vendredi, 23 octobre 2015
Le scandale des migrants de Calais continue
13:12 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Président Le Pen appelle à la mobilisation générale contre l'invasion
11:04 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 22 octobre 2015
Martial Bild reçoit Philippe de Villiers
21:07 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jeudi, c'est le jour de Rivarol !
11:06 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 21 octobre 2015
Allons-nous intervenir en Libye au profit d’Al Qaïda et des frères musulmans ?
Par Bernard Lugan
En Libye, près de 300 kilomètres de littoral sont aux mains d’un État islamique que rien ne semble pouvoir arrêter. Á partir de cette fenêtre sur la Méditerranée, des terroristes mêlés aux clandestins rebaptisés « migrants » s’infiltrent en Europe. Contrairement aux annonces de la presse internationale, les efforts désespérés de M. Bernardino Leon, émissaire des Nations unies pour la Libye, et qui, depuis plus d’un an, cherche à obtenir un accord inter-Libyen, n’ont pas débouché sur une solution politico-militaire viable.
Face à cette situation plus que périlleuse pour notre sécurité, une opération militaire serait donc envisagée. Or, celle à laquelle pensent nos diplomates aurait pour résultat de donner le pouvoir à des islamistes aussi dangereux que ceux de l’Etat islamique… Comme en Syrie où, si le président Poutine n’avait pas sifflé la fin de la récréation, le Quai d’Orsay voulait faire remplacer le président Assad par de « gentils démocrates » salafistes. En Libye, ce serait au profit des Frères musulmans et d’Al-Qaïda (ou de ses diverticules) que nos forces pourraient être engagées. Comme elles le furent hier à l’avantage des musulmans de Bosnie et du Kosovo…
L’idée française serait en effet de miser sur la cité-État de Misrata, fief des Frères musulmans et base avancée turque en Libye. Ses milices (ce sont elles qui lynchèrent le colonel Kadhafi) sont certes parmi les plus opérationnelles du pays, mais elles sont détestées par la plupart des tribus de Tripolitaine et de Cyrénaïque. Intervenir en appui de Misrata permettrait peut-être de freiner les forces de l’État islamique, mais en nous aliénant les vraies forces vives du pays.
Ce plan envisagerait également un renforcement de la coopération avec les islamistes de Tripoli qui reçoivent actuellement des renforts jihadistes acheminés par voie aérienne depuis la Turquie. Comme si, pressé en Syrie par la Russie, le président Erdogan voulait ouvrir un second front en Libye.
Or, et il importe de ne pas perdre de vue deux éléments essentiels :
1) Comme notre ami-client égyptien est en guerre contre les Frères musulmans d’Egypte, l’arrivée au pouvoir de cette organisation en Libye ferait courir un danger mortel au régime du général Sissi.
2) Aucune intervention franco-européenne ne peut se faire sans, au moins, la neutralité de l’Algérie. Or, qui commande à Alger ? Les clans qui guettent la mort du président Bouteflika pour s’emparer du pouvoir ont en effet des positions contradictoires à ce sujet. Certains sont farouchement opposés à toute intervention étrangère, d’autres l’accepteraient sous certaines conditions, cependant que ceux qui espèrent obtenir le soutien des islamistes feront tout pour torpiller une opération franco-européenne.
La réalité est donc cruelle. Ce n’est pourtant pas en la niant que nous avancerons. Face au chaos libyen il n’existe en effet pas de solution miracle qui permettrait de refermer les plaies ouvertes par MM. Sarkozy et BHL.
La solution consisterait peut-être à « renverser la table » et à changer de paradigme en oubliant les « solutions électorales » et les constructions européo-centrées fondées sur les actuels acteurs libyens. Comme rien ne pourra se faire sans les tribus, c’est donc en partie sur ces dernières que toute opération viable devrait être fondée. Autrement, dans le théâtre d’ombres libyen, nos figurants politiques ne feront que traiter avec des figurants locaux.
Le problème de fond est que les alliances tribales sur lesquelles reposait l’ordre socio-politique libyen ont été éclatées par l’intervention franco-otanienne de 2011. Dans le vide alors créé se sont engouffrés des acteurs secondaires devenus artificiellement les maîtres du jeu. Qu’il s’agisse de Misrata, des islamistes de Tripoli et de Derna, puis ensuite de ceux de l’Etat islamique.
Toute pacification de la Libye passe donc par :
1) Le rééquilibrage entre les vrais acteurs tribaux et ces acteurs secondaires devenus incontournables et qu’une intervention franco-européenne aboutirait à installer seuls au pouvoir.
2) La levée du mandat d’arrêt international lancé contre Saïf al-islam Kadhafi qui est le seul actuellement en situation de pouvoir reconstituer les alliances tribales libyennes.
Très modestement, il faut bien voir que ce sont là des mesures de long terme. Or, dans l’immédiat, il est urgent de bloquer la progression de l’État islamique tout en coupant le flot migratoire partant essentiellement des zones tenues par ceux que nos diplomates considèrent déjà comme nos « alliés », à savoir les islamistes de Tripoli et les Frères musulmans de Misrata…
Alors, oui à une intervention, mais à la condition de ne pas la lancer à la légère.
(Source : site Metamag)
12:03 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 19 octobre 2015
Journal du chaos - 42
Pour télécharger, cliquez ICI
09:42 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 16 octobre 2015
Quand nos camarades de Forum SI relatent la 9e Journée de Synthèse nationale , ça donne :
Forum SI cliquez ici
Dimanche 11 octobre à 11 heures, devant l’Espace Jean-Monnet à Rungis, où doit se tenir la IXème Journée nationaliste et identitaire, organisée par Synthèse nationale. Il fait frais, mais le temps est ensoleillé et une assistance nombreuse se presse déjà devant les portes, attendant l’ouverture de ce vaste lieu de réunion, où elle trouvera les stands de notre camp, des tables rondes, un restaurant et un concert des « Brigandes », prévu en clôture. Gabriele s’entretient avec un camarade arabe, semble-t-il, peut-être un militant baasiste (après l’ouverture des portes, on pourra constater que l’un des stands est orné d’un superbe drapeau syrien, le seul qui vaille, à bandes rouge, blanche et noire, frappé de deux étoiles vertes). Discussion avec un camarade de Gabriele, également ancien de Terza Posizione, et la charmante fille de l’un des dirigeants d’Europe Action, qui nous a quittés il y a quelques années et fut aussi un talentueux chroniqueur de National Hebdo.
Long échange avec Gabriele, qui présente dans le détail son initiative européenne, en plein essor. Mais il est temps, à 11 heures 45, d’entrer en salle pour la première table ronde, où notre camarade italien va pouvoir développer la présentation de son projet devant un auditoire plus nombreux (la direction de Synthèse nationale estime que sa « Journée » a réuni plus de 800 personnes, dont celles de la photo ci-dessus, extraite du site de SN). Après une introduction de Roland Hélie, infatigable animateur de Synthèse nationale, Robert Spieler (Rivarol) présente la table ronde et cède le micro à Carl Lang, pour une courte intervention. C’est ensuite à Gabriele Adinolfi de prendre la parole, pour un exposé très intéressant, dense et anticonformiste, dont nous avons retenu les éléments suivants :
1 - Ne reproduisons pas l’erreur des légitimistes
Il ne faut pas penser que tout va s’arranger tout seul, que les circonstances nous sont favorables et vont, mécaniquement, nous amener au pouvoir. Et même si c’était le cas, ayons en tête de ne pas reproduire l’erreur des légitimistes, qui s’imaginaient que l’ordre traditionnel avait repris l’intégralité de ses droits avec la Restauration, alors que celle-ci n’avait nullement remis en cause le tout nouvel empire financier des Rothschild.
2 - Il n’y a rien à attendre des élections
N’imaginons pas, non plus, que nous puissions attendre quoi que ce soit des élections et du système démocratique tel qu’il fonctionne. Souvenons-nous que, après la première guerre franco-allemande, les monarchistes étaient majoritaires à l’Assemblée nationale et que celle-ci a accouché de la…Troisième République ! Tout récemment, souvenons-nous que, par référendum, les Grecs ont rejeté le plan de l’ex-Troïka, ce qui n’a pas empêché Tsipras de donner ensuite accord à un plan encore plus insupportable !
La démocratie ne fait que confirmer une politique déjà ancrée dans la réalité. C’est ainsi que la Marche sur Rome a précédé l’accession du Parti national fasciste au statut de parti majoritaire. Le seul exemple contraire, c’est l’Allemagne de 1932, mais encore faut-il rappeler que le résultat des élections avait été précédé d’intenses négociations au sein de l’état-major de la Reichswehr.
On nous dira qu’Aube dorée constitue également un contre-exemple, qui, en dépit d’intenses persécutions, parvient à se maintenir, voire à progresser, sur le plan électoral. Mais il s’agit là d’une vision erronée. Aube dorée n’a réussi à percer électoralement que parce qu’elle avait, sur le terrain, réalisé un certain nombre d’actions à caractère économique et social qui lui donnaient la possibilité de se développer lors des élections : mutatis mutandis, on se retrouve donc ici dans la même situation que celle engendrée par la Marche sur Rome.
3 - L’autre Europe, il faut la construire ici et maintenant !
Commencer par des actions de terrain, sur les plans économique et social, telle est la méthode que nous proposons également pour construire cette autre Europe que nous voulons voir naître. Cette autre Europe, il faut la réaliser « hic et nunc », ici et maintenant, comme une contre-société, une alternative appelée, le moment venu, à devenir le système dominant. Des initiatives ont déjà été prises en ce sens ; c’est ainsi qu’une fondation a été créée, à Bruxelles, pour organiser des synergies entre ceux qui, dans notre camp, souhaitent, dès maintenant, aboutir à des réalisations concrètes, sur les plans politique, économique et social, réalisations qui seront autant de signes du monde qui vient : car un autre monde est effectivement possible ! Prochainement, doit avoir lieu, à Rome, une réunion d’acteurs économiques désireux de porter, y compris à l’export, des projets susceptibles de renforcer notre camp.
Telle est la démarche, léniniste par certains côtés, mais aussi réellement « corporatiste » par d’autres, qui est ici proposée et à laquelle sont appelés à participer tous ceux qui veulent commencer, dès maintenant, la construction de cette autre Europe dont nos peuples ont le plus urgent besoin.
Et, si vous voulez en savoir plus, lisez :
Le commander en ligne cliquez ici
En savoir plus, cliquez là
09:08 Publié dans 09 - La 9e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 24 octobre : soutien à la Russie et à la Syrie contre le terrorisme
08:23 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
RAPPEL : Carl Lang dans l'Eure samedi prochain
08:20 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 15 octobre 2015
Jeudi, c'est le jour de Rivarol
18:07 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Chronique de la France asservie et résistante
Robert SPIELER - RIVAROL N° 3204 du 1er octobre 2015
FRANÇOIS Fillon a, de façon assez audacieuse, prôné, dans le Journal du Dimanche, l’instauration de statistiques ethniques, comme cela existe aux Etats-Unis. Il a déclaré : « C’est un tabou qu’il faut faire sauter. Sinon, on restera dans le non-dit, le refus de la réalité. C’est cela qui est en train de faire monter la colère de nos concitoyens. » Marine Le Pen, quant à elle, ne veut pas des « statistiques ethniques » réclamées par François Fillon, tout en se disant cependant « radicalement contre l’accueil des migrants », exigeant par ailleurs pouvoir disposer des « vrais chiffres de l’immigration ». Yves de Kerdrel, l’éditorialiste de Valeurs Actuelles, relève à juste titre qu’il est courageux, par les temps qui courent, d’aborder le sujet des statistiques ethniques quand on se souvient du procès que la bien-pensance de gauche a fait à Robert Ménard au printemps dernier ou au philosophe Michel Onfray. Et Kerdrel de noter : « Et cela tombe au moment même où Marine Le Pen dénonce ces mêmes statistiques, montrant par là-même toutes les limites de son programme, de son raisonnement et de ses idées. » Peut-on lui donner tort ?
MAIS ÇA NE SUFFIT PAS… CELA NE SUFFIRA JAMAIS…
Marine Le Pen peut-elle espérer se faire pardonner d’être la fille de son père ? La réponse est clairement non pour Serge Klarsfeld qui vient de déclarer dans une tribune au Monde : « L’extrême droite ne change pas de nature d’une génération à l’autre. Nous n’oublierons jamais que nous sommes orphelins de déportés assassinés par un parti d’extrême droite qui s’était emparé électoralement du pouvoir en Allemagne ». Et Klarsfeld d’asséner une petite leçon d’histoire : « (Les nationaux-socialistes) ont été aidés dans leur œuvre de mort par tous les partis ou mouvements d’extrême droite du continent : le PPF de Doriot, le RNP de Déat, les Flamands du VNV et les Wallons de Rex, le NSB de Mussert aux Pays-Bas, Quisling en Norvège, les Croix fléchées en Hongrie, les fascistes purs et durs de la République de Salo regroupés autour du Duce, auteur des lois raciales de 1938, la Garde de fer en Roumanie, les partis gouvernementaux en Pologne et bien d’autres mouvements. Un parti antisémite ne change pas de nature, même s’il camoufle opportunément son programme de haine, comme l’a fait Hitler lors des Jeux olympiques de 1936 et comme le fait le FN ». Et, poursuivant avec Marine Le Pen, il déclare : « elle n’a pas renié un programme auquel elle a adhéré depuis son adolescence », ajoutant : « Le danger pour notre démocratie, c’est le FN ». Et puis, histoire de se faire bien comprendre, il conclut : « Il me paraît également judicieux de rappeler aux juifs tentés par le vote FN, parce qu’ils espèrent que ce parti jugulera les fondamentalistes musulmans, que les rares juifs allemands qui se sont hasardés à voter pour le parti nazi par crainte du bolchevisme se sont repentis de leur choix ». Comparer le FN mariniste à la NSDAP, il n’est pas sûr que le défunt chancelier eût apprécié...
QUELLE HONTE ! DES RÉFUGIÉS MUSULMANS DÉPORTÉS À DACHAU !
On avait gardé à l’œil l’Allemagne et on avait bien eu raison. Le ventre de la Bête, comme le disait si bien l’écrivain marxiste Brecht, reste, hélas, fécond. Le Nouvel Obs, Le Point, Europe 1, et tant d’autres s’en étranglent d’indignation. La ville de Dachau, dans le sud-est de l’Allemagne, a décidé de loger des “migrants” dans un lieu tristement célèbre, l’ancien camp de concentration. Les réfugiés sont logés sur le « herb garden », situé en face du mémorial, une sorte de potager que cultivaient les juifs déportés pour nourrir la population allemande. Une stèle rappelle que plus de 40 000 personnes sont mortes dans ce camp entre 1939 et 1945. 40 000 ou 4 millions ? Avec ces fourbes d’Allemands, on ne sait pas trop, il convient de se méfier…
Face aux indignations, le maire de Dachau, Florian Hartmann, met en avant « un but social utile », car, selon lui, les réfugiés ne peuvent pas « avoir des appartements aux tarifs du marché ». Voilà qui est profondément pensé… Peter Himmelsbach, un jeune commerçant allemand de 28 ans qui visite Dachau pour la toute première fois, estime pour sa part que « la crise des réfugiés, c’est une chance de racheter » la Shoah. Admirable pensée… Oui mais, qu’en pensent les “réfugiés” ? Ashkan, un Afghan de 22 ans, cité dans le Guardian, ne connaît pas grand-chose à l’histoire allemande et n’a pas eu le temps de visiter le camp. « Je voulais juste un toit au-dessus de ma tête », déclare-t-il. Quel grave manquement au devoir de mémoire !
LE RACISME ANTI-BLANCS DE LA NOUVELLE PRÉSIDENTE DE FRANCE TÉLÉVISIONS
De plus en plus délirant… Delphine Ernotte, la nouvelle présidente de France Télévisions, a déclaré : « On a une télévision d’hommes blancs de plus de 50 ans, et ça, il va falloir que cela change. » Pour les remplacer par des Noirs, des Arabes, des Asiatiques ? Elle ne le précise pas, mais on le devine très fort. Et puis, sans doute, souhaite-t-elle une présence accrue de minorités qui ont beaucoup souffert… Ivan Rioufol, chroniqueur au Figaro, et qui n’est certes pas de nos amis, a réagi, dénonçant le « mépris pour l’homme blanc » et « le racisme officiel de la télévision d’Etat ». Il écrit : « Qu’auriez-vous dit si Mme Ernotte avait déclaré qu’il y a avait trop de noirs à la télé et qu’il fallait que ça change? Sa phrase est le produit de trente ans d’idéologie antiraciste qui ont conduit paradoxalement à racialiser les rapports sociaux et à promouvoir le métis comme l’homme supérieur. » Voilà qui est bien dit…
BARBARIN SOUTIENT L’IGNOBLE ANISH KAPOOR
C’est l’excellent site Contre-info qui le raconte. La Fondation Saint-Irénée, placée sous l’égide du “cardinal” Barbarin, est chargée de lever des fonds pour le diocèse de Lyon et de mettre en route des projets. Elle promeut des projets, notamment dans le domaine de la solidarité, of course… Et voici que l’on apprend que ces fantaisistes n’ont rien trouvé de plus intelligent que d’inviter Anish Kapoor le 9 septembre. Il est l’auteur de l’œuvre ignoble exposée dans les jardins de Versailles, machin dont le titre est « le Vagin de la reine ». Le “cardinal” Barbarin n’en est pas à sa première provocation. Il avait déjà participé à un « pèlerinage islamo-chrétien célébrant la fraternité universelle », et affirmé réciter régulièrement la profession de foi islamique (chahâda). Et puis, nous révèle Contre-info, il avait envoyé un représentant officiel pour l’inauguration d’une “loge” à Lyon. Il est tout à fait à sa place dans une structure présidée par l’ultra-progressiste Bergoglio !
EMOUVANT : FRANÇOIS HOLLANDE À NOUVEAU AMOUREUX ?
L’oiseau semble décidément être particulièrement volage. On apprend qu’au cours d’un voyage au Mexique l’année dernière, le président de la République serait « tombé sous le charme » d’une dénommée Audrey Azoulay, la fille du conseiller (juif) du roi du Maroc, André Azoulay. L’Expressraconte que François Hollande aurait demandé que la jeune femme intégrât sa garde rapprochée. Du coup, elle se retrouve conseillère générale de la Culture et de la Communication à l’Elysée. Il paraît que le chef de l’Etat apprécie son côté joyeux qui le « change de ses conseillers plus techno ». Il paraît aussi qu’Audrey Azoulay est une proche de Julie Gayet. L’est-elle toujours ? La suite au prochain épisode…
FN : PAS QUESTION DE MANIFESTER CONTRE L’INVASION
Le Siel, petit mouvement associé au Rassemblement Bleu Marine avait, il y a quelques jours, appelé à manifester, à Paris, contre l’invasion migratoire. Renaud Camus, Roland Hélie, Pierre Cassen, Pegida ou Jean-Yves Le Gallou avaient annoncé leur présence. Mais où était le FN mariniste ? Nulle part. Le FN a tout fait pour empêcher le succès de cette manifestation qui a tout de même rassemblé un millier de personnes. Pourquoi ? Le site Riposte laïque relève : « C’est une faute politique qui laisse un profond malaise chez tous ceux qui espèrent voire Marine Le Pen prendre la tête de la résistance à l’invasion migratoire. » Une de plus après le refus de MLP de participer aux manifestations pour la défense de la famille traditionnelle et contre le “mariage” homosexuel.
PAS DE “YOUPIN” À LA RADIO
Le président de la Ligue belge contre l’antisémitisme, Joël Rubinfeld, vient d’envoyer un courrier à Fun Radio pour lui demander poliment de ne plus diffuser la chanson « Dans Ma Rue » du rappeur français Black M. En cause le terme “youpin” utilisé dans la chanson. Rubinfeld geint, mais très courtoisement : « Les paroles évoquent plutôt le vivre ensemble dans ce quartier parisien », estime Joël Rubinfeld. Mais c’est l’emploi du mot “youpin” qui l’a choqué. « Pourquoi dans cette chanson, pour toutes les autres catégories de personnes citées, le chanteur utilise les termes les plus neutres possibles, mais lorsqu’il évoque les juifs, le rappeur Black M utilise le mot “youpin” ? » Pourquoi, on ne sait pas. Mais pas question pour lui de stigmatiser le rappeur noir : « J’imagine qu’il s’agit de la part du chanteur français avant tout d’une méconnaissance de cette injure » On n’ose imaginer les glapissements de Rubinfeld si c’était Dieudonné qui avait usé de ce terme ! Son spectacle aurait sûrement été interdit sur-le-champ.
Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici.
18:04 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le nouveau numéro du magazine Terre et peuple est sorti
En savoir plus cliquez ici
Terre et peuple organisera sa prochaine table ronde le dimanche 29 novembre à Rungis
07:36 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 14 octobre 2015
TV Libertés consacre un reportage à la 9e Journée de Synthèse nationale
12:22 Publié dans 09 - La 9e Journée de Synthèse nationale, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 13 octobre 2015
Samedi 7 novembre : TOUS A POUILLY-EN-AUXOIS !
15:05 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 17 octobre, dans le Nord / Pas-de-Calais :
13:49 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Alès - Nimes, samedi 31 octobre : réunion avec Philippe Milliau
13:49 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Brest. 200 manifestants réunis pour exiger la fermeture de la mosquée salafiste
10/10/2015 – 19H15 Brest (Breizh-info.com) – « Il faut fermer les mosquées salafistes !». Devant 200 manifestants (150 selon la police…) réunis ce samedi devant la mairie de Brest, Ronan Le Gall, porte-parole d’Adsav (Le Parti du peuple breton), et Christine Tasin du mouvement Résistance républicaine, ont pris la parole pour exiger des autorités la fermeture de la mosquée Sunna, située dans le quartier très « sensible » de Pontanézen, où prêche l’imam Rachid Abou Houdeyfa.
Cette manifestation fait suite aux déclarations de ce dernier affirmant devant des enfants – la scène apparaît sur une vidéo – que « ceux qui écoutent la musique écoutent le diable (…) Ceux qui écoutent la musique seront engloutis et seront transformés en singes et en porcs (sic). Peu importe la musique elle est en quelle langue (sic). Dès que vous entendez des instruments, c’est Haram (ndlr : interdit). Celui qui aime le Haram, il sera avec Sheitan (le diable). Il faut choisir son camp. Videz vos téléphones et vos MP3 et remplacez par la meilleure parole qui est le Coran.
A l’appel de divers groupuscules d’extrême-gauche, quelques dizaines de contre-manifestants se sont rassemblés à proximité de la mairie, séparés des manifestants par un cordon de police. Hurlant leurs slogans habituels, les « antifas » – qui de facto apportent leur soutien aux islamistes – affirment dans un tract « ne pas cautionner les propos de l’imam (sic)», mais se positionner « contre l’instrumentalisation raciste et islamophobe qui en est faite ». Subtilité de la dialectique…
00:26 Publié dans Contre le "vivre ensemble", la France bouge | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Réinfo, le mag du Parti de la France de cette semaine
00:17 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
A Albert, dans la Somme, le vivre ensemble ne fait pas l'unanimité... Le Parti de la France est descendu dans la rue
Samedi 10 octobre 2015, à l'appel du collectif Sauvons Albert et du Parti de la France, plus de 150 patriotes ont participé à un Rassemblement sur la place de la mairie d'Albert pour dénoncer l'installation de migrants voulue par le maire, Stéphane Demilly.
Après un mot d'accueil de Sabrina Le Corronc, Déléguée départementale, c'est tout d'abord Julien Lévêque, Délégué du Parti de la France pour le canton d'Albert, qui est est intervenu pour se faire le porte-parole des Albertins qui refusent que leur ville devienne un centre d'accueil pour migrants. Il a rappelé au passage, que M. Demilly n'a même pas daigné le recevoir lorsqu'il lui a fait une demande de logement il y a 5 ans, après que sa maison ait brûlé. Il a également indiqué que le maire d'Albert s'était bien gardé de demander l'avis de ses administrés pour l'accueil de clandestins dans la commune.
Thomas Joly, secrétaire général du PdF, a ensuite pris la parole pour dénoncer la culpabilisation médiatique et politique des Français qui refusent d'accueillir toute la misère du monde. Il a également réfuté le mensonge du soi-disant « apport économique » de ces pseudo-réfugiés qui sont en fait, en lieu et place des « architectes », « informaticiens » ou « ingénieurs » fantasmés, des parasites sociaux musulmans et illettrés. Il a ensuite dénoncé la complicité de nos gouvernants dans cette entreprise criminelle de colonisation migratoire. Enfin, assurant que le Parti de la France était au service des Français, il a exhorté les participants à poursuivre la mobilisation pour faire respecter leur droit à vivre en paix chez eux, en sécurité et selon nos traditions.
Le rassemblement s'est terminé par une vibrante Marseillaise reprise à gorge déployée par l'assistance. Aucun incident ne fut à déplorer et le SEP (Service Encadrement Protection) a une nouvelle fois fait preuve d'efficacité et de dissuasion.
00:01 Publié dans Contre le "vivre ensemble", la France bouge | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 12 octobre 2015
À Sainte-Rita la mobilisation citoyenne prend une ampleur inattendue
Le Figaro cliquez ici
Les fidèles de Sainte Rita, occupée nuit et jour depuis le 5 octobre, ont assisté dimanche à la première messe célébrée depuis avril. L'église parisienne est défendue par un véritable mouvement de citoyens, Anonymous à l'appui, luttant contre sa démolition.
Jamais messe dominicale n'a été si surréaliste. Dans les fumées d'encens, au son des chants en Latin et des gémissements des nombreux chiens venus avec leurs maîtres à l'office, devant le drapeau tricolore et une statuaire flambant neuf de Sainte-Jeanne d'Arc et de Sainte-Rita, une foule hétéroclite chante d'un même chœur. Les messieurs vieille France comme les altermondialistes, les riverains comme les touristes, les militants pour la démocratie comme les nostalgiques de l'Ancien Régime. Deux Anonymous, masques derrière la tête et caméras en main, sillonnent les rangées de bancs pour filmer les deux heures de cette célébration eucharistique haute en couleurs.
Un parking et des logements
A Sainte-Rita, au cœur du XVème arrondissement de Paris, cause désespérée depuis deux ans après son rachat par un promoteur (3,3 millions d'euros) pour en faire un parking et des logements, l'ambiance est à la liesse. La nef est pleine, on ajoute des chaises. Pour entrer, chacun a dû passer les palissades en tôle,érigées six jours plus tôt en vue de la démolition de l'église, puis la trouée du porche, muré de parpaings depuis le printemps pour sceller l'expulsion des paroissiens. Même le célébrant, Mgr Samuel Pouhé, prêtre de l'église catholique gallicane de Paris, reste coi face à cette nouvelle et insolite communauté venue aider le quartier à sauvegarder son église.
C'est la première fois depuis avril qu'une messe est dite dans ses murs.Les paroissiens, mobilisés depuis des mois, continuaient à venir aux célébrations sur le trottoir, avec l'autorisation de la préfecture de police de Paris. Mais depuis l'occupation, lundi, de l'édifice par un collectif de citoyens venus de tous horizons, la communauté brave les interdits administratifs et reprend sa place. D'autant qu'elle a tenu en échec les ouvriers venus lundi commencer les travaux de démolition. Avec l'appui de l'ancien ministre Frédéric Lefebvre (LR) et du député-maire (LR) du XVème arrondissement, Philippe Goujon, qui a porté plainte après des échauffourées avec les ouvriers du promoteur.
Une quinzaine de personnes occupent nuit et jour
Désormais, une quinzaine de personnes occupent Sainte-Rita nuit et jour, notamment des membres du Mouvement du 14 juillet, des «indignés» apolitiques prêts à «la révolution pacifiste» pour redonner parole et place aux citoyens. Sainte-Rita, sacrifiée sur l'autel de la «spéculation immobilière» en étant promise à la démolition contre l'avis des riverains, explique David Pastor, membre du Mouvement du 14 juillet, est un «symbole», «un nouveau lieu de lutte» pour qu'«on arrête de tout nous imposer». «Nous dénonçons la trahison du peuple, qui est pourtant souverain dans une démocratie, et le manque de consultation populaire», dit-il. Les Anonymous aussi veillent au grain, pour restaurer «la démocratie du peuple français». Ils dorment sur place. «On est là pour préserver ce patrimoine religieux», dit Jul, l'un d'eux, en distribuant des tracts. Fabrice, un habitant est venu avec ses deux fillettes, «en soutien» face à «ce danger immédiat» pour «le patrimoine et les valeurs menacés par le profit».
«Le mouvement du 14 juillet avait besoin de prendre sa Bastille, avec Sainte-Rita c'est fait!», se félicite Nicolas Stoquer, président délégué de l'association de défense Les Arches de Sainte-Rita. Mgr Pouhé y voit une bénédiction. «Je ne sais pas si c'est la Providence ou les larmes du cœur qui nous les a amenés, avant cela je ne les connaissais pas, mais aujourd'hui ils sont les soldats de Marie, des anges venus combattre». Et qui savent renvoyer les policiers à leurs affaires courantes. Lors de la messe, trois d'entre eux ont tenté d'entrer, sans succès malgré leur uniforme. Pascal, membre du Mouvement du 14 juillet, dédié à la surveillance à l'entrée, leur a dit «non, tout se passe bien ici, les paroissiens prient». Ite, missa est.
23:50 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Toujours, sur la 9e Synthèse nationale
23:22 Publié dans 09 - La 9e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Quelques photos de la 9e Synthèse nationale
10:32 Publié dans 09 - La 9e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Un beau dimanche de Synthèse nationale à Rungis, aux portes de Paris...
Dimanche 11 octobre s’est tenue à Rungis la 9e Journée nationaliste et identitaire organisée par Synthèse nationale. Dans les jours qui précédèrent ce rendez-vous d’automne des forces non-conformistes, un certain nombre de signaux nous laissaient penser que cette réunion allait être une belle réussite. Nous n’avons pas été déçus.
Plus de huit cent personnes sont en effet venues à cette journée. Près de quarante stands étaient installés dans les grands halls. Côté restaurant, les trois cent cinquante plateaux repas prévus ne suffirent pas et le bar, animé par nos amis de Lille venus en force, ne désemplit pas pendant les pauses. Bref, de l’avis unanime des exposants présents, ce fut une bonne journée…
Le thème de cette journée, « Un autre monde est possible », permettait à tous les intervenants de développer leur vision d’un monde différent de celui que veulent nous imposer les tenants du Système.
Dès 11 h 30, après le message de bienvenue de Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, la partie politique débuta par une table ronde animée par Robert Spieler, chroniqueur apprécié de tous au journal Rivarol. Quatre invités, Gabriele Adinolfi, directeur du Centre Polaris de Rome, notre ami l’éditeur et écrivain Philippe Randa, Jean-Claude Rolinat, bien connu des lecteurs de Synthèse nationale, et Carl Lang, Président du Parti de la France, prirent part à celle-ci.
Les séances de l’après-midi débutèrent par un moment fort : l’intervention émouvante de Rima, représentante du peuple syrien en lutte contre le terrorisme islamique et ses complices de la coalition mondialiste, qui nous parla de la situation dans son pays et nous fit part de son espoir de voir bientôt celui-ci retrouver la paix et la liberté. Sous un tonnerre d’applaudissements et d’acclamations, Roland Hélie demanda à Rima de transmettre au peuple syrien, à son parti, le Baas, et à son Président, Bachar Al Assad, le salut fraternel des nationalistes français, eux aussi en lutte contre l’islamisme et le mondialisme broyeur des identités.
Puis se succédèrent les interventions de Richard Roudier et Hugues Bouchu, responsables du Réseau Identités, qui fournirent des arguments historiques à notre devoir de dissidence face au Système, Serge Ayoub, qui insista sur la nécessité de voir la France reprendre sa place de leader des non-alignés et qui développa un intéressant projet de développement de l’Afrique, seule solution si l’on veut que les Africains restent sur leur continent, et Jérôme Bourbon qui, avec l’immense talent que nous lui connaissons, enflamma la salle avec ses pertinentes réflexions sur la classe politique actuelle qui semble plus préoccupée par « les mots que par les maux ».
Après une brève coupure au cours de laquelle le public pu à nouveau se rendre sur les stands pour faire ses emplettes, les interventions politiques continuèrent avec, tout d’abord, Martin Peltier, auteur d’un ouvrage remarquable récemment paru (cliquez ici) dans lequel il nous expose ses vingt raisons d’être anti-américain, qui nous fit part du rêve qu’il a fait de voir naître un monde différent dans lequel la soumission à l’hyper-puissance américaine ne serait plus la règle. Ce fut ensuite le tour de Pierre Cassen, le dynamique président de Riposte laïque, de faire vibrer la salle en dénonçant l’implantation, accélérée ces derniers mois, de l’Islam conquérant sur notre sol. Il dénonça la lâcheté des élus locaux UMPS, dont l’activité pourrait se résumer ainsi : « Une Mosquée Par Semaine ! ». Roland Hélie salua au passage l’engagement courageux de Pierre Cassen et de ses camarades à nos côtés pour sauver notre civilisation.
Roger Holeindre, le combattant de toujours, celui qui, en Algérie, n’avait pas hésité à mettre sa peau en danger pour sauver l’honneur de la France était l’invité d’honneur de cette journée. Il souleva à maintes reprises la salle lorsqu’il dénonça les menteurs et les faiseurs qui ont détruit la France. Il prononça un discours d’une haute tenue qui enflamma les nombreux jeunes présents dans la salle en les appelant à continuer le combat. Pierre Vial qui, depuis la création de notre revue il y a bientôt dix ans, nous a toujours soutenu, fut le dernier intervenant de l’après-midi. Il appela à la création d’un vaste front patriotique regroupant toutes les forces attachées à nos valeurs nationales et civilisationelles.
Sans que personne ne s’en soit vraiment rendu compte en raison de la qualité des exposés, l’heure avançait trop vite et il était temps de conclure la partie politique pour laisser la place à la partie festive, à savoir le concert très attendu des fameuses Brigandes qui, depuis quelques mois, avec leurs clips spectaculaires font le buzz sur le net. Tout le monde en parlait, mais personne ne les avait encore vues sur scène… Suspens.
Quel grand moment ! Un récital magnifique que le public n’est pas prêt d’oublier. Une série de chansons toutes aussi impertinentes et sublimes qui tranchent singulièrement avec le politiquement correct de rigueur sur les ondes. Remercions ces formidables artistes et leur orchestre pour ce très beau concert qu’elles nous ont offert. Un moment inoubliable… C’était la première fois que les Brigandes se produisaient en Ile-de-France. Nous espérons tous qu’il y en aura beaucoup d’autres.
Les meilleures choses ont, hélas, une fin. A 19 heures la salle, ravie, se vida lentement. Rendez-vous l’an prochain pour les dix ans de Synthèse nationale.
Un premier album photos sera publié dans la journée et, très vite, les films de chacune des interventions seront en ligne.
08:40 Publié dans 09 - La 9e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Plus de 800 participants à la 9e Synthèse nationale
Le formidable concert des Brigandes qui clôtura la journée.
Près de 800 personnes ont assisté dimanche 11 octobre à Rungis à la 9e Journée nationaliste et identitaire organisée par Synthèse nationale. Réussite totale. On en reparle dès demain. Films, interventions, photos, papiers d'ambiance toute la semaine...
00:08 Publié dans 09 - La 9e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 10 octobre 2015
C'est demain !
Ce qu'il faut savoir cliquez ici
08:36 Publié dans 09 - La 9e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dimanche après-midi, pour la première fois en Ile-de-France : LES BRIGANDES EN CONCERT
08:36 Publié dans 09 - La 9e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Sortie demain dimanche du n°7 des Cahiers d'Histoire du nationalisme
La croix celtique guide nos pas...
Symbole ancestral de notre civilisation européenne, la croix celtique est l’emblème sous lequel, à travers notre continent, se retrouvent ceux qui refusent la disparition programmée de notre identité.
Fidèles à leur vocation de traiter tout ce qui a rapport à notre combat, les Cahiers d’Histoire du nationalisme, édités par Synthèse nationale, ont décidé de consacrer leur septième livraison à ce symbole d’espérance pour lequel de nombreux patriotes sont morts.
Ce Cahier a été réalisé sous la direction de Thierry Bouzard. Il sort à l’occasion de la 9e Journée nationaliste et identitaire de Synthèse nationale.
Cahier d’Histoire du nationalisme n°7, réalisé sous la direction de Thierry Bouzard, 160 pages, 20 €
Retrouvez toutes nos publications sur le stand de Synthèse nationale...
En vente lundi sur synthese-editions.com
07:49 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 09 octobre 2015
Un entretien avec Roland Hélie dans Rivarol de cette semaine
Entretien avec Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, pour Rivarol
Propos recueillis par Jérôme Bourbon
Rivarol n°3205 du 8 octobre 2015
Le dimanche 11 octobre prochain va se dérouler à Rungis (94) la 9e Journée nationaliste et identitaire organisée par Synthèse nationale *. Cela fera bientôt dix ans que vous avez créé cette revue. Un bilan s’impose…
Effectivement, nous fêterons l’an prochain le dixième anniversaire de Synthèse nationale. Le premier numéro de la revue date d’octobre 2006. Il en est sorti quarante et un depuis, ce à quoi il convient d’ajouter quelques numéros thématiques hors-séries.
Parallèlement à la revue, nous avons lancé en avril 2014 Les Cahiers d’Histoire du nationalisme qui rencontrent un réel succès dans nos milieux et, aussi, bien au-delà. Nous en avions assez d’entendre l’histoire de notre famille politique racontée par nos ennemis et donc falsifiée. Il était temps de remettre tout cela en bon ordre.
Le premier numéro de ces Cahiers est paru à l’occasion du vingtième anniversaire de la disparition de Léon Degrelle, le fondateur du mouvement rexiste belge dans les années 30. Le deuxième était consacré à François Duprat, membre de la direction du Front national assassiné en 1978, et au nationalisme-révolutionnaire dont il fut l’un des théoriciens. Furent ensuite traités successivement Jacques Doriot et le PPF, le truculent maire de Saint-Denis passé du communisme au fascisme ; le Parti des Forces nouvelles, la principale formation nationaliste des années 70 et du début des années 80 ; le Maréchal Mannerheim, chef de la Finlande qui mena la vie dure à l’Armée rouge lors de la Seconde guerre mondiale ; Jean-Louis Tixier-Vignancour, premier candidat national à une élection présidentielle en 1965. Vient de sortir le numéro 7 consacré à la Croix celtique, emblème historique, depuis Jeune nation, des mouvements nationalistes.
Nous avons aussi monté début 2012 une maison d’édition, Les Bouquins de Synthèse nationale, qui a déjà publié une vingtaine d’ouvrages.
Au-delà de votre débordante activité éditoriale, votre action se place aussi sur le plan politique et militant…
Lorsque nous avons créé Synthèse nationale, nous avions comme objectif de doter l’ensemble de la Droite nationaliste et identitaire d’un outil de référence politique et culturel digne de ce nom. Ainsi, en plus de la revue, nous avons organisé, à partir de 2007, nos journées annuelles qui rassemblent un nombre croissant de participants. Ces journées sont la vitrine de Synthèse nationale. C’est pour nous l’occasion de rencontrer nos lecteurs et surtout de faire venir à nous des gens qui, jusqu’à présent, s’étaient éloignés ou, tout simplement, ne se reconnaissaient pas encore dans le mouvement nationaliste.
Nous avons aussi mené des campagnes militantes, dont Rivarol s’est toujours fait l’écho, en particulier contre l’étau bruxellois, l’escroquerie SOS-Racisme, ou encore contre le Traité transatlantique. Nous avons participé, dans la perspective des élections législatives de 2012, à l’Union de la Droite nationale qui rassemblait le Parti de la France, le MNR, la Nouvelle Droite populaire et qui présenta une centaine de candidats.
Synthèse nationale a aussi, en 2013, soutenu activement la campagne pour la libération d’Estéban, jeune militant solidariste emprisonné (quinze mois) suite à une agression dont lui, et ses camarades, avaient été victimes dans le quartier de la gare Saint-Lazare à Paris. Cela fit à l’époque grand bruit. Cette campagne nous a d’ailleurs permis de nouer des liens d’amitié avec des organisations venues du bord diamétralement opposé au nôtre comme Riposte laïque par exemple. Comme quoi il n’est pas indispensable de se « dédiaboliser » pour dialoguer et faire un bout de chemin avec des gens qui, a priori, ne sont pas forcément du même avis que nous sur tout.
Justement, vous parlez de « dédiabolisation », vous faites allusion au néo FN mariniste. Que pensez vous de la situation actuelle du FN ?
D’abord, je dois vous dire qu’il y a un moment que je ne me fais plus beaucoup d’illusions sur la capacité du FN de changer les choses. Néanmoins, force est de reconnaître que, dans l’inconscient collectif, ce mouvement apparaît aujourd’hui comme étant l’alternative au Système en faillite. L’arrivée récente et massive de pseudo-réfugiés venus d’Afrique et d’Asie mineure accentuant cet état de fait, l’image que le FN a gardée de « parti anti immigration » lui permet d’envisager sereinement les prochaines élections. Car c’est justement cette image qu’avait imposée Jean-Marie Le Pen en trente ans qui fait toujours, quoiqu’en disent les dirigeants actuels du FN, le succès de ce parti… Certes, elle lui valu d’être diabolisé par les tenants du Système et par la presse aux ordres, mais, en fait, cette diabolisation l’a rendu encore plus fort.
Aujourd’hui, nos compatriotes sont de plus en plus nombreux à ouvrir les yeux et adoptent souvent des positions radicales contre ce Système qui les a roulé dans la farine si longtemps. Les bons résultats actuels du Front sont beaucoup plus dus à la radicalisation d’une partie importante de l’électorat qu’à la « dédiabolisation » voulue par Marine Le Pen.
Et la crise qui secoue le Front depuis six mois ?
Rivarol a le mérite d’avoir secoué le cocotier… et de mettre en évidence les intentions profondes de Marine Le Pen et ses amis. Cette obsession à vouloir « tuer » le père est malsaine, et souvent malle perçue par les Français. Le parricide ne fait jamais recette.
Jean-Marie Le Pen, on le connaît, on sait comment il est et comment il réagit. C’est un Breton têtu qui n’a pas l’habitude de revenir sur ce qu’il a dit. C’est justement ce qui a fait son originalité et aussi, sans doute, sa réussite. Sa fille est mieux placée que quiconque pour le savoir. Elle a, ce qui est son droit le plus absolu, exprimée à maintes reprises son désaccord avec certaines positions de son père. Cela n’a échappé à personne… Etait-elle pour autant obligée d’en arriver à polluer pendant six mois l’image de son parti en s’obstinant, telle une enfant gâtée et capricieuse, à vouloir en exclure celui-ci qui en fut l’un des cofondateurs il y a plus de quarante ans. Elle savait que cela ne se passerait pas sans réactions de la part de Jean-Marie Le Pen. Elle a choisit sciemment, au moment où la France est confrontée à une immigration accentuée qui peut lui être fatale, de plonger son parti dans une crise qui le ridiculise. Cette attitude ne pouvait que répondre à des impératifs qui nous échappent. Si ce n’est pas le cas, c’est encore plus grave…
Cela dit, Jean-Marie Le Pen, aussi talentueux soit-il, n’est pas exempt de critiques et, à force d’exclure ses soutiens, il a finit par se retrouver bien seul. C’est dommage…
Revenons, si vous le voulez bien, à la 9e Journée de Synthèse nationale…
Dans le contexte actuel, cette journée prend une importance toute particulière. Il est clair que le Front, à force de ce recentrer, ne se situe plus vraiment dans la sphère politique et idéologique qui est la nôtre. Or, plus que jamais, une force nationaliste et identitaire conséquente est indispensable si on ne veut pas voir définitivement notre pays sombrer dans le magma mondialiste. Voilà pourquoi nous avons choisi comme thème : « un autre monde est possible ». Un monde débarrassé des carcans et des diktats de la haute-finance apatride, un monde dans lequel les peuples reprendraient en mains leurs destins.
Voilà pourquoi les différentes sensibilités de notre famille se retrouveront à Rungis ce dimanche 11 octobre. Interviendront successivement au cours des tables-rondes Gabriele Adinolfi, président de l’Institut Polaris (Rome), l’éditeur Philippe Randa, l’écrivain Jean-Claude Rolinat, l’identitaire méridional Richard Roudier, le solidariste Serge Ayoub, le Président de Riposte laïque Pierre Cassen, l ‘identitaire francilien Hugues Bouchu et vous même Mon cher Jérôme qui, je l’espère, nous ferez un discours aussi décapant que celui de l’an passé. Toutes ces tables-rondes seront présidées par notre Ami Robert Spieler que les lecteurs de Rivarol apprécient pour ses fameuses chroniques hebdomadaires.
L’un des moments forts de la réunion sera l’intervention d’une représentante des Communautés syriennes de France, qui soutiennent le Président Bachar dans sa lutte contre les islamistes et contre les ingérences de la coalition mondialiste dans son pays.
En milieu d’après midi, il y aura le meeting politique à proprement parlé au cours duquel prendront la parole Martin Peltier qui exposera ses vingt raisons d’être anti-américain, Roger Holeindre, Président du CNC, Pierre Vial, Président de Terre et peuple, Carl Lang, Président du Parti de la France, Luc Pécharman, délégué de Synthèse nationale à Lille et, si les gens ont encore la patience de m’écouter, je conclurait la partie politique de cette journée.
A partir de 16 h on passe à la partie festive avec un concert exceptionnel puisque cette année nous avons l’immense joie de recevoir les charmantes et talentueuses Brigandes qui, pour la première fois, se produiront en public en Région parisienne.
Toute la journée, de nombreux stands, dont celui de Rivarol et des Ecrits de Paris, seront là pour recevoir les visiteurs. Un restaurant (avec un menu français) et un bar (sans Coca) seront aussi ouverts pour le plaisir de tous…
* Dimanche 11 octobre de 11 h à 18 h. Espace Jean Monnet, 47, rue des Solets 94 Rungis (zone SILIC) Entrée : 10 €.
Pour s’y rendre : en RER Ligne C2 station Rungis La Fraternelle, en tramway ligne 77 arrêt La Fraternelle (direct du métro Villejuif-Louis Aragon. Vastes parkings pour les automobilistes.
16:47 Publié dans 09 - La 9e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 08 octobre 2015
Deux jours avant la 9e Synthèse nationale : Riposte laïque publie un grand entretien avec Roland Hélie
Riposte laïque cliquez ici
Propos recueillis par Pierre Cassen
Riposte Laïque : Tu es le président de Synthèse nationale. Peux-tu expliquer à nos lecteurs ce qu’est cette association, et quelles sont ses activités ?
Roland Hélie : Synthèse nationale a été lancée il y a presque dix ans, en octobre 2006. Notre objectif était, et est toujours, de doter la droite nationaliste et identitaire d’une revue qui soit à la fois vigilante sur ses « fondamentaux » (lutte contre le mondialisme, préférence nationale, défense de la civilisation européenne, abrogation des lois liberticides…) et ouverte vers des milieux différents de ceux qui, traditionnellement, forment notre univers politique et idéologique.
Autour de la revue s’est très vite créée une structure militante qui mène régulièrement des campagnes thématiques, comme ce fut le cas par exemple en 2011 contre l’étau bruxellois, en 2012 contre le regroupement familial, en 2013 pour la dissolution des officines antinationales comme SOS-Racisme ou, plus récemment, celle contre le Traité transatlantique.
Mais nous ne sommes pas un parti ni un mouvement. Synthèse nationale, comme son nom l’indique, est un pôle de rassemblement. Nous cherchons toujours à associer le plus grand nombre possible de formations ou de personnalités à nos initiatives.
Riposte Laïque : Tous les ans vous organisez les Journées de Synthèse nationale à Rungis. Peux-tu nous parler de celles qui se tiendront ce dimanche, de 11 heures à 18 heures. Quel en sera le thème ?
Roland Hélie : Chaque année, depuis 2007, nous organisons au début de l’automne nos journées nationales et identitaires. Cette année, ce sera la 9e édition. Elle aura lieu dimanche prochain, 11 octobre, à l’Espace Jean Monnet (47, rue des Solets à Rungis-SILIC) et le thème sera : « Un autre monde est possible ! ». En effet, nous pensons qu’il est temps de proposer une alternative à ce Système broyeur de peuples qui veut nous transformer en consommateurs dociles, dépourvus de racines et d’identité, juste bons à enrichir les multinationales apatrides. Le Conseil d’administration de la Goldman Sachs à plus de pouvoir sur notre avenir que le Conseil des ministres.
Il y aura des tables-rondes, un meeting, un concert, des stands, des animations, un bar, un restaurant… De nombreuses personnalités, et pas seulement de la Droite nationale, interviendront.
Au fil des ans ces journées sont devenues le rendez-vous de rentrée incontournable non seulement des nationalistes mais aussi de tous ceux qui sont attachés à notre identité française et européenne.
Riposte Laïque : Cette année, tu as invité Riposte Laïque, en me proposant d’intervenir. Pourquoi cette démarche, alors que tu n’ignores pas que beaucoup de choses nous opposent, notamment certaines visions historiques sur la Révolution française ou la période de l’Occupation allemande ?
Roland Hélie : Très bonne question mon cher Pierre. Elle illustre parfaitement la démarche qui est la nôtre et que j’ai expliquée précédemment. Nous pensons que, face à la volonté des mondialistes de détruire notre indépendance et notre identité, la mobilisation de toutes les bonnes volontés est nécessaires. Voilà pourquoi nous sommes très heureux de recevoir Riposte Laïque à cette journée du 11 octobre.
Il y aura là des gens de sensibilités politiques bien différentes mais qui ont tous un point commun : leur indéfectible attachement à notre pays et à notre civilisation. Pour nous, c’est ce qui est le plus important.
Je connaissais peu Riposte Laïque. Il y a quelques années, en juin 2013, une pénible affaire, l’affaire Esteban, nous a rapprochés. Rappelez-vous, il s’agissait de l’arrestation et de l’incarcération (qui dura quinze mois) d’un jeune patriote, Esteban, à la suite d’une agression dont lui et ses camarades avaient été les victimes à Paris. L’un des agresseurs, Clément Méric, étant décédé à la suite de ce méfait. Cette regrettable affaire donna lieu à une véritable manipulation de la part du gouvernement qui était alors confronté à la colère de la rue suscitée par la loi Taubira sur « le mariage pour tous ». Elle lui donna ainsi un motif inespéré pour procéder à la dissolution de plusieurs organisations patriotiques, dont le mouvement 3e Voie de Serge Ayoub. Riposte laïque fut la seule force extérieure à notre mouvance idéologique à défendre nos camarades. Cela, nous ne l’avons pas oublié.
Finalement, cette affaire aura eu une conséquence inattendue. Des organisations venues de milieux diamétralement opposés se sont rapprochées elles ont pris l’habitude de travailler ensemble…
Riposte Laïque : Vous semblez plus proches, dans vos analyses et vos propos, de ce que j’appellerais la droite du Front national, style Carl Lang, que du FN. Ce n’est qu’une impression ?
Roland Hélie : On tombe toujours du côté où on penche. Pour ma part, j’ai toujours été un militant de la Droite nationaliste et identitaire. J’ai commencé à militer au début des années 70 au Parti des forces nouvelles qui était alors le parti concurrent du Front national. En 1984, le PFN a cessé d’exister et nous avons rejoint la FN alors au début de sa percée politique. Le FN était alors un mouvement qui se revendiquait de la même famille politique que nous. Le style était différent mais les références étaient les mêmes. Je ne suis pas sûr que ce soit toujours la même chose aujourd’hui. Pour tout dire, je ne fais pas beaucoup d’illusions sur le FN tel qu’il est actuellement.
Depuis quelques années, nous assistons à une prise de conscience par une partie croissante de notre peuple des problèmes qui n’étaient jusqu’alors dénoncés que par les nationalistes. C’est ainsi que la soumission obséquieuse au dogme mondialiste de ceux qui sont censés nous diriger et l’arrivée massive de populations extra-européennes sur notre sol poussent un grand nombre de nos compatriotes vers le vote Front national. A leurs yeux, le Front est le dernier rempart contre l’immigration alors qu’il y a un moment que celui-ci ne fait plus de ce problème son premier cheval de bataille. Ce n’est pas la « dédiabolisation » entreprise par Marine Le Pen qui fait le succès du FN, c’est la radicalisation de nos compatriotes.
Carl, lui au moins, ne revient pas sur l’essentiel.
Riposte Laïque : Que penses-tu du concept d’Union des Patriotes, contre ce que nous appelons le fascisme islamique ?
Roland Hélie : L’Union des Patriotes, ou le Front patriotique dont nous avait parlé Pierre Vial lors de la rencontre Charles Martel à Poitiers en juin dernier, ne doit pas rester au stade de concept. Il faut qu’à terme, et à court terme autant que faire ce peut, cela devienne une réalité. Il en va de l’avenir de notre pays. Et cette union doit être la plus large possible.
En revanche vous me parlez du « fascisme islamique ». Je pense qu’il s’agit là d’un non-sens contreproductif. Le fascisme, mouvement révolutionnaire reposant sur une doctrine nationaliste et sociale qui a transformé l’Italie dans la première partie du XXe siècle, n’a aucun point commun avec cette prétendue religion qui repose sur les élucubrations d’un pseudo prophète et qui a la prétention de régir le monde à sa façon. Les mots ont un sens et il ne faut pas, par facilité, tout mélanger. De plus, à force de se faire traiter de « fascistes », car celui qui ne se prosterne pas devant les volontés des tenants du Système est toujours un « fasciste », beaucoup de gens finissent par s’interroger sur le fascisme et se rendent compte que celui-ci à bien peu de point commun avec l’image caricaturale qui en est faite. Ce mot est employé à tort et à travers. Hier, les dictateurs sud américains à la solde de la CIA étaient « fascistes », aujourd’hui, le vilain fasciste c’est Poutine… Si, au moins, l’emploie du qualificatif « islamo fascisme » faisait recette. Mais ce n’est pas le cas.
Riposte Laïque : Vous paraissez parfois sous-estimer la question de l’islam, estimant que ce problème n’est que la conséquence de l’invasion migratoire. Ne penses-tu pas que cette vision réductrice, face au cancer islamique qui ronge notre modèle laïque et civilisationnel ?
Roland Hélie : Nous ne sous-estimons absolument pas l’islamisation de notre continent. Synthèse Nationale a même été le relais en France de la campagne européenne lancée par Filip Dewinter, député Vlaams Belang d’Anvers, sur le thème « Les villes contre l’islamisation ». Plusieurs numéros de notre revue ont aussi dénoncé ce fléau.
C’est bien de dénoncer les effets mais c’est mieux de s’attaquer aux causes. S’il n’y avait pas d’immigration en provenance des pays musulmans, il n’y aurait pas d’islamisation de la France.
Cependant, les véritables responsables de cette situation de plus en plus intenable ne sont pas les musulmans. Ce sont ceux qui les ont fait venir. Il y a eu dans les années 60 et 70 une concordance d’intérêts entre le grand patronat et les syndicats marxistes. Les uns espéraient avoir trouvé une main d’œuvre malléable à souhait, imperméable aux sirènes du Parti Communiste, et destinée à faire baisser les salaires. Les autres pensaient trouver un prolétariat de substitution qui, un jour ou l’autre, pourrait voter pour la gauche qui se surpassait en démagogie pour cela. Le prolétariat français de souche s’étant peu à peu tourné vers le Front National. Finalement, les immigrés coûtent une fortune à notre économie et ils sont plus sensibles aux fantasmes paradisiaques du Coran qu’aux lendemains qui chantent des socialistes. Une fois de plus, les élites françaises se sont trompées.
Riposte Laïque : Face à la catastrophe migratoire que nos gouvernants accélèrent, pour la rendre irréversible, que proposez-vous à la France ?
Roland Hélie : Il y a un certain nombre de mesures qui peuvent facilement être appliquées. Tout est une question de volonté et d’état d’esprit. Tout d’abord, il faut redéfinir le code de la nationalité et rétablir la préférence nationale. Il faut fermer les robinets et couper les pompes aspirantes. Il faut arrêter, sous des prétextes fallacieux, de créer des conflits dans le monde arabe là où il n’y en a pas. Il faut soutenir les régimes laïques tel que celui du Président Bachar dans leur lutte contre l’islamisme… Il faut, dans la mesure du possible, aider les pays du Tiers-Monde à se développer afin de fixer leurs populations sur leurs sols…
Mais ce qui est plus important, c’est de redonner à nos peuples d’Europe une conscience ethnique et une fierté nationale qu’ils n’ont plus. Etre fier de ce que l’on est ne veut pas dire qu’on méprise les autres.
Un dernier mot peut-être ?
Roland Hélie : Je profite de cet entretien pour dire l’admiration que j’ai pour des gens comme vous, Pierre, Christine, et les responsables de Riposte laïque. Dans l’enfer du « politiquement correct » dans lequel nous sommes plongés, vous avez eu le courage de vous dresser et osé vous engager à nos côtés, nous les éternels parias du Système. Cela n’a pas dû être évident. Dans cette affaire d’immigration, beaucoup de gens refusent de se remettre en cause et continuent dans l’erreur. Vous, vous avez eu une attitude différente. Vous savez placer l’intérêt national au-dessus de tout. C’est remarquable. Alors, vous comprendrez que nos différences d’appréciations sur tel ou tel fait historique n’ont pas beaucoup d’importance.
Je donne rendez-vous aux lecteurs de Riposte laïque dimanche prochain à Rungis.
Quelques informations utiles :
Dimanche 11 octobre, de 11 h à 18 h, Espace Jean Monnet 47, rue des Solets 94 Rungis SILIC. Entrée 10 €
Intervenants : Gabriele Adinolfi, Directeur de l’Institut Polaris (Rome), Philippe Randa, éditeur, Jean-Claude Rolinat, écrivain, Richard Roudier, Ligue du Midi, Serge Ayoub, militant solidariste, Hugues Bouchu, Identitaire francilien, Jérôme Bourbon, directeur de Rivarol, Martin Peltier, écrivain, Pierre Vial, Président de Terre et peuple, Carl Lang, Président du Parti de la France, Roger Holeindre, Robert Spieler, anciens députés, Luc Pécharman, responsable de Synthèse nationale à Lille, et bien sûr, Pierre Cassen que l’on ne présente plus aux lecteurs de ce site.
Il y aura un restaurant, un bar et de nombreux stands dont celui de Riposte laïque.
A partir de 16 h 30, un concert avec « Les Brigandes », groupes de jeunes femmes très politiquement incorrectes, qui se produiront pour la première fois en Ile-de-France.
Pour accéder à l’Espace Jean Monnet à Rungis :
▪ RER : Ligne C2, train Mona, station Rungis La Fraternelle (env. 300 m. de l’Espace Jean Monnet.
▪ Tramway : ligne T7, arrêt La Fraternelle (direct du métro Villejuif – Louis Aragon).
▪ En voiture : dans la zone SILIC de Rungis, l’Espace Jean Monnet est fléché. Vaste parking gratuit à la disposition des visiteurs.
Si vous ne pouvez pas venir à Rungis, nous nous ferons un plaisir de vous adresser gracieusement un exemplaire de la revue Synthèse Nationale. Ecrivez-nous à Synthèse Nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris (correspondance uniquement).
23:45 Publié dans 09 - La 9e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dans Présent daté de vendredi, un entretien avec Roland Hélie
Dans le numéro de Présent en vente vendredi dans les kiosques, vous pourrez lire un entretien avec Roland Hélie au sujet de la 9e Journée de Synthèse nationale qui se déroulera dimanche à Rungis cliquez ici
Vous pourrez rencontrer des collaborateurs du quotidien national à cette occasion.
20:04 Publié dans 09 - La 9e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |