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jeudi, 07 janvier 2016

Mahomet au volant, la charia au tournant : livre-choc contre les barbus de la RATP publié par Riposte laïque

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Source Riposte laïque cliquez ici

Juste un an après les attentats de Charlie Hebdo, les éditions Riposte Laïque vous proposent un témoignage choc d’une machiniste de la RATP, Ghislaine Dumesnil, qui signe son premier livre, intitulé : « Mahomet au volant, la charia au tournant« .

C’est une histoire qui commence en 2012. Femme de gauche, enfant de communistes, syndiquée à la CGT, Ghislaine travaille à la RATP depuis 1999, où elle a rencontré son mari, avec qui elle aura cinq enfants.

Profondément laïque, elle constate, au fur et à mesure que le recrutement de la RATP, axé sur la discrimination positive, favorise les enfants issus de l’immigration maghrébine, que l’ambiance dans son dépôt de Nanterre change.

Des machinistes se laissent pousser la barbe, refusent de saluer leurs collègues femmes, imposent des prières dans les lieux communs, voire dans leur bus, ne veulent plus s’asseoir sur le siège d’un bus conduit auparavant par une femme, et transforment totalement, par la pression qu’ils exercent sur l’ensemble du personnel, les relations de travail fraternelles qui prévalaient jusqu’alors.

Elle se tourne vers son organisation syndicale, puis vers la direction. Elle constate alors que personne ne veut s’attaquer à ce problème, de peur des conséquences que cela peut provoquer. Exaspérée, elle contacte alors Riposte Laïque, qu’elle a découvert sur internet quelques semaines auparavant. Cette femme de gauche n’y voit rien d’extrémiste, encore moins du racisme et d’un discours d’extrême droite, quand elle lit les textes de Pascal Hilout, ou les éditos de Cyrano, qu’elle contacte.

Celui-ci la met alors en contact avec Guy Sauvage et Caroline Alamachère, qui feront un reportage et une vidéo, chez elle, avec une vingtaine de machinistes de la RATP, qui témoigneront, en visage caché, dans une vidéo qui provoquera un véritable séisme à la RATP, quand elle sortira le 14 décembre 2012.

Immédiatement, les intimidations, les insultes et les menaces commencent…. Pendant les trois années qui suivront, Ghislaine, considérée comme la meneuse, sera la femme à abattre, et par les plus radicaux des musulmans, et par la direction, et par certains syndicats qui ne doivent leurs scores électoraux qu’à un recrutement communautariste musulman. On lui mettra sur le dos l’étiquette infamante « d’extrême droite » et de « raciste ». Pour survivre, elle devra travailler sur des horaires très matinaux, épuisants quand on doit élever cinq enfants.

Dans cet ouvrage, elle multiplie des témoignages accablants sur la démission de la direction, la capitulation des organisations syndicales, et la chape de plomb qui s’est abattu sur ce dépôt, et sur bien d’autres.

Mais, enfant de la banlieue, avec son mari, elle décrit aussi la lente dégradation d’un environnement ouvrier, solidaire et fraternel, qui se transforme petit à petit, poussant les Français d’origine, comme elle, à fuir ces endroits où ils n’étaient plus chez eux.

Mère de cinq enfants, elle doit prendre des décisions difficiles, pour assurer une bonne scolarité à son fils et à ses quatre filles, et leur permettre de grandir dans un environnement rassurant. Elle choisira, avec son mari, d’aller s’installer à une centaine de kilomètres de Paris, tout en continuant à travailler à la RATP.

Dans une préface touchante et émouvante, Christine Tasin parle ainsi de Ghislaine : « Ghislaine, c’est aussi un humour féroce. Elle vous dépeint en trois coups de crayon les toilettes de la RATP régulièrement bouchées par les gobelets en plastique utilisés par les musulmans pour purifier leur sexe, comme l’exigent leurs textes sacrés… Dans son livre, elle raconte une foultitude de choses tout aussi énormes et, quand elle les évoque devant un café ou un bon petit vin, elle a pris le parti d’en rire et de nous faire rire à chaque fois que c’est possible, de peur d’avoir trop à pleurer. C’est que c’est un sacré personnage Ghislaine ! Elle a l’âge de l’islamisation de la France et elle nous la donne à voir, peu à peu, par petites touches, au détour d’une phrase évoquant son enfance dans les Hauts-de-Seine et ses parents, militants communistes dont elle avait embrassé valeurs et engagements. Elle réussit à nous transmettre la nostalgie de cette époque où les ouvriers croyaient aux lendemains qui chantent, où l’on passait des soirées entières à refaire le monde, où l’on s’émerveillait du confort des HLM, de la convivialité entre voisins, du sentiment de sécurité ressenti par les femmes et les enfants… C’était avant, c’était il n’y a pas si longtemps, avant les pneus crevés, avant les voitures brûlées, les insultes aux « Céfrancs », les tournantes dans les caves pour ces « putes de Françaises »… (…)

(…) Puisse Mahomet au volant, la charia au tournant créer un sursaut nécessaire, afin que La Vénus de Milo, le Déjeuner sur l’herbe ou la Joconde ne subissent pas le sort des bouddhas de Bamiyan ou l’Arc de Triomphe de Palmyre.

Le 13 novembre 2015, trois ans après le début de cette aventure, Samy Amimour, qui fut machiniste à la RATP, fera partie des assassins du Bataclan, et se fera exploser. Son épouse, française, lui rendra un hommage d’une rare indécence, appelant, depuis la Syrie à tuer un maximum de Français. Combien de classés S, combien de futurs Amimour dans les milliers de nouveaux salariés recrutés par la RATP depuis dix ans ?

Quand Charlie Hebdo capitule en rase campagne en publiant, un an après les assassinats de ses dessinateurs, une couverture lâche de Riss, tapant « courageusement » sur le dieu des chrétiens, quand ce gouvernement ose proclamer l’Etat d’urgence et nous dire en guerre, sans déclarer le nom de notre ennemi, Ghislaine Dumesnil, elle, dit la vérité.

Cette fille de communiste, qui se dit fière de son pays la France, reste fidèle à Jaurès, qui disait : « Le courage, c’est de chercher la vérité, et de la dire« .

En ce début d’année, il faut acheter, lire et faire connaître ce témoignage-choc d’une femme courageuse qui a refusé de baisser la tête, et s’est battue jusqu’au bout, en osant témoigner d’une réalité que nos politiques connaissent, mais refusent d’admettre, tant elle est accablante pour le bilan de leurs trente dernières années.

Amis lecteurs, pour assurer le succès que mérite ce livre, nous ne pouvons compter que sur nous, et sur vous.

Commander « Mahomet au volant, la charia au tournant », de Ghislaine Dumesnil :

Chèque de 18 euros à l’ordre de Riposte Laïque, BP 32, 27140 Gisors

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mercredi, 06 janvier 2016

L'hystérie médiatique à propos de "Mein kampf"...

250px-FrMeinKampf20050214.jpgDr Bernard Plouvier

La sœur et unique héritière d’Adolf Hitler, Paula, est morte de maladie à Berchtesgaden en 1960. Ceci n’est d’ailleurs d’aucune importance pour le sujet, puisque toutes les publications de la maison d’éditions Eher de Munich (devenues les éditions du NSDAP dès 1920, par rachat à tempérament de cette société, les paiements étant échelonnés jusqu’en 1929) ont été confisquées par l’Occupant US en octobre 1945 et les droits d’auteurs transférés par lui, l’année suivante, au Land de Bavière. 70 ans plus tard, les textes des éditions Eher passent dans le domaine public, soit en 2016.

L’hystérie se déclenche aussitôt. Pour les uns, il faut interdire la réédition du premier livre d’Adolf Hitler (qui avait déjà écrit en 1923 une brochure antijudaïque, publiée sous la forme d’un dialogue entre lui et Dietrich Eckart en 1924… cette brochure, Der Bolchevismus von Moses bis Lenin, est en libre lecture sur le Net depuis des années, sans que cela ait ému quiconque) ; pour d’autres, il faut « combattre » ce livre… comme si depuis 1933, n’existait pas une littérature antinazie pléthorique, au point qu’une vie entière de chercheur ne suffit pas à tout lire de cette très inégale production, qui croît d’année en année, avec des pics éditoriaux généralement couplés à une reprise des revendications pécuniaires de déportés raciaux ou de leurs nombreux ayants-droit.

Or le premier livre d’Adolf Hitler est d’abord et avant tout un document historique, indispensable à l’étudiant en histoire, en sociologie ou en sciences politiques et bien davantage encore au chercheur. Le volume I, dicté par le Führer du NSDAP à Rudolf Hess dans la prison-forteresse de Landsberg en 1924, a été publié en juillet 1925. Le second tome, dicté en 1926 au directeur des Eher-Verlag, Max Amann, camarade de guerre du Führer et grand blessé de guerre, est paru en juillet 1926, les deux tomes étant ensuite édités en un seul volume, diffusé à plus de 10 millions d’exemplaires, en 16 langues, avant 1945.

La traduction française de 1934 fut illégale, financée & diffusée par la LICA (Ligue Internationale Contre l’Antisémitisme) dirigée par Bernard Lecache. Il est amusant de constater qu’en 1934 sq., les plus farouches antinazis voulaient à toute force faire connaître les idées hitlériennes, pour mieux les combattre… au point de braver les lois sur la propriété commerciale et les droits d’auteurs. Le Tribunal de commerce de la Seine, saisi par la société Eher-Verlag, interdit la vente par décision du 18 juin 1934 – la date est symbolique : c’est celle de Waterloo… voire celle d’un autre anniversaire -, mais la LICA poursuivit la diffusion clandestine des 8 000 exemplaires de cette édition pirate, rééditée plusieurs fois après 1945. De nos jours, une foule de littérateurs, qui n’ont probablement jamais lu ce document, veulent à toute force en interdire sa (énième) réédition… peut-être pour augmenter la valeur marchande des exemplaires de bouquinistes.

Personne n’a jamais grogné lorsque furent commercialisés le Second Livre d’Adolf Hitler (surtout consacré à la politique étrangère), écrit en 1928, paru pour la première fois en 1961, les Libres Propos sur la guerre et la paix, édités à partir de 1952 (avec diverses variantes selon l’interprète des notes prises en sténographie) ou les Discours d’avant et d’après l’accès au Pouvoir.

Or cinq minutes de réflexions suffisent à calmer l’hystérie. La situation européenne – et singulièrement l’allemande – est radicalement différente de celle des années 1920-32. En outre, et surtout, il n’existe plus – du moins en nombre suffisant pour créer de réels problèmes et pas seulement la « mousse journalistique » – d’Européens de la trempe des militants politiques exaltés de l’entre-deux-guerres (de quelque bord et nationalité que ce soit). Très peu nombreux sont, de nos jours, les Européens prêts à mourir pour défendre leur patrie et bien moins nombreux encore sont ceux qui accepteraient de mourir pour propager leurs idées.

Laissons les faiseurs de vacarme et les agités donner de la voix et s’indigner. Mais offrons à ceux qui le veulent réellement la possibilité d’obtenir, à un prix raisonnable, un document d’histoire, singulièrement plus lisible que Das Kapital ou que les ultra-soporifiques œuvres de « Lénine »-Oulianov, de « Trotsky »-Bronstein ou de Rosa Luxemburg, qui jamais ne furent interdites de publication… alors même que la barbarie marxiste, en toutes ses applications aussi meurtrières les unes que les autres, a directement provoqué la mort prématurée de 110 à 120 millions d’êtres humains, de 1917 à nos jours, et a gâché irrémédiablement la vie de milliards d’autres.

Nul n’est jamais obligé, en régime démocratique, de lire une œuvre qui paraît en librairie. En revanche, la Démocratie est, par définition, un régime de libre expression de la pensée, de toutes les formes de pensée, même les plus atypiques ou les plus absurdes. Après tout, le Deutéronome, les Livres d’Esdras et de Néhémie sont, entre bien d’autres choses, des manuels de racisme matrimonial et L’Exode, les Livres de Josué, des Rois ou de Samuel sont farcis d’apologies de génocides, crimes jugés imprescriptibles de nos jours par presque tous les Codes de lois… et nul ne songe à les interdire d’impression et de diffusion.  

CHN 8 NSDAP.jpgNDLR : sur le NSDAP, lire le n°8 des Cahiers d'Histoire du nationalisme

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Porto Rico, revu et corrigé par Jean-Claude Rolinat

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Soyons honnêtes. On ne connaît souvent de Porto Rico, en France, que West Side Story, l’œuvre de Leonard Bernstein et Stephen Sondheim. Créée en 1957 à Broadway, elle fut portée à l’écran par Robert Wise et Jerome Robbins en 1961.

On nous dira que c’est un peu court pour appréhender les réalités de cette île des Antilles et de ses petites sœurs, Vieques, Culebra et Isla Mona. Certes. Et c’est là, justement, qu’entre en scène Jean-Claude Rolinat. Avec l’œil de l’entomologiste Fabre, il est le cicerone idéal pour nous faire découvrir l’histoire assez compliquée de Porto Rico (qu’on appelle aussi Puerto Rico). Il ne laisse rien au hasard : ère précolombienne, colonisation espagnole, installation nord-américaine, partis politiques (un vrai panier de crabes), considérations géopolitiques, économie, religion, tourisme, gastronomie. Avec un petit supplément d’âme qui, le livre refermé, vous donnera sans doute l’envie d’aller voir in situ.

Porto Rico, colonie, État libre associé ou, à terme, 51e État des USA ? C’est exactement la question que traite Jean-Claude Rolinat. Il écrit : « Alors Porto Rico, latina ou américaine ? Les deux, mon colonel… Elle est comme la chauve-souris, voyez mes ailes, je suis oiseau, voyez mes pattes, je suis souris… Elle est d’une couleur spécifique dans l’univers américain. Pas du tout anglo-saxonne, mais pas complètement non plus afro-caraïbe comme la Jamaïque, Trinidad et Tobago, la Barbade. Elle est un cocktail d’un peu tout ça à la fois ».

Porto Rico 51e étoile ou dernière colonie américaine ? Jean-Claude Rolinat, Atelier Fol'fer, 2016, 150 pages, 16 € (+ 4,50 € de port) cliquez ici

NDLR : autres livres de Jean-Claude Rolinat cliquez là

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lundi, 04 janvier 2016

Ce lundi soir, sur TV Libertés, Emmanuel Albach est l'invité de Martial Bild au sujet du livre "Beyrouth 1976, des Français aux côtés des Phalangistes"

Le journal de TV Libertés de lundi soir :

BQ SN 2015 Liban.jpgPour acheter le livre en ligne cliquez ici

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Médias Presse Info consacre un article très élogieux au "Petit abécédaire d'un Français incorrect" de Charles-Henri d'Elloy

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Les auditeurs de Radio Courtoisie connaissent bien Charles-Henri d’Elloy. chroniqueur maniant avec dextérité l’humour politiquement incorrect et jouant avec les mots en fin connaisseur de la langue française.

Ce Petit abécédaire d’un Français incorrect est une version complétée, actualisée et enrichie de l’édition de 2007. Parce que bien parler n’est pas qu’une élégance désuète mais aussi une défense contre la manipulation des mots, Charles-Henri d’Elloy dresse un recueil de quelques impostures du langage moderne. Effets de mode, grégarisme, ignorance, propagande et tromperie délibérée fournissent à nos contemporains un charabia pour langue de bois que l’auteur décortique avec une ironie bien sentie.

Les lecteurs se régaleront des commentaires de Charles-Henri d’Elloy à propos de l’art contemporain, du mot black, du devoir de mémoire, de la discrimination positive, de la famille recomposée, de la féministe, des gens du voyage, des heures les plus sombres de notre Histoire, de la mixité sociale, des sans-papiers et de bien d’autres expressions dont notre polémiste démonte les dérives sémantiques et les pitreries des bien-pensants conditionnés par le politiquement correct ambiant.

Petit abécédaire d’un Français incorrect… et quelques joyeuses impertinences !, Charles-Henri d’Elloy, éditions Synthèse Nationale, 113 pages, 18 euros

A commander en ligne sur le site de l’éditeur

Source Médias Presse info cliquez ici

NDLR : rappelons que Charles-Heni d'Elloy dédicacera son livre samedi 23 janvier, de 15 h à 18 h, à la librairie Duquesne diffusion (27, avenue Duquesne Paris VIIe) cliquez ici

15:12 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 19 décembre 2015

Aujourd'hui, samedi 19 décembre, Emmanuel Albach dédicace "Beyrouth 1976" à la Librairie Facta

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Médias Presse Info revient sur la biographie que Jean-Claude Rolinat a consacrée à Salazar

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Source cliquez ici

Antonio de Oliveira Salazar (1889-1970), à la tête du Portugal de 1926 à 1968, est un modèle de chef politique intègre et soucieux du bien commun.

Profondément catholique, Salazar a conduit le pays avec cette conscience de la primauté du spirituel. Ce qui ne l’empêcha pas d’assainir les finances de l’Etat portugais en instituant un système corporatif qui fit ses preuves. Mais Salazar a protégé tant qu’il a pu son pays et son peuple de cette mentalité matérialiste qui a envenimé l’Europe de l’Ouest.

« Et si, grâce à un travail encore plus intense, à un dévouement encore plus profond, à un sacrifice encore plus généreux, il est possible de rendre le Portugal plus digne, plus riche et plus aimé, et plus facile et plus heureuse la vie de tous les Portugais, si malgré cela nous n’avons ni converti ni désarmé un seul des ennemis de cette œuvre de salut national, au moins aurons-nous pris sur eux la plus belle vengeance, à la manière chrétienne. « , écrivit Salazar.

Son exceptionnelle probité et son humilité naturelle le distinguent radicalement des politiciens que nous connaissons. Ainsi, illustration parmi d’autres de cette probité, Salazar président du Conseil portugais réglait-il à l’Etat le loyer de sa résidence d’été ! Nous sommes loin de la mentalité régnant à l’Elysée…

Salazar le regretté, Jean-Claude Rolinat, éditions Synthèse Nationale, 2012, 164 pages, 18 euros

A commander en ligne sur le site de l’éditeur

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jeudi, 17 décembre 2015

Avant les Fêtes de Noël et de la St Sylvestre : pensez à acheter les Bouquins de Synthèse nationale pour les offrir à vos amis !

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Les Bouquins de Synthèse nationale cliquez ici

Le catalogue hiver 2015 de Synthèse nationale cliquez là

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Samedi prochain, à Saint Cloud (92), Roger Holeindre dédicacera son livre

Holeindre-CNC-Var.jpgLe SAMEDI 19 DECEMBRE 2015

de 10h00 à 16h00

à la Brasserie LE MAGENTA

(1, place Magenta 92210 SAINT-CLOUD)

VENEZ RENCONTRER ROGER HOLENDER

il dédicacera son nouveau livre cliquez ici

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mercredi, 09 décembre 2015

Sur Breizh-Info : un grand entretien avec Emmanuel Albach, auteur de "Beyrouth 1976, des Français aux côtés des Phalangistes"

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Emmanuel Albach à Beyrouth en 1976 - NDLR

Breizh-info.com (cliquez ici) – Les éditions Synthèse nationale viennent de publier un livre témoignage passionnant intitulé Beyrouth 1976 – des Français aux cotés des Phalangistes.

Emmanuel Albach est le président de l’Amicale des Anciens Volontaires Français du Liban. Il a combattu au Liban de janvier à juillet 1976 et a fait ensuite une carrière de journaliste. C’est à son retour de Beyrouth, il y a quarante ans, qu’il a rédigé ce livre. Alors que les chrétiens d’Orient sont victimes d’une nouvelle tentative d’élimination, il lui semble temps de le publier.

Ce livre est la mémoire de cette poignée de jeunes Français partis au secours des chrétiens du Liban, aux pires heures de la menace, au risque de leur propre existence. Ni mercenaires ni soldats d’une armée régulière, ces volontaires français, essentiellement des étudiants, ont rejoint les Phalanges chrétiennes du Liban, alors dirigées par Béchir Gemayel, pour d’éprouvants combats de rue d’une guerre de positions à Beyrouth contre les diverses milices musulmanes.

L’auteur, que nous avons interrogé ci-dessous, est aujourd’hui journaliste et consultant pour différentes entreprises et, à ce titre, se déplace régulièrement dans le monde arabe et en Extrême Orient.

Breizh-info.com : Qu’est ce qui pousse un jeune français à partir se battre dans les années 70 aux côtés des phalanges chrétiennes contre les milices islamistes ?

Emmanuel Albach : La révolte et la honte. La révolte de voir  la France abandonner soudain à son sort la communauté chréteinne du Liban que, depuis des siècles, la Nation avait pris sous sa protection, sans discontinuité. Le refus de vivre dans la honte de cette complicité de non-assistance à ami en danger. La conviction que l’Histoire est dans les mains de chacun. Il ne faut pas attendre toujours que l’Etat agisse. Parfois, souvent dans les dernières décennies, il a été lâche et parjure. Nous ne voulions simplement pas que les historiens puissent écrire un jour qu’aucun Français n’était venu combattre aux côtés des phalangistes. Même si nous ne devions être que deux…

Breizh-info.com : Si vous deviez, en quelques lignes, raconter votre expérience, vos sentiments sur cette époque, quels seraient-t-ils ?

Emmanuel Albach :  J’avais très peur car j’avais le vif sentiment (voir ci-dessous) de ne pas savoir bien faire ce que j’avais à faire, en partie parce que je ne connaissais pas les lieux qui devenaient du coup effrayants dans l’obscurité (nous combattions surtout de nuit). Même si je me retrouvais soudain incroyablement  calme au moment où cela commençait à chauffer. En fait, le tumulte de la bataille, le fracas des explosions, les balles que je tirais, tout cela me convenait fort bien. Et puis, très vite, je n’ai plus eu peur de mourir. Ma vie valait-elle plus que celle de mes camarades libanais déjà morts au combat ? Je me suis en quelque sorte, remis entre les mains de Dieu. Je suis venu au Liban sans motivation religieuse, mais l’exemple de la foi de mes camarades libanais m’a subjugué. Etre chrétien comme eux, oui cela me plaisait. Je me suis trouvé une âme de croisé.

Un grand regret quand même : ne pas avoir eu d’expérience militaire (la formation de nos régiments d’élite est excellente) avant mon départ pour le Liban, afin d’apporter aux phalangistes une aide plus utile. Je n’avais pas appris les bons réflexes, je n’étais pas formé pour l’offensive. Les autres, en face, étaient très nombreux, mais très mauvais. Avec un peu plus de métier, on aurait pu les éclater !

Breizh-info.com : Aujourd’hui, quelle est la situation au Liban ? Avez-vous combattu « pour rien » au regard de la progression islamiste sur tout ce territoire.

Emmanuel Albach :  Nous n’avons pas combattu pour rien. Les chrétiens du Liban ont gagné. Ils n’ont pas été chassés, or tel était le dessein de leur ennemi. J’ai par ailleurs compris récemment que nous avions été très utiles. En 1976, comme le monde entier laissait tomber les chrétiens du Liban, les phalangistes et les autres (ne pas oublier le Parti National Libéral ;  les gardiens du Cèdre – qui se proclamaient non pas Arabes mais Phéniciens – ; le Tanzim – qui a fourni bien des cadres aux milices chrétiennes et étaient généralement des gens d’un très bon niveau), le recrutement auprès des jeunes chrétiens était difficile, tant le sentiment d’abandon et le découragement étaient général. Notre présence permettait à Bachir Gemayel de dire à tous : « Regardez ! Des jeunes Français sont là pour se battre, pour défendre vos quartiers, vos familles, et vous hésitez à prendre les armes ? »

Quant à la situation actuelle elle est simple : les chrétiens du Liban sentent monter la menace. Réussiront-ils à éviter au Liban ce qui est arrivé à la Syrie ? Peut-être… Mais ils sont, comme ils l’ont toujours été, prêts à se battre et bien armés, en tout cas, individuellement. Et il se trouve encore des gars de grande valeur pour emmener au combat leurs contemporains. Le réservoir en volontaires cette fois, est considérable. des millions de chrétiens libanais vivent à l’étranger. Et des dizaines de milliers sont prêts à se battre. Les Chrétiens du Liban ne sont pas des Syriens ou des Egyptiens. Ils n’ont pas des âmes de dimmi. Ils ont l’habitude de se battre, ils le font bien et leurs adversaires ont toutes les raisons de les craindre, ils ne font pas plus de quartier qu’eux-mêmes.

L’histoire de la cohabitation des chrétiens et des musulmans, au Liban, c’est mille ans de bataille pour la survie ! Il n’y a d’ailleurs pas d’exemple de cohabitation pacifique et libre entre les deux religions (sauf dans le pseudo « âge d’or » de l’Espagne mauresque, mais c’est une fiction historique, un roman écrit pour rendre service à qui l’on sait). Ceux qui proclament que la France, elle, va établir durablement, grâce à sa « laïcité », ce qui n’a jamais été réussi nulle part, sont des gens qui n’ont rien appris de l’histoire et mènent la France à la guerre intérieure. Très forts ! Ils auront recréé les guerres de religion en France et sont en train de faire renaître l’esprit de croisade. De la part de gens qui jurent en être les pires annemis, ce serait vraiement risible si tout cela n’était pas si grave. Ils sont si bêtes, que voulez-vous !

Breizh-info.com : Comprenez-vous ces « français » de papier ou convertis, qui partent rejoindre les colonnes infernales de l’Etat Islamique ? N’y a-t-il pas là un problème lié à un vide spirituel qui traverse la civilisation européenne ? Qu’avons nous aujourd’hui à proposer à notre jeunesse en terme d’aventures et de luttes ?

Emmanuel Albach :  Je comprends parfaitement leur démarche. Ceux qui les enseignent leur disent la vérité quant à leurs devoirs de… musulmans. C’est d’ailleurs du dernier ridicule de voir nos hommes politiques  proclamer que « l’islam, ce n’est pas çà ! »

De la part de gens qui n’ont jamais étudié le Coran, c’est du plus haut comique. On peut reprocher tout ce que l’on veut aux djihadistes, mais pas leur dire qu’ils ne connaissent pas le Coran. Ils le connaissent par coeur ! Ils ne connaissent même que cela ! François Hollande explique à Abou Bakr El Baghdadi  ce qu’il faut comprendre du Coran… Ils sont aussi prétentieux que bêtes, en fait.

Par ailleurs, le rattachement à un Etat-nation est un concept étranger à l’islam qui ne connaît que la Oumma, même si sont nés des administrations diverses des découpages territoriaux (en mettant à l’écart quelques Etats comme le Maroc) qui ont donné naissance aux Etats « modernes » dont les frontières se révèlent pour le moins indécises. Selon le Coran, le musulman peut vivre provisoirement sous la tutelle d’un pouvoir « impie » mais avec le devoir imprescriptible de se dresser contre lui aussitôt qu’il peut l’emporter et imposer sa foi, ou qu’il doit défendre ses frères dans l’islam (d’ici et d’ailleurs), et le frapper, – ce pouvoir auquel il taisait par nécessité sa détestation – sans état d’âme.

A notre jeunesse, si l’on rendait déjà l’histoire de leur nation et la fierté de leurs ancêtres – il faut sortir du complexe de 1940, la France a connu des moments durs, des invasions, c’est une parmi bien d’autres – on ferait beaucoup pour donner un sens à leur vie. Ils sont les maillons d’une superbe chaîne où sans cesse les héros donnent la main aux bâtisseurs. Il faut les donner en exemple, les remonter sur leur pièdestal et remettre à leur place – ce qui ne veut pas dire qu’il faut en nier le rôle – tous les petits des business divers, ou du show-business. Que les jeunes s’inspirent de vrais maîtres ! Et la foi, elle est inscrite dans notre histoire aussi. L’Europe est chrétienne. 95% des inventions qui font aujourd’hui la civilisation moderne en sont issues. Sa foi a été son ciment, sa force. Quand elle la renie, elle programme son autodestruction. On peut dire cela, en reconnaître l’évidente vérité, sans être pour autant un bigot. Cela s’appelle le génie du christianisme. C’est une réalité historique indiscutable.

L’Europe a pour fonction de rayonner. C’est bête à dire, mais nous avons toujours une mission civilisatrice. Elle est dans nos gènes et le monde en a besoin. Ce sont autant de luttes qui nous attendent. Mais pas pour servir des despotes irresponsables. Pour leur imposer le respect de leurs propres peuples.

Breizh-info.com : Comment voyez-vous l’avenir du monde arabe ? Et celui de l’Europe ?

Emmanuel Albach :  Plus l’Islam inspire le Moyen-Orient, plus vite celui-ci va au chaos et plus il produit d’émigration. Le problème de fond, je dirais de base, est que l’Islam génère immanquablemnt l’échec économique. Certes, les Iraniens ayant gardé certaines vertus des Perses sont capables de vrais succès, même s’ils en ont aussi les défauts (voir Hérodote). Et pourtant les Arabes n’ont pas que des défauts – même les gens du Golfe seraient attachants s’ils ne nous méprisaient pas autant.

Le Coran enseigne que tous les biens du monde appartiennent aux musulmans, même s’ils n’en ont pas encore la jouissance car d’autres... (chrétiens, etc…) les contrôlent encore « momentannément ». Pourquoi travailler quand on est potentiellement si riches ? Pourquoi se gêner pour réclamer puisqu’on ne demande en fait que la restitution de son bien ? Pourquoi plaindre les Européens victimes du terrorisme puisque ces obscènes accapareurs ne font que recevoir la punition qu’ils méritent ? En outre, le Coran contient toutes les verités universelles, passées, présentes et à venir. Si l’on est pieux, pourquoi étudier autre chose ? Comment ne pas rejeter par principe l’étude des autres cultures, civilisations, religions ? La prétention, la conviction d’avoir raison de manière indiscutable – au sens propre du terme – habite les plupart des musulmans. Ils nous disent « eslem ! » Convertis-toi ! Car cela leur semble un évidence. Nous sommes pour eux des retardataires qui n’ont rien compris. Moins ils ont de connaissances, plus ils sont sûrs de tout savoir.

Le repliement sur soi, dont on accuse les Européens qui veulent se défendre, n’est pas leur fait ! Il est chez leurs adversaires musulmans qui ne veulent rien connaître, ni entendre ! Rajouter là-dessus le « cadeau du ciel » que constitue le pétrole et qui leur donne les moyens d’une guerre contre nous qu’ils ont l’impression de gagner en mitraillant des gens au Bataclan. Depuis les défaites de l’Empire ottoman, ce sont leurs premières victoires ! Ils y prennent goût.

Diapositive1.jpgBeyrouth 1976 Des Français aux côtés des Phalangistes, publié par Les Bouquins de Synthèse nationale, 250 pages, un cahier photos, 22 € (+ 3€ de port, chèque à l'ordre de Synthèse nationale).

En vente à : Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris (correspondance uniquement) ou sur le site synthese-editions.com

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lundi, 07 décembre 2015

Avant les Fêtes de Noël et de la St Sylvestre : Roger Holeindre dédicacera son livre “ÇA SUFFIT !“

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Communiqué du Cercle national des combattants :

A la demande de nombreux amis, Roger HOLEINDRE signera plusieurs de ses livres, dont le dernier ÇA SUFFIT !

1 – Le SAMEDI 12 DECEMBRE 2015 de 16h00 à 20h00

Restaurant VILLA SOPHIA (53, rue de Chaillot 75016 PARIS)

2 – Le SAMEDI 19 DECEMBRE 2015 de 10h00 à 16h00

à la Brasserie LE MAGENTA (1, place Magenta 92210 SAINT-CLOUD)

Dans les deux cas, le restaurant sera ouvert et les amis pourront, soit dîner… soit déjeuner.

BONNES FÊTES A TOUS !

Le livre de Roger Holeindre cliquez ici

NDLR : Roger Holeindre était à la 9e Journée de Synthèse nationale le 11 octobre dernier.

17:19 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi prochain, 13 décembre, près de Nantes :

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jeudi, 03 décembre 2015

"BEYROUTH 1976 DES FRANCAIS AUX COTES DES PHALANGISTES" en vente à Paris

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Beyrouth 1976 Des Français aux côtés des Phalangiste, édité par Les Bouquins de Synthèse nationale, est en vente à Paris à :

Facta, 4, rue de Clichy 75009 Paris

Duquesne Diffusion, 27, avenue Duquesne 75007 Paris

Notre Dame de France, 33, rue Galande 75005 Paris

La Librairie française, 5,  rue Auguste Bartholdi 75015 Paris

Vous pouvez aussi le commander en ligne cliquez ici ou par correspondance cliquez là

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mercredi, 02 décembre 2015

A l'initiative de Via Romana, une nouvelle édition du "Blanc Soleil des vaincus" de Dominique Venner

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Dans l’aube dorée du 12 avril 1861 éclate le premier obus de la guerre de Sécession. De part et d’autre, on croit à une guerre courte, fraîche et joyeuse. Ce conflit durera quatre ans. Ce sera le plus sanglant de toute l’histoire américaine. Les pertes seront supérieures d’un tiers à celles des Américains durant la Seconde Guerre mondiale, 618.000 contre 417.000, pour une population sept fois moins nombreuse.

En 1861, les États-Unis ne forment pas une seule nation, mais deux qui sont parfaitement distinctes, le Sud et le Nord. Tout les oppose : le peuplement, les traditions, la civilisation, le climat, l’économie. L’histoire que conte Dominique Venner est celle de la naissance de la nation sudiste, puis de sa résistance à l’agression du Nord industriel, et enfin celle de son meurtre délibéré.

C’est l’histoire vraie d’Autant en emporte le vent. On y retrouve les blanches plantations assoupies dans leur écrin de magnolias, les champs de coton et la douceur de vivre, les gentlemen raffinés et les jeunes filles en crinoline. On assiste au calvaire du Sud, Gettysburg, Atlanta, Appomattox. La résolution de Jefferson Davis, le génie militaire du général Lee, la fougue de Stonewall Jackson ou de Beauregard, l’audace des forceurs de blocus, la témérité des raids de cavalerie, l’héroïsme des femmes sudistes ne pourront rien contre la supériorité écrasante du Nord et sa volonté de conquête.

Le Sud, moins peuplé que la Suisse d’aujourd’hui, succombera sous le nombre, mais son rêve assassiné continue de vivre dans le cœur des hommes généreux.

Le Blanc Soleil des vaincus, Dominique Venner, Editions Via Romana, 362 pages, 24 €, sortie le 10 décembre cliquez ici

NDLR

SN 205 Cerc CN 1.jpgPour mieux connaître la vie et les idées de Dominique Venner, lisez le livre "Dominique Venner Soldat politique" de Basile Cérialis édité il y a un an cliquez là

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mercredi, 25 novembre 2015

BEYROUTH 1976, des Français aux côtés des Phalangistes...

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Sortie en fin de semaine cliquez ici

Au milieu des années 70 une guerre terrible éclata au Liban. Celle-ci opposait les diverses milices musulmanes aux Phalanges chrétiennes alors dirigées par Béchir Gemayel. Elle ensanglantera le pays du Cèdre pendant de nombreuses années.

A Paris, un groupe d'étudiants est scandalisé par la lâcheté du gouvernement giscardien qui refuse d'intervenir pour soutenir les chrétiens menacés. Ils décident de sauver l'honneur de la France et partent se battre, les armes à la main, à Beyrouth. L'un d'entre eux, Stéphane Zanettacci n'en reviendra jamais.

Emmanuel Albach fut l'un des deux premiers Français à se rendre sur les champs de batailles libanais. Il nous raconte son histoire et nous explique le sens de son engagement.

L'auteur :

Emmanuel Albach a combattu au Liban de janvier à juillet 1976. Il a ensuite étudié l’arabe aux Langues’O avant de faire une carrière de journaliste (le Figaro, AFP, An Nahar arabe et international). Il a publié cinq essais et enquêtes.

Il a rédigé ce témoignage personnel dès son retour de Beyrouth. 40 ans après, alors que les chrétiens d'Orient sont victimes d'une nouvelle tentative d'élimination, il lui a semblé temps de le publier.

Emmanuel Albach est le président de l’AAVFL (Amicales des Anciens Volontaires Français au Liban). Il a reçu du parti Kataëb la Médaille du Combattant pour « acte de bravoure ».

Beyrouth 1976 Des Français aux côtés des Phalangistes, Emmanuel Albach, Les Bouquins de Synthèse nationale, 250 pages, cahier photo, 22 €

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RAPPEL : dimanche 29 novembre, "Lire sous les sapins" organisé par Anne Brassié...

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Charles-Henri d'Elloy dédicacera ses livres

dont le fameux Abécédaire d'un Français incorrect

publié cette année par Les Bouquins de Synthèse nationale

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lundi, 23 novembre 2015

Avez-vous lu « Ça calme ! », les meilleurs dessins d’Aramis ?

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samedi, 21 novembre 2015

Visionnaire : Il y a 120 ans, le colonel Driant annonçait l'invasion de l'Europe par les Djihadistes !

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Politique-fiction, mais aussi science-fiction, l’œuvre qu’Émile Driant a produite à la fin du XIXe et au début du XXe siècle sous son pseudonyme de Capitaine Danrit envisage les conflits qui pourraient embraser la France dans un futur proche et, anticipant les avancées technologiques, tente de représenter au plus juste les combats à venir. Au moment de la rédaction, en 1894, de l’Invasion noire, Danrit se projette vingt ans en avant et imagine donc les armes qui seront celles du début de la Première Guerre mondiale. Certaines de ses inventions ne verront pas le jour, comme le fusil à gaz ou le « ballon d’acier » à l’allure de soucoupe volante qui joue un rôle si important dans l’intrigue du roman, mais d’autres trouvailles de Danrit seront en revanche promises à un bel avenir : le « téléphonographe à miroir télescopique », par exemple, qui annonce – à la fin du XIXe siècle –  la visio-conférence par internet… Moins anecdotique dans le récit, la guerre bactériologique – mise en œuvre par les djihadistes pour faire sauter le verrou de Constantinople qui leur barre la route des Balkans – reste encore aujourd’hui un motif d’inquiétude pour les responsables de la sécurité des pays occidentaux… Quant aux gaz de combat qui mettront le point final aux trois ans de promenade militaire musulmane, la fureur onusienne se déchaînant de nos jours contre les États accusés (à tort, en général) d’en détenir en dit long sur le traumatisme laissé dans les mémoires par leur utilisation au cours de la Grande guerre.
 
Les ambitions hégémoniques d’un Islam conquérant appuyé sur les masses africaines sont décrites dans le roman à travers les aventures de deux officiers coloniaux français, le capitaine Léon de Melval et le lieutenant Zahner (c’est l’époque où la France pleure son Alsace perdue) qui, assistant au massacre des garnisons européennes en Afrique, sont épargnés en tant que camarades de promotion à Saint-Cyr d’Omar, le fils du Guide spirituel et militaire des Afros-musulmans, le terrible sultan Abd-ul-M’hamed. Les valeurs enseignées à l’École et les anecdotes de la vie de ses élèves – dont Danrit a fait partie avant d’être instructeur – tiennent une place important dans l’intrigue de l’Invasion noire comme dans les autres livres de son auteur. Prisonniers sur parole, les deux officiers français sont obligés d’assister à l’unification de l’Afrique derrière la bannière verte du Sultan et ne pourront reprendre leur liberté et rejoindre leur patrie pour en organiser la défense qu’après la prise de Constantinople par les djihadistes.
 
Leur cohabitation involontaire avec le sultan permet à Danrit de nous livrer de savoureux dialogues dans lesquels le point de vue musulman sur la colonisation et la contre-colonisation qu’elle porte en germe préfigurent d’une manière troublante les discours qui seront ceux des Fronts de libération de l’après-Seconde Guerre mondiale. Le génie politique de Danrit est total : est également annoncée, outre ces revendications politiques indigènes que personne n’envisageait à la fin du XIXe siècle, l’entreprise sioniste sur la Palestine (vingt ans avant la Déclaration Balfour !)… Ici et là, le récit est saupoudré de brillantes prémonitions particulièrement émoustillantes aujourd’hui : si l’on n’est pas surpris que le traître (il en faut un dans toutes les bonnes histoires) soit un officier juif puisque l’Invasion noire est rédigée en pleine affaire Dreyfus, on ne peut manquer de s’amuser du fait que Danrit ait choisi de nommer Quarteron le général commandant les forces françaises en Afrique du nord… C’est lui qui succombera au milieu de ses troupes après leur avoir fait adopter la pourtant réputée formation « en tête de porc » qu’aurait inventée Bugeaud pour la pacification des contrées musulmanes !
 
Le plus stupéfiant reste sans doute que Danrit nous annonce que, face à la menace, la France doit se défaire de son système parlementaire paralysant et se placer sous la dictature éclairée d’un Maréchal, issu de la famille de Jeanne d’Arc, qui plus est ! Si les sionistes et les Anglais restent les grands repoussoirs de cette histoire, les journalistes ne sont pas épargnés non plus… L’Invasion noire est un roman finalement beaucoup plus politique que militaire !

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 Le ballon métallique qui est au centre de l’ intrigue de l’Invasion noire est revêtu de plaques d’aluminium disposées en écailles rappelant le blindage d’acier qui harnachait les bateaux de guerre en bois du XIXe siècle. En 1894, au moment de la rédaction de ce roman, l’aluminium est un matériau d’invention récente à la fabrication complexe dont le prix avoisine celui de l’or mais Driant, visionnaire, avait compris que tous les engins volants en seraient un jour constitués.

Ce métal s’imposait donc pour la fabrication du coffret accueillant les 1600 pages palpitantes des quatre volumes  de cette réédition de prestige de l’Invasion noire.
 
Le coffret est constitué de six pièces d’aluminium fixées les unes aux autres par des rivets, rappelant les assemblages métalliques contemporains de la parution du roman, comme la célèbre Tour Eiffel… Les couvertures des quatre volumes sont imprimées avec une encre métallique en plus des encres classiques de la quadrichromie pour rendre hommage aux somptueux cartonnages de la fin du XIXe siècle qui font, aujourd’hui encore, la joie des bibliophiles.
 
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vendredi, 20 novembre 2015

Le nouveau numéro de Salut public, la revue de Serge Ayoub, est sorti...

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 Novembre 2015, 70 pages, 12 €

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jeudi, 19 novembre 2015

Un entretien avec Jean-Loup Izambert sur TV Libertés

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Le nouveau livre de Jean-Loup Izambert cliquer ici

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vendredi, 13 novembre 2015

Savez-vous que vous pouvez commander les Bouquins de Synthèse nationale en ligne ?

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jeudi, 12 novembre 2015

Dimanche 15 novembre : salon du livre de l'AGRIF

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Nos amis Charles-Henri d'Elloy et Jean-Claude Rolinat

seront présents. Ils dédicaceront leurs livres.

Programme de la journée : cliquez ici

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mardi, 10 novembre 2015

Le Marquis nous livre son Libre Journal

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Le lecteur sera diverti par ce pense-bête des choses faites et à faire de l’agenda 2013-2015 du « divin Marquis », comme aimait à l’appeler son ami Serge de Beketch.

Notre gavroche mondain croque en ce libre journal des comédies humaines typiquement citadines et sa plume revisite trois années de bonnes chères, de sorties théâtre ou cinéma, de concerts ou dédicaces, de voyages, réceptions et invitations.

Jours d’autrefois, jours d’aujourd’hui, jours de demain, envisagés sans méchanceté mais avec une gouaille inimitable de paladin montmartrois fidèle à Dieu, fidèle au Roi.

Mon Libre Journal, Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, Via Romana, 2015, 254 pages, 25 €

Lire dans Rivarol de jeudi prochain l'article que Robert Spieler consacre à ce sympathique ouvrage...

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dimanche, 08 novembre 2015

AVOIR EU RAISON SI TOT...

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LE LIVRE "ORDRE NOUVEAU" :

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samedi, 07 novembre 2015

Un entretien entre Franck Abed et Georges Feltin-Tracol sur Maurice Bardèche

Bardèche réédition.jpgRoland Hélie, directeur de Synthèse Nationale, avait eu l’amabilité de m’adresser le livre intitulé Bardèche et l’Europe de Georges Feltin-Tracol, publié en 2013. Pour différentes raisons, je ne l’avais pas encore lu et étudié. C’est chose faite maintenant.

Je dois dire que la pensée de Bardèche, en tant que catholique et royaliste, m’est assez éloignée. Pourtant, cela ne m’empêcha point de lire et de grandement apprécier l’excellent Sparte et les Sudistes. En tant que défenseur de l’héritage capétien, partisan de la monarchie universelle et admirateur de l’Europe Impériale, toutes les questions doctrinales et intellectuelles sur l’Europe m’attirent et m’intéressent grandement. Une fois le livre lu, je voulais en savoir plus. J’ai donc demandé à mon ami Roland de me mettre en relation avec l’auteur. Quelques jours après, je recevais un appel téléphonique de Georges Feltin-Tracol. Une longue et sympathique discussion s’en suivit au cours de laquelle nous abordions à battons rompus, Bardèche, l’Europe, l’Empire, le solidarisme, la théocratie, la « droite » en France et les raisons de son échec, les monarchies etc. Ne voulant pas en rester là, je proposais à mon interlocuteur de poursuivre notre échange. Voilà la raison de cet entretien...

Franck ABED

Franck Abed : Maurice Bardèche le jacobin, l’admirateur de la Grande Révolution et des soldats de 1793, a toujours défendu l’idée européenne. N’est-ce pas contradictoire ?

Georges Feltin-Tracol : Avant de répondre à cette question, il faut prévenir le lecteur que Maurice Bardèche est d’abord connu pour avoir défendu toute sa vie son meilleur ami et beau-frère Robert Brasillach dont l’exécution, le 6 février 1945, le traumatisa et transforma un paisible universitaire spécialiste de la littérature française du XIXe siècle en un ardent polémiste et farouche contempteur de l’ordre du monde surgi à la fin de la Seconde Guerre mondiale.

L’idée européenne chez Maurice Bardèche est surtout développée dans sa conférence, « L’Europe entre Washington et Moscou » (disponible dans « Maurice Bardèche l’insoumis 1998 - 2013 », dans les Cahiers des Amis de Robert Brasillach, n° 51 - 52), à Anvers en avril 1951, dans L’œuf de Christophe Colomb (1952) et, plus succinctement, dans Les temps modernes (1956), et le fameux Sparte et les Sudistes (1969). Il faut se souvenir qu’en pleine Guerre froide, le succès notable de la CECA (Communauté européenne du charbon et de l’acier) en 1951 incite les responsables européistes à envisager deux autres communautés européennes complémentaires, la première pour la défense — sous-entendue contre l’URSS — : la CED (Communauté européenne de défense) et la seconde, politique, la CEP (Communauté européenne politique). Le violent débat sur la CED porte sur le caractère supranational de l’armée européenne, son degré d’intégration de cette armée dans l’OTAN, créée en 1950, et la remilitarisation de l’Allemagne occidentale.

La CED divise toute la classe politique, hormis le PCF et le RPF gaulliste qui lui sont hostiles. Par ses interventions fréquentes, Maurice Bardèche entend contribuer aux discussions publiques en soutenant le projet. Parallèlement, Rivarol se montre lui aussi favorable à ce projet, au contraire de Jeune Nation.

Quand on retrace la généalogie contemporaine de l’idée européenne, on relève l’absence de contradictions avec l’héritage révolutionnaire française dans lequel a grandi le jeune Bardèche. Dans l’opposition jusqu’en 1875, les républicains français sont bellicistes, expansionnistes, nationalitaires, c’est-à-dire favorables à une Europe des nationalités libres qui exista un temps lors du « Printemps des peuples » de 1848. Nonobstant son (néo)fascisme assumé, Maurice Bardèche s’inscrit dans cette tradition politique. Le paradoxe n’est d’ailleurs qu’apparent puisque l’historien italien Renzo de Felice a bien démontré que les principales racines idéologiques du fascisme provenaient du nationalitarisme mazzinien. En admirateur de Metternich et de la Sainte-Alliance, Julius Evola le reconnaissait volontiers.

Pourriez-vous préciser ses grandes inclinations intellectuelles sur l’Europe ?

Maurice Bardèche ne fait pas œuvre d’historien. Il puise dans l’histoire des exemples marquants. Quand il rédige L’œuf de Christophe Colomb, il a en tête deux visions d’Europe inachevées ou avortées : l’Europe de la Grande Nation de Napoléon Ier et celle des volontaires européens sur le front de l’Est de 1941 à 1945, la première étant plus prégnante dans son esprit que la seconde.

En 1993, dans ses Souvenirs, des mémoires qui s’arrêtent volontairement à 1958, Maurice Bardèche revient sur son européisme et, dépité par la construction technocratique et marchande de l’Union pseudo-européenne, exprime toute son admiration pour les thèses de Thatcher sur une simple organisation intergouvernementale. En creux s’affirme l’acceptation d’une « France seule » chère à Charles Maurras, constat d’une immense déception et d’une occasion manquée.

L’idée européenne promue par Bardèche est-elle encore défendue par des acteurs politiques contemporains ? Si oui lesquels ? Si non, pourquoi ?

Quand on lit avec attention les positions de Maurice Bardèche sur l’Europe, on remarque tout de suite qu’il n’imagine pas un super-État continental centralisé. Mieux que l’économie (Jean Monnet) ou la culture (Denis de Rougemont), il a compris que les meilleurs facteurs d’une réelle cohésion européenne passeraient par la diplomatie et la défense.

« Babar » comme le surnommaient affectueusement les rédacteurs de sa revue, la très mal-nommée Défense de l’Occident, n’est pas un théoricien, ni un constitutionnaliste et encore moins un juriste de profession ; il se veut pragmatique. Il conçoit ainsi une Confédération européenne des États nationaux qui ne concentrerait que quelques attributs, mais des attributs

régaliens primordiaux : le domaine militaire et les relations internationales. Cette idée de confédération limitée à ses seules fonctions n’est pour l’heure défendue par personne. Dans les années 1980, l’ancien ministre Michel Jobert exposait cette vision dans le cadre de son Mouvement des démocrates (cf. Vive l’Europe libre ! Réflexions sur l’Europe, Ramsay, 1984). Dans la même période, le solidariste et nationaliste-révolutionnaire Jean-Gilles Malliarakis proposait lui aussi dans Ni trusts, ni soviets (Éditions du Trident, 1985) une semblable solution. Plus récemment, mon vieux camarade Rodolphe Badinand, co-fondateur d’Europe Maxima, exigeait dans Requiem pour la Contre-Révolution (Alexipharmaque, 2008) un noyau confédéral en lieu et place de l’Union soi-disant européenne.

Aujourd’hui, l’idée européenne chère à Maurice Bardèche est en sommeil, oubliée et/ou ignorée des minables politicards. Mais le choc du réel provoquera son surgissement tôt ou tard !

Dans votre livre, une expression de Maurice Bardèche m’a frappé, à la fois par sa pertinence, sa rigueur et sa permanence. Il s’agit de « l’Europe cuirassée ». Pourriez-vous l’expliquer et l’approfondir en quelques mots ?

Par la métaphore de l’« Europe cuirassée », Maurice Bardèche veut donner un sens politique à l’Europe qu’il esquisse. En 1951, celle-ci, divisée et amoindrie par deux conflits mondiaux consécutifs et récents, se retrouve en proie à trois menaces considérables : le réveil des peuples de couleur (la décolonisation commence), la menace soviétique qui n’est alors qu’à « deux étapes du tour de France » de Paris et l’occupation étatsunienne. Maurice Bardèche aurait souhaité assister à l’émancipation des Européens. Il aurait aimé que l’Europe nationale proclame sa neutralité et, pourquoi pas ?, prenne ensuite la tête du non-alignement contre le condominium soviético-yankee.

Maurice Bardèche voulait probablement faire de l’Europe nationaliste, voire néo-fasciste, une très grande Suisse, un État neutre et inattaquable du fait d’une redoutable cuirasse : son service militaire de milice civique. On peut même s’avancer à croire que la Confédération européenne fût été le décalque continental de sa consœur helvétique.

Avec l’actualité, il va de soi que l’« Europe cuirassée » prend une autre tournure. Avec l’invasion afro-asiatique en cours orchestrée, payée et encouragée par la Turquie, l’Arabie Saoudite et les États-Unis, l’« Europe cuirassée » impliquerait le rétablissement de frontières strictes tant du point de vue juridique que politique parce que les frontières ne sont pas que territoriales. La préférence nationale, au minimum, est une autre forme de frontière salutaire. À mon avis, toutes les frontières, matérielles et immatérielles, concourent à l’édification salutaire d’une société fermée, autocentrique et autarcique. Bref, l’« Europe cuirassée » signifie « les Européens maîtres chez eux en Europe et prêts pour cela à se battre ».

Quel fut l’impact réel du Mouvement social européen, dont Bardèche fut membre, sur la vie politique ?

Dès 1951 et le lancement de la CECA, il est prévu d’instituer un Parlement européen élu au suffrage universel direct, mais le rejet de la CED en 1954 par l’Assemblée nationale française écarta cette option jusqu’en 1979 quand les députés européens remplaceront les parlementaires désignés par les Parlements nationaux. Pour une fois en avance, des formations de droite nationale ont cherché à se regrouper afin d’atteindre un seuil électoral pertinent à l’instar des premiers résultats électoraux prometteurs du jeune MSI (Mouvement social italien).

Reconnu par toute l’Europe des réprouvés grâce à son Nuremberg ou La terre promise (1948), Maurice Bardèche est sollicité pour conduire la délégation française à Malmö en Suède. De cette réunion sort le Mouvement social européen (MSE) dont Bardèche devient l’un des vice-présidents et le responsable du MSE pour la France, d’où la création d’un bulletin de liaison : la future revue Défense de l’Occident.

Si une certaine presse versa dans le sensationnalisme et cria à la renaissance du fascisme ou d’une nouvelle « Internationale noire (ou brune) », l’impact du MSE sur la vie politique française et européenne fut plus qu’insignifiant. Outre le report sine die du scrutin européen, le MSE subit très tôt une scission de la part des racialistes réunis dans le Nouvel ordre européen. Cet échec fut néanmoins profitable puisque une décennie plus tard, le Belge Jean Thiriart lança Jeune Europe avec le MSE en contre-exemple parfait.

Dans votre essai vous ne mentionnez pas la religion en général, ni la religion catholique en particulier. Pourtant, la religion catholique romaine reste un pilier de notre civilisation européenne. Quel était le rapport de Bardèche à la religion catholique ?

Maurice Bardèche évoque rarement le catholicisme dans ses écrits. Élevé par l’école des hussards noirs de la IIIe République laïque et ayant grandi dans une famille patriote, anticléricale et radicale-socialiste, c’est un catholique de culture.

La religion catholique romaine reste-t-elle encore un pilier de notre civilisation européenne ? J’en doute. Certes, les basiliques des premiers chrétiens, les églises romanes, gothiques, baroques et classiques appartiennent à notre héritage, mais ce n’en est qu’une partie. L’Orthodoxie et même un certain protestantisme en sont d’autres. Avec le concile Vatican II, conséquence catastrophique des conciles antérieurs (Vatican I et Trente), le catholicisme romain a renié sa part européenne, ces syncrétismes singuliers avec les paganismes ancestraux qui en faisaient son originalité.

L’Église de Rome trahit maintenant les peuples autochtones de notre continent au profit d’intrus surnommés « migrants ». Bien que sympathique par certains côtés (son hostilité au règne de l’argent ou son approche de l’écologie malgré son tropisme cosmopolite), l’actuel « pape » conciliaire Bergoglio comme ses prédécesseurs immédiats ne me convainc pas. Pour soutenir un véritable catholicisme de combat, il eut fallu que Mgr. Jean de Mayol de Lupé (1873 - 1955) devînt le souverain pontife, cela aurait eu tout de suite une toute autre tenue !

D’une manière générale, le projet politique de civilisation européenne défendu par Bardèche ou d’autres peut-il se faire sans le catholicisme ?

La civilisation européenne ne se réduit pas au seul catholicisme qui lui-même change et se modifie au fil des âges. Les racines spirituelles de l’Europe ne se trouvent pas qu’à Athènes, Rome et Jérusalem; elles plongent aussi dans les traditions germaniques, celtiques, scandinaves, slaves, balkaniques, caucasiennes et même basques et laponnes ! Comme l’affirmait Dominique Venner dans Histoire et tradition des Européens (Éditions du Rocher, 2002), l’étymon européen a au moins plus de 30 000 ans d’histoire. Le christianisme n’est qu’un moment de sa longue histoire. Cette phase historique est d’ailleurs en train de s’achever quand bien même l’abjecte idéologie des droits de l’homme en est la forme sécularisée (pour faire simple).

Une Europe catholique serait un non-sens, sauf si un Prince, Capétien ou Habsbourg, en prenait la direction comme le soutient la sympathique équipe anarcho-royaliste et écolo-décroissante du Lys Noir. Cette Europe-là demeurerait toutefois une portion d’Europe.

La question religieuse n’est pas le meilleur moyen de favoriser la prise de conscience des Européens. Celle-ci ne se cristallisera que face à des périls immédiats, que face à l’irruption d’une altérité menaçante et conquérante. Au-delà des contentieux territoriaux, historiques et confessionnels, les Européens comprendront grâce à l’ethnologie, la généalogie et l’anthropologie qu’ils procèdent d’une substance commune et initiale. Quant à la religion, il est vraisemblable que les techniques les plus sophistiquées favorisent la résurgence et la réactivation des structures anthropologiques de l’imaginaire archaïque européen.

Propos recueillis par Franck Abed.

Le site de Franck Abed cliquez ici

  • Georges Feltin-Tracol, Bardèche et l’Europe. Son combat pour une Europe « nationale, libérée et indépendante », Éditions Les Bouquins de Synthèse nationale, Paris, 2013, 130 p., 18 €, à commander sur www.synthese- editions.com ou à (+ 3 € de port), chèque à l’ordre de Synthèse nationale, 116, rue de Charenton, 75012 Paris, (+ 3 € de port), chèque à l’ordre de Synthèse nationale. L'acheter en ligne cliquez là
  • « Maurice Bardèche l’insoumis 1998 - 2013 », Cahiers des Amis de Robert Brasillach, n° 51 - 52, 2013 - 2014, 275 p., 40 €, à commander aux Amis de Robert Brasillach (ARB), Case postale 3763, CH - 1211 Genève 3, Suisse, chèque à l’ordre de l’ARB.

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mercredi, 28 octobre 2015

Les débuts de la Ve République revus et corrigés...

Cher Pays de notre enfance.jpgLionel Baland

Son blog cliquez ici

Le documentaire graphique est un genre littéraire qui tend à connaître un certain essor. Il s’agit, à l’instar d’un reportage pour la télévision, d’une enquête réalisée par un ou plusieurs journalistes, mais illustrée par un auteur de bandes dessinées. Le journaliste d’investigation de France Inter Benoît Collombat et le dessinateur de bandes dessinées Etienne Davodeau publient dans ce cadre chez Futuropolis un ouvrage de 224 pages intitulé « Cher pays de notre enfance. Enquête sur les années de plomb de la Ve République. » En couverture figure un dessin en noir et blanc représentant le général De Gaulle en uniforme d’apparat, mais dont le visage et le costume sont souillés de sang.

Les auteurs ont rencontré de nombreux témoins : politiciens, journalistes, magistrats, syndicalistes, truands… L’enquête porte sur les pratiques gaullistes et celles (fantasmées ou avérées) du SAC, le Service d’action civique né officiellement en 1960 en vue de soutenir l’action politique du général De Gaulle. Cette organisation recrutait certes des gens « biens sous tous rapports », mais également des « gros bras » afin d’organiser des services d’ordre et aussi de s’en prendre physiquement à des opposants politiques.

Le juge Renaud, surnommé « le shérif », est assassiné en 1975, probablement parce qu’il enquêtait sur un braquage de 11 millions de francs réalisé par le Gang des Lyonnais à l’hôtel des postes à Strasbourg qui aurait servi à financer le parti gaulliste. Les auteurs abordent également le cas de Robert Boulin, Ministre « suicidé » en 1975. Ils mettent à jour le fait que celui-ci disposait de dossiers qu’il allait rendre public et peut-être communiquer à un proche de Valery Giscard d’Estaing, président de la République dont un certain gaulliste… le Premier ministre Jacques Chirac, était un grand rival. Ajoutons que Charles Pasqua, contacté à plusieurs reprises avant son décès, a refusé de recevoir les auteurs. La postface est assurée par Roberto Scarpinato, Procureur général de Palerme.

Cher pays de notre enfance, Benoît Collombat et Etienne Davodeau, 224 pages, 24,00 €

11:11 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 26 octobre 2015

Une journée du livre à Lyon les 14 et 15 novembre prochain

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20:20 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 23 octobre 2015

Pagraig Pearse : du combat culturel au combat politique

À six mois du centenaire de l'insurrection irlandaise de Pâques 1916, les éditions bretonnes Eñvorenn rééditent la biographie essentielle de l'un de ses instigateurs : Padraig Pearse. Parue pour la première fois en Bretagne en 1932, elle a pour auteur Louis-Napoléon Le Roux, né à Pleudaniel en 1890. Secrétaire de François Jaffrennou, il a co-fondé avec Camille Le Mercier d’Erm le Parti nationaliste breton en 1911. Installé en Angleterre dès 1914, il fait de fréquents séjours en Irlande et fréquente les milieux nationalistes qui lui procureront les documents de première main utilisés dans cette biographie (on lui doit aussi un ouvrage sur Tom Clarke paru en anglais et toujours inédit en français).

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Avant d’être politique puis militaire, le combat de Pearse fut culturel. Membre de la Ligue gaélique, il milite pour la promotion de la langue irlandaise, fondant une école, Saint-Enda, destinée à forger une élite nationaliste. Le futur pamphlétaire rédige alors des poèmes, exaltant tous le sentiment patriotique et l’identité nationale irlandaise.

Adhérent de l’Irish republican brotherhood, société secrète dont les membres sont en principe excommuniés, il lutte contre la collaboration des pseudo-élites irlandaises avec l’occupant britannique, puis il milite au sein des Volontaires irlandais, groupe paramilitaire qui, conjointement avec d’autres milices comme les forces syndicalistes de James Connolly, déclenchera l’insurrection nationaliste pendant la semaine sainte de  1916.

Pearse proclame la République irlandaise et devient Président du Gouvernement provisoire. L’insurrection est un échec militaire et les nationalistes, retranchés dans l’Hôtel central des Postes de Dublin doivent faire leur reddition aux forces britanniques.

Pearse est exécuté à trente-six ans par les occupants, en compagnie de son frère Willie et de quatorze autres leaders nationalistes, mais désormais, plus rien ne pourra empêcher la naissance de l’État irlandais…

Ajoutons pour la petite histoire que ce livre a été la source de documentation principale de Jean Mabire pour son texte sur Pearse destiné à figurer dans le volume 2 de ses "Éveilleurs de peuple" et finalement édité en brochure format poche par les éditions Terre et peuple en 1998.

La vie de Padraig Pearse, Louis-Napoléon Le Roux, Editions Eñvorenn, 334 pages, 20 €

Pour le commander, cliquez ici.

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jeudi, 24 septembre 2015

UN EVENEMENT A NE PAS MANQUER : LA SORTIE PROCHAINE D'UN DOUBLE CD D'ENTRETIENS AVEC LEON DEGRELLE

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LEON DEGRELLE NOUS PARLE, l’ultime témoignage...

● Deux heures d’entretiens avec le fondateur du Mouvement rexiste belge et de la Légion Wallonie...

● Sa vie, son engagement militant, son combat politique, sa participation à la grande croisade européenne contre le bolchevisme, la défaite, l’exil, l'espoir... Léon Degrelle raconte...

● Réalisé quelques mois avant sa disparition, en 1994, ce document de grande qualité est le parfait complément au n°1 des Cahiers d’Histoire du nationalisme cliquez ici qui lui était consacré...

● Il sort à l’occasion de la 9e Journée de Synthèse nationale, dimanche 11 octobre prochain à Rungis, mais vous pouvez le commander dès maintenant. 

Léon Degrelle raconte, l'ultime témoignage, double CD, 2 heures d'écoute, carnet illustré de 16 pages, 20 € + 3 € de port

Le commander en ligne cliquez ici

Bulletin de commande cliquez là

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dimanche, 13 septembre 2015

20 bonnes raisons d’être anti-américain.

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Camille Galic, Polémia cliquez ici

Avec Qui instrumentalise l’Eglise ? (1), puis L’Antichristianisme juif (2), le catholique Martin Peltier avait déjà abordé la question du sabotage (et du sabordage) de l’Eglise apostolique et romaine sous l’influence judéo-maçonne si puissante aux Etats-Unis. Dans 20 bonnes raisons d’être anti-américain, son nouveau livre qu’on aurait tort de prendre pour un simple pamphlet malgré la vivacité du style et le sens des formules chocs propres à l’auteur, c’est de front qu’il attaque le moloch, quitte à désespérer les nationaux nostalgiques de John Wayne, amateurs de musique Country ou fervents du rock identitaire puisque, pour lui, tout aspect de la culture (prise au sens germanique du terme : kultur), vînt-il à l’origine de la Vieille Europe, est subverti et utilisé pour inféoder celle-ci au Nouveau Monde, mentalement, intellectuellement et donc politiquement, en créant un « imaginaire mondial » dont la mission est de satelliser toute la planète.

Idée fixe d’un anti-américain primaire, objectera-t-on. Outre qu’il n’est pas sûr que l’épithète gêne notre essayiste, ses chapitres fourmillant d’exemples concrets (par exemple l’impact des accords Blum-Byrnes sur le cinéma français) sur « La maîtrise des images, objectif prioritaire », car il fait primer l’émotion sur la raison, ou sur « L’américain, de la communication impériale à la confusion de la pensée » sont éclairants.

Egalement convaincants car toujours étayés de faits avérés pris dans l’histoire ou l’actualité, les chapitres intitulés « L’Amérique espionne et désinforme le monde » (sur les inexistantes armes chimiques de Saddam Hussein ou la récente tuerie de Ferguson, chef-d’œuvre d’intox obamienne ici exactement démonté), « Les ONG, mains sales du mondialisme US » et « Les juges, nouveaux rois du monde » – qui doit beaucoup au maître-livre de l’avocat Eric Delcroix, Le Théâtre de Satan (3), qui montre la pollution puis la subversion des droits romain et germanique par le juridisme états-unien fondé sur la morale, morale sélective, partisane et circonstancielle même si le Premier Amendement donne l’illusion d’une totale liberté d’expression. Ce qui nous renvoie au chapitre « Contre la morale américaine » et la pédagogie qu’elle induit : cette « pédagogie de rupture » désormais privilégiée dans et par notre système éducatif, visant à « éloigner les générations les unes des autres » pour éviter la naturelle transmission pratiquée autrefois, et qui « fait qu’un homme de soixante ans, s’il a conservé malgré le goutte à goutte des médias la forme mentale que lui ont donnée ses parents, se trouve forcément haï par les Balilla de l’antiracisme, la VallaudBelkacemjugend ». D’où, selon l’auteur, la crise actuelle au Front national car, « malgré qu’elle en ait, la génération Marine n’est pas indemne » de la contamination.

Martin Peltier, qui dédie son livre à Marcel Aymé, clin d’œil à Travelingue, n’est pas le premier Européen à montrer les ravages de l’American Way of life et surtout of mind (pensée). Le Hongrois Thomas Molnar (professeur à l’Université de Columbia à New York), dans son livre L’Amérique, le modèle défiguré (PUF 1978), et le Russe Alexandre Soljenitsyne, dans son célèbre Discours de Harvard (1978 également), avaient évoqué les dangers d’un alignement qui, depuis, n’a cessé de s’aggraver comme l’a aussi dénoncé plus récemment l’universitaire et ancien diplomate croate Tomislav Sunic dans son Homo americanus (4), spécimen déclinable à l’infini de Bangkok à Varsovie et qu’il qualifie de « rejeton de l’ère postmoderne ».

Le mérite de Martin Peltier est de décrire le caractère protéiforme du phénomène et de faire un bilan complet des dommages infligés à nos pays, y compris dans nos rapports, aujourd’hui explosifs, avec « toute la misère du monde » – voir le chapitre VIII : « Les USA nous apprennent à vivre ensemble »… à grands coups de cette massue culpabilisatrice qui a si bien réussi avec l’Allemagne.

D’aucuns lui reprocheront d’ailleurs d’aborder un sujet scabreux entre tous : l’asservissement de la Libre Amérique au messianisme juif, et de s’inscrire par là-même dans les pas du maudit Pierre-Antoine Cousteau et de son Amérique juive (Ed. de France 1942). Ne traite-t-il pas des « origines juives » des Etats-Unis, et de la « collusion judéo-maçonne et protestante contre Rome » ?

Mais c’est oublier que certains des Pères fondateurs de la jeune République se méfiaient déjà du peuple élu. Ainsi l’historien Paul del Perugia affirmait-il dans son Louis XV (Albatros 1976) que « dans les débats préliminaires à la Constitution américaine, Benjamin Franklin demandera en 1787 d’interdire aux Juifs l’entrée des Etats-Unis ».

Il ne fut pas suivi. Si le nez de Cléopâtre eût été plus court et la voix de Benjamin Franklin plus forte, l’histoire du monde en eût été totalement changée. Et peut-être Martin Peltier n’eût-il jamais lancé son réquisitoire.

Camille Galic
1/09/2015

Martin Peltier, 20 bonnes raisons d’être anti-américain, éditions Die, juin 2015, 210 pages, avec deux annexes mais sans index ni bibliographie. Rens. 

info@die-livres.com

Notes : 

(1) Martin Peltier, Qui instrumentalise l’Eglise ? éd. Godefroy de Bouillon, 1/12/2012, 315 pages

(2) Martin Peltier, L’Antichristianisme juif, ed. DIE, 2014, 350 pages. (voir 

www.polemia.com/lantichristianisme-juif-lenseignement-de-la-haine-de-martin-peltier/

(3) Eric Delcroix, Le Théâtre de Satan, éd. de L’Æncre 2002, 448 pages.

(4)Tomislav Sunic, Homo americanus, éd. Akribeia, 2010, 288 pages (Voir :

http://archives.polemia.com/article.php?id=3324

Pour information :

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Pour se procurer le livre de Martin Peltier cliquez ici

Vous pouvez le commander à Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris (correspondance uniquement) 26,00 € + 3,00 € de port (chèque à l'ordre de Synthèse nationale).

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