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jeudi, 25 juillet 2024

En mémoire de Christian Brosio, récemment décédé

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En septembre 2021, nous avons publié le premier volume de la collection "Les Grands classiques de Synthèse nationale". Il s'agissait de la fameuse "Histoire de France" de Jacques Bainville si souvent évoquée alors en référence par Eric Zemmour.

À cette occasion, Patrick Parment, directeur de la collection, avait demandé à Christian Brosio, qui nous a hélas quitté il y a quelques semaines cliquez ici, de préfacer cette édition.

En mémoire de Christian, voici le texte de cette préface : 

En 1925, le journal L’Éclair (de Montpellier) s’enquérait auprès de cent cinquante écrivains : « Quels livres recommanderiez-vous pour porter le renom de la France à travers le monde ? » L’Histoire de France de Jacques Bainville, publiée un an auparavant par Arthème Fayard, arrivait largement en tête des réponses. Déjà célèbre pour ses limpides et incisives chroniques de politique étrangère de L’Action française et ses prophétiques Conséquences politiques de la paix (1920) - où, analysant avec une minutie d’entomologiste les traités qui ont redessiné la carte de l’Europe au lendemain de la grande boucherie de 1914-1918, il décrivait, quasiment vingt ans à l’avance, la plupart des étapes du processus qui conduirait à une nouvelle déflagration -, Bainville vit, alors, grandir encore sa renommée. Touchant à la fois l’élite et un vaste public, cet ouvrage fut, d’emblée, un best-seller avec 70 000 exemplaires vendus la première année. Il devint rapidement un classique de la littérature historique, totalisant 500 000 exemplaires au fil des rééditions. Payant à titre posthume, après 1945, le crime d’avoir été Cassandre vingt-cinq ans plus tôt, c’est à son Histoire de France que, grâce à Guy Schoeller qui l’inscrivit au catalogue du Livre de poche, Bainville dut de ne pas tomber dans un oubli que les méchants petits esprits du moment eussent aimé total et définitif.

À demi occulté, tout de même, pendant plus de quatre décennies, son nom a resurgi au début des années 1990, à la faveur de la réunification de l’Allemagne, de l’effondrement de l’URSS et du détachement de ses satellites, de l’éclatement de la Yougoslavie et des nouvelles guerres des Balkans. Ayant rendu leurs lettres de noblesse à l’histoire des relations internationales et à la géopolitique, la fin de la guerre froide a, du même coup, remis sous le projecteur l’auteur des Conséquences politiques de la paix. Depuis lors, les ouvrages à son sujet se sont succédé, tandis que lui-même était republié. Une redécouverte à laquelle la présente réédition contribue, à son tour, avec bonheur.

Par sa clarté, son sens de la synthèse, son caractère pédagogique, l’Histoire de France de Bainville demeure un modèle. Certes, elle souffre d’un parti pris anti-germanique qui la fait parfois verser dans l’anachronisme. On peut regretter aussi, à bon droit, un prisme quasi exclusivement politique négligeant les grands mouvements économiques et sociaux. Mais ce défaut n’en est pas un eu égard à l’objectif de ce livre : montrer que la France est, avant tout, le résultat d’une longue et patiente construction politique, œuvre d’intelligence et de volonté rendue possible par la continuité de l’État royal. Une construction fragile, toutefois, toujours menacée par diverses forces centrifuges. Telle est la grande leçon de cette Histoire de France. Elle est magistrale. Il en est d’autres. Notamment la rupture introduite par la Révolution française et son héritier Napoléon dans l’équilibre européen par la fièvre nationalitaire qu’ils y inoculèrent. La démonstration n’a pas pris une ride. Elle est toujours à méditer.

Bonne lecture !

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mercredi, 17 juillet 2024

Armez-vous pour l'été !

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jeudi, 27 juin 2024

Parution du livre sur Les Brigandes différée de quelques jours

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Vous êtes très nombreux à nous avoir commandé le livre de Thierry DeCruzy Les Brigandes phénomène musical de la dissidence cliquez ici. Sa parution était programmée pour la mi-juin. Mais la dissolution de l'Assemblée et les élections anticipées imprévues compliquent la tâche de notre imprimeur, surtout lorsque le papier vient à manquer. Voilà pourquoi l'édition de ce livre a été différée de quelques jours.

Soyez rassurés, vous n'allez pas tarder à le recevoir. Nous vous remercions pour votre compréhension et pour votre patience.

Synthèse éditions

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mercredi, 26 juin 2024

Vendredi 5 juillet : soirée Livr'arbitres à Paris consacrée à Raymond Abellio

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mardi, 25 juin 2024

Israël-Palestine : La mort aux trousses !

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Entretien avec Jean-Claude Rolinat qui vient de publier aux éditions Dualpha "Israël-Palestine : La mort aux trousses !"

(propos recueillis par Fabrice Dutilleul)

Pourquoi ce titre ?

Compte tenu du nombre de livres qui ont été publiés sur les différents conflits israélo-arabes, il me fallait trouver un titre original qui fasse appel à la mémoire ; c’est, évidemment, un clin d’œil à la dramaturgie « hitchcockienne » …

Justement, de nombreux livres traitent de ce problème. Alors, un ouvrage de plus, un ouvrage de trop ?

Un certain maréchal de France disait que « Les Français ont la mémoire courte ». Alors, certes, c’est un livre de plus, car j’aborde des épisodes oubliés et fais appel à l’histoire pour expliquer la tragédie du jour. Mais dans le conflit israélo-palestinien plus qu’aucun conflit, il faut appeler l’histoire à « la barre des témoins ». Les faits, rien que les faits d’abord et l’analyse ensuite. Bons points et mauvaises notes étant distribués en constat et non sous l’émotion ! C’est à ce titre que mon livre apporte quelque chose de nouveau dans le débat actuel.

Que pensez-vous des manifestations estudiantines en faveur de Gaza ?

Israël, dans cette guerre asymétrique que lui livre le Hamas, a perdu la guerre des images. L’ampleur des destructions, les linceuls qui s’accumulent sous l’effet des bombes israéliennes, annulent l’effet des images du terrifiant massacre du 7 octobre 2023 diffusées avec parcimonie. Le fait qu’environ 1 200 Israéliens, pour la plupart des civils, femmes et enfants compris, aient été assassinés dans des conditions abominables, est quasiment oublié. Seul le problème des otages rappelle « qu’il s’est (tout de même) passé quelque chose l’année dernière en Israël » … On s’explique mal la pudeur de cet État qui s’est interdit de révéler au monde la réalité crue de clichés insoutenables. Ceci lui a grandement nui. La France, comme le Portugal, dans les guerres d’indépendance de leur empire colonial, n’avaient pas hésité, à juste titre, à montrer la barbarie, la sauvagerie de leurs ennemis. Des jeunes, sensibles, perméables aux manipulations, ne connaissant rien pour la plupart à la genèse de cette nouvelle « guerre de (presque) cent ans », sont tombés dans le panneau et, tel un troupeau bêlant, ont suivi les mauvais bergers de l’extrême gauche.

Vous pensez qu’Israël est tombé dans un piège ?

Incontestablement ! Le Hamas a bien tricoté son affaire. D’abord, il massacre, ensuite, il capture des otages. Il attire alors tout naturellement la foudre de Tsahal sur des civils désarmés au milieu desquels il se protège, tandis qu’il fait chanter le gouvernement de Jérusalem, déjà sous la pression des familles des otages. Cruel dilemme pour Benyamin Netanyahou et son cabinet de guerre : négocier et ne rien faire militairement, c’est faire preuve de faiblesse et renoncer à éradiquer un implacable ennemi qui veut sa disparition. Agir, c’est prendre le risque de tuer les otages et de massacrer des innocents qui sont, en quelque sorte, pris entre deux feux.

Comment en est-on arrivé là ?

C’est une longue histoire qui remonte à la nuit des temps. Reconstitué après vingt siècles d’absence, l’État juif en Palestine apparaît comme une pièce rapportée dans une région qui ne l’a jamais accepté. (Encore que quelques pays arabes, désormais, ont des relations diplomatiques avec lui : l’Égypte, la Jordanie, le Maroc, le Soudan, Bahrein et les Émirats, ce qui n’est pas rien). Estimant que, malgré le fameux « bien vivre ensemble », des communautés aussi différentes que la juive et l’arabe ne pouvaient cohabiter dans un État unique, l’ONU en 1947, avait adopté un plan de partage assez équilibré, tenant compte de la répartition des populations. Bien malencontreusement pour eux, les Arabes de Palestine, encouragés par leurs frères des pays voisins, ont refusé ce modus vivendi.

On connaît la suite : guerre d’indépendance de 1948, conflit du canal de Suez de 1956, « Guerre des six jours » de 1967, « Guerre du Kippour » de 1973, etc. et bien entendu, les implantations illégales de colonies israéliennes dans les territoires palestiniens occupés…

Tsahal, l’armée de défense d’Israël, a permis à son peuple de survivre dans un environnement hostile. Mais qu’en sera-t-il demain si l’Alya – littéralement « la montée » des Juifs vers Israël, leur migration –, s’essouffle et assèche sa population ? Car la démographie est une arme de guerre redoutable. Or les ventres des femmes arabes de Palestine sont, justement, plus prolifiques que ceux des épouses juives, fussent-elles séfarades orthodoxes. Israël peut bien dominer stratégiquement la région, grâce à sa suprématie nucléaire – qui peut être contestée par un Iran chiite très belliciste –, il ne pourra jamais mettre un gendarme derrière chaque musulman de Palestine, fut-il l’un de ces nombreux Arabes israéliens qui sont chez eux, en Israël même.

Il y a deux peuples sur une même terre. Alors, un peuple de trop ?

Pas forcément. Les deux ont leur légitimité, la Terre sainte ayant été sous diverses souverainetés, juive, romaine, croisée – cette dernière, pour à peine deux siècles –, turque et britannique. Le philosophe Michel Onfray a proposé lors d’une émission sur la chaîne CNews, une « Fédération arabo-juive ». Ça ne tient pas la route ! Qui dit État fédéral, dit, forcément, gouvernement central pour les compétences fédérales. Vous imaginez, vous, Ismaël Haniyeh, le chef du Hamas à qui Israël a tué une partie de sa famille à Gaza, cohabiter à la même table avec Benjamin Netanyahou ?

La solution « à deux États » ?

Il faut, certes, créer un « espace politique » pour les Arabes de Palestine au sens large du terme, mais la défaite de l’une ou l’autre des deux parties est totalement inenvisageable ! La solution à « deux États » est, oui, envisageable et c’est une piste que nous étudions, mais ce n’est pas la seule. Le lecteur en découvrira d’autres…

Ce n’est donc pas « sans issue » ?

Le pire n’est jamais certain. Il y aurait des possibilités de compromis. Nous en évoquons.

Israël-Palestine : La mort aux trousses !, Jean-Claude Rolinat, éditions Dualpha, 290 pages, 35 euros, nombreuses illustrations. Pour commander ce livre, cliquez ici.

11:03 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 19 juin 2024

Avez-vous pensé à aller visiter notre site librairie ?

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jeudi, 13 juin 2024

UN PEU DE FRAICHEUR EN CES TRISTES MOMENTS ! Très bientôt : sortie du livre "Les Brigandes, phénomène musical de la dissidence" de Thierry DeCruzy

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Habillées en contre-révolutionnaires vendéennes, Les Brigandes émergent sur internet à l’été 2014, ouvrant un nouveau front musical.

Soigneusement réalisées et mises en scène, leurs chansons contestent le monopole culturel étatique. En seulement cinq ans, elles produisent douze CD avec plus de cent cinquante chansons en clip vidéo obtenant une audience considérable en France et à l’international, en dépit de leur absence sur les réseaux sociaux.

Plusieurs années consécutives, elles ont donné des concerts lors des Journées annuelles de Synthèse nationale.

Masquées et costumées, les jeunes femmes vont déchaîner d’intenses campagnes de dénonciations médiatiques qui réussissent à diviser leur public et conduisent à la fermeture de leur compte YouTube dépassant les dix millions de vues.

Secte, meurtre, satanisme, les accusations pleuvent contre les chanteuses et leur groupe, qui n’ont pourtant jamais fait l’objet d’une seule condamnation en justice. Elles sont même convoquées à l’Assemblée nationale, fait unique dans les annales de la chanson française. Dix ans après leur création et trois après leur dissolution, Les Brigandes semblent tombées dans l’oubli. Après les tempêtes médiatiques, il est utile de tranquillement revenir sur ce phénomène musical de la dissidence qui s’est attaqué au totalitarisme culturel français.

Les Brigandes, phénomène musical de la dissidence, Thierry DeCruzy, préface de Brigitte Bardot, Synthèse nationale, juin 2024, 170 pages, 22,00 €.

Pour le commander cliquez ici

Les CD des Brigandes cliquez là

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mardi, 21 mai 2024

Il y a 11 ans : acte ultime de Dominique Venner

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Réaction de SN au soir du décès cliquez là

En 2014, Synthèse nationale publiait ce livre pour mieux connaitre Dominique Venner cliquez ici

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Parution chez Dualpha du nouveau livre de notre Ami Michel Festivi : La désinformation autour du Parti communiste "français"

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Heureuse initiative des Editions Dualpha dirigées par Philippe Randa : la reprise de l'excellente collection "La désinformation autour de..." lancée il y a quelques années par l'Atelier Fol'fer.

Un nouveau titre passionnant vient donc de sortir : La désinformation autour du Parti communiste "français" que nous devons à Michel Festivi, bien connu des lecteurs de Synthèse nationale.

Voici la préface de ce bel ouvrage rédigée par Francis Bergeron : 

L’Histoire du PC « F » ne fut que constructions de mensonges, trahisons, mystifications, complicités avec les pires totalitarismes, au nom « des lendemains qui chantent », « du charme universel d’Octobre », et « de la lueur qui s’est levée à l’Est ». Tous ces épisodes de terreur et de sang sont passés en revue à savoir : le soutien aux « procès » de Moscou, les trahisons de la France entre 1939-1941 en promouvant l’alliance Hitler-Staline, les appels aux sabotages de la défense nationale à l’hiver 1939-1940, les diatribes contre l’Angleterre et la France Libre qui osaient s’opposer seules aux Allemands, les appuis à l’URSS et au IIIe Reich jusqu’à l’opération Barbarossa. Le PC « F » négociera la reparution de sa presse, en se rapprochant des occupants qui leur libéreront de nombreux militants. Plusieurs communistes « français » se proposeront même d’être délateurs à charge contre les accusés du procès de Riom, relents antisémites compris et garantis.

L’auteur revient sur la non résistance des communistes « français » jusqu’au 22 juin 1941, sur le faux appel du 10 juillet 1940, sur le mythe « Guy Môquet » qui jamais ne fut un résistant aux Allemands ; il démontre aussi la supercherie d’une deuxième voie résistante avec Guingouin, Havez ou Tillon, ce qui ne fut qu’une construction mémorielle de plus. Il évoque les manipulations de Georges Marchais et du Parti, refusant d’admettre qu’il était allé travailler volontairement en Allemagne en 1942. Il expose la nature totalitaire bolchevique du PC « F », son emprise sur ses militants, ses listes noires, la liquidation de ses opposants, les agissements de Marcel Paul à Buchenwald, l’escroquerie historique du Parti des « 75 000 fusillés ». Il retrace la vie de personnages qui ont soutenu l’URSS et ses crimes : Pierre Cot, Artur London ou les époux Rosenberg… Il dépeint la guerre des mémoires qu’imposait le PC « F » et ses soutiens comme dans « l’affaire Manouchian ». Sont décrits les liens organiques et financiers du PC « F » avec la iiie Internationale et l’URSS jusqu’en 1991, l’aveuglement toujours existant des dirigeants français pour les pires régimes et tyrans : Lénine, Staline, Mao, Castro, Pol Pot, Kim.

L’auteur plaide enfin sur la nécessité d’un Nuremberg du communisme pour arrêter de falsifier l’histoire.

Cet ouvrage extrêmement documenté, relie en permanence l’histoire et l’actualité du PC « F », qui est toujours « une passion française », reprenant les positions récentes ou contemporaines d’un parti pas comme les autres, qui défend toujours des totalitarismes et des tyrans. Un livre à mettre entre toutes les mains, sans modération, pour se sortir des mensonges de notre histoire politique.

La désinformation autour du Parti communiste "français", Michel Festivi, préface de Francis Bergeron, Dualpha, 352 pages, 39,00 €

Pour acheter ce livre cliquez ici

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dimanche, 19 mai 2024

Samedi 25 mai, à Paris : Marc Rousset dédicacera son livre "Notre faux ami l'Amérique" à La Nouvelle Librairie

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Notre faux ami l'Amérique cliquez ici

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vendredi, 17 mai 2024

AVEZ-VOUS PENSÉ À VENIR VISITER NOTRE SITE LIBRAIRIE ?

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jeudi, 16 mai 2024

Vendredi 24 mai : soirée Livr'arbitres à Paris

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00:24 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 14 mai 2024

L'OUVRAGE DE GEORGES SOREL "RÉFLEXIONS SUR LA VIOLENCE" ENTRE DANS LA COLLECTION "LES GRANDS CLASSIQUES DE SYNTHÈSE NATIONALE"

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Ouvrage indispensable pour ceux qui veulent comprendre ce qu’il s’est passé en Europe au début du XXe siècle, ce livre, paru en 1910, a toute sa place dans la collection « Les grands classiques de Synthèse » dirigée par Patrick Parment. Il aurait inspiré tous les révolutionnaires de cette époque. De Lénine à Mussolini…

Réflexions sur la violence, Georges Sorel, Les grands classiques de Synthèse nationale, mai 2024, 390 p., 28,00 €

Pour le commander cliquez ici

Les Grands classiques de Synthèse cliquez là

14:32 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 10 mai 2024

L’État profond français – Qui, comment, pourquoi… ? un nouveau livre co-signé Claude Janvier et François Lagarde

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Tout y est ! Tout ce que vous avez voulu savoir sur l’État profond français sans avoir jamais osé le demander. L’argent de vos impôts finance les guerres au lieu du service public ? Qui susurre à l’oreille d’Emmanuel Macron ? Qui détruit la France et ses valeurs ? Bercy l’État dans l’État ? Qui agit dans l’ombre ? La face cachée de la haute administration. La promotion de l’autodestruction. L’infiltration des lobbies à Bercy. Les dépenses publiques en mode casino. Le sacrifice par la dette. Le sanctuaire du « deep stat » français

Extraits :

« Être de droite ou de gauche est devenu un débat stérile depuis l’époque de François Mitterrand, où les cohabitations successives nous ont apporté davantage d’impôts, plus de lois liberticides et, par conséquent, plus de privations. »

« Indubitablement, la France est profondément touchée et gangrenée par une élite politique, médiatique, intellectuelle, aisée et solidement installée dans ses privilèges… »

« François Mitterrand : “La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l’Amérique. Oui, une guerre permanente, une guerre vitale, une guerre économique, une guerre sans mort apparemment. Oui, ils sont très durs les Américains ; ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le monde…” »

« À fin décembre 2022, la France compte 4 530 radars automatiques en service sur ses routes. Selon la Cour des comptes, ces dispositifs ont rapporté 12,6 milliards d’euros de recettes entre 2003 et 2022, avec 209 millions de procès-verbaux enregistrés. Cela témoigne d’une machine à pognon vertigineuse et lucrative. »

« George Soros, président de l’Open Society Foundation, avait avancé que l’émission d’obligations perpétuelles serait une solution pour l’UE afin de faire face à la transition énergétique et à la crise Covid. Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, partageait cette vision et considérait que l’émission d’obligations perpétuelles était le seul moyen de mobiliser une telle somme. Une obligation perpétuelle, comme son nom l’indique, n’est jamais remboursée, mais exige uniquement le versement annuel des intérêts. »

« L’Administration française n’ose pas évoquer la notion de contre-pouvoir en raison de l’omerta qui règne dans les coulisses du gouvernement, de l’Assemblée et de la haute administration. Le constat est inquiétant devant la faiblesse de la justice, qui peine à prononcer des condamnations contre des élus accusés, au mieux, de tricherie et de mensonge. La presse et la justice préfèrent oublier l’existence irrégulière de ce monde parallèle, tant les uns comme les autres profitent des largesses de la corruption du pouvoir. Tout s’achète, ce n’est qu’une question de prix et de persuasion ! »

« Ce sont évidemment les impôts des Français qui financent le complexe militaro-industriel ! Il est nécessaire, avant d’aller plus loin, d’en comprendre les mécanismes exacts. En effet, grâce à l’émergence, depuis les années 1990, de Fonds cotés en bourse (ETF), beaucoup de financements ont été possibles sans que cela attire l’attention du grand public. Ainsi, les ETF sont utilisés par les investisseurs institutionnels tels que les banques privées, les fonds de pension, BlackRock et les organismes publics. »

« Il y aurait certainement beaucoup plus à écrire, c’est indéniable. On aurait pu envisager plusieurs tomes sur la collusion et le copinage au sein de nos élites, une sorte d’encyclopédie Universalis de la corruption. Cependant, compte tenu de l’énorme quantité d’informations disponibles, nous avons décidé de déclarer forfait. À la place, nous avons préféré vous offrir une compilation que nous espérons voir devenir un collector. »

Claude JANVIER : écrivain, essayiste et auteur de quatre ouvrages à succès, dont Les démasqués – qui dirige réellement le monde ? et deux autres co-écrits avec Jean-Loup Izambert. Depuis vingt ans déjà, il fouille, déterre, décortique, analyse l’actualité et se rend sur les lieux de conflits, comme en Syrie, afin de mettre à jour les véritables informations qu’il diffuse dans les nombreux médias où il intervient. Il anime, en tant que chroniqueur permanent, l’émission hebdomadaire « Libres Paroles » sur TVADP, la télévision des esprits libres. 

François LAGARDE : diplômé d’une école de commerce, se consacre de plus en plus à l’analyse détaillée de la gestion des deniers publics par les pouvoirs en place, qu’ils soient de gauche, du centre ou de droite. 

Sortie le 15 mai. Disponible sur KA’Éditions

L’État profond français – Qui, comment, pourquoi… ?, Claude Janvier et François Lagarde, KA Editions, 232 p., 20 € (sortie le 15 mai 2024)

00:46 Publié dans Claude Janvier, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 01 mai 2024

La collection Les Grands classiques de Synthèse nationale s'enrichie d'un nouveau titre : "Réflexions sur la violence" de Georges Sorel

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Ouvrage indispensable pour ceux qui veulent comprendre ce qu’il s’est passé en Europe au début du XXe siècle, ce livre, paru en 1910, a toute sa place dans la collection « Les grands classiques de Synthèse » dirigée par Patrick Parment. Il aurait inspiré tous les révolutionnaires de cette époque. De Lénine à Mussolini…

Parution prévue : 21 mai 2024

Le commander dès maintenant cliquez ici

Réflexions sur la violence, Georges Sorel, Les grands classiques de Synthèse nationale, mai 2024, 390 p., 28,00 €.

17:08 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

"Le Grand soulèvement", le nouveau roman de Romain Guérin

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Romain Guérin s'est distingué en publiant, il y a quelques années, son premier et remarquable roman, intitulé Le Journal d'Anne France (éditions Altitude, 2017). Aujourd'hui, il récidive avec un nouvel ouvrage : Le Grand soulèvement

Ce livre a vocation à réveiller nos contemporains anesthésiés qui refusent de voir ce qu'il se passe autour d'eux. Il y est question de déferlante migratoire, d'avortement de masse, de destruction de nos valeurs, de nécessité de reprendre en main notre destin, etc.  

Il y a, dit-on, dans Romain Guérin un style et une clairvoyance qui rappelleraient Jean Raspail. C'est vrai. L'inoubliable auteur du Camp des saints avait d'ailleurs fait part du plaisir qu'il avait eu à lire le premier roman de Guérin. Dans un article publié dans Le Figaro (le 17 juin 2004), intitulé  La patrie trahie par la République Jean Raspail préconisait : « Il existe une seconde hypothèse que je ne saurais formuler autrement qu’en privé et qui nécessiterait auparavant que je consultasse mon avocat, c’est que les derniers isolats résistent jusqu’à s’engager dans une sorte de reconquista sans doute différente de l’espagnole mais s’inspirant des mêmes motifs. Il y aurait un roman périlleux à écrire là-dessus. Ce n’est pas moi qui m’en chargerai, j’ai déjà donné. Son auteur n’est probablement pas encore né, mais ce livre verra le jour à point nommé, j’en suis sûr. » 

Et si ce livre était justement ce nouveau roman de Romain Guérin,  Le Grand soulèvement...

R H

Le Grand soulèvement, Romain Guérin, Presse d'Ipogépolis, 2024, 172 pages, 16,00 € cliquez ici

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mardi, 16 avril 2024

NON, L'INTERNATIONALISTE MONDIALISTE & ISLAMOPHILE MÉLENCHON N'EST PAS LE NATIONALISTE DORIOT...

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MIEUX CONNAÎTRE

JACQUES DORIOT CLIQUEZ LÀ

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jeudi, 11 avril 2024

ÉPUISÉ DEPUIS DES ANNÉES, LE LIVRE TÉMOIGNAGE CONSACRÉ À ORDRE NOUVEAU EST ENFIN REPARU...

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Cet ouvrage a été édité une première fois en septembre 2019, à l’occasion du cinquantième anniversaire de la création du mouvement Ordre nouveau. Ses concepteurs, Jacques Mayadoux et André Chanclu, avaient alors souhaité que cette première édition ait un tirage limité.

C’était sans doute sous-estimer l’intérêt que ce livre allait susciter, non seulement auprès des « anciens » qui ont connu cette période tumultueuse de l’après Mai 1968, mais aussi auprès des jeunes générations militantes pour lesquelles Ordre nouveau est devenu une référence.

Voilà pourquoi, pour répondre à cette forte demande, nous avons décidé, en accord avec Jacques Mayadoux et André Chanclu, de procéder à une seconde édition de ce livre-document.

Roland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

Sortie de la nouvelle édition : le 15 mars 2024

Commandez-le dès maintenant cliquez ici

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lundi, 08 avril 2024

Le nouveau numéro (n°45) de la revue Livr'arbitres, consacré à Gabriele d'Annunzio, est sorti

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Pour commander ce numéro cliquez ici

00:40 Publié dans Livres, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 04 avril 2024

Bruno Mégret invité de Martial Bild sur TV Libertés : il est encore possible de sauver la France...

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Salus populi, Bruno Mégret, Roman, Editions Altéra, 256 pages, 21,00 €

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vendredi, 22 mars 2024

Parution du Cahier d'histoire du nationalisme (n°27) consacré au "septennat des colonels grecs" : un entretien avec son auteur, Jean-Claude Rolinat

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Vous venez de publier aux éditions  Synthèse nationale dans la collection des « Cahiers d’Histoire du nationalisme », un nouvel ouvrage intitulé « Grèce 1967–1974, le septennat des colonels ». Pourquoi ?

Jean-Claude Rolinat : Le directeur de la collection sachant que j’étais allé en Grèce au moment des « évènements » tragiques de Chypre à l’été 1974, qui précipitèrent la chute du régime dit « des colonels », m’a demandé de faire l’historique de cette courte expérience politique. J’ai, bien entendu, accepté, ne serait-ce que pour rétablir quelques vérités. Cette dictature – car ce fut, effectivement, un régime autoritaire -, n’a jamais été aussi terrible que la « bonne  presse » voulut le dire, ni aussi efficace que ses afficionados le proclamaient. Un quotidien comme Le Monde, écrivit, je crois, au crépuscule de ce régime, que « c’était la dictature du vide ».

Avait-il raison ?

Sur le plan doctrinal, je réponds sans hésiter, oui. Contrairement à des régimes politiques comme le Franquisme en Espagne, le Péronisme en Argentine, ou le « Salazarisme » au Portugal, il n’y avait pas de colonne vertébrale idéologique et militante pour structurer la politique gouvernementale, et lui servir de relai auprès de l’opinion. Les colonels se méfiaient-ils des civils ? Franco avait unifié les organisations qui avaient soutenu sa croisade de 1936 à 1939, au sein du Movimiento nacional, Perón disposait de l’appareil du Parti justicialiste et de son puissant syndicat, la CGT, et Oliveira Salazar avait l’Union Nationale et les jeunes de la Mocidade à sa botte, si je puis dire. Toutes ces forces politiques, hiérarchisées, irriguaient leurs pays respectifs. Rien de semblable dans la « Grèce des colonels », ce qui explique, en partie sans doute, leur départ calamiteux, il faut bien le dire.

Alors, le putsch d’ Athènes, également un 21 avril, un coup d’État pour rien ?

Non, pas du tout, car la Grèce était bien malade, la proie notamment, des rivalités des grandes familles qui se partageaient le pouvoir dans un jeu stérile pour « coloniser » le pays à leur profit. En effet, des féodalités  politiques - un peu comme en Corse et au Liban -, se succédaient aux affaires, se répartissant sans vergogne prébendes et avantages divers.

De plus, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, la Grèce avait été la victime d’un long conflit civil qui opposait forces royalistes – la droite, pour faire court -, aux communistes de L’EAM-ELAS du « général » Markos dans sa république autoproclamée de Konitza. Ils tenaient de vastes territoires avec leurs milices armées. Finalement vaincue militairement, la menace communiste n’en perdurait pas moins dans les urnes -24,8 %  par exemple en 1958 -, facilitée par la complicité des socialistes et de l’Union du centre, ce dernier parti aux mains de la famille Papandréou. Et même si l’ancien PC grec - le KKE interdit, remplacé par l’EDA, elle-même dissoute en 1967 -, s’était scindé en « Parti communiste de l’intérieur » et l’autre, dit de « l’extérieur », la menace  prégnante était là.

La monarchie avait été rétablie après le départ des Allemands, grâce au concours militaire des Britanniques. Et le nouveau souverain, le jeune Constantin II, était plutôt faible, manipulé par sa mère, une Allemande, la princesse Frederika, peu aimée du peuple. La Grèce n’était plus l’héritière de la « sagesse » athénienne, mais bien plus une entité balkanique comme ses voisines, marquée, il faut bien le dire, par des siècles d’occupation ottomane, laquelle n’avait rien laissé de positif en matière de mœurs, et de… « sociabilité » !  

Le coup d’État des militaires était le point d’orgue d’une interminable crise politique pendant laquelle les premiers ministres se succédaient à la primature, les Novas, Stéphanopoulos, Paraskevopoulos et autre Canellopoulos, le tout sur fond de manifestations violemment réprimées, et des échauffourées entre paysans et policiers. Sans oublier le complot de l’Aspida, dans lequel était impliqué Papandréou junior, «  à gauche toute », contrairement à son père, Georges, plus modéré. Les suites judiciaires de cette affaire se soldèrent par la condamnation de 12 officiers pour tentative de subversion dans l’armée.

Il y avait donc des éléments de gauche, infiltrés dans l’armée royale grecque ?

Oui, et c’est en partie après ce constat que le colonel Papadopoulos - l’architecte du « golpe » du 21 avril 1967 -, les généraux Pattakos et Spanditakis, emmenèrent leurs pairs sur le chemin de la rébellion, pour extraire la mauvaise herbe de l’institution militaire et régénérer le pays. Le roi, faible, mis devant le fait accompli, n’avait plus qu’à entériner le putsch. Lequel s’était déroulé d’une façon classique : bâtiments officiels occupés, moyens de communication sous séquestre, personnalités politiques « indésirables » arrêtées à « l’heure du laitier », et transférées en détention dans les îles de la mer Égée.

L’opinion publique a-t-elle suivie ?

À l’exception des éléments d’extrême-gauche, bien entendu, les Grecs, dans l’ensemble, ne virent pas d’un trop mauvais œil le rétablissement de l’ordre et de la discipline dans un pays qui en avait bien besoin.

Washington, inquiète des avancées soviétiques en Méditerranée orientale - et même si la CIA n’avait pas directement participé au pronunciamiento de l’un de ses anciens élèves, Papadopoulos -, ne pouvait que se féliciter d’un tel changement dans la région. D’autant que la « Guerre des six jours » opposant Israël à ses voisins arabes, allait éclater quelques semaines après, bouleversant encore l’échiquier moyen-oriental.

Les colonels se débarrassèrent du roi, proclamèrent la république et élirent l’un des leurs à sa tête. On peut dire que si les jeunes ne furent pas les gagnants dans l’affaire – cheveux longs et jupes courtes étaient mal vus ! -, les agriculteurs s’en sortirent plutôt bien, constituant une petite masse de supporters du nouveau régime. Lequel allait sombrer dans l’incurable maladie infantile des rivalités de personnes, Papadopoulos - président désigné à la suite d’un plébiscite, surnommé « Nasseriki » -, étant renversé le 25 novembre 1973 au bout de 150 jours d’exercice du pouvoir. Illico remplacé par ses pairs, qui placèrent le général Phaédon Ghizikis à la tête de l’État. Le même qui, un an plus tard, fera piteusement appel à Caramanlis, réfugié à Paris, pour restaurer la démocratie, après l’échec de l’infructueuse tentative d’annexion de Chypre !

D’ailleurs, il est curieux de voir une similitude entre l’échec des colonels grecs dans une tentative de diversion extérieure avec celle, menée huit ans plus tard, des généraux argentins qui tombèrent, eux aussi, de leur piédestal, après une infructueuse fuite en avant militaire aux îles malouines.

Alors, « tout ça pour ça », me direz-vous ? Où en-est la droite nationale en Grèce de nos jours. Que reste-t-il du passage aux affaires des colonels ?

Des colonels ? Pas grand-chose. À Nicosie, dans la partie grecque de l’île de Chypre, envahie au nord par les Turcs à l’été 1974, un Noratlas planté dans un cimetière, rappelle le sacrifice des paras grecs venus vainement à la rescousse de leurs frères d’armes de la garde nationale chypriote.

Lorsque le parti EPEN existait, et qu’il était dans le même groupe que le Front National à Strasbourg, l’establishment grec n’avait qu’une peur, que le « Menhir » rende visite au colonel Papadopoulos, interné à vie ! Car les grands « démocrates » grecs n’y sont pas allés de « main morte » avec les militaires de haut rang, les condamnant à de longues années de prison, ou les poussant au suicide.

De nos jours, la droite « dure », la « vraie » droite, renait de ses cendres après les années d’Aube dorée, au programme et au parfum, disons, un peu «  sulfureux ». Là aussi, ses dirigeants ont été poursuivis et condamnés souvent de manière injuste. Tel n’est pas le cas pour trois formations qui ont fait leur entrée au parlement : Les Spartiates, 12 sièges, Solution grecque, 16 députés et Démocratie patriote (Niki) 10 sièges. Ce qui donne tout de même 40 parlementaires sur 300, avec presque 13 % des suffrages. Gageons que lors du prochain scrutin européen, ces gens-là rejoindront leurs « frères » des groupes identitaires et conservateurs au Parlement de Strasbourg, et qu’ils contribueront au renversement de l’actuelle Commission européenne à Bruxelles !

Grèce 1967-1974 : le septennat des colonels, Cahier d'histoire du nationalisme n°27, Jean-Claude Rolinat, avec le concours de Didier Lecerf, Synthèse nationale, mars 2024, 148 pages, 24,00 €

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samedi, 09 mars 2024

Le nouveau livre de Philippe Randa, "Coups d'oeil et tirs à vue", vient de paraître

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Un entretien avec l'auteur :

Dans vos XXIe chroniques barbares, vous ne semblez toujours pas sensible aux sirènes du Macronisme. Vraiment pas du tout ? Même pas un petit peu ?

Et encore moins que cela, si c’était possible… Et l’épisode tragicomique de la récente inauguration du salon de l’agriculture ne fait que confirmer ce que j’ai souvent écrit depuis l’entrée à l’Élysée de son locataire actuel ; sur lui et surtout sur la caste qui dirige depuis lors notre pays : ses représentants agissent avec un logiciel pas seulement obsolète, mais totalement erroné ; logiciel qu’ils ont acquis – ou plutôt reçu – dans les « grandes écoles » qu’ils ont hantées. Et d’ailleurs, la plupart en sont sortis avec des diplômes qu’ils doivent sans doute moins à leurs mérites personnels qu’à la cooptation de classe : la corruption, ça s’hérite autant que les comptes offshores ; certaines familles ont cela dans les veines comme d’autres avaient du sang bleu…

Logiciel erroné, c’est-à-dire ?

Quand vous ou moi faisons une erreur, quand nous nous trompons, quand nous essuyons un échec, nous assumons, payons la casse, réfléchissons et… ne refaisons pas la même erreur… Je me trompe ? Mais pas cette caste qui dirige la France (et pas que la France) ! Non, elle maintient le seul cap que son logiciel indique (jamais de mise à jour), ne pense jamais qu’elle a fait une erreur (sinon le logiciel le dirait), ne reconnaît jamais son échec (l’hypothèse n’est pas prévue), n’assume jamais les pots cassés (qui ne sont sans doute pour eux que des « sentiments de faillites » comme il y a des « sentiments d’insécurité » pour parodier le jovial Me Dupont-Moretti) et réfléchis encore moins pour comprendre pourquoi ça ne marche pas… et continue imperturbablement dans la même direction qu’indique leur vénéré logiciel.

Un logiciel qui est leur boussole, en quelque sorte…

Une boussole indique toujours le nord, comme on sait : le logiciel de cette caste indique, lui, toujours la direction de davantage de mondialisation, synonyme de profits. Comme l’alpha et l’oméga de la nature profonde de ces « diplomés-élus », c’est de générer toujours plus d’enrichissements personnels pour répondre à leur obsession de « mourir le plus riche de son cimetière », ils ne peuvent pas comprendre, et même percevoir, la réalité du quotidien de leurs compatriotes, ni les signes annonciateurs de guerres civiles – nous en sommes déjà quotidiennement ici et là aux guérillas –, et bien sûr de quelque choc de civilisation que ce soit… Cette caste fait penser – ô combien ! – à ces aristocrates de l’Ancien Régime dont la seule préoccupation, obsessionnelle elle aussi, était de parader à Versailles… Ce, au nom de leur particule héritée d’un lointain ancêtre qui, lui, s’était généralement distingué au péril de sa vie sur un champ de bataille… Et ce fut un jour la Révolution française alors même que personne, avant 1789 et même jusqu’en janvier 1793 et la condamnation à mort du Roi, n’avait même envisagé l’abolition de la monarchie. Pourtant, le 21 janvier 1793, Louis XVI était guillotiné. Cela devrait faire réfléchir tous ceux qui s’imaginent que la France restera éternellement une démocratie que le monde entier est censé nous envier.

Coups d’œil & Tirs à vue (Chroniques barbares XXI), Philippe Randa, Éditions Dualpha, préface d’Alain Sanders, 186 pages, 25 euros. cliquez ici

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mercredi, 06 mars 2024

Réédition chez Déterna du livre "La Franc-Maçonnerie vous parle", de Robert Vallery-Rabot, dénonçant le rôle du Grand Orient dans le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale

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L’auteur fait un historique très documenté de la Franc-Maçonnerie rappelant ses origines à Londres, en 1777, d’où elle s’étendit immédiatement en France, tout en restant sous l’obédience du roi d’Angleterre et de deux pasteurs anglicans qui édictaient les mots de passe.

Il met en évidence la coopération d’idées et d’action de la City anglaise et de la FM, l’influence néfaste des écrivains français du XVIIIe siècle tels que Voltaire, Montesquieu, Diderot qui symbolisent l’esprit maçonnique.

Il rappelle les évènements de Fachoda, la scandaleuse attitude des Francs-maçons qui, en juin 1917, tenaient un congrès à Paris pour empêcher la paix avec l’Autriche qui aurait mis fin à la guerre un an plus tôt.

Il dénonce le rôle d’hommes d’État américains et anglais dont le but était d’asservir la France comme le montrent les plans Young, Dawes, etc. et flétrit l’alliance de la finance internationale de la Cité de Wall-Street, cimentée par les liens maçonniques.

Il explique le rôle du Grand Orient dans le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale.

La Franc-Maçonnerie vous parle, Robert Vallery-Rabot, Déterna, première édition en 1941, réédition en 2023, 108 pages, 17,00 € (+ 6,00 € de port).

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RAPPEL, dimanche 10 mars, à 15 h : une conférence d'Alban d'Arguin en Vendée

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Alban d'Arguin est aussi l'auteur du livre

Éolienne, un scandale d'État cliquez ici

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lundi, 04 mars 2024

Sortie cette semaine du nouveau Cahier d'Histoire du nationalisme (n°27) : "GRÈCE, 1967-1974 : LE SEPTENNAT DES COLONELS"

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Au printemps 1967, la Grèce était plongée dans une crise politique et institutionnelle grave. De plus, le Parti communiste, persuadé de sa popularité, se préparait à instaurer un régime marxiste sanguinaire qui finirait d’achever le pays. Il faut rappeler que nous sommes en pleine « guerre froide » et que le « berceau de la démocratie » est entouré de pays, qu’il s’agisse de l’Albanie maoïste ou de la Bulgarie alignée sur Moscou, bien peu « démocrates ». Ajoutez à cela les tensions ancestrales avec la Turquie voisine ravivées par la question chypriote.

C’est donc pour éviter une telle perspective que, le 21 avril au petit matin, à Athènes, l’armée s’empare du pouvoir. Elle met à la tête du pays une junte de colonels qui, malgré quelques « remaniements », restera aux affaires jusqu’à l’été 1974.

Cette période n’a pas été épargnée par les bonnes consciences universelles qui l’ont caricaturée tout en s’obstinant à ignorer ce qui se passait alors dans les Balkans voisins. Certes, elle est loin d’avoir été parfaite et nos critiques, autres que celles de la bien-pensance hypocrite, ne manquent pas. Nous sommes loin de l’Espagne du général Franco ou du Portugal du professeur Salazar. Néanmoins, il aurait été dommage de continuer à ignorer cette expérience somme-toute intéressante. Voilà pourquoi nous lui consacrons ce nouveau Cahier d’Histoire du nationalisme.

Grèce 1967-1974 : le septennat des colonels, Jean-Claude Rolinat, avec la contribution de Didier Lecerf, collection "Les Cahiers d'Histoire du nationalisme", n°27, 150 p., 24,00 € + 6,00 € de port.

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samedi, 02 mars 2024

BONNE NOUVELLE : LE FAMEUX LIVRE "ORDRE NOUVEAU RACONTÉ PAR SES MILITANTS", ÉPUISÉ DEPUIS TROIS ANS, EST EN COURS DE RÉÉDITION

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Cet ouvrage a été édité une première fois en septembre 2019, à l’occasion du cinquantième anniversaire de la création du mouvement Ordre nouveau. Ses concepteurs, Jacques Mayadoux et André Chanclu, avaient alors souhaité que cette première édition ait un tirage limité.

C’était sans doute sous-estimer l’intérêt que ce livre allait susciter, non seulement auprès des « anciens » qui ont connu cette période tumultueuse de l’après Mai 1968, mais aussi auprès des jeunes générations militantes pour lesquelles Ordre nouveau est devenu une référence.

Voilà pourquoi, pour répondre à cette forte demande, nous avons décidé, en accord avec Jacques Mayadoux et André Chanclu, de procéder à une seconde édition de ce livre-document.

Roland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

Sortie de la nouvelle édition : le 15 mars 2024

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jeudi, 29 février 2024

Samedi 2 mars : Daniel Habrekorn à la Librairie Vincent à Paris

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jeudi, 22 février 2024

Dans les yeux du roi… Et autres chemins parallèles de Patagonie et d’ailleurs

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Propos recueillis par Fabrice Dutilleul

Pourquoi un tel ouvrage ? Pour rendre hommage à Jean Raspail, récemment disparu, au royaume patagon, éternellement vivant… ou aux Patagons, toujours plus motivés que jamais à vivre leur rêve ?

Un peu tout cela à la fois. Surtout, nous voulions montrer de Jean Raspail son vrai visage, celui de l’éternel voyageur qui, un jour, eut cet éclair de génie en exhumant l’improbable royaume de Patagonie, dans le souvenir à la fois romanesque et romantique d’Antoine de Tounens, roi pour l’éternité de cette royauté littéraire et onirique.

Jean Raspail n’est pas uniquement l’auteur du Camps des Saints, œuvre fulgurante, sulfureuse et prophétique dans laquelle thuriféraires enthousiastes et contempteurs de mauvaise foi cherchent obstinément à l’enfermer. Raspail n’est surtout pas l’homme d’un seul livre et l’on s’abîmerait dans l’erreur la plus absolue si l’on négligeait des livres aussi remarquables tels que Qui se souvient des hommes, La Hache des SteppesPécheur de lunesMoi Antoine de Tounens, roi de Patagonie, sans oublier, bien sûr, le tendre et mélancolique Jeu du roi.

À l’heure où une poignée d’obscurs « écrinains » wokes s’attachent à salir la réputation de Sylvain Tesson, au prétexte qu’il aurait été un « proche » de Raspail (la belle affaire !), après avoir été l’auteur (ce qui est complètement faux, mais on ne prête qu’aux riches) de la préface du Camp des Saints, il est bon de rappeler à tous les salisseurs de mémoires, que le chroniqueur des Pikkendorff était aux antipodes du racisme rabique, infamie que les jaloux et les ratés se sont toujours évertués à lui coller sur le dos, et qu’accessoirement, ils seraient bien avisés de fermer leur « claque-merde » (comme l’intimait salutairement l’autre grand poète qu’était Michel Audiard).

Qu’apporte votre recueil qui n’avait pas encore dit, écrit… ou conté ?

Son ambition est beaucoup plus modeste. Il ne s’agissait pas pour les auteurs qui ont concouru à son élaboration, de défendre une thèse ou d’éclairer d’un jour prétendument nouveau une œuvre qui se suffit à elle-même. Tous, dont votre serviteur, ont souhaité évoquer ce que leur inspire ce jeu du roi, qui, pour les non-initiés, reste auréolé d’un voile de mystère.

En réactivant cette lointaine contrée fantasque, foutraque, fantastique et flamboyante, Raspail offrait à tous les joueurs et rêveurs sincères un port d’attache, une terre d’exil qui permet, à peu de frais, de fuir la laideur et la médiocrité de ce monde moderne qui, décidément, ainsi que le déplorait Bernanos, se complaît jusqu’au sadisme à conspirer contre toute sorte de vie intérieure.

Nous espérons que les lecteurs peu familiers de Raspail et, surtout, de son jeu magnifique, rallieront cette Patagonie de cœur qui remplira leur âme et les gardera de toute tentation nihiliste. Ce recueil est une invitation à faire « comme si », comme quand nous étions enfants, lorsque nous faisions semblant d’incarner nos héros ; nous caracolions sur des chevaux en carton, une épée de bois à la main, « pour de faux », évidemment, mais dotés d’un redoutable esprit de sérieux…

Où en est aujourd’hui le royaume de Patagonie ?

Il continue de faire rêver. Entre souverains putatifs ou réels se disputant âprement un trône aussi inaccessible que déjà pris et sujets patagons ne perdant jamais une occasion de déployer le drapeau de leur royaume sur tous les sommets du monde, on peut dire que le royaume de Patagonie se porte plutôt bien. L’on doit d’ailleurs saluer l’ami François Tulli qui, depuis le départ du cavalier de l’Ouest pour l’au-delà des mers, continue inlassablement à faire paraître, sous les auspices du Cercle de l’inutile, le Bulletin de liaison patagon. Pour nombre de Patagons, ce royaume demeure plus vrai que nature. En toute circonstance, toujours faire « comme si »…

Avec les contributions de : Francis Bergeron, Marie de Dieuleveult, Olivier François, Philippe Hemsen, Abbé Guilhem Le Coq, Sylvain Roussillon, Alain Sanders, Louis Soubiale, François Tulli.

Dans-les-yeux-du-roi-quadri-214x300.jpegDans les yeux du roi… Et autres chemins parallèles de Patagonie et d’ailleurs (Entretiens, essais, hommages, pastiches coordonnés), Aristide Leucate, Préface de Francis Bergeron, Éditions de l’Atelier Fol’Fer, 192 pages, 25 euros. Pour commander ce livre, cliquez ici

10:11 Publié dans Aristide Leucate, Livres, Rencontre avec... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 18 février 2024

Aujourd'hui, dimanche 18 février, au Perrier, en Vendée, conférence de Bernard Germain sur son nouveau livre "L"Union européenne : en sortir... au plus vite !"

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À l'issue de la conférence,

l'auteur dédicacera ses livres cliquez ici.

Renseignements, réservations :

rassemblementvendeen@outlook.fr

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mardi, 06 février 2024

Un nouveau livre de Marc Rousset : "Notre faux ami l'Amérique"

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Dans son ouvrage « Notre Faux-Ami l’Amérique – Pour une Alliance avec la Russie », Marc Rousset constate que l’Europe ne va pas de Washington à Bruxelles, mais de Brest à Vladivostok. L’Océan Atlantique sépare l’Amérique de l’Europe, alors que l’Union Européenne et la Russie, le plus grand pays de l’Europe, sont deux grands voisins complémentaires.

En conclusion de son ouvrage, Marc Rousset nous dit que la seule vraie question pour les Européens, c’est de faire le choix suivant : Rester Européen en se rapprochant de la Russie ou devenir Américain en acceptant le protectorat de l’OTAN et en perdant leur identité européenne. La Russie et l’Europe ont des intérêts communs et un Avenir commun sur ce grand continent paneuropéen qui va de l’Océan Atlantique à l’Océan Pacifique.

Piotr Tolstoï (extrait de la Préface)

Marc Rousset, H.E.C, Docteur ès Sciences Economiques, diplômé des universités Columbia et Harvard, Prix de l’Académie des Sciences Morales et Politiques, est un ancien haut dirigeant d’entreprise. Chroniqueur, économiste, écrivain, auteur de « la Nouvelle Europe de Charlemagne » préfacée par Alain Peyrefitte, il en appelle à un sursaut salvateur et démontre dans ce livre que l’Avenir de la France et de l’Europe est à l’Est, avec la Russie, et non pas avec l’Amérique !

Les articles de Marc Rousset sont régulièrement publiés sur le site Synthèse nationale cliquez ici ou dans la revue éponyme.

"Notre faux ami l'Amérique", Marc Rousset, préface de Piotr Tolstoï,  édition Librinova, 2024, 374 pages, 24,90 €.

17:44 Publié dans Livres, Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |