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dimanche, 07 juin 2020

Depuis le 5 juin, le quotidien Présent à nouveau dans les kiosques

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Quelques bonnes raisons d'être nietzschéen...

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samedi, 06 juin 2020

Marine Le Pen à genoux devant la statue du commandeur.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Marine Le Pen, dans un entretien publié par le Parisien, annonce qu'elle rendra hommage à Charles De Gaulle le 18 juin et célèbre l'action du fondateur de la Cinquième République en qui elle semble se reconnaître, comme il est de mode et de bon ton de le faire pour tout supposé présidentiable.
 
La droite nationale a toujours été favorable à la réconciliation nationale. De nombreux droitistes, au delà des fractures des années 40, s'engagèrent au RPF. En 1958, ils voulurent croire en une volonté de sursaut national et de redressement de l'Etat sans voir combien les intentions du Général divergeaient des leurs quant à l'avenir de l'Algérie française. En 1968, pour contrer les menaces gauchistes, nombre des nôtres voulurent l'union nationale. Aux élections européennes de 1999, Jean-Marie Le Pen, engagé dans le combat contre les conséquences du traité de Maastricht, fit figurer en deuxième de liste Charles De Gaulle, petit fils de...
 
Mais la nécessaire réconciliation nationale ne signifie pas aveuglément. Encore moins amnésie. Nous regardons l'avenir et nous travaillerons avec tous ceux qui croient en la grandeur de la France et au destin européen, quelle qu'en soit la filiation politique, mais nous  n'oublions ni les trahisons ni les conséquences de ce qui fut une politique d'illusion. Illusion d'institutions stables conçues sur du sable, illusion d'une indépendance dont jamais la Cinquième République ne se donna les moyens, illusion d'une industrialisation que l'approbation d'une globalisation qui se dessinait déjà au début des années 60 rendrait vite caduque, illusion d'une unité française que le recours à l'immigration voulue par les grands  entrepreneurs et les organisations internationales, avec l'accord gaulliste allait ravager.
 
Marine Le Pen ignore tout cela. Nous qui savons, qui n'oublions rien mais sommes déterminés à œuvrer avec tous pour une vraie union nationale, ne nous prosternerons pour autant jamais devant aucun totem ni statue du commandeur.
 
Marine le Pen, rendra donc hommage à Charles De Gaulle le 18 juin et, selon la tendance de l'époque, fera sa génuflexion. Elle parlera sans doute de la flamme de la résistance qui "ne s'éteindra jamais". Elle aurait pu tout aussi bien, sans le confinement, parler le 13 mai. Nul doute qu'elle aurait alors lancer un nouveau "Je vous ai compris".

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Affaire Traoré : la vérité qui dérange...

Depuis la mort d'Adama Traoré, le débat public est intoxiqué par la version partielle de la famille Traoré, qui malgré les expertises n'ont cessé d'accuser les gendarmes d'avoir tué leur frère. Cette enquête de Louis de Raguenel met à mal cette thèse bornée, derrière laquelle se cache toutes les ambitions de la l'extrême-gauche décoloniale.

Source Valeurs actuelles

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Bruno Gollnisch sur TV Libertés

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Journal du chaos

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vendredi, 05 juin 2020

Pourquoi la gauche s’en prend avec tant de violence à Michel Onfray

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Par Eric Zemmour

Ils ont sorti les orgues de Staline. La gauche institutionnelle a sonné le tocsin. Les éditorialistes ont lancé les premières salves. Les politiques sont tapis derrière, attendant leur heure. Leur cible privilégiée du jour a pour nom Michel Onfray et la création par ses soins d’une revue intitulée Front populaire. Il a droit à tous les qualificatifs éculés : fasciste, collabo, vichyste, etc. Leur cible est d’autant plus détestée qu’elle vient de chez eux, de leur camp, de cette gauche matérialiste et hédoniste, proudhonienne et libertaire, qui les ravissait naguère par son anticatholicisme féroce.

Mais le gaillard n’est pas du genre à tendre l’autre joue et rend coup pour coup. Il a compris, lui, que les temps avaient changé et qu’à l’heure de l’islam conquérant, « mettre une claque à sa grand-mère » n’était plus opportun. La gauche en veut d’autant plus à Onfray qu’elle a bien compris l’enjeu idéologique et politique : il s’agit de rassembler les deux pans de droite et de gauche du souverainisme. Cette initiative a déjà été tentée il y a vingt ans par Charles Pasqua, Jean-Pierre Chevènement et Philippe de Villiers. Mais les républicains des deux rives ne sont jamais parvenus à construire ce pont qui scellerait leur alliance. Entre-temps, ils ont été pris de vitesse par Emmanuel Macron qui a réussi, lui, l’union des bour- geoisies des deux rives : les libéraux de droite et les libéraux de gauche. Comme si Macron avait rassemblé le camp du oui à Maastricht, tandis que le camp du non restait obstinément divisé.

De nombreuses voix de la droite souverainiste, intellectuels et journalistes, ont rejoint l’entreprise d’Onfray. D’autres clubs, chapelles, individualités rament dans le même sens. Des pétitions sont signées en commun. Le souverainisme a repris des couleurs depuis que cette épidémie de Covid-19 a montré les conséquences de la mondialisation et de la désindustrialisation, qui nous ont rendus à la fois démunis et dépendants. Emmanuel Macron parle désormais de souveraineté nationale, même s’il ajoute aussitôt, dans un « en même temps » qui détruit la cohérence de son propos, la « souveraineté européenne ».

C’est le danger pour le souverainisme que d’être repris par tous, y compris par ses ennemis les plus farouches. Si les républicains des deux rives s’agitent sur le plan intellectuel, les partis politiques restent de marbre. La France insoumise combat « l’islamophobie » et soutient les émeutiers noirs de Minneapolis, comme si elle était devenue une annexe partisane du mouvement décolonial. Marine Le Pen, elle, fait l’éloge du général de Gaulle et rêve d’une alliance avec LFI qui révulse les militants mélenchonistes. Ce n’est pas un hasard. Le vrai clivage au sein du mouvement souverainiste est identitaire. La question de l’immigration, de l’islam, des frontières et de la préférence nationale, de la France qui n’est pas seulement une République mais aussi, mais surtout, un « peuple de race blanche, de religion chrétienne et de culture gréco-romaine », selon la célèbre formule du général de Gaulle, cette question est la mère de toutes les batailles. Pour l’avenir de la France et, donc, pour le rassemblement des souverainistes des deux rives.

Source : Figaro Magazine 6/06/200

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Tous surveillés : 7 milliards de suspects

Des caméras de Nice à la répression chinoise des Ouïghours, cette enquête dresse le panorama mondial de l'obsession sécuritaire, avec un constat glaçant : le totalitarisme numérique est pour demain. 

Aujourd'hui, plus de 500 millions de caméras sur la planète offrent aux autorités la capacité de nous surveiller, à peu près partout et à chaque instant. Sous couvert de lutte contre le terrorisme ou la criminalité, les grandes puissances se sont lancées dans une dangereuse course aux technologies de surveillance. Dorénavant, l'incroyable perfectionnement de l'intelligence artificielle valide l'idée d'un regard total. Aux États-Unis, les forces de police utilisent la reconnaissance faciale pour identifier les suspects. En Chine, les caméras peuvent repérer les criminels de dos, à leur simple démarche. En France, la police utilise des caméras intelligentes qui analysent les émotions et les comportements des passants. Marquée par l'attentat au camion du 14 juillet 2016, qui a fait 86 morts, et s'est produit en dépit des 2 000 caméras scrutant la ville, Nice se situe désormais à l'avant-garde de l'expérimentation. Le centre de supervision et les zones dédiées à la reconnaissance faciale sont les chevaux de bataille du maire Christian Estrosi, qui veut faire de sa ville une safe city. Comme un virus, l'idéologie du tout sécuritaire se répand à la mesure d'une révolution numérique à la puissance exponentielle. Va-t-elle transformer notre monde en une planète habitée par 7 milliards de suspects ? Quel niveau de surveillance nos libertés individuelles peuvent-elles endurer ? 

Documentaire de Sylvain Louvet (France, 2019, 1 h 30 mn)

Disponible jusqu'au 20 juin 2020 !

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Source : Arte

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USA. Émeutes raciales : ce que les médias cachent

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"Indo-Pacifique : les grandes manœuvres", thème du nouveau numéro de la revue "Conflits"

Les grandes manœuvres ont débuté dans la zone Indo-Pacifique. Les États-Unis cherchent à endiguer la puissance chinoise en tenant les mers et en assurant le contrôle de cet espace immense, qui va de Djibouti à Hawaï et qui sert de contrepoids aux nouvelles routes de la soie. Washington cherche donc à s’appuyer sur ses alliés : Japon, Inde, Australie et France, afin d’installer le basculement de puissance initié par Barack Obama. La France elle aussi a des intérêts dans cette zone, avec notamment la présence de la Réunion et de la Polynésie. Conflits étudie les nouveautés et les enjeux de cet espace en analysant la position de l’Inde, des États-Unis et de la Chine. Ce nouveau numéro évoque aussi la puissance française et sa diplomatie indo-pacifique.

Conflits consacre également plusieurs articles au coronavirus. Pourquoi les pays asiatiques ont-ils mieux affrontés l’épidémie ? Quelles peuvent être les conséquences géopolitiques de cette crise sanitaire sans précédent ?

Dans ce numéro de Conflits vous pourrez lire une analyse du Sahel par Olivier Hanne, un texte de réflexion historique sur le cheval de Troie par Olivier Battistini et un grand entretien sur l’Inde avec Olivier Da Lage. Notre grande stratégie est consacrée à Jules César, avec le professeur Yann Le Bohec et Pierre Royer étudie les batailles de l’Atlantique. Toutes vos rubriques habituelles sont bien évidemment présentes. Vous pourrez ainsi lire vos auteurs favoris.

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Source : Conflits

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JE N’EN REVIENS PAS ! IL Y A EN FRANCE UN NOMBRE INCALCULABLE DE CONS !

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Patrick Jardin Riposte laïque cliquez ici

Ils ont osé organiser une manifestation, pourtant interdite par la préfecture de police, en faveur d’Adama Traoré, une de ces innombrables chances pour la France issue d’une famille dont le père a eu DIX-SEPT ENFANTS AVEC QUATRE MÈRES DIFFÉRENTES (cela a encore dû nous coûter une fortune en aides sociales de toutes sortes). Tiens, il me semblait qu’en France la polygamie était interdite !

Ce brave Adama a été arrêté en présence de son frère Bagui qui était visé par une enquête d’extorsion de fonds. Autant Bagui est resté calme qu’Adama s’est enfui, ayant sûrement quelque chose à se reprocher. Rattrapé par les policiers, il refuse de donner ses papiers d’identité, bien que connu des gendarmes pour de nombreux délits. Il fait mine de donner ses papiers et s’enfuit une seconde fois. Il est rattrapé, puis menotté, et s’enfuit une troisième fois et est retrouvé chez une de ses connaissances, sans les menottes. Son état de santé se dégrade petit à petit, jusqu’à ce qu’il meure. S’ensuit une bataille d’experts médicaux, deux autopsies dont une révèlera qu’Adama était sous l’emprise de cannabis et avait une infection grave, tous ces faits se déroulant le 19 juillet 2016 ! Donc il y a quatre ans et je ne me souviens pas que ces chances pour la France aient organisé une manifestation contre les attentats de Charlie et du Bataclan l’année précédente.

La famille Traoré, ce ne sont pas des enfants de cœur ! Jugez plutôt : Yacoubi Traoré, 3 ans ferme pour incendie d’un autobus. Samba Traoré, 4 ans ferme pour violence avec arme. Serene Traoré, 4 mois ferme pour outrage. Bagui Traoré, 30 mois ferme pour extorsion de fonds sur femmes vulnérables. Youssouf Traoré, 6 mois ferme pour trafic de drogue, sans oublier que 3 des frères d’Adama ont été arrêtés pour violence en réunion après avoir roué de coup un ancien codétenu d’Adama, qui avait porté plainte contre lui pour viol. Comme vous pouvez le constater, nous avons affaire à des professionnels de la délinquance !

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jeudi, 04 juin 2020

L’EXPROPRIATION DES FERMIERS BLANCS CAUSERA LA RUINE DE L’AGRICULTURE SUD-AFRICAINE !

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

C’est un sujet récurrent qui prend de plus en plus de consistance. Sous prétexte de réparer un préjudice, le gouvernement de Pretoria, - pardon, désormais il faut dire Tswané ! -, envisage sérieusement d’exproprier sans indemnités les fermiers blancs, principalement afrikaners, qui nourrissent le pays et lui apportent des devises grâce aux exportations. Sans que cela ne provoque la moindre indignation au plan international, si ce n’est l’Australie par la voix de son Premier ministre, et les Etats-Unis par celle du Président Trump.

Le plus consternant est que le contre-exemple spectaculaire du Zimbabwe ne semble pas avoir servi de leçon. On assiste là, dans cette affaire, à une vraie séquence à caractère racial, discriminante, qui ne vise que les fermiers blancs. Ces derniers, qui assurent l’essentiel de la production agricole et qui exportent les surplus de leurs productions, déjà menacés par la sécheresse et souvent victimes d’assassinats ciblés dans des conditions d’une barbarie inimaginable, vont devoir, peut-être, rendre leur tablier.

On dénombre en vingt ans plus de 1 700 assassinats, ce qui est énorme à l’échelle de cette frange marginale de la population. Il est plus risqué d’être un fermier blanc au Transvaal, au Limpopo ou dans la province de « l’État libre d’Orange », que de traverser le périphérique les yeux bandés, à une heure de pointe !

À croire que l’exemple de l’ex-Rhodésie ne sert à rien aux yeux du président sud-africain, Cyril Ramaphosa. Ce dernier, pour complaire à l’aile gauche de son parti l’ANC, et aux extrémistes de Julius Malema, l’excité raciste, chef de l’Economic freedom fighters (EFF), veut les exproprier sans indemnisation. Les mêmes causes produiront les mêmes effets. Le Zimbabwe, jadis prospère grâce à ses fermiers blancs, les « Rhodies », connait la famine  et ne survit que grâce au plan alimentaire mondial des Nations Unies, le PAM. Payé par qui ? Devinez…

L’idéologie tue l’économie

C’est comme au Venezuela, l’idéologie tue l’économie. Voici les chiffres, éloquents, de l’ex-prospère Rhodésie : pour le maïs, en vingt ans, la production s’est effondrée, passant de 2 148 000 tonnes à 777 000, idem pour le blé de 324 000 à 90 000 tonnes, pareil pour le soja de 79 000 à 29 000 tonnes, et le coton 90 000 tonnes de moins ! Cherchez l’erreur.

En 1980, au moment de la passation de témoin entre la minorité blanche et la majorité noire emmenée par cet incapable de Robert Mugabe, - encore que, déjà, deux ans auparavant Ian Smith s’était retiré au profit de l’évêque Abel Muzorewa, un noir modéré -, il y avait plus ou moins 180 000 Blancs. On en compte aujourd’hui moins de 30 000, dont beaucoup de retraités n’ayant plus aucune famille pour les accueillir.

Les fermiers qui étaient 6 000, sont réduits à la portion congrue. Demain, en RSA, avec le Black économic empowerment, la discrimination dite positive, en fait raciale, qui favorise les noirs par rapport aux autres couches de la population sud-africaine, métis compris, les fermes seront remises à des exploitants noirs qui n’ont pas forcément les compétences techniques pour exploiter des domaines agricoles. Et tout ça au nom d’une hypothétique spoliation historique, dont les Européens se seraient rendus coupables.

Or, la plupart des terres défrichées par les colons venus de Hollande ou de France au XVIIe siècle, lesquels remontèrent vers le nord pendant les deux siècles suivants, n’appartenaient à personne. Les grandes migrations bantoues commençaient à peine. C’est le même schéma qu’en Algérie, où les Pieds-noirs ont assaini la plaine de la Mitidja, et qui n’avaient plus, en 1962, que leurs yeux pour pleurer.

L’association Afriforum qui défend la culture afrikaner, comme le syndicat solidarity, ont déposé une plainte auprès de la Haute Cour de la province du Gauteng, la plus riche du pays, l’ancien « Witwatersrand », au cœur de l’Afrique du Sud. Il reste encore une petite chance, bien mince lueur d’espoir, d’échapper à ce drame. C’est, d’une part les recours en justice que ne manqueront pas de faire, eux aussi, les syndicats d’exploitants, et l’éventuelle modification ou non de la constitution qui garantit « noir sur blanc », si l’on peut dire, la propriété privée. Et si cela devenait possible d’exproprier les fermes, de spolier leurs propriétaires, ne le serait-ce pas, également, dans les secteurs miniers et industriels ? Et là, le pouvoir noir pourrait se heurter à des groupes internationaux puissants, gros pourvoyeurs d’investissements et d’emplois dans les mines et les usines d’automobiles, notamment.

Un chômage qui risque de s’aggraver

Et l’Afrique du Sud, avec un taux de chômage très élevé, touchant noirs et blancs, encore plus les premiers que les seconds, a besoin d’investissements. Complètement à côté de la plaque, le Ramaphosa, qui fut pourtant lui-même un homme d’affaire avisé, profitant de la transition post-apartheid pour s’enrichir. Il déclarait récemment en visite dans le Kwazulu-Natal, qui fut le fief du chef Buthelezi et de son parti l’Inkhata, électoralement en chute libre : « L’épidémie (du corona) nous donne une chance de redistribuer des biens à une élite noire ».

Cette élite, qui compte plus ou moins de trois à quatre millions de petits notables embourgeoisés depuis la fin de l’apartheid, - les obligés de l’Etat-parti ANC, les fameux « black-bling-bling » -, des profiteurs qui roulent en BMW ou Mercédès, et dont les femmes sont couvertes de bijoux rutilants de la tête aux pieds, cette pseudo « élite » est incapable, oui incapable, comme ses alter-égo zimbabwéens, de faire fonctionner des entreprises agricoles. Si le pays marche encore, - pas tout à fait, tout de même avec l’incurie d’Eskom, la compagnie publique d’électricité -, il le doit aux ingénieurs, aux cadres blancs qui ne sont pas encore partis, comme 20 000 des leurs en Australie, notamment du côté de Perth. Ou qui n’ont pas encore répondu positivement aux offres foncières alléchantes de Vladimir Poutine, ou à celles du Mozambique voisin, eh oui, qui offre des terres pour 99 ans aux fermiers afrikaners qui voudraient bien transmettre leur savoir-faire aux agriculteurs africains.

Alors, de grâce Ramaphosa, pensez à votre peuple, pensez à l’avenir de TOUS  ses enfants, regardez autour de vous. En expulsant les agriculteurs afrikaners, vous tueriez la poule aux œufs d’or.

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Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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Suppression du défilé du 14 juillet: un signal fort contre la France française.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
En décidant d'annuler cette année le défilé militaire du 14 juillet "pour raisons sanitaires" alors même que restaurants, bars, cinémas, parcs d'attractions, plages etc. seront ouverts et feront le plein — et c'est tant mieux — Emmanuel Macron vient de souligner au trait rouge le profond mépris dans lequel il tient nos armées.
 
Cette mesure arbitraire préfigure sans doute le sort réservé à notre effort de défense dans les mois à venir. Considérée depuis longtemps comme une variable d'ajustement budgétaire, l'Armée sera, à n'en pas douter, la victime expiatoire de la gestion aberrante, nationalement destructrice, économiquement ruineuse et socialement ravageuse, de la crise du coronavirus par le pouvoir français.
 
Alors que l'épidémie dont tout indique qu'elle a été largement surestimée dans sa nature et dans ses effets par les pouvoirs publics, recule, rien ne justifie cette interdiction.
 
Dernier symbole de notre grandeur, outil nécessaire de notre indépendance et de notre sécurité, corps de la Nation et âme de ses traditions, l'armée française est aussi, dans le contexte de rupture que tentent aujourd'hui d'imposer organisations gauchistes, militants communautaristes et associations racialistes, indigènistes et immigrationnistes, le dernier rempart contre les émeutes qui approchent et le chaos qui vient.
 
C'est sans doute pour cela que tant de forces sombres se liguent pour l'affaiblir. Macron vient de leur adresser un signal fort du recul supplémentaire de l'Etat et du triomphe post national de la société arc-en-ciel et cosmopolite.
 
Gageons que les Champs Elysées seront pourtant noirs de monde le 13 juillet. Comme chaque année la racaille sera au rendez vous.

17:26 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 03 juin 2020

Non pas « guerres civiles », mais guerres de races et de religions

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Bernard Plouvier

Il va falloir que les délicieux Babas cool made in USA et les mollassons européens apprennent la sémantique, en dépit des bonnes manières de penser qu’on leur a inculquées par le formatage cérébral des quarante dernières années.

Non seulement tout le monde n’est ni beau ni gentil, mais encore nos pays occidentaux se sont laissés peupler, en toute illégalité, d’éléments strictement inassimilables, venus non pour travailler, mais pour conquérir nos terres et nos biens.

En tout illégalité, car aucune nation, pourtant seule souveraine de chaque État occidental, n’a été consultée sur le bien-fondé d’une immigration massive en provenance d’autres continents, singulièrement d’Afrique et du Moyen-Orient.

Il paraîtrait que nous devrions faire acte de repentance pour avoir colonisé des peuplades aux coutumes autres que les nôtres en d’autres continents. C’est exact : une repentance est nécessaire. Mais elle doit être dirigée vers les contribuables des pays européens que l’on a fait payer lourdement – et là encore, sans solliciter leur avis – pour tenter d'améliorer les conditions de vie à des êtres qui somnolaient dans la paresse et la crasse mentale médiévales.

Si l’Afrique, continent de guerres intertribales permanentes et de mortalité infantile monstrueuse, continent de l’analphabétisme et de la plus sordide misère, est devenue un boulet démographique pour la planète, c’est exclusivement parce que le (très stupide) colonisateur blanc y apporta l’hygiène et la médecine moderne, qui permirent de la faire passer du statut de continent le moins peuplé à celui de continent surpeuplé.

Seuls quelques négociants se sont enrichis par la colonisation, sûrement pas les nations colonisatrices qui, pour les matières premières issues des pays colonisés, ont payé un prix infiniment supérieur à celui du simple commerce. Ni ceux qui, pour des raisons diverses, se sont installés pour vivre et travailler en ces lieux. Le surcoût fut celui de la modernisation de l’Asie, de l’Océanie, de l’Afrique. Il serait bon d’écrire l’histoire telle qu’elle s’est passée et non à la mode tiers-mondiste, raciste (noire, moyen-orientale ou asiatique) ou misérabiliste – à la sauce marxiste ou anarchiste.

Après les Trois Amériques, qui forment non pas le continent du melting pot, mais celui du pot-pourri interracial, l’Europe occidentale et scandinave s’est laissée imposer une mixité raciale, également illégale... car là encore, nul n’a demandé leur avis aux opinions publiques européennes.

Et depuis la fin des années 1970, l’Europe non marxiste a goûté aux joies des émeutes raciales, d’abord en Grande-Bretagne, ensuite à compter des années 1980 en France et dans presque tous les pays. L’on a importé le racisme anti-Blancs, longtemps nié par les media aux ordres du pouvoir économique – qui ordonnait l’importation massive de consommateurs extra-européens -, mais devenu tellement évident que même les plus ringards de nos journaleux et politiciens BCBG se sentent obligés d’en murmurer la réalité.

Où voit-on des émeutes de Blancs en Europe ou en Amérique du Nord ? Il y a bien eu la fronde du menu peuple de France – l’affaire des Gilets Jaunes, déclenchée par un ras-le-bol fiscal -, vite écrasée par la brutalité policière qui restera la marque – la « griffe » - de Grand Président Macron, l’homme qui panique plus vite que son ombre.

En revanche, chaque année nous offre plusieurs émeutes dans les « quartiers sensibles » - euphémisme délicat pour qualifier les quartiers ethniquement extra-européens. Curieusement, c’est presque toujours après la mort d’un criminel ou d’un délinquant issu de l’immigration, lors d’une arrestation ou d’une course-poursuite entre policiers et immigrés, que surviennent ces émeutes raciales... et personne n’ose rappeler que, dans un État de droit, l’on est obligé de se soumettre à la sommation d’un agent des forces de l’ordre.

Le simple bon sens oblige à constater que ces émeutes sont une injure à la Loi, une tentative – à chaque fois réussie – d’humilier les institutions... dans l’attente du grand jour, où les immigrés seront assez nombreux et suffisamment armés pour usurper le pouvoir. Car si, par le simple effet de leur puissance reproductrice, les immigrés africains sont certains de dominer notre pays et d’autres pays d’Europe occidentale de façon démocratique - par la loi du nombre – au maximum dans un demi-siècle, divers rejetons de cette immigration sont impatients !

Ils sont aidés dans leur noble tâche insurrectionnelle par des Blancs de la mouvance la plus antidémocratique qui soit : les anarchistes et les marxistes qui ont redonné vie au slogan « Antifa »... Les joyeux lurons du désordre & de la chienlit, bourrés d’alcool et de stupéfiants, reprennent en chœur les slogans les plus éculés et les plus stupides : c’est moins fatiguant que de travailler pour nourrir sa famille.   

De la même façon, où a-t-on vu en France un attentat meurtrier commis par des Blancs contre de pauvres noirs, maghrébins ou asiatiques ?

Les attentats – les vrais, ceux qui tuent de façon massive et ne se contentent pas de tags débiles ou de remuement de tombes -, chacun sait qu’ils sont l’œuvre des fous d’allah, subventionnés par le pétrodollar et la vente de haschich. La simple honnêteté exige de rappeler ce fait.

Ce qui se passe aux USA peut laisser indifférents les Européens, dont le devoir essentiel est de réaliser l’union des nations européennes, qui sera toujours combattue par les gouvernants des USA. Mais ce qui se passe en Europe doit nous interpeler au plus haut point : c’est l’avenir de nos descendants qui est en cause.

15:32 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Cette guerre raciale qui vient

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Par Benoît Busonier

Le point commun entre le commissaire de police, le gouverneur et le maire de Minneapolis ? Ils sont tous de gauche. Aux Etats-Unis, on dit démocrates. Autrement dit, ils sont théoriquement sensibles à la cause dite des « minorités ». Or, c’est leur ville qui brûle. Peut-être est-ce parce que leur logiciel mental, consistant en une culture de l’excuse et de la repentance, a enfanté un monstre de haine qu’il sera très difficile de calmer.

Pourtant les chiffres sont éloquents. 2 % des victimes noires sont tuées par des Blancs. 1 % des Noirs sont tués par la police. 97 % des Noirs sont tués par des Noirs. Pour mettre ces chiffres en perspective, 81 % des victimes blanches ont été tuées par des Noirs, 3 % par la police, et 16 % par des Blancs. Les Noirs, soit environ 12 % de la population aux Etats-Unis, représentent jusqu’à 40 % de la population carcérale.

Nul besoin d’avoir une carrière d’analyste politique ou un cursus universitaire pointu pour trouver la vérité qui se cache derrière ces données : la population noire est extrêmement violente et criminogène, et est responsable en grande partie des malheurs qui l’accablent. Logements, emploi, les discriminations à leur encontre sont factuellement une réalité aux Etats-Unis. Mais qui a envie d’employer le membre d’une communauté incapable de s’autodiscipliner à ce point ?

La preuve en est que, lors des émeutes en cours, déclenchées par la mort de Georges Floyd, un homme qui n’a pas mérité de mourir ainsi mais qui avait tout de même un casier judiciaire long comme le bras, les Noirs se sont attaqués à des commerces. Autrement dit, pour protester contre le préjugé qu’ils seraient des voleurs, ils pillent. Pour protester contre le préjugé qu’ils seraient violents, ils lynchent. Pour protester contre le préjugé qu’ils seraient indolents, ils cassent des petites boutiques de commerçants qui travaillent dur. On aurait préféré que pour protester contre le préjugé qu’ils sont bêtes, ils passent des doctorats.

Mais comment leur en vouloir après tout ? Il se trouve un personnel politique pour excuser toutes leurs actions, les justifier, et même participer aux manifestations, voire les organiser. Mais si ce savoir-faire en guérilla urbaine des antifas est, un temps, efficace contre les forces de l’ordre, il risque de se retourner contre eux rapidement. Les Américains, dont la culture de la manifestation n’est pas aussi poussée que la nôtre, ne disposent pas d’un savoir-faire aussi sérieux que le nôtre en matière de maintien de l’ordre. Assez rapidement, ce sera l’aréme qui sera envoyée contenir la foule et les désordres. Or, toute armée est entraînée pour tuer. Le risque d’autres morts augmentera jusqu’à être une certitude lorsque.  Des militaires seront déployés. Et avec ce risque, celui d’un embrasement généralisé. Et la possibilité que l’Amérique profonde et plus rurale, celle de la « Rust Belt » mais également l’Amérique des gangs latinos commencent à se mêler de remettre l’ordre.

En France, un personnel politique dit « indigéniste » travaille à importer ce conflit propre aux Etats-Unis sur le sol français : Rokhaya Diallo, Maboula Soumahoro, Taha Bouafs, ils attisent le feu social pour déclencher la guerre raciale de leurs vœux, pour enfin faire la peau aux Blancs qu’ils détestent. Les cités, frémissantes pendant le confinement, n’attendent qu’une bavure. Et le match sera lancé.  

Source : Présent 3/06/2020

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mardi, 02 juin 2020

De Georges Floyd à Adama Traoré, même manipulation, même instrumentalisation, mêmes émeutes.

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L'avis de Jean-François Touzé

Malgré l'interdiction de la préfecture de police, plusieurs milliers de personnes ont manifesté à Paris ce mardi pour réclamer "la vérité" sur les conditions de la mort en 2016 d'Adama Traoré, d'origine malienne, quelques heures après une tentative de fuite lors de son interpellation à Beaumont-sur-Oise (95) aux côtés de son frère dans le cadre d'une affaire d'extorsion avec violence. En cause un soi-disant placage ventral opéré par la gendarmerie tout comme celui qui à Minneapolis aurait entraîné la mort de Georges Floyd. Rappelons qu'une nouvelle expertise médicale vient de disculper totalement les forces de l'ordre de toute responsabilité
 
Les organisations gauchistes et les professionnels de l'antiracisme n'ont certes pas attendu les émeutes américaines suite à l'affaire Georges Floyd pour instrumentaliser la mort de Traoré et en faire un élément-levier de leur stratégie de tension. Mais dans le contexte actuel, la manifestation de ce mardi, relayée par un autre rassemblement à Lilles, prend une signification particulière.
 
En laissant ces manifestations interdites se dérouler avec pour objectif avoué de tenter de "préserver la paix civile", les préfets concernés envoient un signal fort à ceux qui rêvent d'importer en France la situation insurrectionnelle que connaissent les villes américaine. 
 
Toute faiblesse initiale est un encouragement. Les actions de guérilla urbaine menées par la racaille incendiaire et destructrice survenues en fin de manifestation le prouvent amplement. L'effet de contagion USA/France que nous redoutions et savions inévitable a commencé.
 
Dans un État digne de ce nom, 500, 1 500 ou 15 000 participants à une manifestation interdite, ce doit être 500 personnes, 1 500 ou 15 000, mises en garde-à-vue puis déférées. 

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Émeutes USA : Zemmour pulvérise les mensonges de la propagande

Jacques Guillemain Riposte laïque cliquez ici

Dans l’émission « Face à l’info », lors du débat sur les violences raciales et policières aux États-Unis, Éric Zemmour remet les pendules à l’heure avec sa logique imparable et son bon sens habituel.

Soulignons d’abord la maîtrise avec laquelle la sublime Christine Kelly anime cette émission. Intelligence de ses interventions, douceur de la voix, délicatesse pour manifester son désaccord, il est clair que cette animatrice devrait être la référence absolue du journalisme audio-visuel en France.

Elle enterre bien des journalistes qui se comportent davantage en chiens de garde de la Macronie, plus ou moins agressifs, qu’en professionnels d’une information impartiale et objective. Elle redore le blason d’une profession ravagée par la dictature du politiquement correct.

Cette parenthèse étant faite, revenons à Éric Zemmour, éternel gladiateur ferraillant chaque jour dans l’arène, pour la défense de l’identité française

Face à l’émotion qui envahit la planète et fausse le débat, Zemmour se veut le plus rationnel possible.

Il nous rappelle avant tout que George Floyd n’est pas un perdreau de l’année et que c’est un toxicomane qui a fait cinq années de prison. Ce à quoi Christine Kelly lui rappelle gentiment que le policier auteur de la bavure n’est pas non plus un saint, puisqu’il a fait l’objet de 18 plaintes en 19 ans de service !

George Floyd est mort des suites de son interpellation musclée, certes, mais il souffrait de problèmes cardiaques et se droguait, fragilisant ainsi son état de santé.

Zemmour en vient aux statistiques ethniques, tout à fait légales aux États-Unis. En France, la pensée dominante est que les policiers blancs tuent  les Noirs, ce qui est  totalement faux.

97 % des victimes noires sont tuées par des Noirs et 1 % sont tuées par des policiers.

Les Noirs disent avoir peur des policiers blancs alors qu’ils sont de très loin victimes des attaques de leurs congénères.

Les Noirs représentent 14 % de la population totale mais 40 % des détenus. Assez de ce comportement émotionnel accusant systématiquement les Blancs !

Zemmour développe ensuite le contexte historique et racialiste qui domine aux  États-Unis.

Depuis la période de l’esclavage, toutes les lois d’émancipation en faveur des Noirs, jusqu’à l’élection d’Obama, n’ont guère changé les mentalités et n’ont pas réduit la fracture raciale toujours béante.

99 % des Noirs ont voté Obama, ce qui est bien un vote racial et non un choix politique.

En 2050, les Blancs seront en minorité, une hantise pour les classes populaires blanches, qui refusent le déclassement  économique et la domination par les minorités qu’ils ont accueillies.

En ce sens, Trump est l’incarnation de cette Amérique profonde blanche, qui réclame protection. Un abîme sépare cet électorat populaire des élites de la côte Est.

Ce qui se passe en Amérique est dramatique, tant  le jeu politique s’est racialisé. La « guerre » politique est devenue une guerre des races.

80 % des Noirs et des Latinos votent démocrate.

80 % des Blancs votent républicain.

Si les Noirs se sentent exclus, ce n’est pas à cause du regard méchant du Blanc, mais  parce qu’ils se sont exclus eux-mêmes. La preuve ? Les Asiatiques caracolent en tête des classements scolaires et ne se sentent pas rejetés.

D’ailleurs, Obama avait parfaitement intégré les codes de la classe bourgeoise blanche.

La véritable assimilation, c’est l’acceptation du « vivre-ensemble », ce qui n’est pas le cas dans la société américaine. Et en France, on observe le même refus de s’assimiler, de plus en plus flagrant.

Sur les violences policières, Zemmour parle franc.

Si le policier américain a le coup de feu facile, en France le policier est avant tout victime de guets-apens. Il n’y a pas de violences policières en France comme aux États-Unis.

En Amérique, les policiers tuent 1 000 personnes par an et comptent 50 morts dans leurs rangs.

En France, policiers et gendarmes tuent 20 personnes par an et comptent 15 tués en mission.

Il y a donc chez nous presque autant de policiers morts en mission que de délinquants tués. Mais pour les médias, passer en boucle une bavure policière est plus porteur que commenter la mort d’un policier en mission.

Proportionnellement, les policiers français font dix fois moins de victimes que les policiers américains. Il faut donc cesser de délirer et de monter en épingle une violence policière qui n’existe pas.

Quand Camélia Jordana dit que les jeunes de banlieue se font massacrer pour leur couleur de peau, elle ment. Elle a surtout besoin de faire parler d’elle et sait très bien que le sujet de la victimisation des minorités est porteur.

En Afrique ou au Maghreb, aucun jeune ne se permettrait le centième des agressions contre les forces de l’ordre qu’on voit quotidiennement en France.

La violence policière est marginale, mais tout incident est savamment instrumentalisé par l’extrême-gauche française, pour dresser les communautés les unes contre les autres.

L’affaire Adama Traoré, mort à la suite de son interpellation, en est la parfaite illustration. Pourtant, trois expertises médicales innocentent les gendarmes.

Mais si les violences policières sont l’exception en France, les tensions raciales sont de plus en plus présentes, au point que nos policiers limitent au maximum les incursions dans les cités pour éviter les émeutes.

La situation aux États-Unis et en France n’est pas comparable, car ces deux pays n’ont pas la même Histoire. La France n’a jamais eu d’esclaves sur son sol. Elle en a eu dans ses colonies, mais pas en métropole.

Il y a un modèle français d’assimilation où la race ne compte pas, mais ce modèle qui a fait merveille au fil des siècles ne fonctionne plus avec les minorités extra-européennes.

Dans les années soixante, il n’y avait aucun problème. Mais aujourd’hui, ce sont les militants antiracistes et décoloniaux qui  racialisent le débat, en important l’imaginaire noir américain dans nos banlieues.

Le combat de la mouvance d’extrême gauche, c’est celui du séparatisme, à 180° de l’assimilation.

Séparatisme des décoloniaux entre Blancs et Noirs.

Séparatisme des islamistes entre musulmans et infidèles.

Séparatisme des féministes entre hommes et femmes.

Il s’agit de victimiser les minorités pour mieux opposer les communautés. L’assimilation est devenue synonyme de néocolonialisme.

Le modèle culturel français, ouvert à tous, est violemment rejeté par les mêmes qui se disent ensuite discriminés. Chez de plus en plus d’immigrés, manipulés par des  militants qui propagent la haine antifrançaise, il n’y a aucune volonté de s’intégrer.

Et bien entendu, la gauche fait porter le chapeau au Blanc, éternel coupable.

Noirs et Arabes qui se disent discriminés s’enferment eux-mêmes dans leurs cités. Mais ce n’est pas avec des ateliers interdits aux Blancs qu’ils vont réussir leur intégration !

Et les immigrés qui veulent s’en sortir sont malheureusement les victimes de cette extrême-gauche antirépublicaine.

Le risque de contagion existe-t-il ? Le chaos racial des États-Unis  peut-il gagner la France ?

Zemmour n’est pas devin.

Mais il conclut en soulignant que l’extrême-gauche fait tout pour importer la guerre raciale, afin de montrer que la France est raciste.

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Continuez à regarder chaque soir le Journal de TV Libertés

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Chers lecteurs,

Durant toute la période de confinement, et celle du déconfinement, que nous venons de subir, nous vous avons proposé chaque soir sur le site Synthèse nationale le journal télévisé de TV Libertés. Les choses revenant, petit à petit, dans l'ordre, nous interrompons cette publication à partir d'aujourd'hui.

Cependant, nous vous invitons à continuer à regarder ce journal, ainsi que l'ensemble des programmes proposés par TVL en cliquant ici.

Remercions Elise, Martial, Olivier et toute l'équipe de TVL qui ont, malgré toutes les difficultés que cela a dû représenter, maintenu les émissions techniquement et humainement réalisables pendant ces moments pénibles.

Quant à notre émission "Synthèse", interrompue depuis la mi-mars, elle reprendra, espérons-le, le plus rapidement possible. Nous vous tiendrons informés...

En attendant, Chers lecteurs, continuez à soutenir Synthèse nationale. Plus que jamais, nous avons besoin de votre aide en cliquant là

S.N.

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La fac, pour quoi faire ?

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Georges Feltin-Tracol

Dans la décennie 1980, la chaîne de télévision publique Antenne 2 battait des records d’audience chaque dimanche en fin d’après-midi avec « L’École des Fans ». Jacques Martin y accueillait une vedette du moment qui assistait à l’interprétation de ses chansons par des enfants. Une fois la prestation terminée, les autres petits participants décernaient une note dont la moyenne indiquait un superbe 10 sur 10. Tout le monde l’emportait finalement et repartait avec des cadeaux et de beaux souvenirs télévisuels.

Jacques Martin était un visionnaire. Trente ans plus tard, son système de notation bon enfant et fantaisiste s’applique dans certaines universités de l’Hexagone. Le 20 mai dernier, le tribunal administratif de Paris rejette la requête de treize enseignants de Paris I – Panthéon – La Sorbonne contre la « neutralisation des notes ». Ils n’admettent pas l’annulation pour cause de covid-19 des notes inférieures à 10 sur 20 obtenus par les étudiants au cours du second semestre bien confiné.

Le tribunal se justifie en avançant que « seuls 73 % des étudiants disposent d’un équipement informatique personnel et que 40 % ne s’estiment pas en mesure de subir des épreuves à distance en un temps réduit ». Les partiels proposés de manière numérique et virtuelle ne paraissent plus être la panacée pédagogique si espérée…

Les enseignants mécontents se pourvoient devant le Conseil d’État. En attendant, la CGT, le Snesup-FSU et l’AGE – UNEF se félicitent de la décision. Ils exigeaient déjà pendant la protestation contre l’infâme réforme des retraites de l’hiver 2019 – 2020 que les correcteurs mettent d’office 10 sur 20 à l’ensemble des étudiants, en particulier ceux qui privilégiaient les manifestations aux amphithéâtres.

Les syndicats d’extrême gauche qui ne recueillent qu’une poignée de voix en raison d’une abstention massive et habituelle, continuent à terroriser des universités. Quelques-uns de leurs adhérents, pas ceux qui à 30 ou à 35 ans animent à plein temps ces coquilles presque vides, militent aux frais de la princesse. Mais ils ne peuvent pas toujours avoir le beurre et l’argent du beurre. Le 8 novembre 2019, un certain Anas K., étudiant de 22 ans en 2e année de licence en sciences politiques à Lyon II, s’immole devant un bâtiment du CROUS de la Capitale des Gaules. Dans la lettre ouverte accompagnant son geste qui le plonge dans un coma profond, il entend dénoncer la précarité étudiante. Or, après quatre années d’études, le dénommé Anas triplait sa 2e année ! Ce proche du cloaque antifa était par ailleurs secrétaire fédéral de Solidaires Étudiant-e-s. Il n’arrivait pas à mener de front (international ?) des heures de cours harassantes et un militantisme bien-pensant. Comme il aurait aimé concilier les deux grâce à de généreuses bourses universitaires…

La neutralisation des notes et l’impunité flagrante qui bénéficie aux gauchistes confirment le naufrage de l’université et du système scolaire français. Contrôle continu, notation par compétences et bienveillance forcée s’étendent maintenant de la 6e à la Terminale. Cette déchéance amplifie la faillite du savoir intellectuel. Emmanuel Todd l’évoque dans Les luttes de classes en France au XXIe siècle(Le Seuil, 2020, 376 p.). Prenant acte de l’accès démocratisé à l’université, il observe toutefois « le déplacement social de l’intelligence » : les nouveaux bacheliers lisent, écrivent et comptent bien moins que leurs aînés. Todd aurait pu mentionner que de nombreux bacheliers des séries générales (littéraire, économique et scientifique) choisissent des filières courtes en IUT. En revanche, les titulaires de bac en série technologique, voire professionnelle, s’inscrivent en droit, en économie, en médecine, en psychologie, en sociologie, en « sciences de l’éducation » ou en sciences politiques sans en avoir acquis au préalable les méthodes de travail.

À ce déclin universitaire qui fait des facultés des antres d’enseignement « inférieur » s’ajoutent enfin des initiatives loufoques telles que l’emploi obligatoire de l’écriture inclusive, l’écoute attentive de déclarations de guerre contre l’« hétéropatriarcat blanc colonisateur » et l’approbation publique de professions de foi non-genrées, décoloniales et racisées. Les diplômes universitaires ne sanctionnent plus l’acquisition ordonnée de connaissances; ce ne sont plus que des hochets capables d’attirer vers le Système ses prochains larbins ou d’autres corrupteurs. Une pratique se généralise en effet dans diverses universités : des étudiants étrangers, souvent venus de Chine, apportent aux professeurs des matières les plus importantes des mallettes remplies de billets afin qu’ils exercent une très grande indulgence quand ils corrigeront les copies.

Les milieux populaires se détournent d’instinct de ces « abattoirs du savoir ». Ils maintiennent en revanche au contact du quotidien une expérience non négligeable. Les facultés sont devenues des foyers de sida mental où prédomine un inacceptable politiquement correct. Il revient aux jeunes générations de ne plus envisager la voie universitaire, mais d’accepter auprès des artisans, des ouvriers et des paysans un apprentissage professionnel immédiat bien plus formateur.

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°174.

11:18 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Émeutes américaines : bientôt l'extension du domaine de la lutte raciale vers la France.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Des quartiers entiers des grandes villes américaines à feu et a sang, des organisations gauchistes et altermondialistes en encadrement... Un vent brûlant souffle sur les États-Unis, entre émeutes raciales et insurrection politique.
 
En ces temps d'épidémies, soyons certains que ni le port du masque, ni la distanciation sociale, ni le gel hydro-alcoolique n'empêcheront la contagion prochaine des émeutes américaines vers ces cités qui furent françaises où les racailles et les "antifas" voudront égaler les exploits de leurs semblables d'outre-Atlantique.
 
Déjà ce lundi de Pentecôte, un certain nombre de manifestations en hommage à Georges Floyd, désormais mondialement célèbre depuis sa mort un peu vite et bien abusivement attribuée à une bavure policière. Encadrées par des organisations gauchistes comme l'était quelques jours auparavant le cortège rassemblant un millier d'immigrés clandestins foulant au pied les dernières règles de confinement et bravant l'interdiction des pouvoirs publics qui ont laissé faire sans qu'il soit question pour les forces de l'ordre d'utiliser les moyens habituellement mis en oeuvre pour contrer gilets jaunes, pompiers, infirmières ou mouvements nationaux, ces rassemblements étaient bien davantage des marques de soutien aux émeutiers américains que de compassion pour la victime cocaïnomane.
 
Déjà, les éternels "indignés" du monde du spectacle, de la littérature et du sport témoignent de leur compréhension active à l'égard des émeutiers US dans un élan de "générosité" combattante à sens unique qui n'est pas sans rappeler les scandaleuses déclarations de la chanteuse d'origine algérienne et néanmoins bourgeoise Camélia Jordana accusant sur France 2 les policiers de massacrer les populations des cités.
 
La technique est connue. Communistes et gauchistes la pratiquent depuis des décennies. S'emparer d'un sujet de société réel ou fictif, multiplier intox et mensonges,  exploiter le tout jusqu'à l'écoeurement pour affaiblir les esprits et détruire les résistances par sidération. 
 
La France officielle — et, malheureusement, par facilité, lavage de cerveau et simple capilarité sociale, une frange de plus en plus importante de la France elle même — s'est depuis longtemps convertie au multiculturalisme et au communautarisme sur le modèle américain. Moins un certain patriotisme étoilé et sans la poigne de Donald Trump qui, en exaltant "la loi et l'ordre" ("Law and Order", slogan de Richard Nixon lors de sa campagne de 1968, quand les campus s'enflammaient contre la guerre du Vietnam), en invitant les gouverneurs à organiser une répression sans faiblesse et en estimant nécessaire d'inscrire les antifas au rang d'organisation terroriste tient, au moins verbalement, le bon cap. Mais pour combien de temps ?
 
Laissons les américains à leurs contradictions et à leur destin qui est loin d'ėtre nécessairement le nôtre. Soit les blancs qui dans quelques années seront minoritaires savent prendre les mesures qui s'imposent, soit les États Unis sombreront corps et bien. Nous accueillerons alors les choses comme elles se présenteront avec le réalisme géopolitique qui fut longtemps un des fondamentaux de notre existence nationale.
 
Notre devoir, en revanche, est de prendre en compte avec lucidité la réalité de la nouvelle offensive lancée contre la France considérée comme maillon faible de l'Europe. Il existe bien, en effet, une volonté d'importation de la guerre raciale telle que la connaissent depuis toujours les américains. Les "tensions"permanentes que connaissent les cités, véritable poudrière sur laquelle sommeille la France, le noyautage gauchiste, l'action des associations antiracistes et communautaristes, l'endoctrinement patient des groupes islamistes seront les éléments-clés de l'extension à la France du domaine de cette lutte venue d'ailleurs.
 
Ce qui nous reste d'Etat, nous le savons, ne saura, ne pourra, ne voudra pas réagir.
 
Nous ne cessons de le répéter. La course contre la montre est engagée... Ou l'État National ou la fin de l'aventure France.

01:06 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

MANIFESTATION DU 30 MAI : LES REGLES SANITAIRES NE S'APPLIQUENT PAS AUX CLANDESTINS ?

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Un communiqué du MNR

Le samedi 30 mai 2020, une manifestation de clandestins a rassemblé plusieurs milliers de personnes réclamant des papiers pour tous, au mépris des règles sanitaires interdisant les rassemblements de plus de dix personnes.

La manifestation avait été interdite par la préfecture de police de Paris, mais elle s'est tout de même tenue, de la Madeleine à la place de la République et aussi dans d'autres villes. 195 organisations – associations, syndicats, collectifs de sans-papiers  avaient maintenu leur appel ; il y avait même un député (ex-LREM), ce qui est un comble !

92 interpellations seulement ont été effectuées, ce qui illustre la faiblesse de nos autorités à l'égard des étrangers hors-la-loi Les milliers de citoyens qui se sont efforcés d'appliquer les règles sanitaires, ou qui ont été verbalisés, apprécieront...

Une fois de plus, nos autorités montrent qu'elles ne savent être fermes qu'envers les gens honnêtes. Quand se décideront-elles à maintenir l'ordre face aux actions de déstabilisation de l'État ?

00:58 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |