mercredi, 15 février 2023
Benjamin Blanchard : SOS Chrétiens d’Orient, au cœur de l’horreur en Syrie
SOS Chrétiens d’Orient est un acteur humanitaire et social de tout premier plan en Syrie où il travaille depuis plus de 10 ans avec des équipes implantées dans plusieurs grandes villes comme Damas ou Alep. Benjamin Blanchard, directeur général de SOS Chrétiens d’Orient, fait un point précis sur la situation dramatique vécue par le peuple syrien frappé par un tremblement de terre qui vient s’ajouter à douze années de guerre et à un embargo américain et européen proprement insoutenable. Le tremblement de terre a touché, de manière inhumaine, une population où le système de santé est exsangue, où le manque de médicaments est total et où 90 % des habitants du pays vivent en dessous du seuil de pauvreté.
Profitant de son implantation, de ses volontaires, de ses contacts et de sa logistique, l’association humanitaire, dirigée sur place par Wael Kassouha et Jean-Rémi Ménaud, a mobilisé tous ses moyens pour distribuer vivres et produits de première nécessité aux habitants notamment d’Alep. Une aide indispensable. Dans cet entretien accordé à TVL, Benjamin Blanchard se félicite de la levée des sanctions américaines (pendant 180 jours) mais demande à l’UE et plus encore à la France d'en faire de même, et cela, de manière urgente. Un appel au président Macron pour l’instant sans réponse.
20:30 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Charles Gave : Twitter Files - "Il y a eu une kabbale dirigée par le parti démocrate !"
Avec Charles Gave, Président de l’institut des libertés et économiste. Retrouvez Bercoff dans tous ses états avec André Bercoff du lundi au vendredi de 12 h 30 à 14 h sur #SudRadio.
14:19 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Eric Mauvoisin, responsable vendéen de Reconquête !, prendra la parole le samedi 25 février à Saint-Brévin-les-Pins
09:51 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Pourquoi « Vaincre ou mourir » rend fous les bien-pensants !
Bernard Germain
« Vaincre ou mourir » est un film historique sur la guerre de Vendée tiré de la vie du général royaliste François Athanase Charette de la Contrie, dit « Charette ».
Il est produit par le Puy du Fou, et co-produit par Canal+... du groupe Bolloré ajouteront certains.
Toujours est-il que ce film rend complètement fous les bien-pensants.
Le Monde, Libération (dont la une du 24 janvier est en photo en haut de cet article), l’Obs, France Inter, France Infos, Télérama… bref tous les médias bien-pensants ont dit tout le mal qu’ils en pensaient avec un zèle remarquable.
Ce faisant, il ont contribué au succès du film en lui faisant une publicité remarquable qui a suscité la curiosité des spectateurs.
A l’origine, ses réalisateurs espéraient 100.000 entrées. Peu de salles avaient en effet accepté de le mettre à l’affiche. En fin de deuxième semaine, il atteignait déjà les 200.000 entrées. De nouvelles salles décidèrent de le mettre à leur programme, de sorte que l’espoir de réaliser 300.000 entrées est très réaliste. Voire plus.
Par comparaison, une série de films bien-pensants à l’affiche ces derniers temps connaissent des bides retentissants. Ainsi :
- « Les Rascals », de Jimmy Laporal-Tresor. En 1984, alors que « l’extrême droite gagne du terrain en France », une sympathique bande de « jeunes de banlieue » est harcelée par une méchante bande de skinheads. Deux semaines d’exploitation : 31 376 entrées. Magnifique…
- « Les engagés », d’Émilie Frèche. Un certain David aide un « jeune exilé » à semer la police et à s’introduire illégalement en France. Malgré une énorme promotion, notamment sur France Inter. Six semaines d’exploitation : 33 518 entres. Quel succès...
- « Nos Frangins », de Rachid Bouchareb. Film qui revient sur la mort de Malik Oussekine (mort du temps de Robert Pandreau). On y trouve tous les clichés sur le racisme et les violences policières. Six semaines d’exploitation : 78 421 entrées. Phénoménal…
- « Les survivants », de Guillaume Renusson. Dans les Alpes, le dénommé Samuel sauve une jeune Afghane qui veut entrer en France. Mais de très méchants fachos vont les traquer. Après trois semaines d’exploitation : 66 491 entrées. Époustouflant…
D’une certaine manière ces chiffres pitoyables de spectateurs, sont une bonne nouvelle. Ils semblent vouloir dire que malgré d’énormes campagnes de promotion, cette propagande bien pensante n’accroche pas auprès du public. Et c’est tant mieux.
01:03 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
YVAN BENEDETTI DEVANT LA 17E CHAMBRE CORRECTIONNEL CE MERCREDI 15 FÉVRIER
UN COMMUNIQUÉ DE JEUNE NATION :
Notre directeur, Yvan Benedetti, est à nouveau convoqué cette semaine, mercredi 15 février, devant la 17e chambre correctionnelle à Paris pour un article de Jeune Nation dénonçant l'immigration africaine. Cette audience devait se tenir le 14 décembre dernier, en même temps que celle relative aux poursuites contre un autre article au sujet d'Israël, état refuge des criminels (verdict le 27 février), mais elle avait été reporté. Le soutien de nos lecteurs, amis et sympathisants est décisif. Ne les laissez pas étouffer les dernières voix dissidentes et nationalistes !
01:02 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Pierre Cassen, fondateur de Riposte laïque, prendra la parole samedi 25 février à Saint-Brévin-les-Pins
00:32 Publié dans Callac 22, Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 14 février 2023
Ne laissons pas tomber notre ami Bernard Germain
Comme vous le savez peut-être, notre ami Bernard Germain, qui écrit régulièrement dans nos colonnes et notre revue, a été l’un des principaux animateurs du combat à Callac (en Bretagne) contre le projet Horizon de la fondation Merci. Ce projet visait à imposer à un village de 2200 habitants, l’arrivée de plus de 500 migrants d’origine africaine (25 % de la population).
Ce combat a été gagné et le projet Horizon abandonné par le maire, qui l’a annoncé publiquement le 11 janvier 2023. C’est une magnifique victoire pour les défenseurs de la France française.
Mais les remplacistes sont mauvais perdants. Leur rancœur et leur haine des patriotes les poussent à chercher des boucs émissaires sur qui s’acharner, afin de leur faire payer cette défaite cinglante qu'ils viennent de subir.
C’est ainsi que Bernard Germain, qui était particulièrement ciblé, se retrouve traîné au Tribunal Judiciaire de Lorient le 3 Mars prochain, pour un article sur Callac, publié il y a plusieurs mois.
L’objectif de ses accusateurs est clair : le faire taire en lui infligeant des frais de justice insupportables (il lui est réclamé près de 25.000€ au total).
Synthèse nationale appelle ses lecteurs attachés à la défense de notre pays, sa culture et son identité, à se mobiliser pour soutenir Bernard Germain.
Une cagnotte en ligne a été ouverte et des premiers résultats encourageants sont constatés.
Près de 1.000€ on déjà été collectés en 4 jours.
Mais c’est insuffisant.
C’est pourquoi, Synthèse nationale vous invite à répondre à son appel et à amplifier la mobilisation.
Défendons le patriote Bernard Germain !
Faites un don pour l’aider à payer ses frais de justice
Pour faire un don, cliquez sur ce lien … cliquez ici
Merci d’avance à tous ceux qui répondront à cet appel.
Le livre Callac, la mère des batailles cliquez là
23:15 Publié dans Callac 22, Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Une soirée littéraire serbe à Bordeaux
19:59 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Deux nouveaux titres entrent dans la collection des Grands Classiques de Synthèse nationale
Pour bien comprendre un texte et, éventuellement, l’apprécier ou le condamner, il convient toujours de se remettre dans le contexte de l’époque où il a été écrit.
Jacques Doriot, natif de Bresle dans l’Oise en 1898, fut un personnage primordial de la vie politique française au cours de la première moitié du XXe siècle. À l’âge de 25 ans, au lendemain de la Première Guerre mondiale, il est déjà l’un des hauts-responsables du Pati communiste français. En 1924, il est élu député communiste de la Seine et en 1931, il emporte la mairie de Saint-Denis. Cependant, au début des années 1930, il entre en opposition, au sein du PC”F”, avec la ligne imposée par Moscou et incarnée par Maurice Thorez. Cette opposition le conduira à la rupture en 1935 et, quelques mois plus tard, à créer le Parti populaire français qui incarnera, jusqu’à la mort de Doriot en 1945, le principal parti d’inspiration fasciste en France.
Rappelons que l’entre-deux-guerres fut marqué par l’émergence en Europe de plusieurs révolutions reposant sur une double volonté d’indépendance nationale et d’émancipation sociale. Ainsi, en Italie, puis en Allemagne et dans d’autres pays, ces expériences concluantes dans un premier temps séduisent de plus en plus en Europe et en France particulièrement. Jacques Doriot se situe désormais dans cette perspective, il a expliqué pourquoi dans ses deux ouvrages fondamentaux que sont “La France ne sera pas un pays d’esclaves” et “Refaire la France”. Paru successivement en 1936 et en 1938 chez Grasset, réédités il y a quelques années par les Éditions de l’AEncre, ils entrent aujourd’hui dans la collection des Grands classiques de Synthèse nationale.
Sortie prévue : le 2 mars 2023
Pour les commander dès maintenant :
La France ne sera pas un pays d'esclaves, 180 pages, 22 € cliquez ici
Refaire la France, 132 pages, 20 € cliquez là
La collection Les Grands Classiques de SN cliquez ici
17:15 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les bombes tuent, les sanctions aussi
Renaud Girard dans son éditorial de ce mardi 14/2 nous rappelle que si les bombes tuent les sanctions ne sont pas moins mortelles. Et de citer en exemple le cas de la Syrie ou de l’Irak soumis aux embargos américains. L’Amérique tue de deux manières, en envoyant ses soldats qui en général après avoir pris une raclée (Vietnam), s’évaporent après avoir détruit tout un pays (Afghanistan, Irak) ou par le jeu des sanctions économiques comme c’est le cas en Syrie. Inutile de préciser ici, que les sanctions à l’égard de la Russie ne pénalisent au final que les Européens littéralement lobotomisés depuis longue date, les Allemands en tête.
Lire la suite ICI
Source : Le Figaro 14/2/2023
09:43 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Vendredi 17 février, à Orange, conférence de Sylvain Roussillon sur le nationalisme irlandais
01:26 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 13 février 2023
Jacques Baud - Les révélations du journaliste Seymour Hersh sur le sabotage de Nord Stream
Jacques Baud, ex-membre des renseignements suisses, chef de la doctrine des opérations de la paix pour les Nations Unies et chef de la lutte contre la prolifération des armes légères à l’OTAN. Auteur dernièrement de “OPÉRATION Z”, et “Vaincre le terrorisme djihadiste”, aux éditions Max Milo.
Vous pouvez vous procurer ce livre ICI
15:54 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
A propos du débat sur les retraites
Ce débat sur les retraites, comme l’estime Pierre-Henri Tavoillot* président du Collège de philosophie, dans le Figaro (12/2) est tout à la fois hyper compassionnel et ultra technique. Il s’entretient ici avec Eugénie Bastié, et nous explique pourquoi.
Lire la suite ICI
(*) Pierre-Henri Tavoillot est l’auteur de plusieurs ouvrages remarqués comme La Guerre des générations aura-t-elle lieu ? (Calmann-Lévy, 2017) et récemment, Comment gouverner un peuple-roi ? Traité d’art politique (Odile Jacob, 2019).
10:24 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Suite à la parution des ses Mémoires, un entretien avec Jean-Claude Rolinat
Entretien avec Jean-Claude Rolinat (publié sur le site de la réinformation européenne Eurolibertés (propos recueillis par Fabrice Dutilleul).
Jean-Claude Rolinat a été pendant 17 ans l’un des rouages de la machine « Front National ». Il donne des détails sur la vie interne du mouvement, et exhume deux décennies d’angoisses et d’espérances au plus près des militants. Il nous narre les heures difficiles de certains collages dans d’improbables cités banlieusardes, ou d’instables présences sur des marchés.
Vous venez de publier aux éditions Dualpha « 17 ans dans les tranchées du Front National » ; en dehors des évènements politiques qui vous ont marqué, comme le soulèvement de Budapest ou la fin de l’Algérie française, vous nous entraînez dans vos expériences municipales et vos démêlés avec la justice et les communistes, sans oublier la descente aux enfers de l’un de vos camarades.
Quand on arrive au soir de sa vie et que l’on aime la lecture et l’écriture, que l’on a « des choses à raconter », on a une irrépressible envie de coucher sur le papier ses souvenirs, de faire appel à sa mémoire pour témoigner, pour rappeler des faits, préciser des actions ou rectifier des versions, bref, brosser aussi quelques portraits. Et puis, c’est aussi l’occasion de faire revivre une France évanouie – en ce qui me concerne mon « terroir » parisien, « couleur sépia », disparu – comme l’enfance qui est une patrie perdue que l’on ne retrouve jamais.
Dans ce livre, vous révélez, vous interrogez, vous soulevez des questions, vous émettez des doutes sur des vérités officielles, vous rappelez des actions d’agit-prop oubliées ou méconnues du grand public. Mais surtout vous témoignez.
Avec moi, le lecteur est au cœur du carré des militants, il ressent la chaleur fraternelle qui liait des gens de toutes conditions, venus de partout, rassemblés par un aimant plus fort que tout : l’amour du pays, la grandeur de la France, le respect dû à ceux qui sont morts pour elle. On est au cœur de l’hebdomadaire National Hebdo et du groupe FN au Conseil régional d’Île-de-France, nous sommes sur les marchés ou aux « collages », on voit passer de grandes et moins grandes figures qui ont fait ce mouvement. Coucher sur le papier ses souvenirs, raconter sa vie de militant, exprimer ses espoirs, énumérer ses réussites et ses échecs, c’est un peu la prétentieuse volonté de vouloir se survivre… mais pas que ! Si le Rassemblement National peut récolter aujourd’hui une belle moisson d’électeurs, c’est que d’autres que ceux qui siègent dans les assemblées actuelles, se sont investis, se sont sacrifiés, ont semé, et, parfois, sont morts ou ont connu la prison. On devrait s’en souvenir. C’est le but de mon livre.
Outre vos souvenirs de militants et « d’apparatchik pas si ordinaire », vous en profitez pour revenir sur les grands événements de ces cinquante dernières années.
L’affaire Malik Oussekine, les troubles en Nouvelle-Calédonie, la guerre d’Irak-Koweit, l’Afrique du Sud et la fin de l’apartheid et bien d’autres événements, oui, forcément… à la fois avec le regard du militant et l’œil du touriste-reporter que je n’ai jamais cessé d’être toute ma vie durant… ce qui m’a permis de remettre en perspectives l’action politique que nous avons menée et la marche du monde. Oui, si nous étions arrivés au Pouvoir, notre pays aurait pu être bien différent de ce qu’il est aujourd’hui ! On ne refait pas l’histoire, certes, mais on peut encore rêver…
17 ans dans les tranchées du Front National, Jean-Claude Rolinat, éditions Dualpha, 368 pages, 39 euros.
Pour acheter ce livre cliquez ici
09:04 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 12 février 2023
Dans les coulisses du désordre mondial avec Alain Juillet
Alain Juillet, haut responsable chargé de l’intelligence économique auprès des premiers ministres de 2003 à 2009 (Jean-Pierre Raffarin, Dominique de Villepin et François Fillon), ancien officier dans les commandos parachutistes du SDECE, l’ancêtre de la DGSE et ancien patron du renseignement à la DGSE, revient sur ce monde en pleine transformation, une transformation accélérée sans doute par la guerre en Ukraine initiée en 2014.
Près d’un an après l’invasion des troupes russes le 24 février 2022, la situation s’enkyste sur place et les hommes des deux côtés tombent dans une guerre fratricide qui aurait pu être évitée. De leur côté, les pays membres de l’Union européenne se sabordent pour le plus grand bonheur de leurs adversaires commerciaux.
Pendant que la France d’Emmanuel Macron fait du zèle pour suivre les décisions belliqueuses de l’Union européenne prises par la présidente de la Commission européenne non élue, Ursula Von der Leyen, la population s’appauvrit avec l’explosion des coûts de l’énergie. Tandis que Bruno Le Maire promettait l’effondrement de l’économie russe, prédisant ouvertement le pire à la population, c’est à Paris que l’inflation sévit. L’Allemagne, privée par les sanctions européennes puis par l’attentat contre les gazoducs Nord Stream d’un gaz russe peu cher, suit pourtant le mouvement imposé par Bruxelles qui interroge de plus en plus sur les intérêts servis.
Le Vieux continent semble sidéré par une situation internationale qu’il n’a plus la force d’affronter à force d’asservissement à la puissance américaine à la manœuvre de L’Otan. Des États-Unis qui savent se saisir de toutes les opportunités quand ils ne font pas le choix de les provoquer.
L’Europe assiste quant à elle impassible à sa rupture avec la Russie de Vladimir Poutine en s’entêtant à alimenter une guerre d’affaiblissement de ses acteurs malgré des coûts faramineux et des décisions de plus en plus irréversibles. De son côté, Moscou porte le regard vers la suite de son pays continent, le monde asiatique. L’économie planétaire voit ainsi les cartes redistribuées avec un recul net du dollar dans les échanges, face à un yuan qui s’étend et un rouble qui prend de l’ampleur. Un bouleversement général duquel l’Europe et la France sortiront lourdement affaiblies et privées de partenaires.
12:05 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 11 février 2023
Neila Moore "Arrêter un pédophile coûte trop cher en France"
Émission spéciale sur la pédocriminalité, avec Neila Moore, auteure de “Les prédateurs sont dans la poche de vos enfants” (éditions Télémaque)
Des citoyens en guerre contre la pédocriminalité
Les médias les ont appelés « chasseurs de pédophiles » et les plus hautes autorités les ont d’abord qualifiés de « hors la loi ». Mais depuis trois ans, en créant de faux profils d’enfants sur les réseaux sociaux, ce collectif de citoyens est à l’origine de plusieurs dizaines d’arrestations et de condamnations de pédocriminels à travers le monde.
Découvrez l’incroyable histoire de la Team Moore, racontée par Neila Moore, mère de trois enfants, qui l’a fondée aux côtés de Steven Moore.
Ils ont développé ensemble une méthodologie d’action respectant strictement la procédure légale. Elle leur a permis de monter plus d’une centaine de dossiers transmis aux forces de l’ordre et à la justice. Ce livre est le témoignage bouleversant d’une lutte menée jour après jour, derrière l’écran et sur le terrain, au contact des suspects piégés par la Team, pour protéger nos enfants contre les pédocriminels. Commandez le livre ICI
13:42 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Bernard Germain et Pierre Cassen étaient jeudi soir invités au Parti de la France
Pour soutenir la Défense de Bernard Germain, attaqué en Justice par les gauchistes : cliquez ici
12:06 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le nouveau numéro de la Revue d'Histoire européenne est en kiosque
10:53 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Journal du chaos
Pour télécharger, cliquez ICI
07:15 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 10 février 2023
Cérémonie des Bobards d'Or ce 13 février 2023 à Paris
Les plus beaux mensonges des médias ! Chaque année, les journalistes attendent la liste des nommés aux Bobards d’Or. Qui se fera épingler pour sa mauvaise foi ? Quel média verra ses mensonges étalés à la face du monde ?
Achetez vos billets ICI pour assister à la cérémonie et votez sur notre site pour les meilleurs Bobards de 2023 !
Lundi 13 février 2023 à 19 h 30 au Théâtre du Gymnase, 38 Bd de Bonne Nouvelle, 75010 Paris,
Découvrez le jury de la XIVème cérémonie des Bobards d’Or, avec :
- Greg Tabibian (J’suis pas content TV)
- Michel Geoffroy (Polémia)
- Valentin Schirmer (Radio Courtoisie)
- Martial Bild (TVL)
17:57 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
"Le rapport Marco Polo révèle la scandaleuse corruption des Biden !"
Stanislas Berton, entrepreneur et Charles Gave, fondateur de l'Institut des Libertés, reviennent sur la divulgation d'un rapport du Think Tank Marco Polo révélant une corruption massive des Biden.
Émission du 2 novembre dernier de Ligne Droite - La matinale de Radio Courtoisie dirigée par Clémence Houdiakova.
15:16 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les revanchards de Callac
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
La bataille de Callac a été une superbe victoire pour les patriotes et les nationaux.
Pour l’État, les immigrationnistes, la « gauche » et l’extrême gauche, ce fut une cinglante défaite. Le moins qu’on puisse dire, c’est que tous ces immigrationnistes ont cette défaite en travers de gorge. Ils ont donc décidé de faire payer ce revers aux principaux acteurs de la résistance patriotique et identitaire.
Notre ami Bernard Germain, auteur du livre « Callac, la mère des batailles » (cliquez ici), qui écrit aussi régulièrement dans notre revue Synthèse nationale et sur notre site quotidien, a été l’un des principaux animateurs du combat de Callac. Il est de ce fait particulièrement ciblé par ces revanchards.
Ainsi, il est traîné en justice pour un article intitulé « À Callac, l’avenir de l’homme n’est pas la femme… c’est l’africain ». Cet article était une réponse à un article du journal gauchiste « Le Poher » qui attaquait très violemment ceux qui luttaient à Callac contre le projet Horizon de la fondation Merci soutenu par la municipalité de Callac.
Le vendredi 3 mars 2023 à 9H00, Bernard Germain comparaîtra devant le tribunal judiciaire de Lorient afin d’y répondre des accusations portées contre lui par ce journal gauchiste.
À Synthèse nationale, nous avons donc décidé de soutenir notre ami et pour cela :
- de créer un comité de soutien à Bernard Germain
- d’appeler tous les patriotes à venir le soutenir au tribunal de Lorient le 3 mars à 9H00
- de mettre en ligne un appel au don afin de le soutenir financièrement
J’invite tous les patriotes, tous les défenseurs de la France, à se mobiliser pour la défense de Bernard Germain en répondant à notre appel et en versant des dons.
Ne laissons pas sans réponse
cette attaque contre un patriote
SOUTIEN TOTAL
À BERNARD GERMAIN !
Pour couvrir les frais de justice, Bernard Germain a besoin de votre aide à tous. Une structure va se mettre en place. En attendant, vous pouvez verser vos dons via le lien ci-dessous ou envoyer votre chèque (à l'ordre de Synthèse nationale en mentionnant au dos "soutien BG") à
Synthèse nationale BP 80135 22301 Lannion PDC
Pour soutenir en ligne Bernard Germain cliquez ici
14:33 Publié dans Callac 22, Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Christian Combaz : L’intelligence artificielle est diabolique
Quand il quitte son village de Campagnol pour se rendre à la Capitale, le journaliste et écrivain Christian Combaz fait une halte obligatoire dans les studios de TVL. Avec la verve et la perspicacité qu’on lui connait, l’auteur de "Gens de Campagnol" fait le tour de l’actualité pour s’attarder aujourd’hui sur la "diabolique" intelligence artificielle - vrai langage du Prince de ce monde - et sur le cas Elon Musk.
Christian Combaz, qui vient de récupérer son compte Twitter, semble séduit par la personnalité du milliardaire tout en le qualifiant d’Antéchrist. Une contradiction qu’il considère qu’apparente ! Plus politiquement incorrect que jamais, Christian Combaz veut faire néanmoins partager son indéboulonnable optimisme malgré sa récente mise à l’écart des Éditions Flammarion. Le prix à payer, dit-il, pour refuser d’ânonner les opinions obligatoires.
12:31 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
RAPPEL : samedi 25 février, TOUS à Saint-Brévin-les-Pins (44)
09:34 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Il n’est pas possible de sortir tout de suite des énergies fossiles
Brice Lalonde*
Le groupe aiche des objectifs très ambitieux en matière d’énergies renouvelables. Il vise d’intégrer le top 5 mondial des acteurs du secteur, il met beaucoup d’argent sur la table pour développer des projets dans l’éolien et le solaire et veut être neutre en carbone assez vite. Je ne suis pas administrateur de TotalEnergies, mais je trouve que la stratégie menée par Patrick Pouyanné va dans le bon sens.
On ne le dit pas assez, mais c’est une chance pour la France de disposer d’une telle entreprise. C’est une des dernières grandes majors de l’énergie au sein de l’Union européenne, qui essaie de mettre en œuvre la transition énergétique, au point d’en être devenu un de ses meilleurs agents. Avec Sunpower, par exemple, elle maîtrise aujourd’hui l’intégralité de la chaîne du solaire, de la fabrication des cellules à la construction des centrales.
TotalEnergies est une société pétrolière qui est de plus en plus gazière et qui investit massivement dans les énergies renouvelables, sans oublier pour autant son obligation de fournir du pétrole à ceux qui en ont encore besoin, et ils sont nombreux, à l’instar des automobilistes français. Le seul regret que l’on puisse avoir est que TotalEnergies ne se soit pas engagée dans le nucléaire, qui est absolument clé pour limiter l’empreinte carbone.
En tout cas, il ne faut pas se focaliser uniquement sur les énergies renouvelables, qui sont aujourd’hui devenues le marqueur pour dire ce qui est bien ou pas. On est dans la surenchère tout le temps, ce qui risque de mener à des déceptions. Les renouvelables sont auréolés de la vertu d’être des énergies qui consomment assez peu de capital. Mais arrêtons de croire qu’elles apportent des solutions à tout. Leur intermittence pose question tout comme leur intégration au réseau, et le solaire a une empreinte carbone supérieure au nucléaire. Désolé de le dire, mais personne ne sait faire fonctionner un système électrique composé uniquement de renouvelables. Il n’est pas possible non plus de sortir tout de suite des énergies fossiles, comme certains le prétendent. Ce n’est pas sérieux. Dans une négociation internationale, on peut dire aux pays riches d’aller plus vite dans la décarbonation. Mais comment dire aux pays pauvres qu’ils n’ont plus droit au gaz et au pétrole ? C’est totalement injuste.
Malgré tout, l’objectif numéro un est de réduire les émissions de CO2 pour lutter contre le changement climatique. La priorité immédiate est donc de sortir du charbon. Si on peut le remplacer par du nucléaire, c’est bien, mais c’est long à construire, et il faut mettre en place des normes de sûreté.
Le gaz, c’est plus facile, et en plus il s’agit d’une énergie abondante. En remplaçant toutes les centrales charbon par des centrales gaz, une grande partie du problème serait résolue, à condition toutefois d’arrêter les fuites de méthane. C’est un objectif très important, et les grandes compagnies, comme TotalEnergies, ont pris des engagements en ce sens.
(*) Brice Lalonde, ancien ministre, est président de l’Association Equilibre des énergies.
Source : La Croix 9/2/2023
09:33 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L’irresponsabilité du Président Macron
Bernard Plouvier
Il est évident, pour le moindre « pékin » comme pour n’importe quel général de plateau de télévision, que vendre des armes à un pays en guerre, de façon unilatérale – soit sans en proposer aussi à l’autre camp -, c’est se placer en situation d’allié ou, si l’on préfère de co-belligérant plus ou moins passif.
Donner ou vendre des armes peut passer pour un geste passif : on se lave les mains de ce qu’en fera le destinataire ! Toutefois, une question majeure se pose, qui aurait dû être envisagée préalablement à toute décision et à toute action.
Notre très distingué Président-Dictateur-Général aurait-il oublié la Constitution de la Ve République ? Même dans sa révision de 2008, elle impose (art. 35) l’autorisation formelle, exprimée par la majorité du Parlement, pour entrer en de guerre, sauf invasion du territoire, cas de force majeure nécessitant une riposte immédiate, prévu par l’art. 16, ou état de siège (art. 36) décrété conjointement par le chef de l’État et le gouvernement.
Envoyer des conseillers militaires, vendre ou donner des armes et des munitions, des chars, des canons et des avions de combat, ce ne serait donc pas participer à une guerre ? C’est du moins ce que nous répète à longueur de discours notre bien-aimé & vénéré Président. On « aide l’Ukraine à se défendre »... en passant sous silence un menu fait : si V. Poutine a lancé son opération il y a juste un an, c’est parce que des éléments armés de l’État ukrainien bombardaient les populations civiles russes établies entre Dniepr et Don.
Il faudrait que notre Grand timonier, assez peu savant en Matière d’histoire contemporaine - on l’a vu à propos de la réalité du fait colonial -, se documente. Si la population implantée à l’Est du Dniepr et à l’Ouest du Don était massivement ukrainienne en 1920, il y eut ensuite le règne du 2e Tsar Rouge. On ne nie absolument pas que Joseph Djougashvili, surnommé « Staline » (l’Homme de fer) par « Lénine », ait été un ruffian politique de grande ampleur, un assassin de masse et on ne nie absolument pas le résultat de ses actes. À force de dépeupler l’Ukraine (le bon « Staline » a parlé de « 10 millions de morts », dans la soirée du 15 août 1942, à Moscou, devant Churchill et le médecin de ce dernier, Lord McMoran), à force de transplanter des populations au sein de son URSS, il a transformé la géographie humaine entre Don et Dniepr !
Les Républiques autonomistes situées entre ces deux gigantesques fleuves sont russophones. Que cela plaise ou non aux mafiosi qui règnent à Kiev (on rappelle que de nombreuses excellences amies du très noble Zelenski sont sous le coup de mandats d’amener pour cause de corruption) n’est d’aucune importance pour nous, Français.
Notre distingué Président n’a pas à nous engager dans une guerre – et pas si « passivement » que cela, puisque des militaires français ont été expédiés dans la zone des combats. Du moins, il n’a pas à le faire sans l’avis du Congrès, soit les deux assemblées délibérant simultanément sur un point d’importance capitale... car, si l’Homme du Kremlin est aussi irascible que la propagande française actuelle veut nous le faire croire, il pourrait lui aussi se déclarer en guerre contre la France et notre Nation, si mal dirigée, pourrait en subir d’énormes conséquences, bien supérieures aux nuisances induites par de bruyants défilés de « Gilets jaunes » ou de grévistes !
Notre génial Président serait bien inspiré de relire la Constitution. Certes, par ses art. 67-68, elle déclare « irresponsable de ses actes » le chef de l’État... sauf, toutefois, en cas « de crime d’agression », soit en cas de guerre non provoquée, qui – tout le monde le sait depuis le Tribunal Militaire Interallié dit « International » de Nuremberg – est « un crime contre la paix » !
Il est diverses façons d’envisager la notion « d’irresponsabilité ». On n’envisagera pas la façon psychiatrique, ce qui serait « une injure au chef de l’État », mais on pourrait s’étonner de l’irresponsabilité certaine qu’est la non-réponse à l’invasion du territoire par des Africains et Proches-Orientaux (on pense à ces « pauvres » Afghans qui, presque partout en Europe, se conduisent en voyous). Or l’immigration-invasion, parfaitement illégale, puisque non-autorisée par l’unique souverain-maître de l’État : la Nation, c’est pourtant la réalité vécue par les Français depuis plus d’une dizaine d’années !
00:54 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 18 février : conférence de Anne Trewby (les Antigones) sur le féminisme à Lyon
00:54 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Amalgames, complotisme et discriminations
La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol
On ne se souvient plus que l’invité d’honneur du Salon du Livre de Paris en 2018 était la Russie. Pour la circonstance, Le Monde du 16 mars 2018 dressait le portrait de l’écrivain Zakhar Prilepine, ancien militant national-bolchevik qui venait de côtoyer les combattants indépendantistes du Donbass. Un tel article serait-il encore possible aujourd’hui ? Cette question fondamentale empêche la planète de tourner. Ce n’est pas la seule. L’orchestre de Moscou peut-il jouer à l’Opéra de Lyon ? Le champion serbe de tennis, Novak Djokovic, doit-il renier son père filmé dans les allées du tournoi de l’Open d’Australie avec des supporteurs brandissant un drapeau russe à l’effigie de Vladimir Poutine ? Le Comité international olympique doit-il exclure les sportifs bélarussiens et russes des prochaines compétitions ? S’il s’agissait d’une autre nationalité, un tollé intergalactique envahirait les rédactions de désinformation et secouerait les belles âmes occidentales. Elles ne font que reprendre et développer des propos officiels qui établissent une incontestable ségrégation. Après l’apartheid vaccinal, voici la russophobie élevée au rang de politique d’État !
Dans un entretien au Washington Post du 8 août 2022, le dirigeant ukrainien Volodymyr Zelenski affirme que les Russes doivent « vivre dans leur propre monde jusqu’à ce qu’ils changent de philosophie ». Il estime que « les sanctions les plus importantes consistent à fermer les frontières ». Dès le lendemain, la Première ministresse estonienne, Kaja Kallas, poste sur Twitter qu’« il est temps d’en finir avec le tourisme russe. […] Visiter l’Europe est un privilège, et pas un droit ». Son compte n’a jamais été suspendu, ni supprimé. Quelle chanceuse ! Certes, elle cible les Russes et non pas les futurs Mozart et Molière originaires d’Afrique et d’Orient.
Entre deux fiestas dansantes et bien alcoolisées, son homologue finlandaise, Sanna Marin qui devrait s’inspirer de sa consœur néo-zélandaise, réclame pour sa part que l’Union dite européenne arrête d’accorder des visas touristiques aux Russes. Elle déclare au Figaro du 31 août 2022 qu’« il n’est pas juste que les citoyens russes puissent entrer en Europe, dans l’espace Schengen faire du tourisme […] pendant que la Russie tue des gens en Ukraine ». Le 1er septembre dernier, le gouvernement d’Helsinki réduit par conséquent de 90 % le nombre de visas octroyés aux Russes. La Finlande rejoint ainsi les trois États baltes, la Pologne et la République tchèque dans la non-délivrance systématique de visas aux citoyens de ce pays.
Le 19 septembre 2022, Helsinki souhaite aller plus loin et plaide pour le bannissement complet des touristes russes de l’Espace Schengen dans le cadre de nouvelles sanctions. Dans Le Monde du 1er octobre 2022, le ministre finlandais des Affaires étrangères, Pekka Haavisto, ose affirmer que « l’entrée des citoyens russes en Finlande, pour y faire du tourisme, mettrait en danger les relations internationales ». Bigre ! Rien que ça !
Cette demande nécessite cependant l’accord unanime du Conseil européen des chefs d’État et de gouvernement des États-membres. Or, outre Budapest, Paris et Berlin la récusent. Toujours en cours, les discussions s’orienteraient plutôt vers la suspension des conditions privilégiées d’obtention qui se manifesteraient par une durée d’attente plus longue et des coûts plus élevés (de 35 à plus de 80 euros).
Parallèlement, depuis 2019, le gouvernement national-conservateur ultra-atlantiste polonais délivre une karta polaka aux descendants de citoyens de Pologne vivant dans des territoires naguère polonais entre 1919 et 1939 afin de faciliter leur immigration en Occident. Les députés de la Confédération Liberté et Indépendance, l’alliance des forces de la droite nationale, exigent que les très nombreux réfugiés ukrainiens présents sur le sol polonais reconnaissent de façon solennelle les exactions commises contre les polonophones en Volhynie par les militants de l’OUN (Organisation des nationalistes ukrainiens) entre 1942 et 1945. Si le gouvernement extrémiste de Vilnius considère le Bélarus comme le prolongement historique de la Lituanie, la Pologne espère encore placer l’Ukraine dans son orbite. Les patriotes ukrainiens les plus sincères, en particulier les nationalistes-révolutionnaires, risquent de tomber de Charybde en Scylla…
L’Europe occidentale doit-elle accueillir les Russes ? Courrier International (du 25 au 31 août 2022) traduit et publie un article édifiant d’Edward Lucas paru à l’origine dans The Times du 15 août. « Tous les Russes ne sont pas coupables, écrit-il, mais que leur collusion soit active ou passive, tous ont une responsabilité dans le pouvoir écrasant acquis par Poutine ». Il ajoute que « l’histoire a montré que la générosité ne donnait pas de brillants résultats, c’est un euphémisme ». Le même, ou l’un de ses semblables, croit au contraire génial, extraordinaire et merveilleux de se montrer généreux envers les femmes des tafkiristes partis en Syrie et en Irak et de leurs gamins, ou d’accueillir les sans-papiers.
En pointe dans le bellicisme, l’hebdomadaire L’Express de ce 26 janvier met en couverture une supposée « faillite morale » de la Russie à propos de la religion, de la propagande et des valeurs. Point de vue partial et subjectif ! Le système médiatique d’occupation mentale reprend à son compte le vieux fond anti-orthodoxe du catholicisme romain. Il dénigre tout ce qui est russe. Après avoir interdit la chaîne d’information RT France, la radio Sputnik, des chats russes dans une exposition féline et peut-être retiré des bibliothèques publiques les livres de Léon Tolstoï, de Fiodor Dostoïevski et d’Alexandre Soljénitsyne, vouloir apprendre la langue d’Alexandre Zinoviev deviendra bientôt une preuve manifeste d’intelligence avec une puissance étrangère presque ennemie !
Ce délire devient inquiétant chez certains responsables. Interrogé par Pierre Polard pour Le Figaro du 12 octobre 2022, le conseiller de Zelenski, Mykhaïlo Podolyak, explique que « les criminels de guerre russes doivent être jugés, pas seulement pour l’Ukraine, mais pour toutes les guerres passées, en Géorgie, en Syrie et pour le Donbass dès 2014 ». En intervenant en Syrie, la Russie a sauvé l’Europe du danger immédiat islamiste. Podolyak serait-il donc du côté des terroristes du 13 novembre 2015 ?
On sait que le complotisme est très mal vu, sauf quand il sert l’hégémonie occidentale. Traductrice des FemHaine et liée à l’appareil pseudo-intello botulien, Galia Ackerman déclare à L’Express (du 3 au 9 novembre 2022) que « rétrospectivement, je pense même qu’il y avait, dès ses débuts, un plan secret devant conduire la Russie vers le résultat que nous voyons aujourd’hui ». Incroyable et magnifique assertion conspirationniste ! Mais nostalgique de la rééducation mentale de l’Allemagne par ses vainqueurs, elle ajoute qu’« il faut humilier la Russie très sérieusement, parce qu’elle a apporté la destruction, la mort, le malheur et le traumatisme, dont on ne mesure pas encore la profondeur, à des millions de personnes. Il ne peut y avoir de rédemption si les responsables de cette tuerie – Poutine, mais aussi ses généraux, les exécutants et les propagandistes – ne sont pas punis, et la machine démantelée. Le peuple doit comprendre une fois pour toutes que la politique impérialiste, la tentative de conquérir et de briser un autre peuple, un autre pays, est condamnable. Si, après 1945, il n’y avait pas eu de contrôle de l’Allemagne occidentale par les forces alliées, pas eu de procès de Nuremberg, de lustration et de programmes d’éducation, nous n’aurions pas, aujourd’hui, cette Allemagne réunifiée, démocratique et paisible ». Les prodigieuses intuitions de Maurice Bardèche exprimées dans ses premiers essais politiques sont plus que jamais actuelles. Cette excellente propagandiste ne se doute pas qu’il est fort dangereux d’humilier les États. Les diplomates du Congrès de Vienne de 1814 – 1815, tout anti-napoléoniens qu’ils fussent, le savaient. Les abrutis de la Conférence de Versailles de 1919 l’ignoraient en revanche. L’humiliation de l’Allemagne, de la Hongrie, de l’Autriche, de la Bulgarie et même de l’Italie a été l’un des facteurs déclencheurs de la Seconde Guerre mondiale. Au lieu de commenter l’actualité de manière hystérique, les bouffons de la chaîne d’information en continu LCI (La Connerie intégrée) feraient bien de se replonger dans l’histoire pour ensuite se taire pleinement.
Salutations flibustières !
« Vigie d’un monde en ébullition », n°60, mis en ligne le 7 février 2023 sur Radio Méridien Zéro.
00:47 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 09 février 2023
Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
11:05 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les jeux olympiques de Paris admettront-ils le hijab (séparation) ?
Michel Festivi
Comme le relate la militante anti-islamiste Fatiha Agag-Boudjahlat, début janvier, une joueuse de basket a été exclue d’une compétition par sa fédération dans le Nord de la France, car elle refusait de retirer son hijab (Figarox Vox du 7 février 2023). En effet, les règles de la FFBB interdisent tous couvre-chefs et tous accessoires comme des bijoux. Elle aurait d’ailleurs déclaré à son entraîneur qu’elle ne pouvait pas le retirer.
Et Fatiha Agag-Boudjahlat de se féliciter de la décision de la fédération : « Nous pouvons en tant que Français, féministes, et en tant que femmes, que nous en réjouir ». Je l’écris souvent, certains hommes, certaines femmes qui vivent ou ont vécu dans des pays où l’islam est religion d’état et ou n’existe aucune séparation entre le domaine civil et religieux, sont à la pointe du combat pour les libertés des femmes, contrairement à nos « féministes » de chez nous, bien souvent issues de la gauche radicale.
Fatiha Agag-Boudjahlat a écrit de nombreux ouvrages, dont l’un d’eux mériterait d’être lu dans nos écoles, Combattre le voilement, en 2019 aux éditions du Cerf.
Fatiha Agag-Boudjahlat, en parallèle, dénonce dans cet article, l’inconséquence des instances sportives internationales qui elles ont cédé au totalitarisme islamiste « qui oppriment les femmes et les minorités ». Très judicieusement, elle relève que l’Iran par exemple : « ne défend pas la pratique du sport féminin…il défend une pratique rigoriste de l’islam faisant de la femme un organe génital total qu’il faut recouvrir. » J’ai déjà cité le verset 22 de la sourate 2 : « Vos femmes sont pour vous un champ de labour… ».
Elle assimile le code noir d’antan aux règles appliquées aux femmes dans la plupart des pays ou le coran est la loi civile et pénale, en tout ou en partie, et ils sont très nombreux. En effet, lire le coran c’est s’apercevoir par sa simple lecture, que bons nombres de sourates et de versets ne sont que l’exaltation de la ségrégation entre les croyants et « les infidèles » ou « les mécréants » ; entre les femmes et les hommes, par plusieurs de ses sourates, des dizaines, et de plus, le coran légitime totalement l’esclavage, qu’il permet. Cf le livre de Malek Chebel « l’Esclavage en terre d’islam » aux éditions Fayard en 2007, qui cite 27 sourates du coran qui légitiment l’esclavage en pages 297 et suivantes. Cf aussi le site Médiapart et sa tribune du 20 août 2013 : « les versets du coran encourageant l’esclavage des non-musulmans par les musulmans », citant des dizaines de sourates allant en ce sens, en relatant le livre de Tidiane N’Diaye, le Génocide voilée, Gallimard 2008.
Car nous enseigne Fatiha Agag-Boudjahat, « le hijab est un signe religieux et politique. Qu’il soit porté librement en France, sur un terrain de sport, ne change pas son sens ». Dans un précédent article j’avais cité les sourates du coran qui imposent aux croyantes de se couvrir d’un voile, et je rappelle que le coran est la parole incréée de dieu, susceptible d’aucune altération ni modification. « Et dis aux croyantes de baisser également leur regard et de préserver leur sexe ; qu’elles dissimulent leurs charmes…de ne montrer de leurs atours que ce qui en parait et qu’elles rabattent leur voile sur leurs poitrines, afin de ne dévoiler leurs charmes qu’à leurs seuls époux, ou en présence de leurs fils, des fils de leurs époux, de leurs frères et des fils de leurs frères ou de leurs sœurs, de leurs amies et de leurs esclaves ou encore des domestiques mâles qui ne sont pas libidineux (les eunuques), ou de jeunes garçons qui ne connaissent rien du sexe féminin. » S 24, V 31.
Fatiha Agag-Boudjahat, avec d’autres comme Annie Sugier, Elizabeth Badinter, demandent que la Charte Olympique soit appliquée au J.O de Paris, car elle proscrit le port de signes religieux ou politiques. Les Iraniennes qui se font emprisonner ou abattre en Iran, se battent clairement contre le port du voile, devenu le symbole de la tyrannie des Ayatollahs.
La Maire de Paris, Madame Hidalgo, se joindra-t-elle à cette demande pressente de faire en sorte que l’on ne puisse voir aucun hijab sur les terrains des compétitions olympiques parisiennes en 2024 ?
Je lui rappelle, si elle avait la mémoire qui flanche, qu’elle avait accueilli en grande pompe à Paris il y a quelques années, Taslima Nasreen, gynécologue, condamnée à mort dans son pays au Bangladesh pour tout simplement avoir critiqué l’islam, et qui avait déclaré à l’Université de Paris-Diderot le 30 novembre 2011 : « le droit de la famille est fondé sur la religion, et comme la religion officielle est l’islam, les intégristes prônent l’application de ce qui est écrit dans le coran. »
Les règles de la FFF (article 1er), comme celles de la charte olympique (article 50.2) interdisent toute propagande religieuse ou politique. Comme l’indique également Naïm Bestandji, auteur du linceul du féminisme (aux éditions Séramis) : « l’hidjab ne permet pas aux filles d’accéder au sport. C’est l’inverse, le sport est conditionné pour ces jeunes femmes si elles sont couvertes. C’est un vêtement sexiste et patriarcal, le voile n’est pas neutre, c’est un message prosélyte par définition qui est envoyé, il y a une ignorance phénoménale sur ce qui est l’islamisme, car en arabe hijab signifie séparation, traduit en arabe, les hidjadeuses deviennent les séparatistes ». In le FigaroVox. Autrement dit comme le souligne Fatihat Agag-Boudjahlat : « le voile même choisi librement, reste un outil de ségrégation. »
Dans un entretien sur son dernier livre, Sur l’Islam, aux éditions de la Cité, le philosophe, membre de l’Institut, Rémi Brague rappelle que : « Pour la tradition juridique européenne, les lois se fondent sur la raison humaine, certes éclairée par la conscience, que les croyants considèrent comme la voix de Dieu. Pour l’Islam, le seul législateur légitime est Dieu, tel qu’il parle dans Son Livre », et surtout il insiste sur un point capital qui fait du coran l’antithèse absolue de la Bible ou des Évangiles : « l’islam considère que le coran a été dicté par dieu, par l’intermédiaire d’un ange au prophète qui l’a restitué sans y apporter quelque ajout et sans en retrancher quoique ce soit. Ce sont là deux faces d’un seul et même fait. » In le FigaroVox du 7 février 2023 entretien avec Alexandre Devecchio.
En tout cas gageons que d’ici les jeux olympiques de Paris, les associations islamistes, aidées en cela par nos islamo-gauchistes, vont mener de nouveau un combat prosélyte pour faire avaliser le port du hijab (séparation) par les sportives musulmanes ou des pays musulmans. Y résister, sera un enjeu civilisationnel de toute première importance.
10:41 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |