journal ? Je crois que vous avez publié un article sur le sujet. C’est moi qui assure leur salaire à ces bobos mal décrassés ! Ils votent pour qui ils veulent et moi aussi ! Vive la liberté ! Vive Zemmour !
Claude Chollet : Merci Patrick et sans doute à bientôt.
18:35 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Neuvaine pour la France et le Règne du Sacré-Coeur du 1er au 9 avril, veille du premier tour
Aujourd'hui, le premier avril commence une neuvaine avant le premier tour de l'élection présidentielle. Vous pouvez vous y associer. Voici la prière que l'on peut réciter afin de demander au Sacré Cœur de nous sortir de cette situation.
18:34 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Présidentielle : candidats et éoliennes
Le Conseil d’Administration de la Fédération Environnement Durable a rédigé un questionnaire en 12 points destiné à tous les candidats concernant les éoliennes terrestres et en mer.
Ce document leur avait été adressé par tous les moyens permettant de les contacter (Lettres avec ARC, emails, formulaires de contact, rencontres personnelles, etc.).
La grande majorité d’entre eux ont répondu et nous les en remercions.
17:39 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Ukraine : deux questions fondamentales
Par Bruno Mégret
Pourquoi une guerre totale pour un enjeu mineur ?
En même temps que la guerre s’enlise sur le terrain, l’hostilité entre les deux parties adverses s’intensifie en effet dangereusement. Du côté russe, les armées de Poutine adoptent maintenant une stratégie reposant largement sur les bombardements avec les dommages qui en résultent en termes de morts et de destructions. Du côté ukrainien c’est, en plus de l’armée régulière et de façon très inhabituelle, la levée en masse des civils armés qui multiplient les actions de guerre.
Comment ne pas s’étonner d’une telle montée en puissance de l’agressivité guerrière quand on sait que l’enjeu du conflit ne relève nullement d’un antagonisme essentiel ? Nous ne sommes pas en face d’un conflit de civilisation qui mettrait en péril l’identité voire la survie même de la nation ukrainienne.
Il ne s’agit pas des hordes ottomanes montant à l’assaut des murailles de Byzance. Il n’y a rien de commun avec la bataille des champs Catalauniques qui stoppa l’invasion des Huns ou la défense de Vienne qui arrêta la progression des armées turques.
Non, rien de tel, car Russes et Ukrainiens sont très proches tant pas la population que par la religion, la culture et l’histoire. Les uns comme les autres appartiennent à la même civilisation européenne et chrétienne. L’objet du conflit est dès lors de bien moindre importance puisque, mise à part la question du Dombass, il porte essentiellement sur le statut international de l’Ukraine : peut-elle ou non entrer dans l’Otan, doit-elle ou non rester neutre entre la Russie et l’Union européenne ?
Se pose donc cette première question fondamentale, pourquoi un tel extrémisme guerrier pour un enjeu qui n’a rien de vital ? Pourquoi est-on si loin des conflits classiques tels que l’Europe en a connu d’innombrables du temps de sa splendeur lorsque les armées se combattaient, laissant les civils de côté et amenant les vaincus à capituler et à signer un traité de paix ?
Pourquoi les non-belligérants jouent-ils les boutefeux ?
Se pose par ailleurs une autre question concernant cette fois les non-belligérants. Car, très curieusement les actions économiques et de communication menées par les Occidentaux, loin d’apaiser les antagonismes, contribuent au contraire à les exacerber.
Ce conflit se concrétise en effet par des initiatives menées par l’Occident contre la Russie qui se traduisent par des sanctions économiques de plus en plus contraignantes et de plus en plus déstabilisantes pour les Russes certes, mais aussi pour nos compatriotes et, bien au-delà, pour l’économie mondiale. À cela s’ajoute une véritable guerre de communication menée par les autorités ainsi que par les médias occidentaux qui s’en prennent aux Russes et à leur président dans les termes les plus violents, parlant de pays paria, de génocide, de crimes de guerre, d’armes chimiques.
Aussi se pose-t-il une deuxième question fondamentale.
Pourquoi, dans ce conflit, les non-belligérants que sont les Occidentaux et tout spécialement les Européens ne cherchent-ils pas à faire baisser la tension guerrière et à amener les parties prenantes à un cessez‐le-feu et à trouver un compromis acceptable pour les deux parties ?
On pourrait subsidiairement se poser une question à propos du président ukrainien qui en temps de paix n’a pas eu la sagesse, pour protéger son peuple, d’accepter un statut de pays neutre comme cela a été longtemps le cas de l’Autriche par exemple. Et qui, maintenant que le conflit est ouvert, prône une guerre totale impliquant sa propre population et cherchant à entraîner dans le conflit les pays d’Europe. Une démarche de boutefeux qui, face à une invasion indéniablement condamnable, ne peut qu’aggraver les souffrances et les destructions pour son peuple et son pays.
Il n’est pas simple de répondre à ces questions. Mais les Ukrainiens devraient peut-être se demander si certains ne cherchent pas à utiliser leurs souffrances pour atteindre un objectif géopolitique majeur à leurs yeux : disqualifier durablement la Russie et la couper définitivement de l’Union européenne.
11:16 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Demain fera-t-il jour ?
Le billet de Patrick Parment
On sait très bien par expérience que les programmes politiques énoncés en raison d’élection à venir ne sont que des bouts de papiers jetés au gré du vent qui passe. Chacun essaie de répondre aux problèmes du temps présent, d’où la fatale inactualité de ces programmes une fois l’élection passée. Certes, on aurait mauvaise grâce de dire qu’il n’en reste rien, mais les urgences d’un jour ne sont pas celles du lendemain.
Aussi, les exégèses autour du programme d’Emmanuel Macron ou de Marine Le Pen ne sont à regarder que comme des curiosités. Eric Zemmour, dans ce cirque que constitue une élection présidentielle, présente une exception car il a mis le doigt là sur le danger majeur pour l’avenir de notre pays et de nos enfants : la maîtrise de l’immigration et une remigration plus que nécessaire. On oublie trop souvent que plus d’un million de Français d’Algérie ont regagné la métropole en un temps record.
L’autre aspect majeur que nos politiques se gardent bien d’évoquer, est que cette immigration incontrôlée a notablement fracturé la société française mettant à mal ce que l’on appelle d’ordinaire la communauté nationale. Ce que résume le sentiment général du « on n’est plus chez nous ». Nous devons donc tout à la fois lutter contre cette immigration – la France n’est pas une poubelle – et surtout reprendre en main une justice beaucoup trop laxiste et donner à nos policiers les moyens dont ils ont besoin.
Le degré de violence dû à l’immigration a atteint un niveau qui devient insupportable pour les populations qu’il s’agisse des villes, des banlieues et des campagnes. Il est par ailleurs intolérable de laisser s’implanter dans notre pays un islamisme qui ne correspond à rien dans notre culture judéo-chrétienne. Imagine-t-on élever une église en Arabie saoudite et autres pays du radicalisme islamique ? Une politique de rupture et de fermeté s’impose de manière urgente et on voit mal qui d’autre qu’Eric Zemmour pour la mener à bien.
Reste également que le prochain président aura comme l’on dit du pain sur la planche. Une pandémie qui affecte toujours l’économie française, une dette abyssale et surtout une Europe qu’il serait temps de régenter afin que cesse les méfaits, entre autres, d’une Commission dont les membres ne sont pas élus, faut-il le rappeler. Et tous les présidents qui se sont succédés ont fait preuve de la même incompétence, Ursula van der Leyden en tête en digne émule d’Angela Merkel shootée au mondialisme anglo-saxon.
Le conflit russo-ukrainien, par ailleurs, a mis en valeur tous les dysfonctionnements dont souffre cette institution. Et en premier lieu notre vassalité à l’égard des Américains où Emmanuel Macron a tenté de jouer les petits télégraphistes. Il serait temps de reconsidérer notre situation au regard de la géographie. Si cette guerre a eu lieu, et on ne peut que le déplorer, c’est bien parce que les Américains ont manipulé les Ukraniens et les Européens à ne pas respecter les traités, celui de Minsk notamment. Vladimir Poutine a toujours clamé qu’il ne voulait pas d’implantation de missiles en Europe - pas plus que les Américains avec les missiles russes à Cuba -, sous couvert de l’Otan. Et ce dès sa prise de pouvoir en l’an 2000. Les Américains, avec l’aval de l’Allemagne et plus encore de la Pologne ont fait l’inverse. Ces deux pays vivent dans la hantise imaginaire d’une invasion par l’armée russe !
Cette guerre a également bien mis en lumière notre dépendance énergétique vis-à-vis de la Russie, notamment pour ce qui concerne le gaz et pour partie le pétrole. Va-t-on se diriger vers un aléatoire approvisionnement américain qui va nous coûter la peau des fesses ? Je pense qu’il est temps que les Européens reprennent leur destin en main. Ce ne sera pas facile tant les tensions intra muros sont fortes. Les intérêts des pays du Nord s’entrechoquent avec ceux du Sud et plus encore de l’Est. Mais notre destin est commun. Il faudra donc bien trouver des solutions. L’Europe ne saurait se résoudre à n’être qu’une balle de ping pong dans l’affrontement entre Américains, Russes et Chinois. Avec cette guerre, c’est tout l’échiquier géopolitique, mais aussi économique qui est remis en cause avec le retour des nations sur la scène. L’Europe sera-t-elle absente ?
On rêve d’une Europe puissante. Mais on n’en prend pas le chemin. La tâche du prochain président sera donc ardue et il devra batailler sur tous les fronts. Raison de plus pour que ce dernier ait une réelle vision du monde et plus encore une certaine idée de la France. A ce jour, on ne voit guère qu’Eric Zemmour pour porter cet espoir. Car avez-vous seulement entendu les Macron, Pécresse, Le Pen, Jadot et autres Mélenchon nous parler d’un destin français ? Et l’Europe, est-elle condamnée à accueillir toute la misère du monde ?
10:50 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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MACRON ET MCKINSEY
00:34 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Élection présidentielle truquée ?
00:30 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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jeudi, 31 mars 2022
VALEURS ACTUELLES D'AUJOURD'HUI
18:25 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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SAMEDI DERNIER À PARIS : IMPOSANT DÉFILÉ PATRIOTIQUE À L'INITIATIVE DE L'ASSOCIATION "PLACE D'ARMES"
Présidée par Jean-Pierre Fabre Bernadac, un officier de gendarmerie à l'idéal patriotique bien encré, l'association Place d'armes est constituée d’anciens militaires, de membres de leurs familles et de soutiens civils, tous bien décidés à faire vivre les valeurs de l’Institution et à les diffuser au cœur de la société en développant un lien armée-nation.
Autrement dit Place d’armes poursuit deux objectifs :
• Créer une fraternité d’arme d’entraide et de camaraderie ;
• Peser de tout son poids pour que les valeurs inculquées par l’Armée : honneur, patrie et fidélité, soient à même de nous fédérer, au-delà des clivages politiques, pour préserver notre nation.
C'est dans cet esprit que samedi dernier elle organisait à Paris sa Marche de la fierté française à laquelle participèrent plusieurs milliers de Français attachés à leur nation et à leur civilisation. Un premier succès pour Place d'armes...
Lire le site cliquez ici
Le président Fabre Bernadac interrogé par la presse qui restera cependant fort discrète par rapport à cet événement.
16:55 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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La vérité sur les sondages
Éric Zemmour
Un mystère hante l’élection présidentielle : et si les sondages se trompaient complètement ?
Les commentateurs en parlent, les politiciens professionnels le craignent, les sondeurs s’interrogent.
Leur conviction : rien n’est joué.
Leur question : existe-t-il un vaste réservoir de suffrages que personne ne parvient encore à détecter, mais qui pourrait déjouer les pronostics au soir du premier tour ?
Ma réponse : ce réservoir existe bel et bien, et surtout, il est une excellente nouvelle pour la démocratie et pour la France.
Il existe plusieurs manières d’évaluer les intentions de vote.
Le plus souvent, les médias parlent de la méthode statistique traditionnelle : celle des instituts de sondage. Elle consiste à demander à des gens qui aiment être sondés et qui se sont pour cela inscrit sur des « panels », quel est leur candidat préféré.
Notez bien : à des gens qui aiment être sondés.
Vous qui me lisez, avez-vous déjà été sondé ? Non, 99% d’entre vous répondront non.
Car il est impossible d’interroger les autres, ceux qui ne savent pas comment faire partie de ces « panélistes », ceux qui se méfient des sondages, ou ceux qui les détestent carrément. Ceux-là sont innombrables, sans doute de plus en plus nombreux.
Et, parmi eux, il n’y a pas que des abstentionnistes ou des « antisystèmes » : on y trouve une grande diversité d’électeurs qui refusent tout simplement de donner leur opinion. J’en ai rencontré tous les jours lors de ma campagne.
Mais il existe une autre manière de sonder les intentions d’un peuple : la réalité de la vie, effective, concrète, incarnée, des citoyens français.
- Que Reconquête!, mon parti fondé il y a à peine trois mois, compte aujourd’hui 120 000 adhérents et soit le plus puissant parti de France, voilà une information concrète.
- Que mes meetings soient incontestablement les plus peuplés et les plus fervents de la campagne électorale, voilà une certitude fondée.
- Que nous soyons les seuls à pouvoir remplir la place du Trocadéro de 100 000 patriotes venus des quatre coins de France, quand mes concurrentes ne dépassent pas les 6 000 personnes, est une information capitale. Dimanche dernier, nous avons vu le nombre et nous avons vu la ferveur : ce sont les deux déterminants d’un vote massif, car le nombre se démultiplie et car la ferveur est contagieuse.
- Que mes vidéos et mes passages à la télévision obtiennent des scores incomparablement plus élevés que ceux de mes adversaires, personne n’ose le nier.
- Que les dons, les messages de soutien et les témoignages de sympathie affluent vers moi comme vers aucun autre candidat, c’est aussi vrai que deux et deux font quatre et cela est chaque jour plus vrai et plus impressionnant que la veille, quels que soient les scores des instituts.
Un proverbe dit : « Crois ce que tu vois, pas ce qu’on te dit. »
Je vois la surabondance des preuves et je vois l’omniprésence de mes sympathisants dans tous les secteurs de la société française. Vous la voyez aussi et vous sentez, sur tous les marchés de France, qu’elle se situe bien au-delà de 12 %.
Vous sentez que parmi les millions de soutiens qui convergent vers ma candidature, il y a un très grand nombre d’abstentionnistes. Ils me disent que cette fois, ils veulent aller voter.
Pourquoi ?
Parce que je ne suis pas un politicien professionnel, parce que je n’ai jamais vécu aux crochets du contribuable, parce que je ne suis pas à la recherche d’un poste, parce que je renverse le jeu des partis traditionnels et parce que je suis le plus grand opposant à Emmanuel Macron.
Ils savent qu’ils peuvent compter sur moi. Je sais que je peux compter sur eux.
Enfin, il y a ceux qui ne peuvent pas dire qu’ils vont voter pour moi. Parce que leurs milieux professionnels ou familiaux sont soumis au régime de la terreur du politiquement correct.
Je pense à ceux qui viennent me dire leurs craintes : à ces Français des banlieues, à ces fonctionnaires, à ces enseignants, à ces artistes, qui doivent se cacher par crainte des représailles.
Je pense à tous ces résistants avec affection. Ils ne sont pas des lâches : ils sont des cibles. Ils placent leur espoir en ma candidature. Je compte sur leur revanche dans l’isoloir.
Le soir du premier tour sera leur soir.
Additionnez tous ces sondages, tous ces sympathisants si enthousiastes, tous ces abstentionnistes, tous ces silencieux, et vous obtenez un peuple.
Un peuple impossible à quantifier, mais qui est là, impatient et digne, prêt à créer la surprise. Un peuple qui veut me voir dire la vérité française à Emmanuel Macron, les yeux dans les yeux, pendant le débat du second tour. Un peuple qui veut que la France reste la France. Un peuple qui sait qu’impossible n’est pas français.
Dans 11 jours, notre peuple ridiculisera tous les faux prophètes et tous les mauvais experts.
Ce peuple, c’est vous.
Cet événement historique du 10 avril à 20 heures, c’est nous.
À demain pour la suite.
Vive la France !
01:05 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mercredi, 30 mars 2022
Jeudi 31 mars à 21 h 00 : Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, est invité au "Forum du PdF" sur Télégram
18:13 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Web | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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L'émission "Synthèse" sur TV Libertés avec comme invité Claude Chollet, président de l'OJIM
Connaissez-vous la Dilcrah, la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT (ouf) ? Non ? Alors, rappelez-vous du film magnifique "Le Corbeau" de 1943 de Georges Clouzot avec l’épatant Pierre Fresnay. Le film est inspiré d’un fait divers réel survenu en 1922, l’affaire de Tulle. Plus de cent lettres anonymes dénonçaient alors la "mauvaise conduite" de certains, l’adultère des uns, l’enfant naturel des autres. L’auteur, une vieille fille frustrée signait "L’œil du tigre" et ajoutait le dessin d’un corbeau. Le corbeau dénonce un tel qui couche avec une telle alors qu’il est marié, ou celui qui ne braie pas avec le troupeau, mais le corbeau exige aussi la punition par l’intercession du jugement moral de la communauté.
Roland Hélie, Philippe Randa et Pierre de Laubier reçoivent dans leur émission "Synthèse" Claude Chollet, collaborateur de la revue Éléments qui vient de publier aux éditions de la Nouvelle Librairie La Dilcrah, fossoyeur de nos libertés ; il dénonce, au nom de la salubrité publique, sa nuisance souvent haineuse et toujours partisane.
LE LIVRE DE CLAUDE CHOLLET CLIQUEZ ICI
15:43 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Dette publique : spirale vertigineuse
Gaëtan Capèle
C’est l’éléphant dans la pièce que tout le monde fait mine d’ignorer : a douze jours de l’élection présidentielle, l’énorme sujet de la dette publique brille par son absence dans le débat politique. Les chiffres pourtant, donnent le vertige. L’endettement de la France, pris dans une spirale vertigineuse, a triplé en vingt ans pour dépasser les 2800 milliards d’euros. La Cour des comptes, chargée de surveiller le bon usage de l’argent public, s’inquiète ouvertement de cette trajectoire, en passe de devenir hors de contrôle. Depuis un demi- siècle, quelle que soit la météo économique, la France vit au-dessus de ses moyens, en dépensant systématiquement davantage que ce qu’elle possède. Avec la pandémie, puis la flambée des prix de l’énergie, les dernières digues ont lâché. Au nom de circonstances exceptionnelles qui le sont de moins en moins, l’État se charge de tout, se substitue à tout, paie tout, quoi qu’il en coûte.
Cette infantilisation du pays prépare des lendemains difficiles. Personne, à part Jean-Luc Mélenchon, ne croit à la fable d’un effa- cement de la dette. La réalité est qu’avec son gonflement sans fin et la remontée des taux d’intérêt, il faudra, à l’avenir, consacrer de plus en plus de moyens à son remboursement. Et que la générosité publique actuelle, purement factice, annonce les impôts de demain.
On cherche en vain, dans la frénésie dépensière des programmes électoraux, ce qui pourrait interrompre cette fuite en avant. Emmanuel Macron ou son successeur devra pourtant bien s’y astreindre. Car le monde d’avant, que l’on croyait révolu, revient au galop. Les banques centrales préparent la fin de l’argent gratuit à volonté. Les créanciers internationaux recommencent à trier les bons et les mauvais risques. Les Européens s’apprêtent à renégocier les règles budgétaires applicables dans la zone euro. La France, qui n’a quasiment jamais respecté les précédentes, espère davantage de souplesse et ambitionne même de convertir ses voisins aux bienfaits de la dette commune. Son lourd passif ne plaide pas en sa faveur.
Source : Figaro 30/3/2022
10:22 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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MERCREDI 30 MARS (À PARTIR DE 18 H) : CLAUDE CHOLLET, DIRECTEUR DE L'OJIM, INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR TV LIBERTÉS
00:05 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 29 mars 2022
Robert F. Kennedy, Jr. s'adresse aux Français
Robert F. Kennedy, Jr. « Les Français doivent comprendre qu’il s’agit d’un projet mondialiste pour créer une technocratie permanente qui nous gouvernera au profit des grandes entreprises plutôt que pour l’esprit humain, l’âme et la dignité humaines et la santé publique.
J’ai écrit ce livre pour que les Américains, qu’ils soient démocrates ou républicains, puissent comprendre le rôle pernicieux du Dr Fauci, qui permet aux entreprises pharmaceutiques d’asservir notre gouvernement et de subvertir notre démocratie. Je l’ai aussi écrit pour relater le rôle clef joué par le Dr Fauci dans le coup d’État qui se joue actuellement contre la démocratie.»
Vous pouvez commander ce livre chez son éditeur par ICI
16:37 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le succès d'Eric Zemmour :
15:30 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Ukraine : QUELQUES VÉRITÉS (PAS) BONNES À DIRE
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Indépendamment des pertes humaines qu’il est difficile à ce jour de quantifier - civils ukrainiens, militaires des deux camps - Vladimir Poutine a commis quelques erreurs majeures d’appréciation de la situation.
La première, en surestimant les capacités de son armée, qui semble en difficulté face à une résistance acharnée, malgré ses frappes bien souvent aveugles. La seconde erreur, en sous-estimant la rage à se battre des forces ennemies. On est en droit de s’interroger sur la capacité tactique des chefs d’unités russes sur le terrain, à voir comment se sont faits « allumer » les chars sur une grande route, alignés en file indienne, comme à la parade. Pas besoin de sortir de Saint-Cyr pour deviner que l’on n’engage jamais des blindés en terrain découvert, sans avoir fait procéder à une reconnaissance de l’avant… Quelles belles cibles pour les Ukrainiens, postés en embuscades, leurs modernes Panzerfausts à l’épaule ! Il semble que la doctrine d’emploi des moyens blindés n’ait pas évolué depuis l’ère soviétique. On a vu, à l’occasion des trois dernières guerres israélo-arabes – 1956, 1967, 1973 - ce qu’il en était, déjà, sur le terrain.
Troisième faute, un comble, Poutine a contribué à redonner vie à l’OTAN, un organisme qui, selon notre « Phare de la pensée nationale » - Macron – était en « état de mort cérébrale », sans oublier qu’il a également contribué à faire se resserrer les liens distendus unissant les pays de l’Union européenne.
Quatrième erreur, par ses bombardements massifs tuant de nombreux civils, il a contribué à faire émerger une nation ukrainienne que l’on disait divisée entre Ukrainiens « pur jus », notamment du côté de la Galicie à l’ouest, et Russophones du Donbass que, justement, il se proposait de libérer.
Et, cinquième conséquence négative de ce conflit - qui nous affecte le plus tout autant que la mort de nos frères européens dans les deux camps - il retarde d’au moins une à deux bonnes décennies, sauf imprévu, tout espoir de constituer un ensemble continental pacifié de « Brest à l’Oural » comme l’exprimait De Gaulle, qui ne disait pas que des bêtises. Une sorte « d’Euro-Sibérie » déconnectée de l’emprise américaine, où les nations d’Europe occidentale, indépendantes mais militairement soudées, échangeraient leurs produits finis et leurs biens de consommation courante, contre les immenses ressources minérales russes, une sorte d’échanges gagnants/gagnants.
Une consolation – pour longtemps ? – il semble qu’à part Renault qui s’est discréditée pour un bon moment - Mercédès et BMW lui tailleront des croupières lorsque la paix sera revenue ! - d’autres firmes françaises résistent aux insupportables injonctions du Président Zelensky, et restent sur le marché russe. Nous avions à Londres, le « général micro », il y a à Kiev un « Président télé » que les medias de la « bienpensance » viennent d’ériger en héros planétaire.
15:13 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Macron et la politique du grand écart
Françoise Monestier
Les hasards du calendrier ont permis à Emmanuel Macron de bénéficier des avantages de sa double casquette de président sortant et de candidat au renouvellement de son mandat lors de la cérémonie d’hommage aux victimes de Mohamed Merah, organisée à Toulouse le 20 mars dernier par le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) et son responsable régional Franck Teboul, proche du maire de la ville. Flanqué de son épouse, le président de la République a rendu hommage aux victimes, quatre juifs dont trois enfants, deux militaires musulmans et un soldat catholique, en évoquant simplement « une vision dévoyée de l’islam » pour qualifier la tuerie perpétrée par celui que l’on avait d’abord présenté comme le « tueur au scooter ».
L’ombre de la Shoah
« Depuis dix ans, face aux drames, face à leur répétition, nous n’avons pas baissé la tête. [...] Nous n’avons rien cédé, rien abandonné, sûrs et fiers de nos valeurs, recherchant sans trêve l’équilibre ente la défense de nos libertés et le renforcement de notre sécurité », oubliant, pêle-mêle, Charlie Hebdo, Magnanville, le Bataclan, Samuel Paty ou nos soldats victimes des tueurs islamistes. En revanche, il a rappelé, en s’adressant au président israélien Isaac Herzog qui avait fait le déplacement depuis Jérusalem, que le Parlement s’est abrité fin 2019 sous le parapluie de l’ Alliance internationale pour la mémoire de la Shoah pour définir l’antisémitisme afin de lutter contre « ses formes les plus insidieuses, les plus pernicieuses comme les plus désinhibées ». L’occasion rêvée pour Franck Teboul, après avoir demandé une minute de silence pour l’Ukraine, de s’en prendre violemment, sans le nommer, à Zemmour, déplorant que « les vieilles thèses ressurgissent », évoquant ses propos visant « l’innocence d’un capitaine » ou l’idée qu’un « traître puisse être considéré comme un bouclier ». Pendant ce temps-là, les horreurs commises aux cris d’« Alla-hou Akbar » passaient au second rang et le CRIF peut continuer à tirer les ficelles.
Fausses notes ?
Des esprits chagrins noteront qu’aucun hommage n’a été rendu, pour cette commémoration, aux trois militaires abattus par Merah qui avait soigneusement préparé sa tuerie. « Ils n’ont rien fait et je pleure. J’ai perdu un fils de trente ans, un fils de la République », déplore Latifa Ibn Ziaten qui a regretté l’absence de paroles spécifiques pour les soldats. François Hollande n’avait pas fait mieux en 2012, en qualifiant de musulman le catholique Abel Chenouf, un des trois militaires tués par Merah, provoquant la réaction de son père qui condamnait « l’inculture, l’agression verbale et le mépris » de l’ancien président.
Autre fausse note dans cette cérémonie, l’hymne israélien a été chanté avant notre Marseillaise et Emmanuel Macron a invité le grand rabbin de France à réciter le kaddish, la prière prononcée pour les morts dans la religion juive, sans convier les représentants de la religion catholique et de la religion musulmane à faire de même pour les autres victimes.
Trois jours plus tard, le même Emmanuel Macron s’indignait, après la mort de Colonna, violemment agressé par un Camerounais djihadiste dans sa prison d’Arles, que les étendards aient été mis en berne par la collectivité de Corse, oubliant qu’en 1953 ces mêmes symboles de la République l’avaient été pour la mort de Staline (des millions de morts au compteur) et en 2013 pour Mandela. Histoire sans paroles.
Source : Présent 29/3/2022
15:04 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Allemagne. Le cabinet McKinsey a conseillé le gouvernement Merkel sur l’accueil des migrants… contre 30 millions d’euros
SOURCE BREIZH-INFO cliquez ici
Le cabinet de conseil McKinsey, n’ayant versé aucun impôt en France depuis au moins 10 ans malgré des factures de plusieurs millions d’euros et dont l’un des responsables serait un proche d’Emmanuel Macron, est également intervenu en Allemagne. Pour conseiller le gouvernement Merkel sur l’accueil des migrants. Moyennant, là encore, une belle rémunération.
Quand McKinsey venait au chevet de l’Allemagne sous la pression migratoire
Puisque la France découvre progressivement (quoiqu’un peu tard) les relations troubles entre l’État français et McKinsey, il est donc temps de s’intéresser rétroactivement aux activités passées de ce cabinet de conseil en stratégie new-yorkais en Europe.
À ce titre, le cas de l’Allemagne est intéressant. Durant la crise migratoire de 2015, il s’avère que McKinsey a conseillé le gouvernement d’Angela Merkel dans sa gestion des flux de clandestins. Depuis, plusieurs titres de presse ont évoqué ces prestations de conseil.
Si le quotidien français La Dépêche s’interrogeait en février 2021 sur le rôle du « mystérieux cabinet McKinsey, qui accompagne Emmanuel Macron de la création d’En marche à la vaccination contre le Covid-19 », les projecteurs furent également braqués, cette fois par le Washington Post en juin 2017, sur la façon dont le cabinet de conseil avait « discrètement façonné la réponse de l’Europe à la crise des réfugiés ». Une réponse qui, comme en France pour les conseils en matière de stratégie vaccinale ou pour réduire les dépenses publiques, a conduit l’Allemagne à régler une facture plutôt salée à McKinsey.
Près de 30 millions d’euros pour ouvrir les portes de l’Allemagne aux migrants
Tandis que le pays était alors gouverné par la chancelière Angela Merkel, il faut donc rappeler que l’Allemagne a accueilli 1,5 million de clandestins en 2015, année marquée par ce que les responsables politiques d’Europe de l’Ouest et les médias mainstream appelèrent la « crise des migrants ». Avec la publication, dans ces mêmes médias, le 2 septembre 2015 de la photo d’un enfant syrien mort noyé, Aylan, l’objectif était alors à peine caché : faire accepter aux européens les mouvements de populations extra-européennes parmi les plus importants de l’histoire.
L’année suivante, en 2016, malgré les agressions de Cologne commises lors de la Saint-Sylvestre qui auraient dû alerter les autorités sur les conséquences néfastes de l’immigration massive, l’Allemagne accueillera un million de migrants supplémentaires.
C’est donc dans ce contexte, en octobre 2015, tandis que le pays était débordé par les flux de migrants et voyait ses structures d’accueil débordées, que l’Allemagne a eu recours aux services de McKinsey. À ce titre, Berlin a versé 29,3 millions d’euros au cabinet de conseil américain. Ce dernier a alors mené un travail en coopération avec l’Office fédéral des migrations.
La remigration, une idée que n’a pas eue McKinsey…
Parmi les projets de McKinsey figurait la mise en place de centres d’arrivée accélérée ayant la capacité de traiter les demandes en quelques jours afin d’éviter une accumulation des arriérés de dossier. À noter que le travail de la société sur les questions migratoires a également conduit ses consultants à prodiguer leurs conseils en Suède (en 2008 et 2009 pour un montant dépassant les 2 millions de dollars) et en Grèce, où, en 2017, un contrat d’un montant de 992 000 euros conclu entre McKinsey et le Bureau européen de l’asile aurait été passé sans « suivre la nécessaire procédure d’attribution des marchés publics », comme l’a notamment rapporté le journal Le Monde en 2020.
Quant aux préconisations du cabinet de conseil en matière de gestion des migrants, elles ont froissé certains experts en droit international du fait que cette gestion plus rapide des dossiers de demande d’asile aurait parfois conduit à priver les clandestins de certains droits comme celui regroupement familial.
Toutefois, pas question pour McKinsey de recommander à l’Allemagne une politique de remigration, concept popularisé depuis par Éric Zemmour. Ainsi, le centre d’études McKinsey Global Institute a publié en 2016 un rapport sur les « impacts et les opportunités des migrations mondiales. Le document décrit comment des procédures d’intégration plus efficaces pourraient stimuler les économies nationales tout en profitant aux migrants.
Voilà qui fait cher payé pour une idée répandue depuis longtemps au sein des gouvernements successifs, à savoir que l’immigration d’origine extra-européenne serait une « chance » pour nos sociétés occidentales, et plus particulièrement pour les tenants de l’économie. On connaît la suite…
13:04 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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