Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 29 mai 2023

DANS LE NOUVEAU NUMÉRO DE "LECTURES FRANÇAISES" (n°793 - mai 2023), UN GRAND ENTRETIEN AVEC DIDIER LECERF SUR SON LIVRE "FRANÇOIS DE LA ROCQUE, DES TRANCHÉES AU PARTI SOCIAL FRANÇAIS"

articlechiré.jpg

Pour acheter ce numéro cliquez ici

2016 11 GABADI CONF copie 2.jpg

Pour commander ce livre cliquez là

 

09:50 Publié dans Livres, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 27 mai 2023

Le livre "Réflexions pour un nouveau corporatisme", publié par Synthèse nationale il y a 3 ans, vient d'être édité en espagnol

porunnuevocorporativismo_web.jpeg

Nos amis d'Alicante des éditions EAS viennent de sortir la version traduite en espagnol du livre "Réflexions pour un nouveau corporatisme", réalisé sous la direction de Georges Feltin-Tracol, que nous avions édité en mai 2020. 

Pour acheter la version espagnole cliquez ici

et l'original en français cliquez là

2020 03 flyer corpo liv copie.jpg

16:56 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 26 mai 2023

Pierre Cassen et Bernard Germain présentent le livre "Transgression" au Forum du Parti de la France

348942987_1221260622087650_6160864977735437913_n.jpg

2023 05 transgression 3.jpg

Pour le commander cliquez ici

12:25 Publié dans Livres, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 16 mai 2023

Le livre qui bouscule les lignes. Il sort prochainement, commandez-le dès maintenant...

2023 05 transgression 3.jpg

Bulletin de commande cliquez ici

Commandez-le en ligne cliquez là

Ils étaient trotskistes. L’un, Pierre Cassen, à la Ligue communiste révolutionnaire (LCR), l’autre, Bernard Germain, à l’Organisation communiste internationaliste (OCI). Ils sont aujourd’hui dans le camp du « mal », le camp national et identitaire.

Ils ont donc transgressé tous les interdits de la gauche et des bien-pensants pour parcourir ce chemin qui les a conduits de la gauche à la droite.

C’est parce qu’ils ont accepté de s’ouvrir aux arguments du camp d’en face, parce qu’ils ont refusé de rejeter par principe les opinions des autres, qu’ils ont pu étudier de manière critique les arguments et contre-arguments du débat.

Aujourd’hui, une multitude de gens s’autocensurent, s’interdisent de réfléchir et de confronter les points de vue. Terrorisés de se voir affublés des qualificatifs de « raciste » ou « extrême droite ».

Ce faisant, ils acceptent de s’enfermer dans une prison idéologique d’où est bannie toute réflexion critique et tout véritable débat. Ces gens sont en fait des victimes du totalitarisme intellectuel ambiant.

Si seulement ils osaient étudier les problèmes sans se contenter de réciter la messe des bien-pensants, ils vivraient sans doute une évolution de leurs certitudes vers une véritable opinion.

Au travers de nombreux sujets Pierre Cassen et Bernard Germain exposent leurs opinions, expliquent pourquoi ils ont changé et interpellent les membres du camp du « bien » en les invitant à répondre à de nombreuses questions.

Un livre important pour qui veut retrouver sa liberté de pensée et pouvoir se faire sa propre opinion sans se soucier du qu’en dira-t-on ou de la peur d’être diabolisé par les geôliers de la pensée.

Préface de Jean-Yves Le Gallou

Avec des témoignages de :

Hugue Bouchu, délégué des Amis franciliens de Synthèse nationale, Santiago Cartagena, ancien militant communiste chilien, aujourd’hui membre de Vox (parti national espagnol), Gérard Delépine, chirurgien, Patrick Gofman, écrivain et essayiste, Pascal Hilout, apostat, Patrick Loiseau, écrivain, Lucien Samir Oulahbib, universitaire, docteur en sociologie.

21:21 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 10 mai 2023

Deux nouveaux livres prochainement publiés par Synthèse nationale

COUV Maquette SN REVUE copie 17.jpg

En savoir plus et le commander

dès maintenant cliquez ici

Hugo Zemmour couv.jpg

En savoir plus et le commander

dès maintenant cliquez là

13:35 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 28 avril 2023

Au moment où le gouvernement socialiste espagnol se livre à la profanation de la sépulture de José Antonio, Michel Festivi présente son nouveau livre sur Miguel Primo de Rivera

fghjkllm.jpeg     COUV Maquette SN REVUE copie 22.jpg

Michel Festivi vient de faire paraître aux éditions Dualpha Miguel Primo de Rivera : Un dictateur éclairé pour régénérer l’Espagne 1923-1930, préface d’Arnaud Imatz, après L'Espagne ensanglantée : Anarchistes, milices socialistes, communistes et révolutionnaires, 1880-1939, et Les trahisons des gauches espagnoles, du républicanisme au totalitarisme, 1930-1936, parus chez le même éditeur dans la même collection « Vérités pour l’Histoire » respectivement en 2022 et 2021.

Pourquoi ce livre sur le Régime politique de Miguel Primo de Rivera ?

Parce que ce régime est quasiment inconnu en France, et que ces sept années furent pour l’Espagne sept années de croissance économique sans précédent, des années de prospérité après les violences révolutionnaires et la perte de l’Empire, des années où l’Espagne retrouva un rôle important dans le concert des nations et brilla de mille feux de par ses poètes, peintres, musiciens et écrivains. Avec ce livre, je complète ma trilogie sur cette période après le fiasco de la IIe République (Les trahisons des gauches espagnoles) et les violences politiques anarchistes et révolutionnaires (L’Espagne ensanglantée). Je crois pouvoir dire que rien de sérieux n’a été écrit sur ce Régime en France, à part quelques lignes éparses ici et là.

Quelles furent les grandes réformes économiques que mit en place Miguel Primo de Rivera ?

Il prit plusieurs dossiers à bras-le-corps : création d’un réseau de communications modernes avec des travaux routiers d’importance ; l’irrigation et l’électricité par l’édification de barrages hydrauliques ; le développement d’une économie efficiente : l’industrie automobile, la téléphonie, l’aviation, les compagnies pétrolières, etc. et ce grâce à des hommes très compétents, souvent issus de la société civile. Il parvint à organiser deux très grandes expositions internationales, celles de Barcelone et de Séville, et accrut dans des proportions inégalées le tourisme et la rénovation des monuments historiques (création des Paradors notamment) ce qui favorisa le développement du pays.

Et du point de vue social ?

Ce fut là aussi une très grande réussite avec de multiples lois sociales sur la durée du travail, les congés maternité, la création de caisses de retraite, de chômage, des maisons bon marché, des procédures de conciliation, et bien d’autres, et ce avec l’aide d’un ministre du travail remarquable, Eduardo Aunos, dans le cadre d’un système corporatiste mixte (philosophie du catholicisme social), système corporatiste qui reçut l’aval du PSOE et de l’UGT avec à sa tête Largo Caballero qui devint conseiller d’État. La condition ouvrière s’améliora notablement. Les grèves s’estompèrent, la violence anarchiste de la CNT fut réduite, ce qui plut beaucoup aux socialistes.

Dans quels autres domaines peut-on dire que le Régime fut régénérateur ?

Miguel Primo de Rivera accorda aux juifs séfarades éparpillés en Afrique du nord, dans les Balkans, Turquie et Grèce, dont les ascendants avaient été expulsés d’Espagne en 1492, la nationalité espagnole et un statut de « protégés », ce qui permit ensuite dans les années 1940-1945 le sauvetage par le régime franquiste, qui poursuivit cette politique, de milliers de juifs, j’y consacre tout un chapitre. C’est totalement passé sous silence par l’historiographie officielle. Le régime fit également de nombreuses réformes militaires et scolaires, sur lesquelles je reviens. Il accorda aussi aux femmes la possibilité d’être électrices et élues ce qui était quasiment une première mondiale, dans le cadre d’une nouvelle Assemblée nationale corporatiste. De plus, ces années furent d’un point de vue culturel et artistique flamboyantes, tout un chapitre y est dédié.

Et le protectorat espagnol au Maroc ?

Je procède à de nombreux développements, car c’est Miguel Primo de Rivera qui parvint à pacifier définitivement cette région du Rif concédée par la France à l’Espagne alors que tous les autres dirigeants espagnols s’y étaient « cassés les dents ». Les guerres du Protectorat permettront au Régime de Miguel Primo de Rivera de réformer le système militaire espagnol et de créer une académie générale qui fit l’émerveillement notamment des militaires français.

Comment qualifier ce Régime Politique ?

Je procède à une analyse précise de ce Régime très particulier, qui ne fut ni un pronunciamiento de plus, ni un fascisme, comme je le démontre à l’aide de multiples exemples historiques. Pendant ces sept années, aucune exécution politique n’eut lieu. En parallèle et en comparaison, je reviens sur la gouvernance calamiteuse d’un Manuel Azaña sous la IIe République, sur le coup d’État d’octobre 1934 organisé par les gauches, sur la mainmise totale de Staline et du NKVD sur la zone révolutionnaire en 1936-1939, et sur les désinformations proférées par bien des tenants de l’orthodoxie universitaire française sur toute cette période, dont la fraude constitutionnelle et électorale qui permit l’accession du front populaire en février 1936, ce qui aboutit à une anarchie généralisée. Enfin, je tiens à remercier le grand historien français de l’Histoire de l’Espagne, Arnaud Imatz d’avoir accepté de préfacer mon livre, lui qui fut le maître d’œuvre de la guerre d’Espagne revisitée aux éditions Economica et d’une biographie définitive de José Antonio Primo de Rivera aux éditions Godefroy de Bouillon.

Miguel Primo de Rivera. Un dictateur éclairé pour régénérer l’Espagne 1923-1930, Michel Festivi, Éditions Dualpha, préface d’Arnaud Imatz, 344 pages, 35 euros.

Pour commander ce livre cliquez ici

Sur José Antonio Primo de Rivera :

COUV 2013 1.jpg

Pour l'acheter cliquez là

17:38 Publié dans Livres, Michel Festivi, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 21 avril 2023

Vers l’implosion des États-Unis ?

Marche copie.jpg

La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

Le procureur démocrate de Manhattan, Alvin Bragg, a inculpé, le 30 mars dernier, l’ancien président Donald Trump sous trente-quatre chefs d’accusation pour des peccadilles. Un procès au civil s’ouvre par ailleurs à New York à propos d’un viol qu’il aurait commis sur une journaliste il y a plusieurs années. Candidat déclaré aux primaires présidentielles républicaines de l’an prochain, le 45e président crie au complot politique, à l’instrumentalisation judiciaire et à la manipulation médiatique.

Le 7 avril, un juge fédéral au Texas, Matthew Kacsmaryk, interdit la pillule abortive. Cette décision devrait normalement faire jurisprudence sur l’ensemble du territoire étatsunien. Quelques heures plus tard, dans l’État de Washington, un autre juge fédéral, Thomas Rice, nommé par Barack Obama, rend une décision contraire à la première. Bien que les deux sentences s’annulent, l’administration Biden fait aussitôt appel.

Le 27 mars, Audrey Hale, âgée de 28 ans, en pleine transition dysgenrée, commet une tuerie dans une école de Nashville dans le Tennessee : six morts dont trois enfants de 9 ans chacun. Elle (ou il, voire « iel » - sic !) a auparavant rédigé un manifeste dont le contenu reste inconnu. On peut déjà présumer que sa teneur cisphobe et hétérophobe n’indignera guère les plumitifs complaisants.

Une guerre culturelle bat son plein outre-Atlantique. Des États républicains tels la Floride chassent les bouquins wokistes et pornographiques des bibliothèques scolaires. Dans les États démocrates, ce sont les livres jugés sur des critères subjectifs et partiaux discriminants et attentatoires à la liberté des minorités qu’on retire d’autorité s’ils ne sont pas réécrits en novlangue inclusive.

Ces quatre exemples montrent qu’Oncle Sam connaît de profondes divisions intestines. Cette situation conflictuelle est au cœur de l’essai de Stephen March au titre évocateur : USA : la prochaine guerre civile. Vers l’explosion des États-Unis ? (Buchet-Chastel, 2023, 306 p., 22,50 €).

Canadien vivant aux États-Unis, ce journaliste collabore à la presse du Système (New York Times, Wall Street Journal). Il observe les dissensions multiples qui fracturent la société étatsunienne. Il constate que cela ne concerne pas que le clivage républicains « rouges » - démocrates « bleus ». Les contentieux dépassent le cadre politique même si la géographie et la sociologie confirment d’indéniables correspondances. Les États progressistes côtiers de l’Est (New York) et de l’Ouest (Californie) font face aux États conservateurs de l’intérieur. Victimes d’un déclassement social et de la consommation affligeante d’opioïdes, les « petits Blancs » détestent une caste arrogante et incompétente, surprotégée. Appuyée par la doxa médiatique politiquement correcte, la communauté noire tente d’imposer son monopole culturel à travers l’activisme Black Lives Matter.

Stephen March estime que « les forces qui la déchirent sont à la fois radicalement modernes et aussi anciennes que le pays lui-même. […] La révolution sanglante et la menace de sécession sont des composantes intrinsèques de l’expérience américaine ». Les premiers colons puritains fuient l’Angleterre agacée par leur rigorisme. Au XIXe siècle, les mormons préfèrent s’installer au bord du Grand Lac Salé plutôt que de continuer à côtoyer des mécréants. Les immenses espaces de l’Amérique du Nord facilitent une existence côte à côte sans craindre la promiscuité. L’auteur objecte cependant que « les services de renseignement d’autres pays préparent des dossiers sur les scénarios éventuels d’un effondrement de l’Amérique ». Il se montre ainsi alarmiste.

À partir de sources ouvertes, d’entretiens, d’enquêtes et d’analyses de sondages, l’auteur pose cinq hypothèses de déflagration socio-politique. Une seule a une cause naturelle : un puissant ouragan ravage New York et contraint les citadins rescapés à se réfugier à l’intérieur des terres. Les quatre autres conjectures reposent sur une amplification des heurts d’autant qu’à ses yeux,  « l’Amérique s’est toujours définie par la violence ».

Stephen March accuse une « extrême droite » aux mille facettes de préparer un « terrorisme de l’intérieur ». La mouvance patriote anti-gouvernementale serait le principal responsable de cette ambiance délétère dont le paroxysme se serait déroulé le 6 janvier 2021 au Capitole… Il remarque que « l’intensité de leur haine du gouvernement est leur façon d’exprimer leur amour pour leur pays. Ils croient que l’autorité fédérale détruit la véritable Amérique ». Il ajoute même que, selon eux, « l’Amérique n’est plus possible au sein des États-Unis d’Amérique ». Il ignore en revanche le pesant danger wokiste. Son approche verse dans le manichéisme grossier. Pis, il envisage le recours à des lois d’exception. « Pour survivre, prévient-il, le gouvernement devra suspendre les droits les plus emblématiques inhérents à son pouvoir, ceux du Bill of Rights ». Il avertit avec une gourmandise certaine que « le gouvernement américain n’aura pas d’autres choix que d’instaurer un contrôle des armes à feu, un contrôle des faits et gestes de ses citoyens et un contrôle des discours de haine ». Pas certain que l’habitant du Kentucky, du Colorado ou du Texas accepte calmement ces restrictions anti-constitutionnelles…

L’auteur mentionne les mouvements séparatistes, mais il ne développe pas assez. Il n’a rencontré que les indépendantistes texans et californiens. On n’a rien sur les souverainistes du Vermont, les tenants de l’autodétermination des tribus amérindiennes, les chantres d’un État afro-américain, les rêveries chicanos de reconstitution du Grand Mexique d’avant 1848 ou les nationalistes blancs qui investissent depuis plus d’une décennie dans le Nord-Ouest étatsunien. Fatigués de migrer vers un État politiquement à leur convenance, d’autres Étatsuniens suggèrent plutôt de déplacer les frontières administratives inter-étatiques.

Dans son édition du 5 avril 2023, le correspondant permanent du Figaro aux États-Unis, Lucien Jaulmes, s’intéresse à « Ces républicains de l’Oregon qui rêvent de faire sécession ». Le titre de l’article est à la fois excessif et racoleur. En effet, irrité par le confinement, l’hystérie covidiste, les limitations croissantes du port et de la détention d’armes, les projets sociétaux déviants, l’écologie punitive et la fiscalité confiscatoire, Mike McCarter fonde en 2021 le Mouvement des citoyens pour le plus grand Idaho. Grâce aux zones urbaines du littoral Pacifique qui leur sont acquises, les démocrates contrôlent l’Oregon. À un fuseau horaire d’écart de Salem, une quinzaine de comtés, 400 000 habitants et 63 % de la superficie de l’État, se tournent vers l’Est, en direction de l’Idaho républicain. Mike McCarter et ses amis font pression sur les législatures des deux États afin que l’Oregon oriental, après des phases de négociations, de référendum et de ratifications, intègre l’Idaho. La procédure paraît plus simple que l’érection d’un nouvel État fédéré. La Virginie-Occidentale se sépare bien de la Virginie en 1862 à cause de l’esclavage. Les démocrates aimeraient éclater la Californie en cinq entités fédérées, élever le District de Colombia et la ville de New York en nouveaux États de l’Union. Pendant la Guerre de Sécession (1861 – 1865), des comtés officiellement dans des États nordistes soutenaient le Sud tandis que des comtés de la Confédération rebelle revendiquaient leur attachement aux États-Unis. La présidente de la minorité démocrate à la Chambre des représentants de l’Idaho, Ilana Rubel, rejette ce projet, sinon ce précédent signifierait pour elle que « nous allons droit à la guerre civile si nous continuons sur cette voie ».

Stephen March pense que « les États-Unis vont bientôt entrer dans une phase d’instabilité radicale à l’échelle du pays entier, quels que soient le ou la président(e) au pouvoir et la politique qu’il ou elle appliquera. L’avenir économique sera plus volatil. Le futur environnemental sera plus imprévisible. Les villes seront plus vulnérables. Le gouvernement sera incapable de mener des politiques et sera déconnecté de la conception qu’aura le peuple de sa volonté collective ». Ce pessimiste oublie bien vite que la première économie mondiale détient un imposant arsenal nucléaire, que sa monnaie continue sa domination financière, que son poids diplomatique demeure prédominant dans les institutions internationales, que les super-productions cinématographiques inondent la planète et formatent les esprits au mode de vie, de penser, d’agir et de parler américanomorphe. Souvenons-nous que malgré les sanglantes guerres civiles du Ier siècle avant notre ère, Rome continuait ses conquêtes territoriales. Loin d’affaiblir le gouvernement, les rivalités internes le rendent plus expansionniste encore.

Vigie d’un monde en ébullition », n°70, mise en ligne le 18 avril 2023 sur Radio Méridien Zéro.

10:02 Publié dans Georges Feltin-Tracol, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 01 avril 2023

L'Histoire d'un village breton qui refuse la grand remplacement...

Présentation1.jpg

Pour commander ce livre cliquez ici

Logo-Callac.jpeg

Le site de la Coordination nationale

Partout Callac cliquez là

23:30 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Une biographie de Miguel Primo de Rivera, père de José Antonio, signée Michel Festivi

Miguel-Primo-de-Rivera-quadri.jpeg

Un dictateur éclairé pour régénérer l’Espagne : 1923-1930

Le Régime politique de Miguel Primo de Rivera a duré du 15 septembre 1923 au 28 janvier 1930 ; il est singulièrement méconnu en France. Beaucoup d’historiens qui publient sur l’Histoire de l’Espagne ou sur la Guerre Civile espagnole, ne lui ont consacré que de trop brèves pages, parfois caricaturales. Et pourtant, ce fut une expérience politique des plus originales qui permit à l’Espagne de redresser la barre après des années de fiascos politiques, économiques, extérieurs et des désordres grandissants.

Non seulement Miguel Primo de Rivera rétablit l’ordre public, mais il réussit enfin la pacification du protectorat espagnol au Maroc, alors qu’il n’était pas partisan de conserver cette possession. Il impulsa d’importants travaux publics, de nombreuses réformes économiques, et tenta un changement institutionnel qui ne put néanmoins parvenir à son terme. Trop souvent négligé, voire brocardé, ce Régime ne fut ni un pronunciamiento de plus, ni un fascisme, ce que le livre démontre. Miguel Primo de Rivera accordera également la nationalité espagnole aux juifs sépharades, l’auteur revient sur cette séquence historique qui permettra durant la Seconde Guerre mondiale, le sauvetage de plusieurs milliers de juifs.

En matière sociale, et grâce à des hommes compétents, le Régime mit en place un corporatisme particulier qui se comprenait dans le cadre d’un catholicisme social, pour entreprendre la synthèse entre le capitalisme et le socialisme, et tenter d’éradiquer la pauvreté. D’ailleurs, le PSOE et son syndicat l’UGT collaborèrent à ces institutions corporatistes qui multiplièrent les avancées sociales en faveur des classes laborieuses.

Ce livre fait partie de la trilogie de l’auteur sur l’histoire contemporaine de l’Espagne, après les trahisons des gauches espagnoles soit l’histoire de la Seconde République, et les violences anarchistes et des milices révolutionnaires dans l’Espagne ensanglantée. Il n’hésite pas, à pourfendre les vérités imposées par la doxa des gauches et l’université française sur l’Espagne de ces années-là et revient aussi sur la révolution armée des Asturies, la pitoyable gouvernance de Manuel Azaña, la mainmise de Staline sur l’Espagne du Front populaire et les nombreuses contre-vérités que l’on peut malheureusement lire ou entendre à foison.

Miguel Primo de Rivera, un dictateur éclairé pour régénérer l'Espagne 1923 1930, Michel Festivi, préface d'Arnaud Imatz, Dualpha, 344 pages, 35,00 € cliquez ici

12:17 Publié dans Livres, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 30 mars 2023

Le 25e Cahier d'Histoire du nationalisme consacré à la mouvance identitaire blanche aux Etats-Unis vient de sortir

2023 03 CHN 25 AMERICAINS.jpg

Pour en savoir plus

ou le commander cliquez ici

19:20 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

LE LIVRE DE BERNARD GERMAIN, "CALLAC, LA MÈRE DES BATAILLES", VIENT D'ÊTRE RÉÉDITÉ (actualisé et complété)

CHN 18 ANNONCE 1 copie 10.jpg

Pour commander ce livre cliquez ici

LA PRÉSENTATION DE ROLAND HÉLIE :

Depuis quelques mois, « l'affaire de Callac » défraye régulièrement la chronique. Le combat de ce petit village breton - qui résiste héroïquement face à la volonté de quelques bobos parisiens de le transformer en laboratoire de la transition démographique voulue par le pouvoir - mérite qu'on s'y intéresse.

Cette opération humanitaro-lucrative aurait pu se dérouler dans l'indifférence totale. Mais, hélas pour ses promoteurs, il existe à Callac et dans ses environs un foyer d'irréductibles patriotes identitaires qui ne l'entendent pas ainsi. Parmi eux : Bernard Germain, l'auteur de ce livre, qui a déjà écrit deux autres titres publiés par Synthèse nationale.

Cet ouvrage est la deuxième édition, actualisée et complétée (la première ayant été diffusée en quelques semaines), relate les efforts entrepris par ce groupe de patriotes français (bretons insisteront certains), pour dénoncer le danger de grand remplacement qui menace la Bretagne, la France et l'ensemble de l'Europe...

Afin de dissiper tout malentendu, il convient de préciser que ce combat, et ce livre, sont totalement dénués d'animosité à l'encontre de quiconque. Chaque peuple, avec ses coutumes et son identité, est respectable. Là où les problèmes commencent, et les exemples sont légions, c'est lorsque par aveuglement idéologique on entreprend de mettre deux, ou pire, plusieurs peuples sur une même terre. C'est pour éviter cet engrenage périlleux que les Callacois se battent aujourd'hui.

Le meilleur moyen d'éviter que le « côte à côte » ne devienne un « face à face », c'est que chacun vive et s'épanouisse d'abord sur la terre de ses ancêtres. Les Africains en Afrique et les Européens en Europe. C'est encore, à notre avis, le meilleur moyen de préserver l'harmonie entre les peuples...

Roland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

Callac, la mère des batailles, seconde édition actualisée et complétée, Bernard Germain, Synthèse nationale, 218 p., mars 2023, 22,00 € (+ 6,00 € de port)

Préface de Pierre Cassen, fondateur de Riposte laïque

12:20 Publié dans Callac 22, La vie de l'association Synthèse nationale, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 22 mars 2023

UNE ÉMISSION CONSACRÉE À FRANÇOIS DE LA ROCQUE AVEC DIDIER LECERF, PRÉSENTÉE PAR GUILLAUME FIQUET, SUR TV LIBERTÉS

2016 11 GABADI CONF copie 2.jpg

 POUR ACHETER CE LIVRE CLIQUEZ ICI

13:58 Publié dans Didier Lecerf, Livres, TV SYNTHESE, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les vrais chiffres et le vrai coût de l'immigration en France

téléchargement.jpeg

L'hebdomadaire Rivarol a accordé, dans l'une de ces récentes livraisons (n°3557 - 15 mars 2023 cliquez là) un grand entretien à notre Ami André Posokhow, auteur, entre autres, de deux ouvrages non-conformistes sur les chiffres et le coût de l'immigration en France. Nous reproduisons ici cet entretien :

Les vrais chiffres de l’immigration font débat depuis des années. Avec le travail colossal d’André Posokhow nous disposons enfin d’éléments actualisés sur un phénomène démographique et économique qui échappe aux gouvernements depuis 50 ans qui font tout pour les cacher aux Français. Dans deux fort volumes, l’auteur donne les chiffres les plus précis possibles de la présence étrangère en France en 2019.

Dans les années 1990, les travaux de Pierre Milloz ( alors membre du conseil scientifique du Front National) et de Jean-Paul Gourévitch avaient apporté des données importantes sur les chiffres de l’immigration en France. Dans les années 2000, on pourrait encore citer ceux de Michèle Tribalat ou de Polémia. Mais depuis dix ans, il semble qu’aucune étude de fond n'ait été faite avant la vôtre. Comment expliquer ce manque ? 

Votre question mérite d’être nuancée. Effectivement Pierre Milloz, malheureusement disparu l’année dernière, a eu l’immense mérite d’être apparu comme le pionnier de l’estimation du coût d’immigration dans les années 90. Dans les années 2000 le relais a été pris par Maurice Allais (notre premier Prix Nobel d’économie), Jean-Yves le Gallou et les études de Jean-Paul Gourevitch, alors à leur démarrage. Entre 2010 et 2015 les principales contributions ont été celles de Contribuables Associés établies par Jean-Paul Gourevitch, une équipe du nord de la France (Chonicki), le livre remarquable, malheureusement un peu oublié, de l’économiste Gérard Pince et l’étude de Polémia qui aboutissait à un coût annuel d’environ 85Md€

Depuis 2015, Jean-Paul Gourevitch a poursuivi la publication d’études et de nombreux livres dédiés à cette thématique. Je voudrais souligner ses apports considérables sur plusieurs thèmes comme l’expatriation des Français, le coût de la fraude des transports et surtout, j’y reviendrai, sur l’économie informelle.

Il a estimé récemment le coût annuel de l’immigration à environ une quarantaine de Md€. Mon point de vue est, sur ce point, sensiblement différent et j’estime que la charge de l’invasion migratoire est considérablement plus lourde pour les finances publiques françaises.

Pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ? 

Je m’appelle André Posokhow. C’est un nom « russe blanc ». Je suis né à Cahors dans le Lot où je participe à la lutte contre l’invasion éolienne. Je suis diplômé de Sciences-po Paris à une époque où cette école respectable n’avait pas sombré dans le lisier gauchiste et woquiste. Professionnellement, je fus à la tête d’un cabinet de commissariat aux comptes. Je suis officier supérieur de réserve et breveté parachutiste.

Pourquoi deux tomes ?

Le premier tome : « immigration, l’épreuve des chiffres » n’a qu’un objectif démographique de chiffrer et détailler les flux nets annuels d’arrivées d’immigrés en France qu’ils soient réguliers ou irréguliers ainsi que la présence immigrée en France c’est-à-dire les stocks. Je pense en effet qu’au vu de l’évolution du phénomène de ces dernières années les chiffres qui sont cités, par exemple 400 000 entrées annuelles sont très souvent variables selon les personnes, approximatifs et pas toujours suffisamment documentés.

Le deuxième tome souhaite sortir de la controverse habituelle du coût de l’ immigration qui est un éternel champ de bataille et un sac d’embrouilles, qu’il soit ou non établi sur la base d’un raisonnement économique ou scientifique. Il se fonde sur une méthode comptable simple qui consiste à présenter une sorte de compte de résultat d’exploitation annuel de l’immigration en termes de finances publiques. Et, j’aboutis à des chiffres beaucoup plus importants

Lire la suite

09:29 Publié dans André Posokhow, Livres, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 14 mars 2023

Notre Ami Jean-Claude Rolinat invité par Martial Bild pour parler de son dernier livre : "17 ans dans les tranchées du Front national"

thumb_23225_program_bigSlider.jpeg

Pour suivre l'émission : cliquez ici

Souvenirs d’une vie d’apparatchik peu ordinaire… Dans "17 ans dans les tranchées du Front National", Jean-Claude Rolinat raconte avec entrain et émotion ces années de militantisme au sein du FN - canal historique - de 1981 à 1998. L’auteur donne des détails précis et savoureux de la vie interne du mouvement de Jean-Marie Le Pen ponctuée de réunions, de collages et de tractages, d’engagements locaux et régionaux. Le lecteur revit la victoire de Dreux en 1983 où Jean-Pierre Stirbois conclut une alliance locale avec le RPR ! Il observe aussi l’onde de choc de la triste "affaire du détail" ou le terrible montage de Carpentras. Tout au long de l’ouvrage, on ressent la fraternelle chaleur militante mais aussi les échecs électoraux et les ruptures politiques violentes. On découvre enfin les visages de personnalités remarquables, simple militant comme Michel Golliard ou cadres et dirigeants comme Carl Lang, Marie-France Stirbois, Yves de Verdilhac, Jean-Yves Le Gallou, Bruno Megret,  Bruno Gollnisch et bien d’autres. Avec simplicité et minutie, Jean-Claude Rolinat évoque une page de l’histoire de la droite nationale, entre angoisses et espérances.

2023 01 mémoire JCR.jpeg

Pour acheter le livre cliquez là

14:43 Publié dans Livres, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 10 mars 2023

9 mars 1971 : le tumultueux meeting d'Ordre nouveau au Palais des Sports de Paris

330555924_935082587511561_3721439228365700422_n.jpg

L'Histoire d' Ordre nouveau

racontée par Ordre nouveau.

Commander ce livre cliquez ici

 

12:38 Publié dans Livres, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

AVEZ-VOUS PENSÉ À FAIRE UN TOUR SUR NOTRE SITE LIBRAIRIE ?

2021 annonce lib sn copie 4.jpg

Pour aller visiter ce site cliquez ici

11:38 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 08 mars 2023

Sortie à la fin du mois du n°24 de la collection "Les Cahiers d'Histoire du nationalisme" consacré à la mouvance identitaire blanche aux États-Unis

COUV Maquette SN REVUE copie 20.jpg

Cette histoire, écrite par Rémi Tremblay, est racontée en trois volumes. Le premier sortira le 30 mars prochain.

Une grande Histoire méconnue en Europe

Rémi Tremblay

Pourquoi cette histoire de la mouvance identitaire blanche aux États-Unis en trois tomes ?

Tout d’abord, parce que fort peu de livres traitent de ce sujet, tant en français qu’en anglais. Des monographies ont été consacrées à certains personnages ou organisations de cette mouvance, mais rien abordant le sujet de façon globale n’a jusqu’à présent été publié en français, hormis l’ouvrage de François Duprat et d’Alain Renault sur les fascismes américains [en vente sur ce site], qui se termine en 1945.

De plus, contrairement aux autres auteurs francophones qui se sont penchés sur la question, je suis allé aux sources premières, ce qui m’était facilité par mon réseau de contacts et par le fait que j’habite moi-même en Amérique du Nord, tout près du pays étudié, que j’ai visité à d’innombrables reprises.

Pour documenter le présent travail, j’ai ainsi eu un accès direct aux œuvres publiées par les mouvements des nationalistes blancs américains : j’ai lu leurs manifestes, leurs œuvres de fiction, leur propre version de leur histoire, ainsi que des milliers de pages de revues et de journaux, datant aussi bien du siècle dernier que des dernières décennies. À cela s’ajoute l’examen des rapports du Federal Bureau of Investigation (FBI) et de rapports de police, des sources souvent négligées, quoique souvent très précises et très instructives.

Contribue aussi à l’originalité du présent travail le fait qu’un très grand nombre de participants directs ont accepté de se confier dans des entrevues durant parfois plusieurs heures. Ils me décrivirent leur perspective, m’orientèrent vers certaines lectures, me confièrent des anecdotes inédites et me remirent à l’occasion des documents introuvables. J’ai ainsi eu l’aide inestimable de nombreuses personnes que je tiens à remercier, tels Ed Fields, David Duke, Kirk Lyons, Gerhard Lauck, Martin Kerr, Frank Collins, H.A. Khoeler, Mike Hallimore, William Williams, Billy Roper, Karl Hand, Henry, Sorcier impérial de l’Église du Ku Klux Klan, James Mason, Dennis Mahon, Charles Barbee, Richard Scutari et de nombreux autres acteurs de cette histoire, par exemple des pasteurs de l’identité chrétienne, des militants néonazis, des activistes de l’Alt-Right ou de la mouvance nationaliste blanche, ainsi que des adeptes du Klan. Tous acceptèrent de collaborer avec ce journaliste étranger qui écrivait un livre sur leur histoire.

Le fait que je contribue également à plusieurs médias américains plus ou moins liés à la mouvance nationaliste blanche m’a permis d’adopter une perspective différente, un point de vue de l’intérieur plutôt que de l’extérieur. En effet, de nombreuses personnes mentionnées dans le présent ouvrage sont des personnes avec qui j’ai eu l’occasion de collaborer.

Plusieurs de ces acteurs sont aujourd’hui décédés.

Le présent livre se divise en quatre parties. Une section introductive s’efforce de définir les contours du sujet abordé dans le livre, à savoir ce qu’il faut entendre par des expressions comme mouvance racialiste blanche ou nationalisme blanc. Par la suite, un premier tome aborde la période débutant avec l’indépendance américaine et se terminant avec la fin de la Seconde Guerre mondiale qui chamboula le paysage politique américain et ouvrit la porte à la déségrégation. Le lecteur pointilleux constatera peut-être que certains mouvements importants, comme celui l’Identité chrétienne, ne sont pas mentionnés dans le premier tome, mais il ne s’agit pas d’oublis. Dans certains cas, pour mieux cerner l’évolution dans le temps de certains groupes, il est apparu préférable de les traiter dans les tomes subséquents et de décrire leur genèse au moyen de retours dans le temps.

Les tomes deux et trois traiteront la période allant du début des années 1945 jusqu’à aujourd’hui de façon thématique. Seront ainsi traités, dans le tome 2, les mouvements blancs ayant une approche plus traditionnaliste, selon laquelle la défense de la race se combinait avec des préoccupations pour la Constitution, la religion ou la liberté.

Dans le tome 3 on se penchera sur les groupes pour lesquels la position racialiste se mariait avec une approche révolutionnaire. La ligne est parfois mince entre les deux catégories et un tel classement thématique pourra apparaître fort subjectif, d’autant plus qu’il existait une grande porosité entre les mouvements des deux catégories et que des périodes de convergence ont souvent estompé les différences.

Certains, qui ne liront probablement pas ce livre, le taxeront d’apologie du racialisme. Les autres, vous chers lecteurs, y verrez l’histoire rarement racontée avec objectivité d’une mouvance qui marqua et marque l’histoire de l’Amérique.

L’auteur : Rémi Tremblay

Militant politique, historien et journaliste engagé, Rémi Tremblay est avant tout un patriote québécois. Il fait d’ailleurs partie de la direction du Harfang, le bimestriel de la Fédération des Québécois de souches.

Nous lui devons déjà deux Cahiers d’Histoire du national­isme. L'un consacré à Adrien Arcand (n°12 -  cliquez ici) en 2017 et au fascisme canadien et un autre à Oswald Mosley, et aux fascistes britanniques (n°14 - cliquez là) en, 2018.

En France, il donne aussi régulièrement des articles dans le quotidien Pré­sent et dans la revue Synthèse nationale.

États-Unis, la mouvance identitaire blanche (1er volume, de l'indépendance à 1945), Rémi Tremblay, sortie 30 mars 2023, 190 pages, 24,00 € (+ 6,00 € de port).

Pour le commander dès maintenant cliquez ici

10:18 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 16 février 2023

La fabrique du crétin

la-fabrique-du-cretin-tome-2-vers-l-apocalypse-s.jpg

 Jean Leclerc

La fabrique du crétin, Vers l'apocalypse scolaire, c'est le titre du tome 2 de l'un des ouvrages de Jean-Paul Brighelli, ce Normalien atypique devenu professeur dans un lycée de Marseille. Normalien de Normale Sup, cette école élitiste, bien sûr, pas de l’École Normale basique qui "fabriquait" les instituteurs d'autrefois…

Après un parcours politique et idéologique en zigzags, il a été rattrapé par le "réel" du monde pédagogique, son chemin de Damas à lui. Si bien qu'aujourd'hui, il dit tout, il écrit tout sur ce qu'avaient prédit quelques dinosaures de la pensée réactionnaire, il y a déjà quelques décennies… 

Sur Youtube, il y a quelques jours, le site Livre Noir l'a interrogé comme ils savent si bien le faire. Pas quelques phrases grommelées entre deux portes. Non, une longue interview de plus d'une heure et vingt minutes ! C'est passionnant, décapant, et terriblement angoissant !

La fabrique de crétins, Jean-Paul Brighelli, L'Archipel, 207 pages, cliquez ici

12:09 Publié dans François Floc'h, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 14 février 2023

Deux nouveaux titres entrent dans la collection des Grands Classiques de Synthèse nationale

2023 02 DORIOT GCSN.jpg

Pour bien comprendre un texte et, éventuellement, l’apprécier ou le condamner, il convient toujours de se remettre dans le contexte de l’époque où il a été écrit.

Jacques Doriot, natif de Bresle dans l’Oise en 1898, fut un personnage primordial de la vie politique française au cours de la première moitié du XXe siècle. À l’âge de 25 ans, au lendemain de la Première Guerre mondiale, il est déjà l’un des hauts-responsables du Pati communiste français. En 1924, il est élu député communiste de la Seine et en 1931, il emporte la mairie de Saint-Denis. Cependant, au début des années 1930, il entre en opposition, au sein du PC”F”, avec la ligne imposée par Moscou et incarnée par Maurice Thorez. Cette opposition le conduira à la rupture en 1935 et, quelques mois plus tard, à créer le Parti populaire français qui incarnera, jusqu’à la mort de Doriot en 1945, le principal parti d’inspiration fasciste en France.

Rappelons que l’entre-deux-guerres fut marqué par l’émergence en Europe de plusieurs révolutions reposant sur une double volonté d’indépendance nationale et d’émancipation sociale. Ainsi, en Italie, puis en Allemagne et dans d’autres pays, ces expériences concluantes dans un premier temps séduisent de plus en plus en Europe et en France particulièrement. Jacques Doriot se situe désormais dans cette perspective, il a expliqué pourquoi dans ses deux ouvrages fondamentaux que sont “La France ne sera pas un pays d’esclaves” et “Refaire la France”. Paru successivement en 1936 et en 1938 chez Grasset, réédités il y a quelques années par les Éditions de l’AEncre, ils entrent aujourd’hui dans la collection des Grands classiques de Synthèse nationale.

Sortie prévue : le 2 mars 2023

Pour les commander dès maintenant :

La France ne sera pas un pays d'esclaves, 180 pages, 22 € cliquez ici

Refaire la France, 132 pages, 20 € cliquez là 

La collection Les Grands Classiques de SN cliquez ici

17:15 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 13 février 2023

Suite à la parution des ses Mémoires, un entretien avec Jean-Claude Rolinat

2023 01 mémoire JCR.jpeg

Entretien avec Jean-Claude Rolinat (publié sur le site de la réinformation européenne Eurolibertés (propos recueillis par Fabrice Dutilleul).

Jean-Claude Rolinat a été pendant 17 ans l’un des rouages de la machine « Front National ». Il donne des détails sur la vie interne du mouvement, et exhume deux décennies d’angoisses et d’espérances au plus près des militants. Il nous narre les heures difficiles de certains collages dans d’improbables cités banlieusardes, ou d’instables présences sur des marchés.

Vous venez de publier aux éditions Dualpha « 17 ans dans les tranchées du Front National » ; en dehors des évènements politiques qui vous ont marqué, comme le soulèvement de Budapest ou la fin de l’Algérie française, vous nous entraînez dans vos expériences municipales et vos démêlés avec la justice et les communistes, sans oublier la descente aux enfers de l’un de vos camarades.

Quand on arrive au soir de sa vie et que l’on aime la lecture et l’écriture, que l’on a « des choses à raconter », on a une irrépressible envie de coucher sur le papier ses souvenirs, de faire appel à sa mémoire pour témoigner, pour rappeler des faits, préciser des actions ou rectifier des versions, bref, brosser aussi quelques portraits. Et puis, c’est aussi l’occasion de faire revivre une France évanouie – en ce qui me concerne mon « terroir » parisien, « couleur sépia », disparu – comme l’enfance qui est une patrie perdue que l’on ne retrouve jamais.

Dans ce livre, vous révélez, vous interrogez, vous soulevez des questions, vous émettez des doutes sur des vérités officielles, vous rappelez des actions d’agit-prop oubliées ou méconnues du grand public. Mais surtout vous témoignez.

Avec moi, le lecteur est au cœur du carré des militants, il ressent la chaleur fraternelle qui liait des gens de toutes conditions, venus de partout, rassemblés par un aimant plus fort que tout : l’amour du pays, la grandeur de la France, le respect dû à ceux qui sont morts pour elle. On est au cœur de l’hebdomadaire National Hebdo et du groupe FN au Conseil régional d’Île-de-France, nous sommes sur les marchés ou aux « collages », on voit passer de grandes et moins grandes figures qui ont fait ce mouvement. Coucher sur le papier ses souvenirs, raconter sa vie de militant, exprimer ses espoirs, énumérer ses réussites et ses échecs, c’est un peu la prétentieuse volonté de vouloir se survivre… mais pas que ! Si le Rassemblement National peut récolter aujourd’hui une belle moisson d’électeurs, c’est que d’autres que ceux qui siègent dans les assemblées actuelles, se sont investis, se sont sacrifiés, ont semé, et, parfois, sont morts ou ont connu la prison. On devrait s’en souvenir. C’est le but de mon livre.

Outre vos souvenirs de militants et « d’apparatchik pas si ordinaire », vous en profitez pour revenir sur les grands événements de ces cinquante dernières années.

L’affaire Malik Oussekine, les troubles en Nouvelle-Calédonie, la guerre d’Irak-Koweit, l’Afrique du Sud et la fin de l’apartheid et bien d’autres événements, oui, forcément… à la fois avec le regard du militant et l’œil du touriste-reporter que je n’ai jamais cessé d’être toute ma vie durant… ce qui m’a permis de remettre en perspectives l’action politique que nous avons menée et la marche du monde. Oui, si nous étions arrivés au Pouvoir, notre pays aurait pu être bien différent de ce qu’il est aujourd’hui ! On ne refait pas l’histoire, certes, mais on peut encore rêver…

17 ans dans les tranchées du Front National, Jean-Claude Rolinat, éditions Dualpha, 368 pages, 39 euros.

Pour acheter ce livre cliquez ici

09:04 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 02 février 2023

Le livre de Guillaume Faye L'Archéofuturisme a été réédité par L'AEncre

COUV Maquette SN REVUE copie 16.jpg

En savoir plus et

pour commander ce livre cliquez ici

01:17 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 20 janvier 2023

RAPPEL : Bernard Germain dédicacera ses livres samedi 21 janvier à la Librairie Vincent à Paris

CHN 5 REEDITION ANNONCE 1 copie 5.jpg

Les livres de Bernard Germain cliquez ici

326147413_736285537917008_7971094471119002652_n copie.jpg

14:26 Publié dans Bernard Germain, Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 14 janvier 2023

RAPPEL : Philippe Randa dédicacera ses livres samedi 14 janvier à la Librairie Vincent à Paris

unnamed.png

CHN 23 ANNONCE 2.jpg

vendredi, 13 janvier 2023

Un nouveau livre de Franck Abed consacré à Napoléon

napoleon-le-heros-eternel.jpg.png

Franck Abed est passionné par l'Histoire de France et par la politique. D'ailleurs, l'un va rarement sans l'autre. Militant, il anime tout un réseau de médias alternatifs. Il fut l'un des premiers, au début des années 2000 à réaliser des entretiens politiques filmés qui avaient, avant l'heure, déjà une belle audience.

Il vient d'écrire un ouvrage consacré à Napoléon et il explique dans un entretien qu'il a édité récemment sur son site son intérêt pour celui qu'il appelle "le héros éternel". Entretien que nous publions aujourd'hui pour présenter son livre.

S N

Source cliquez ici

La légende de Napoléon est indissociable des circonstances de la bataille qui mit fin au « retour de l’Aigle ». Vous avez toujours affirmé que le 18 juin 1815 la victoire était à la portée de l’Empereur. Confirmez-vous encore ce propos ?

Je le confirme et le maintiens sur la base de faits historiques que tout à chacun est libre de constater. Mais avant de répondre sur la dimension à proprement parler militaire, je tiens à rappeler les intentions de Napoléon une fois revenu à Paris. N’oublions donc pas qu’il a adressé aux différents souverains d’Europe des offres de paix qui ne reçurent que dédain et mépris. Devant cette arrogance et intransigeance diplomatiques, Napoléon est reparti sur le sentier de la guerre avec l’objectif de remporter une victoire éclatante afin de gagner une paix durable.


Toutefois, il existait en mars 1815 deux écueils majeurs auxquels Napoléon était confronté. Tout d’abord, il sentait bien qu’autour de lui l’enthousiasme était chancelant. En effet, les piliers de l’Empire montraient quelques signes de fragilité. Ensuite, il a véritablement sous-estimé la haine des chefs d'États coalisés à son égard. Il ne pouvait que difficilement saisir la jalousie qui animait les vieilles têtes couronnées. Le projet de la septième coalition ne souffrait d’aucune équivoque. Assurément, dès l’annonce de son retour d’exil, ils ont confirmé leur volonté de l’éliminer, lui et sa famille, du jeu politique continental… Le retour glorieux de Napoléon ne doit pas occulter ce contexte géopolitique si particulier ainsi que l’ambivalence du soutien des notables français à l’égard de Napoléon.

La campagne de Belgique s’ouvrit sous les meilleurs auspices. Les anglo-prussiens sont surpris de l’audace napoléonienne quand ils apprennent qu’il a traversé la frontière avec ses troupes. Les états-majors ennemis pensaient que Napoléon adopterait une posture attentiste ou plus exactement défensive. Après tout ce temps, c’était mal le connaître ou le sous-estimer. Wellington en apprenant l’avancée de l’armée française dira : « Napoléon m’a volé un jour de marche ».

Sur le papier, le plan de l’Empereur était parfait : s’insérer entre les deux armées et les battre séparément. Cette tactique, Napoléon l’avait déjà employée plusieurs fois avec succès au cours de sa prodigieuse carrière. Cette fois-ci, malheureusement, les applications concrètes de cette stratégie se heurteront au mur implacable des manquements, des insuffisances et des non-dits. Napoléon est vainqueur à Ligny, mais la victoire se révèle non définitive ni totale. L’armée prussienne est battue mais non détruite. Elle demeure en capacité de reprendre le combat. Quant à Ney, aux Quatre-Bras, il n’a pas totalement exécuté les ordres de l’Empereur. La suite est connue, Grouchy part à la poursuite des Prussiens et Napoléon se prépare pour la grande confrontation contre Wellington.

Nonobstant les erreurs, les trahisons et les hésitations, Wellington le 18 juin 1815 vers 18h00 donna des ordres pour préparer la retraite. Il dit même le propos suivant : « Give me night or give me Blücher », c’est dire la confiance qu’il accordait  à ses troupes pour la victoire finale. Pourtant, les Prussiens avaient commencé à débouler sur notre droite dès 16h30. Une heure trente plus tard, Wellington doutait encore du succès de son plan et supplia que la nuit ou Blücher arrivent, tels le deus ex machina des tragédies grecques, pour lui éviter une défaite certaine. De même, Wellington fut prévenu par - au moins - un traître que des bataillons de la Moyenne Garde se préparaient à l’attaquer. Cette information cruciale, reçue au meilleur moment, lui permit de renforcer son centre.

Concrètement, cette défaite aux retombées incalculables se joua à très peu de choses. Nous sommes loin, très loin, d’une victoire coalisée brillante. L’armée napoléonienne ne fut pas défaite par manque de courage ou parce que les soldats ennemis se montraient supérieurs dans le combat. Elle ne fut pas non plus battue grâce à l’exécution d’une brillante manœuvre décidée par l’Anglais ou le Prussien. Elle a succombé par le nombre, les erreurs et les trahisons. Waterloo aurait pu être une victoire française.

Lire la suite

20:59 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 10 janvier 2023

Redécouvrir Homère...

Tout Homère.jpg

Scipion de Salm

Tout Homère est un ouvrage épais au titre ambitieux. Il propose tout d’abord l’œuvre d’Homère reconnue par les historiens et philologues sérieux, soit l’Iliade et l’Odyssée. On les relit toujours avec plaisir et profit.

Puis, suivent de nombreuses histoires complémentaires grecques antiques édifiées autour de la matière troyenne. Les attributions en sont plus problématiques pour les plus anciennes, tandis que des auteurs plus récents ont signé de leurs noms leurs développements de l’univers homérique. En effet, Homère a décrit dans ses deux longs poèmes fondamentaux un an du Siège de Troie, celui de la colère d’Achille, et ses conséquences, dans l’Iliade, et les pérégrinations d’Ulysse, de manière relativement concise, dans l’Odyssée.

Des épisodes fameux comme la mort d’Achille, la Prise de Troie, n’y figurent pas. Or, ce corpus immense, comprenant tous les registres, de l’épopée à la parodie et au roman d’amour, a pour l’essentiel disparu. Les fragments proposés n’en sont que plus précieux. Les traductions sont de qualité. Les commentaires sont pertinents et intéressants.

 

Tout Homère, Hélène Monsacre (direction), Albin Michel, Belles Lettres, 2019, 1300 pages, 35,00 €

10:21 Publié dans Livres, Scipion de Salm | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 06 janvier 2023

Vendredi 20 janvier à Paris : soirée Livr'arbitres consacrée à Tolkien

324128477_860170875240875_6508511185313400321_n.jpg

00:09 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 01 janvier 2023

L'année éditoriale commence avec les Mémoires militantes de Jean-Claude Rolinat

17-ans-tranchees-quadri.jpeg

Souvenirs d’une vie « d’apparatchik » (pas si) ordinaire…

Jean-Claude Rolinat, comme un célèbre petit Gaulois, est tombé très tôt dans une potion magique, mais c’était celle de la politique. Le soulèvement de Budapest en 1956, ainsi que l’agonie de l’Algérie française, l’ont durablement influencé. Il s’est engagé dans différents mouvements jusqu’à rejoindre fin 1981 le Front National de Jean-Marie Le Pen.

On revit la victoire du « Tonnerre de Dreux » avec Jean-Pierre Stirbois, on subit l’onde de choc de « l’affaire du détail », on ressent la fraternelle chaleur militante, on passe en revue les heures enthousiasmantes de la fête des BBR et des défilés de Jeanne d’Arc. On est aux premières loges du combat idéologique mené dans les travées et les coulisses du Conseil régional d’Île-de-France.

L’auteur a été pendant 17 ans l’un des rouages de la machine « Front National ». Il donne des détails sur la vie interne du mouvement, et exhume deux décennies d’angoisses et d’espérances au plus près des militants. Il nous narre les heures difficiles de certains collages dans d’improbables cités banlieusardes, ou d’instables présences sur des marchés.

Il révèle notamment les derniers moments de Malik Oussekine, raconte la descente dans l’enfer carcéral d’un conseiller municipal FN, dément l’antisémitisme du mouvement, et doute : Jean-Pierre Stirbois a-t-il été victime d’un accident de la route ou d’un attentat ?

Le Front National, avec son chef charismatique, annonçait d’une façon prémonitoire, les tempêtes à venir. « Militant un jour, militant toujours ? »…

17 ans dans les tranchées du Front national, JeanClaude Rolinat, Dualpha, 368 pages, 39,00 € (+ 6,00 € de port). Pour le commander cliquez ici

Les autres livres de Jean-Claude Rolinat cliquez là

23:23 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 28 décembre 2022

LE LIVRE "FRANÇOIS DE LA ROCQUE, DES TRANCHÉES AU PARTI SOCIAL FRANÇAIS" EST PARU

2016 11 GABADI CONF copie 2.jpg

Pour le commandez cliquez ici

12:58 Publié dans Livres, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 23 décembre 2022

NOUVEAU : une biographie de François de La Rocque publiée par Synthèse nationale

COUV Maquette SN REVUE copie 14.jpg

François de La Rocque (1885-1946) fit, vingt-quatre ans durant, une brillante carrière militaire et prit part à plusieurs conflits de l’époque. En 1920, il quitte l’armée, décoré et gravement blessé.

Patriote et catholique, il décide de se consacrer à l’action politique et il sera à l’origine des deux principales organisations nationales de l’entre-deux-guerres, les Croix de feu (de 1931 à 1936) et le Parti social français (de 1936 à 1940). Chef politique “clivant”, il a suscité autant de vénération que de haine.

C’est pour défendre sa mémoire que Didier Lecerf a rédigé cet ouvrage.

François de La Rocque, des tranchées au Parti social françaisDidier Lecerf, préface de Francis Bergeron, décembre 2022, 434 pages, 33,00 € (+ 6,00 € de port).

Pour acheter ce livre cliquez ici

 

21:56 Publié dans Livres, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 17 décembre 2022

Conférence hier soir du Cercle Trégor et Goëlo prés de Tréguier

IMG_20221217_113416.jpg

Un public nombreux et attentif a assisté vendredi soir, près de Tréguier, à la conférence organisée par le Cercle Trégor et Goëlo pour présenter le nouveau livre de Bernard Germain, qui fut candidat de Reconquête ! dans la circonscription en juin dernier, "Callac, la mère des batailles" (Synthèse nationale).

Pierre Cassen, fondateur de Riposte laïque (cliquez ici), qui a préfacé ce livre, était l'invité d'honneur de cette conférence. Prirent avant lui la parole : Catherine Blein, présidente des Amis de Callac et ses environs, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, et bien sûr, l'auteur du livre, Bernard Germain.

2022 12 16 trguier.jpg

Pour acheter ce livre cliquez là

12:56 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |