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lundi, 22 août 2022

Dans la collection "Les Grands classiques de Synthèse nationale" : sortie de "La Garde de Fer" de Corneliu Zelea-Codreanu

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Pour comprendre un livre, il convient tout d’abord de se placer dans l’époque et dans le contexte où il a été écrit.

Dans les années 1920 et 1930, la Roumanie, située aux frontières de l’URSS impérialiste et sanguinaire naissante, est dirigée par de piètres politiciens opportunistes et sans véritable armature idéologique.

Cette situation peu enviable (mais hélas toujours actuelle dans bien des pays) incita la jeunesse roumaine, éprise de sentiments nationaux et fortement attachée à la chrétienté, à se soulever. À la tête de cette gigantesque révolte, un jeune étudiant qui deviendra, au fil du temps, l’avocat de son peuple : Corneliu Zelea-Codreanu.

Quelques mois avant son assassinat, en 1938, il raconta sa vie en exposant ses idées et sa stratégie dans ce livre, « La Garde de Fer ».

Document historique, cet ouvrage est indispensable à ceux qui veulent comprendre avant de juger.

La Garde de Fer, Corneliu Zelea-Codreanu, préface de Dr Merlin, Le Grands classiques de Synthèse nationale, août 2022, 498 pages, 30,00 € (+ 5,00 € de port).

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mercredi, 17 août 2022

Lu sur le site de Polémia : "Réchauffement climatique – Enquête sur une manipulation mondiale" le nouveau livre d'Alban d'Arguin

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Johan Hardoy Polémia cliquez ici

Alban d’Arguin – qui a notamment publié Éoliennes : un scandale d’État – publie un nouvel essai coup de poing : Réchauffement climatique – Enquête sur une manipulation mondiale. Dans cet ouvrage, Alban d’Arguin s’efforce dans de « démonter rigoureusement, implacablement et froidement ce qui apparaît de plus en plus comme une manipulation mondiale protéiforme », à savoir la thèse largement répandue du réchauffement climatique anthropique (du fait de l’homme). Son ouvrage, hostile aux prédictions apocalyptiques annoncées par des « prophètes de malheur », aborde les faits d’un point de vue scientifique tout en s’inscrivant explicitement dans une perspective catholique.

Le climat change depuis la nuit des temps

Vers – 75 000 ans, l’éruption d’un volcan en Indonésie actuelle est à l’origine d’un hiver volcanique d’une dizaine d’années, suivi d’un fort refroidissement global durant un millénaire environ. Dans les années – 20 000, la calotte glaciaire septentrionale descend jusqu’au nord de ce qui deviendra Londres, avant de se rétracter vers – 13 000 aux environs de ce qui sera Stockholm et Helsinki. Au début de l’Holocène, vers – 9 000, le climat change brutalement à l’échelle du monde, transformant l’actuelle Angleterre en île et entraînant de multiples conséquences sur la faune et la flore.

L’itinéraire de la Terre autour du Soleil est souvent en cause dans ces bouleversements du fait des variations de l’activité magnétique solaire.

Une alternance de périodes chaudes et froides durant notre ère

Comme le précise l’historien Emmanuel Le Roy Ladurie, « Nous vivons dans un climat stable depuis une dizaine de milliers d’années, mais ce climat est sujet à des fluctuations ». Ces variations de faibles amplitudes connaissent des alternances où une phase de douceur climatique (qualifiée d’« optimum ») peut durer un ou plusieurs siècles.

Se succèdent ainsi un optimum entre 1 500 et 1 000 avant J.-C., un petit âge glaciaire modéré de 900 à 400 avant J.-C., un optimum de 200 avant J.-C. à 200 après J.-C., un petit âge glaciaire entre 270 et 600, un petit optimum de 900 à 1300 (les températures y sont plus élevées qu’à notre époque : au Xe siècle, les Vikings découvrent un paysage couvert de pâturages au Groenland), un petit âge glaciaire entre 1300 et 1860 (surtout au XIVe siècle).

Depuis cent soixante-dix ans, le climat se réchauffe, marqué par le recul des glaciers alpins. Ce petit optimum contemporain est émaillé de périodes chaudes et froides. En France, les hivers 1879 (- 33° le 10 décembre à Langres), 1956 et 1969 sont particulièrement froids, tandis que les étés sont torrides en 1893, 1911 (38° à Bordeaux et à Lyon alors qu’il a neigé début avril à Perpignan), 1914, 1933 (plus de 40° à Poitiers), 1976 (l’armée intervient pour aider les agriculteurs), 2003 (avec son cortège de funérailles) et 2022 (ce que l’auteur ignorait au moment de la rédaction de l’ouvrage).

Des données controversées voire carrément manipulées !

Un physicien américain, Richard Lindzen, dénonce l’alarmisme en matière de réchauffement climatique et critique les pressions politiques exercées sur les climatologues pour les conformer à ce qu’il appelle « l’alarmisme climatique » : « Quand je parle à un auditoire de non-experts (…), quelles que soient les preuves avancées selon lesquelles il ne s’agit pas d’une catastrophe (…), on me demande comment c’est possible puisque 97 % des scientifiques sont d’accord (…), puisque toutes sortes d’événements météorologiques extrêmes sont devenus plus fréquents, puisque les ours blancs sont en voie de disparition, tout comme la banquise arctique, etc. (…). J’étais moi-même plutôt surpris que l’on puisse admettre ces affirmations sans fondement réel et parfois même tout à fait malhonnêtes. »

Pour l’anecdote, la célèbre photo du malheureux ours blanc « dérivant » sur un « petit glaçon » de banquise relève, selon tous les spécialistes, d’un montage photographique, sans parler du fait que l’ours polaire peut nager sur de très longues distances.

En accord avec cette conception « climatosceptique » de l’éminent physicien, Alban d’Arguin se livre à une critique argumentée des affirmations émises par le scientifique américain Robert Kandel (auteur d’un « Que sais-je » sur le « Réchauffement climatique »), dont les démonstrations s’appuient sur des courbes qui « mélangent joyeusement des “estimations” non scientifiques et dont les sources ne sont même pas établies, à des données plus récentes, supposées recueillies rigoureusement ».

La controverse se poursuit contre le professeur américain Michael Mann, qui affirme avoir illustré le lien entre les activités humaines et le climat par le biais du fameux graphique en forme de « crosse de hockey » issu du traitement de données paléoclimatiques et d’enregistrements thermométriques. Selon le Suisse Jean-Claude Pont, mathématicien et historien des sciences : « Mann s’est bel et bien livré à des manipulations que la morale statistique réprouve. » !

Par ailleurs, des falsifications scandaleuses sont avérées au sein du GIEC, qui n’est pas un groupe d’experts contrairement à ce que laisse à penser la traduction française de cet acronyme, mais un organisme supranational de nature politique qui recueille et sélectionne des contributions scientifiques. En 1995, des chercheurs ont ainsi découvert avec surprise que la rédaction finale de leur rapport indiquait que le réchauffement climatique global « constaté » par le GIEC était d’origine humaine.

En revanche, quelques années après cette manipulation, une pétition dite « Oregon Petition » recueillant 31 000 signatures de scientifiques, dont 30 % de docteurs ès sciences, contestait fermement la thèse anthropique.

C’est la faute au réchauffement !

Les politiques publiques sont de plus en plus orientées vers des dépenses considérables pour lutter contre la croissance de CO2, alors que celles-ci n’ont quasiment pas d’effets si ce n’est sur le gaspillage considérable d’argent de la collectivité.

Aucun grand chef d’entreprise, ni aucun conseil d’administration, ne pourraient prendre le risque d’émettre une quelconque réserve sur cette question, d’autant que les normes internationales et européennes promeuvent des indicateurs de suivi de la « décarbonisation ». En majeure partie, les efforts environnementaux des entreprises se réduisent pourtant à une série d’actions de marketing et d’images.

Critiquer publiquement ces politiques, abondamment relayées de façon anxiogène par les médias, coûte très cher. En 2015, Philippe Verdier, animateur de télévision spécialisé en météorologie et climatologie, a été mis à pied par France 2 après la parution de son livre « Climat Investigation » (Éditions Ring), qui dénonçait les liens entre scientifiques, politiques, lobbies économiques et ONG environnementales en vue de promouvoir une « machine de guerre destinée à nous maintenir dans la peur ».

Les incendies de forêt, par exemple, sont nécessairement présentés par les médias comme la conséquence du réchauffement climatique, en omettant le plus souvent leurs origines réelles : actes criminels, imprudences, urbanisation croissante proche des forêts, déforestation sauvage, remplacement du pin par l’eucalyptus, etc.

Les buts réels de la manipulation climatique

Dès les années 1960, les médias ont diffusé largement les rapports alarmants du Club de Rome. Par la suite, l’action des ONG, dont les financements sont peu contrôlables et la réelle gouvernance opaque, a largement été favorisée par l’ONU qui leur a assuré une légitimité internationale.

Cette manipulation gigantesque trouve son origine dans une lutte mondiale pour l’approvisionnement énergétique, en lien direct avec la souveraineté des États.

La « guerre climatique » engagée sous la tutelle de l’ONU et sous l’influence américaine (hors la parenthèse Trump) a pour but de renforcer la mondialisation et l’interdépendance des États pour mieux maîtriser les échanges d’un « libre » marché planétaire. Tout en préservant les intérêts énergétiques des États-Unis, l’objectif recherché consiste notamment à désorganiser les modèles énergétiques des pays concurrents, même s’ils sont réputés alliés, afin de les rendre vulnérables.

La France, où les factures ont augmenté en moyenne de 45 % en moins de dix ans à cause des taxes prélevées pour financer les consortiums éoliens et solaires, subit une pression continue pour le démantèlement complet de son modèle énergétique. Dans cette logique, la Commission européenne cherche à ce que nous vendions nos activités hydroélectriques à des intérêts privés.

Pendant ce temps, les États-Unis exploitent tranquillement leurs ressources pétrolières et leur gaz de schiste. De son côté, Vladimir Poutine a ouvertement exprimé sa sympathie pour le réchauffement climatique, considéré comme susceptible d’entraîner des effets bénéfiques pour son pays.

Arguant de ce qui est présenté comme un danger mondial, les tenants et les dupes de cette manipulation affirment la nécessité d’une prise de décision par des cercles mondialistes et des experts. L’auteur souligne que ce qui est en jeu, « c’est la prise en mains des destinées du monde, à l’insu des peuples, par une poignée d’hommes travaillant pour une dictature mondiale qui se prétendra une démocratie universelle (…) » et qui « s’appropriera les richesses et les sources d’énergie mondiales ».

Les instances internationales soutiennent également la création du premier impôt mondial levé sous l’égide de l’ONU sous la forme d’une « taxe carbone ».

Une religion planétaire : l’écologisme

Après l’effondrement du communisme et le déclin de l’Église en Europe, cette pseudo-religion à vocation universelle a tout pour séduire les ex-marxistes et les nouveaux prêtres mondialistes, d’autant qu’elle croise opportunément la préoccupation légitime de la préservation de l’environnement dans les pays occidentaux.

Au-delà d’une nouvelle idéologie matérialiste, Alban d’Arguin n’hésite pas à affirmer l’existence d’un « plan mondial de subversion » dont même le pape, devenu de fait « l’aumônier des Nations Unies », est partie prenante. Le Saint-Père parle ainsi de l’obligation de recevoir les « migrants climatiques » dont le nombre, selon l’ONU, devrait s’élever à un milliard d’ici 2050 !

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Sortie chez Dualpha d'un livre consacré au journal "L'Esprit public"

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En 1960, un groupe d’universitaires, d’hommes de lettres et de journalistes (Jean Brune, Raoul Girardet, Philippe Héduy, Jacques Laurent, Jules Monnerot, Roger Nimier…) décide la création d’un organe de presse destiné à contrebattre les batteries et les feux gaullistes qui préparent l’ultime offensive décolonisatrice.

Deux notables algérois, l’universitaire et député Philippe Marçais et l’avocat Marcel Kalflèche, recueillent les fonds nécessaires à la réalisation d’un tel projet.

En décembre 1960 paraît le premier numéro de ce nouveau venu dans la presse sous le titre L’Esprit Public.

La réaction répressive du Pouvoir ne tarde pas. Les perquisitions, les saisies et les procès intentés à ses contributeurs, se multiplient.

En juin 1962, la fin de l’Algérie française étant consommée, se pose alors la question de l’avenir de l’entreprise. Force est de constater que L’Esprit Public est un « O.P.N.I » (Organe de Presse Non Identifié). Ce n’est pas un journal d’opinion, mais un outil de combat, ce que le comité de rédaction reconnaît explicitement : « Un journal comme le nôtre, fondé par des hommes venus d’horizons assez éloignés en fonction du seul combat algérien, peut-il encore exister ? »

Cet ouvrage se propose d’évoquer cette aventure journalistique qui reste unique dans l’histoire de la Ve République tant par la qualité que par l’éclectisme de son équipe rédactionnelle.

L'auteur :

Au sortir d’une jeunesse algérienne et de l’avortement d’une vocation militaire qui a irrémédiablement fait « putsch » en 1961, Jean-Pierre Brun, s’est reconverti en juriste de terrain pour faire carrière dans l’industrie avant de terminer sa vie professionnelle comme délégué général d’un syndicat national patronal. Son humeur on ne peut plus vagabonde enfin retrouvée, il peut désormais s’adonner à sa vraie passion : l’Histoire et l’Algérianisme.

L'Esprit public ou la dernière flibuste, Jean-Pierre Brun, Editions Dualpha, 2022, 256 pages, 29,00 € (+ 5,00 € de port)

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dimanche, 07 août 2022

Jean Picollec, un éditeur très rock and roll…

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Il n’est pas habituel qu’un ouvrage soit consacré à un éditeur. Le métier veut qu’un éditeur travaille au succès de ses auteurs et pas au sien. C’est pourtant ce qui vient d’arriver à Jean Picollec avec l’ouvrage publié par les éditions Synthèse (Lannion) : « Jean Picollec l’atypique ». C’est l’occasion de suivre ce dernier dans les différentes maisons d’édition où il a officié : Larousse, Alain Moreau, La Table ronde et, finalement, Jean Picollec. Son plus grand succès commercial fut le livre de Roland Jacquard Au nom d’Oussama Ben Laden– traduit en 29 langues – qui sortit trois jours après les attentats du World Trade Center à New York – le flair joue un grand rôle dans le métier d’éditeur.

Ce Breton de Concarneau ne s’est pas contenté de « faire des coups », il a également publié de nombreux ouvrages consacrés à la Bretagne et au monde celtique : Les contes du cheval bleu. Les jours de grands vents (Irène Frain), Famine et Skerreth (Liam O’Flaherty), Les grands bardes gallois (Jean Markale), La mythologie celtique (Yann Brekilien), Le chien du forgeron (Cûchulainn), Chantres de toutes les Bretagnes. 20 ans de la chanson bretonne (André-Georges Hamon), Breizh Atao. Histoire et actualité du nationalisme breton (Olier Mordrel), Mémoires parallèles (Gwenn-Aël Bolloré), Stèle pour Edern (Arnaud Le Guern), L’IRA (Tim Pat Coogan), A l’ouest, du nouveau (Bertrand Cousin), Gilles de Rais ou la fin d’un Monde (Michel Hérubel), Olivier de Clisson, connétable de France ou chef de parti breton (Yvonig Gicquel), Nous avons tué Mounbatten. L’Ira parle (Roger Faligot), Ecosse : les liaisons tumultueuses avec Londres (James McCearney), Le défi celtique (Alain Guillerm), La chanson d’Aiquin (Jean-Claude Lozac’hmeur), Merlin, Tristan, Is et autres contes brittoniques (Thierry Jigourel), L’école du renard (Youenn Drezen), Ma Bretagne… : la connaître et l’aimer en s’amusant… Jean-Pierre Collignon), Jean Coëtanlem (Léon Gaultier), Quand la rivière se souvient de la source (Yvon Le Men), Fermé pour cause de poésie (Gérard Le Gouic), Bretagne, espaces et solitude (Jean Hervoche, etc.

Une nouvelle biographie de Vincent Bolloré s’impose

L’actualité veut que la biographie de Vincent Bolloré, signée par Jean Bothorel, pourrait intéresser moult lecteurs. Malheureusement, elle remonte à avril 2008 et, depuis cette période, beaucoup d’eau a coulé sous les ponts. Les éditions Jean Picollec gagneraient donc à publier une nouvelle édition très fortement enrichie car Vincent Bolloré est devenu un poids lourd du secteur puisque sa société Vivendi contrôle Editis et ses 52 maisons d’édition (dont Julliard, Robert Laffont, Plon, Perrin, La Découverte…). L’appétit venant en mangeant, il songeait à agrandir son royaume en avalant Hachette Livre (Grasset, Fayard, Stock, Calmann-Lévy, Lattès, Livre de poche, Hachette Education, Hatier, Larousse, Albert René…), un des fleurons du groupe Lagardère. Mais il fallait compter avec le droit de la concurrence européen qui n’aime pas les monopoles. « Le groupe nouvellement créé serait trop dominant dans ses activités de distribution, mais aussi sur certains segments comme le livre de poche ou les manuels scolaires (…) Le dossier a été étudié au niveau de la Commission européenne à Bruxelles (…) Dix mois plus tard, le problème retourné dans tous les sens, Vivendi a donc décidé de se séparer d’Editis, pour devancer les demandes des régulateurs européens. » (Libération, 30-31 juillet 2022). La fusion Hachette-Editis ne se fera pas, Vivendi (Bolloré) vend Editis et achète Hachette Livre. CQFD.

Une anecdote contée par Jean Picollec dans le livre qui lui est consacré servira de conclusion. « Suite à la sortie du livre Le dossier secret du Canard enchaîné de Christian Plume et Xavier Pasquini, certains journalistes extérieures à la rédaction du Canard enchaîné me font un procès pour avoir révélé leur collaboration ponctuelle à l’hebdomadaire. Celui qui voulait tout particulièrement la « peau » des éditions Jean Picollec était Claude Angeli qui me reprochait de faire dans ce livre ce que Le Canard faisait chaque semaine dans ses colonnes : qui était derrière telle décision ? Qui tirait les ficelles ? D’ailleurs, ayant eu vent de la parution imminente du livre, il avait demandé à me rencontrer. Rendez-vous fut pris en face de leurs locaux, au bar de l’Hôtel de Normandie. Il me reçut, avec le fils de l’écrivain Robert Gaillard, et m’expliqua que j’étais inconscient de vouloir publier ce livre, que cela allait conduire à la mort de ma maison d’édition… et que si je revenais sur ma décision de le publier, Le Canard enchaîné serait bien évidemment très attentif à toutes mes parutions dont il ne manquerait pas de rendre compte régulièrement.

Je l’appelais deux jours plus tard pour le prévenir que le livre était à l’impression. Il explosa dans une rage stupéfiante… J’appelais aussitôt le directeur du Canard enchaîné, Roger Fressoz, pour m’étonner de cette virulence et de certains sous-entendus menaçants… Mal à l’aise, celui-ci me fit seulement remarquer que je devais bien m’attendre à des réactions avec la parution d’un tel livre. » Comment Le Canard enchaîné a-t-il réagi ? « Ils m’ont poursuivi pour diffamation par des référés d’heure à heure. Ils ne sont pas arrivés tous groupés à une seule audience, non ! ils venaient séparément, de façon à ce que j’ai à subir deux audiences par semaine. Au bout de deux mois (ils avaient un délai de trois mois pour me poursuivre), la Justice ayant sans doute compris leur manège a dit à leur avocat : « Ecoutez, maintenant, vous poursuivez les éditions « au fond » ou bien vos référés « d’heure à heure » ne seront plus garantis par la loi. » Comment l’affaire se termina-t-elle ? « Alors, plus rien : il n’y a plus eu d’audience et tout s’est arrêté là. Cela m’a juste valu d’être boycotté par cet hebdomadaire, contrairement à ses professions de foi de ne jamais boycotter ou infliger des ostracismes. »

En 2012, Claude Angeli a pris sa retraite de rédacteur en chef du Canard enchaîné. Mais il demeure fidèle au poste avec sa rubrique (en bas de la page trois) consacrée aux questions militaire, d’armement et de renseignement.

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samedi, 30 juillet 2022

AVANT DE PARTIR EN VACANCE, AVEZ-VOUS PENSÉ À FAIRE VOTRE PLEIN DE BONNES LECTURES ?

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mardi, 26 juillet 2022

LES LIVRES D'ANDRÉ POSOKHOW : DES MINES D'INFORMATIONS...

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lundi, 25 juillet 2022

Le nouveau livre d'Alban d'Arguin : "Réchauffement climatique Enquête sur une manipulation mondiale"

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Une "bombe" au coeur de l'été !

Cette enquête implacable sur un scandale mondial, appelé “réchauffement climatique” et dont les hommes seraient responsables, contient des révélations documentées effrayantes.

L’auteur dévoile, l’un après l’autre, les mensonges élaborés pour faire croire à une catastrophe planétaire imminente. Il ne se contente pas d’en tirer les fils, il en explique, comme dans un roman policier, les “clés”, c’est-à-dire les mobiles : en agitant des peurs et des angoisses, dont le symbole emblématique est une adolescente suédoise du nom de Greta Thunberg, les responsables de cette manipulation unique en son genre sont progressivement démasqués.

Comme une illustration de ce nouveau monde angoissant, se prépare et s’opère le remplacement des populations enracinées et des peuples millénaires par de nouveaux occupants déplacés, sous le vocable scandaleux et mensonger de “migrants climatiques”.

Alban d’Arguin lève le voile sur les organisateurs et les complices de cette grande peur d’une mort imminente et collective, agitée comme un spectre, que ce soit par des organismes internationaux, des organisations non gouvernementales (ONG), ou par l’Église catholique elle-même.

À la lecture de ce livre, le parallèle entre cette manipulation climatique et celle de l’épidémie de grippe de Wu Huan de 2019 (Covid 19) apparaît sans ambiguïté. Partant d’un fait réel, on invente des mesures coercitives et quasi dictatoriales applicables au monde entier. Pour bientôt le confinement climatique, le port du masque anti-CO2, l’interdiction de circuler sans “passeport climatique”, etc. ?

Mais, à l’heure ou la folie des hommes conduit à l’ouverture d’un conflit dramatique entre l’Occident et la Russie, le Réchauffement climatique, cette enquête sur une manipulation mondiale, prend une tournure prémonitoire et éclairante. L’auteur y présente toutes les “clés” permettant d’interpréter cette manipulation du climat. Parmi ces dernières, figure le risque d’une guerre géostratégique pour neutraliser les pays détenant aujourd’hui les plus grandes ressources mondiales fossiles (pétrole, gaz et charbon) et les ressources minières, notamment les terres rares indispensables à la dictature numérique. C’est le cas de la Russie, qui voit dans le réchauffement climatique naturel actuel une opportunité d’améliorer les conditions d’exploitation de ses immenses ressources, y compris agricoles.

La guerre déclenchée en février 2022 entre l’Ukraine et la Russie pourrait hélas! être aussi interprétée comme une volonté de faire s’enliser le conflit pour freiner l’expansionnisme économique russe, amoindrir sa souveraineté nationale et, enfin, partager ses richesses entre des intérêts privés apatrides.

Alban d’Arguin est titulaire d’un DEA de droit public, d’un DEA d’histoire du droit, a poursuivi des études d’actuariat (ISUP Paris). Il a déjà publié Éoliennes : un scandale d’État (éditions Synthèse nationale, 2017), qui a fait de lui l’un des pionniers de la lutte contre les éoliennes en France.

Réchauffement climatique Enquête sur une manipulation mondiale, Alban d'Arguin, Editions Pardes, juillet 2022, 256 pages 20,00 € (+ 5,00 € de port)

 

14:44 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 24 juillet 2022

Sortie d'un nouveau livre de Gabriele Adinolfi : Covid - Reset DES ANTICORPS VITE !

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La crise sanitaire que nous traversons depuis 2020 laissera assurément des traces dans notre comportement général. Celle-ci est arrivée à pic pour imposer « la grande peur » nécessaire pour instaurer, de gré ou de force, le grand Reset voulu par les nouveaux maître du monde que sont les adeptes du Forum économique mondial de Davos.

Face à cette nouvelle donne, des esprits libres, de plus en plus nombreux, s’élèvent. Parmi eux, le penseur nationaliste révolutionnaire italien Gabriele Adinolfi. Il nous propose dans ce livre une analyse originale de la situation et nous explique pourquoi, plus que jamais, nos peuples européens doivent engendrer les anticorps indispensables à leur survie

Covid - Reset. Des anticorps vite ! Gabriele Adinolfi, juillet 2022, Les Bouquins de Synthèse nationale, collection "Idées", 90 pages, 18,00 € (+ 5,00 € de port), cliquez ici.

BULLETIN DE COMMANDE

Les livres de Gabriele Adinolfi publiés par SN cliquez là

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lundi, 18 juillet 2022

Parmi les lectures conseillées par Scipion de Salm : Harald à la Dent Bleue...

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Scipion de Salm

Harald à la Dent Bleue est un héros national danois, hélas mal documenté. L’effacement de sa mémoire officielle imposée par son fils Sven à la Barbe fourchue (986-1014), qui l’avait renversé, a été efficace.

Son surnom unique n’est plus compris. Il a régné sur le Danemark probablement de 958 à 987. Il a fait rentrer son pays dans le monde européen postcarolingien, avec l’adoption de structures administratives, religieuses - chrétiennes -, économiques - monnaie royale -, importées. Une politique identique a été menée exactement en même temps en Pologne et en Hongrie.

L’ouvrage propose donc une forme d’enquête historique autour de cette figure de transition fondamentale, « Viking, roi, chrétien ». Il a été un grand roi du Danemark, fortifiant sa frontière méridionale face à l’Allemagne ottonienne, à la fois modèle et danger redouté. Il a mené de grandes constructions utiles et de prestige dans son royaume, notamment dans sa capitale Jelling. Il a contrôlé en partie la Baltique et la Mer du Nord.

Une triste fin a occulté un règne impressionnant.

Harald à la Dent Bleue, Lucie Malbos, Passé Composé, 2022, 286 pages, 22,00 €

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Des nouveautés dans la collection "Qui suis-je ?" de chez Pardès

Béchir Gemayel 

I-Moyenne-44023-bechir-gemayel-qui-suis-je.net.jpgBéchir Gémayel est né le 10 novembre 1947 au sein d'une famille libanaise respectée et imprégnée de culture française, dans un pays que l'on surnomme alors "la Suisse du Moyen-Orient".

Depuis Saint Louis, la France a toujours protégé les chrétiens du Liban. Seules des politiques étrangères contemporaines ont terni cette tradition.

Majoritaires dans le pays, ils constituent l'une des plus anciennes chrétientés orientales. Au fil des siècles, ils ont su préserver leur liberté face à l'expansionnisme, sans cesse renaissant, de l'islam avec son lot de massacres et de dhimmitude.

À l'issue d'une scolarité laborieuse, suivie d'études de droit et de sciences politiques réussies, Béchir Gemayel devient avocat. Ce métier, il ne l'exercera guère. Très vite, son goût pour l'action et son charisme font de lui un meneur de premier plan dans la guerre qui s'engage, en 1975, pour la survie du Liban, face aux milices palestiniennes et à l'armée syrienne.

Chef militaire des Phalanges libanaises puis des Forces libanaises, Béchir Gemayel est animé d'une foi profonde et d'un discernement hors du commun.

Pour l'Occident, aujourd'hui confronté au phénomène islamiste, ses avertissements résonnent douloureusement.

Sa mort dans un attentat, le 14 septembre 1982, alors qu'il vient d'être élu président de la République, brise l'élan de la résistance chrétienne, mais son épopée continue d'alimenter l'espérance d'un Liban qui ne veut pas mourir.

Béchir Gemayel, Yann Baly et Emmanuel Pezé, Pardès, collection "Qui suis-je ?",  128 pages, 12,00 €

George Orwell

I-Moyenne-44148-george-orwell-qui-suis-je.net.jpgNé le 25 juin 1903 à Motihari (Inde), George Orwell, de son vrai nom Eric Arthur Blair, fut un infatigable militant. Socialiste authentique, il n'hésita pas à rompre avec la gauche officielle de son temps, aveuglée par sa fascination stalinienne. Son souci de la vie digne lui rendait tout aussi suspect un progressisme hors-sol, et il n'hésita pas à se définir lui-même comme un anarchiste tory.

Des tranchées de Catalogne jusqu'aux bombardements de la capitale anglaise, il ne renonça jamais à prendre parti dans un monde en décomposition.

Orwell fut surtout un contempteur acharné du totalitarisme. Ses deux plus grands succès, 1984 et La Ferme des animaux, sont là pour en témoigner. La tentation totalitaire était la grande question du siècle dernier, mais elle perdure dans le nôtre, considérablement amplifiée par le pouvoir immense qu'offre l'emprise numérique aux mains des tyrans de notre époque.

Toutefois, si ces deux romans antitotalitaires méritent, plus que jamais et de toute urgence, d'être relus, ils ne doivent pas occulter la richesse d'une oeuvre vaste, d'un journalisme de combat qui ne voulait rester 
étranger à rien de ce qui menaçait la dignité de l'homme.

Ce "Qui suis-je ?" George Orwell permet de découvrir la vie et l'oeuvre d'un infatigable défenseur de ce qu'il nomma la common decency (notre "bon sens") face à la bureaucratie, aux machines, aux puissants.

Maître de courage et de lucidité, resté fidèle, toute sa vie, à ce qu'il pensait être la vérité, Orwell meurt prématurément, à Londres, le 21 janvier 1950.

George Orwell, Thomas Renaud, Pardès, collection "Qui suis-je ?",  128 pages, 12,00 €

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lundi, 27 juin 2022

Un article sur le livre "Jean Picollec l'atypique" dans le quotidien Présent

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Jean Picollec, bien plus qu’un éditeur !

Jean Ernice,

La chronique de Livr'arbitres cliquez là

DOIT-ON VRAIMENT présenter Jean Picollec ? Ce nom, nous sommes nombreux à le connaître, notamment chez les lecteurs de Présent ! Il faut dire que l’homme a édité tant de livres qu’on a forcément tenu en main à un moment ou un autre un ouvrage dirigé par le vaillant Breton. Pourtant, il serait réducteur de ne s’arrêter qu’à la (riche !) carrière d’éditeur de Jean Picollec.

Passé à la question par Philippe Randa, Monsieur Picollec revient sur sa vie, on serait tenté d’écrire ses vies tant il y a de facettes du personnage à découvrir. Il y a tout d’abord l’homme, né en 1938 au Maroc alors sous protectorat français, mais dont toutes

les racines sont bretonnes avec des aïeux originaires de Concarneau. Jean Picollec apprend le français à l’école, mais c’est la langue bretonne qu’il utilise avec ses grands-parents. Alors que tout le prédestine à être marin, Picollec étudie l’histoire, devient lauréat du concours général, puis file à la Sorbonne, là-bas il découvre Paris et croise un certain... Lionel Jospin ! D’autres rencontres se font à l’époque, Alain Jamet ou encore Jean-Marie Le Pen deviennent des familiers de Picollec. Il partage avec eux le rejet du communisme, notamment après les événements de Budapest en 1956.

Engagé chez Larousse, Picollec ne soutiendra finalement pas sa thèse sur l’autonomisme breton pendant la Seconde Guerre mondiale par manque de temps. Son attrait pour la politique se confirme par un engagement à Ordre nouveau à l’invitation de François Duprat.

Philippe Randa revient également sur la passion bretonne de Picollec et sur le fait de s’être présenté aux côtés d’un personnage aussi atypique que reconnu, Jean-Edern Hallier. Le fantasque essayiste vaudra bien quelques soucis à son ami Picollec, quand la police pense que l’éditeur fait partie de ses ravisseurs...

Après son passage chez Larousse, Picollec fonde les éditions Alain Moreau dont il est la principale cheville ouvrière. Pour cette maison il édite Pierre Péan, Henry

Coston ou encore Jean Montaldo. Après six ans d’association avec Alain Moreau, Picollec prend son envol en 1978 et ouvre sa propre maison d’édition qui porte tou- jours son nom. Il édite tout au long de sa carrière des livres engagés, n’hésitant pas à publier la défense de Klaus Barbie écrite par maître Vergès.

Bref, un bel hommage à un passeur d’histoire, un fidèle (en amitié comme en politique). Rendons grâce à Philippe Randa et Roland Hélie (éditeur et préfacier de l’ouvrage) d’avoir eu l’initiative sympathique d’éditer cet ouvrage, troisième de ce type après l’entrevue avec Roger Holeindre menée par Arnaud Menu cliquez ici ou encore celle de Carl Lang réalisée par Jean-François Touzé cliquez là.

Philippe Randa, Jean Picollec l’atypique, Synthèse nationale, 2022, 328 pages, 29 euros. cliquez ici

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samedi, 11 juin 2022

Jeudi 16 juin, Gabriele Adinolfi à La Nouvelle Librairie (Paris)

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mardi, 07 juin 2022

Lu dans Rivarol : Jean Picollec, un éditeur libre et atypique

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Robert Spieler (Rivarol cliquez ici)

"Toujours vivant, toujours indépendant, toujours sur le fil du rasoir": C'est ainsi que Jean Picollec, éditeur hors normes, bien connu dans "nos milieux", se définit. Roland Hélie et Philippe Randa ont eu la riche idée de consacrer un livre, paru aux éditions Synthèse nationale, à ce personnage pittoresque, éditeur ayant publié de nombreux livres non conformistes, breton fier de son identité, engagé dans le combat national breton, français et européen, ami de personnalités tout à fait inattendues de tous bords, ayant fait partie du bureau politique d'Ordre nouveau tout en soutenant la Nouvelle Droite d'Alain de Benoist et fréquentant amicalement aussi bien Jean-Edern Hallier que Vincent Bolloré, le barde Jean Markale ou l'écrivain Yann Queffelec. 

Breton d'abord

Jean Picollec est né le 15 juin 1938 à Port-Lyautey (aujourd'hui Kenitra) au Maroc. Il passera son adolescence à Tanger qui était alors zone internationale, où son père était douanier, comme beaucoup de Bretons. Mais les vraies racines de Jean sont à Concarneau où trois de ses grands-parents sont enterrés, le quatrième ayant été "mangé par les crabes", une expression qui évoque les marins-pêcheurs qui ont péri en mer et dont on n'a pas récupéré le cadavre. Tous les ascendants du futur éditeur sont bretons et, raconte-t-il, "dans la famille,les femmes portaient la coiffe de Pont-Aven" et "sa grand-mère paternelle est morte sans avoir appris le français", sa mère n'ayant quant à elle appris le français qu'en allant à l'école. Jean se souvient des humiliations subies par les petits Bretons (les mêmes que celles subies par les Alsaciens), considérés comme des "ploucs". Il se souvient des panneaux à l'école, où était écrit : "Il est interdit de parler breton et de cracher par terre". Il relève qu'on imposait aux Bretons une civilisation gallo-romaine, alors qu'ils sont des Celtes avec leurs légendes fabuleuses, telles Tristan et Iseult ou Merlin l'enchanteur. Notons qu'un des aspects les plus intéressants du livre se trouve dans les annexes et les notules, nombreux et passionnants, éclairant des biographies, des événements historiques ou tout simplement, racontant des anecdotes. C'est ainsi que Jean Picollec relate l'origine bretonne du mot "baragouiner". Lors de la guerre de 1870, les soldats de l'armée de Bretagne, suspects aux yeux du gouvernement républicain de Gambetta, furent parqués, dans des conditions épouvantables à Conlie, dans la Sarthe, dans des baraquements submergés, pataugeant dans la boue, très mal équipés : un vrai mouroir. Ils crevaient littéralement de faim et de soif, et réclamaient sans cesse aux soldats français du pain (Bara) et du vin (Gwin), leur répétant ces deux mots, dont les Français ne comprenaient pas la signification, d'où l'apparition du mot "baragouiner".

Etudes et croix celtique !

Jean Picollec voulait évidemment être marin et porter le bel uniforme d'officier de la marine. Mais, présenté avec succès au concours général d'histoire, bénéficiant ainsi d'une bourse et d'une chambre en Cité U, à condition de poursuivre des études d'histoire, il abandonna ses ambitions de devenir marin. Son voisin à la Cité était... Lionel Jospin, guère chaleureux avec les autres, et notamment avec lui, raconte Jean. C'est l'époque où il va rencontrer Jean-Marie Le Pen mais aussi Alain Jamet au fameux Bar du Panthéon, alors fief de la corpo de droit. A cette époque, Jean est très conscient du danger soviétique. Il découvre l'extraordinaire livre du transfuge soviétique Victor Kravchenko, J'ai choisi la liberté, qui le renforce dans son anti-communisme. Vient la guerre d'Algérie. Il est bien sûr très hostile aux porteurs de valises, des "traîtres" et a de la sympathie pour les Pieds-Noirs, suivant de près la "semaine des Barricades". En ce début des années 1960, Jean prépare une thèse d'histoire en Sorbonne, consacrée aux mouvements autonomistes bretons de 1939 à 1945. Il rencontre Maurice Bardèche et découvre sa revue Défense de l'Occident dans laquelle paraitront 7/8 articles de sa plume. La liste des collaborateurs, réguliers ou occasionnels de Défense de l'Occident, laisse rêveur. Parmi eux, Jean Anouilh, Marcel Aymé, Roger Nimier, Antoine Blondin, Jacques Laurent, Lucien Rebatet, Michel Déon, Robert Poulet, et tant d'autres. Philippe Randa écrit : "De tels noms prestigieux laissent rêveur à une époque où un simple entretien donnés à des journaux dénoncés comme "proches du Front National" suffit à vous attirer l'opprobre médiatique". Picollec va cotoyer François d'Orcival autour d'Europe Action, mais aussi Jean Mabire, Alain de Benoist, Dominique Venner. Il rencontre, au retour de son exil, Olier Mordrel, cofondateur du Parti autonomiste breton, dirigeant de la revue Stur durant la guerre, collaborateur à Radio Paris, condamné à mort par contumace en juin 1946, qui put se réfugier en Argentine pour ne revenir en France qu'en 1972. Mais son engagement politique sera motivé essentiellement par François Duprat qui l'incite à adhérer à Ordre nouveau. Plus tard, en 1979, il tâtera de la démocratie aux côtés de Jean-Edern Hallier. Ils tenteront de présenter, ensemble, une liste appelée "Région Europe" aux élections européennes. Sans grand succès. Jean Picollec témoigne : "Nous ne pûmes même pas nous payer de bulletins de vote". Mais il fallait bien travailler pour nourrir sa famille (il aura deux filles). 

L'aventure de l'édition

Il va rentrer dès février 1966 à la direction générale de Larousse. Il y restera presque six ans. Puis vint l'aventure de la première Maison d'édition, créée par Alain Moreau, qui avait fait carrière dans l'immobilier et avait racheté les éditions à compte d'auteur de la Pensée universelle. Il proposa à Picollec de créer une "vraie" maison d'édition et de se charger de son développement. Ce sera un succès. Il crée la fameuse collection avec "B... comme Barbouzes", "D... comme drogue", S... comme Sanguinetti", s'attaquant dans ce dernier livre à Alexandre Sanguinetti, un des hommes les plus puissants de France, un des responsables de la police parallèle du régime, le Service d'Action Civique (SAC), qui sera ministre et secrétaire général de l'UDR en 1973-1974. Picollec va publier Bokassa 1er, un des premiers livres de Pierre Péan, brillant journaliste d'investigation. Le livre n'est certes pas un panégirique du couronnement de l'empereur Bokassa 1er, tandis que toute la presse parisienne est à plat-ventre et s'émerveille, à commencer par Jean-Pierre Elkabach. 

La collaboration de Picollec avec les éditions Moreau prendra fin en 1978, avec la création de sa propre maison d'édition. Il publiera une douzaine de livres par an, avec deux axes majeurs : l'histoire contemporaine et la Bibliothèque Celtique. La publication du livre Le dossier secret du Canard enchaîné, suscite la fureur du volatile qui alla jusqu'à menacer la maison d'édition (pas Jean Picollec, tout de même !) de mort. Autre livre qui fit du bruit : La guerre des truands de Claude Picant. Son sous-titre : Le who's who des truands français, dans lequel on ne distingue plus très bien le truand et l'homme politique. Roland Gaucher évoquera quant à lui Le Réseau Curiel qu'il décrit comme le "chef du réseau anti-occidental le plus efficace" qui eut des ramifications partout dans le monde. Il sera assassiné le 4 mai 1978 par deux hommes dans les couloirs de son immeuble, une exécution revendiquée par un curieux "commando Delta" et par le Groupe Charles Martel. 

Des livres politiquement peu corrects

Tous ceux qui pénètrent pour la première fois dans le capharnaüm de son bureau sont stupéfaits. Cet homme d'ordre travaille dans le foutoir le plus total. Un de ses auteurs, Bernard Marck raconte : "Chez lui, on marche sur du papier, des épaisseurs de journaux, de lettres, tandis que l'on frôle des murs de manuscrits en équilibre instable." Mais attention, raconte Marck : "Jean sait l'emplacement de chaque lettre, de chaque journal, de chaque manuscrit, de chaque livre reçu". 

Jean Picollec a multiplié l'édition de livres qu'aucun autre éditeur n'aurait osé publier, certains leur paraissant "gênants" pour leur image, à cause des conséquences, notamment politiques. C'est le cas de Bouteflika, une imposture algérienne de Mohamed Benchicou qui lui vaut des poursuites pendant plusieurs années, Bouteflika lui réclamant 100 000 euros pour diffamation. Il sera finalement condamné à... 1 euro. Picollec ose aussi publier un livre objectif de Philippe Chesnay, sur le général Pinochet. L'auteur y pose la question : "Pourquoi, après dix-sept ans d'une dictature présentée comme une des plus impitoyable de notre époque, Pinochet recueillit-il encore 45% des suffrages populaires favorables à son maintien à la tête de l'Etat ?" Pourquoi, à la chute de la dictature, en 1990, le Chili était-il, en matière économique, le "bon élève du continent" ? Ses livres sur la Seconde Guerre mondiale rencontrent eux aussi le succès, notamment celui de Jacques Vergès, "Je défends Barbie", où l'on peut lire la plaidoirie de l'avocat au procès de Klaus Barbie. C'est Jean-Edern Hallier (encore un Breton !) qui avait présenté Picollec au sulfureux avocat  ("un esprit vif, qui n'était ni conventionnel, ni sectaire"). On apprend qu'il fut enterré religieusement ! Quel fascinant personnage ! Il avait totalement disparu durant une dizaine d'années sans qu'on ne sût jamais où il s'était caché. Certains pensent qu'il avait rejoint les Khmers rouges... Autres livres passionnants édités par Jean Picollec : Bucard et le francisme d'Alain Deniel (encore un Breton), Degrelle persiste et signe qui est une longue interview télévisée de Jean-Michel Charlier, la biographie de René Bousquet par son fils Guy (René Bousquet, cet inconnu), ou encore la biographie de l'amiral Bléhaut, ministre du Maréchal, par son fils (Pas de clairon pour l'amiral Bléhaut). Car à sa mort, De Gaulle avait interdit l'usage traditionnel du clairon lors de ses funérailles pour avoir suivi le Maréchal à Siegmaringen. Citons aussi ce livre absolument passionnant de Philippe Randa, le "Dictionnaire commenté de la Collaboration française", sans oublier le Dictionnaire de la Franc-Maçonnerie de Jean-André Faucher et le Dictionnaire des prénoms d'Alain de Benoist. Mais des plus de 350 ouvrages du catalogue de Jean Picollec, son plus grand succès est celui du célèbre Au nom d'Oussama Ben Laden de Roland Jacquard, paru par un hasard incroyable le 12 septembre 2001, quelques heures seulement après les attentats de New York. Traduit en 26 langues, il connut une très grosse diffusion. Le livre eut même droit à une précommande en langue féringienne, la langue des îles Féroé ! 

Quel homme !

Quel homme, ce Jean Picollec ! Nicolas Gauthier le décrit, "jovial et bonhomme, recevant comme un prince, offrant de généreuses rasades de son whisky breton, un sourire monté sur pattes, une générosité jamais feinte: la marque des Grands". Cet "éditeur hors-pair, découvreur de talents et indépassable en son métier dès lors qu'il s'agit d'exiger de ses auteurs de livrer le meilleur d'eux-mêmes n'hésite pas à mettre, sa noblesse d'âme et de coeur aidant, son imposant carnet d'adresses au service de chacun. Car, poursuit Nicolas Gauthier, "Jean Picollec connaît tout le monde. Hommes et femmes. De droite et de gauche". Le journaliste Jean Bothorel décrit son vieil ami comme "un homme de caractère" et cite Jean Renard : "Un homme de caractère n'a pas bon caractère", ajoutant : "Tous ceux qui ont pratiqué "Pico" conviendront avec moi qu'il a un caractère de cochon". Car ce diable d'homme est aussi, dit Bernard Marck, "un tortionnaire" mais, Dieu merci, un "tortionnaire sympathique", exigeant avec ses auteurs, son terrible crayon à la main, anotant, corrigeant, soulignant, faisant preuve du "redoutable entêtement breton", menant sa maison "comme un capitaine de chalutier prend la mer par tous les temps". Concluons avec cette définition que Bernard Marck donne de Jean Picollec : "un grand homme qui s'ignore"...

Jean Picollec, l'atypique, présenté par Philippe Randa, préface de Roland Hélie, 250 pages,  29,00 €  (plus 5,00 € de port), commande à Synthèse nationale, BP 80135-22301 Lannion PDC ou sur Synthèse éditions cliquez ici

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vendredi, 03 juin 2022

Parution d'un nouveau livre de notre ami Lionel Baland : "La Légion nationale belge, de l'Ordre nouveau à la Résistance"

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Le site de Lionel Baland cliquez ici

Les éditions Ars Magna cliquez là

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jeudi, 26 mai 2022

Le livre "Jean Picollec l'atypique" honoré d'un article dans Presse Edition

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mercredi, 25 mai 2022

Jean Picollec : le survivant d’une génération d’éditeurs français aujourd’hui tous disparus

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Un entretien avec Philippe Randa, auteur du livre Jean Picollec l'atypique

Philippe Randa nous fait découvrir un personnage hors du commun. Figurez-vous que sans jamais renier des convictions politiques tant haïes de la République des Lettres, cet éditeur a publié auteurs politiquement incorrects et personnalités politiques souvent sulfureuses (d’André Castelot à Jacques Vergès, de Jean Bothorel à Roland Jacquard, de Jean Markale à Olier Mordrel, de François Duprat et Roland Gaucher à Bernard Lugan) sans crainte de la “Bien-Pensance”.

Qu’est-ce qui vous a donné l’idée de ce livre d’entretiens avec l’éditeur Jean Picollec ?

Je reprends votre question : qui a eu le premier l’idée de ce livre, l’éditeur Roland Hélie ou moi ? Plus vraisemblablement, nous avons eu l’idée en même temps, alors que nous devisions sur l’édition en générale et nos édi­tions en particuliers… On fait rare­ment les choses par hasard et l’évidence s’est imposée à nous : l’exemple de Jean Picollec n’a pas été pour rien dans nos aventures édito­riales respectives…

C’est-à-dire ?

Nous revendiquons, Roland et moi, la même indépendance d’esprit vis-à-vis des modes litté­raires et du politiquement cor­rect ; l’exemple de notre aîné de vingt ans et plus dans la partie, nous a forcément beaucoup ins­piré.

C’est quelqu’un qui a édité des gens de tous horizons poli­tiques, parfois très opposés (voire anciens ennemis) au seul mo­tif que leurs écrits – témoi­gnages, récits, enquêtes – ser­vaient l’histoire, la politique, la cul­ture… ou même le divertisse­ment.

De plus, Jean Picollec, « modéré­ment » de gauche, a été politiquement engagé dans sa jeunesse…

Oui, il a été membre du bureau poli­tique d’Ordre nouveau au début des années 1970 et il n’a jamais renié cet engagement. Ce qui n’a pas empêché sa maison d’édition d’être présente dans la quasi-totalité des salons du livres organi­sés en France et à l’étranger et jusqu’en Israël, tous frais payés par l’État français qui ne trouvait pas, cette année-là, d’autre éditeur français assez coura­geux pour y représenter notre pays. Pour Jean Picollec, qui a été l’ami et éditeur, notamment de François Duprat, c’était pour le moins… atypique, non ? Comme d’en reve­nir avec un contrat pour pu­blier Freddy Eytan, premier ambassa­deur israélien dans un pays musulman… Ça, c’est tout Jean Picollec !

Au-delà de l’atypisme du person­nage, quel intérêt les lecteurs vont-ils retirer de votre livre ?

La saga éditoriale de Jean Picol­lec, c’est quarante ans des grands événe­ments politiques, culturels, écono­miques de la France et des grands pays du Monde, des grandes affaires politico-criminelles (les assassinats de Jean de Broglie ou d’Henri Curiel, etc.), mais également des por­traits parfois intimes, parfois in­croyables de personnalités aussi va­riées que les écrivains et journa­listes Yann Queffelec, Jean-Edern Hallier, Pierre Péan, Mau­rice Bardèche, Alain de Benoist ou Patrick Poivre d’Arvor, les hommes politiques Patrick Deved­jian, Claude Goasgen et bien sûr Jean-Marie Le Pen et des grandes figures de la Bretagne, d’Olier Mordrel à Jean Markale en pas­sant par la famille Bolloré dont il est un intime… La liste de tous les personnages qu’il a fréquen­tés ou sur lesquels il a pu­blié est évidemment trop impor­tante pour les citer tous…

Qu’on sache seulement qu’il a été le pre­mier éditeur à s’intéresser à Ous­sama Ben Laden, ce qui lui permit de pu­blier le premier livre sur le fonda­teur des réseaux Al-Qaïda le mois sui­vant les terribles atten­tats-suicides à New York le 11 septembre 2001Le livre fut, évidemment, un best-seller traduit  en 29 langues.

Propos recueillis par Guirec Sèvres

 Jean Picollec l’atypique, Philippe Randa, préface de Roland Hélie, éditions Syn­thèse nationale, 256 pages, 29,00 , avec de très nombreuses illustrations.

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mercredi, 18 mai 2022

Samedi 3 et dimanche 4 septembre prochains : 52e Journées chouannes à Chiré-en-Montreuil (86)

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lundi, 02 mai 2022

Un article sur le livre "Méthanisation, la nouvelle escroquerie écologiste" (Bernard Germain, Synthèse nationale) dans le quotidien "Présent" d'aujourd'hui.

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Francis Bergeron Présent cliquez ici

L’INGÉNIEUR BERNARD GERMAIN avait pris une retraite qu’il supposait tranquille dans une petite ville bretonne de bord de mer. Mais il apprend soudain qu’une installation de méthanisation va être implantée à proximité. Esprit curieux, il se renseigne sur cette technique et son utilité. Il va alors découvrir qu’il s’agit tout simplement d’une escroquerie écologique.

Au départ, il y a une bonne idée : produire du gaz « bio » à partir de déjections animales, ce qui peut assurer un petit complément de revenus aux fermiers. Qui n’y souscrirait pas ? Les écolo-bobos (et Dieu sait si la Bretagne en compte) se sont jetés sur cette solution miracle.

Mais, en creusant la question, notre ingénieur s’est aperçu que cette « énergie renouvelable » est « une idée pas idiote […] vite dévoyée ». Elle comporte même, sur le plan écologique, des dangers pour l’environnement et la population. Quant à son intérêt économique, il n’est vraiment pas évident. On peut même parler d’escroquerie écologique, une escroquerie relayée par le gouvernement qui a cru y voir une approche vertueuse de la gestion des déchets. Les subventions de toute nature sont tombées en pluies drues sur ceux qui se sont lancés dans cette technique.

Malheureusement, le résultat n’est pas là : une unité de production, censée recycler les déjections, rejette… 90 % de déchets, et ne produit que 6 % de méthane. La production est certes subventionnée à 30 % en moyenne, et parfois jusqu’à 70 %, avec à la clé des contrats conclus avec EDF. L’idéologie a vraiment un prix fort élevé, conclut Bernard Germain.

L’ouvrage se présente comme une sorte de vade-mecum pour lutter contre l’implantation de méthaniseurs. Comme pour les éoliennes, la résistance s’organise en effet : des procédures judiciaires sont engagées, des associations se créent, des mobilisations attirent l’attention des médias locaux.

L’idéologie écolo-gauchiste est de moins en moins en situation de monopole de la parole. Qui plus est, le résultat de Jadot le 10 avril est un désaveu cinglant de ces constructions pour intellectuels de gauche, à jeter au fumier.

Méthanisation, la nouvelle escroquerie écologiste, Bernard Germain, Synthèse nationale, avril 2022, 106 pages, 18,00 € 

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mardi, 26 avril 2022

Le livre-enttretien : Jean Picollec avec Philippe Randa publié par Synthèse nationale

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dimanche, 24 avril 2022

IMMIGRATION : APRÈS "L'ÉPREUVE DES CHIFFRES", VOICI VENUE "L'HEURE DES COMPTES"...

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L’immigration invasive qui est souvent désignée comme étant constitutif d’un « Grand Remplacement » a été mise en exergue par plusieurs candidats à l’élection présidentielle. L’un d’entre eux en a fait un enjeu civilisationnel capital pour l’avenir de la France. Il a imposé l’idée d’une « guerre de civilisation » qui pourrait remettre en cause l’existence de notre pays.

Dans contexte un ouvrage « Immigration, l’épreuve des chiffres » a permis, à l’automne dernier, de présenter au public les chiffres les plus importants des flux d’entrée et de sortie des immigrés principalement extras européens et ceux de la présence immigrée dans notre pays.

Le présent ouvrage, plus que d’établir un coût de l’immigration, problématique et sans conclusion définitive, a pour objet de présenter le résultat d’un bilan chiffré annuel en termes de finances publiques par comparaison des contributions fiscales ou sociales, apportées par les immigrés et les descendants d’immigrés avec les dépenses de prestations dont ils bénéficient et les coûts dont ils sont à l’origine. Il s’attache également à développer ce que nous appelons une « pénombre de l’immigration » non chiffrable mais qui constitue néanmoins une charge insupportable pour la société et l’économie française tels que la délinquance ou l’économie informelle.

Immigration, l'heure des comptes, André Posokhow, Synthèse nationale, mars 2022, 474 pages, 28,00 €

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Et, si ce n'est pas déjà fait, lisez Immigration, l'épreuve des chiffres du même auteur:

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Psychologie des foules de Gustave Le Bon : l'ouvrage essentiel

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APRÈS LE SCANDALE DES ÉOLIENNES : LA MÉTHANISATION INDUSTRIELLE, UNE NOUVELLE ESCROQUERIE ÉCOLOGISTE

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CE LIVRE VIENT DE SORTIR.

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Il y a quelques semaines, Bernard Germain, l'auteur de ce livre, était l'invité de l'émission Synthèse sur TV Libertés.

 

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Sortie d'un livre consacré à l'une des personnalités les plus non-conformistes du monde de l'édition : Jean Picollec, l'atypique

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Lauréat en 1956 du Concours général d’histoire, Jean Picollec se destinait à des études littéraires, comme quoi le milieu marin conduit à tout, à condition d’en sortir !

Jeune étudiant, il entrait en politique comme on entre dans les Ordres.

Il commença sa carrière professionnelle chez Larousse puis cofonda les éditions Alain Moreau, avant, six ans plus tard, de créer sa propre maison d’édition à son nom (bien plus tard, il dirigea parallèlement les prestigieuses éditions de La Table ronde).

Sa ligne éditoriale offrira toujours un choix très éclectique, que ce soit dans les thèmes abordés (des cultures enracinées aux régimes des États dans le monde les plus controversés) ou les sujets les plus sulfureux de l’histoire, de la politique, des médias… Il publiera ainsi des auteurs très différents, aux engagements politiques souvent oppposés.

Désormais, Jean Picollec est le survivant d’une génération d’éditeurs français des années 1970 à 1990 aujourd’hui tous disparus.

Dans cet ouvrage d’hommage richement illustré, Philippe Randa nous fait découvrir également l’étonnant carnet d’adresses de ce Breton de Paris : nombre de ses amis ont tenu à apporter leur témoignage sur cet homme de convictions et de fidélités.

Membre du jury des prix Bretagne et de l’Académie Rabelais, on le découvre aux côtés de Vincent Bolloré, Pierre Péan, Patrick Poivre d’Arvor, Patrick Devedjian, Claude Goasgen, Yann Queffelec, Jean-Edern Hallier… et de tellement d’autres !

Jean Picollec l'atypique, Philippe Randa (avec de nombreuses contributions), préface de Roland Hélie, Synthèse nationale, avril 2022, 270 pages, 29,00 € 

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vendredi, 22 avril 2022

Un dernier livre sur Macron "Le grand liquidateur" (Alain Le Bihan)

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jeudi, 14 avril 2022

"LA RÉFORME INTELLECTUELLE ET MORALE DE LA FRANCE", "QU'EST-CE QU'UNE NATION ?" ET "LA PRIÈRE SUR L'ACROPOLE" DE ERNEST RENAN SONT RÉÉDITÉS PAR SYNTHÈSE NATIONALE

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Les Grands classiques de Synthèse nationale,

collection dirigée par Patrick Parment:

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dimanche, 03 avril 2022

"Sécession" : le premier livre de Yann Vallerie, rédacteur en chef de Breizh-info.com

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La chronique flibustière de

Georges Feltin-Tracol

Collaborateur au site Novopress, puis rédacteur en chef à partir de 2013 du remarquable site d’information libre Breizh Info, Yann Vallerie signe son premier essai avec une préface de Piero San Giorgio. Explosif, son contenu ne se résume pas en une énième dissertation politico – géopolitico – métapolitico – philosophique pesante. Ce livre de 102 pages mesure 11 cm par 17,7; ces dimensions en font un ouvrage facile à lire n’importe où puisqu’il entre dans une poche quelconque. C’est un grand avantage à l’heure de l’effondrement de la lecture.

Tout curieux rétif au prêt-à-penser officiel peut découvrir Sécession de Yann Vallerie grâce à sa couverture. L’Hexagone français – sans la Corse – est repeint aux couleurs du drapeau de la Confédération sudiste pendant la Guerre de Sécession nord-américaine sans les treize étoiles remplacées par trois personnes (le père, la mère et l’enfant ?) entourées par un masque coronaviral barré, un fusil, un chapelet et un livre. La bannière à la croix de Saint-André est probablement un clin d’œil facétieux aux bâtons noueux de Bourgogne, principal symbole militaire de la Monarchie hispanique d’origine habsbourgeoise.

Par-delà ces considérations vexillologiques, le sous-titre pose une interrogation cruciale : « Comment vivre hors de la République française totalitaire ? » Yann Vallerie n’entend pas quitter sa chère Bretagne pour s’installer en Côte d’Ivoire ou en Afghanistan. Il propose au contraire de sortir du système mortifère. Il part d’un fait qu’il n’énonce pas, mais qui est flagrant : la mort de la France. Toutefois, au contraire d’un célèbre candidat-essayiste, elle ne s’est pas suicidée, mais elle a bien été assassinée. L’assassin se nomme la République dite française. Face à ce remplacement politico-idéologique presque achevé, l’auteur présente en quatre chapitres concis et percutants une méthode réaliste afin de rompre avec le Moloch républicain. Il estime en effet qu’il importe de se détourner du Régime et de poser les jalons d’un autre choix. Pragmatiques, ses propositions provoqueront certainement le mécontentement des éternels cocufiés de la politique française, à savoir les « nationaux – droitards ».

Sécession sort involontairement dans un contexte politico-médiatique favorable. En Corse, une jeunesse impétueuse et revendicative proteste et défile au cri d’« État français assassin ! »; « République française tueuse ! » aurait été mille fois plus juste. Et qu’observe-t-on ? Le gouvernement kleptocratique parisien si impitoyable envers les Gilets jaunes et les associations identitaires envisage des négociations. Les événements survenus sur l’Île de Beauté à la suite de l’odieuse agression d’Yvan Colonna par un détenu islamiste, confirment le point de vue de Yann Vallerie. « Si, sur le terrain, le rapport de forces est à l’avantage des locaux, alors, la République une et indivisible ou pas, l’État plie. » Quel formidable exemple pertinent pratiqué à Corte, à Bastia et à Ajaccio !

L’enraciné européen d’expression bretonne qu’est l’auteur appelle par conséquent à « faire sauter la déconstruction gauchiste qui est devenue l’essence de la République française depuis la fin des années 60 ». Il dénonce par ailleurs l’école soumise au conformisme pédagogique d’occupation mentale. L’« éducation nationale » n’instruit plus, elle déforme des esprits malléables qui subissent ainsi des dégâts irréparables. Certes, « niant son échec absolu, la République français entend à la fois soumettre à autorisation les réfractaires à ce système à broyer les enfants ». Le Régime cible l’instruction à domicile et les écoles hors contrat, encore préservées de l’idéologie des « gens des lettres » LGBTQIAXYZ+++ et d’un cosmopolitisme aux multiples facettes.

Ce sympathique plaidoyer pour la séparation, la rupture, la sécession emporte l’adhésion, sauf sur un point. « Le retour à la presse papier et au samizdat est un leurre, affirme Yann Vallerie. Une régression même, puisque ce serait un retour à la marginalité du départ. » Pourquoi alors veut-« on » (« qui ? ») étouffer l’hebdomadaire Rivarol ? Pourquoi Yann Vallerie a-t-il imprimé ce livre et non pas rendu disponible en format pdf sur Internet ? La hausse régulière du prix du timbre et des frais de port pénalisera les projets éditoriaux dissidents, ce qui n’est pas une coïncidence fortuite. Ne miser que sur le numérique alors que le CSA et HADOPI forment dorénavant l’ARCOM dont les employés suivent des formations inclusives, s’apparente à une mauvaise tactique. L’indispensable reconquête culturelle s’organise autour de deux axes complémentaires : une présence active sur Internet et une profusion, éventuellement clandestine, de samizdat, de journaux, de revues, de dazibao, de tracts et de livres. Il sera toujours plus difficile aux forces régimistes de localiser une imprimerie secrète, éditrice de pamphlets virulents ou d’enquêtes dévastatrices, que de censurer la Grande Toile virtuelle. D’ailleurs, Yann Vallerie applique déjà cette sécession dans le cadre factuel de cet ouvrage qui ne comporte pas d’ISBN et de code barre. Pourquoi ? La page pour le commander au prix de 15 € l’explique volontiers. Il s’agit d’abord de contourner les grandes plateformes de distribution qui asphyxient les éditeurs et les auteurs. L’auteur considère ensuite qu’il n’est pas normal qu’un éditeur doive, avant même d’éditer, s’acquitter d’une taxe supplémentaire prise par l’Etat (une cinquantaine d’euros pour avoir un ISBN). On peut donc se le procurer sur le site dédié ou par chèque bancaire à l’ordre de Breizh Information (BP 201, 29 834 Karaez/Carhaix PDC1) en précisant bien que c’est pour le livre Sécession.

Ce livre ouvre dans tous les cas de grandes perspectives de libération populaire et identitaire dans le cadre de communautés informelles soudées et structurées. Le temps presse. La survie des autochtones albo-européens passe par un choix crucial : soit l’infâme République hexagonale les écrasera, soit ils la chasseront de leur quotidien afin que leur retrait suscite finalement un salutaire renversement.

Salutations flibustières !

Pour le commander : cliquez ici

« Vigie d’un monde en ébullition », n°26, mise en ligne le 29 mars 2022 sur Radio Méridien Zéro.

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samedi, 02 avril 2022

Un entretien avec Bernard Germain, auteur de "Méthanisation : la nouvelle escroquerie écologiste"

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Propos recueillis

par Guirec Sèvres

 

Pourquoi ce livre sur la méthanisation ?

Ce sujet, inconnu de la plupart de nos compatriotes - particulièrement ceux qui vivent en ville - va inévitablement être largement discuté dans les prochains mois. Pour deux raisons majeures :

  • initialement, la méthanisation était présentée par ses promoteurs comme le moyen de produire du « gaz vert », donc écologique. Elle fait partie des moyens qui permettraient avec les éoliennes de développer des énergies « propres », en relation avec une baisse du recours à l’énergie nucléaire.
  • le conflit actuel entre l’Ukraine à la Russie a souligné notre dépendance vis à vis de la Russie, principal fournisseur de gaz pour l’Europe. Certains souhaitant sur ce plan ne plus être dépendant de la Russie, des solutions alternatives vont donc être recherchées. Le développement massif de la méthanisation fait partie des solutions possibles.

Il m’est donc apparu intéressant de rédiger ce livre afin d’exposer ce qu’est la méthanisation et surtout de donner au lecteur les moyens de répondre à la question : « est-ce une bonne idée ? ».

Pouvez-vous en quelques mots nous dire ce qu’est la méthanisation ?

C’est un procédé qui consiste à produire du gaz (méthane) à partir de déchets (excréments d’animaux, boues de stations d’épuration...) qui, mélangés avec du carbone (végétaux), vont en milieu anaérobie et sous l’action de micro-organismes, produire du méthane.

Ce méthane est récupéré et après épuration, sera injecté dans le réseau de gaz ou être injecté dans une turbine et brûlé. Ce qui permettra de produire de l’électricité qui sera vendue à EDF.

A l’issue du processus, il reste des déchets (90 % de ce qui entre !). C’est le « digestat » qui sera épandu à la surface des champs en qualité « d’engrais ».

A l’origine, la méthanisation devait se pratiquer « à la ferme » et constituer un petit complément de revenu pour les agriculteurs durement touchés par les prix auxquels ils doivent vendre leurs productions.

Sur le papier, tout cela semble très bien. Est-ce bien la réalité ?

Absolument pas. L’idée de base (la méthanisation « à la ferme ») a vite été remplacée par des structures de plus en plus grosses que le petit paysan ne peut pas s’offrir.

Certains se sont engouffrés dans le créneau ayant vite compris qu’il y avait beaucoup d’argent à gagner, d’autant que les subventions sont largement distribuées (Europe, ADEME, Régions, Départements...) auxquelles il convient d’ajouter des contrats sur 15 à 20 ans, à prix garantis.

Par ailleurs, l’équation économique de la méthanisation est absolument consternante. 

Enfin, la méthanisation est une authentique catastrophe pour l’environnement et les populations.

Avez-vous été confronté à ces problèmes ?

Oui. J’ai découvert la méthanisation il y a trois ans. Un projet d’unité de méthanisation a tenté de s’installer près de mon domicile, dans un joli petit bourg des Côtes d’Armor vivant largement du tourisme. L’affaire n’est pas terminée. Elle est en jugement.

Je me suis fortement engagé dans la mobilisation contre ce projet. C’est à cette occasion que j’ai appris tout ce que je sais dans ce domaine. Je fais largement part de cette expérience dans le livre.

Votre livre explique donc ce qu’est la méthanisation et comment la combattre ?

Effectivement, au-delà d’une présentation de la méthanisation, ce livre donnera aussi à tous ceux qui sont confrontés à un projet d’unité de méthanisation, des informations précieuses sur la manière de s’y opposer.

Il n’y aura jamais de méthanisation au Champ de Mars à Paris. Les « bobo-écolo » trouveront certainement le concept formidable d’autant qu’il est qualifié de « vert ».

Mais les habitants des campagnes, confrontés à la réalité de la méthanisation ont et auront un point de vue radicalement différent, basé sur leur expérience.

Quant au pays tout entier, il me semble urgent que des hommes politiques prennent conscience de la catastrophe qui s’annonce si la filière devait connaître un fort développement.

Qu’ils prennent conscience... et surtout qu’ils se mobilisent pour empêcher ce désastre à venir.

"Méthanisation : la nouvelle escroquerie écologiste", Bernard Germain, Les bouquins de Synthèse nationale, collection Pourquoi ?,106 pages, 18,00 € cliquez ici

00:48 Publié dans Bernard Germain, Livres, Rencontre avec... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 26 mars 2022

Charles-Henri d'Elloy a "fait un tabac" ce samedi après-midi à la Librairie française en présentant son dernier livre : Le procès de Jupiter

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Belle après-midi de dédicaces. Merci à tous ceux qui ce sont déplacés. Toutes mes excuses aux lecteurs qui sont arrivés après la rupture de stock du "Procès de Jupiter". Ce n'est que partie remise. Merci de vos encouragements.

Charles-Henri d'Elloy

Acheter le livre : cliquer ici

23:07 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 25 mars 2022

Samedi 26 mars, de 14 à 18 h, Charles-Henri d'Elloy dédicacera "Le procès de Jupiter" à la Librairie française à Paris

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Le procès de Jupiter cliquez ici

09:16 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 22 mars 2022

Après les éoliennes, la nouvelle escroquerie écologiste : la méthanisation

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Sortie très prochaine d'un livre consacré à ce nouveau scandale rédigé par Bernard Germain

Il y a deux mois Bernard Germain était invité à l'émission Synthèse sur TV Libertés.

Peu de gens savent ce qu’est la méthanisation. Et pour cause, ces structures ne sont construites qu’à la campagne, loin des villes.

La méthanisation leur est présentée comme le moyen de produire du gaz « bio », ce qui préserverait notre dépendance vis à vis de l’étranger.

Ce gaz « bio » est produit à partir de déchets, notamment les déjections animales, ce serait donc écologique et vertueux.

Enfin, la méthanisation est présentée comme une solution mise en œuvre « à la ferme », assurant un petit complément de revenu aux agriculteurs qui souffrent tant des prix reçus pour leurs productions.

Au final, la méthanisation n’aurait que des avantages.

Mais la réalité est bien différente.

L’auteur de cet ouvrage a été confronté à la tentative d’installation d’une structure de méthanisation proche de son domicile en Bretagne.

Il s’est opposé à ce projet avec des centaines d’habitants de son bourg.

Ce livre explique d’abord ce qu’est la méthanisation, ses dangers pour l’environnement et les populations, ainsi que sur le plan économique.

Il démontre aussi que la méthanisation, qui est l’un des piliers des « énergies renouvelables » n’est qu’une escroquerie sur tous les plans.

Il constitue aussi un guide pour l’action à destination de ceux qui souhaitent s’opposer.

À lire d’urgence … si vous ne voulez pas être victime de cette nouvelle escroquerie écologique.

Méthanisation, la nouvelle escroquerie écologiste, Bernard Germain, édité par Synthèse nationale, mars 2022, 104 pages, 18,00 €

Pour acheter ce livre cliquez ici

18:22 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |