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vendredi, 19 octobre 2012

Demain samedi, à midi, sur Radio Courtoisie...

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Radio Courtoisie cliquez ici

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Naturalisations : Manuel Valls veut accélérer la substitution du peuple français...

200318_179466075433304_100001097374056_398650_7814714_n.jpgCommuniqué du Parti de la France :

 

Le Ministre de l'Intérieur, le calamiteux Manuel Valls, lui-même naturalisé français en 1982, souhaite assouplir encore plus les critères pour obtenir la nationalité française. Se lamentant d'une baisse dérisoire des naturalisations massives sous le gouvernement précédent (87.000 en 2011 au lieu de 116.000 en 2010), ce fanatique de la submersion migratoire a décidé, avec ses amis socialistes, d'accélérer le processus de colonisation de notre pays.

Bien plus facile à mettre en œuvre que le droit de vote pour les étrangers qui entraîne une révision constitutionnelle (et l'accord des 3/5ème des parlementaires ou un référendum populaire), la facilitation de l'acquisition de la nationalité française ne nécessite qu'un simple décret du Ministre de l'Intérieur.

Espérant une manne électorale à court terme grâce aux Français de papier, le gouvernement de l'internationale socialiste commet un nouveau crime contre l'identité du peuple français en accordant massivement la nationalité française à des populations extra-européennes inassimilables, islamisées pour la plupart, et souvent hostiles au pays d'accueil.

Le Parti de la France défend, à l'inverse, une refonte du code de la nationalité qui doit être basé sur la transmission de la nationalité par la filiation et par le seul mérite, une inversion des flux migratoires extra-européens et une grande politique nataliste afin que la France reste française.

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GOLDMAN & SACHS : LE BANQUIER QUI DIRIGE LE MONDE...

09:56 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Chez Les Verts, on est vraiment des citoyens du monde !

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ENSEMBLE CONTRE LE NOUVEAU TOTALITARISME.

Photo C. Pieter 03.10.2012 JPG.JPGPieter Kerstens

Notre correspondant

à Bruxelles

 

Comme la majorité silencieuse et indignée de beaucoup de mes compatriotes, j’ai lu les tracts distribués dans nos boîtes aux lettres depuis le début de l’année, en vue des diverses élections.

 

Depuis des lustres les libéraux ou les prétendus « chrétiens-démocrates », associés aux socialistes, président aux destinées de notre pays, de nos régions ou de nos communes. Et c’est toujours le même refrain : « Tout va très bien Madame la Marquise … ».

 

Pourquoi donc aujourd’hui devrait-on encore croire à leurs promesses, alors qu’ils ont été bien incapables de les réaliser hier ?

 

Comme beaucoup d’entre vous, je suis exaspéré par leur rage taxatoire et leur laxisme, et je n’hésite pas à vous communiquer ci-après les réflexions que m’inspire leur politique de gribouille, en ma qualité de citoyen, de parent, de contribuable et d’électeur, parce que la prochaine échéance électorale importante se situera au niveau des municipalités.

 

N’oublions pas que les maires sont aussi l’épine dorsale des partis et qu’ils sont le socle sur lesquels s’appuient les différents appareils au sein de l’Etat. Ils disposent d’une influence prépondérante et ne peuvent pas se retrancher hypocritement derrière un autre niveau de pouvoir, comme ils le font trop souvent.

 

La commune est la plus petite entité, après la cellule familiale, qui compose notre société.

 

Tout part à la dérive.

 

Pour ma part, je suis consterné par la déliquescence des valeurs et le manque de réflexion des édiles qui nous dirigent. Il ne s’agit pas d’être grand prophète pour percevoir ce que bon nombre d’entre nous ressentent depuis pas mal de temps, et plus que jamais depuis quelques années, devant ce qu’ils constatent dans leur environnement immédiat comme dans la situation actuelle qui leur est montrée à travers les médias ravageant tout espoir sur son passage : une inquiétante impression d’être pris dans des sables mouvants sans plus aucune branche à laquelle se raccrocher. En d’autres mots : TOUT PART A LA DERIVE !

 

Et vous en conviendrez : il ne pouvait pas en être autrement avec la politique pratiquée par ceux qui nous gouvernent, qu’ils soient de la droite courbe, du centre mou, de la gauche marxiste ou des khmers verts, dans leur aveuglement, leur démagogie, leur incompétence, leur veulerie, leur inconscience, leur irresponsabilité, et surtout, ô surtout leur incommensurable lâcheté.

 

La dernière chance.

 

Depuis que les barons, qui dirigent le Bananenland avec leurs patrons -les banksters-, ont confondu volontairement liberté et licence, ordre et tyrannie, morale et oppression, amour et fornication, égalité et nivellement, enseignement et endoctrinement, information et propagande, patriotisme et xénophobie, nationalisme et racisme, droit et force, devoir et faiblesse… OUI, TOUT PART À LA DERIVE et d’abord le sens des mots.

 

Ce qui est voulu, au nom d’une philosophie destructrice et qu’un seul vers de l’Internationale (hymne hurlé tous les 1er mai) définit clairement, c’est : « du passé, faisons table rase ».

 

Table rase de la famille, table rase de tout ce qui a fait de l’être humain, maître de sa destinée, le rouage d’une machinerie universelle qui décidera seule de son rôle, de son utilité ou de son rejet.

 

Le plus grave, face à ce déclin, c’est que ceux qui en pâtissent le plus continuent à prêter une oreille aux sirènes d’une démocratie prétendue menacée, alors qu’elle est chaque jour un peu plus bafouée ; c’est aussi que les mêmes crédules puissent encore accorder du crédit aux pharisiens sans scrupules qui ont trahi l’esprit de la loi sous prétexte d’en moderniser la lettre.

 

Il est grand temps de choisir entre la politique à la petite semaine que la « bande des Quatre » nous impose, tantôt au nom du changement dans la continuité, tantôt au nom de la continuité dans le changement (et la « normalité ») et une politique de redressement et de courage que nous avons proposée, politique qui s’est toujours vue passée sous silence, sauf à en travestir certains points afin d’alimenter les campagnes de calomnies et d’exclusion dont nous n’avons cessé d’être l’objet. Du grand art en matière de désinformation. Goebbels a trouvé ses maîtres chez nos soi-disant « démocrates ».

 

Ils ont vidé les caisses et rempli leurs poches.

 

Il est malvenu de vouloir rejeter les conséquences de la politique laxiste, menée ces 40 dernières années, sur les autres. L’Etat Providence, la société multiculturelle et métissée, le prêt-à-penser, l’augmentation inexorable des crimes et délits, la mobilité durable, la dépénalisation de la drogue, l’égalitarisme généralisé, l’ouverture de nos frontières au monde entier, la naturalisation forcenée de tous les clandestins et la possibilité pour tous d’occuper un siège dans nos universités, sans avoir la moindre vocation ni l’envie d’étudier, sont à mettre à l’actif de la mafia libéro-écolo-socialaud-centriste et ont abouti maintenant à une dette publique de 1.800 milliards d’€uros, dont les intérêts et la charge coûtent chaque jour 200 millions d’euros aux contribuables.

 

Si vous réclamez plus d’argent pour payer les retraites, pour être mieux soigné, pour mieux assurer l’enseignement de nos enfants, ou rétablir notre sécurité partout et à toute heure, il est indispensable préalablement de réduire de toute urgence le train de vie de l’administration et de toutes les collectivités locales et territoriales qui disposent de l’argent public comme d’une manne inépuisable pour assouvir leurs lubies les plus délirantes. Les socialauds-capitalistes ont participé à cette gabegie, ils en étaient les complices et n’ont rien dénoncé !

 

Quand ce n’est plus supportable, on ne supporte plus.

 

Les mêmes nous disent vouloir renforcer le nombre de policiers dans les rues et installer des milliers de caméras dans chacune de nos cités, comme à Londres, alors que là-bas les 10.000 yeux indiscrets n’ont en rien empêché les odieux attentats dans le métro le 7 juillet 2005 !

 

Demandez donc à votre entourage s’il se sent en sécurité lorsqu’il utilise les transports en commun ou se promène le soir dans les centres de nos cités. Si mes souvenirs sont bons, le gang au Pouvoir a voté pour les accords d’intégration de la Gendarmerie au sein du Ministère de l’Intérieur, qui devaient améliorer le maintien de l’ordre public et le respect de nos lois, tâches essentielles de la police et des maires. Combien de patrouilles la nuit ?

 

Les bonimenteurs des partis traditionnels exposent leurs priorités politiques en totale contradiction avec leur complicité dans l’invasion colonisatrice d’individus qui depuis 40 ans n’aspirent ni à une assimilation, ni à une intégration, mais uniquement à bénéficier d’avantages dont ils ne profiteraient jamais dans leur pays d’origine. Cela coûte des milliards d’euros depuis 1974, date légale de la fin de l’immigration.

 

 

Demandez aussi à vos enfants ce qu’ils pensent de la violence à l’école, des injures anti-sionistes et du racisme anti-blanc (qui lui existe depuis plus de 20 ans !)

 

Pourquoi il faudra punir les gourous de la pensée unique.

 

Encore un mot au sujet des libertés fondamentales garanties par notre Constitution (conviction, expression, réunion et presse).

 

 Depuis 20 ans, la classe politique et les gouvernements successifs ne tolèrent plus  aucune contradiction ; ils ont érigé des tabous, ils ont multiplié les lois liberticides à l’encontre de ceux qui n’adhèrent plus à leurs dogmes et contestent le « politiquement correct » (ce qui durant la guerre froide se nommait la langue de bois) ils ont instauré une police de la pensée et avec la barre des 10% de suffrages pour différents scrutins, interdisent toute émergence novatrice.

 

L’horizon est sombre car la majorité « démocratique » à laquelle adhérent les partis traditionnels avec leurs multiples courroies de transmission (syndicats, monde associatif, asbl ou centres culturels bidons…) travestit en parodie démocratique une réelle bêtise totalitaire qui met en péril le principe même de la liberté.

 

Osons le changement !

 

Demain, la réalité dépassera la fiction prémonitoire de « Big Brother » personnage virtuel du roman « 1984 » écrit par G. ORWELL en 1949. Alors il ne restera plus aux électeurs oubliés que le carton rouge pour mettre sur la touche les partis qui, hors des réalités, s’éloignent du bon sens commun des femmes et des hommes de notre communauté. Personne ne pourra leur reprocher leur choix s’ils donnent un signal fort, en votant pour les nationalistes, sans état d’âme et sans regret pour ceux qui les ont trompés si longtemps.

 

Pour le prochain scrutin, les électeurs devraient OSER PENSER et OSER AGIR…

 

Article publié dans le n°29 (septembre octobre 2012) de la revue Synthèse nationale cliquez ici

01:29 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Nancy : samedi 20 octobre, journée de cohésion du GUD...

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Site du GUD de Nancy cliquez ici

01:26 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ils prendront la parole le dimanche 11 novembre prochain lors de la VIe journée de Synthèse nationale :

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00:33 Publié dans 06 - La 6e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Revue de presse : Goldman Sachs a plus que doublé ses revenus au 3e trimestre...

images-73.jpgGoldman Sachs Group a publié mardi un résultat net bénéficiaire au titre du troisième trimestre, contre une perte sur la même période l’an dernier, et des revenus plus que doublés sur un an grâce à des plus-values réalisées sur son portefeuille d’investissement.

Le groupe américain a réalisé sur le trimestre juillet-septembre un bénéfice de 1,51 milliard de dollars (1,15 milliard d’euros), soit 2,85 dollars par action ordinaire, à comparer à une perte de 428 millions (84 cents/action) un an plus tôt.

Son produit net bancaire (PNB) a progressé de 133% sur un an à 8,35 milliards de dollars contre 3,59 milliards au troisième trimestre l’an dernier.

Les analystes financiers prévoyaient en moyenne un bénéfice par action de 2,12 dollars selon Thomson Reuters I/B/E/S.

La majeure partie de la croissance du PNB est à mettre au crédit de la division d’investissement et de prêt, qui regroupe les investissements en actions et en obligations détenus par la banque.

La valeur de ces investissements a augmenté après l’annonce par la Réserve fédérale américaine d’un nouveau programme d’achats d’actifs sur les marchés financiers, mais les volumes de transactions et l’activité sont restés limités.

La division d’investissement et de prêt a contribué au PNB à hauteur de 1,8 milliard de dollars au troisième trimestre, alors qu’elle avait eu un impact négatif de près de 2,5 milliards l’an dernier sur la période correspondante.

Dans un communiqué, le directeur général du groupe, Lloyd Blankfein, a qualifié de « globalement solides » les résultats de la banque au troisième trimestre.

L’action Goldman Sachs gagnait 50 cents à 125,00 dollars dans les transactions en avant Bourse.

Le groupe a annoncé une hausse de son acompte trimestriel sur dividende, qui passe de 46 à 50 cents.

La valeur de la dette du groupe a augmenté au troisième trimestre, ce qui l’a obligé à passer dans ses comptes une charge de 370 millions de dollars.

Source Reuters, via 3e Voie cliquez ici

NDP Ile-de-France cliquez là

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jeudi, 18 octobre 2012

Après l’esclavage, le 17 octobre 1961… La coupe de la repentance déborde !

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Bernard Lugan

L'Afrique réelle cliquez ici

 

En reconnaissant la responsabilité de l’Etat et en rendant hommage aux « victimes » de la manifestation interdite du 17 octobre 1961(1) François Hollande s’est comporté en militant sectaire, non en président de tous les Français. D’autant plus que, pour les historiens de métier, les prétendus « massacres » du 17 octobre 1961 constituent un tel exemple de manipulation qu’ils sont étudiés comme un cas exemplaire de fabrication d’un mythe ; comme Timisoara en Roumanie, comme les « couveuses » au Koweit ou encore comme les « armes de destruction massive » en Irak !!!

 

Tout repose en effet sur des chiffres gonflés ou manipulés et sur des cadavres inventés. Dans une inflation du nombre des morts, les amis du FLN algérien et les porteurs de valises communistes ont ainsi joué sur les dates, additionnant aux 3 morts avérés du 17 octobre ceux des jours précédents ainsi que les décès postérieurs. Pour eux, tout Nord Africain mort de mort violente durant le mois d’octobre 1961 est forcément une victime de la répression policière…même les victimes des accidents de la circulation.

 

Il est possible d’affirmer cela sans crainte d’être démenti car :

 

- En 1998, le Premier ministre de l’époque, le socialiste Lionel Jospin, constitua une commission présidée par le conseiller d’Etat Dieudonné Mandelkern qu’il chargea de faire la lumière sur ces évènements. Fondé sur l’ouverture d’archives jusque là fermées, le rapport remis par cette commission fit litière des accusations portées contre la police française (2) Or, ce rapport consultable sur le net n’a visiblement pas été lu par François Hollande.

 

- En 1999, Jean-Paul Brunet, universitaire spécialiste de la période, publia un livre extrêmement documenté qui démontait la thèse du « massacre » du 17 octobre (Brunet, J-P., Police contre FLN. Le drame d’octobre 1961.Paris).

 

- En 2003, le même Jean-Paul Brunet publia un nouveau livre (Charonne, lumière sur une tragédie.Paris) dans lequel il démontrait que le prétendu « rapport de police » faisant état de 140 morts le 17 octobre, document qui sert de point de départ à J.L Einaudi, auteur du livre sur lequel repose toute la manipulation (Octobre 1961, un massacre à Paris), n’a jamais existé.

 

Reprenant la liste des morts donnée par Einaudi, il montre également que la majorité des décès remonte à des dates antérieures au 17 octobre et il prouve que ce dernier a manipulé les chiffres, additionnant les cadavres non identifiés reçus à l’Institut Médico Légal au nombre des disparus et même (!!!) à celui des Algériens transférés administrativement en Algérie après qu’ils eurent été arrêtés le 17 octobre. Il montre enfin qu’Einaudi a compté plusieurs fois les mêmes individus dont il orthographie différemment les noms…

 

Monsieur Hollande pouvait-il ignorer tout cela ? Si oui, la nullité ou l’aveuglement militant de ses conseillers laisse pantois.

 

Quel est donc le vrai bilan de cette manifestation ?

 

- Le 17 octobre 1961, alors que se déroulait dans Paris un soi-disant massacre, l’Institut Médico Légal (la Morgue), n’a enregistré aucune entrée de corps de « NA » (NA= Nord Africain dans la terminologie de l’époque).

- Le 17 octobre 1961, de 19h30 à 23 heures, il n’y eut qu’une seule victime dans le périmètre de la manifestation et ce ne fut pas un Algérien, mais un Français nommé Guy Chevallier, tué vers 21h devant le cinéma REX, crâne fracassé. Par qui ?

 

- En dehors du périmètre de la manifestation, « seuls » 2 morts furent à déplorer, Abdelkader Déroues tué par balle et retrouvé à Puteaux et Lamara Achenoune tué par balle et étranglé, gisant dans une camionnette, également à Puteaux. Rien ne permet de dire qu’ils furent tués par les forces de l’ordre.

 

Le 18 octobre, à 04 heures du matin, le bilan qui parvint à Maurice Legay le directeur général de la police parisienne fut donc de 3 morts. Nous sommes donc loin des dizaines de morts et de « noyés » auxquels l’actuel occupant de l’Elysée a rendu hommage !!!

 

Certes, nous dit-on, mais les cadavres ont été déposés à la morgue les jours suivants. Faux, car ce n’est pas ce qu’indiquent les archives de l’Institut Médico Légal de Paris puisque, entre le 18 et le 21 octobre, « seuls » 4 cadavres de « NA » furent admis à la Morgue :

- Le 18 octobre, Achour Belkacem tué par un policier invoquant la légitime défense et Abdelkader Benhamar mort dans un accident de la circulation à Colombes.

- Le 20 octobre, Amar Malek tué par balles par un gendarme.

- Le 21 octobre Ramdane Mehani, mort dans des circonstances inconnues.

 

Nous voilà donc bien loin des 100, 200 ou même 300 morts « victimes de la répression » avancés par certains et pour lesquels M. François Hollande a reconnu la responsabilité de la France !!!

 

D’autant plus que le « Graphique des entrées de corps « N.A » (Nord-africains) par jour. Octobre 1961 »(3) nous apprend que du 1° au 30 octobre 1961, sur les 90 corps de « NA » entrés à l’Institut Médico Légal, la plupart étaient des victimes du FLN.

 

Plus encore, pour toute l’année 1961, 308 cadavres de « N.A » entrèrent à l’IML, la plupart ayant péri dans la guerre inexpiable que le FLN menait contre ses opposants partisans de l’Algérie française ou du MNA de Messali Hadj. Ainsi, au mois d’octobre 1961, sur les 34 cadavres de « N.A » retirés de la Seine ou de la Marne, notamment aux barrages de Suresnes et de Bezons puis conduits à l’IML, la quasi totalité étaient des harkis, des partisans de la France ou des membres du MNA, une des méthodes d’assassinat du FLN consistant à noyer ses opposants. La police française n’est pour rien dans ces noyades.

 

François Hollande devra donc rendre compte au tribunal de l’Histoire car il a couvert de son autorité un mensonge, une manipulation, un montage grossier qui va être utilisé contre la France par ceux que son ministre de l’Intérieur a qualifiés d’ «ennemis de l’intérieur ».

 

Pour en savoir plus :

 

- Brunet, J-P., (2002) « Enquête sur la nuit du 17 octobre 1961 ». Les Collections de l’Histoire, hors série n°15, mars 2002.

- Brunet, J-P., (2008) « Sur la méthodologie et la déontologie de l’historien. Retour sur le 17 octobre 1961 ». Commentaire, vol 31, n°122, été 2008.

- Brunet, J-P., (2011) « Combien y a-t-il eu de morts lors du drame du 17 octobre 1961 ? ». Atlantico, 17 octobre 2011.

 

Notes :

 

(1) Voir à ce sujet le dossier spécial de l’Afrique réelle, novembre 2011 intitulé Pour en finir avec le mythe du « massacre » des Algériens à Paris le 17 octobre 1961.

(2) « Rapport sur les archives de la Préfecture de police relatives à la manifestation organisée par le FLN le 17 octobre 1961 ». Rapport établi à la demande du Premier ministre, M. Lionel Jospin et remis au mois de janvier 1998 par M. Dieudonné Mandelkern président de section au Conseil d’Etat, président ; M. André Wiehn, Inspecteur général de l’administration ; Mme Mireille Jean, Conservateur aux Archives nationales ; M. Werner Gagneron, Inspecteur de l’administration. En ligne.

(3)] Voir l’Afrique réelle, novembre 2011.

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Affaire Bouteldja : mise au point des avocats de l'AGRIF...

Source l'AGRIF cliquez là

 

Dans un communiqué du 17 octobre 2012, le Bloc identitaire prétend qu'il a "assigné" "Houria Bouteldja en justice pour ses propos sur les "sous-chiens" voici moins d'un an" alors que c'est l'AGRIF qui a, seule, mené cette action devant les tribunaux depuis 4 ans !

 

Il s'agit là d'une récidive de récupération mensongère puisque le Bloc identitaire avait déjà prétendu le 1er octobre 2011 en parlant d'Houria BOUTELDJA : " nous la ferons condamner à Toulouse !"

 

Dans le même communiqué du 17 octobre 2012, le Bloc identitaire fait état de la récente mise en examen de Saïd BOUAMAMA pour le livre « NIQUE LA FRANCE », mais également de celle de Saïdou, chanteur et auteur du morceau de rap « NIQUE LA FRANCE ». La simple objectivité aurait justifié de mentionner que ces mises en examen l'ont été du fait de la seule action judiciaire de l'AGRIF sans laquelle rien ne serait advenu.

 

S'il est bien entendu que personne n'a le monopole du combat pour le respect de l'identité française et chrétienne, ce combat ne peut se faire au détriment de la vérité et au prix du mensonge : or, l'AGRIF est, depuis 25 ans, la seule association qui lutte devant les tribunaux.

 

Ce combat a un prix : celui du travail continuel et acharné de son Président Bernard ANTONY, de ses vice-présidentes Jeanne SMITS et Cécile MONTMIRAIL, de ses permanents, de ses adhérents et militants pour réunir les pièces des dossiers, celui du travail d’analyse juridique et procédurale dans une matière technique et pointilleuse et de la vigilance constante de ses différents avocats pour ne pas laisser s'enliser les plaintes portées et ne pas laisser prescrire les affaires dont les juridictions sont saisies, celui du travail d'argumentation écrite parfois sur des dizaines de pages pour réfuter la dialectique de nos adversaires qui pratiquent un antiracisme à sens unique.

 

Un dossier porté par l'AGRIF devant les tribunaux, ce sont des années d'enquête, d'instruction, d'argumentation, avant d'aboutir à une première comparution. Ce sont des dizaines d'heures de travail, ce sont les frais de justice nécessaires au soutien et au maintien de ces actions.

Qui assume tout cela sinon l’AGRIF, ses responsables, permanents et avocats ?

 

Ainsi, quand le Bloc identitaire prétend que c'est lui qui a assigné Houria BOUTELDJA en justice, il s'agit non seulement d'un mensonge éhonté qui le décrédibilise totalement, mais il s'agit encore d'une grave injustice qui relève d'une parfaite indécence.

 Pierre-Marie BONNEAU, avocat à la Cour de Toulouse.

Jérôme TRIOMPHE, avocat à la Cour de Paris.

 

Agrif 70, boulevard Saint Germain 75005 Paris

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La mort d’un Roi...

Photo 1. Decoux et Sihanouk. 3 sept. 1941.jpg

3 septembre 1941 – Aux côtés de Norodom Sihanouk, l’Amiral Decoux porte l’urne funéraire du défunt roi du Cambodge, S.M. Sisowath.

Par Eric Miné

Ecrivain et romancier

Spécialiste de l'Extrême-Orient

Synthèse nationale

 

Lundi 15 octobre disparaissait à 89 ans Norodom Sihanouk. Traité en Chine régulièrement pour des affections récurrentes essentiellement liées à son âge, l’ancien monarque du Cambodge s’est éteint dans un hôpital de Pékin.

 

Généralement présenté dans les médias comme « changeant » en politique, éclectique dans ses goûts et ses occupations, cet ancien élève du Lycée Chasseloup-Laubat de Saïgon est surtout controversé pour ses liens avec la Chine communiste et sa caution – très temporaire – au régime des Khmers rouges.

 

Sans rentrer dans les subtilités toutes asiatiques où les idéologies élaborées en Occident ont dans ces pays une signification et une portée très différentes, il m’apparaît salutaire de noter, au contraire du discours ambiant, l’extrême fidélité – en amitié – et la grande constance – en politique – de celui qui fut à n’en pas douter le plus grand homme d’État de l’Asie du Sud-Est pendant presque trois quarts de siècle.

 

Intronisé le 28 octobre 1941 sous la protection de la France alors puissance tutélaire, le jeune souverain reçut des mains mêmes de l’Amiral Decoux – Gouverneur général de l’Indochine de 1940 à 1945 – la tiare d’or à longue pointe, symbole royal du pays khmer. Alors qu’ensuite après-guerre l’Amiral Jean Decoux, injustement accusé et hospitalisé au Val de Grâce, était la cible d’un éprouvant procès d’épuration, Norodom Sihanouk, lui écrivit le 20 juin 1946 : « … je dirai avec quelle abnégation vous avez, en Indochine, servi les intérêts supérieurs de la France et avec quelle noblesse de cœur vous avez assuré, pendant quatre ans, la protection des peuples indochinois contre l’ennemi. Je suis certain que justice vous sera rendue et que la France vous considèrera comme un des meilleurs parmi ses fils ».

 

Dans ces temps agités où, en métropole et sur fond de représailles aveugles, la vilénie le disputait à la bassesse, les soutiens de cette qualité furent plutôt comptés aux hauts responsables français qui avaient été loyaux tant à leur mission qu’aux autorités légales de leur pays.

 

Cet engagement sincère en faveur de l’Amiral Decoux et de son action en Indochine, qui ne pouvait que déplaire au pouvoir politique alors en place en France, serait à lui seul une raison bien suffisante – en tout cas pour tous ceux qui croient encore à la France et à la grandeur de son œuvre au-delà des mers – de rendre hommage aujourd’hui à la mémoire de S.M. Norodom Sihanouk.

 

Il ne me semble toutefois pas inutile de rappeler aussi que, malgré les atermoiements et les vicissitudes de ce qui perdura de la geste française en Asie après 1945, Norodom Sihanouk fut toujours un ami de notre pays. Il fut le premier souverain d’Indochine à avoir adhéré à l’Union française. Tout en prônant sur le plan international le non-alignement dans le conflit de « guerre froide » qui opposait les États-Unis à l’URSS, il tenta d’appuyer le neutralisme cambodgien – pour éviter à son pays les affres de la guerre américaine du Vietnam – sur la France qu’il croyait être encore une vraie puissance, capable de défendre indépendamment ses intérêts et ceux de ses alliés dans le monde. Pour se faire, en 1966, il invita à Phnom Penh le général De Gaulle qui, dans un discours resté fameux, l’assura du soutien de l’ancienne puissance coloniale. Las, comme trop souvent dès qu’il s’agit du verbiage – certes flamboyant – gaullien, ce ne fut qu’une posture, et Norodom Sihanouk fut renversé en 1970 sur l’initiative des Américains devant une France devenue impuissante.

 

L’action politique, militaire et diplomatique qu’il mènera ensuite de 1970 à 1991, lors de son retour au Cambodge qui voit sous son impulsion la restauration de la monarchie, appartiennent à l’Histoire asiatique. Habile tacticien et fin stratège, la souplesse de sa démarche ainsi que l’amour irréfréné que ce prince, dans toute la noblesse du mot, a toujours voué à ses sujets – qui le lui rendent bien en l’appelant affectueusement « Monseigneur Papa » – font de lui l’exemple d’une conduite de ce que d’aucuns sous d’autres cieux nommeraient un « pragmatisme organisateur » et un « nationalisme intégral ». L’un des très rares hommes d’État des XXe et XXIe siècles à avoir rétabli les institutions naturelles propres à protéger durablement son peuple, maurrassien sinon dans ses affirmations du moins dans son action, Norodom Sihanouk reste à mes yeux un modèle dont nos responsables politiques nationaux feraient bien de nos jours de s’inspirer.

 

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1944 – Norodom Sihanouk, en tenue de « Yuvan », accompagné de l'Amiral Decoux, du Résident Supérieur Gautier et du Commissaire aux Sports Ducoroy, passe en revue 15.000 jeunes.

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RAPPEL : ce soir, jeudi 18 octobre, conférence de Roland Hélie au Local...

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Belgique : communiqué du mouvement NATION après les élections de dimanche dernier...

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Pas-de-Calais : Lièvin, le PS, la Soginorpa et le "système" Kucheida !

1233103521.pngYves Darchicourt

Jean-Pierre Kucheida, maire - exclu du PS - de Lièvin, (ex?) franc-maçon du Grand Orient De France, et sa fille Marie sont en garde à vue au commissariat de Douai où ils étaient convoqués par la PJ de Lille. L'intègre "frère trois points" est soupçonné d'abus de biens sociaux au préjudice de l'Epinorpa- Soginorpa - une société bailleur social gérant quelques 62 000 logements hérités des houillères - dont il était le président, son "artiste" photographe de fille étant suspectée de recel 'abus de biens sociaux.

Selon France-Info, celui qui fut un des grands barons du PS dans le Pas-de-Calais aurait fait usage à des fins personnelles de la carte bancaire de la société - à hauteur de 47 000€ entre 2004 et 2011 (restaurants haut de gamme dont un fort réputé en Savoie où il possède une résidence secondaire, frais de parking d'aéroports, déplacements à l'étranger...) - comme de sa carte-essence (4 000€ de carburant); quant à fifille, elle aurait bénéficié d'une manne de 24 000€ en rémunération de la réalisation d'un album photos luxueux sur les enfants des cités et pour l'organisation d'une exposition de photographies par l'intermédiaire de l'association Apepac... elle-même payée par la Soginorpa de papa et le tout sous le pseudonyme de Marika. C'est le commissaire aux comptes de la société - fort bien placé pour relever des agissements susceptibles de constituer des abus de biens sociaux - qui a dénoncé les faits (comme il en a le devoir et l'obligation). Toujours selon France-Info, ce grand "socialiste" si dévoué aux damnés de la terre, ne pourra nier avoir indûment porté au rouge la carte bancaire de la Soginorpa mais aurait l'intention d'en expliquer l'utilisation soit par des dépenses justifiées par l'intérêt supérieur de la société, soit par de simples erreurs : l'homme pourait prétendre s'être parfois "trompé" de carte bancaire (mais bizarement pas de code) au moment de régler la note!

On sait en outre que 4 enquêtes préliminaires visent un éventuel financement occulte de la Fédération PS du Pas-de-Calais ayant permis la constitution d'une cagnotte de 120 000€. Kucheida n'a probablement pas trop de soucis à se faire, l'homme doit savoir et pouvoir prouver beaucoup de choses fort navrantes pour le PS et il est sans doute en position de force pour négocier avec ses anciens "amis". Ils sont beaux les politicards du Système ! Que vienne vite le coup de balai salutaire !

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Un entretien avec Alain Renault sur la sortie du livre "Histoire des fascismes" de François Duprat...

duprat.jpg« Des leçons bien précises peuvent être tirés de l’histoire du mouvement nationaliste-révolutionnaire dans le monde ».

Entretien avec Alain Renault, préfacier d’Histoire des Fascismes (propos recueillis par Fabrice Dutilleul) :

Beaucoup d’études ont été publiées sur le Fascisme, quel est l’intérêt de celles de François Duprat ?

Le terme de « fascisme » recouvre des réalités différentes. Duprat étudie des « fascismes » méconnus dans la perspective des combats d’aujourd’hui car il considère que « des leçons bien précises peuvent être tirés de l’histoire du mouvement nationaliste-révolutionnaire dans le monde ». Ses monographies portent donc moins sur l’idéologie, marquée par le temps et l’espace, de ces différentes formations que sur leur action, leurs rapports face à la « droite » et la « gauche », leur capacité à recruter et à mobiliser, les raisons de leurs échecs ou de leurs succès.

Mais le Fascisme ne se confond pas avec le nationalisme-révolutionnaire, étiquette revendiquée par Duprat ?

Non, et d’ailleurs seul un imbécile n’ayant d’ailleurs rien compris à l’essence du Fascisme, mènerait aujourd’hui et en France une action politique en s’en réclamant… Comme l’a écrit Duprat « le nationalisme doit être considéré aujourd’hui puisque nous sommes des relativistes et que nous croyons à l’obligation pour les formulations idéologiques de s’adapter aux situations changeantes ». Mais, quelle que soit l’étiquette retenue, il n’en demeure pas moins que certains principes perdurent même si certains font du « fascisme » sans le savoir, voire en s’en défendant.

Les analyses de Duprat restent-elles actuelles, 34 ans après sa mort ?

En tous cas, sa méthode, son logiciel de pensée, sont d’une actualité permanente. J’ai d’ailleurs sélectionné ces monographies, et les enseignements pratiques que l’on peut en tirer, pour l’action de notre temps. Ma préface les inscrit dans le combat actuel et dans l’analyse politique plus générale de Duprat. Celui-ci semble avoir été très en avance dans sa prédiction des crises économique et identitaire qui commence seulement à apparaître.

Quelles leçons générales à tirer de l’ouvrage ?

Chacun peut en tirer des leçons individuelles par ses propres réflexions sachant que « la réflexion est ACTION si elle sait déboucher sur l’amélioration qualitative de l’action pure » en étudiant les erreurs qui mènent à l’échec et, plus positivement, les méthodes qui peuvent mener aux succès sachant que les conditions de ceux-ci ne les garantissent aucunement. « Si nous ne savons profiter des événements historiques en cours ce sera la preuve non pas que l’Histoire ne devait pas aller dans notre sens, mais que nous avons été, au moment voulu, incapables de profiter de notre chance. »

4445.jpgHistoire des Fascismes, de François Duprat, Préface, sélection, présentation et annexes par Alain Renault, éditions Déterna, Collection « Documents pour l’Histoire », dirigée par Philippe Randa, 310 pages, 29 euros.



Des mêmes auteurs, chez le même éditeur  (Francephi) :

Les Fascismes américains – 1920-1944, de François Duprat et Alain Renault (328 pages, 31 euros) : Cette étude porte sur l’action de ces mouvements entre le début du XXe siècle et l’entrée des États-Unis dans la Deuxième Guerre mondiale : les précurseurs, la campagne antisémite de Ford, les « démagogues », produits de la crise de 1929, les mouvements purement fascistes de Shirts, le « Bund Germano-américain » et diverses organisations du même type, la lutte contre la guerre et la répression des « menées fascistes ».

Ordre Nouveau, préface d’Alain Renault (465 pages, 35 euros) : Son histoire, ses idées, son programme ont fait l’objet des deux ouvrages publiés successivement par le Mouvement, en juin 1972 et en juin 1973 dont l’intérêt suscite cette réédition.

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mercredi, 17 octobre 2012

Rappel : sortie le 20 octobre de JACQUES DORIOT ET LE PPF, historisme réalisé par Bernard-Henri Lejeune...

Historisme Jacques Doriot et le PPF_1.vign.jpg

Edité une première fois en juillet 1977, cet « historisme » fut longtemps le seul livre de référence sur Jacques Doriot et sur le Parti populaire français. L’ensemble des documents qui le compose, rassemblés par Bernard-Henri Lejeune, constitue une véritable mine de renseignements à la fois sur l’homme et sur le parti. La lecture de ces textes, écrits par les intellectuels les plus en vue de l’époque, tels Pierre Drieu La Rochelle, Pierre Dominique, Robert Brasillach, François Mauriac, Bertrand de Jouvenel, Roland Gaucher, Maurice Duverger et bien d’autres, ou retrouvés dans les archives d’anciens responsables du PPF, permettra de se faire une opinion dégagée des poncifs de l’historiquement correct sur cette grande aventure qui marqua l’histoire des mouvements nationalistes français dans les années 30.

 

L’auteur :

 

Bernard-Henri Lejeune, dès l’âge de 16 ans, fut militant dans les organisations de jeunesses du Parti populaire français. Toute sa vie il resta fidèle à son engagement et il fit son possible pour défendre, envers et contre tous, la mémoire de Jacques Doriot. Il anima dans les années 60 et 70 le Cercle d’études politiques et sociales, association nationaliste très active en Picardie.

 

Commandez Jacques Doriot et le PPF :

Règlement à la commande par chèque à l’ordre de Synthèse nationale à retourner à :
Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris

18, 00 € l’exemplaire (+ 3 € de port)

 

Jacques Doriot et le PPF, Editions Les Bouquins de Synthèse nationale, Bernard-Henri Lejeune, 2012, 170 pages, nombreuses illustrations, 1re partie : avant la défaite de 1940 (parution de la seconde partie au printemps 2013)

 

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Les Bouquins de Synthèse nationale cliquez ici

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Blanchiment : l’élue verte vend aussi des sextoys

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Source 3e Voie cliquez ici

INFO MATCH. Florence Lamblin, mise en examen dans une vaste affaire de blanchiment, est actionnaire de la boutique en ligne sexecolo.com proposant des produits alliant « écologie et sexualité »

Jusqu’alors très discrète, Florence Lamblin, l’adjointe au maire écolo du 13ème arrondissement de Paris, vient d’accéder à la notoriété avec sa mise en examen, la semaine dernière, pour « blanchiment d’argent en bande organisée » et « association de malfaiteurs ». La justice la soupçonne d’avoir bénéficié des services du vaste réseau de blanchiment d’argent de la drogue qui vient d’être démantelé entre le Maroc, la France et la Suisse. En plus de ses activités municipales, cette architecte de 49 ans est aussi une femme d’affaires. On la retrouve comme actionnaire dans plusieurs sociétés française dont l’une –Kobisha Sarl-, est immatriculée à son domicile, dans le 13ème arrondissement. Cette « start-up », dont elle détient 40% des parts, a une activité peu commune. Elle édite le site Internet www.sexecolo.com, une boutique en ligne qui,comme son nom l’indique, propose des produits mariant « écologie, protection de l’environnement, sensualité et sexualité ».

L’écologie « doit être festive et non culpabilisante », affiche le site. Dans la gamme de sexecolo : des sex toys « garantis sans phtalates, solides et durables », des lubrifiants bio « sains, et efficaces » ou encore des huiles et bougies de massages 100% naturelles. Le site donne même à la clientèle quelques idées pour « du sexe sain et du romantisme bio ». Il est ainsi conseillé de « prendre une douche ou un bain à deux pour économiser l’eau », de se sécher avec des « serviettes bio ou du commerce équitable » et de «déguster un dîner en amoureux à la lumière tamisée de bougies bio, toutes lumières éteintes ».

L’associé de Florence Lamblin, un ancien musicien, lui aussi de la mouvance écolo, possède par ailleurs la société éditrice du journal « Hard Rock Magazine ». Il y a comme actionnaire « Toy and Hobby Holdings » une exotique société des Iles Vierges Britanniques, dont la directrice n’est autre que la tante de Meyer Elmaleh, le financier de Genève suspecté d’avoir été la plaque tournante du réseau de blanchiment . Contacté, Me Jérôme Boursican, l’avocat de Florence Lamblin, n’a pas répondu à nos appels.

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Sortie en Pologne, à la fin du mois, d'un film retraçant la Bataille de Vienne :

Sortie en Pologne le 23 octobre (traduction Contre-Info.com)

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Tourcoing : pourquoi le groupe de Christian Baeckeroot (Parti de la France) a voté contre la mosquée...

Baeckeroot.jpgLe 11 octobre dernier le conseil municipal de Tourcoing adoptait avec une large majorité une délibération autorisant la construction d'une mosquée à Tourcoing...

 

LORS DU CONSEIL MUNICIPAL DU 11 OCTOBRE, AU SUJET DE LA DÉLIBÉRATION SUR LA MOSQUÉE. VOICI LES VOTES :

VERTS, COMMUNISTES,PS,PRG,MODEM (Majorité Municipale ) = POUR

UMP = POUR

A TOURCOING LES FRANÇAIS D'ABORD ( PDF ) = CONTRE

 

Ci-dessous intervention de Christian BAECKEROOT Président du Groupe PdF au Conseil Municipal de Tourcoing du Il octobre 2012 (Délibération n°4) :

 

Cette délibération appelle plusieurs remarques des élus du Parti de la France.

 

1°) sur le prix : Face au projet initial qui faisait état d'une cession de terrain au prix de 40 € /m2, nous avions fait part de notre doute quant à la possibilité légale d'une cession a ce prix. Monsieur le Maire avait répondu lors de cette même séance du Conseil municipal, qu'il interrogerait les services préfectoraux à ce sujet. La réponse de Monsieur le Préfet a dû confirmer le bien-fondé de notre interrogation car le prix qui nous est proposé est bien de 120 € /m2 conforme à l'estimation des services fiscaux.

Dont acte.

 

2°) sur l'opportunité du projet de mosquée : De nombreuses familles de Français de souche nord-africaine ont été installées dans le quartier du Pont Rompu et en particulier des familles de harkis et autres supplétifs qui avaient échappé, lors de l'indépendance de l'Algérie, au massacre dans des conditions horribles de plus de 70.000 de leurs camarades. On aurait pu espérer que la France et les pouvoirs publics se mobilisent pour les accompagner dans cette vie nouvelle. Il n'en a rien été, car, comme le rappelait Monsieur le Maire, depuis 40 ans ce quartier n'a connu que des démolitions. De plus la sécurité est insuffisante, le chômage est particulièrement élevé. Le renouveau du quartier implique en priorité des emplois, des logements neufs ou rénovés, des services de proximité et l'amélioration d'une image de marque grâce à une plus grande mixité.

 

Or la construction d'une nouvelle mosquée, en plus des 4 qui existent déjà à Tourcoing, ne s'inscrit pas dans la réhabilitation de ce quartier. Par son importance, par les cours coraniques qui seront donnés, ce projet de mosquée s'inscrit dans le cadre de revendications, non pas de musulmans croyants, mais de l'Islam qui constitue un système global, religieux et politique, qui a la volonté de contrôler les comportements personnels, comme les comportements sociaux. Les exemples étrangers, malheureusement trop nombreux, nous imposent ce devoir de clairvoyance et de vérité.

 

Quant aux vieux de ma génération, ceux qui parcouraient les Aurès avec moi, ou les autres djebels algériens, ils ne sont pas si nombreux pour servir de justification à la construction d'un ensemble immobilier de cette importance. Pour les quelques petites dizaines, à qui l'âge interdirait de se déplacer rue du Clinquet, rue du Bus, ou ailleurs, une simple salle de prière suffirait largement.

 

Voici brièvement exposées les raisons qui nous conduisent à voter contre ce projet qui ne peut que nuire au renouveau du quartier du Pont Rompu.

 

Source Tourcoing le Français d'abord cliquez ici

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Contre le droit de vote aux étrangers...

3-mnr.JPGUn communiqué du MNR :
 
Le premier ministre, Jean-Marc Ayrault, a promis récemment (le 20 septembre 2012) qu’un projet de loi sur le droit de vote des étrangers serait préparé «pour l’année prochaine».

La constitution dispose, dans son article 3, que : «Sont électeurs, dans les conditions déterminées par la loi, tous les nationaux français majeurs des deux sexes, jouissant de leurs droits civils et politiques».

Il s’agirait donc d’une modification majeure du fonctionnement de nos institutions. Alors que, déjà, un certain nombre de «Français» d’origine immigrée ne se sentent nullement liés à notre pays, sinon pour en tirer des avantages, il serait particulièrement choquant que les étrangers extra-européens puissent participer au vote aux élections municipales, participant ainsi indirectement au choix des grands électeurs, qui eux-mêmes désigneront plus tard les sénateurs.

17:27 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Fume, c’est du Peillon...

Randa Philippe août 2010 Portrait.jpgLa chronique de Philippe Randa

François Hollande et Jean-Marc d’Ayrault ont-ils à craindre l’opposition avec un ministre comme Vincent Peillon ? Pas vraiment !

Sacré Peillon ! Prôner la dépénalisation du cannabis alors qu’une élue écologiste adjointe au maire socialiste du XIIIe arrondissement de Paris est mise en examen pour blanchiment d’argent de la drogue, il fallait oser ! Mais un ministre socialiste, ça ose tout… et c’est même à cela qu’on les reconnait, disent leurs détracteurs.

Ah ! La gaffe ! La boulette ! Le loupé ! On pourrait même qualifier ça de bavure gouvernementale, rien de moins !… Et pourquoi pas de sabotage pendant qu’on y est, hein ?

D’un ou une élu(e) d’EELV (Europe-Écologie Les Verts), cela n’aurait pas surpris, c’est dans leur programme, pour certains dans leurs gênes, et pour la plupart dans leurs cervelles… Mais d’un Ministre de l’Éducation nationale, tout de même, ça interpelle !

Depuis sa déclaration intempestive, Vincent Peillon s’est bien sûr fait remonter les bretelles par son patron de Matignon qui a sèchement rappelé que « lorsqu’ils (les ministres) sont à la radio et la télévision, ils doivent défendre à la fois la politique de leur ministère et la politique du gouvernement, et rien d’autre. »

On peut tout de même se demander si l’ancien porte-parole de Ségolène Royal lors de la campagne présidentielle de 2007, est vraiment un âne de compétition… ou s’il n’a pas sciemment provoqué le scandale. Soit sur ordre, soit par ambition personnelle.

Sur ordre de l’Élysée et/ou de Matignon, accusé(s) de mollesse, d’immobilisme et d’incompétence et dont l’image s’effondre si rapidement dans l’Opinion publique depuis six mois… La fermeté avec laquelle François Hollande et Jean-Marc Ayrault ont réagi peut leur laisser espérer récupérer quelques sympathies perdues. Il n’y a pas de petits profits… Mission réussie ? Peut-être, même si le gain restera éphémère, probablement.

Ou alors Vincent Peillon n’aura commis cette déclaration hallucinogène que par simple ambition personnelle. Pour exister tout simplement. Reprendre à son collègue Manuels Valls quelques centimètres carrés d’espace médiatique et occuper trois/quatre jours durant la une des médias. But atteint ? Oui, à l’évidence, même si gain éphémère, là aussi…

Les « coups médiatiques » semblent désormais les seules obsessions des professionnels de la politique… Et on assiste, chaque fois un peu plus ébahi, à une course effrénée de celle ou de celui qui fera la déclaration la plus insolite, la plus imprévue, la plus iconoclaste ou la plus scandaleuse pour attirer sur soi le feu des projecteurs, occuper le devant de la scène, faire le « buz » sur internet…

Derrière le pétard hallucinogène, la pétarade médiatique ? Fume, c’est du Peillon…

17:11 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 16 octobre 2012

Ils prendront la parole le dimanche 11 novembre prochain lors de la VIe journée de Synthèse nationale :

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12:00 Publié dans 06 - La 6e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Valérie Trierweiler a trouvé sa voie : la mégère apprivoisée va donner dans l'humanitaire !

Yves Darchicourt

La mini tournée africaine de François Hollande aura au moins abouti à quelque chose, Valérie Trierweiler, la Première Maîtresse, qui l'accompagnait aurait eu une soudaine et congolaise illumination : " maintenant tout est clair, je sais ce que je veux faire " se serait exclamée la tweeteuse assagie qui va désormais se lancer dans l'humanitaire !

L'humanitaire sauce bobo évidemment, l'humanitaire sélectif, lointain et exotique qui préfère s'exprimer sur le Zambèze plutôt qu'en Corrèze ; le Gaulois dans la misère n'intéresse pas les branchés et c'est tellement plus médiatique de donner dans le style Kouchner au sac de riz. Et puis cela va lui permettre de voyager équatorial en hiver, du tout bon pour la dame mais aussi pour son Roudoudou soulagé de savoir que les éventuelles frasques verbales de la mégère n'arriveront qu'étouffées en France.

Voie de garage par "décret présidentiel", pour l'énervée au digitus impudicus baladeur ? Peut-être. Hélas aussi opération médiatique qui va surtout coûter bonbon au contribuable !

10:28 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les conséquences de la Loi Taubira...

Bernard Lugan

L’on croyait avoir tout vu à propos de la repentance ! Or, au moment où, à Gorée, François Hollande se couvrait la tête de cendres (voir mon communiqué du 12 octobre), le cabinet du Premier ministre français reconnaissait qu’il avait été demandé à un « collectif » d’associations de « faire des propositions sur ce qui peut être fait en termes de réparations ». Rien de moins ! Français, à vos portefeuilles…

Peut-être pourrait-on suggérer à Monsieur le Premier ministre de mettre particulièrement à contribution les habitants de sa bonne ville de Nantes, elle qui fut une capitale de la Traite et dont les électeurs apportent régulièrement leurs suffrages au parti socialiste…
 
La question des réparations est régulièrement posée depuis que, sous un Président de « droite » et un Premier ministre de gauche, les députés votèrent à l’unanimité et en première lecture, la loi dite « Taubira », loi qui fut définitivement adoptée le 10 mai 2001.

Jacques Chirac décida ensuite que ce même 10 mai, serait désormais célébrée la « Journée des mémoires de la traite négrière, de l’esclavage et de leurs abolitions ». Cette décision plus qu’insolite rompait avec une sage pratique voulant, sauf exception, que des dates du passé soient toujours choisies pour célébrer les évènements historiques. Or, avec le 10 mai, ce fut une date du présent qui allait permettre de commémorer des évènements du passé.

Pourquoi ne pas avoir choisi le 27 avril, date anniversaire de l’abolition de l’esclavage en France (27 avril 1848) pour célébrer cette « Journée des mémoires de la traite négrière, de l’esclavage et de leurs abolitions » ? L’air du temps y fut naturellement pour quelque chose…

Il est d’ailleurs proprement stupéfiant de devoir constater que, littéralement couchés devant le politiquement correct, tous les députés de « droite », je dis bien TOUS, votèrent cette loi qui ne dénonce pourtant qu’une seule Traite esclavagiste, celle qui fut pratiquée par les seuls Européens, loi qui passe sous silence le rôle des royaumes esclavagistes africains et la traite arabo-musulmane (1). L’ethno-masochisme de nos « élites » semble sans limites !

Quelques années plus tard, Christiane Taubira a osé déclarer qu’il ne fallait pas évoquer la traite négrière arabo-musulmane afin que les « jeunes Arabes (…) ne portent pas sur leur dos tout le poids de l’héritage des méfaits des Arabes » (L’Express du 4 mai 2006) !!!
 
L’énormité de la demande concernant les réparations est telle que le gouvernement va nécessairement devoir clarifier sa position. Il est même condamné à le faire devant l’impopularité et l’incongruité d’une telle démarche. Mais, harcelé par les groupes de pression qui constituent son noyau électoral, il va devoir donner des compensations « morales » aux « associations » concernées. Nous pouvons donc nous attendre à une nouvelle rafale de mesures de repentance.

Voilà comment l’histoire est violée et comment le totalitarisme liberticide se met en place. Lentement, insidieusement, mais sûrement.

Note
(1) L’Afrique Réelle du mois de novembre 2012 que les abonnés recevront au début du mois consacre un important dossier à ce que fut la réalité des traites esclavagistes.

09:32 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Cannabis : la gauche veut nous enfumer...

Un communiqué de Thibaud de Chassay, directeur du Renouveau français :

Le ministre de l’Education dite « nationale », le franc-maçon fanatique Vincent Peillon, entend « lancer le débat » concernant la légalisation du cannabis.

Bien que Matignon ait par la suite démenti qu’il y aurait dépénalisation, il est patent que nous avons là un nouveau « ballon d’essai » lancé par la Gauche.

Lorsque celle-ci entonne ce genre de refrain, on sait ce que cela signifie : dans quelques mois ou quelques années, les projets qu’actuellement elle n’ose énoncer clairement seront proposés, puis inscrits dans la loi. Et ensuite, en revanche, il ne sera bien sûr plus question d’évoquer un quelconque débat : on le voit aujourd’hui avec des questions comme celles de l’avortement volontaire, de la peine de mort, etc.

L’idée de la libéralisation du cannabis appelle une réaction ferme et radicale des patriotes, car le sujet n’est pas si anodin qu’on pourrait parfois le croire.
 
Le fait est que le cannabis est et restera une drogue nocive : addictive, endommageant le cerveau, développant les troubles mentaux, marchepied vers l’usage de drogues encore plus dangereuses.

Un État soucieux du bien commun, à l’inverse de notre République donc, ne saurait laisser la jeunesse à la merci d’un tel fléau.

Mise de côté la question marginale d’une utilisation thérapeutique, envisageable sous contrôle strict de l’État, tous les prétextes avancés par la Gauche restent « fumeux » ; à commencer par l’amour d’une liberté individuelle mal comprise qui ne mène en réalité qu’à l’asservissement.

On peut supposer que l’idée d’assécher les trafics en banlieue n’est qu’une mauvaise excuse pour tenter de récupérer à son profit une économie souterraine : la rente dont pourrait bénéficier la République en taxant le cannabis, comme elle le fait déjà sans vergogne pour la cigarette, doit faire rêver des socialistes toujours en quête d’argent à dilapider.

Mais il est prévisible que si l’État tarit cette source de revenus dans les banlieues immigrées, sans traiter le problème de celles-ci à la racine, les trafiquants se rabattront sur d’autres produits, probablement pires, qu’ils tacheront d’écouler en créant le besoin chez les personnes qu’ils démarcheront.

Il reste vrai que la situation actuelle n’est nullement satisfaisante.

Mais devant le constat d’une très large consommation de cette drogue (la France est championne d’Europe en ce domaine, avec 24% de ses 15-16 ans qui ont fumé du cannabis au cours du dernier mois), il faut prendre le problème à la source en éliminant d’une part le trafic de cannabis par une répression plus efficace des trafiquants, et d’autre part traiter la question des banlieues par la seule solution véritable : rapatrier leurs habitants.

Il convient de ne pas s’adapter cyniquement à une situation que l’on a laissée pourrir, comme le font nos gouvernants en espérant des gains faciles sur le dos d’une jeunesse qu’ils souhaitent voir toujours plus avachie, toujours plus abrutie, toujours moins apte à une révolte que pourtant tout légitime.

La triste réalité du monde moderne, que beaucoup de jeunes cherchent à fuir, peut être modifiée, réellement. Pour cela, il faut justement que cette jeunesse se lève, animée d’un idéal enthousiasmant comme celui que nous lui proposons.

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lundi, 15 octobre 2012

Chronique de la France asservie et résistante...

RIVAROL N° 3064 du 12/10/20122812160005_3.jpg

 

TROIS livres viennent d’être édités, sans qu’il y ait eu la moindre concertation entre les auteurs et les maisons d’édition. Tous trois dénoncent l’enseignement catastrophique de l’histoire, qui ne s’appuie plus sur la chronologie et évacue des siècles entiers.

 

L’ENSEIGNEMENT DE L’HISTOIRE : UNE CALAMITÉ…

 

Il y a L’Histoire de France interdite, de Dimitri Casali chez Lattès ; Ils ont tué l’histoire-géo de Laurent Wetzel, chez François Bourin, et L’Histoire fabriquée ? aux Editions du Rocher. Du primaire au lycée, les élèves survolent les millénaires, sautillent de l’étude de l’empire du Monomotapa (le Zimbabwe au Moyen Age), à l’étude de la faim dans le monde, au développement durable et au sida dans le monde. L’histoire de la reproduction des coléoptères à travers les siècles, de leur relation avec l’homme et de leur responsabilité dans le déclenchement des guerres n’est, pour l’instant, pas abordée, mais cela viendra. Les batailles napoléoniennes, Disparues ! La guerre 1914-1918 ? Bof, la conséquence d’un simple engrenage diplomatique. Mais des photos, il y en a dans les manuels. Chacun sait que les photos créent l’émotion, et les auteurs de ces livres savent y faire en « festival d’images émotionnelles ». Beaucoup plus facile que d’apprendre qui était Clovis. Un excellent article paru dans Le Parisien évoque une « chronologie sans repères, des sauts dans le temps, des aberrations, des héros disparus et des oublis. » Florilège : à 8 ans, l’enfant est censé « parcourir toute l’histoire de France, de la préhistoire à la société de consommation, sous une approche économique et sociale. » Rien que çà… Un an plus tard, les écoliers auront la joie et l’honneur d’aborder un sujet de thèse : « La religion et le pouvoir, depuis la christianisation de la Gaule romaine jusqu’aux colonisations du XIXe siècle. » Clovis, comme je l’évoquais, disparaît. Le Roi-Soleil (qui, ça ?) est réduit au seul absolutisme. Molière, La Fontaine, Lully, passent à la trappe… Napoléon est bien entendu un dictateur. Ses batailles, la manœuvre géniale d’Austerlitz, ses réformes, out… La crise de 1929, comme vecteur majeur de la Seconde Guerre mondiale ? Les élèves n’en entendront jamais parler, pas davantage que de la Ve République. Quant à la géographie, elle est étudiée à travers le prisme du développement durable. Les élèves ne savent pas où sont les Alpes et la Chine, mais, pas grave. Ils sont censés apprendre que « le climat méditerranéen est chaud » et ne sauront jamais ce qu’est la mousson. Les élèves des filières scientifiques ont de la chance. Ils doivent apprendre par cœur treize cartes et maîtriser « les enjeux de la construction européenne » avant de se présenter au bac. Bon, certes, ils n’auront jamais étudié les Etats-Unis, la Chine ou le Japon, mais ceci n’a aucune importance… Du moment qu’ils auront étudié la civilisation du Zimbabwe au 15e siècle et son influence sur la civilisation européenne, et le rôle du Lichtenstein dans la construction européenne…

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MAIS QUI EST DONC LE PÈRE DE ZOHRA DATI ?

 

Zohra Dati est la fille de Rachida, l’ex-ministre de la Justice, de Nicolas Sarkozy. Zohra est née en janvier 2009, à la clinique de la Muette, un établissement privé du XVIe arrondissement. Mais qui, diantre, en est le père ? Les hypothèses, des plus saugrenues aux plus sérieuses, ont circulé. Un grand patron, un célèbre acteur, le procureur du Qatar, un ex-Premier ministre espagnol ?


Voire une fécondation in-vitro ? Rachida Dati a décidément la réputation d’être une chaude… Mais le mystère semble devoir se lever sur cette affaire qui nous tenait tous en haleine depuis des mois. Rachida Dati viendrait d’assigner en justice, Dominique Desseigne, le PDG du groupe de casinos Lucien Barrière, pour « reconnaissance de paternité. » Jointe au téléphone par RIVAROL (non, là je ne suis pas sérieux… elle l’a été par Aujourd’hui), elle a fermement démenti : « C’est faux ». Problème : le groupe Barrière confirmait la nouvelle dans les heures qui suivaient. Rachida est folle de rage et s’en prend aux journalistes et à leurs « comportements de charognards irresponsables », disant « Il ne s’agit pas de journalistes, mais de voyous ». Dominique Desseigne, 68 ans, une allure de play-boy, est à la tête de 37 casinos, 15 hôtels de luxe et une centaine de restaurants et de bars. L’homme a la réputation d’être un don Juan. On lui prête une foule d’aventures, avec une prédilection pour les riches héritières. Desseigne nie être le père de Zohra, déclarant : « Le père, ce n’est pas moi, jusqu’à preuve du contraire… » Personne ne le croit, mais ce n’est pas grave… Nicolas Sarkozy, dont il est très proche, fut recueilli par Desseigne, lorsque le couple présidentiel explosa en 2007. Sarkozy fêta d’ailleurs son élection au

Fouquet’s, propriété du groupe Barrière-Desseigne.

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RACHIDA DATI, PERSONA NON GRATA AU MAROC ?

 

Un juge marocain vient de demander l’arrestation de Rachida Dati. Rachida Dati ne pourrait-elle plus passer ses vacances à Marrakech ? La raison ? L’ex-ministre de la Justice serait en infraction avec le code pénal marocain, rapporte un site d’information de Rabat. L’un des juges les plus connus au Maroc, l’adjoint du procureur du roi près du tribunal de première instance de Taza, Adil Fathi, en est convaincu. Mieux, il a adressé un courrier officiel au ministre de la Justice et des Libertés pour réclamer l’arrestation de l’eurodéputée d’origine marocaine dès qu’elle sera de retour au Maroc. Le crime de l’ancien ministre ? La maire du VIIe arrondissement a eu un enfant né d’une « relation sexuelle illégitime ». Rachida Dati serait en effet sous le coup de l’article 490 du code pénal marocain qui stipule que « sont punis de l’emprisonnement d’un mois à un an, toutes personnes de sexe différent, qui, n’étant pas unies par les liens du mariage ont, entre elles, des relations sexuelles ». Le Haut conseil marocain de la magistrature (HCM) s’est saisi de l’affaire.

 

TRIERWEILER, SUJET DE RIRES ET DE MOQUERIES

 

Ça ne se passe pas bien du tout entre Valérie Trierweiler et la direction de Paris Match. Trierweiler aurait demandé à une secrétaire de faire ses cartons. Elle préfère éviter d’y mettre les pieds, car elle perçoit les regards entendus des journalistes de la maison, qui se moquent doucement d’elle. « Le pire, c’est que maintenant on la lit », ironise, selon le site Pipole.net, un rédacteur qui n’en peut plus de côtoyer l’arrogante perruche. VSD révèle que Trierweiler est le sujet de rires et de moqueries de Nicolas Sarkozy et Carla, et de leur entourage. Du coup, Valérie cherche à réparer la casse. Pas facile du tout. En chute de 20 points dans les sondages de popularité, quatre mois après son tweet cosmoplanétaire contre Ségolène Royal, elle fait, dans Ouest-France, profil bas, très très bas, déclarant : « Ce tweet était une erreur que je regrette. Je n’avais pas encore réalisé que je n’étais plus simplement une simple citoyenne. Cela ne se reproduira pas. » Elle gardera cependant une rubrique dans Paris-Match. La pauvre déclare : « Mes enfants sont à ma charge et je ne vois pas comment faire sans salaire. » Par contre, les projets d’émission sur la chaîne D8, du groupe Canal+, sont tombés à l’eau. Il est vrai que Bernadette Chirac s’était amusée à lui donner un tout petit coup de pied à l’âne, en déclarant sur RTL qu’il n’était pas “convenable”, pour une première dame, fût-elle une première petite amie, de présenter une émission de télévision. Il y a quelques jours, histoire de revenir sans doute en grâce auprès des Français, elle assistait aux défilés de la maison Saint-Laurent au Grand-Palais. Elle a commis ce commentaire qui passera à l’Histoire, et qui fut, bien entendu, repris par la presse : « Sublime, exactement ce que j’aime. » Cela suffira-t-il pour qu’elle revienne en grâce aux yeux des Français ? Pas sûr du tout. Moins d’un Français sur trois a une bonne opinion de la concubine du Président, et parmi eux, il n’y a que 1 % à avoir « une très bonne opinion ». Pis, Valérie Trierweiler a beau se taire depuis quatre mois, 44 % estiment qu’elle occupe « une place trop importante dans la vie politique depuis l’élection de François Hollande » et que « la vie privée de François Hollande a un impact négatif sur l’image qu’ils se font du président de la République. » Elle n’est décidément pas sortie de l’auberge, pas davantage d’ailleurs que François Hollande…

 

MARTIN SCHULZ : UNE CALAMITÉ EUROPÉENNE AMBULANTE

 

Le Président du Parlement européen, venait de dire, il y a quelques jours, tout le mal qu’il pensait du film L’innocence des musulmans. Mais, à ses yeux, cela ne suffisait pas. Au cours d’une conférence de presse clôturant une rencontre à Bruxelles avec une délégation arabo-musulmane du Golfe Persique, il en a remis une couche, se disant favorable à une fusion des valeurs de l’Occident avec celles de l’Islam. Il souhaite voir ses collègues du Parlement « coopérer avec le conseil musulman de coopération du Golfe Persique concernant les croyances religieuses, les opinions politiques et l’environnement politique et économique des deux parties (islamique et européenne) ». Martin Schulz s’était déjà singularisé récemment lors de la visite du Premier ministre serbe à Bruxelles. Il lui avait fait savoir que l’intégration de la Serbie dans l’Union européenne passait par la reconnaissance du Kossovo, c’est-à-dire l’abandon d’une portion de la Serbie aux Kossovars musulmans…

 

YOM KIPPOUR À LA MAIRIE DE PARIS

 

Bertrand Delanoë a décidé récemment d’écourter les débats du Conseil de Paris en raison du Yom Kippour, le Grand Pardon, une fête juive, ce qui a suscité la réaction courroucée d’un élu communiste. La mairie de Paris subventionne une vingtaine de crèches confessionnelles, principalement juives, dont sont exclus, de facto, ceux qui ne sont pas juifs. Quant aux catholiques, ils n’ont droit qu’à ce que prévoit la loi. Point barre…

 

CHRISTINE (BOUTIN) FAIT ENCORE DES SIENNES

 

C’est Valeurs Actuelles qui rapporte cette confidence d’un député UMP : Christine Boutin vient d’annoncer son soutien et celui de son fantomatique Parti chrétien-démocrate à Jean-François Copé. En contrepartie, elle va toucher 180.000 euros, d’ici au mois de novembre. Une mauvaise langue de l’UMP dit, parlant de Copé : « S’il en est là, c’est qu’il commence vraiment à avoir peur de perdre… » Christine se récrie, face à de si basses insinuations. Elle dément formellement avoir été achetée et se dit « blessée que l’on ait pu, une seconde, imaginer qu’elle était achetable. » Mais attention, ce n’est pas tout ! L’UMP lui devra encore 120 000 euros, fruits de calculs byzantins que nous épargnerons à nos lecteurs. Et comme elle est de naturel prévoyant et prudent, elle précise, faisant état d’un culot de tous les diables : « Fillon devra honorer cette dette s’il est élu président du mouvement. » Pas sûr que Fillon ait, dans cette hypothèse, envie de sortir le chéquier…

 

LES RAVAGES DU PRÉSENTÉISME

 

J’avais déjà évoqué cette curieuse manie typiquement française qui consiste, pour un salarié, à être présent à son poste de travail jusqu’à des heures parfaitement indues. Il pense ainsi faire preuve d’abnégation et espère se faire apprécier de ses patrons. En Amérique du Nord, comme en Allemagne, ce comportement est mal vu. Un ingénieur français, fraîchement débarqué dans une entreprise du Nouveau-Monde, s’est fait tancer : « Etes-vous malade ? Avez-vous des difficultés ? » En fait, une récente étude, tout à fait sérieuse, menée par Ron Goetzel, chercheur à l’université Cornell aux Etats-Unis, démontre que le présentéisme, loin d’être souhaitable, aurait des conséquences négatives. Un salarié trop présent ne rapporte en moyenne rien à son entreprise. Au contraire, il lui coûte, car il dégrade la productivité de l’équipe. Les conséquences du présentéisme ? Manque de concentration, piètre communication, travail à refaire. Toujours est-il que le taux d’absentéisme n’a jamais été aussi bas qu’en cette période de crise. Il s’agit d’un de ses effets pervers. Le salarié, qui craint de perdre son emploi, aura tendance à travailler, ou du moins à faire semblant de travailler davantage…

 

FILLON, POUR UNE FOIS AMUSANT

 

Fillon, ironisant sur les difficultés que rencontre le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, a eu cette phrase : « Montebourg a ouvert la boîte à gifles, et prend claques sur claques… » Il est vrai que Montebourg, grand donneur de leçons pendant les primaires socialistes, se retrouve pris à son propre piège. Un piège qu’il était le seul à ne pas avoir pressenti, tant son désir d’être ministre lui avait occulté que sa mission était proprement impossible à mener à terme, dans les conditions actuelles, et selon les règles d’un jeu truqué. Il ne voudra pas, il ne pourra pas, il n’osera pas renverser la table des tricheurs… Tant pis pour lui.

 

MAIS DE QUOI SE MÊLENT-ILS ?

 

L’Union des étudiants juifs de France (UEJF) a annoncé avoir porté plainte contre Jean-Marie Le Pen, auprès du tribunal correctionnel de Saint Nazaire, pour « provocation à la haine raciale » et « diffamation raciale ». Le 22 septembre dernier, le président d’honneur du Front National avait en effet attribué aux Rroms, lors de l’université d’été du mouvement qui se déroulait à la Baule, cette phrase : « Nous, nous sommes comme les oiseaux, nous volons naturellement ». L’affaire sera examinée le 5 février à 14 heures.

23:11 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

François Hollande à Gorée : Roudoudou se couvre de cendres et de ridicule !

Yves Darchicourt

Il paraît qu'après avoir visité la "maison des esclaves" de l'Ile de Gorée au Sénégal, François Hollande a jeté un regard profond vers l'océan. C'est du moins ce qu' a relevé le quodien sénégalais "Le Populaire" : belle image que celle de Roudoudou raidi d'émotion, en communion mémorielle avec les malheureux esclaves noirs arrachés à leur continent par les capitaines des négociants-négriers européens, des avides et des sans-coeur... approvisionnés amplement en vaincus des guerres tribales directement par les rois nègres de la région ou par l'intermédiaire des caravaniers arabo-musulmans. Mais cela, il n'est pas de bon ton de le dire, ce n'est pas l'Histoire Officielle, celle qui met en exergue la responsabilité unique du chrétien blanc, celle qui oblige et obligera de générations en générations les petits écoliers de France et d'Europe à donner dans une repentance systématisée et monnayée jusqu'à l'outrance.

L'Histoire de l'esclavage - disons plutôt celle des esclavagismes - n'a bien évidemment pas qu'une seule facette ; or, celle qui concerne l'Afrique est idéologiquement orientée dans sa recherche, déformée dans son enseignement, entachée "d'erreurs" volontaires érigées en axiomes. Roudoudou ne pouvait pas manquer l'occasion de sacrifier sur l'autel de la repentance, quitte à se faire le répétiteur de l'Histoire Officielle et à paraître ridicule aux yeux de la muse Clio qui, il est vrai, en a vu, en voit et en verra beaucoup d'autres... jusqu'à ce que l'Histoire, dans tous ses domaines, soit remise à l'endroit. Comme le disait - pour répondre à ses détracteurs - l'immense vrai historien que fut Georges Dumézil : "la répétition, la vulgarisation d'une erreur ne la transforme pas en vérité". Et la vérité finit toujours pas se révéler !

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La grande peur des temps présents...

imagesCADPC8TP.jpgGeorges Feltin-Tracol

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Depuis 1989 et la parution des Ennemis du système, Christophe Bourseiller s’intéresse aux « périphéries politiques ». Désormais maître de conférence à Sciences Po – Paris, cet acteur de cinéma et de publicité a consacré de nombreux ouvrages à l’« extrême gauche » (Les Maoïstes en 1996, Histoire général de l’ultra-gauche en 2003), à l’« extrême droite », au phénomène sectaire (Les Faux Messies en 1993, Carlos Castaneda. La Vérité du mensonge en 2005), aux nouvelles sexualités (Les Forcenés du désir en 2000) et à la franc-maçonnerie (Un Maçon parle en 2010).

 

Avec L’extrémisme. Une grande peur contemporaine, Bourseiller poursuit sa description des extrêmes politiques. Outre une préface convenue de l’universitaire Pascal Ory, l’ouvrage se divise en quatre grandes parties : une introduction qui tente de cerner l’extrémisme perçu comme un « animal insaisissable », une conclusion qui examine le concept même d’« extrémisme » et deux parties centrales, inégales en pagination et en réflexions contenu qui portent respectivement sur les « extrêmes gauches » et les « extrêmes droites ». Ces dernières n’occupent que 67 pages alors que les précédentes en couvrent quelque 137, même si une vingtaine se rapporte au négationnisme au sein de l’ultra-gauche, aux pensées libertaires et aux anarchismes marginaux (anarchisme de droite micberthien, anarcho-capitalisme libertarien, etc.).

 

Ce déséquilibre n’est pas que quantitatif. La partie traitant de l’extrême droite est assez pauvre et superficielle. La distinction entre les « contre-révolutionnaires » (royalistes, catholiques traditionalistes, traditionalistes inspirés par Guénon et Evola…) – le sédévacantisme n’est pas mentionné ! -, le F.N. envisagé comme un « populisme calculé (p. 199) » et les « révolutionnaires » (« N.D. », nationalistes, néo-nazis, nationaux-communistes, post-nationalistes…) est décevante. On y décèle des limites déjà relevées dans ses précédents ouvrages. Bourseiller a beau déclaré que « si le nomadisme est plus intense que dans le camp adverse, la rigidité doctrinale semble moins prégnante (p. 193) », il affirme qu’« il n’est pas rare de voir un militant démarrer dans le royalisme, devenir nationaliste révolutionnaire, puis national-communiste, passer par la mouvance néonazie, et aboutir dans un parti populiste (pp. 192 – 193) ». Ce cheminement est moins fréquent qu’il ne le pense.

 

Bourseiller commet d’autres erreurs. Il appelle Alain de Benoist « Alain de Benoist de Gentissart », ce qui est inexact si on lit Mémoire vive: « Peut-être parce qu’il [lui] est arrivé de signer quelques textes de jeunesse du nom de Cédric de Gentissart, mais ce n’est qu’une légende parmi d’autres (1). » Il range Bruno Mégret au sein des droites modérées alors qu’il fut formé par le Club de l’Horloge. Si Bourseiller les commet, c’est parce qu’il n’est pas en phase avec ce sujet d’étude qu’il ne connaît pas intimement. En revanche, malgré les nombreuses critiques, parfois violentes, provenant de l’ultra-gauche, reconnaissons qu’il se débrouille mieux avec ce thème, ce qui est logique puisqu’il écrivit en préambule de sa biographie de Guy Debord qu’il créa, seul et unique membre, un Parti communiste marxiste-léniniste-maoïste-stalinien (P.C.M.L.M.S.), puis un Mouvement situationniste pour un tourbillon créatif (M.S.T.C.), et enfin un Mouvement créateur situationniste subversif (M.C.S.S.), respectivement dotés de proto-revues à lecteur unique, La Lutte et Le Tourbillon des masses (2). Pour ses détracteurs de gauche, Bourseiller serait indigne de les aborder, car « on ne peut étudier l’extrême gauche que si l’on est soi-même militant ou sympathisant (p. 52) ». S’il n’est ni l’un, ni l’autre, il y a cependant longtemps baigné; c’est la raison pour laquelle son analyse sur les « gauchismes » est plus conséquente que sur les « dextrismes ».

 

Christophe Bourseiller établit une bonne typologie en distinguant, d’une part, les léninistes des non léninistes, et, d’autre part, les modernistes des invariants. Ainsi muni, il raconte le pablisme, les « gauches italiennes » bordiguistes, le « communisme des conseils » du Néerlandais Anton Pannekoek, etc. Il retrace la genèse du N.P.A. et de sa matrice, la L.C.R., de Lutte ouvrière, du Parti ouvrier indépendant, républicain et souverainiste, des courants post-maoïstes ou néo-staliniens tels Vive le P.C.F. ! d’Emmanuel Dang Tran, farouche opposant interne au Front de Gauche, ou le P.C.O.F., défenseur hexagonal de l’héritage maoïste de l’Albanie d’Enver Hodjah. On peut regretter l’absence des groupusculaires Parti eurocommuniste et du Parti communiste juchéen de France devenu depuis peu le Parti Juché de France. L’auteur est plus disert sur les différentes tendances de l’anarchisme (communisme libertaire, socialisme libertaire, anarcho-syndicalisme, syndicalisme révolutionnaires et individualisme stirnérien). Cette première partie peut être une introduction correcte à la découverte de ce continent politique étrange et méconnu.

 

Par tous ces exemples, Bourseiller veut comprendre l’extrémisme qui serait le parent pauvre des sciences politiques. Malgré des différences ontologiques entre les extrêmes, il remarque néanmoins que « les pratiques se ressemblent : on pointe un même triptyque de hiérarchie, de violence et de transgression (p. 44) ». Le célèbre politologue, Pierre-André Taguieff, a lui aussi réfléchi sur la notion d’« extrémisme ». Dans un article à la conclusion grotesque paru dans un quotidien hexagonal, Taguieff juge que « ce qu’on appelle “ l’extrême droite ” n’est pas le produit d’une droitisation de la droite, ni de l’extrémisation de l’esprit droitier. Ladite “ extrême droite ” est aussi étrangère à la droite libérale qu’à la gauche socialiste réformiste. Elle n’est pas une super-droite ni une hyperdroite. Elle ne se situe pas “ à droite de la droite ”, selon l’expression aussi confuse que convenue. Elle n’est ni extrêmement de droite ni radicalement de droite. L’expression “ droite radicale ” ne change rien au problème de catégorisation : remplacer “ extrême ” par “ radicale ” n’est qu’une coquetterie verbale. Il en va de même avec la distinction illusoire entre “ droite extrême ” et “ extrême droite ”. Toutes ces expressions ne sont que des étiquetages polémiques sans contenu conceptuel, présupposant une vision essentialiste de la droite (3) ».

 

En se référant à Jacques Ellul, auteur en 1972 De la révolution aux révoltes, Bourseiller estime que l’extrémiste serait finalement la « figure ultime du libéral (p. 259) ». Par conséquent, nos sociétés hypermodernes individualistes de masses s’en accommoderaient assez bien d’autant qu’elles en sont pas déstabilisées, mais au contraire renforcées… Or cette conclusion ne se rapporte-t-elle pas à la seule « extrême gauche » beaucoup plus soluble dans l’hypermodernité que les « extrêmes droites » plus « détonnantes » ? « Considérée froidement, poursuit Taguieff, l’extrême droite apparaît […] comme un produit de synthèse instable, né du mélange, selon divers dosages, de thèmes empruntés aux droites non libérales et à l’extrême gauche, qui n’est pas non plus une gauche gauchisée ou extrémisée, mais un pseudo-gauche dont l’horizon n’est autre que la Révolution. […] L’extrême droite n’est pas plus à droite que la droite, elle l’est moins. Sa dimension réactionnaire s’accompagne toujours d’un volontarisme révolutionnaire. On peut la dire “ ni gauche ni droite ” (comme le fascisme ou l’anarchisme). On peut aussi la caractériser comme “ mi-gauche mi-droite ”. Elle oscille ainsi entre le point neutre (ni l’un ni l’autre) et le point complexe (l’un et l’autre). » Taguieff considère au final que les traits principaux de l’« extrême droite » (autoritarisme et violence) se rencontrent « aussi dans les courants révolutionnaires de type blanquiste, léniniste ou maoïste. C’est à l’extrême gauche que l’extrême droite ressemble le plus ». Mimétisme du « fer à cheval » ? Probablement pour Taguieff. Bourseiller, lui, en est moins convaincu. Passionné par les avant-gardes, il croît plutôt que le phénomène extrémiste tend à « pivoter, du politique vers le culturel. Sur un plan culturel, les mouvements extrémistes, ou du moins certains d’entre eux, sont-ils, ou ont-ils été les foyers d’émergence de pensées radicales ? C’est notre constat (p. 266) ».

 

L’extrémisme pour Bourseiller préparerait donc le monde de demain. En effet, « par-delà les programmes, les manifestes et les excommunications, l’extrémisme apparaît comme le principal cheval de Troie des contre-cultures, ces singularités qui viennent perturber le champ culturel pour annoncer le changement d’époque. L’extrémisme mène à la radicalité (p. 279) ». N’est-ce pas là de bon augure ?

 

Notes

 

1 : Alain de Benoist, Mémoire vive. Entretiens avec François Bousquet, Éditions de Fallois, Paris, 2012, p. 16.

2 : Christophe Bourseiller, Vie et mort de Guy Debord (1931 – 1994), Plon, coll. « Agora », Paris, 1999, pp. 20 – 21.

3 : Pierre-André Taguieff, « Le sens des extrêmes », Le Figaro du 31 mai 2012.

• Christophe Bourseiller, L’extrémisme. Une grande peur contemporaine, préface de Pascal Ory, C.N.R.S. Éditions, Paris, 2012, 303 p., 22 €.

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Dépénalisation du cannabis : Vincent Peillon en plein délire !

200318_179466075433304_100001097374056_398650_7814714_n.jpgUn communiqué du Parti de la France :

 

Le Parti de la France condamne avec la plus grande fermeté les propos irresponsables du Ministre de l'Éducation nationale tenus dimanche 14 octobre sur France Inter plaidant pour la dépénalisation du cannabis. Monsieur Peillon entend lutter ainsi contre le trafic de drogue. Dans le même esprit, on pourrait aussi lui suggérer de mettre les armes de guerre en vente libre pour lutter contre le trafic d'armes...

 

En tout cas, cette proposition en dit long sur les intentions de Monsieur Peillon à l'égard des jeunes Français en matière d'éducation.

 

Complétement dépassés par la crise économique, sociale et migratoire, nos gouvernants socialistes tentent d'enfumer les Français avec des mesures sociétales totalement nocives mais conformes aux revendications de leurs soutiens les plus extrémistes.

 

En matière de trafic de drogue, le Parti de la France est favorable à une politique de tolérance zéro, à un harcèlement policier et judiciaire des revendeurs de drogue, à la peine capitale pour les plus gros trafiquants, à l'expulsion des dealers étrangers à l'issue de leur peine.

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Prix Nobel de la Paix pour l’Union européenne : une grossière manipulation

arb2.jpgArnaud Raffard de Brienne
 
Les techno-ploutocrates de Bruxelles et leurs relais dans le monde, y compris en Suède, en font quand même peut-être un peu trop. Alors que les peuples européens achèvent de se dissoudre et s’avancent, inexorablement semble-t-il, vers leur ruine programmée par les traités de Maastricht, Amsterdam, Lisbonne et Nice, le très suspect comité Nobel vient de décerner le Prix de la Paix à l’Union européenne.

La ficelle est un peu grosse et cette opération de communication tellement énorme que l’on pourrait en sourire si le sujet n’était grave, mais une majorité de nos concitoyens n’y verrons, prenons-en ici le pari, que du feu. Devant la récession économique, l’austérité sans précédent qui s’avance pour les années à venir, la délinquance, le chômage de masse, et la disparition de tout ce qui a constituée la force des nations européennes, ils pourront toujours, pour se remonter le moral, admirer le prix de pacotille que vient de leur décerner le comité Nobel.
 

 

00:33 Publié dans Les rubriques d'Arnaud Raffard de Brienne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |