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dimanche, 09 juillet 2017

Sortie d'un magnifique album racontant l'histoire du Kosovo, signé Luc Luret

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Remarquable album de 80 planches, riches en illustrations, relatant, étape après étape, l'histoire de ce petit pays tant convoité par ceux qui veulent la destruction de la Serbie.

Luc Luret, bon cconnaisseur de l'histoire des Balkans, à qui nous devons le livre Kosovska (La Cocarde 2016), nous raconte le passé du Kosovo, coeur de la Serbie, et nous aide à mieux comprendre ce qui se passe aujourd'hui. 

Histoire illustrée du Kosovo et Métochie, Luc Luret, 80 planches illustrées, 2017, 15 € (+ 4 € de port)

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samedi, 08 juillet 2017

N'OUBLIEZ PAS DE COMMANDER NOS NOUVEAUX LIVRES POUR CET ÉTÉ

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dimanche, 02 juillet 2017

Les enfants de Maastricht, le nouveau livre de Charles-Henri d'Elloy

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jeudi, 15 juin 2017

"ANNÉES DE PLOMB ET SEMELLES DE VENT", LE LIVRE DE GABRIELE ADINOLFI RÉÉDITÉ À L'OCCASION DE LA RÉUNION DE SAMEDI PROCHAIN

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vendredi, 09 juin 2017

Les Bouquins de Synthèse nationale : deux nouvelles parutions à la fin du mois... et une surprise

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Sortie : 25 juin 2017

Les chansons de notre identité cliquez là

Cahier d'Histoire du nationalisme n°12 cliquez ici

On en reparle...

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jeudi, 01 juin 2017

L’Europe des peuples face à l’Union européenne

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Franck Buleux avait écrit un livre fort intéressant l'an passé sur la logique réunification de la Normandie. Il récidive ces derniers jours avec un nouvel ouvrage consacré à l'Europe des peuples. Notre confrère et ami EuroLibertés l'a interrogé. Cela donne :

Vous publiez un essai sur l’Europe par opportunisme, du fait de l’actualité porteuse ?

L’Europe fait effectivement couler beaucoup d’encre, mais surtout du point de vue des obligations faites aux États et aux citoyens par les normes impératives issues de l’Union européenne. Il est plus question de directives que de peuples dans le discours ambiant, même si un « réveil » se fait perceptible, ici ou là.

Un réveil ?

Oui, un réveil des peuples : l’Europe est constituée de nations-États, nous ne remettons pas cela en cause, mais aussi de patries charnelles fortement identifiées à l’intérieur des structures étatiques constituées. En effet, une nation ne pourrait-elle pas être constituée de plusieurs peuples ? Eh bien, au sein des États, des peuples se réveillent, de la Catalogne à la Lombardie, de l’Écosse à la Corse, chaque patrie charnelle revendique sa propre identité, parfois issue du fond des âges, spécifique. Cette identité peut être fondée sur une langue, une histoire, des traditions ancestrales communes…

Vous évoquez dans votre titre les peuples contre l’Europe. Est-ce toujours le cas ?

C’est effectivement un raccourci médiatique. Un peuple peut d’abord vouloir s’émanciper de la nation-État dont il est issu et, a contrario, souhaiter s’intégrer au sein d’une volonté européenne, et donc d’une structure de type fédérale. Chaque courant identitaire a ses propres options. Enfin, il faut distinguer l’Europe, véritable Finistère du bloc eurasiatique et l’Union européenne, structure humaine et, par nature, éphémère.

On peut donc être régionaliste et européen ?

Oui, vouloir, comme une grande partie de la population de l’Écosse, se défaire du Royaume-Uni pour mieux réintégrer l’Union européenne est un exemple emblématique de ce type de choix. Par contre, il est clair que ce type de régionalisme, de populisme identitaire, n’est pas persona non grata au sein de l’Europe actuelle. Par contre, un régionalisme antieuropéen est le plus souvent diabolisé par les institutions. Mais, au-delà des institutions, on peut être régionaliste et européen, sur le modèle d’une Europe aux cent drapeaux. La notion de nation est parfois très récente, en tout cas plus récente qu’un territoire enraciné.

Les régionalismes européens ne sont donc pas homogènes ?

Ni même unis, loin de là ! Dans mon essai, vous lirez qu’il existe des régionalismes proches des Verts, donc de l’ultra-gauche, mais aussi des communistes, de la droite souverainiste, libérale ou identitaire. En matière idéologique, il n’y a pas d’unicité. Il y a une volonté émancipatrice issue d’un fondement, parfois l’identité étatique sera perçue comme une manifestation colonialiste, d’où l’évolution, dès les années 1960, de certains régionalistes vers la gauche idéologique.

Peut-on parler de populisme ?

Absolument, le populisme est une réaction populaire à un certain ordre, issu d’une élite. Ici, il s’agit d’une réaction contre un État jacobin ou considéré comme tel (Tous les États européens ne sont pas aussi jacobins que le nôtre…). Ce populisme s’appuie sur l’histoire des peuples, sur la mémoire européenne : en ce sens, il se veut pérenne.

Cette forme de populisme identitaire est-elle purement historique, voire ethnique ?

Non, justement, le populisme fiscal a largement investi les programmes politiques des régionalismes, même les plus enracinés. On constate que, le plus souvent, les régions les plus riches sont les plus revendicatrices en matière d’autonomie, de délégations de pouvoirs issues de l’État central. Le Pays basque, la Catalogne, l’Écosse, la Lombardie et la Flandre sont des territoires qui se plaignent de payer pour les autres territoires, plus pauvres. L’Italie du Nord contre le Mezzogiorno ! Il y a, aussi, une forme de « régional-égoïsme ». Mais à l’heure de l’homo economicus, comment pourrait-on leur en vouloir ? Il y a bien longtemps que le régionalisme identitaire basque est devenu un régionalisme européo-compatible. La fonction économique a dépassé, dans le contexte basque, la fonction biologique… Je fais référence à cette tradition indo-européenne qui fait de la population basque, un peuple issu d’une langue homogène.

Quel est le rôle de l’Union européenne dans cette poussée des régionalismes ?

L’Union européenne prend en compte les régions, notamment via un système de dotations financières. Elle a compris que certaines régions étaient plus fidèles à l’Union que les États dont ces régions sont issues… Parfois, le mouvement régionaliste rejette les deux structures, l’État et l’Union… L’Union européenne est une structure mutante, c’est-à-dire qu’elle n’a aucune figure préalable, elle peut-être un assemblage d’États comme une fédération supranationale ; en réalité, elle se situe entre les deux, mais elle pourrait favoriser les régions, pour pouvoir survivre. L’Union européenne est ce que les États en font, et surtout les majorités politiques issues de ces mêmes États… Elle ne théorise rien.

Et la France ? Est-elle concernée ?

Plus faiblement que la plupart de ses voisins.

La France jacobine est menacée par l’autonomisme corse sur le Continent. Nous l’avons vu lors des élections régionales de 2005 : la victoire de l’union des autonomistes et des indépendantistes a choqué le pouvoir central. Vous lirez dans mon essai les liens entre les autonomistes et les institutions européennes. En métropole, les régionalistes obtiennent de bons scores en Alsace et en Bretagne (entre 5 et 8 %), des terres aux identités reconnues et maintenues. Au-delà, les territoires d’Outre-Mer sont plus sensibles aux sirènes indépendantistes, ce qui est logique compte tenu de leur éloignement géographique.

L’Europe a perdu le Groenland…

Oui, cela peut paraître anecdotique, mais je l’ai souligné dans mon essai car, outre le point de vue dimensionnel, cette terre est un véritable « pont » entre l’Europe et le Nouveau monde. La découverte de ce territoire par un homme du Nord est le début de la découverte du continent américain. La « perte » du Groenland est donc, symboliquement, dommageable car il isole l’Europe alors que notre territoire fut le véritable catalyseur du monde. Le Groenland fait toujours partie de la Couronne danoise, c’est une consolation.

Et demain ?

Je pense que l’Europe devrait se refonder sur les peuples qui la composent. Chaque ère de notre sous-continent a ses propres qualités : le Nord est porté, naturellement, vers la Mer, le Sud vers les relations méditerranéennes, l’Est a un rôle essentiel à réaliser avec notre partenaire russe.

Et surtout, ne confondons pas l’Europe et l’Union européenne. L’une est éternelle, comme la vitalité de ses peuples.

L’Europe des peuples face à l’Union européenne de Franck Buleux, préfacé par Georges Feltin-Tracol, éditions L’Æncre, collection « À Nouveau Siècle, Nouveaux Enjeux », dirigée par Philippe Randa, 226 pages, 25 euros.

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mardi, 30 mai 2017

"LA HONGRIE SENTINELLE DE L'EUROPE", JEAN-CLAUDE ROLINAT S'EXPLIQUE...

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Jean-Claude Rolinat, vous publiez aux éditions les Bouquins de Synthèse Nationale, votre 20e ou 21e ouvrage, avec vous on ne sait plus ! Il est consacré à la Hongrie. D’où vous vient ce goût pour « l’étranger », au sens noble du terme. Vous trainez dans votre sillage la réputation d’être un « grand voyageur ». Vous avez d’ailleurs signé de nombreux papiers et reportages dans des titres amis comme National-Hebdo, Ecrits de Paris, Rivarol, Présent, Synthèse nationale et vous tenez chaque jeudi matin une petite chronique de politique étrangère sur RADIO LIBERTES, pourquoi ?

JCR – Réputation un peu usurpée tout de même, il manque à ma collection, excusez du peu, l’Iran, la Chine, l’Australie, la Corée ou Taïwan, sans compter la…Corse, la plus proche de nos iles lointaines ! Les lectures de TINTIN, SPIROU et BUCK DANNY m’inspiraient plus que Le CID de Corneille ou LES PLAIDEURS de Racine ! J’ai sans doute été influencé par toutes ces aventures qui se déroulaient dans des pays réels ou imaginaires. Des occasions ici ou là, se sont présentées et j’ai un peu « bourlingué » partout où l’histoire s’écrivait. Ça continue, mais en classe « pépère ». Je pars en Pologne très bientôt, à la recherche du « plombier polonais » ! (rire…).

Oui mais, la Hongrie, pourquoi consacrer un livre à la Hongrie ?

JCR – C’est le premier titre d’une collection appelée, je l’espère, à s’enrichir d’un nouveau livre tous les 8 ou 9 mois, le temps d’une gestation en quelque sorte. La Hongrie est un pays à la longue mémoire, injustement traité par l’histoire, une terre matrice d’un peuple courageux : on l’a vu dans ses révoltes contre l’Autriche avant qu’il ne devienne un sage partenaire de l’Empire, face à la mainmise du bolchévique Béla Kun, dans son engagement – risqué – sur le front de l’Est, contre les Soviétiques par son héroïque résistance. Justement, l’année dernière, nous commémorions le 60e anniversaire de la révolte de Budapest qui, en 1956, fit l’admiration du monde entier. Les anciens du PC « F » à Paris doivent s’en souvenir encore, les murs de « l’HUMA » avaient eu chaud ! Ayant visité cet agréable pays - il y a de bonnes tables et la bière y est fraiche ! - et sa non moins séduisante capitale, Budapest, j’ai proposé à Roland Hélie ce titre, « La Hongrie, sentinelle de l’Europe ». Ce livre résume son histoire, analyse sa position actuelle de résistance – encore ! – à L’Union européenne, qui n’est plus qu’une sorte d’Union soviétique sans le goulag. Viktor Orban incarne cette fierté nationale, cette volonté de refuser l’invasion de sa patrie malgré le chantage et les diktats de Bruxelles. Pour cela, il est soutenu par les nationalistes de ce pays, notamment le JOBBIK, une variante très curieuse de l’espace nationaliste européen. Le seul mouvement classé à « l’extrême-droite » qui a, un peu, les « yeux de Chimène » pour la Turquie d’Erdogan.

Mon éminent confrère Georges Feltin-Tracol, développe admirablement cet aspect dans un chapitre spécial.

Cette collection « Notre belle identité européenne », est-elle appelée à s’enrichir ?

JCR- Je l’espère. Le nombre de lecteurs de ce premier titre sera un indicateur. Il y a dans les terres de nos pères tant et tant de merveilles artistiques, touristiques, tant et tant de légendes et d’actes héroïques à vulgariser, qu’une vie ne suffirait pas à venir à bout de la tâche. Je pense à des Etats comme le Portugal ou la Grèce, et j’espère que des amis, spécialistes d’autres pays, pourront se joindre à nous et enrichir, au fil des ans, cette collection, une sorte « d’arsenal historico-politico-touristique » si vous me passez cette expression un peu « barbare » , pour lutter contre la désinformation qui gangrène nos chères petites têtes, de moins en moins blondes d’ailleurs….

Jean-Claude Rolinat, nous vous remercions.

Propos recueillis par Anne Ravinet

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samedi, 20 mai 2017

SAMEDI 20 MAI : ALBAN D'ARGUIN DÉDICACERA "ÉOLIENNES UN SCANDALE D'ÉTAT" À LA LIBRAIRIE DUQUESNE DIFFUSION (PARIS)

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vendredi, 07 avril 2017

Pour comprendre la Syrie :

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samedi, 25 mars 2017

Gaston Couté : un poète qui n’a pas si mal tourné que ça !

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« Mises en musique,
 ses chansons ont fait l’objet de plus d’une centaine d’enregistrements dont certains très récents et des "diseurs" et chanteurs continuent de monter des spectacles sur ses textes »

Entretien avec Alain Renault, auteur de Gaston Couté – Compléments d’enquête (éditions Dualpha). Propos recueillis par Fabrice Dutilleul).

Gaston Couté est-il actuel ?

Le poète Gaston Couté, auteur de La chanson d’un gâs qu’a mal tourné, mort en 1911 à 31 ans, n’est jamais tombé dans l’oubli et n’a pas manqué d’être apprécié jusqu’à nos jours. Mises en musique, ses chansons ont fait l’objet de plus d’une centaine d’enregistrements dont certains très récents et des « diseurs » et chanteurs continuent de monter des spectacles sur ses textes. Il reste donc très vivant même si un Musée lui est consacré à Meung-sur-Loire… Dans cette ville des « journées Gaston Couté » se tiennent chaque année en septembre avec de nouveaux artistes et un public toujours intéressé.

Mais a-t-il fait l’objet d’études ?

D’abord ses principaux textes sont régulièrement republiés en de nombreuses anthologies. Au moins deux biographies et une étude universitaire lui ont été consacrées et plusieurs sites internet poursuivent la tâche. Il y a quelques décennies, une édition en cinq volumes avait vocation à offrir ses « œuvres complètes », travail sans fin…

Qu’apporte donc votre ouvrage ?

Comme son titre l’indique, il offre des « compléments ». Il n’a pas vocation à reprendre ce qui a déjà été fait, ni à initier le néophyte. Il s’adresse à ceux qui ont déjà une connaissance au moins élémentaire des œuvres et de la vie de Gaston Couté.

On découvre ou redécouvre régulièrement de nouveaux poèmes. Mon ouvrage comporte ainsi certains de ses textes perdus et inédits dont on ne connaissait que le titre et d’autres parfaitement inconnus jusqu’à ce jour. S’y ajoutent des textes retrouvés pour avoir déjà été publiés dans des revues de son époque, mais qui avaient échappé aux recensions et éditions ultérieures.

Sa biographie est complétée par quelques épisodes pittoresques de son existence négligés ou erronés dans des ouvrages déjà parus, et des portraits de ses interprètes dans les années 20, époque où est popularisé son plus célèbre morceau, Va danser, même s’il n’est pas le plus représentatif de son œuvre. On trouvera aussi un prolongement à notre précédente discographie et quelques autres éléments autour du souvenir de Couté.

Coute-complement-enquete-e.jpgGaston Couté – Compléments d’enquête d’Alain Renault, 160 pages, 15 euros, éditions Dualpha, collection « Patrimoine du spectacle », dirigée par Philippe Randa

Source EuroLibertés

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vendredi, 10 mars 2017

Gérard Letailleur vient de publier un recueil de contes intitulé : PÂQUES DE LA SAINTE RUSSIE

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Les contes russes constituent un vaste univers dont les racines remontent aux temps les plus reculés. Ils ont conservé leur symbolique dans la mémoire populaire grâce à la riche palette de leurs couleurs, leur sens du mouvement, leurs nobles sentiments, et parfois leur charmante naïveté.

Dans cet ouvrage, ceux que nous avons choisis ont un point commun : la fête de Pâques. venue de Byzance au Xe siècle, à l’époque où les premiers slaves posèrent le pied sur le territoire russe entre la Haute Volga et le Dniepr, cette célébration revêt dans la liturgie orthodoxe une dimension fastueuse.

Les plus beaux contes de Pâques portent la signature d’écrivains exceptionnels, à l’instar d’Alexandre Pouchkine, Léon Tolstoï, Anton Tchékhov, Alexandre Kouprine, Fédor Dostoïevski…

Gageons que la redécouverte de ces petits joyaux tisse de nouveaux liens d’amitié entre nos deux peuples et contribue au renouveau spirituel de l’Occident chrétien.

Gérard Letailleur, éditeur d’ouvrages de bibliophilie, est l’auteur de nombreux livres consacrés à l’histoire, dont le dernier, L’histoire insolite des cafés parisiens, préfacé par Jean Piat, paru aux éditions Perrin, a rencontré un vif succès couronné par le prix de l’Académie Rabelais 2013.

Illustrations de Françoise Pichard.

Pâques de la sainte Russie, Gérard Letailleur, Via Romana, 139 pages, 19 € cliquez ici

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jeudi, 09 mars 2017

EOLIENNES UN SCANDALE D'ETAT, LE LIVRE RÉQUISITOIRE D'ALBAN D'ARGUIN EST SORTI : COMMANDEZ-LE, DIFFUSEZ-LE !

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vendredi, 03 mars 2017

Avez-vous lu le réquisitoire d'Alban d'Arguin contre les éoliennes ?

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vendredi, 17 février 2017

Avez-vous lu le roman de Modeste Lakrite "L'Edit de Mantes" ?

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mercredi, 15 février 2017

LE POPULISME OU LA VERITABLE DEMOCRATIE de Bernard Plouvier

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Les éditions Pardès viennent de publier un nouveau "Qui suis-je?" consacré à Maurice Genevoix...

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Dans les bonnes librairies : 12 €

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samedi, 04 février 2017

IL EST SORTI : ÉOLIENNES UN SCANCALE D'ÉTAT

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C’est l’ouvrage le plus com­plet sur la ques­tion des éo­liennes à ce jour. L’auteur en cerne les origines à travers l’écologie qui, dépouillée de ses oripeaux de la « bien pen­sance verte », apparaît sous son vrai visage de parti de l’étranger rassembleur des der­niers trotskys­tes à la solde du mondialisme. Il en démasque aussi la dialecti­que et les enjeux fondés sur trois affirmations hasar­deu­ses : la lutte contre le « réchauffement » climati­que, l’extinction « imminente » des énergies fossiles, et la « nécessaire » sortie du nucléaire.

La thèse de l’auteur est terri­ble : L’éolien est un scandale d’Etat qui conduira tôt ou tard les politiques français promoteurs de cette aberra­tion devant la Cour de justice de la Ré­publique.

Ce livre est une arme essen­tielle et exhaus­tive dans le combat, à la disposition des mé­dias objectifs, des politi­ques incorruptibles (il en reste sans doute) et de ceux qui luttent avec courage au quotidien partout en France où sortent de terre de nou­veaux parcs éo­liens.

Il y a une impérieuse urgence à rejeter les in­jonctions dic­tatoriales de la Commission euro­péenne si on ne veut pas assister à l’agonie de la France défigurée, la France infectée, la France spoliée...

Eoliennes scandale d'Etat, Alban d'Arguin, Synthèse éditions, collection Pourquoi ?, 178 pages, 20 €

Alban d'Arguin, DEA de droit public, DEA d'histoire, Études d'actuariat (ISUP Paris) a fait une carrière de manage­ment et de direction générale à l'international dans un grand groupe financier. Il est retiré aujourd'hui dans l'ouest de la France où il travaille à la restauration d'un domaine entouré de vergers anciens. Il collabore épisodiquement à plusieurs re­vues sous forme de chroniques.

Passionné par l'ornithologie et les questions environnementa­les, il a participé récemment à la création d'une association op­posée à l'implantation d'un parc industriel dans sa région. Confronté à l'aberration de ce projet "d'énergie du vent", il a décidé d'instruire objectivement et exhaustivement la question de l'éolien en France

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EN VENTE DANS LES BONNES LIBRAIRIES (DUQUESNE, FACTA, LIBRAIRIE FRANÇAISE...)

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mardi, 31 janvier 2017

Vous pouvez commander dès maintenant "Le Populisme ou la véritable démocratie", le nouveau livre de Bernard Plouvier

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dimanche, 29 janvier 2017

Le prix du Cercle Renaissance sera remis le 1er février à Jacques Trémolet de Villers

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Le Prix Renaissance 2017 sera remis le 1er février prochain par Philippe de Villiers à Me Jacques Trémolet de Villers (en photo ci-dessus) pour son dernier ouvrage, Jeanne d'Arc, le Procès de Rouen (éditions Belles Lettres), lors du diner de gala du 47e anniversaire du Cercle Renaissance.

Renseignements et participation, écrire à : Cercle Renaissance, 138 rue de Tocqueville, 75017 Paris Tél : 01 42 27 48 22. Consultez le site du CR cliquez ici

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vendredi, 27 janvier 2017

Sortie à la fin du mois du nouveau livre de Bernard Plouvier : "Le Populisme ou la véritable démocratie"

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Un entretien avec l'auteur :

Q. Dans ce livre, vous présentez ce que les bien-pensants et bien-disants interpréteraient comme un non-sens : l’assimilation du populisme à la démocratie. Est-ce une provocation à but commercial ou l’expression d’une intime conviction ?

R. Vous m’avez mal lu : je n’ai pas écrit du populisme qu’il était une forme de démocratie. Je prétends qu’il s’agit de la SEULE véritable démocratie, soit le gouvernement POUR le peuple. Le but de tout gouvernement est d’administrer au mieux le Bien commun. C’est ce que, durant l’Antiquité gréco-romaine – qui est notre racine fondamentale, avec celles moins bien connues des civilisations celto-germano-scandinaves -, l’on nommait la Chose publique.

Pourtant les démocraties grecques antiques n’ont pas été des régimes populistes.

Effectivement, ce que nos brillants universitaires (les historiens allemands sont généralement moins naïfs) nomment la « Démocratie athénienne » n’était qu’une ploutocratie. Pour faire simple, une ploutocratie est un gouvernement de riches qui n’agissent que pour donner à leur caste – héréditaire ou matrimoniale - et à leur classe – liée à la surface sociale – les moyens d’assurer la pérennité de leur domination.

Certes, un peu partout en Grèce, à partir du 6e siècle avant notre ère, on a introduit la notion d’égalité devant la Loi, mais cela ne touchait que les seuls citoyens, nullement les étrangers et moins encore les esclaves qui n’étaient que des biens mobiliers, des choses. En outre, les citoyens pauvres n’avaient que le droit d’élire des riches pour administrer l’État. En gros, cela n’a guère changé en 25 siècles !

Et très vite, les peuples se sont révoltés. D’authentiques populistes ont dominé de nombreuses cités grecques antiques, puis Rome. Ces « tyrans » ont tous été élus, acclamés par le peuple, mais agonis par la classe des lettrés, issus de la caste nobiliaire. La mauvaise réputation du populisme est une affaire de règlement de comptes entre les riches et les chefs des pauvres… car les ploutocrates reviennent toujours et partout au Pouvoir, les pauvres étant trop souvent victimes de leur irréflexion et les gens des media – de l’aède antique au présentateur d’actualités télévisées – étant fort vénaux.

Ce livre est donc une promenade historique, une visite guidée dans le Musée du populisme. Cela signifie-t-il qu’il existe des causes et des effets récurrents dans l’histoire humaine qui mènent au populisme ?

Bien évidemment et cela revient à dire qu’il existe des critères qui permettent à l’observateur de différentier un véritable populiste – être rare – d’un banal démagogue. Il faut être très critique à l’égard de ce qu’affirment les journalistes et les « politologues », cette curiosité contemporaine, lorsqu’ils balancent, un peu au hasard, l’appellation de populiste, ce qui est souvent, pour ces ignorants, une accusation, alors que de nombreux exemples prouvent le bénéfice que certaines Nations ont retiré des gouvernements populistes… et l’étude des échecs est également instructive.

Un chapitre entier du livre est consacré aux valeurs populistes et un autre aux critères, universels et diachroniques, d’un gouvernement authentiquement populiste. Et l’on étudie les différences qui existent entre le régime populiste et le despotisme éclairé.

Comment survient ce type de régime ?

Comme toujours en histoire, il faut, pour observer un phénomène hors du commun, la communion d’un chef charismatique et d’un groupe de compagnons résolus, unis par le même idéal… mais, hélas, pas toujours par des idées communes. Trop de théoriciens tuent un mouvement d’essence populiste avant qu’il puisse prétendre au Pouvoir. C’est ce que l’on a vu en France ou en Espagne durant l’entre-deux-guerres.

Ma question était mal posée : pourquoi un mouvement populiste réussit-il une percée ?

Ce type de mouvement résulte toujours d’un mal-être profond de la Nation, dans ses couches laborieuses et honnêtes… ce qui suffit à différentier le populisme des partis marxistes, dirigés par de très ambitieux intellectuels déclassés et composés de sous-doués hargneux, envieux et fort peu motivés par le travail.

Dès qu’une ploutocratie cesse de proposer au peuple une ambition pour la génération active ou, de façon plus grave encore, une promesse d’avenir pour les descendants, elle devient insupportable. La situation devient intolérable, explosive, lorsque la Nation – soit la fraction autochtone du peuple – est menacée dans sa survie.

L’insurrection devient alors légitime, à moins qu’un mouvement, prenant en compte les besoins et les aspirations du peuple – singulièrement ces valeurs qui font l’identité d’une Nation –, rassemble une majorité électorale qui lui permette de parvenir démocratiquement au Pouvoir, ce qui évite l’insurrection, ses crimes et ses destructions… là encore, on mesure bien la différence entre le populisme et l’ignominie marxiste, où la Révolution est le bien suprême, nécessaire aux chefs et aux petits chefs pour se saisir du Pouvoir et des sinécures.

Finalement, le populisme, ce serait la réaction saine d’un peuple qui souffre, qui est écœuré de ses soi-disant élites et qui aspire à une vie plus digne, faite de travail et d’honnêteté dans la gestion des affaires publiques, permettant d’espérer un avenir meilleur pour les enfants et les petits-enfants ?

Vous avez tout compris.

L'auteur : Bernard Plouvier est né en 1949. Il a été interne des hôpitaux puis chef de clinique au CHU de Lille. Depuis 1979, il est chef de service hospitalier, spécialisé en Médecine interne. Il a été élu membre de l’Académie des Sciences de New York en mai 1980. Il collabore régulière­ment à la revue Synthèse nationale ainsi qu'au site EuroLibertés.

Le populisme ou la véritable démocratie, Bernard Plouvier, Les Bouquins de Synthèse nationale, 278 pages, 22 €

Sortie : fin janvier 2017

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mercredi, 25 janvier 2017

Sortie (très attendue) à la fin du mois de janvier du livre d'Alban d'Arguin : EOLIENNES SCANDALE D'ETAT

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C’est l’ouvrage le plus com­plet sur la ques­tion des éo­liennes à ce jour. L’auteur en cerne les origines à travers l’écologie qui, dépouillée de ses oripeaux de la « bien pen­sance verte », apparaît sous son vrai visage de parti de l’étranger rassembleur des der­niers trotskys­tes à la solde du mondialisme. Il en démasque aussi la dialecti­que et les enjeux fondés sur trois affirmations hasar­deu­ses : la lutte contre le « réchauffement » climati­que, l’extinction « imminente » des énergies fossiles, et la « nécessaire » sortie du nucléaire.

La thèse de l’auteur est terri­ble : L’éolien est un scandale d’Etat qui conduira tôt ou tard les politiques français promoteurs de cette aberra­tion devant la Cour de justice de la Ré­publique.

Ce livre est une arme essen­tielle et exhaus­tive dans le combat, à la disposition des mé­dias objectifs, des politi­ques incorruptibles (il en reste sans doute) et de ceux qui luttent avec courage au quotidien partout en France où sortent de terre de nou­veaux parcs éo­liens.

Il y a une impérieuse urgence à rejeter les in­jonctions dic­tatoriales de la Commission euro­péenne si on ne veut pas assister à l’agonie de la France défigurée, la France infectée, la France spoliée...

Eoliennes scandale d'Etat, Alban d'Arguin, Synthèse éditions, collection Pourquoi ?, 178 pages, 20 €

L'auteur : Alban d'Arguin, DEA de droit public, DEA d'histoire, Études d'actuariat (ISUP Paris) a fait une carrière de manage­ment et de direction générale à l'international dans un grand groupe financier. Il est retiré aujourd'hui dans l'ouest de la France où il travaille à la restauration d'un domaine entouré de vergers anciens. Il collabore épisodiquement à plusieurs re­vues sous forme de chroniques. Passionné par l'ornithologie et les questions environnementa­les, il a participé récemment à la création d'une association op­posée à l'implantation d'un parc industriel dans sa région. Confronté à l'aberration de ce projet "d'énergie du vent", il a décidé d'instruire objectivement et exhaustivement la question de l'éolien en France

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mardi, 17 janvier 2017

Tintin chez les rouges, et en couleurs !

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Francis Bergeron Présent cliquez ici

Les éditions Casterman publient le mythique Tintin au pays des soviets, en couleur. Le premier tirage est de 300 000 exemplaires, ce qui est énorme, pour un récit dessiné, vieux de 88 ans et souvent réédité, du moins depuis la chute du mur de Berlin.

La société Moulinsart, qui gère le patrimoine hergéen, a peu de choses à se mettre sous la dent en fait de nouveautés, puisque Hergé avait interdit que les aventures de Tintin soient reprises après lui. Il y a en tout et pour tout 24 albums (ou plutôt 23 albums et demi, puisque Tintin et l’Alph’art n’avait pas été achevé). Mettre Tintin au pays des soviets en couleurs, c’est en quelque sorte permettre une relance intéressante, commercialement parlant, et donner une seconde jeunesse à cet album.decouvrez-la-nouvelle-couverture-de-tintin-au-pays-des-soviets

Soyons clairs : coloriser Les Soviets, ce n’est pas trahir Hergé, au contraire. Tous les premiers albums étaient parus en noir en blanc, entre 1931 et 1942, et Hergé, avec l’aide de Jacobs, les a colorisés par la suite. S’il ne l’a pas fait pour Les Soviets, c’est qu’il jugeait que le travail à reprendre était trop lourd, car les personnages eux-mêmes souffraient encore d’une maladresse des dessins, ce qui n’était déjà plus vrai dans le second album en noir et blanc, Tintin au Congo.

On peut librement critiquer le communisme – enfin !

Par la suite, l’air du temps a constitué un autre obstacle à la réédition de l’album, que ce soit en noir et blanc ou en couleurs. Casterman craignait des représailles des gauchistes et des gros bras du service d’ordre de la CGT et du PC, comme nous l’avaient expliqué les commerciaux de la maison d’édition belge, à Alain Sanders, Jean-Claude Faur et à moi- même, au festival de la bande dessinée d’Angoulême, en 1985, quand nous avions remis le prix Russie Libre de la bande dessinée au scénariste BD Jean-Michel Charlier.unknown-1

La couverture de l’édition originale (1930).

Unknown-1.jpgAujourd’hui, les obstacles sont tombés : on peut librement critiquer le communisme – enfin ! – sans être traité de crypto-fasciste. Mais la très large diffusion des Soviets (cet album où tout était vrai de la vie en URSS, car directement puisé dans le témoignage du consul belge Joseph Douillet) n’en fait plus un acte du combat politique – ce qu’était l’album, à l’origine quand le récit était publié dans les pages du Petit XXe, du génial abbé Norbert Wallez.

Il n’empêche que se dire que 300 000 enfants vont apprendre très tôt à haïr le bolchevisme, Lénine et Trotski, en s’identifiant à Tintin, cela fait tout de même plaisir !

Tintin au pays des soviets, éditions Casterman, 144 pages, 14,95 euros.

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lundi, 16 janvier 2017

TOUT ARRIVE : SORTIE IMMINENTE, FIN JANVIER, DU LIVRE "ÉOLIENNES UN SCANDALE D'ÉTAT"

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vendredi, 13 janvier 2017

Ignace dédicacera son nouvel album "Apocalypse Flamby" demain samedi 14 janvier à la Librairie Notre-Dame de France

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mercredi, 11 janvier 2017

Immigration : des écrivains sonnent le tocsin

Camille Galic Polémia cliquez ici

En 1973, le succès presque immédiat et bientôt international du Camp des saints de Jean Raspail éclipsa l’autre grand roman d’anticipation sur l’immigration paru quelques années plus tôt, L’Occident (éditions Robert Desroches, 1969), publié en anglais sous le titre The Walled City : redoutant d’être attaqués, les provinciaux fuient leur campagne et affluent vers la ville, mais les remparts de la cité ne les protégent pas car l’omniprésent et protéiforme ennemi est déjà à l’intérieur.

Qualifié de « grand livre hallucinatoire » par le critique Robert Poulet, qui n’hésitait pas à comparer à Céline le libraire Marcel Clouzot (frère du célèbre cinéaste Henri-Georges),

L’Occident devait marquer durablement l’imaginaire de la droite dure, inspirant par exemple ses célèbres « rats noirs » à Jack Marchal, le dessinateur du Groupe Union Droit qui faisait alors trembler les gauchistes.

Depuis Clouzot et Raspail, la veine ne s’est jamais tarie, au contraire, à mesure que montaient les flux migratoires. Qu’on pense à La Toussaint blanche de Philippe Gautier (éd. Les 5 Léopards, 1993), à La Mosquée Notre-Dame de Paris 2048 de la romancière russe Elena Tchoudinova (éd. Tatamis 2009), la date de 2048 étant un clin d’œil au 1984 d’Orwell, aux Chiens enragés de Marc Charuel (Albin Michel 2014, http/::www.polemia.com:chiens-enrages-de-marc-charuel:) et à maints autres.

Tout récemment : Le Grand Rembarquement d’Emmanuel Albach, qui se déroule en 2019, et L’Edit de Mantes de Modeste Lakrite (1), situé en 2027. Autrement dit demain.

Par leurs prémisses, les deux romans se ressemblent. A partir des banlieues et de certains centres villes dont les auteurs connaissent visiblement la triste réalité quotidienne, avec leur population indigène déjà tombée en dhimmitude et la si prospère économie parallèle qui finance les réseaux djihadistes (2), la France est grignotée, puis largement occupée et violentée par ses immigrés.

Autochtones impuissants et souvent terrorisés, pouvoirs publics dépassés et d’ailleurs noyautés par une kyrielle de politiciens issus de l’immigration et habiles au double jeu, armée malade de la « diversité » laïque et obligatoire, cette déliquescence totale au sommet se double d’une panique générale à la base. Inévitablement on pense à la terrible lettre prémonitoire adressée par Albert Camus à son ami Jean Grenier en 1957, année où l’écrivain reçut le prix Nobel de littérature : « A longue échéance, tous les continents (jaune, noir et bistre) basculeront sur la vieille Europe. Ils sont des centaines et des centaines de millions. Ils ont faim et ils n’ont pas peur de mourir. Nous, nous ne savons plus ni mourir, ni tuer. Il faudrait prêcher, mais l’Europe ne croit à rien. »

Pourtant, des résistances s’organisent.

L’Edit de Mantes

Dans le livre de Lakrite, la Ligue des Vieux Habitants réveillée par Geneviève Nisat (un anagramme ?), ainsi prénommée sans doute en hommage à la sainte patronne de Paris qu’elle défendit contre les Huns, puis contre les Francs païens de Childéric, et sorte de pasionaria de Riposte laïque revue par la Manif pour tous, fait front et le commissaire Lelièvre (car le roman d’anticipation se double d’un roman policier) ne s’en laisse pas conter. Une partie du territoire sera sauvée, mais à quel prix ! L’Edit de Mantes, réédition de l’Edit de Nantes par lequel Henri IV avait garanti les droits des protestants, est un concordat avec les musulmans mais il conduit à la partition. Quelle humiliation pour la « fille aînée de l’Eglise » !

Le Grand Rembarquement

Le titre en témoigne, Le Grand Rembarquement se veut plus optimiste. Si les Shabeb, clones hexagonaux des Shebab ayant instauré par la terreur la Charia en Somalie, ont imposé leur loi au gouvernement, des citoyens se lèvent. Considérant qu’en ne les protégeant pas la République a violé l’antique Traité de Saint-Clair-sur-Epte, la Normandie s’insurge, bientôt suivie par d’autres provinces. Les cadres d’entreprise mettent à profit leurs capacités pour organiser l’opposition aux allogènes ; la notion de salut public renaît.

Finalement convaincus d’évacuer la France, où la présidente Marie Lapotre a succédé au président Noël Servi, les Shabeb s’éloignent, avec l’assurance que femmes et enfants les rejoindront très vite. Ainsi « de nouveau, dans les campagnes, et en ville aussi, comme jadis, on peut laisser sa maison et sa voiture ouvertes sans risquer le vol ou le pillage. En outre, comme les insurrections locales ont été l’occasion d’arracher et de détruire tous les radars du réseau routier, l’ombre menaçante de la tracasserie étatique a aussi disparu, détendant sérieusement l’atmosphère. Pour tout dire, les Français se retrouvent libres, et savourent pleinement cette liberté retrouvée, bien décidés par ailleurs à ne plus jamais laisser l’Etat s’ériger en persécuteur permanent, ni en créature “bruxellisée” ».

Trop beau pour être vrai, que ce retour au meilleur des mondes ? « Point n’est besoin d’espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer », disait, avant Pierre de Coubertin, Guillaume Ier d’Orange-Nassau, auquel cette devise ne réussit pas si mal puisqu’il se retrouva Stathouder de Hollande (avant, il est vrai, d’être assassiné). Quand, et surtout comment, va-t-on entreprendre la reconquête tant qu’il en est encore temps pour éviter les années vraiment les plus sombres de notre histoire ?

Modeste Lakrite, L’Edit de Mantes, Ed. Diffusia, novembre 2016, 496 pages. Cliquez ici

Emmanuel Albach, Le Grand Rembarquement, Ed. Dualpha, juillet 2016, 331 pages. Cliquez ici

Notes :

(1) Cet étrange pseudonyme a été choisi en référence aux akrites, soldats-paysans grecs chargés par Byzance de protéger ses frontières anatoliennes des incursions de la cavalerie turque, comme les Habsbourg devaient ensuite mobiliser les Uskoks et autres Haïdouks slaves du sud contre l’envahisseur ottoman menaçant l’Autriche.

(2) Sur L’islamo business, de Jean-Paul Gourévitch, lire cliquez là

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samedi, 07 janvier 2017

AUJOUD'HUI, SAMEDI 7 JANVIER : IGNACE DÉDICACE SON ALBUM "APOCALYPSE FLAMBY" À LA LIBRAIRIE FRANÇAISE

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10:41 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 04 janvier 2017

Roger Holeindre dédicacera son nouveau livre "La Réconciliation nationale" samedi prochain à St Cloud

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00:05 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 28 décembre 2016

L'Edit de Mantes, un nouveau roman-fiction à ne pas manquer

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jeudi, 22 décembre 2016

Ce vendredi, 23 décembre, de 15 h à 19 h, à la librairie Duquesne diffusion : Ignace dédicace "Apocalypse Flamby", son nouvel album édité par Synthèse nationale

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Sur Apocalypse Flamby cliquez ici

20:26 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 19 décembre 2016

Vendredi après-midi, venez acheter vos derniers cadeaux de Noël à la librairie Duquesne diffusion. Ignace sera là pour dédicacer son album Apocalypse Flamby

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Si Ignace est de bonne humeur, ce qui est généralement le cas, il vous dessinera dans sa dédicace. Sympa non ?

Si vous ne pouvez pas venir, vous pouvez commander Apocalypse Flamby en cliquant ici

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