dimanche, 14 novembre 2021
Erga reçue par Epona aux Entretiens du Parti de la France
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Dans son Journal de bord de cette semaine, Jean-Marie Le Pen défend l'Alvarium d'Angers...
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Ne la laisse pas tomber, elle est si fragile...
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DEVANT LE BATACLAN, ÉRIC ZEMMOUR ACCUSE FRANÇOIS HOLLANDE D'AVOIR PRIS "UNE DÉCISION CRIMINELLE EN LAISSANT LES FRONTIÈRES OUVERTES"
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Hollande est responsable de la mort de ma fille et ce con n’a aucun regret !
Patrick Jardin Riposte laïque cliquez ici
Ce n’est pas facile d’écrire le jour de ce triste anniversaire de l’assassinat de sa fille ! Mais comme il est hors de question pour moi d’aller faire le clown avec tous ces salopards de politiques qui vont venir faire des commémorations avec des têtes d’enterrement, avant de tous aller se goinfrer ensemble dans un très bon restaurant, puisqu’il est évident que nos morts, nos blessés, ils s’en foutent complètement, je vais essayer de m’y risquer !
Voilà, depuis le 8 septembre, un peu plus de deux mois de procès, nous n’avons pas appris grand-chose. Nous avons eu plutôt des confirmations, à savoir que :
1) C’est maintenant certain, il ne ressortira RIEN de ce procès ;
2) L’État français est un État pourri, incapable d’indemniser les victimes qui ont subi les pires sévices et les pires actes par leur faute et leur incompétence ;
3) Hollande, à égalité avec Macron, est bien le pire président de la République depuis que cette République existe ;
4) Il est désormais certain que cela recommencera dans l’indifférence nationale ;
5) Mis à part les 16 ou 17 décérébrés barbus, personne ne sera puni, même si nos politiques sont plus que compromis dans ces attentats ! Et quand j’entends Hollandouille à l’audience et Samia Maktouf sur CNews se réjouir que ce procès puisse avoir lieu et que c’est une preuve de démocratie, je pense sincèrement qu’ils se foutent de nous !
En fait, je ressens cela comme une double peine qu’on m’inflige. Premièrement, on me tue ma fille et deuxièmement, on va punir les coupables qui ne sont pas morts, mais les responsables de ces crimes continueront leur petite vie de politicards de merde. Ils continueront à se pavaner sur les studios de télé ! ELLE EST OÙ LA JUSTICE DANS CE PAYS, BORDEL ? C’est quoi la démocratie qu’ils veulent nous infliger ?
J’ai examiné à la suite des déclarations du scootériste de l’Élysée les possibilités d’engager une procédure comme quoi il savait mais n’a pas levé le petit doigt, n’a pas bougé son cul, car j’estime que c’est un criminel pour non-assistance à personne en danger et bien tenez vous, bien IL EST INTOUCHABLE !
Désormais, l’article 67(nouvelle fenêtre) de la Constitution fixe le statut pénal du Président.
Concernant les actes accomplis par le Président dans le cadre de sa fonction, la révision de 2007 confirme le principe de l’irresponsabilité du chef de l’État. Aucune action ne peut être engagée contre lui pour des actes accomplis en sa qualité de Président, même après la fin de son mandat. Cette immunité est valable à la fois dans les domaines pénaux, civil et administratif. Elle vise à protéger la fonction présidentielle et non son titulaire, selon le rapport de la commission Avril.
Voilà, fermez le ban, circulez, il n’y a rien à voir ni à faire, en voilà une démocratie qu’elle est bonne comme disait Coluche !
Je ne sais pas ce qu’en pensent les autres parties civiles ni comment ils réagissent face aux aveux de cet abruti, mais moi j’avoue que depuis j’ai bien du mal à dormir. Je ronge mon frein et comme si cela ne suffisait pas, ce CON a ajouté que si c’était à refaire, il referait exactement la même chose. 131 morts, il pense que c’est un bon chiffre qui lui va bien. M. le Président, pour dire de telles conneries, vous auriez dû vous dispenser de venir et nous faire grâce de vos imbécillités. Déjà cela vous aurait évité de rappeler aux Français à quel point vous êtes limité intellectuellement et incompétent, et nous les victimes, cela nous aurait évité, même si nous le savions déjà, que vous et votre gouvernement de baltringues êtes complètement fautifs dans ces attentats. On est à la limite de la compromission avec l’ennemi, car si je me souviens bien, après Charlie, vous avez bien dit que nous étions en guerre. Mais pour faire la guerre, il faut un chef, pas un clown qui va porter des croissants le matin en scooter !
Alors oui, ce procès est une mascarade tenue par des gens qui restent persuadés de rendre la justice au nom du peuple français, mais je suis certain que si on pouvait faire une très large consultation auprès des Français, d’une part les accusés seraient tous condamnés à la peine capitale et les politiques seraient également condamnés pour non-assistance à personne en danger : président de la République, Premier ministre, ministre de l’Intérieur et ministre des Armées. Bien sûr, cela ne nous rendra pas nos chers disparus, mais au moins, peut-être que dans l’avenir nos politiques penseraient plus à protéger le peuple dont ils ont la charge, plutôt qu’à leur réélection !
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samedi, 13 novembre 2021
Journal du chaos
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vendredi, 12 novembre 2021
Montebourg avait raison !
A la lumière de son expérience personnelle, l’enseignante et essayiste Fathia Agag-Boudjalah* juge que la proposition de l’ancien ministre socialiste, Arnaud Montebourg, vite reniée par l’intéressé devant le tollé à gauche, avait le grand mérite de dire des réalités passées sous silence. A savoir l’arrêt des transferts d’argent des immigrés à destination de leur famille et leur pays d’origine.
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(°) Dernier ouvrage paru, Les Nostalgériades. Nostalgie, Algérie, Jérémiades (ed. du Cerf)
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jeudi, 11 novembre 2021
Samedi 13 novembre : Roland Hélie interviendra lors des 15e Journées de la dissidence organisées à Madrid
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Eric Zemmour sur Sputnik :"Jean-Marie Le Pen est le seul à avoir annoncé le drame que nous vivons aujourd'hui !"
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Remarquable entretien avec Pierre Cassen sur la situation politique actuelle
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FACE à FACE POLOGNE/BIELORUSSIE : UN SEUL COUPABLE, L’UNION EUROPÉENNE !
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
La crise migratoire à la frontière polono-biélorusse aujourd’hui, demain peut-être, à celle de la Lituanie et de la Lettonie, est artificiellement provoquée par les autorités de Minsk, toutes les preuves sont-là : visas généreusement accordés par les consulats de Biélorussie en Afghanistan, Syrie et Irak, facilités aériennes et logistiques pour amener tous ces candidats au droit d’asile européen, à côté du territoire polonais. Et devant les images qualifiées par la grosse presse occidentale « d’insupportables », on cherche à influencer les opinions publiques et à faire « pleurer Margot dans sa chaumière ».
Or, il semble pour l’instant que l’héroïque Pologne, - comme hier face aux Nazis et aux Bolchéviques -, se « dépatouille » seule, Bruxelles la soutenant du bout des lèvres en rappelant, cyniquement, qu’elle ne respecterait pas le droit du « non refoulement ». De qui se moque-ton ? En urgence, l’État polonais a mobilisé 10 000 de ses soldats pour renforcer ses gardes-frontières chargés de surveiller pas moins de 400 km, et a déroulé dans l’urgence une barrière faite de fil de fer barbelé avant d’édifier un mur. Cela prend du temps et, surtout, coûte de l’argent.
L’inqualifiable hypocrisie de la Commission européenne
Or, l’Union européenne parle plutôt de rétorsion à l’encontre de Varsovie, en prétextant que ce gouvernement ne remplirait pas les conditions du droit, notamment à l’égard des minorités LGBT. De qui se moque-ton ? La Pologne garde les frontières extérieures de l’espace Schengen,* elle fait avec son droit régalien ce que les jeunes de Génération identitaire ont voulu faire, d’une façon symbolique, dans deux cols alpins et pyrénéens.
Macron, avec un culot monstre, avait annoncé que la France allait renforcer la surveillance, justement, de ces points de passage montagnards. J’ai pu vérifier de mes yeux, au col du Somport par exemple, qu’il n’en était rien ! Que nenni, pas un képi, pas une casquette de douanier, de gendarme, de CRS ou de guardia-civil, des deux côtés de la frontière ! Dans les Alpes, Il s’est même trouvé la Sous-préfète de Briançon pour dénoncer, justement, un certain laxisme dans les contrôles (probable qu’elle va être mutée en Terre Adélie !).
Comble de l’hypocrisie, Bruxelles, pour se défausser, accuse Vladimir Poutine d’être à la manœuvre derrière son protégé Loukachenko, le président biélorusse, qui n’a rien à lui refuser. Oui, la Biélorussie se venge des sanctions édictées par l’U-E, - comme quoi, entre parenthèses, si on voulait les appliquer aux pays qui nous refusent les laisser-passer consulaires pour rapatrier les OQTF, ça marcherait ! -, pour punir Minsk de violations supposées des droits de l’homme dans ce pays, et condamner la fraude électorale qui a accompagné l’élection de Loukachenko.
Mais en quoi la politique intérieure d’un État, - certes, aussi déplorable soit-elle -, nous concernerait-elle ? C’est de l’ingérence pure et simple. En revanche, condamner et punir la Biélorussie pour le rapt, - en plein ciel ! -, d’un avion de ligne, se conçoit tout à fait, mais dans un cadre diplomatique. Aller au-delà d’avertissements et punir par des sanctions commerciales tout un pays, relève de la mauvaise foi. Maintenant, face aux morsures frigorifiques de l’hiver qui arrive, on nous parle d’un « corridor humanitaire ». Il faut dire « non », - No Way ! -, lancer un message fort à tous les candidats à l’exil : « Vous n’avez pas d’avenir chez nous ! ». Et, dans un second temps, oui, rassembler à la frontière polonaise les moyens matériels de faire face à une crise sanitaire, mais en territoire Biélorusse et non polonais. En cas de refus, hélas, disons à tous ces « réfugiés », et bien… « à la grâce de Dieu ». Vive la Pologne !
* L’agence européenne FRONTEX est, en principe, chargée d’assurer la surveillance et la sécurité des frontières extérieures de l’espace Schengen. Pour moi, c’est plutôt « l’agence Spontex », qui absorbe plus qu’elle ne refoule !
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Sanglots post-apartheid en Afrique du Sud
La chronique de Philippe Randa
L’apartheid a été officiellement aboli en Afrique du sud en février 1991 par le président (blanc) Frederik De Klerk. Nelson Mandela prenait alors les rênes du pays à la tête de son parti l’ANC (Congrès national africain)… et on allait voir ce qu’on allait voir, n’est-ce pas !
Après la disparition de son leader historique, l’ANC a toujours conservé le pouvoir, mais peut-être plus pour très longtemps. Il pourrait devenir minoritaire lors des élections municipales de ce début de mois.
Usure du pouvoir ? Pas seulement… Miné par la corruption, son bilan est explicite : selon Le Monde, « le chômage atteint des records à plus de 30 %, dans une économie déjà en récession avant la crise du Covid-19 (…) En juillet, le pays a connu une vague d’émeutes et de pillages qui ont fait plus de 350 morts (…) Des années de mauvaise gestion et de corruption généralisée ont laissé à l’abandon de nombreux services publics en Afrique du Sud, où se multiplient les délestages de courant ou de fourniture d’eau, au point d’en affecter même la campagne électorale. »
Situation que l’encyclopédie Wikipedia résume assez brutalement : « En 2019, l’économie sud africaine est à bout de souffle. Les indicateurs économiques sont dans le rouge. Les raisons sont une croissance économique nulle et des passifs considérables. Le chômage est au plus haut à 27,7 %. La monnaie est dévaluée et l’endettement croissant (à plus de 60 % du PIB). »
On se doute que si la situation devait continuer de se dégrader – et rien ne laisse supposer le contraire –, certains n’hésiteront sans doute pas à en rejeter la responsabilité sur les Blancs.
Et il sera sans doute vain de faire remarquer qu’ils ne dirigent plus le pays depuis trois décennies et que 800 000 d’entre eux l’ont quitté entre 1995 à 2005 (« Ces chiffres sont encore plus impressionnants si on les rapporte à la population sud-africaine : seulement 10 % des 49 millions de Sud-africains sont blancs », rapporte le site slate.fr).
Ils ne sont certes plus que 8,4 % de la population, mais ce sera sans doute amplement suffisant pour porter le chapeau… Comment pourrait-il en être autrement en ce XXIe siècle où l’homme blanc est coupable, forcément coupable, de tous les maux…
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mercredi, 10 novembre 2021
L’enfer bureaucratique : les racines de la colère
Pascal Pogam
Je suis dans l’obligation de réussir, parce que le pays ne peut plus attendre. »Le 28 mars 2013, voila comment Francois Hollande avait résumé l’urgence et l’enjeu du « choc de simplification », appelé selon lui a déverrouiller le pays et 4générer un surcroit de croissance. Dans la foulée, le gouvernement était censé prendre « les premières mesures pour alléger les procédures administratives, diminuer les normes et raccourcir les délais des démarches au bénéfice des collectivités locales des entreprises et des particuliers ».Une vraie révolution, sur le papier. Mais une révolution qui n’a jamais eu lieu. Pas plus que ceux qui l’ont précédé, pas plus que son « disruptif »successeur, le président socialiste n’a tenu la promesse du grand élagage. En la matiére, le dernier état des lieux dressé par le secrétariat général du gouvernement s’avére méme proprement stupéfiant : en seulement deux décennies, notre droit s’est encore enrichi de près de 120 000 articles législatifs ou réglementaires ! Une illustration, parmi d’autres, de cet enfer bureaucratique, ces mille et une tracasseries qui empoisonnent les Frangais, les ulcérent et, bien souvent, les paralysent.
Il est trés peu probable que Gaspard Koenig soit notre prochain président de la République. Mais le philosophe libéral, qui songe désormais sérieusement a se lancer dans la course a l’Elysée, a l’immense mérite de replacer la simplification au coeur du débat public. Le sujet est tout sauf anecdotique. Tirer ce fil, c’est dérouler une pelote de problémes éclairant tout à la fois l’inefficacité del’Etat, sa perte de légitimité, la défiance généralisée, les travers du centralisme, les inégalités et ces innombrables obstacles qui pénalisent nos entreprises – car une France plus simple sera aussi plus compétitive. Curieusement, alors que les pesanteurs de notre bureaucratie étaient dénoncées de toutes parts au plus fort de l‘épidémie de Covid, cette thématique a disparu des radars, et aucun des principaux candidats à l’élection présidentielle ne semble aujourd’hui mesurer les attentes des Français à cet égard. Pour ne pas dire leur exaspération.
Source : L’Express, 11/11/2021
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Le baromètre du jour
Jarente de Senac
Un certain… Sarkozy
Nicolas Sarkozy, s’en est pris à Eric Zemmour alors qu’il était invité par le Chinese Businness Club, déclarant : « Quand on n’a pas beaucoup de racines, on essaye de s’en donner. Et plus on est hors sol, plus on essaye de se raccrocher à un courant politique (…) Je ne suis pas sûr sur le général De Gaule aurait forcément apprécié ce que Zemmour a dit de Pétain ». Côté racines, Zemmour en a sûrement plus que le dénommé Nicolas Sarközy de Nagy-Bocsa, fils d’immigré hongrois. Et on ne peut pas dire que Sarko ait défendu avec vigueur la culture et l’identité française durant son quinquennat. Pour ce qui est de Pétain, Zemmour n’a certainement pas de leçon à recevoir de Sarko, ignare notoire. D’autant que Zemmour n’a dit qu’une seule chose : que le maréchal Pétain avait protégé les juifs français. Ce que corrobore nombre d’historiens et pas des moindres. Tandis que De Gaulle rêvait sa France à Londres avec la bénédiction de Staline, c’est bien le maréchal Pétain qui avait les pieds dans le bourbier allemand à défendre les intérêts des Français. Sarko, l’égérie de cette fausse droite ripoux aux remugles chiraquiens.
Un spectacle consternant
La grande majorité des Français, après laquelle courent tous les candidats de droite comme de gauche, regardent avec consternation les invectives que nos hommes et femmes politiques se balancent à la figure les uns contre les autres – et Eric Zemmour est le premier à déguster. Sauf qu’Eric Zemmour n’attaque personne et s’en tient à son discours sur l’identité française et le trop plein d’immigrés. Et s’ils s’en prennent tous à lui, c’est bien parce qu’il pose les vraies questions face à une classe politique qui n’a rien à proposer aux Français en accord avec leurs attentes et que leur unique mot d’ordre est : demain on rase gratis. De Mitterrand à Chirac, de Sarkozy à Hollande, la litanie est toujours la même. Quant à Macron, lui, il fait joujou avec le carnet de chèque des contribuables, s’imaginant, en bon libéral qu’il est, que l’argent peut tout résoudre. Les Français ne veulent qu’une chose, que cette démocratie soit réellement l’expression de la voix du peuple. Ils ne veulent pas d’une France divisée, archipellisée par ses gouvernants et ses fausses élites. Une France à trois vitesses : celle des politiques, celle d’une élite hors sol et celle des immigrés. Mais les Français sont-ils prêts à renverser la table ?
Emmanuel Macron… et les sains vaccins !
A la télévision, Emmanuel Macron a défendu son bilan. C’est de bonne guerre, sauf que l’on retiendra surtout de son quinquennat, qu’il a déclenché la colère des Gilets jaunes et qu’il s’est pris de plein fouet, à l’image de beaucoup d’autres chefs d’Etat, la crise du covid. On retiendra également qu’il a engagé un bras de fer avec les syndicats sur le dossier des retraites. Il y a beaucoup à dire sur le sujet. Il l’a renvoyé à plus tard. On retiendra aussi de son discours, l’heureuse reprise du nucléaire. Il était temps. C’est de loin l’énergie dont l’industrie a besoin et les ménages tout autant. Le nucléaire offre une énergie puissante, non polluante et surtout bon marché. N’en déplaise à nos tocards d’écolos.
Pour ce qui concerne le covid, après quelques ratés, une majorité de Français sont désormais vaccinés. Mais on a soigneusement mis sous le tapis tous les dommages de santé collatéraux que ces foutus vaccins ont engendré. Elaborés dans l’urgence, on n’en sait pas plus sur ce foutu virus et on vient nous dire qu’une troisième dose est nécessaire. Ce qui est bizarre dans cette affaire, c’est l’échelle des âges que l’on met en avant : les moins de 65 ans, les 65 ans et plus, les 12 ans et plus, etc., et on s’interroge sur la vaccination des enfants. Où les vaccins valent pour tout le monde, où ils ne valent rien, enfin presque. A ce sujet d’ailleurs, on a curieusement aucune statistique. On cite en exemple Israël, mais là où toute une population a été vaccinée, le covid repart de plus belle. Ca tourne à l’histoire sans fin et l’efficacité des vaccins n’est pas totale mais bien provisoire pour ne pas dire éphémère. Autre question : pourquoi trois doses ? Une chose est sûre, ces vaccins n’offrent, a priori, qu’une protection limitée. D’où ma question : va-t-on devoir vivre avec les masques et les gestes barrières ad vitam eternam ? Va-t-on devoir, à l’image de la grippe, se faire vacciner tous les ans ? Or, ça pose problème avec les vaccins actuels sujets à effets secondaires de gravité variable. Que dire enfin de la noria de toubibs, dénichés on ne sait où, spécialistes ou pas, qui passent leur temps à se contredire ? Face à ce flot ininterrompu d’informations contradictoires, on a tout lieu d’être dubitatif.
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mardi, 09 novembre 2021
Révélations importantes du docteur Astrid Stuckelberger
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Nous sommes bel et bien en guerre !
Quand Eric Zemmour clame avec raison que « nous sommes en guerre ! », tout le Landerneau politique, mais pas que, pousse des cris d’orfraie. Et pourtant les chiffres sont accablants. Jean-Marc Leclerc du Figaro (9/11) dresse un bilan qui fait froid dans le dos et qui pose la question : mais que fait ce gouvernement qui nous casse les pieds avec le passe sanitaire quand policiers, gendarmes, pompiers sont constamment agressés au quotidien mettant d’autant la sécurité des Français en danger. L’aveuglement a ses limites que la macronie est en train de dépasser.
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Maoïsmes d'hier et d'aujourd'hui
Jean-Gilles Malliarakis L'Insolent cliquez là
Ce 7 novembre, Le Monde mettait en ligne un important article signé de Julien Bouissou, qui vaut le détour. Il est intitulé : "Le spectre d’un ralentissement de la Chine pèse sur l’économie mondiale". (1). L'auteur se réfère à de nombreux avis de professionnels de la finance, tous dans l'attente des décisions du gouvernement de Pékin, dont les orientations sont maintes fois citées. Xi Jinping est ainsi présenté comme le vénéré maître des horloges du capitalisme mondial. De ce qu'il va décider ou ne pas décider semble dépendre la prospérité de nos foyers. De cette réserve d'esclaves que contiennent les provinces de l'Empire du Milieu on se préoccupe seulement que de la quantité démographique, certes rongée par la dénatalité. Il est né l'an dernier sur le continent chinois "seulement" 12 millions d'enfants ce qui, comparé à la France où 736 000 enfants vivants ont vu le jour en 2020, représente quand même un multiplicateur de 16.
Mais en 8 400 signes, n'apparaissent pas une seule fois des mots tels que "parti", "communiste" ou "Mao". Le parti unique le plus important du monde, fort de 89 millions de militants, gouverne pourtant ce pays sans partage depuis 1949 et l'arrivée dans la capitale du Grand Timonier à la tête de son armée rouge, développée à partir d'une guérilla dans les montagnes du Jiang Xi, cocassement appelée, encore aujourd'hui Armée populaire de "libération".
Depuis plus de 15 ans, aux États-Unis, au Japon ou en Inde, par exemple, la conscience du danger que représentent les ambitions expansionnistes du régime communiste chinois est, progressivement, devenue la préoccupation centrale des stratèges et autres responsables géopolitiques.
Dans la bobocratie parisienne, truffée d'ex-maoïstes, mais aussi chez les bien-pensants européens, on ne veut donc toujours voir dans cette prise de conscience, qu'une rivalité entre les méchants impérialistes américains, d'une part, et d'excellents dirigeants préoccupés du bien-être de leur peuple, regardés, d'autre part comme d'indispensables partenaires de notre société de consommation.
Les racines maoïstes du régime de Pékin, ses pratiques totalitaires, comme ses conditions de travail esclavagistes, sont perpétuellement occultées.
Dès son ascension, repérable en occident à partir de 2012, comme président du Comité militaire et comme secrétaire général du Parti, Xi Jinping a su s'affirmer pourtant au grand jour comme un restaurateur de Mao et du culte maoïste.
À vrai dire le culte du Grand Timonier n'avait jamais été aboli.
Sa mort est intervenue en 1976. Après quelque 10 ans de l'abominable subterfuge meurtrier soi-disant révolution culturelle annoncée en 1966, et en dépit de l'intermède dit de la Bande des Quatre, le pays, ou plutôt le régime communiste lui-même, devait sans doute, à l'instar de la NEP du camarade Lénine, s'imposer une cure.
Mais le mausolée et l'immense portrait du fondateur trônait, et il domine toujours la place centrale de Pékin, à l'entrée de la Cité interdite résidence des anciens empereurs.
Une fois pour toutes, Deng Xiaoping lui-même a tracé la ligne rouge : "nous ne ferons jamais à Mao, ce que les Soviétiques ont fait à Staline." Ainsi pas question de déboulonner sa statue, ou de dénoncer le culte de la personnalité.
Il importe donc d'abord de comprendre ce que c'est que le maoïsme.
Stalinisme à la sauce chinoise il est assaisonné selon les principes traditionnels de l'Empire du Milieu, à cinq saveurs. Un peu plus subtil par conséquent que l'archétype soviétique.
Beaucoup de choses marchent systématiquement par cinq : cinq griffes dans la patte du dragon, cinq saveurs, dont celle du gingembre, et dans le code pénal cinq châtiments cruels. Une fois évacué ses colorations locales, on doit bien se persuader que, malgré qu'il en ait, le maoïsme représente aussi à sa manière une forme d'occidentalisation paradoxale. Il a transformé, et il a dénaturé, de façon partiellement irréversible du génie du peuple chinois et sa culture millénaire, y compris à partir de 1954 par la révision de son écriture.
Il faut relire à ce sujet les chroniques que, dès 1956, c'est-à-dire 10 ans avant la soi-disant révolution culturelle, Robert Guillain, observateur attentif et non dénué d'indulgence publiait dans Le Monde. On les retrouve dans les archives du journal. L'auteur en a tiré un petit livre de la collection Points au Seuil. Lui qui avait connu ce pays dès les années 1930, pouvait déplorer la disparition de deux choses d'autrefois : celle, disait-il, du "Chinois intelligent" et celle de "la jolie Chinoise". Il n'avait pas entièrement raison. On peut croiser dans la rue, à Pékin ou à Shanghai, pas mal de fort jolies femmes. On me pardonnera j'espère cette réflexion masculine. Et les Chinois en général sont tout sauf des imbéciles. Mais il signifiait par là que tout un monde a disparu, et ceci dès les premières années de la dictature maoïste : le monde du Lotus bleu, seul album de Tintin interdit en Chine, l'univers des innombrables récits de voyageurs européens admiratifs dans la Chine d'autrefois.
Car, comme le bandit caucasien Staline en Russie, Mao était d'abord et avant tout un révolutionnaire marxiste, un disciple de Engels et de Lénine, un zélateur du matérialisme historique se revendiquant d'un socialisme se voulant scientifique. Il n'a jamais cessé d'être un ennemi de toutes les religions. L'expression opium du peuple est prise au pied de la lettre, et le christianisme est tout particulièrement considéré comme un instrument des très méchants diables étrangers. Tout son ressentiment révolté, y compris celui de l'humble bibliothécaire qu'il fut, affublé d'un accent du sud dans la capitale du Nord, humilié par les experts et les lettrés, qu'il n'a cessé de détester, se trouvait réinvesti dans la cause mondiale du Komintern dont il devint le représentant dans l'Empire du Milieu.
Les étapes de son ascension méritent d'être revisitées si l'on veut comprendre les ressorts, aujourd'hui encore de sa révolution et de son régime.
Le parti communiste, apparu en 1921, n'est dans les premières années qu'une tendance au sein du parti nationaliste, le Kouo Min Tang de Sun Yat Sen, et ses principaux dirigeants siègent au comité central du KMT, ceci jusqu'au virage de 1927. L'épuration entreprise alors par le "généralissime" Chiang Kaï-shek recevait le blanc seing du Komintern siégeant à Moscou, pour des raisons stratégiques. Celles-ci remontent au congrès de Bakou de 1920, elles avaient conduit Lénine à soutenir le kémalisme turc contre le traité de Sèvres, à se partager le Caucase avec lui en 1921 et à fournir des armes aux Turcs contre les Grecs en 1922.
Il faut donc une bonne dose de candeur à l'historiographie d'inspiration trotskiste pour n'y voir que la "Tragédie de la révolution chinoise" titre du livre considéré comme "classique" de Harold Isaacs, écrit en 1938 et qui relate les événements dont Malraux a tiré sa "Condition humaine".
Nous nous trouvons confrontés à une froide logique, celle de la révolution mondiale. Les divergences ne portent que sur le "tempo" : pour Mao hier, pour Staline avant-hier, pour Xi Jinping aujourd'hui, le but ultime reste ce que Jules Monnerot appelle "l'Imperium mundi", titre du dernier tome de son irremplaçable Sociologie du communisme.
(1) cf. "Le spectre d’un ralentissement de la Chine pèse sur l’économie mondiale" Publié le 7 novembre à 05h01, il rebondit par rapport à l'intervention de Xi Jinping lors de la cérémonie d’ouverture de la China International Import Expo (CIIE), à Shanghaï, le 4 novembre 2021
10:31 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La minute de vérité : Eric Zemmour rend hommage aux militants du Front national
François Floc'h
Le jeudi 4 novembre, sur C-News, Christine Kelly avait invité Eric Zemmour pour un entretien exceptionnel. Exceptionnel ? Cet entretien le fut par la teneur des propos de Zemmour, sa fougue, son courage, sa sincérité. Mais aussi par l'audience atteinte par la chaîne, ce soir-là. Plus d'un million pour le direct, sans compter les replays et autres réseaux dits sociaux. L'effet Zemmour ne s'érode pas...
L'émission complète est à revoir sur Youtube :
Revenons sur un passage qui nous va droit au cœur. C'est à la minute 34:23 En voici la transcription, en style parlé pour en conserver la spontanéité…
Minute 34:23, Christine Kelly, sans détour, pose une question épineuse concernant le RN : Votre stratégie de taper sur le Rassemblement national, alors que vous prônez l'union des droites… Certains disent que l'on ne comprend pas cette stratégie alors que le Rassemblement national était le premier à vous défendre pour la liberté d'expression.
Lorsque vous ne parliez pas, qu'on voulait vous faire taire. Et l'on ne comprend pas. Et l'on a l'impression d'une petite trahison. Vous allez réussir à faire l'union des Droites ?
Eric Zemmour : Certains du Front national m'ont défendu, pour défendre ma liberté d'expression. C'est vrai ! Ils n'étaient pas les seuls, d'ailleurs. Il y a beaucoup de gens qui m'ont défendu à ce propos. Il y a beaucoup de gens qui sont venus témoigner à mes procès et qui n'étaient pas du Front national.
Je voudrais dire deuxièmement que, moi, j'aime les gens du Front national, ses militants, les électeurs évidemment. Mais, les militants. Ce sont eux qui, en partie, regardaient mes émissions.
Ce sont eux qui achètent mes livres, qui viennent dans mes conférences, ce sont eux qui m'aiment. Et moi, je leur rends cet amour. Je pense qu'ils…, vous savez, ça n'a pas été facile pour eux depuis 20 ans, depuis 30 ans, depuis 40 ans… Ils ont été ostracisés, virés de leurs boulots parfois… Obligés de se cacher comme si c'était des pestiférés… Uniquement parce qu'ils voulaient défendre la France.
Christine Kelly : Maintenant, c'est l'extrême droite décomplexée ?
Eric Zemmour : Non, non. Je vous dis… Moi, ces gens-là je les aime et je les défends. C'est justement, justement pour ceux-là que je fais ce que je fais ! Si vous voulez bien comprendre la situation politique, le Front national est à la fois la victime et l'acteur d'un piège mortel tendu par Mitterrand, il y a 40 ans. Et qui a fait des idées nationales, patriotiques, l'exclusivité, le monopole de ce parti pour mieux l'enfermer dans un statut de paria.
Christine Kelly : Et vous voulez les libérer ?
Eric Zemmour : Exactement !
Christine Kelly : Vous allez y arriver ?
Eric Zemmour : Dieu vous entende ! Mais, c'est ça mon objectif : c'est les libérer pour leur donner enfin la possibilité de défendre leur pays efficacement. C'est tout le drame malheureusement du Front national. Alors, oui ! Il faut rassembler les gens de LR, les gens de la Droite qui ne se reconnaissent plus dans leurs candidats… Fin de citations
Les hésitations, les états d'âme ne sont plus de mise…
Retrouvons l'enthousiasme de notre jeunesse. Et repartons au combat politique, en chantant...
Les héros d’autrefois nous convient à leur foi. Camarades, groupons-nous en avant !
09:59 Publié dans François Floc'h, Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Marc Rousset présente son nouveau livre "Comment sauver la France" sur TV Libertés
La France est menacée de disparition. Après 40 années de gabegies et de soumissions, il est grand temps d’engager une « révolution conservatrice », anti-mondialiste. C’est le projet de Marc Rousset, diplômé des universités de Columbia et Harvard et ancien haut dirigeant d’entreprise. Pour l’invité de « Politique & Eco », une dette publique, actuellement irremboursable, couplée à des taux d’intérêts qui remonteront inévitablement, condamnent l’économie nationale et même l’euro qui explosera après la faillite de la France. Pour faire face au cataclysme, Marc Rousset lance quelques pistes de réflexions dans un ouvrage intitulé « Comment sauver la France – Pour une Europe de nations avec la Russie ». Parmi ses propositions : faire économiser 200 milliards d’euros par an à l’Etat en s’attaquant à l’immigration, la fonction publique et les retraites, quitter l’euro et créer une union latine, libre-échangiste en interne et protectionniste en externe. Pour mettre en place un tel programme, Marc Rousset ne s’opposerait pas à l’établissement d’une dictature, au sens romain du terme, emmenée par un homme en qui le peuple aurait confiance.
02:01 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 08 novembre 2021
La vaccination est la vraie « pandémie »
18:38 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les effets secondaires graves du vaccin contre le Covid-19
Nous avons relaté hier (dans cet article) les analyses sanguines que devrait faire tout vacciné en raison des effets secondaires gravissimes que connaît la vaccination anti-covid. Le silence sépulcral qui entoure ces effets secondaires n’est pas innocent, il est même la signature que quelque chose ne tourne pas rond.
Il y a plusieurs jours déjà, une émission animée par la charmante Clémence Houdiakova, transfuge de Sud Radio, était revenue sur les effets possibles de la vaccination expérimentale par ARNm. Accompagnée de la généticienne Alexandra Henrion-Caude pour le côté technique, la présentatrice donne le micro à de nombreux témoignages dont certains font froid dans le dos. Le Dr Louis Fouché clôturera cette émission de près d’une heure et demie (on passera les actualités en début et en milieu d’émission).
Nous enfonçons donc ici le clou concernant les effets secondaires de la vaccination, car son temps semble être venu. On voit en effet éclore de nombreux articles et de nombreuses vidéos, dont la suivante qui comptabilise plus de 500 000 vues ! Ce score est inhabituel (et donc significatif) pour une chaîne modeste dont les vidéos ne dépassent en général guère les 10 000 vues et dont le positionnement politique ne sied pas à tout le monde.
Étonnamment, YouTube n’a toujours pas supprimé cette vidéo de Radio Courtoisie, pas plus que celle de notre précédent article. La négligence ou l’oubli étant peu probable dans le monde de l’IA et de l’algorithmique, doit-on y voir une sorte de résistance interne ? Ou, plus cyniquement, que la plateforme sent le vent tourner ?
Ce score hors norme tend à démontrer que le sujet intéresse et que de nombreux auditeurs le considère comme infiniment plus important que les querelles de chapelle qui méritent d’être mises temporairement de côté.
Ainsi, le virus, après avoir divisé la société, pourrait donc peut-être désormais la rassembler – au moins partiellement.
À écouter sur : radiocourtoisie.fr
Source : E&R
18:17 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
On a perdu le peuple !
Vincent Trémolet de Villers
Sont-ils les encombrants de la République ? Certains rêvent, en secret, de les jeter dans la déchetterie de ce que Hilary Clinton appelait le « panier de déplorables ». Avec leur diesel, leur clope, leur barbecue, leur apéro, leur rêve de maison individuelle, leur dimanche de chasse, leur zone commerciale, leur Michel Sardou, leur racisme inconscient, leur misogynie atavique, ils sont les enfants méprisés de Dupont Lajoie et des Deschiens, bizarreries anachroniques quand les centres urbains se font fluides, inclusifs, résilients, équitables, diversitaires, portés par les mobilités douces et les plaisirs végétalisés. Hier gueules noires et ban- lieues rouges, aujourd’hui « gilets jaunes » et petits Blancs, ils composent une force électorale puissante et abandonnée depuis des années, par la gauche et la droite, à la famille Le Pen : les catégories populaires. Aujourd’hui, Éric Zemmour dispute, avec un certain succès, cet électorat au Rassemblement natio- nal, Emmanuel Macron, à force de milliards, parvient, çà et là, à surmonter la défiance, mais le plus fascinant est que le reste du personnel politique prendra plus soin de la plus minuscule minorité que de ce « bloc populaire » (Jérôme Sainte Marie). Un bloc fragmenté, certes, archipellisé, assurément, mais qui, du relâchement des gestes barrières aux nouveaux impératifs écologiques, en passant par l’incapacité à s’adapter aux charmes du QR Code, de l’économie ubérisée et du multiculturalisme, est systématiquement dénoncé comme indécrottablement « conservateur », « rabougri », « moisi », disait autrefois le progressisme raffiné.
La raison de cette indifférence ? Le cynisme qui consiste à s’effrayer publiquement de la montée de l’« extrême droite » en espérant, de toutes ses forces, l’affronter au second tour. Un poison qui a transformé la droite de gouvernement en parti de notables. LR ? Le Rotary, la charité en moins...
Petit rappel d’histoire immédiate aux cinq prétendants des Républicains qui débattront lundi soir : en 2007, Nicolas Sarkozy, après une campagne bonapartiste, avait réuni au premier tour plus de 30 % des Français ; depuis, la droite a perdu le peuple et ne gagne plus une élection présidentielle.
Source : Le Figaro 8/11/2021
09:04 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 07 novembre 2021
Dans son Journal de bord de cette semaine, Jean-Marie Le Pen mentionne le livre "Pourquoi Eric Zemmour ?" publié par Synthèse nationale
14:08 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Sortie du n°58 (automne 2021) de la revue Synthèse nationale
AU SOMMAIRE :
2 - ÉDITORIAL Roland Hélie
10 - NE PAS LAISSER TOMBER CASSANDRE FRISTOT
12 - CE PEUPLE QUI NE VEUT PAS MOURIR Maurice Bernard
15 - PRÉSIDENTIELLE EN LIGNE DE MIRE Patrick Parment
20 - TOUT EST POSSIBLE Didier Lecerf
27 - ZEMMOUR ET LES PRÉNOMS Youenn Caouissin
32 - ZEMMOUR CENSURÉ ? LE PRÉCÉDENT AUTANT-LARA Philippe Randa
35 - COVID-19 : LA FRANCE À L'ÉPREUVE DE LA TYRANNIE Arnaud Raffard de Brienne
40 - LA GRANDE MASCARADE Charles-Henri d'Elloy
38 - BIENTÔT, PLUS D'AUTO Pieter Kerstens
50 - LE PAPE MARCHE À CÔTÉ DE SES MULES Jean-Claude Rolinat
55 - LES PAGES DU MARQUIS Jean-Paul Chayrigues de Olmetta
58 - LIVRES DU MOIS Georges Feltin-Tracol
65 - BIOGRAPHIES LITTÉRAIRES Daniel Cologne
69 - UNE ÂME POUR LA BRETAGNE Yves Furic
71 - LES FLANERIES TÉLÉVISUELLES Scipion de Salm
71 - AUTOUR DE SYNTHÈSE NATIONALE Guirec Sèvres
82 pages, 12,00 € (+ 5,00 € de port)
Chèque à l'ordre de Synthèse nationale
Le commander à
Synthèse nationale BP 80135 22301 Lannion PDC
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14:07 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le nouveau numéro de la revue Livr'arbitres est consacré à la Bretagne
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14:06 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Macron nous condamne à un foutoir perpétuel
C’est à un réquisitorie sans concession que se livre le philosophe et historien Marcel Gauchet après d’Elisabeth Lévy et Jérémy Stubbs pour le mensuel Causeur qui nous offre une fois de plus un excellent numéro. Pour Marcel Gauchet, en proposant des solutions à tous les problèmes sans en chercher la cause, Emmanuel Macron s’est agité dans le vide pendant cinq ans. De surcroît, son arrogance de surdiplômé a alimenté la haine des élites.
Lire la suite ICI
11:00 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 06 novembre 2021
Journal du chaos
Pour télécharger, cliquez ICI
10:31 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 05 novembre 2021
5 novembre : anniversaire du décès de Jean-Pierre Stirbois
14:25 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le voile islamique financé par l’Union Européenne
Francis Bergeron
Remplacez maintenant le port ostentatoire d’un crucifix par le port du voile islamique. Les réactions (du moins dans les médias du service public) se répartiraient entre celles combattant la « fausse nouvelle islamophobe propagée par les complotistes et extrémistes » et celles se félicitant d’une « initiative qui facilitera l’intégration »... Ce n’est malheureusement pas une fausse nouvelle. Cette aberrante décision a été prise par l’Union européenne au nom de « la lutte contre la haine ».
L’information est d’abord restée discrète, mais elle commence à filtrer. L’hebdomadaire Marianne y a consacré une enquête publiée le 3 novembre. De nom- breux politiques, notamment français se sont interrogés : qui se cache derrière cette campagne pro-voile islamique ? Le « Forum of European Muslim Youth and Student Organisations (FEMYSO) » et l’« European Forum of Muslim Women » (EFMW), deux organisations très liées – quoi qu’elles en disent – à l’UOIE et aux Frères musulmans, des fanatiques islamistes. Ce qui suscite immédiatement une autre question : comment l’UE a-t-elle pu prendre une telle décision ? Depuis lors, les réseaux sociaux enregistrent des milliers de messages de protestation, d’indignation ou... d’incrédulité.
La campagne de l’UE se veut une campagne contre les prises de position anti-islamiques, considérées comme racistes. C’est le département du Conseil de l’Europe dédié à la lutte contre les discriminations qui l’a décidée. Elle est menée sous forme de photos et de vidéos qui représentent des jeunes femmes musulmanes portant le voile islamique, le hijab. Et les images sont accompagnées de slogans : « Mon hijab, mon choix », « Apportez de la joie, acceptez le hijab », ou encore « La beauté se trouve dans la diversité comme la liberté dans le hijab ».
Les visuels restent accessibles sur le site du Conseil de l’Europe
F.-X. Bellamy est monté au créneau. Eric Zemmour aussi : « L’islam est l’ennemi de la liberté. Cette cam- pagne est l’ennemie de la vérité. » De même Marine Le Pen, qui parle d’une « communication européenne scandaleuse et indécente ». Nicolas Dupont-Aignan, Rossignol (PS), Valls, Attal (LREM), Pécresse, Ciotti (LR) vont dans le même sens. Les tweets de propagande islamiste ont été retirés, mais les visuels restent accessibles sur le site du Conseil de l’Europe.
Dans son enquête, Marianne note que « le Conseil de l’Europe est une organisation assez faible », ce qui facilite une pénétration par les réseaux islamistes, au nom d’une lutte contre le prétendu « racisme antimusulman ». Ces réseaux extrémistes ont leurs entrées, instrumentalisant le Conseil. En 2011, ils avaient même réussi à y faire inviter l’islamiste et accessoirement violeur récidiviste Tariq Ramadan.
En toute logique, les fonctionnaires du Conseil de l’Europe responsables de ce fiasco auraient dû dé- missionner, et l’opération aurait dû être arrêtée immédiatement. Il n’en est rien. « Nous allons réfléchir à une meilleure présentation de ce projet », a expliqué l’un des organisateurs, tandis que Bruno Retailleau (LR) considère à juste titre que le Conseil de l’Europe promeut « désormais ouvertement la soumission aux mœurs islamistes ».
Source : Présent 5/11/2021
11:10 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le 5 novembre 1988, Jean-Pierre Stirbois, secrétaire général du Front national, nous quittait... Ne l'oublions jamais.
02:05 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |