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lundi, 31 mars 2025

Notre confrère "Politique Magazine" consacre un article au livre de Thierry DeCruzy, "Les Brigandes, phénomène musical de la diddidence" (préfacé par Brigitte Bardot)

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Hilaire de Crémiers

Elles ont enchanté les oreilles et les cœurs de milliers de Français, nationaux, « catho tradis » comme on dit, patriotes, écœurés du système existant qui impose sa loi au profit de politiciens pourris ou renégats, surtout au profit d’une machinerie du prêt-à-penser, du fric et de la consommation démocratique.

Toujours les mêmes qui tiennent tout, presse, radios, télévisions, réseaux politiques et économiques, avec une bien-pensance obligatoire qui empêche toute liberté de penser et de s’exprimer. Bref le système actuel, particulièrement prégnant en France avec ses valeurs de la République qui interdisent tout sursaut de protestation. De 2014 à 2021, les Brigandes, issues de petits groupes amicaux antérieurs et qui a toujours compté des hommes, se sont fait connaître par leurs chansons, de style réactionnaire, voire d’inspiration contre-révolutionnaire, sur des mélodies et des rythmes étonnants, à la fois de modernité populaire et de tradition presque troubadouresque. Avec un côté satirique, typiquement français, du genre : « impossible de s’en laisser compter par la bande des guignols qui nous dirigent et prétendent nous éduquer. »

Thierry DeCruzy retrace l’histoire, année après année, chanson après chanson, de cette dissidence musicale stupéfiante qui a osé affronter la domination toute puissante de ceux qui croient aussi posséder la musique comme ils possèdent le pouvoir, tous les moyens de communication et les finances publiques et souvent privées. Évidemment, tous les procédés ont été utilisés contre cette rébellion affichée, y compris les plus ignobles, et jusqu’à la suppression de leur chaîne You Tube. Et comme le groupe ne répondait pas à tous les critères d’une saine orthodoxie, en raison des théories particulières et quelque peu ésotériques des dirigeants, les bons milieux eux-mêmes se sont éloignés d’eux. Il fallut mettre fin à cette expérience et le groupe lui-même s’en est expliqué. Excellente analyse de Thierry DeCruzy, qui ne dissimule rien, qui répertorie l’ensemble de l’œuvre – 144 chansons originales, – et fait parler quelques-uns des principaux protagonistes, en particulier l’auteur-compositeur Joël Labruyère, qui fut à l’origine de cette stupéfiante initiative.

Thierry DeCruzy, Les Brigandes, phénomène musical de la dissidencePréface de Brigitte Bardot, Synthèse nationale, 186 pages, 22 €. cliquez ici

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mardi, 22 octobre 2024

RAPPEL : Paris, mercredi 23 octobre, à la Librairie Vincent

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lundi, 21 octobre 2024

Mercredi 23 octobre, à la Librairie Vincent (Paris) : Thierry Decruzy dédicacera son nouveau livre sur "Les Brigandes"

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lundi, 17 juin 2024

Les Brigandes et le front musical pour la défense de notre identité

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Thierry DeCruzy Polémia cliquez ici

Incapables de comprendre la musique, la dissidence comme les élus de l’opposition nationale ont quasiment abandonné ce terrain culturel. Cette situation est d’autant plus préjudiciable que la musique est un puissant agent d’influence sur les populations. Le front musical a été déserté, malgré les opportunités…

Les Brigandes, celles qui ont fait transpirer les médias

Dans la préface d’un livre consacré aux Brigandes et publié par Synthèse éditions, Brigitte Bardot affirme : « C’est “Elles” qui auraient dû être choisies pour chanter l’ouverture des Jeux olympiques de France ! » Entre Aya et Les Brigandes, le choix est politique et a impact sur le référentiel non seulement de la France, mais de toute la francophonie, donnant la mesure de son audience et de la vision politique élyséenne. Un contrôle similaire est opéré par l’Eurovision qui impose ses modèles sociétaux à tout un continent. Si le concours a été créé par l’OTAN, c’est bien que la musique a une importance stratégique qui devrait être prise en compte par ceux qui ont été élus pour représenter la nation française historique. Il ne s’agit pas de choix personnels car les choix musicaux sont conditionnés par les communautés dont sont issus les individus. Le contrôle méticuleux opéré sur les concerts en est l’illustration. En France, une autorisation est indispensable pour leur organisation, elle est délivrée par la mairie ou la préfecture. Outre les questions de sécurité, le visa est d’abord politique. Il suffit d’observer le traitement sélectif réservé aux rave parties, interdites mais encadrées par les gendarmes, et celui des concerts de groupes identitaires, traqués par les antifas et interdits par les préfectures.

À cet égard, le parcours des Brigandes est emblématique. Ces chanteuses professionnelles ont forgé un outil musical capable de faire entendre la dissidence française jusqu’en Russie. Leurs compétences musicales alliées à des textes engagés et mis en scène dans des vidéos soignées faisaient de leurs chansons des outils séduisants, en témoigne la censure de leur compte YouTube qui dépassait les 10 millions de vues. La violence des attaques médiatiques avec les pires accusations (assassinat, secte…) et l’envoi d’équipes de journalistes pour faire pression sur la population de leur petit village témoignaient de leur influence. Elles ont fait transpirer les médias pendant cinq ans. Il a fallu un dossier de fausses accusations – aucune condamnation ne les a confirmées – pour diviser la dissidence et affaiblir les soutiens du groupe, même si d’autres ne se sont pas laissé tromper (TV Libertés, Synthèse nationale, la Ligue du Midi, Riposte Laïque, Polémia…). Petite structure sans relais communautaires suffisants, le groupe n’y résiste pas. Pourtant, en six ans, la production des chanteuses est exceptionnelle, avec 12 CD, 144 chansons et 104 clips vidéo. Le combat musical est politique, comme le montre leur convocation par l’Assemblée nationale, fait unique dans l’histoire de la chanson française, sans aucun élu pour les soutenir. La manœuvre de l’industrie musicale réussit à éliminer des chanteuses dissidentes avec l’appui d’une partie de leur propre public.

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jeudi, 29 février 2024

Même la police est obligée d'en passer par là...

Thierry DeCruzy

La chanson est un outil de communication et d’harmonisation. En juillet dernier, la police se lance dans la chanson en diffusant Toujours là. L’initiative vient du syndicat Alliance Police Nationale sans le soutien du ministère. Pourtant l’enregistrement est très propre.

Au-delà des réflexions convenues sur ceux qui appartiennent aux “forces de l’ordre”, il y a des individus et quand ils éprouvent le besoin de communiquer par la chanson leurs problématiques professionnelles et personnelles quotidiennes, c’est un signe parmi tant d’autres que les repères disparaissent sans être remplacés. Si les policiers obéissent aux ordres de répression contre les nationaux et les dissidents pour défendre un régime corrompu et ennemi de la France, chacun sait que sans police c’est le chaos. Comme on peut le comprendre à l’écoute des paroles, exercer ce métier aujourd’hui était déjà très dangereux, c’est devenu très compliqué.

Dans ce contexte et si le concours était moins corseté, la chanson aurait bien pu représenter la France pour l’Eurovision.

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Pour lever toute ambiguïté cliquez ici

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