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dimanche, 17 mai 2020

Le Cahier d'Histoire du nationalisme n°18, consacré à Honoré d'Estienne d'Orves, sortira en fin de semaine prochaine...

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Très attendu, ce Cahier n°18 cliquez ici, que nous devons à l'historien Didier Lecerf, sortira enfin dans les jours qui viennent. Il est actuellement à l'imprimerie. Initialement prévue pour la mi-mars, sa parution a dû être différée en raison de la crise sanitaire. Les choses rentrant petit à petit dans l'ordre, vous pourrez bientôt le recevoir.

Nous remercions celles et ceux qui l'ont commandé depuis plusieurs semaines, voire plusieurs mois, pour leur patience et leur compréhension.  

Le livre Réflexions pour un nouveau corporatisme cliquez là sera, lui aussi, disponible très prochainement.

Commander :

le CHN 18 cliquez ici

Réflexions pour un nouveau corporatisme cliquez là

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lundi, 11 mai 2020

Bonne nouvelle : réouverture aujourd'hui des librairies non-conformistes parisiennes

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Avoir été obligées de fermer deux mois durant est un exercice hasardeux dont se seraient volontiers passées les librairies libres de Paris (et de province). Les éditeurs, comme nous, aussi d'ailleurs... Mais les "pires moments" ont toujours une fin et, ce matin, nous sommes en mesure de vous annoncer la réouverture de, au moins, cinq bonnes librairies parisiennes :

- La Nouvelle Librairie, 11 rue de Médicis Paris 6e

- La Librairie Duquesne diffusion, 27 avenue Duquesne Paris 7e

- La Librairie Vincent, 15 avenue de la Bourdonnais 7e

- La Librairie française, 5 rue Auguste Bartholdi Paris 15e

- Notre Dame de France, 33 rue Galande Paris 5e

pour ne citer qu'elles.

Ces librairies sont des espaces de libertés et il est indispensable que nous les soutenions toutes. Alors, amis lecteurs, si vous passez à proximité de l'une d'entre elles, n'hésitez pas à pousser la porte. Vous pourrez en profiter pour vous y procurer les livres que nous publions cliquez ici ainsi que la revue Synthèse nationale et les Cahiers d'Histoire du nationalisme.

Et, ne l'oubliez jamais : lire et s'instruire, ainsi qu'instruire et faire lire, sont des actes militants de base.

S.N.

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jeudi, 30 avril 2020

« Pour la Troisième Voie solidariste » disponible en espagnol

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par Bastien Valorgues

À l’occasion de cette traduction, Georges Feltin-Tracol a revu, enrichi et corrigé les textes. Il en aussi modifié l’agencement. Ceux-ci sont désormais regroupés autour d’un thème commun dans cinq parties différentes : « Après le Bastion social », « Un autre socialisme », « Pour le solidarisme », « Sur la troisième voie » et « En entreprise ». Inexistante dans l’original français, cette répartition donne au livre un ton plus incisif qui, ajouté à la somme historique qu’il représente, propose un vaste panorama d’idées politiques, sociales et économiques anti-conformistes majeures.

Le lecteur hispanophone découvre ainsi le gaullisme de gauche, la troisième voie défendue par Bruno Mégret alors délégué général du Front national, l’ergonisme de Jacob Sher révélé par Robert Steuckers dans les revues Orientations et Vouloir, l’histoire tourmentée des solidaristes russes du NTS, les essais de Serge Ayoub de relancer une troisième voie sociale et nationale, la vision du socialisme chez Jean Mabire ou le point de vue percutant de Philippe Schleiter sur le monde de l’entreprise. L’aventure du Bastion social, trop tôt interrompue par un assassinat légal (un gouvernement d’amateurs a prononcé sa dissolution), y tient une large part.

Juan Antonio Llopart a en effet tenu que le lecteur des éditions Fides connaisse cette expérience étonnante qui se rapproche des initiatives nationalistes-révolutionnaires du Hogar social espagnol. Inspirées par le précédent CasaPound – Italie, leurs actions non conformes subissent les mêmes discriminations ainsi que diverses vexations de la part des gouvernants en faillite de la droite financière et de la gauche cosmopolite (à moins que cela soit le contraire…).

Cette édition dont l’intention évidente ne se restreint pas à la seule Espagne, mais s’adresse à l’Amérique hispanique, comporte deux textes inédits spécialement rédigés pour la circonstance. Avec « Après le Bastion social », Georges Feltin-Tracol dresse le bilan du Bastion social. Il insiste sur les nombreuses avanies que ce jeune et dynamique mouvement a subies de la part des antifas, des municipalités, des journalistes et des préfectures. Il attire par ailleurs l’attention sur de fâcheux travers dus trop souvent à la grande jeunesse des militants, à leur dépendance complète aux réseaux sociaux et à leur faible propension à accepter (et à appliquer) une réelle discipline, personnelle et collective. Ces manquements ont pu nuire à telle ou telle section locale du Bastion social.

Le second texte est la préface de l’auteur pour le lecteur espagnol. Georges Feltin-Tracol revient sur les racines ibériques de la troisième voie qui récuse autant le collectivisme marxiste que l’étatisme bureaucratique et l’individualisme libéral. Comme pour la France, l’Espagne est un terrain propice aux expériences tercéristes : le carlisme, le phalangisme, le national-syndicalisme, voire certaines tendances du nationalisme basque ou catalan. Cette exhaustivité se retrouve au-delà de l’Atlantique avec le péronisme argentin, le premier chavisme vénézuélien ou l’indigénisme andin.

En attendant d’éventuelles traductions allemandes, anglaises, italiennes, néerlandaises, portugaises ou russes, il faut se féliciter qu’après Elementos para un pensamiento extremo en 2018, un nouveau titre de notre ami rédacteur en chef d’Europe Maxima cliquez là paraisse à l’étranger. Remercions le courage éditorial de Fides, saluons son formidable travail esthétique autour du livre et souhaitons que Por une Tercera Via Solidarista incite les Espagnols et les Américains romans à mieux comprendre l’urgence d’une troisième voie politique, sociale et économique plus que jamais… justicialiste !

• Georges Feltin-Tracol, Por une Tercera Via Solidarista, Ediciones Fides, 2020, 204 p., 20 €.

Achetez le livre en espagnol cliquez là

Achetez le livre en français cliquez ici 

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mardi, 31 mars 2020

Pendant le confinement, notre librairie est ouverte...

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Consultez notre site librairie cliquez ici

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dimanche, 29 mars 2020

Il y a 14 ans, Jean Mabire nous quittait...

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Mieux connaître Jean Mabire cliquez ici

Article publié en guise de présentation du n°9 des Cahiers d'Histoire du nationalisme en mars 2016 :

En hommage à un éveilleur de peuple

Roland Hélie, Directeur des Cahiers d'Histoire du nationalisme

Il y a dix ans, le 29 mars 2006, décédait l'écrivain et historien normand Jean Mabire. Homme d'une immense culture et aux convictions affirmées, Jean Mabire fut sans doute l'un des écrivains les plus prolifiques du XXe siècle. En quarante ans il publia en effet près d'une centaine d'ouvrages parmi lesquels bon nombre furent diffusés à plusieurs dizaines de milliers d'exemplaires, voire plus encore.

Dans les années 60 et 70, il était encore possible d'aborder certains sujets historiques qui sont aujourd'hui tabous ou sous la haute surveillance des censeurs de l'idéologie dominante. C'était le cas par exemple de la Seconde Guerre mondiale qui fut l'une des matières de prédilection de Jean Mabire. Je me souviens de l'époque où chacun de ses livres, dès leur parution, étaient en vitrines de toutes les librairies de France sans que cela n'offusque personne. Il faut dire que Mabire avait l'art et la manière de redonner aux bannis de l'Histoire l'honorabilité qu'ils n'auraient jamais dû perdre. Voilà pour ce qui est de l'historien.

Mais Jean Mabire était aussi un militant. Très jeune, il s'intéressa à la politique et, dès l'après guerre, il prit fait et cause pour la Normandie, région sacrifiée de ce que l'on appelle "la Libération", dans laquelle sa famille avait ses racines. Déjà, avant l'heure, Jean Mabire était un identitaire.

Son attachement à la Normandie le rapprocha évidemment de la cause européenne. En fait, il fut l'un des premiers à imaginer un nationalisme qui dépasserait le cadre strict de la nation française pour se rallier à la dimension civilisationnelle européenne. Ce n'est pas un hasard si Mabire collabora à Défense de l'Occident, la revue de Maurice Bardèche. Plus tard, il sera le rédacteur en chef d'Europe Action, le mensuel de Dominique Venner, qui marqua une véritable rupture au sein du mouvement nationaliste et qui donna plus ou moins naissance, au lendemain de mai 1968, à ce que l'on appelle aujourd'hui "la nouvelle droite".

Mais, au-delà de l'Histoire et de la politique, Jean Mabire avait aussi de nombreuses autres passions. Celle de la mer en particulier. Plusieurs de ses livres lui sont consacrés mais nous éloignons là du cadre des Cahiers d'Histoire du nationalisme.

Ce qui était surtout frappant chez Jean Mabire, c'était sa capacité d'écouter les autres. Il avait été de tous les combats  et il ne cherchait jamais à imposer son point de vue ou son expérience aux jeunes militants qui venaient le voir. Il les écoutait car il savait que, même s'il y a des côtés récurrents dans l'Histoire, chaque génération vie une aventure différente. Ce qui était le plus important à ses yeux, c'était le socle commun qui devait perdurer. C'est sans doute pour cette raison qu'il s'employa toute sa vie à rétablir l'Histoire à travers ses écrits pour que les futurs militants reçoivent une autre version de celle-ci. Une version plus conforme à la réalité  que celle imposée par les tenants de la pensée unique.

Voilà au moins une des raisons pour lesquelles nous ne pouvions pas laisser passer ce dixième anniversaire sans consacrer un Cahier d'Histoire du nationalisme à cet infatigable éveilleur de peuple qu'était Jean Mabire.

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jeudi, 19 mars 2020

Pendant la crise sanitaire, notre librairie en ligne reste ouverte...

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www.synthese-editions.com 

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POUR INFORMATION : en raison de la fermeture momentanée de notre imprimerie, la parution des titres suivants :

- Cahier d'Histoire du nationalisme n°18 (Honoré d'Estienne d'Orves, des monarchistes dans la résistance)

- Réflexions pour un nouveau corporatisme

est différée jusqu'à nouvel ordre. Les envoies à ceux qui les ont déjà commandés seront effectués alors. Nous vous remercions pour votre compréhension.

Les autres titres disponibles sur notre site pourront être livrés dès réceptions des commandes.

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lundi, 02 mars 2020

Sortie prochaine aux éditions FIDES de la version espagnole du livre de Georges Feltin-Tracol, "Pour une troisième voie solidariste", publié par Synthèse nationale

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Bravo aux éditions espagnoles FIDES qui vont sortir très bientôt "Por una tercera via solidarista", la version ibérique du livre paru en 2018 de Georges Feltin-Tracol. 

Pour en savoir plus cliquez ici

Achetez le livre de Georges Feltin-Tracol en français cliquez là

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Sortie début avril de "Réflexions pour un nouveau corporatisme" aux éditions Synthèse nationale

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Vous pouvez le commander dès maintenant cliquez ici

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vendredi, 21 février 2020

Rappel : demain samedi, Arnaud Menu dédicacera "C'est Roger" à la Librairie française

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16:18 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 20 février 2020

SAMEDI PROCHAIN, 22 FÉVRIER, ARNAUD MENU DÉDICACERA SON LIVRE "C'EST ROGER" À LA LIBRAIRIE FRANÇAISE À PARIS

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jeudi, 30 janvier 2020

Il y a quelques mois, Roger Holeindre répondait à Arnaud Menu dans le livre "C'est Roger" publié par Synthèse nationale

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De nombreux lecteurs, depuis jeudi matin, nous demandent comment se procurer ce livre. Vous pouvez le commander en ligne cliquez ici

23:23 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 29 janvier 2020

UN SYMPATHIQUE ARTICLE SUR SYNTHÈSE NATIONALE PUBLIÉ DANS "PRÉSENT" D'AUJOURD'HUI

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Lu dans le quotidien Présent daté du mercredi 29 janvier 2020, un agréable article signé Jean-Claude Rolinat sur le livre Pour une Synthèse nationale de Roland Hélie cliquez ici

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Pour une Synthèse nationale :

Dans tous les milieux de ce qu’il est convenu d’appeler « la droite nationale », dans la plupart des manifestations de la « droite hors les murs », on croise sa silhouette arrondie, allant de stand en stand, prenant la parole ici ou là, animant émissions et interviews sur la web radio, Radio Libertés par exemple. Roland Hélie, infatigable militant ayant gardé l’enthousiasme de sa jeunesse malgré ses 60 ans dépassés, nous fait penser à un débonnaire Falstaff diffusant la bonne parole. Hélie ? « C’est un moine-soldat » diront certains, car le bonhomme ne perd pas l’espoir de voir, un jour, ses idées, « nos » idées mijotées dans nos cercles de pensée, finalement triompher. Que l’on nous permette de douter de la justesse du qualificatif de « moine » lorsque l’on côtoie, à table, l’ami Roland….

Pour aider à l’irruption de cet événement historique que sera l’arrivée au pouvoir d’un mouvement  national, il a créé un instrument, « Synthèse nationale », sorte de pôle de résistance pour les uns où l’on mijote de futures actions de propagande, ou de môle d’amarrage pour d’autres, l’instant de faire une pause, c’est selon.

Synthèse nationale, à l’origine, c’est une  petite revue dont le noyau rédactionnel a pris, un peu, la suite de la Nouvelle Droite populaire, mouvement à l’éphémère existence. Contrairement à la NDP, la revue a pris de la consistance et mène depuis treize ans un combat multiforme, original, au sein de la grande famille nationale, nationaliste et identitaire, pour ratisser large. La plus spectaculaire de ses manifestations c’est, sans conteste, sa fête annuelle qui rassemble désormais sur deux jours, du côté de Rungis, tout ce que nos familles comptent de militants aguerris, de néo sympathisants, « d’anciens combattants » un peu déçus, de jeunes, impatients d’en découdre ou, comme jadis lors de la fête lepéniste des « Bleu, blanc, rouge », tout un public composite communiait dans le même amour de la France, de l’Europe et de leurs valeurs : « catho tradi », ancien ouvrier « coco », France bourgeoise, jeunesse bouillante, païens en déshérence, etc. mais tout un petit peuple animé par les mêmes convictions.

Un livre résume la vie de ce « mouvement » serions-nous tentés de dire, un livre de 322 pages où l’on retrouve les éditoriaux du directeur de Synthèse, devenue une maison d’édition avec ses différentes collections, ses numéros spéciaux, ses manifestations rituelles en province, ses dîners-débats parisiens et la mise sur orbite de l’association de ses amis. Dans ce livre, qui résume les 52 livraisons de la revue, vous trouverez un historique de l’organisation, des photos. Comme l’écrit l’auteur, « À travers cette suite de prises de positions et ce récapitulatif de notre action, vous pourrez ainsi juger le bien-fondé de notre démarche politique ».

Jean-Claude Rolinat

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Pour une Synthèse nationale, Roland Hélie, aux éditions  Synthèse, 322 p., 24 euros.

Source Présent cliquez là

Une nouvelle conférence à Aix-en Provence sur le livre "Ordre nouveau raconté par ses militants" au local de Tenesoun

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Après le succès de la conférence de vendredi dernier, un nouveau rendez-vous avec nos amis aixois est programmé vendredi 31 janvier au local de Tenesoun en présence de Jacques Mayadoux.

Pour commander le livre cliquez ici

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dimanche, 26 janvier 2020

Les volontaires du Roi, un passionnant roman historique signé Bernard Lugan et Arnaud Gaudin de Lagrange

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1789-1794, bien décidé à « torcher les félons », Septime de Saint-Mayeul, héritier spirituel du  Connétable de Bourbon, entre en guerre contre la Révolution et ses partisans.

Sans illusion sur les destinées politiques du pays, conscient de vivre un crépuscule, avec quelques compagnons aussi déterminés que lui, il mène sa « petite guerre » au cri de « Vive le Roi quand même ! », qui pourrait être un « Vive le roi pourtant ».

Septime de Saint-Mayeul sait en effet que le royaume de France ne sera plus ce qu’il fût. La chaîne étant brisée, plus jamais un Roi ne guérira les écrouelles…

A travers la vie de ce personnage haut en couleur dont la devise « Plutôt le sang de mon ennemi sur mon sabre que mon sang sur le sien » sert de programme, le lecteur traversera un demi-siècle d’histoire tumultueuse qui le mènera des hautes futaies de la forêt de Tronçais aux intrigues de Versailles ; de l’épopée de la Nouvelle-France aux fracas de la Révolution et des gloires de l’Empire aux déceptions de la Restauration.

Les volontaires du Roi, Bernard Lugan et Arnaud Gaudin de Lagrange, Editions Balland, 364 pages, 27 euros. 

Disponible dans toutes les bonnes librairies.

En savoir plus cliquez ici

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mercredi, 22 janvier 2020

VENDRED 24 JANVIER, 19 H 30 : AIX-EN-PROVENCE, PRÉSENTATION DU LIVRE "ORDRE NOUVEAU RACONTÉ PAR SES MILITANTS"

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COMMANDEZ LE LIVRE CLIQUEZ ICI

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lundi, 20 janvier 2020

Parution d'un nouvel essai de Tomislav Sunic sur la Croatie aux Editions du Lore

SUNIC_site.jpgParution cesjours derniers d’une toute nouvelle édition du livre de Tomislav Sunic intitulé La Croatie : un pays par défaut ?

Enrichie d’une copieuse introduction de Robert Steuckers nous éclairant sur le parcours et l’œuvre de l’auteur, ce livre incontournable décrit le phénomène de la « soudaineté » dans la notion du politique chez les peuples dépourvus d’États stables.

Tomislav Sunic s’intéresse tout d’abord au cas de la Croatie avant d’élargir sa réflexion et de passer en revue les « fausses identités » qui interviennent dans la construction des nationalismes européens.

Un ouvrage qui vous permettra d’apprendre les linéaments de base de l’histoire complexe de cette zone sud-slave à la lisière des Balkans tout en rebondissant sur les grands thèmes de l’actualité afin de comprendre la genèse des grands maux qui nous frappent depuis plus de 70 ans.

La Croatie, un pays par défaut ? Tomislav Sunic, Les Editions du Lore, 2020, 228 pages, 23 euros

 Pour commander cliquez ici

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mardi, 14 janvier 2020

JEUDI 23 JANVIER : REMISE DU PRIX DES LECTEURS DE PRÉSENT ET DE LIVR'ARBITRES

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mercredi, 08 janvier 2020

Un nouveau livre-fiction d'Alcide Gaston (éditions du Lore) au titre "original" : Mort aux fafs...

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En ce début d’année 2020, parution d’une nouvelle fiction d’Alcide Gaston intitulée Mort aux Fafs.

Dans cette véritable catharsis littéraire, Alcide Gaston érige plus que jamais l’excès au rang de purge existentielle, exercice ô combien périlleux et réservé à une certaine trempe d’hommes différenciés.

Confrontant volontiers le phantasme à la triste réalité, ce nouveau scandale éditorial plongera le lecteur dans une intrigue au sein de laquelle le « camp national » subit l’inenvisageable.

Fort éloigné d’un quelconque style d’écrivain « con-for(t)-maté », cette contribution de Gaston rappelle avant tout aux jeunes malappris dotés d’égos démesurés, qu’il en cuira à quiconque néglige le respect que l’on doit à celles et ceux qui nous ont précédés sur le chemin menant à la Victoire !

Mort aux fafs, Alcide Gaston, Les éditions du Lore, 2020, 82 pages, 12 euros

Pour commander cliquez ici

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jeudi, 02 janvier 2020

Notre confrère et ami canadien "Le Harfang" vient de publier un article sur le livre "Pour une 3e voie solidariste" de Georges Feltin-Tracol

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Source cliquez ici

Le dernier ouvrage de Georges Feltin-Tracol, Pour la troisième voie solidariste, est un ouvrage de fond réunissant divers articles offrant des exemples concrets et réels d’alternatives au faux dilemme du libéralisme versus marxisme. Facile à lire et surtout à comprendre, l’auteur, que nous avions interrogé pour le Harfang cet été, est un penseur libre qui refuse les étiquettes et cherche réellement une voie tierce nous permettant de se sortir du marasme actuel.

Car il faut le dire, le marxisme a échoué – personne ne le niera – et le libéralisme est également en faillite, comme nous le prouve constamment l’actualité économique. Endettement, délocalisations, crises à répétition, effritement des classes moyennes, voilà le bilan sombre du régime où nous sommes, qui ne risque pas de se réformer tout seul avec l’arrivée de la robotisation et de l’automatisation à grande échelle.

En fait, loin de s’humaniser, le libéralisme s’est transformé en néo-libéralisme mondialiste, véritable rouleau compresseur des peuples.

Plus que jamais, non seulement une troisième voie est possible, mais elle est nécessaire à notre survie en tant que peuple, en tant que nation et même en tant qu’individus.

Alors, quelle voie emprunter ?

Tony Blair, l’ancien premier ministre britannique, conscient de l’échec des deux grandes idéologies se revendiqua lui-même d’une troisième voie, « au-delà de la droite et de la gauche ». Emmanuel Macron fit de même et osa même se revendiquer d’un certain solidarisme, un terme qui n’a certes pas le même sens dans sa bouche que dans la nôtre. Face à cette tentative de cooptation d’une troisième voie éventuelle, Feltin-Tracol dresse quelques impondérables, quelques éléments d’une véritable troisième voie.

Au niveau macro-économique, donc de la nation, les principes qui doivent être adoptés sont les suivants :
1 – libre marché dans certains domaines
2 – contrôle étatique dans les domaines d’intérêt général
3 – formations de coopératives, de mutuelles et autres entreprises de co-gestion ou de co-propriété

Au niveau micro-économique, donc de l’entreprise, c’est la gestion organique, inspirée notamment des idées de Hyacinthe Dubreuil, qui doit primer. Les travailleurs doivent participer à l’avancement de l’entreprise et en recevoir les justes bénéfices. C’est donc une voie tierce, qui existe sous différents modèles qui refuse l’exploitation des travailleurs par le patronat, comme sous le modèle capitaliste, ou à l’inverse l’opposition entre les travailleurs et le patronat, comme préconisée par le marxisme. Une troisième voie se doit de favoriser la concorde, la bonne entente.

Les exemples concrets de ce genre de gestion foisonnent. Nombreux sont les modèles tercéristes qui furent mis en place au sein d’entreprises pour améliorer le rendement, mais pour également donner un sens au travail des employés qui deviennent de véritables partenaires ou associés, et pas dans le sens que Wal Mart donne à ce terme. Pensons à la vision des gaullistes de gauche qui mettaient de l’avant un partenariat capital-travail ou à celle du Front national historique prédatant son « renouveau libéral » ou encore à l’ergonisme de Jacob Sher ou bien à celle de la Doctrine sociale de l’Église ou du corporatisme catholique de René de la Tour du Pin… les alternatives sont légion!

La première troisième voie qui apparut, historiquement parlant, fut le socialisme. Ceux s’en revendiquant, après la Révolution, voulurent faire en sorte que les droits politiques se doublent de droits économiques. Ni de droite royaliste, bien que la droite royaliste avait à cœur les avancées sociales comme le démontra Maurras qui parlait de l’Ancien régime comme un État « hiérarchique, socialiste et communautaire », ni de gauche bourgeoise, cette dernière étant souvent la classe exploitant les travailleurs, des socialistes comme Louis-Auguste Blanqui, Pierre-Joseph Proudhon, puis plus tard Georges Sorel, Raoul Roy et Jean Mabire, esquissèrent le schéma d’une société plus juste et équitable. Ces noms, la gauche n’ose pas s’y référer tant ils ont peu de lien avec le programme qu’ils mettent désormais de l’avant et d’ailleurs, comme l’ont bien démontré Jean-Claude Michéa et Thibault Isabel, ces socialistes n’étaient pas « de gauche ». Pourtant, si le socialisme représente une alternative réelle, Feltin-Tracol ne préconise pas l’emploi de ce terme, galvaudé par la gauche et vidé de son sens. Mieux vaut se chercher une autre étiquette que de se coller à celle revendiquée par un François Hollande et un Bernard-Henri Lévy.

« Pour une évidente clarté sémantique, écrit-il, il serait préférable de laisser au Flamby normal, à l’exquise Najat Vallaud-Belkacem et aux morts vivants du siège vendu, rue de Solférino, ce mot de socialiste et d’en trouver un autre plus pertinent. Sachant que travaillisme risquerait de susciter les mêmes confusions lexicales, les termes de solidarisme ou, pourquoi pas, celui de justicialisme, directement venu de l’Argentine péronisme, seraient bien plus appropriés. »

À la recherche d’une troisième voix effective, l’auteur nous replonge d’abord dans la vision tercériste promue par Christian Bouchet, puis dans le solidarisme de Jean-Gilles Malliarkis et Jean-Pierre Stirbois, repris depuis quelques années et remis au goût du jour par Serge Ayoub. En fait, le solidarisme est né au 19ème siècle avec le radical Léon Bourgeois et de là se répandit tant en Belgique, qu’en Allemagne et en Russie où on le représentera avec le Trident, symbole toujours employé par les solidaristes. En Russie, il connut ses heures de gloire sous le sigle NTS, qui représentait ces solidaristes opposés activement au régime soviétique. Notons que le terme « solidarisme » n’a aucun, absolument aucun, lien avec Québec solidaire qui allie marxisme économique et culturel dans une ambiance post-soixante-huitarde. Le solidarisme tel qu’envisagé par ses défenseurs et théoriciens n’est pas qu’un système économique et représente une réelle alternative aux démocraties libérales.

Pour l’auteur, comme pour les activistes se réclamant aujourd’hui du solidarisme, cette vision du monde s’ancre dans le réel, dans les peuples avec leurs identités propres et de ce fait refuse toute homogénéisation ou folklorisation tels que promues par le libéralisme et même le marxisme. L’identité des régions, des cultures doit être préservée pour que puisse s’articuler une véritable solidarité des peuples. Ce n’est qu’en étant Breton que l’on peu se faire le compagnon de lutte du Québécois. De même qu’un Irlandais fier de ses origines sera à plus à même de comprendre la réalité d’un Corse.

Notons d’ailleurs un fait qu’on ne peut passer sous silence, soit l’intérêt de Feltin-Tracol pour notre Amérique à nous, celle du lys. Il écrit ainsi que le solidarisme doit « soutenir la lutte méconnue des peuples d’ethnie française en Amérique et en Europe (Québécois, Acadiens, Cajuns, Francos, Métis de l’Ouest canadien, Valdôtiens, Wallons, Jurassiens…).

La francité est plus que jamais ce cercle d’appartenance manquant entre la France et une francophonie un peu trop mondialiste. » De savoir que nous ne sommes pas oubliés de nos cousins français fait chaud au cœur.
L’étude de Feltin-Tracol ne se limite pas au solidarisme et l’auteur nous invite à nous plonger dans l’étude du péronisme, du justicialisme argentin, émulé d’une certaine façon par le général Guillermo Rodriguez Lara en Équateur et par une multitude de mouvements d’Amérique latine. L’exhortation d’un Paul Bouchard et des frères O’Leary à nous intéresser à l’expérience de nos frères latins d’Amérique prend ici tout son sens. L’expérience argentine ne démontre-t-elle pas qu’entre le libéralisme et la gauche marxiste peut exister un courant réellement patriote et social?

Le libyen Mouhamar Kadhafi instaura lui aussi un régime préconisant une voie tierce, affirmant que « capitalisme et marxisme sont les deux faces d’une même réalité ». Il instaura ainsi une gestion participative du travail, les usines étant cogérées par les patrons et les employés. Plusieurs exemples dans le même genre, notamment celui du libanais Pierre Gemayel du parti arabe Baas, cofondé par le chrétien orthodoxe Michel Aflak, nous rappellent que si les systèmes de troisième voie sont moins communs que ceux se revendiquant du libéralisme ou du marxisme, ils ne sont pas, loin s’en faut, une utopie irréalisable.

Il souligne aussi le militantisme de fait réalisé par le Bastion social, qui fut interdit depuis, mais qui inspira de nombreuses autres initiatives, dont ici au Québec avec les œuvres pour les démunis réalisées tant par Storm Alliance que par Atalante. Cet activisme mettant en place des organismes solidaires est loin d’être une opération de communication, le social a toujours fait partie des priorités des identitaires. Les problèmes sociaux sont une urgence à laquelle il faut répondre non par des théories ou des slogans, mais par des actions concrètes. Ces actes forment la base de futurs contre-pouvoirs, d’une contre-société s’élevant en marge du système actuel. L’implication sociale n’est pas un correctif apporté pour lutter contre les abus de la société libérale, mais une partie prenante du projet de société.

Ce livre devrait être lu par tous les chefs de PME, mais aussi par les politiciens qui nous gouvernent et qui trop souvent manquent d’originalité, emboitant automatiquement le pas à leurs prédécesseurs sans jamais ne remettre en question leurs principes. Les exemples mis de l’avant par Feltin-Tracol ne sont ni irréalisables, ni utopiques, il faut seulement accepter de regarder ailleurs et de penser en dehors du cadre rigide que l’habitude et l’inertie nous ont imposé. Au fond, « les positions tercéristes ne sont finalement que des positions de bon sens, une adhésion au bien commun de la civilisation européenne. La troisième voie est au fond l’autre nom de la concorde organique. »

Georges Feltin-Tracol, Pour la troisième voie solidariste, Synthèse nationale, 2018, 171 p.

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lundi, 30 décembre 2019

L'histoire de la FANE racontée par... Rivarol

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Robert Spieler, Rivarol cliquez ici

La FANE, une étrange organisation

Franck Buleux nous offre, aux éditions Synthèse nationale, un panorama de ce que fut la Fédération d’action nationale européenne (FANE), qui exista un peu plus de quatorze ans, entre 1966 et 1980. Fondée par Marc Fredriksen (1936-2011), un employé de banque résidant au cœur de la Seine-Saint-Denis, célibataire, amateur invétéré  de tabac, fumant la pipe, peu charismatique, la FANE fut, dit Franck Buleux, « probablement l’ultime tentative, sur notre territoire, de former un parti révolutionnaire, d’inspiration nationale-socialiste européenne ». Après l’échec des nationaux, soutiens de Jean-Louis Tixier-Vignancour, à l’élection présidentielle de 1965, le mouvement entreprit de dépasser les deux thématiques traditionnelles de l’extrême droite française : le nationalisme étatique et l’anticommunisme.  Qui était l’ennemi principal, selon l’expression de Carl Schmitt et de Julien Freund ? La guerre des Six-Jours permettra de le désigner : ce seront l’ensemble des soutiens à Israël, y compris, et même surtout, parmi les organisations et cadres de l’extrême droite concurrente. Le Système considéra (ou plutôt fit semblant de considérer) que la FANE était cet astre sombre, expression d’une internationale brune, un danger quasi mortel pour la démocratie, et finit, bien sûr, par la dissoudre.

La FANE, un mouvement national-socialiste

La FANE, qui militait « pour une Europe populaire, unitaire et blanche » est née le 8/4/1966 de la fusion de trois groupuscules : le Comité de soutien à L’Europe réelle, les cercles Charlemagne, issus d’Occident, et Action Occident que présida Marc Fredriksen, qui fut aussi membre de la Restauration nationale. Tout cela ne représentait que quelques dizaines de militants. La revue Notre Europe, organe de « combat pour un nouvel ordre européen » en sera l’organe de presse. Elle fusionnera avec les Cahiers européens de François Duprat, après son assassinat en mars 1978. Passons rapidement sur quelques événements qui jalonnèrent la vie de ce mouvement. En 1970, la fusion avec Jeune Europe, mouvement dirigé par Nicolas Tandler ; en 1973, la tentative de diffusion dans les kiosques de la revue : un échec financier qui entraîne la disparition de la revue pendant cinq ans ; la candidature de Marc Fredriksen aux législatives de 1978 (1,4% des suffrages) sous l’étiquette Front national. Décidément, on n’était pas encore dans l’ère de la dédiabolisation ! L’assassinat de François Duprat le 18/03/1978 ; Le Congrès « fasciste européen, le26/01/1980 à l’hôtel Sofitel, à Roissy, en présence de délégations européennes. Le congrès se tient malgré l’interdiction préfectorale avec comme slogan quelque peu optimiste : « FANE vaincra ! ». Ce sera un des prétextes pour la dissolution du mouvement, quelques temps plus tard. La menace de dissolution amène la création des Faisceaux nationalistes européen, comme structure de repli. Henry-Robert Petit, ancien secrétaire général du Rassemblement anti-juif avant la Seconde Guerre mondiale, puis adjoint de Louis Darquier de Pellepoix, responsable des Affaires juives durant l’Occupation, proche de la FANE, en sera le dirigeant sur le plan administratif. Et puis, il y aura l’attentat meurtrier de la gare de Bologne (85 morts et plus de 200 blessés, le 2 août 1980), et la mise en cause de la FANE dans ce massacre, en la personne de l’inspecteur de police français Paul Durand, membre du bureau politique du parti et responsable des relations avec les nationalistes révolutionnaires transalpins.  Il n’y était évidemment pour rien, mais le pouvoir en prit prétexte pour dissoudre le parti, le 03/09/1980. La dissolution eut donc lieu avant l’attentat contre la synagogue de la rue Copernic du 10/03/1980. L’attentat sera revendiqué par un provocateur, Jean-Yves Pellay, garde du corps de Marc Fredriksen, au nom des Faisceaux nationalistes européens (FNE) qui avaient succédé à la FANE. Nous y reviendrons car l’affaire est pleine d’enseignements. Mais quel était le programme de la FANE ?

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lundi, 16 décembre 2019

"Rouge et jaune pour le Hussard", un nouveau roman de Thierry Bouclier à offrir... et à lire

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L’automne est proche. Le jour se lève sur le Cap Ferret. Victoria, une jolie poupée blonde de vingt-quatre ans, se réveille dans un Porsche Cayenne. À ses côtés, trois cadavres. Chacun une balle dans la nuque. Que fait-elle là ? Est-elle la meurtrière ? Ou la victime d’un odieux traquenard ? Elle n’aurait pas dû tirer sur son shit. Elle ne se souvient plus de rien. Des silhouettes inquiétantes ne tardent pas à surgir. Seule, Victoria n’échappera pas à ses poursuivants. Heureusement, son chemin croise celui de Julien Ardant, dit le Hussard. Cette nouvelle aventure du Hussard conduit le lecteur dans les méandres du monde des avocats et de la vigne.

Rouge et jaune pour le Hussard, Thierry Bouclier, Editions Auda Isarn, collection "Le Lys noir", 2019, 152 pages, 12 euros cliquez là

Thierry Bouclier est avocat à la Cour. Il est notamment l’auteur d’un roman noir, Le Dernier des occupants cliquez ici, paru également chez Auda Isarn.

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Ouverture d'une nouvelle librairie non-conformiste à Paris (VIIe) : la Librairie Vincent

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Source Paris Vox cliquez ici

toujours une bonne nouvelle de voir l’ouverture d’une nouvelle librairie. La nouvelle est encore meilleure quand elle est ouverte par Vincent qui a longtemps œuvré au côté d’Emmanuel Ratier.

La Librairie est dotée d’un grand fond de livres neufs et d’occasions. On pourra notamment y trouver la revue toujours bien informée : Faits et documents.

NDLR SN : vous pourrez y trouver la revue Synthèse nationale, les Cahiers d'Histoire du nationalisme et les livres publiés par Synthèse éditions.

INFORMATIONS PRATIQUES

115 avenue de La Bourdonnais 75007 Paris

Ouvert du mardi au samedi de 12h30 à 19h30 (fermeture en août).

Métro le plus proche : École Militaire (ligne n°8).

Lignes de bus à proximité : lignes 28-80-82-86-92. Arrêt École militaire.

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vendredi, 13 décembre 2019

Une fin de semaine bien remplie

À Rungis et à Paris :

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À Nantes :

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mercredi, 11 décembre 2019

Pour mieux comprendre l'Italie des années 1930...

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lundi, 09 décembre 2019

Dimanche prochain, 15 décembre : "Lire sous les sapins", ventes et dédicaces de livres organisée par Anne Brassié et TV Libertés

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Venez nous retrouver sur

le stand de Synthèse nationale.

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PARUTION DU LIVRE RELATANT LES 13 ANS DE COMBAT DE SYNTHÈSE NATIONALE

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dimanche, 08 décembre 2019

Sortie prochaine du "Dictionnaire sulfureux" de Philippe Randa

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samedi, 07 décembre 2019

Dimanche 15 décembre : fête du livre de Nantes

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vendredi, 06 décembre 2019

Sortie la semaine prochaine du livre "Pour une Synthèse nationale" de Roland Hélie

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Les éditions Déterna viennent de rééditer "Mussolini intime" de Vittorio Mussolini

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Entretien avec Philippe Randa qui vient de rééditer Mussolini intime aux Éditions Déterna ; livre écrit par le fils du Duce Vittorio Mussolini.

(Propos recueillis par Aliénor Marquet)

Il y a près d’un siècle apparaissait un nouveau vocabulaire politique : celui du fascisme dont les idées devaient marquer le XXe siècle en lettres de feu et de sang.

Découvrir le créateur du fascisme, c’est précisément ce à quoi nous convie Vittorio Mussolini, le fils du dictateur italien. Découvrir Mussolini au quotidien, son vécu au jour le jour en famille, raconté au gré d’une mémoire qui, volontairement, néglige l’homme public pour mieux cerner le souvenir du « Padre ». Il s’agit véritablement, comme le titre du livre l’indique de Mussolini dans l’intimité.

Ce livre est aussi celui de l’histoire d’une famille très forte, très unie, très italienne, dont le nom domina un pays tout entier pendant plus de vingt ans…

Nettement divisée en deux clans, celui des hommes et celui des femmes, cette « famiglia » typique, que l’on aurait fort bien pu croiser dans les faubourgs de Marseille ou de New York voici encore trente ou quarante ans, possède son histoire propre, fondée sur la misère, l’opiniâtreté, le courage et l’espérance, qui sont le lot des émigrés. Mussolini qui rêva de l’Amérique partit finalement à la conquête de son propre pays. C’est chez lui qu’il fit fortune.

Voici Mussolini et ses femmes – épouse, filles ou maîtresses – construisant simultanément sa propre légende, l’histoire de sa patrie et le bonheur fragile de sa famille. Mussolini travailleur infatiguable, socialiste et fasciste, humble chef de famille et potentat, lucide et illuminé, froid et désemparé, Mussolini vivant, réanimé par son fils Vittorio, son propre sang.

Ce fils, Vittorio, était rès proche de son père, notamment durant la République de Salo ; il l’accompagnait jusque chez le Führer…

En effet, ce fut le cas notamment après la libération par Otto Skorzeny, en septembre 1943 de Mussolini, prisonnier au Grand Hôtel du Campo Imperatore. Vittorio rejoignit son père directement au grand quartier général du Führer où celui-ci demanda au Duce de retourner en Italie afin d’y reprendre le Pouvoir. Le 16 septembre suivant, celui-ci annonça à la radio : « À partir d’aujourd’hui, je reprends la direction suprême du fascisme en Italie. »

Ce fils Vittorio, qui était-il ?

Passionné de cinéma, Vittorio Mussolini (1916-1996) dirigea le magazine Cinéma et fut président de la maison de production, l’Alliance Cinématographique Italienne. À la mort de son frère Bruno en 1941, il hérita de la présidence de la Fédération de boxe italienne. Durant la république de Salo, il s’activa pour la reconstruction d’un gouvernement fasciste en Italie. Producteur de films, scénariste dans les années 1940, il s’exila en Argentine où il vécut sans plus s’occuper de cinéma. Revenu en Italie en 1967, il y passa le reste de ses jours.

Source EuroLibertés cliquez là

Mussolini intime, Vittorio Mussolini, éditions Déterna, collection « Documents pour l’Histoire », 212 pages, 25 euros. Pour commander ce livre cliquez ici

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