mercredi, 08 mars 2023
Sortie à la fin du mois du n°24 de la collection "Les Cahiers d'Histoire du nationalisme" consacré à la mouvance identitaire blanche aux États-Unis
Cette histoire, écrite par Rémi Tremblay, est racontée en trois volumes. Le premier sortira le 30 mars prochain.
Une grande Histoire méconnue en Europe
Rémi Tremblay
Pourquoi cette histoire de la mouvance identitaire blanche aux États-Unis en trois tomes ?
Tout d’abord, parce que fort peu de livres traitent de ce sujet, tant en français qu’en anglais. Des monographies ont été consacrées à certains personnages ou organisations de cette mouvance, mais rien abordant le sujet de façon globale n’a jusqu’à présent été publié en français, hormis l’ouvrage de François Duprat et d’Alain Renault sur les fascismes américains [en vente sur ce site], qui se termine en 1945.
De plus, contrairement aux autres auteurs francophones qui se sont penchés sur la question, je suis allé aux sources premières, ce qui m’était facilité par mon réseau de contacts et par le fait que j’habite moi-même en Amérique du Nord, tout près du pays étudié, que j’ai visité à d’innombrables reprises.
Pour documenter le présent travail, j’ai ainsi eu un accès direct aux œuvres publiées par les mouvements des nationalistes blancs américains : j’ai lu leurs manifestes, leurs œuvres de fiction, leur propre version de leur histoire, ainsi que des milliers de pages de revues et de journaux, datant aussi bien du siècle dernier que des dernières décennies. À cela s’ajoute l’examen des rapports du Federal Bureau of Investigation (FBI) et de rapports de police, des sources souvent négligées, quoique souvent très précises et très instructives.
Contribue aussi à l’originalité du présent travail le fait qu’un très grand nombre de participants directs ont accepté de se confier dans des entrevues durant parfois plusieurs heures. Ils me décrivirent leur perspective, m’orientèrent vers certaines lectures, me confièrent des anecdotes inédites et me remirent à l’occasion des documents introuvables. J’ai ainsi eu l’aide inestimable de nombreuses personnes que je tiens à remercier, tels Ed Fields, David Duke, Kirk Lyons, Gerhard Lauck, Martin Kerr, Frank Collins, H.A. Khoeler, Mike Hallimore, William Williams, Billy Roper, Karl Hand, Henry, Sorcier impérial de l’Église du Ku Klux Klan, James Mason, Dennis Mahon, Charles Barbee, Richard Scutari et de nombreux autres acteurs de cette histoire, par exemple des pasteurs de l’identité chrétienne, des militants néonazis, des activistes de l’Alt-Right ou de la mouvance nationaliste blanche, ainsi que des adeptes du Klan. Tous acceptèrent de collaborer avec ce journaliste étranger qui écrivait un livre sur leur histoire.
Le fait que je contribue également à plusieurs médias américains plus ou moins liés à la mouvance nationaliste blanche m’a permis d’adopter une perspective différente, un point de vue de l’intérieur plutôt que de l’extérieur. En effet, de nombreuses personnes mentionnées dans le présent ouvrage sont des personnes avec qui j’ai eu l’occasion de collaborer.
Plusieurs de ces acteurs sont aujourd’hui décédés.
Le présent livre se divise en quatre parties. Une section introductive s’efforce de définir les contours du sujet abordé dans le livre, à savoir ce qu’il faut entendre par des expressions comme mouvance racialiste blanche ou nationalisme blanc. Par la suite, un premier tome aborde la période débutant avec l’indépendance américaine et se terminant avec la fin de la Seconde Guerre mondiale qui chamboula le paysage politique américain et ouvrit la porte à la déségrégation. Le lecteur pointilleux constatera peut-être que certains mouvements importants, comme celui l’Identité chrétienne, ne sont pas mentionnés dans le premier tome, mais il ne s’agit pas d’oublis. Dans certains cas, pour mieux cerner l’évolution dans le temps de certains groupes, il est apparu préférable de les traiter dans les tomes subséquents et de décrire leur genèse au moyen de retours dans le temps.
Les tomes deux et trois traiteront la période allant du début des années 1945 jusqu’à aujourd’hui de façon thématique. Seront ainsi traités, dans le tome 2, les mouvements blancs ayant une approche plus traditionnaliste, selon laquelle la défense de la race se combinait avec des préoccupations pour la Constitution, la religion ou la liberté.
Dans le tome 3 on se penchera sur les groupes pour lesquels la position racialiste se mariait avec une approche révolutionnaire. La ligne est parfois mince entre les deux catégories et un tel classement thématique pourra apparaître fort subjectif, d’autant plus qu’il existait une grande porosité entre les mouvements des deux catégories et que des périodes de convergence ont souvent estompé les différences.
Certains, qui ne liront probablement pas ce livre, le taxeront d’apologie du racialisme. Les autres, vous chers lecteurs, y verrez l’histoire rarement racontée avec objectivité d’une mouvance qui marqua et marque l’histoire de l’Amérique.
L’auteur : Rémi Tremblay
Militant politique, historien et journaliste engagé, Rémi Tremblay est avant tout un patriote québécois. Il fait d’ailleurs partie de la direction du Harfang, le bimestriel de la Fédération des Québécois de souches.
Nous lui devons déjà deux Cahiers d’Histoire du nationalisme. L'un consacré à Adrien Arcand (n°12 - cliquez ici) en 2017 et au fascisme canadien et un autre à Oswald Mosley, et aux fascistes britanniques (n°14 - cliquez là) en, 2018.
En France, il donne aussi régulièrement des articles dans le quotidien Présent et dans la revue Synthèse nationale.
États-Unis, la mouvance identitaire blanche (1er volume, de l'indépendance à 1945), Rémi Tremblay, sortie 30 mars 2023, 190 pages, 24,00 € (+ 6,00 € de port).
Pour le commander dès maintenant cliquez ici
10:18 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 16 février 2023
La fabrique du crétin
Jean Leclerc
La fabrique du crétin, Vers l'apocalypse scolaire, c'est le titre du tome 2 de l'un des ouvrages de Jean-Paul Brighelli, ce Normalien atypique devenu professeur dans un lycée de Marseille. Normalien de Normale Sup, cette école élitiste, bien sûr, pas de l’École Normale basique qui "fabriquait" les instituteurs d'autrefois…
Après un parcours politique et idéologique en zigzags, il a été rattrapé par le "réel" du monde pédagogique, son chemin de Damas à lui. Si bien qu'aujourd'hui, il dit tout, il écrit tout sur ce qu'avaient prédit quelques dinosaures de la pensée réactionnaire, il y a déjà quelques décennies…
Sur Youtube, il y a quelques jours, le site Livre Noir l'a interrogé comme ils savent si bien le faire. Pas quelques phrases grommelées entre deux portes. Non, une longue interview de plus d'une heure et vingt minutes ! C'est passionnant, décapant, et terriblement angoissant !
La fabrique de crétins, Jean-Paul Brighelli, L'Archipel, 207 pages, cliquez ici
12:09 Publié dans François Floc'h, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 14 février 2023
Deux nouveaux titres entrent dans la collection des Grands Classiques de Synthèse nationale
Pour bien comprendre un texte et, éventuellement, l’apprécier ou le condamner, il convient toujours de se remettre dans le contexte de l’époque où il a été écrit.
Jacques Doriot, natif de Bresle dans l’Oise en 1898, fut un personnage primordial de la vie politique française au cours de la première moitié du XXe siècle. À l’âge de 25 ans, au lendemain de la Première Guerre mondiale, il est déjà l’un des hauts-responsables du Pati communiste français. En 1924, il est élu député communiste de la Seine et en 1931, il emporte la mairie de Saint-Denis. Cependant, au début des années 1930, il entre en opposition, au sein du PC”F”, avec la ligne imposée par Moscou et incarnée par Maurice Thorez. Cette opposition le conduira à la rupture en 1935 et, quelques mois plus tard, à créer le Parti populaire français qui incarnera, jusqu’à la mort de Doriot en 1945, le principal parti d’inspiration fasciste en France.
Rappelons que l’entre-deux-guerres fut marqué par l’émergence en Europe de plusieurs révolutions reposant sur une double volonté d’indépendance nationale et d’émancipation sociale. Ainsi, en Italie, puis en Allemagne et dans d’autres pays, ces expériences concluantes dans un premier temps séduisent de plus en plus en Europe et en France particulièrement. Jacques Doriot se situe désormais dans cette perspective, il a expliqué pourquoi dans ses deux ouvrages fondamentaux que sont “La France ne sera pas un pays d’esclaves” et “Refaire la France”. Paru successivement en 1936 et en 1938 chez Grasset, réédités il y a quelques années par les Éditions de l’AEncre, ils entrent aujourd’hui dans la collection des Grands classiques de Synthèse nationale.
Sortie prévue : le 2 mars 2023
Pour les commander dès maintenant :
La France ne sera pas un pays d'esclaves, 180 pages, 22 € cliquez ici
Refaire la France, 132 pages, 20 € cliquez là
La collection Les Grands Classiques de SN cliquez ici
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lundi, 13 février 2023
Suite à la parution des ses Mémoires, un entretien avec Jean-Claude Rolinat
Entretien avec Jean-Claude Rolinat (publié sur le site de la réinformation européenne Eurolibertés (propos recueillis par Fabrice Dutilleul).
Jean-Claude Rolinat a été pendant 17 ans l’un des rouages de la machine « Front National ». Il donne des détails sur la vie interne du mouvement, et exhume deux décennies d’angoisses et d’espérances au plus près des militants. Il nous narre les heures difficiles de certains collages dans d’improbables cités banlieusardes, ou d’instables présences sur des marchés.
Vous venez de publier aux éditions Dualpha « 17 ans dans les tranchées du Front National » ; en dehors des évènements politiques qui vous ont marqué, comme le soulèvement de Budapest ou la fin de l’Algérie française, vous nous entraînez dans vos expériences municipales et vos démêlés avec la justice et les communistes, sans oublier la descente aux enfers de l’un de vos camarades.
Quand on arrive au soir de sa vie et que l’on aime la lecture et l’écriture, que l’on a « des choses à raconter », on a une irrépressible envie de coucher sur le papier ses souvenirs, de faire appel à sa mémoire pour témoigner, pour rappeler des faits, préciser des actions ou rectifier des versions, bref, brosser aussi quelques portraits. Et puis, c’est aussi l’occasion de faire revivre une France évanouie – en ce qui me concerne mon « terroir » parisien, « couleur sépia », disparu – comme l’enfance qui est une patrie perdue que l’on ne retrouve jamais.
Dans ce livre, vous révélez, vous interrogez, vous soulevez des questions, vous émettez des doutes sur des vérités officielles, vous rappelez des actions d’agit-prop oubliées ou méconnues du grand public. Mais surtout vous témoignez.
Avec moi, le lecteur est au cœur du carré des militants, il ressent la chaleur fraternelle qui liait des gens de toutes conditions, venus de partout, rassemblés par un aimant plus fort que tout : l’amour du pays, la grandeur de la France, le respect dû à ceux qui sont morts pour elle. On est au cœur de l’hebdomadaire National Hebdo et du groupe FN au Conseil régional d’Île-de-France, nous sommes sur les marchés ou aux « collages », on voit passer de grandes et moins grandes figures qui ont fait ce mouvement. Coucher sur le papier ses souvenirs, raconter sa vie de militant, exprimer ses espoirs, énumérer ses réussites et ses échecs, c’est un peu la prétentieuse volonté de vouloir se survivre… mais pas que ! Si le Rassemblement National peut récolter aujourd’hui une belle moisson d’électeurs, c’est que d’autres que ceux qui siègent dans les assemblées actuelles, se sont investis, se sont sacrifiés, ont semé, et, parfois, sont morts ou ont connu la prison. On devrait s’en souvenir. C’est le but de mon livre.
Outre vos souvenirs de militants et « d’apparatchik pas si ordinaire », vous en profitez pour revenir sur les grands événements de ces cinquante dernières années.
L’affaire Malik Oussekine, les troubles en Nouvelle-Calédonie, la guerre d’Irak-Koweit, l’Afrique du Sud et la fin de l’apartheid et bien d’autres événements, oui, forcément… à la fois avec le regard du militant et l’œil du touriste-reporter que je n’ai jamais cessé d’être toute ma vie durant… ce qui m’a permis de remettre en perspectives l’action politique que nous avons menée et la marche du monde. Oui, si nous étions arrivés au Pouvoir, notre pays aurait pu être bien différent de ce qu’il est aujourd’hui ! On ne refait pas l’histoire, certes, mais on peut encore rêver…
17 ans dans les tranchées du Front National, Jean-Claude Rolinat, éditions Dualpha, 368 pages, 39 euros.
Pour acheter ce livre cliquez ici
09:04 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 02 février 2023
Le livre de Guillaume Faye L'Archéofuturisme a été réédité par L'AEncre
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vendredi, 20 janvier 2023
RAPPEL : Bernard Germain dédicacera ses livres samedi 21 janvier à la Librairie Vincent à Paris
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samedi, 14 janvier 2023
RAPPEL : Philippe Randa dédicacera ses livres samedi 14 janvier à la Librairie Vincent à Paris
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vendredi, 13 janvier 2023
Un nouveau livre de Franck Abed consacré à Napoléon
Franck Abed est passionné par l'Histoire de France et par la politique. D'ailleurs, l'un va rarement sans l'autre. Militant, il anime tout un réseau de médias alternatifs. Il fut l'un des premiers, au début des années 2000 à réaliser des entretiens politiques filmés qui avaient, avant l'heure, déjà une belle audience.
Il vient d'écrire un ouvrage consacré à Napoléon et il explique dans un entretien qu'il a édité récemment sur son site son intérêt pour celui qu'il appelle "le héros éternel". Entretien que nous publions aujourd'hui pour présenter son livre.
S N
Source cliquez ici
La légende de Napoléon est indissociable des circonstances de la bataille qui mit fin au « retour de l’Aigle ». Vous avez toujours affirmé que le 18 juin 1815 la victoire était à la portée de l’Empereur. Confirmez-vous encore ce propos ?
Je le confirme et le maintiens sur la base de faits historiques que tout à chacun est libre de constater. Mais avant de répondre sur la dimension à proprement parler militaire, je tiens à rappeler les intentions de Napoléon une fois revenu à Paris. N’oublions donc pas qu’il a adressé aux différents souverains d’Europe des offres de paix qui ne reçurent que dédain et mépris. Devant cette arrogance et intransigeance diplomatiques, Napoléon est reparti sur le sentier de la guerre avec l’objectif de remporter une victoire éclatante afin de gagner une paix durable.
Toutefois, il existait en mars 1815 deux écueils majeurs auxquels Napoléon était confronté. Tout d’abord, il sentait bien qu’autour de lui l’enthousiasme était chancelant. En effet, les piliers de l’Empire montraient quelques signes de fragilité. Ensuite, il a véritablement sous-estimé la haine des chefs d'États coalisés à son égard. Il ne pouvait que difficilement saisir la jalousie qui animait les vieilles têtes couronnées. Le projet de la septième coalition ne souffrait d’aucune équivoque. Assurément, dès l’annonce de son retour d’exil, ils ont confirmé leur volonté de l’éliminer, lui et sa famille, du jeu politique continental… Le retour glorieux de Napoléon ne doit pas occulter ce contexte géopolitique si particulier ainsi que l’ambivalence du soutien des notables français à l’égard de Napoléon.
La campagne de Belgique s’ouvrit sous les meilleurs auspices. Les anglo-prussiens sont surpris de l’audace napoléonienne quand ils apprennent qu’il a traversé la frontière avec ses troupes. Les états-majors ennemis pensaient que Napoléon adopterait une posture attentiste ou plus exactement défensive. Après tout ce temps, c’était mal le connaître ou le sous-estimer. Wellington en apprenant l’avancée de l’armée française dira : « Napoléon m’a volé un jour de marche ».
Sur le papier, le plan de l’Empereur était parfait : s’insérer entre les deux armées et les battre séparément. Cette tactique, Napoléon l’avait déjà employée plusieurs fois avec succès au cours de sa prodigieuse carrière. Cette fois-ci, malheureusement, les applications concrètes de cette stratégie se heurteront au mur implacable des manquements, des insuffisances et des non-dits. Napoléon est vainqueur à Ligny, mais la victoire se révèle non définitive ni totale. L’armée prussienne est battue mais non détruite. Elle demeure en capacité de reprendre le combat. Quant à Ney, aux Quatre-Bras, il n’a pas totalement exécuté les ordres de l’Empereur. La suite est connue, Grouchy part à la poursuite des Prussiens et Napoléon se prépare pour la grande confrontation contre Wellington.
Nonobstant les erreurs, les trahisons et les hésitations, Wellington le 18 juin 1815 vers 18h00 donna des ordres pour préparer la retraite. Il dit même le propos suivant : « Give me night or give me Blücher », c’est dire la confiance qu’il accordait à ses troupes pour la victoire finale. Pourtant, les Prussiens avaient commencé à débouler sur notre droite dès 16h30. Une heure trente plus tard, Wellington doutait encore du succès de son plan et supplia que la nuit ou Blücher arrivent, tels le deus ex machina des tragédies grecques, pour lui éviter une défaite certaine. De même, Wellington fut prévenu par - au moins - un traître que des bataillons de la Moyenne Garde se préparaient à l’attaquer. Cette information cruciale, reçue au meilleur moment, lui permit de renforcer son centre.
Concrètement, cette défaite aux retombées incalculables se joua à très peu de choses. Nous sommes loin, très loin, d’une victoire coalisée brillante. L’armée napoléonienne ne fut pas défaite par manque de courage ou parce que les soldats ennemis se montraient supérieurs dans le combat. Elle ne fut pas non plus battue grâce à l’exécution d’une brillante manœuvre décidée par l’Anglais ou le Prussien. Elle a succombé par le nombre, les erreurs et les trahisons. Waterloo aurait pu être une victoire française.
20:59 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 10 janvier 2023
Redécouvrir Homère...
Scipion de Salm
Tout Homère est un ouvrage épais au titre ambitieux. Il propose tout d’abord l’œuvre d’Homère reconnue par les historiens et philologues sérieux, soit l’Iliade et l’Odyssée. On les relit toujours avec plaisir et profit.
Puis, suivent de nombreuses histoires complémentaires grecques antiques édifiées autour de la matière troyenne. Les attributions en sont plus problématiques pour les plus anciennes, tandis que des auteurs plus récents ont signé de leurs noms leurs développements de l’univers homérique. En effet, Homère a décrit dans ses deux longs poèmes fondamentaux un an du Siège de Troie, celui de la colère d’Achille, et ses conséquences, dans l’Iliade, et les pérégrinations d’Ulysse, de manière relativement concise, dans l’Odyssée.
Des épisodes fameux comme la mort d’Achille, la Prise de Troie, n’y figurent pas. Or, ce corpus immense, comprenant tous les registres, de l’épopée à la parodie et au roman d’amour, a pour l’essentiel disparu. Les fragments proposés n’en sont que plus précieux. Les traductions sont de qualité. Les commentaires sont pertinents et intéressants.
Tout Homère, Hélène Monsacre (direction), Albin Michel, Belles Lettres, 2019, 1300 pages, 35,00 €
10:21 Publié dans Livres, Scipion de Salm | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 06 janvier 2023
Vendredi 20 janvier à Paris : soirée Livr'arbitres consacrée à Tolkien
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dimanche, 01 janvier 2023
L'année éditoriale commence avec les Mémoires militantes de Jean-Claude Rolinat
Souvenirs d’une vie « d’apparatchik » (pas si) ordinaire…
Jean-Claude Rolinat, comme un célèbre petit Gaulois, est tombé très tôt dans une potion magique, mais c’était celle de la politique. Le soulèvement de Budapest en 1956, ainsi que l’agonie de l’Algérie française, l’ont durablement influencé. Il s’est engagé dans différents mouvements jusqu’à rejoindre fin 1981 le Front National de Jean-Marie Le Pen.
On revit la victoire du « Tonnerre de Dreux » avec Jean-Pierre Stirbois, on subit l’onde de choc de « l’affaire du détail », on ressent la fraternelle chaleur militante, on passe en revue les heures enthousiasmantes de la fête des BBR et des défilés de Jeanne d’Arc. On est aux premières loges du combat idéologique mené dans les travées et les coulisses du Conseil régional d’Île-de-France.
L’auteur a été pendant 17 ans l’un des rouages de la machine « Front National ». Il donne des détails sur la vie interne du mouvement, et exhume deux décennies d’angoisses et d’espérances au plus près des militants. Il nous narre les heures difficiles de certains collages dans d’improbables cités banlieusardes, ou d’instables présences sur des marchés.
Il révèle notamment les derniers moments de Malik Oussekine, raconte la descente dans l’enfer carcéral d’un conseiller municipal FN, dément l’antisémitisme du mouvement, et doute : Jean-Pierre Stirbois a-t-il été victime d’un accident de la route ou d’un attentat ?
Le Front National, avec son chef charismatique, annonçait d’une façon prémonitoire, les tempêtes à venir. « Militant un jour, militant toujours ? »…
17 ans dans les tranchées du Front national, JeanClaude Rolinat, Dualpha, 368 pages, 39,00 € (+ 6,00 € de port). Pour le commander cliquez ici
Les autres livres de Jean-Claude Rolinat cliquez là
23:23 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 28 décembre 2022
LE LIVRE "FRANÇOIS DE LA ROCQUE, DES TRANCHÉES AU PARTI SOCIAL FRANÇAIS" EST PARU
Pour le commandez cliquez ici
12:58 Publié dans Livres, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 23 décembre 2022
NOUVEAU : une biographie de François de La Rocque publiée par Synthèse nationale
François de La Rocque (1885-1946) fit, vingt-quatre ans durant, une brillante carrière militaire et prit part à plusieurs conflits de l’époque. En 1920, il quitte l’armée, décoré et gravement blessé.
Patriote et catholique, il décide de se consacrer à l’action politique et il sera à l’origine des deux principales organisations nationales de l’entre-deux-guerres, les Croix de feu (de 1931 à 1936) et le Parti social français (de 1936 à 1940). Chef politique “clivant”, il a suscité autant de vénération que de haine.
C’est pour défendre sa mémoire que Didier Lecerf a rédigé cet ouvrage.
François de La Rocque, des tranchées au Parti social français, Didier Lecerf, préface de Francis Bergeron, décembre 2022, 434 pages, 33,00 € (+ 6,00 € de port).
Pour acheter ce livre cliquez ici
21:56 Publié dans Livres, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 17 décembre 2022
Conférence hier soir du Cercle Trégor et Goëlo prés de Tréguier
Un public nombreux et attentif a assisté vendredi soir, près de Tréguier, à la conférence organisée par le Cercle Trégor et Goëlo pour présenter le nouveau livre de Bernard Germain, qui fut candidat de Reconquête ! dans la circonscription en juin dernier, "Callac, la mère des batailles" (Synthèse nationale).
Pierre Cassen, fondateur de Riposte laïque (cliquez ici), qui a préfacé ce livre, était l'invité d'honneur de cette conférence. Prirent avant lui la parole : Catherine Blein, présidente des Amis de Callac et ses environs, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, et bien sûr, l'auteur du livre, Bernard Germain.
Pour acheter ce livre cliquez là
12:56 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 15 décembre 2022
VENDREDI 23 DÉCEMBRE : IGNACE DEDICACERA SON NOUVEL ALBUM À LA LIBRAIRIE DUQUESNE À PARIS
Pour commander en ligne cet album cliquez ici
18:31 Publié dans IGNACE, Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Vendredi 16 décembre, à Tréguier (22), présentation du livre "Callac, la mère des batailles" organisée par le Cercle Trégor & Goëlo
17:55 Publié dans Callac 22, Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 06 décembre 2022
SORTIE PROCHAINE DU LIVRE "CALLAC LA MÈRE DES BATAILLES" DE BERNARD GERMAIN
Au moment où la France entière va être confrontée à la “transition démographique” voulue par Emmanuel Macron, le petit village breton de Callac (22) a été choisi pour être le “laboratoire” de cette opération.
Mais les habitants sont opposés à ce grand remplacement que l’on veut leur imposer…
Ce livre, écrit par l’un des acteurs de la résistance locale, permettra au lecteur de prendre conscience du rôle de chacun (d’un côté, les élus, les médias, l’État, la gauche et les antifas, de l’autre, les habitants de la commune et de ses environs, opposés au grand remplacement).
L’affaire de Callac n’est pas terminée, mais ce livre constitue déjà une arme pour tous ceux qui n’entendent pas laisser s’installer la transition démographique, c’est à dire le grand remplacement, dans leur localité et auront à cœur de mener le combat, afin de sauver notre culture, notre identité et notre civilisation.
Lire ce livre est donc une nécessité pour se préparer aux inévitables conflits qui naîtront à travers tout le pays.
Callac, la mère des batailles, Bernard Germain, 186 p., décembre 2022, 22,00 € (+ 6,00 € de port)
Préface de Pierre Cassen, fondateur de Riposte laïque
Sortie le 15 décembre.
Pour le commander cliquez ici
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mercredi, 30 novembre 2022
Dimanche prochain, 4 novembre, Ignace dédicacera son nouvel album à la Fête du livre de Renaissance catholique
En savoir plus sur la Fête du livre de Renaissance catholique à Port-Marly (78) cliquez ici
Pour commander le nouvel album d'Ignace cliquez là
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mardi, 29 novembre 2022
Du 2 au 4 décembre : le salon du livre russe de Paris
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"DÉMONDIALISER LA MUSIQUE", LE NOUVEAU LIVRE DE THIERRY DECRUZY
« Si tu veux contrôler le peuple, commence par contrôler sa musique », aurait dit Platon. Rarement évoqué, le pouvoir politique et culturel de la musique est pourtant essentiel et son impact sur le psychisme en fait un outil privilégié de contrôle des masses. Il convient donc de se poser la question de ce que l’on écoute et des motifs qui conduisent à ces choix. De même qu’il a fallu prendre conscience que les produits alimentaires industriels pouvaient contenir des éléments toxiques, il est nécessaire de s’interroger sur le rôle des enregistrements que diffuse l’industrie musicale. Ainsi, il est toujours étonnant de rencontrer des individus conscients de leur identité, de l’importance de leur histoire, défenseurs de leur culture, et qui écoutent pourtant les musiques des « troupes d’occupation culturelle ». En réalité, les choix musicaux de la jeunesse sont moins faits sur des critères esthétiques que communautaires, et qui l’imprègnent ensuite inconsciemment. Le présent ouvrage s’attache à présenter le rôle de la musique et la manière dont elle est exploitée par l’industrie musicale afin de proposer des solutions pour démondialiser son écoute.
Thierry DeCruzy est notamment un contributeur de Polémia et du mensuel Politique Magazine, il travaille sur le rôle de la musique dans la société. Il a publié Les Chants des traditions, aux éditions de l’Æncre en 2003. En mars 2021, il a réalisé le hors-série du quotidien Présent, Musique, combat identitaire. Il anime également des émissions de radio dissidentes.
Démondialiser la musique, Thierry DeCruzy, La Nouvelle Librairie, 160 pages, 16,00 € cliquez ici
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Parution prochaine du nouvel album d'Ignace :
Chaque année, un peu avant Noël, paraît l’album des dessins publié par le célèbre dessinateur de presse Ignace dans les média non-conformistes comme Média Presse infos ou TV Libertés.
Plus de 400 dessins, tous aussi incisifs, vous reppelleront les événements qui se sont déroulés entre décembre 2021 et novembre 2022.
C’est donc le cinquième album que publie Synthèse éditions. Celui-ci est un cadeau idéal que vous pouvez faire à vos amis à l’occasion des fêtes de fin d’année.
Préface d’Alain Escada, président de Civitas.
“Nous sommes en dette !”, L’album annuel des dessins d’Ignace (décembre 2021, novembre 2022). Préface de Alain Escada, président de l’Institut Civitas. 150 pages (+ de 400 dessins), 22,00 E (+ 6,00 E de port).
Parution : le 2 décembre 2022
Pour le commander cliquez ici
Les précédents albums d'Ignace cliquez là
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lundi, 28 novembre 2022
LE CATALOGUE HIVER 2022-2023 EST PARU !
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2022 : le grand retour des Journées de Synthèse nationale
Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale
Après trois années d'absence bien involontaire, le dimanche 16 octobre der-nier à Rungis, les traditionnelles journées de Synthèse nationale faisaient leur grand retour avec leur XIVe édition.
Depuis octobre 2007, en effet, nous organisions à l'automne ce rendez-vous politique et culturel avec nos lecteurs et amis dont le succès était grandissant. Mais les contraintes sanitaires en vigueur en 2020 et en 2021 nous avaient obligé à y renoncer. Et cette année, cela a bien failli être à nouveau le cas en raison des blocages des dépôts de carburant qui paralysaient alors la France... mais nous avons tenu bon et nous avons eu raison. Malgré toutes les difficultés, un public nombreux, tout comme les intervenants, sont venus à ce "Rendez-vous Bleu Blanc Rouge" et nous les en remercions (cf. photo couverture).
Cette belle réunion avait pour thème "Déconstruire la woke idéologie", cette conception ethno-masochiste du monde qui fait de plus en plus de ravages en France et en Europe. La qualité des interventions et l'enthousiasme qu'elles suscitèrent nous ont prouvé ô combien cette réunion était nécessaire. Nous avons d'ailleurs, à cette occasion publié un livre de notre ami Bernard Germain sur le sujet dont la diffusion remporte déjà un franc succès.
Nous l'avons tous constaté au cours de cette année électorale, le curseur se déplace de plus en plus "à droite", pour ne pas dire "à droite de la droite" et nous n'allons pas nous en plaindre. Dans ce contexte, plus que jamais, Synthèse nationale doit remplir son rôle. Nous devons à la fois maintenir les fondamentaux qui ont fait la singularité de notre famille d'idée et continuer à susciter un vaste rassemblement des forces nationales et identitaires qui nous mènera à la victoire finale.
Maintenir les fondamentaux en publiant nos livres de références politiques (la collection "Idées", les "Grands classiques de Synthèse") et historiques (les "Cahiers d'histoire du nationalisme") et rassembler en développant l'influence de notre revue qui, depuis 16 ans, est à la pointe du combat nationaliste.
Pour réussir tout cela, nous avons besoin de votre aide à tous. Alors, commandez les livres que nous éditons, abonnez-vous à Synthèse nationale, participez à notre souscription patriotique. Notre cause en vaut bien la peine...
Bulletin de participation à
la souscription patriotique 2022 cliquez là
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mercredi, 16 novembre 2022
"Le Hussard et le cadavre de l’île d’Yeu", le nouveau roman à ne pas manquer de Thierry Bouclier
Suzanne Coste, qui a grandi à l’île d’Yeu, vit désormais à Nantes. Dans le courant de l’été, elle arrive dans le petit port de la Meule pour retrouver son père. Elle le découvre mort. Une balle dans la tête. La gendarmerie locale conclut à un suicide. La jeune femme, persuadée qu’il s’agit d’un assassinat, demande l’aide de Julien Ardant, dit « Le Hussard », qui passe ses vacances sur l’île. Une enquête difficile, pleine de rebondissements, commence. Elle va mener les deux protagonistes des falaises de la côte sauvage aux bas-fonds de Pigalle, en passant par le bocage vendéen. Au fur et à mesure de leurs découvertes, le libraire parisien et la belle Islaise s’aperçoivent qu’ils ont mis les pieds dans une sale affaire. De vieilles histoires, et un cadavre oublié, remontent à la surface. Les tentatives de meurtres, pour les éliminer, se multiplient. Derrière le drame familial, qui est progressivement mis à jour, se dissimule un inavouable secret.
Cette nouvelle aventure du Hussard conduit le lecteur au milieu des superbes paysages et des mystères de l’île d’Yeu. Meurtres, mensonges, mais également histoire d’amour, rythment ce polar du début à la fin.
Thierry Bouclier est avocat à la Cour. Il est notamment l’auteur de deux romans noirs, Le Dernier des occupants et Rouge et jaune pour le Hussard.
Le Hussard et le cadavre de l’île d’Yeu, Thierry Bouclier, Edition Auda Isarn, 12,00 € cliquez ici
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Un nouveau livre de Robert Steuckers aux Editions du Lore
Par un foisonnement hétéroclite, ce nouveau recueil de Robert Steuckers fera sans nul doute autorité en ce qui concerne la question russe au sens large.
Fondements du nationalisme russe, germanophobie et anglophobie dans le débat russe du début du siècle, origines de l’Europe soviétique, généalogie des droites russes, enjeux géopolitiques passés et présents, fronts du Donbass et de Syrie sont, entre autres, les thématiques abordées.
Robert Steuckers met également à l’honneur de grandes figures telles Soljénitsyne, Rozanov, Tioutchev, Kopelev ou encore Douguine et Parvulesco.
Cette lecture voulue didactique par l’auteur permettra à chacun de mieux comprendre la trame du monde actuel où la Russie se trouve sur le devant de la scène.
Pages russes, Robert Steuckers, Editions du Lore, 406 pages, 30,00 € cliquez ici
19:40 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 26 octobre 2022
Un nouveau livre de la journaliste Catherine Gravil chez Chiré : "Le trésor du Roc de Peyre"
Livre jeunesse Le trésor du Roc de Peyre aux éditions Chiré
Catherine Gravil vient de publier, aux éditions Chiré Le trésor du Roc de Peyre. L’ouvrage s’inscrit dans une collection intitulé : « Mystères en Lozère : terre de légendes » et s’adresse aux jeunes entre 9 et 14 ans.
En mêlant histoire et aventures, l’auteur souhaite renouer avec le patrimoine et les racines d’un département méconnu mais riche en folklore, en traditions et en mythologie. A ce jour aucun livre jeunesse ne s’ancre dans l’identité de la Lozère dont personne n’ignore pourtant l’épisode dramatique de la Bête du Gévaudan, sujet du prochain tome. Dans ce récit, quatre cousins partent à la découverte du trésor du Roc de Peyre, le mythique château d'Astorg en Gévaudan qui fut rasé lors des guerres de religion par l'amiral Anne de Joyeuse. La plus puissante des baronnies de Peyre s'écroula. Sur les ruines de la forteresse s'élève aujourd'hui un "nid d'aigle" qui offre une vue panoramique. Lou, Jeanne, Antoine et Edouard affrontent de dangereux bandits évadés de la prison des Baumettes à Marseille prêts à tout pour s'emparer des richesses de la puissante famille Peyre. Les enfants vont devoir braver de multiples dangers dans une course contre la montre où se mêlent Histoire et légendes.
On retrouve dans Le trésor du Roc de Peyre tout l’esprit et la fraicheur des romans d’Enid Blyton.
Pour se procurer l’ouvrage : par courrier : DPF BP 70001 86190 CHIRE-EN-MONTREUIL Tél. 05 49 51 83 04. Fax 05 49 51 63 50. cliquez ici, par mail contact@chire.fr ou à la librairie Duquesne (27 avenue Duquesne VIIe) à Paris.
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mercredi, 19 octobre 2022
LE NOUVEAU CAHIER D'HISTOIRE DU NATIONALISME (N°23) CONSACRÉ AU COMBAT POUR L'ALGÉRIE FRANÇAISE
POUR LE COMMANDER CLIQUEZ LÀ
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mercredi, 12 octobre 2022
Un nouveau livre de Jean-Yves Le Gallou : "La société de propagande"
Dans le monde orwellien qui est désormais le nôtre, il est une réalité que les nowhere aiment à nier en ce qui les concerne, mais qu’ils n’hésitent pas à lancer pour qualifier l’attitude des hommes enracinés : la propagande. Dans La Société de propagande, Jean-Yves Le Gallou revient sur ce terme et nous livre un manuel de survie pour lutter contre ce qu’il nomme un « goulag mental ».
Jean-Yves Le Gallou nous rappelle habilement que la propagande a toujours été un levier puissant dans le but d’assurer la cohésion des sociétés humaines. Il nous montre cependant au fil des pages, comment la société occidentale a imposé une propagande massive et mondiale qui vise avant tout à fragmenter les identités traditionnelles pour faire muter chacun d’entre nous en citoyen du monde. Ainsi Jean-Yves Le Gallou évoque cette propagande mondiale qui touche tout le monde à travers les médias. Ces derniers, devenus mondialistes et réduisant les événements locaux à leur portion congrue, appliquent une propagande professionnelle et méthodique à coup de simplification, défiguration, contagion ou encore d’émotion. Allant bien au-delà des seules dépenses de publicité, Jean-Yves Le Gallou estime que les dépenses de propagande se montent à 5% du PIB des pays du monde occidental. Elles permettent à l’idéologie arc-en-ciel de se mettre en place : les minorités – ethniques, religieuses, sexuelles – et les lobbys imposent ainsi leurs lubies. Le progressisme et le wokisme gagnent du terrain et l’on obtient une société liquide, faite de MHI : une matière humaine indifférenciée.
Nous nageons dès lors dans les eaux troubles et tiédasses du progressisme, à travers les miasmes du conformisme, nous heurtant aux rochers de la censure et nous enfonçant dans les sables mouvants du soft-totalitarisme.
Une fois le constat dressé, que faire ? C’est dans la dernière partie de son ouvrage que Jean-Yves Le Gallou nous propose son plan de bataille pour résister au « moulag » : le goulag mental dans lequel nous devons évoluer. Entrer en résistance signifie tout d’abord pour lui avoir le cœur rebelle. À l’image de Dominique Venner, qu’il cite :
« Être rebelle […], c’est être à soi-même sa propre norme. […] Préférer se mettre tout le monde à dos que se mettre à plat ventre. […] Dans les revers, ne jamais se poser la question de l’inutilité d’un combat perdu. »
La dissidence qui s’en suivra passera par le retour aux humanités, essentielles aux yeux de Jean-Yves Le Gallou, ainsi que par une rigueur de tenue et un retour au réel et à la nature. Mais l’auteur n’arrête pas là son combat : la dissidence devra entraîner mécaniquement une sécession médiatique, territoriale, éducative et politique afin d’arriver à la reconquête de ce qui nous appartient en mettant en avant les valeurs européennes : liberté et identité, incarnation et tradition.
Jean-Yves Le Gallou achève son programme de reconquête en 21 points par ce dernier : courage ! courage ! courage ! rappelant un vers d’Homère :
« Du combat, seuls les lâches s’écartent. »
À l’issue de cette lecture, et désormais conscients des barreaux qui nous enferment, nous sommes mieux armés pour résister au progressisme et à son projet d’annihilation de la civilisation européenne.
La Société de propagande, par Jean-Yves Le Gallou, La Nouvelle Librairie éditions, 2022, 102 p., 9 €.
Source Polémia cliquez ici
22:56 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 27 septembre 2022
Riposte laïque publie un nouveau livre : SORTIR DE L’EUROPE question de vie ou de mort
Note de l'éditeur cliquez ici
SORTIR DE L’EUROPE question de vie ou de mort « ll ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens ››.
Cette déclaration de Jean-Claude Juncker, ancien Président de la Commission européenne, sonne comme un avertissement, car elle est malheureusement juridiquement exacte.
Pendant 40 ans, la construction européenne s’est déroulée sans nous ; depuis la ratification du traité de Maastricht, elle se fait malgré nous.
L’euro ne constitue absolument pas une sécurité pour la France et les Français, au contraire. L’Allemagne vampirise l’Europe. La guerre menée contre la Russie, sous l’égide de l’0tan, va d’abord frapper les peuples européens, et accélérer l’inévitable krach financier.
Les instances européennes mettent délibérément nos vies en danger. La monnaie numérique que l’Union européenne rêve de mettre en place dissimule une ultime spoliation des citoyens. Après le passe sanitaire, ils rêvent de mettre en place le passe climatique, pour aller vers un contrôle social à la Chinoise dela population.
Si nous ne prenons pas collectivement conscience de l’état critique de la situation, en sortant de l’Union européenne et de l’euro, nous allons entériner la disparition d’un pays vieux de 1500 ans.
ll est encore possible d”éviter cette catastrophe, mais le temps nous est compté. Question de vie ou de mort.
PRIX 14,00€ 1 exemplaire, 25,00€ deux exemplaires, 30,00€ trois exemplaires .
Règlement par chèque à l’ordre de RIPOSTE LAIQUE à envoyer à RIPOSTE LAIQUE BP32 27140 GISORS
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vendredi, 02 septembre 2022
Samedi 3 et dimanche 4 septembre : Bernard Germain sera aux Journées chouannes de Chiré-en-Montreuil (86)
Tout savoir sur ces journées cliquez là
Retrouvez-nous sur le stand de Synthèse nationale.
Les livres de Bernard Germain cliquez ici
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samedi, 27 août 2022
Pour recadrer un peu-beaucoup le "Président" Macron !
François Floc'h
La récente parution du livre de Jean-Pierre Brun, "L'Esprit public ou la dernière flibuste" (1) tombe vraiment à point ! Emmanuel Macron – que d'aucun pourrait légitimement appeler Mohamed Macron – est actuellement en Algérie pour cirer, à nouveau, les babouches des héritiers du FLN.
Et cela aux dépens des intérêts matériels et moraux des Français !
Ce président a décidément toutes les caractéristiques d'un enfant gâté. "Gâté" (2) dans tous les sens du terme. Et il prouve aussi par ses déclarations algériennes qu'un enfant gâté est souvent ignare, lui ne connaissant rien de la vraie vie et de l'histoire de ceux qui nous ont précédés en notre douce et grande France !
Grâce à la revue L'Esprit Public, où de grandes plumes de la littérature n'hésitaient pas à engager leur confort et leur réputation, nous pouvons aujourd’hui recadrer notre président. Parmi ces courageux intellectuels, Jacques Soustelle (1912-1990). Gaulliste de la première heure, membre de la France libre, homme de gauche, ancien Gouverneur général d'Algérie, ethnologue spécialiste des Aztèques, académicien… rappelait quelques vérités historiques que visiblement Macron ne connaît pas. Ce texte lumineux (3) d'un Jacques Soustelle lucide et les commentaires de Jean-Pierre Brun dans son bouquin méritent d'être repris in extenso.
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« Aussi et quelles que soient les péripéties du moment, est-il plus important que jamais de rappeler inlassablement quel est le fond du problème. Au-delà de toutes les campagnes de mensonges et de mystification les données de base du drame algérien demeurent inchangées, et c'est à elles qu'il faut sans cesse revenir.
La première de ces données, c'est que l'Algérie de 1954 n'était déjà plus une colonie. Une évolution politique et sociale commencée entre les deux guerres mondiales s'était accélérée à partir de 1944. Comment peut-on de bonne foi qualifier de « colonie » un territoire dont tous les habitants sont des citoyens d'un même État, qui possède ses propres assemblées élues et qui désigne ses
représentants au Parlement ?
Une discrimination subsistait sans doute sous la forme d'un double collège, avec la règle des 3/5e dans les conseils municipaux, et des 50 / 50 % à l'Assemblée algérienne et au Parlement. Mais c'est précisément ce qui fut supprimé quand, dans le mouvement unanime et enthousiaste du 13 mai 1958, le collège unique fut accepté par tous et notamment par ceux qu'on baptise aujourd'hui "Ultras" : Il est donc faux et de toute fausseté que l'Algérie étant une colonie il faille la "décoloniser" ; ce qui constitue la base de l'argumentation du Président de la République, dans son dernier discours. Comment d'ailleurs oublier que la Constitution ne prévoyait aucune mesure spéciale pour les départements algériens et sahariens, et qu'il n'existe (c'est ce que répondit par la voie du Journal officiel Michel Debré, premier ministre, aux députés Vinciguerra et Le Pen) aucune procédure constitutionnelle (4) qui permette de séparer l'Algérie de la métropole.
En deuxième lieu : si l'Algérie n'est pas une colonie ; qu'est-elle donc non du point de vue juridique (car sur ce point de vue il n'y a pas d'autre réponse que les deux mots : territoire national) mais sous l'angle des réalités historiques, ethniques et économiques ? On peut dire que c'est un pays méditerranéen qui, au cours de sa longue histoire, n'a jamais été un État. Il a été peuplé par des vagues successives d'envahisseurs venus se superposer à la couche ethnique la plus ancienne, la seule qu'on puisse dire "autochtone", celle des Berbères. Il a été arraché à une ruineuse anarchie par la France qui l'a éveillé à la vie moderne.
Au cours des siècles et plus spécialement depuis un siècle et demi, il s'y est formé deux catégories principales de population : d'une part les anciens indigènes berbères, les Arabes immigrés et le résultat du mélange de ces deux éléments, cette population ayant en commun surtout la religion musulmane ; d'autre part des indigènes israélites, les immigrés de cette religion et les immigrés européens, cette population ayant en commun un certain mode de vie à l'occidentale. Le résultat de ces phénomènes ethniques est qu'il existe deux peuples algériens : le peuple algérien de civilisation musulmane, et le peuple algérien de civilisation judéo-chrétienne.
Tels sont les faits, et il est d'évidente absurdité de prétendre que les Arabes ont tous les droits parce qu'ils sont entrés en Algérie au Xe siècle tandis que les Européens n'y sont arrivés qu'au XIXe.
Sur le plan économique, l'Algérie présente la juxtaposition de deux secteurs qui d'ailleurs ne correspondent pas aux secteurs ethniques : le secteur traditionnel auquel se rattachent essentiellement les fellahs du bled, et le secteur moderne, qui intéresse les agriculteurs européens, une partie des cultivateurs musulmans, et les habitants des villes quelle que soit leur communauté d'origine. »
« Il découle de ces observations — c'est la troisième donnée — que toute solution politique qui implique l'oppression d'un des deux peuples algériens par l'autre doit être condamnée comme contraire aux droits de l'humanité et comme source de conflits et de guerre. Remplacer l'ancien colonisateur déjà liquidé en 1958 par un néocolonialisme panarabe, c'est condamner l'Algérie à la division et à la haine à perpétuité ».
Jacque Soustelle développe ici la doctrine qu'il avait présentée à la suite de son gouvernorat en Algérie : Assimilation ou intégration ? Impact du contexte religieux imposant un droit civil spécifique (famille et propriété). Doctrine qui sera rejetée d'un revers de main par le nouveau maître de l'Élysée, Charles De Gaulle, la considérant comme une « foutaise ».
Quatrièmement, les réalités économiques algériennes montrent que le but à atteindre, à savoir l'extension du secteur moderne à l'ensemble du pays et des habitants, suppose l'incorporation de ce pays à un ensemble économique plus vaste et lui-même plus moderne, et c'est là un des aspects essentiels de l'intégration. Comme d'autre part les deux peuples qui coexistent en Algérie ne peuvent pas voir leurs légitimes intérêts garantis que par un arbitrage impartial, le maintien de l'Algérie dans la République française est de beaucoup la meilleure solution aux problèmes que pose inévitablement la cohabitation de deux populations distinctes inextricables.
Curieusement le plan de Constantine mis en œuvre au lendemain de l'instauration de la Ve République, concrétise parfaitement le plan soustellien. Et pourtant ! Ne serait-ce qu'un leurre pour camoufler les véritables intentions présidentielles ?
La rébellion commencée en 1954 — et c'est ma cinquième constatation — n'est pas le sursaut national d'un peuple opprimé, mais une entreprise systématique de subversion favorisée par le sous-développement économique d'une partie de la population et inspirée, guidée, financée et armée par l'impérialisme panarabe, puis et en même temps par le communisme mondial.
[...]
Jacques Soustelle peut alors conclure son analyse par l'orientation qui aurait dû être donnée à la politique de la France en Algérie : « Ces données étant ce qu'elles sont, il est clair que pour résoudre le problème algérien » il fallait d'une part accélérer le processus de liquidation des derniers vestiges du système colonial (et c'est ce qui a été fait au 13 mai), et d'autre part entreprendre et pousser avec énergie la transformation économique et sociale du pays de manière que l'égalité de citoyens fût complétée par l'égalité de chances. Il fallait en même temps combattre le FLN en utilisant les méthodes appropriées, c'est-à-dire celle de la guerre subversive, que les cadres actifs et intelligents de l'Armée avaient su comprendre et s'assimiler ».
[...]
« Aussi peut-on dire, et pour ma part je, le répète avec la plus inébranlable certitude, qu'au lendemain du 13 mai 1958 toutes les conditions étaient réunies pour aboutir rapidement à la paix dans l'égalité de tous les Algériens : il y avait enfin une doctrine et des cadres résolus à l'appliquer.
Au lieu de cela, en usant d'abord du mensonge et de l'équivoque puis en détournant contre l'intérêt national les pouvoirs de lÉtat, l'homme appelé à la direction des affaires pour sauver l'Algérie s'est employé à boucher la seule issue valable, à disperser et à frapper ceux qui la préconisaient, à liquider les moyens d'action adaptés à cette solution, et, quoiqu'il s'en défendit, à conférer aux rebelles panarabes et communisants la qualité d'interlocuteurs exclusifs de gouvernants de l'Algérie future. »
Personne ne peut contester l'absence dans les négociations entreprises [qui allaient aboutir aux Accords d'Évian du 19 mars 1962] d'une délégation d'européens d'Algérie ou de Français musulmans qui malgré les menaces terroristes viennent d'envoyer des dizaines d'entre eux siéger au Sénat ou à l'Assemblée nationale dont le vice-président est le Bachaga Boualem.
------ Fin de citation
En conclusion, comme aurait pu le dire De Gaulle lui-même dans son langage fleuri, "ce Macron est un foutriquet !"
(1) Pour les plus jeunes : L'Esprit public, parution de 1960 à 1966, fut un hebdomadaire puis mensuel qui s'était donné pour mission de "lutter par tous les moyens pour le maintien dans la République", "Algérie, terre pleinement française. C'est clair !
(2) Un proverbe breton nous enseigne que c'est par la tête que pourrit le poisson !
(3) Ce texte doit être daté de décembre 1960. Je n'ai pas retrouvé sa trace dans ma collection qui ne commence qu'en 1962 avec le N°32. L'Esprit public fut pour moi l'un des premiers vecteurs de ma formation politique. Je suis très reconnaissant à tous ses contributeurs…
(4) Ah ! Les adorateurs du fameux de l’État de Droit d'aujourd'hui !
"L'Esprit public ou la dernière flibuste", Jean-Pierre Brun, Dualpha, 2022, 256 pages, 29,00 €
Le livre de Jean-Pierre Brun peut être commandé chez Synthèse nationale. cliquez ici
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