vendredi, 20 mars 2015
Guerre à l'Occident, guerre en Occident !
Comme dans toute guerre révolutionnaire, dans la guerre menée par les tenants du Système islamique contre les nations occidentales :
• il n’est pas fait de distinction entre « l’état de paix et l’état de guerre » ;
• la tromperie (ou « taqiyya ») est très largement utilisée par les tenants du Système islamique et les islamo-collabos, s’appuyant sur la méconnaissance totale qu’ont les citoyens occidentaux des réalités du Système islamique, de ses buts et de ses objectifs ;
• les citoyens des nations occidentales ne perçoivent pas la réalité de la guerre qui leur est faite, ils ont la tête dans le sable, comme de bonnes autruches, et ils sont roulés dans la farine grâce à l’utilisation de la taqiyya ;
• il s’agit d’anéantir les nations occidentales de l’intérieur même, d’annihiler les capacités de réaction des citoyens, en imposant insidieusement l’hégémonie du Système islamique sur les religions, les mœurs, le politique, le social, le culturel, l’économique, le juridique, plus particulièrement...
Guerre à l'Occident, guerre en Occident, Lieutenant-colonel Jean-François Cerisier, Riposte laïque, 413 pages, 19,00 €. En savoir plus cliquez ici
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Gabriele Adinolfi, auteur du livre "Années de plomb et semelles de vent", est l'invité du journal de TV LIbertés...
L'entretien lors du Journal de TV Libertés de mercredi soir.
Grand angle à la fin du journal
Achetez et lisez ce livre
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mercredi, 11 mars 2015
Ce mercredi soir, Gabriele Adinolfi dédicacera son nouveau livre à la Librairie Contretemps (Paris VIIe)
Librairie Contretemps
41, rue Cler 75007 Paris - Métro Ecole Militaire
Sur le livre de Gabriele Adinolfi cliquez ici
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vendredi, 06 mars 2015
Avez-vous lu le nouveau livre de Gabriele Adinolfi ?
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samedi, 28 février 2015
Les Poèmes de Fresnes de Robert Brasillach ré-édités en "livre de poche"
Heureuse initiative que celle prise par Les Editions des Cimes qui viennent de rééditer Les Poèmes de Fresnes de Robert Brasillach. Sous la forme d'une petite brochure facile à transporter, ce recueil des derniers textes rédigés clandestinement en prison par l'auteur de Notre Avant-Guerre sont ainsi accessibles à tous.
Comme il est écrit sur la quatrième de couverture, "les textes présentés ici dévoilent un poète de grand talent, sensible et témoignant d'une hauteur d'âme remarquable".
Robert Brasillach a été assassiné le 6 février 1945 cliquez ici.
Poèmes de Fresnes, Robert Brasillach, Editions des Cimes, ré-édition 2015, 60 pages, 9,00 €
En vente à la Librairie française 5, rue Auguste Bartholdi 75015 Paris
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mercredi, 25 février 2015
Proposé par Les Bouquins de Synthèse nationale : La Garde de Fer de Corneliu Codreanu
Un texte fondamental...
Un texte essentiel du Capitaine sur ce qui reste une des formations militantes les plus exemplaires, ses actions, sa formation et son idéologie.
La Garde de Fer ne formait pas seulement des militants mais des soldats politiques ! Une leçon à étudier et à méditer dans ces temps de grande confusion !
Ce livre de 458 pages avait été réédité dans les années 2000. Il en restait quelques exemplaires. Ils sont à nouveau disponibles. Synthèse nationale les propose aujourd'hui à ses lecteurs. Vous pouvez le commander (30 € + 5 € de port - chèque à l'ordre de Synthèse nationale) à Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris (correspondance uniquement) ou en ligne en cliquant ici.
Dans quelques mois, un prochain numéro des Cahiers d'Histoire du nationalisme sera consacré à Codreanu et au Mouvement légionnaire roumain.
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dimanche, 15 février 2015
Il était une fois... le PFN.
Georges Feltin-Tracol Europe maxima cliquez ici
Les 9, 10 et 11 novembre 1974 était créé à Bagnolet le Parti des forces nouvelles (P.F.N.) qui sera, une décennie durant, le principal concurrent du Front national (F.N.). Pour saluer ce mouvement qui aurait eu quarante ans, les Cahiers d’histoire du nationalisme ont demandé à Didier Lecerf qui (NDLR - participait à la direction du PFN) dans les années 1980 de revenir sur ce parti politique relativement méconnu.
En 1984 – 1985, il était fréquent que les journalistes le confondissent avec le F.N. qu’ils désignaient alors en « Parti du Front national », d’où des quiproquos du sigle… Pourtant, les différences entre les deux frères ennemis étaient fortes. Tandis que le F.N. s’ouvrait aux G.N.R. (Groupes nationalistes révolutionnaires) de Base de François Duprat, aux nationalistes radicaux blancs du périodique Militant, puis aux solidaristes de Jean-Pierre Stirbois, le P.F.N. tranchait par l’esthétisme de ses affiches et voulait incarner une « droite design», c’est-à-dire dans le vent et à l’affût des bouleversements de fond.
Didier Lecerf rappelle d’abord le contexte national et international de cette époque. Le Mur de Berlin divisait l’Allemagne; l’Europe était partagée entre les blocs atlantiste et soviétique; la défaite étatsunienne au Vietnam avait permis à l’U.R.S.S. de s’affirmer dans le monde entier au point que Raymond Aron s’inquiétât dans Le Figaro du déclin irréversible des États-Unis. En France, les anti-communistes pronostiquaient une invasion soviétique imminente et luttaient contre un Parti communiste fort de 15 à 20 % des suffrages.
Le P.F.N. provient de l’insuccès électoral du F.N. aux législatives de 1973. En 1972, Ordre Nouveau (O.N.) entendait élargir son assise électorale et accroître ses effectifs en constituant avec d’autres formations de droite nationaliste ou proches des ultra de l’Algérie française (Mouvement pour la Justice et la Liberté/Unité Française de Georges Bidault) en formant un cartel électoral : le Front national pour l’unité française. Après avoir sollicité Dominique Venner pour en assumer la présidence, la direction d’O.N. s’adressa à l’ancien député poujadiste, puis républicain-indépendant Jean-Marie Le Pen, ancien directeur de la campagne présidentielle de Jean-Louis Tixier-Vignancour en 1965.
Le désastre électoral, la forte personnalité de Jean-Marie Le Pen et la scandaleuse dissolution d’O.N. en 1973 provoquent de vives dissensions et le départ de plusieurs militants de valeur. Ceux-ci créent des Comités Faire front, puis un Comité d’initiative pour la construction d’un parti nationaliste, embryon du futur P.F.N. Animée par Pascal Gauchon, Alain Robert, Gabriel Jeantet et le journaliste François Brigneau, cette structure politique à vocation électorale dispose d’une revue au graphisme percutant, Initiative nationale, ainsi que de quelques relais auprès des étudiants grâce au G.U.D. (Groupe Union Défense), des jeunes (le Front de la Jeunesse) et dans le monde du travail avec l’Association pour un syndicalisme libre. Plus tard, à l’occasion d’événements médiatiques tapageurs, il soutiendra le Comité de soutien à l’armée du sergent appelé Joël Dupuy, hostile à la syndicalisation rouge des militaires, tiendra un « Forum de la nouvelle droite » en mars 1975 et organisera en avril 1976 une prestigieuse « Semaine du cinéma de droite ». De nombreux hommes de lettres, universitaires et journalistes (Thierry Maulnier, Maurice Druon, Jean Cau, Louis Pauwels, Michel de Saint-Pierre, Roland Gaucher, Raoul Girardet, le colonel Rémy, etc.) répondront à son appel. La réaction gauchiste ne se fait pas attendre et se montre violente.
Le corpus idéologique du P.F.N. est résumé dans « une plaquette doctrinale de 88 pages, Propositions pour une Nation nouvelle. […] Pour l’essentiel, on y retrouve les thèmes et les idées développés par la “ Nouvelle Droite ” au sein du G.R.E.C.E. (fondé en janvier 1969) (p. 51) ». L’objectif principal vise à surprendre l’opinion. « C’est ainsi que le sigle “ forces nouvelles ” a été choisi, entre autres parce qu’il étonne à droite ; que la plaquette doctrinale défend l’idée d’une réconciliation de la Tradition et du Progrès; et que sa couverture porte un dessin de l’architecture futuriste Sant’Elia… (p. 63) ».
L’apport théorique du P.F.N. n’est pas anodin, car il cherche à concilier un nationalisme « revu et corrigé » avec une démarche ouvertement européenne. À l’occasion des premières élections au Parlement de Strasbourg en 1979, après une tentative de rabibochage avec le F.N. dans le cadre d’une « Union française pour l’Eurodroite des patries », le P.F.N. monte finalement sa propre liste, intitulée « Union française pour l’Eurodroite », conduite par Tixier-Vignancour et soutenue par le M.S.I. d’Almirante et les Espagnols de Fuerza Nueva. « Toutefois, si les fonds réunis sont suffisants pour être présents (en concurrence avec dix autres listes), ils ne permettent d’imprimer que les bulletins et les affiches pour les bureaux de vote, mais pas les bulletins et les professions de foi adressés aux électeurs. En outre, il ne reste que trois semaines avant l’échéance… (p. 110) » Le résultat déçoit : 1,31 % soit 266 000 voix. En 1981, Pascal Gauchon ne parvient pas à obtenir les 500 parrainages nécessaires pour se porter candidat à la présidence de la République. La victoire de François Mitterrand contraint le P.F.N. à se remettre en question.
À l’automne 1981, Alain Robert et Pascal Gauchon se retirent du P.F.N. Une nouvelle direction, composée (NDLR - entre autres) de Jack Marchal et de Jean-Claude Jacquard, bientôt ultime rédacteur en chef de Défense de l’Occident de Maurice Bardèche, propose une voie plus activiste. Paru en juin 1982, Perspectives d’action expriment un net changement d’attitude militante. Le Front de la Jeunesse devient le Renouveau nationaliste tandis qu’un nouveau titre, Pour une force nouvelle, remplace Initiative nationale. En revanche, le programme proposé reprend, réactualise et réaffirme les thèses fondatrices. Celles-ci paraissent en novembre 1974 dans des Propositions politiques, économiques et sociales qui se révèlent visionnaires. Dans le premier chapitre, l’article 1 stipule que « le système électoral actuel perpétue la domination des partis en place. Pour assurer la représentation réelle de toutes les tendances, nous réclamons l’institution d’un système d’élections à la proportionnelle qui reflète le plus exactement possible les forces politique en présence (p. 184) ». L’article 2 condamne l’organisation administrative française et estime que « le cadre artificiel du département doit perdre de son importance [Hollande et Valls auraient-ils été militants secrets au P.F.N. ?] au profit des communes et des cantons, chargés de l’administration locale, et surtout des régions. Une véritable décentralisation administrative et économique doit être réalisée au profit de celles-ci. En particulier, il est essentiel que le Conseil régional dispose d’un véritable budget par un transfert d’une partie des ressources de l’État à la Région. Cette décentralisation doit permettre un meilleur fonctionnement de l’État en rapprochant les pouvoirs des administrés. Elle ne doit pas être une occasion accordée à un séparatisme anarchisant et passéiste, mais un instrument au service de la Nation et de la construction de l’Europe. Les cultures régionales font partie du patrimoine national; elles doivent donc être protégées par l’État et non réprimées (p. 184) ». À mille lieux, on le voit, des incantations centralisatrices désuètes d’un parti pseudo-protestataire et néo-ringard qui confond le Marais parisien avec le reste de la France…
En économie, ces Propositions… réclament la cogestion, exigent « l’extension du système de conseils paritaires de conciliation prévus dans de nombreuses conventions collectives (p. 186) » et suggèrent le « vote de la grève par les travailleurs au scrutin secret (p. 186) ». Mieux, elles se terminent par une préfiguration de la « remigration » (ou réémigration) et de la préférence nationale : « Interdiction effective et absolue de toute immigration, tant que la France n’aura pas retrouvé le niveau d’emploi de 1972. Préférence d’emploi accordée à toutes occasions aux travailleurs nationaux, revalorisation des tâches jusqu’à présent abandonnées aux immigrés. S’il y a lieu, mise à l’étude d’un plan de rapatriement progressif des immigrés (p. 196). »
Parfaitement adapté aux difficiles conditions de ce premier quart du XXIe siècle, ce programme ne pouvait pas séduire une France qui sortait à peine des « Trente Glorieuses » et qui croyait à la brièveté de la crise en partie déclenchée par le premier choc pétrolier de 1973. Le P.F.N. arrivait trop tôt. Par ailleurs, il commit deux graves erreurs stratégiques. La première, antérieure à sa naissance, fut de ne pas présenter en 1974 un candidat à la présidentielle. Les Comités Faire front auraient pu assez facilement parvenir aux cent parrainages nécessaires. Ils laisseront au « Menhir » l’avantage décisif de se faire connaître des Français, réussissant ainsi un coup déterminant pour l’avenir. La seconde erreur fut de s’entendre en mars 1977 aux élections municipales avec le R.P.R. de Jacques Chirac. Trente candidats P.F.N. figurèrent donc sur des listes à « Marseille, Toulon, Cannes, Aix-en-Provence, Lyon, Villeurbanne, Villemonble, Nancy, Talence, Illzach, Nanterre, Champigny, ou encore à Paris, dans les XVIe et XIXe arrondissements (p. 93) ». Cette participation pesa lourd sur les destinées du P.F.N. désormais toujours soupçonné de rouler pour le calamiteux Chirac. Lors de sa premières « Heure de vérité » sur Antenne 2, le 13 février 1984, Jean-Marie Le Pen qui, dès 1981 contestait déjà « le mondialisme giscardien », refusa toute alliance avec le P.F.N., prétextant ce compromis de 1977.
L’ascension du F.N. plonge le P.F.N. dans la crise. Présentant parfois des candidatures face au F.N., il constate vite que la dynamique électorale est favorable au seul frontisme. En 1985, la direction collégiale propose l’auto-dissolution du P.F.N. et le ralliement au F.N. Interrogé dans ce numéro, Roland Hélie raconte qu’il n’était « pas emballé à l’idée de rejoindre le Front. […] En fait nous n’avions pas beaucoup de contacts avec la direction du F.N., et Le Pen et son entourage ne semblaient pas très chauds à l’idée de nous voir arriver. Ce qui peut se comprendre compte tenu des rapports exécrables qu’il y avait eu pendant dix ans entre nos deux formations (p. 145) ». Toutefois, une trentaine de cadres issus du P.F.N. intégraient bientôt le F.N. où ils occupèrent rapidement des responsabilités grâce à la bienveillance du secrétaire général de l’époque, Jean-Pierre Stirbois.
Dès novembre 1985, une partie des militants du P.F.N. hostiles à ce ralliement rejoint le Mouvement Troisième Voie. S’ensuivirent jusqu’en 1990 des amorces de relance ponctuées par de multiples scissions. Un célèbre numéro du Choc du Mois en 1988 décrivait l’emblème du P.F.N. résiduel d’alors : « Quatre quartiers rouges pour l’eau, le feu, le ciel et la terre, une croix celtique suggérée, et un cercle noir pour figurer la roue solaire. Ouf. » Seules les sections de Strasbourg, d’Orléans et d’Aix-en-Provence n’acceptèrent pas la disparition factuelle du P.F.N. Les Strasbourgeois conçurent la N.A.T.R.O.P.E. (Nouvelle amitié dans les territoires et régions par l’organisation des peuples en Europe), néo-droitiste, alors que les Aixois fondaient un Parti des forces nationalistes d’orientation contre-révolutionnaire. Ce n’est qu’en février 1998 que le Journal officiel annonçait sa dissolution officielle.
Le P.F.N. restera comme une tentative de renouvellement des idées et de la pratique politiques à la fin de la Guerre froide. L’absence de figures charismatiques capables de susciter l’enthousiasme de l’audimat fut sa principale lacune sinon on aurait aujourd’hui un authentique mouvement patriotique français et européen.
Sous la direction de Didier Lecerf, Le P.F.N. 1974 – 1984 : une autre droite, Cahiers d’histoire du nationalisme, n° 4, octobre – novembre 2014, 197 p., 20 € + 3 € de port (116, rue de Charenton, F – 75012 Paris).
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vendredi, 13 février 2015
Un nouveau numéro (n°16) de la revue Livr'arbitres
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vendredi, 06 février 2015
Un nouveau "Qui suis-je ?" consacré à Ian Smith...
Ian Douglas Smith (1919-2007) : « Je dirai que la colonisation est une chose merveilleuse. Elle répandit la civilisation en Afrique. Avant il n'y avait pas d'eau, pas de langue écrite, pas de roue comme nous le savons. Pas d'écoles, pas d'hôpitaux, pas même de vêtements normaux.» (Mémoires.)
Il était, il est toujours, de bon ton dans les cercles « éclairés » de gloser sur les méfaits du « colonialisme », d'insister sur la faiblesse des cours des matières premières et sur l'égoïsme des « pays riches » comme cause essentielle du sous-développement. L'école marxisto-tiers-mondiste a chargé l'Europe de tous les péchés, faisant l'impasse sur le fait tribal, l'épuisement des sols, l'explosion démographique, le népotisme, la corruption, sans parler des fléaux endémiques que la colonisation était partiellement parvenue à endiguer. La Rhodésie, si elle avait vécu, aurait pu constituer une heureuse exception. Elle l'aurait due à un homme, héros de la Deuxième Guerre mondiale, pilote de la Royal Air Force et fermier dans son pays natal : Ian Douglas Smith.
Pendant quinze héroïques années, les Rhodies, sous la houlette de leur déterminé Premier ministre, homme d'honneur et de parole, ont résisté au monde entier, subissant sans broncher les retombées des sanctions décrétées par l'ONU et les mauvais coups d'une guérilla sanguinaire soutenue par le camp sino-soviétique. C'était, déjà, une guerre de la civilisation contre la barbarie.
Dans ce « Qui suis-je ? » Ian Smith, l'auteur démontre que, avec « le Lion au coeur fidèle » à la tête de sa minorité blanche, la Rhodésie s'en sortait mieux, pour la prospérité de tous, que le Zimbabwe « indépendant » entre les mains du kleptocrate totalitaire Robert Mugabe.
Ian Smith, Collection "Qui suis-je ?", Pardès, Jean-Claude Rolinat, 128 pages, 12 €
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lundi, 02 février 2015
Avez-vous lu le livre de Gabriele Adinolfi ?
22:52 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Kontrekulture reçoit Gabriele Adinolfi
Kontrekulture cliquez ici
22:47 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 01 février 2015
Un livre raconte la résistance des catholiques corses face à la provocation du Piss Christ...
Du 26 juin au 29 septembre 2014, à travers une exposition blasphématoire, la perversion anti-chrétienne sévissait en Corse, terre Mariale pétrie de christianisme. C'est la mise en échec de cette nouvelle manœuvre de subversion mondialisée qui est recensée dans ce livre d'agréable présentation.
À Ajaccio, du 26 août au 29 septembre, manifestations publiques, pétitions, interpellations des autorités civiles et religieuses, soutenues pendant ces trente-cinq jours par la grève de la faim de François Veyret-Passini, sont témoins de la réaction spontanée et efficace au-delà même de leurs espérances de ces manifestants.
L'auteur : François Veyret-Passini, né en 1964, est Corse, de Bonifacio, par sa mère. Il est marié et père de onze enfants, conducteur de trains, militant catholique et nationaliste.
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REMPLACER LES IMMIGRÉS PAR DES EXPATRIÉS, c'est le thèmes du livre de François de Chassey « Les politiques doivent sauver la France »
« Les politiques doivent sauver la France de l’invasion, sauver les Français et la Civilisation française » : il faut les obliger à prendre le problème à bras-le-corps.
Comment ? En votant pour ceux qui prendront l’engagement de « MESURES DE SURVIE » comme l’écrivait Jean Schmitt en 1986 :
1° Arrêt des francisations ;
2° Limitation stricte de l’immigration, en nombre comme en durée.
Cette dernière mesure était déjà préconisée, par exemple, par un personnage socialiste en 1973 (il y a plus de 40 ans !).
Elle fait l’objet de notre part d’un développement spécial dans un chapitre intitulé : « REMPLACER LES IMMIGRÉS PAR DES EXPATRIÉS ».
Car, écrit toujours Jean Schmitt dans son livre datant de presque 30 ans (à l’époque, il était journaliste au Point) : « nous assistons à un génocide » et « c’est de la démence, du suicide ». Il y a eu des avertissements depuis 50 ans, et là, non seulement les mots sont clairs, nets et précis, mais ils sont accompagnés des solutions.
Alors que l’on a toujours l’impression que les politiques de tous bords discutent du « sexe des anges » quand l’invasion se poursuit, un coup de tonnerre vient d’éclater, au mois d’août 2014. Mgr Amel Shamon Nona, archevêque de Mossoul, nous lance un avertissement : « Vous aussi, vous êtes en danger. Il vous faudra prendre des décisions courageuses et dures. » Sinon, il ne restera plus qu’ à « intégrer la France à l’islam ».
Quel Français souhaiterait à un seul pays du monde d’être envahi jusqu’à voir changer radicalement la composition de sa population ?
Les politiques doivent sauver la France, François de Chassey. 56 pages, Éditions des Cimes, 5 €. cliquez ici
18:04 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 29 janvier 2015
"Afrrique, la guerre en cartes" : le nouveau livre de Bernard Lugan
Cet ouvrage de 278 pages tout en quadrichromie est composé d'une centaine de cartes accompagnées de leurs notices-commentaires.
Il s'agit d'un exceptionnel outil de documentation et de référence construit à partir des cours que Bernard Lugan dispense à l'Ecole de Guerre et aux Ecoles de Saint-Cyr Coëtquidan.
Il est composé de deux parties. Dans la première sont étudiés les conflits et les crises actuels ; la seconde traite de ceux de demain.
Sa vocation est d'être directement utilisable par tous ceux, civils et militaires qui sont concernés par l'Afrique.
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00:32 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 27 janvier 2015
La gauche en soutien au Capital...
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Charles Robin offre, avec La gauche du capital, un regroupement de ses études sur la généalogie du libéralisme libertaire. Sa thèse est connue des lecteurs de Jean-Claude Michéa. Il n’y a pas un « libéralisme » économique, de « droite », qui s’oppose à un « libertarisme » sociétal, de « gauche ». Il y a un seul mouvement qui transforme la société, et passe par des acteurs socio-politiques qui se partagent le travail mais font, précisément, le même travail. Le libéralisme est en d’autres termes toujours en phase avec le libertarisme car il s’agit de déconstruire tous les liens, tous les enracinements, toutes les communautés pour aboutir à un homme nu, donc désaliéné selon l’extrême gauche, mais aussi totalement ouvert au libre marché, à la consommation mondiale unifiée, selon les libéraux. C’est le même homme suradapté à un monde de plus en plus intégralement marchandisé, postpolitique qui convient aux libéraux (dits de droite) et aux libertaires (dits de gauche).
Le travail de désencastrement de l’homme, de désincarnation (au profit de sa liquéfaction), de « libération » de toutes les valeurs et de tous les liens, est convergent, qu’il soit opéré par la droite « libérale avancée » ou par la gauche « libérale-libertaire », et concoure à un même résultat. Car, de fait, l’homme sans liens devient homme sans qualité, sans spécificité, sans identité culturelle, sans classe, sans syndicat, et est livré au marché, et celui qui est livré au marché est bel et bien « libéré », comme le rêve l’extrême gauche, de la famille, de la durabilité, de la transmission, de la « patrie », de la « solidarité de tribu » (ou de métier), du sexisme, du machisme, au profit de la consommation hédoniste de la sexualité et du relationnel en général (les « amis » que l’on a sur Facebook…).
Résumons. Le libéralisme n’est pas conservateur, il n’y a rien de plus révolutionnaire. Quant à la gauche elle n’est pas socialiste, elle est « la gauche du capital », elle est la pointe avancée de la déconstruction des peuples. Qui profite à qui ? Au capital.
Voilà notamment ce que développe, rigoureusement, Charles Robin. Autant dire que son livre est essentiel.
- Charles Robin, La gauche du capital. Libéralisme culturel et idéologie du marché, Krisis, 244 p., 18 €.
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vendredi, 09 janvier 2015
Les derniers Bouquins proposés par Synthèse nationale :
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mardi, 06 janvier 2015
Avez-vous lu le nouveau Adinolfi ?
Gabriele Adinolfi est une figure incontournable du néofascisme italien. Au cours de ce qu’il est convenu d’appeler « les années de plomb », c'est-à-dire les années 70, un véritable climat insurrectionnel régnait en Italie. Le pouvoir démocrate chrétien, lié à la mafia et aux intérêts américains, était englué dans une multitude de scandales. Les terroristes communistes des Brigades rouges multipliaient les actions violentes et pour beaucoup la nostalgie de la glorieuse époque mussolinienne commençait à se faire ressentir. Afin d’éviter leur chute les pourris au pouvoir imaginèrent de fomenter des attentats meurtriers et de les mettre sur le dos des organisations nationales-révolutionnaires. Le plus spectaculaire d’entre eux fit plus de 80 morts et 200 blessés le 2 août 1980 dans la gare de Bologne.
S’en suivit une vaque de répression inouïe contre les milieux néofasciste, en particulier contre le mouvement Terza posizione qu’animait entre autres Gabriele Adinolfi. Pourtant, jamais sa culpabilité, ni l’implication de son mouvement, furent prouvées. Trente cinq ans plus tard, plus aucune charge ne pèse contre eux. Il n’empêche que pour des dizaines de militants ce fut la prison ou l’exile. Ainsi Adinolfi passa près de vingt ans dans la clandestinité à Paris. C’est ce qu’il nous relate dans ce livre captivant, bourré de rebondissement, de rencontres inattendues et d’anecdotes truculentes.
Aujourd’hui l’auteur vit à Rome, il anime l’Institut Polaris et est l’un des inspirateurs de la Casapound, le mouvement qui se revendique fièrement du fascisme du XXIe siècle. Gabriele Adinolfi a gardé de nombreux contacts en France où il revient régulièrement. Ce livre est aussi une galerie de portraits des militants et responsables nationalistes français qu’il rencontra au cours de sa longue cavale.
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jeudi, 25 décembre 2014
Notre « divin Marquis » nous dit : « A table ! »
Lu dans Rivarol n°3165 - 27 novembre 2014
Notre « divin Marquis » rivarolien, Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, vient de commettre un formidable ouvrage : un pavé de près de 300 pages à la gloire de la gastronomie française, dans lequel il raconte quelques souvenirs croustilleux. Son ouvrage est émaillé d’anecdotes, de situations cocasses. Ses critiques concernant certains restaurants, de tendance, disons cosmopolite, valent le détour. Michel Sy, Président des Amis de Curnonsky, qui préface son livre, décrit ainsi ce « gastronome raffiné, un hôte divertissant mais exigeant » :« Gourmand avisé, sa culture culinaire précise et immense lui accorde l’écoute et le respect des chefs, ses critiques sont acceptées des professionnels. »A noter que le livre du marquis est copieusement illustré par Nicolas Charrier, dont j’avoue, toute honte bue, n’avoir jamais entendu parler. Quel dessinateur talentueux ! Incroyable ! C’est du Dubout (son style y ressemble) en bien mieux !
« La nourriture est la base de la vie spirituelle »
Notre Marquis cite Guillaume de Sardes : « Dieu nous ayant ordonné de manger pour vivre, nous y invite par l’appétit, nous soutient par la saveur, et nous récompense par le plaisir… » Il relève qu’Eve a été gourmande et note que la gourmandise est l’un des sept péchés capitaux, le seul, écrit-il à être… capiteux ! Il note, légèrement indigné que « le plaisir de manger (placé)aux côtés du meurtre, de laluxure et du vol (lui) semble excessif ». Il s’en était ouvert à son ami Poilane. Les compères décidèrent « qu’il serait souhaitable de substituer à la notion de gourmandise, celle de goinfrerie ». Et du coup, Poilane, qui adhéra totalement à cette réflexion, adressa une supplique à Jean-Paul II pour lui demander de mettre cette réforme à l’étude. La secrétairerie d’Etat répondit rapidement que la requête ferait l’objet d’un examen bienveillant. Hélas, Poilane décédait peu après dans un accident d’hélicoptère, et le pape mourut peu après. Exit la gourmandise, exit la goinfrerie. Jean-Paul Chayrigues de Olmetta note, avec un petit cynisme réjouissant : « Gourmands, mais pas goinfres, nous sommes toujours menacés de l’Enfer. Laissons passer un conclave puis nous aviserons. L’Eglise a évidemment d’autres préoccupations, au rang des premières : la faim dans le monde. »
Le Marquis n’en tarit pas. Sait-on que « se mettre en rangs d’oignon » n’a rien à voir avec la plante ? L’origine de l’expression serait due à Artus de la Fontaine Solaro, baron d’Oignon qui, grand maître des cérémonies aux états de Blois, plaçait seigneurs et députés selon leur rang. Et « maître-queux » ? Rien à voir avec la queue des casseroles. Son origine latine est ‘coquus’, qui signifie ‘cuisinier’. On apprend qu’« appareiller » est l’art de mélanger les ingrédients, qu’ « habiller », celui de préparer une pièce : volaille, gibier ou poisson. Et le chocolat ? Son irruption en France date de 1615 où Anne d’Autriche, venue épouser Louis XIII, l’importa d’Espagne. Le chocolat était une rareté, réservée à une élite. Mais qu’en est-il du café ? En novembre 1669, à Versailles, Louis XIV reçoit fastueusement Soliman Mustapha Raca, ambassadeur du sultan ottoman Mehmed IV. Les esclaves de sa suite offrent aux invités une curieuse substance noire, le kawa, dont de grandes quantités transiteront, dans les années qui suivent, en direction de la France, par le port de Moka sur la mer Rouge. On comptera plus de 300 cafés, à Paris, au début du règne de Louis XV ! L’abbé Morellet dira : « Paris est le café de l’Europe », tandis que l’abbé Delille écrira cette « Ode au café » : « Viens donc, divin nectar, viens donc, inspire-moi / A peine, j’ai senti ta vapeur odorante, / Mes pensers plus nombreux accourent à grand flots / Et je crois (…) boire dans chaque goutte un rayon de soleil ».
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lundi, 22 décembre 2014
AVEZ-VOUS LU LES DERNIERES PUBLICATIONS EDITEES PAR SYNTHESE NATIONALE ?
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vendredi, 19 décembre 2014
Un premier Bouquin de Synthèse nationale traduit en Espagnol !
Il y a deux ans, le 11 novembre 2012, à l'occasion de la 6e Journée de Synthèse nationale un ouvrage collectif était publié par Synthèse nationale intitulé Face à la crise : UNE AUTRE EUROPE. Une trentaine de personnalités, tant françaises qu'européennes, avait répondu à nos questions. Ce livre a été assez largement diffusé depuis sa parution.
Il est toujours possible de se le procurer cliquez ici.
Aujourd'hui, une version espagnole de cet ouvrage de référence pour ceux qui s'intéressent à l'Europe vient de paraître à Barcelone. Ce sont les éditions Usatges qui sont à l'origine de cette heureuse initiative dont nous nous félicitons. Les travaux de Synthèse nationale sont reconnus dans l'Europe entière.
Nos amis espagnols peuvent l'acheter en cliquant ici
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jeudi, 18 décembre 2014
Une idée cadeau ? Pourquoi-pas le nouvel album d'Aramis !
07:02 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 16 décembre 2014
Le conseil régional a décidé ce matin, en accord avec le maire de Nantes, de donner au nouveau lycée le nom de Nelson Mandela
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dimanche, 14 décembre 2014
Le catalogue de fin d'année des publications de Synthèse nationale : achetez nos livres pour les offrir à vos amis.
Vous pouvez le télécharger en cliquant sur Catalogue SN noël 2014.pdf
Vous pouvez aussi les commander en ligne cliquez ici
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samedi, 13 décembre 2014
Un ouvrage pédagogique à l'attention des musulmans de France...
L'association Riposte laïque, animée par Pierre Casen, vient de publier un ouvrage pédagogique à l'attention des musulmans. Son auteur, Hubert Lemaire, nous livre ici les raisons pour lesquelles il a écrit ce livre plein de bon sens et qui peut donner des arguments forts à ceux qui s'opposent à l'islamisation de notre pays et de l'Europe.
En savoir plus cliquez ici
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mercredi, 10 décembre 2014
Un nouveau livre de Pierre Vial sur les Rites païens...
Sortie aux Editions de la Fôret du premier tome d'une série de trois consacrée aux rites païens du berceau à la tombe.
Ce premier tome aborde les thèmes de la naissance et de l'enfance. Nombre de jeunes couples et parents identitaires pourront se reporter à ce livre, véritable bréviaire en la matière.
Prix: 16€ + frais de ports (2,10 € France uniquement et 4,15 € Europe)
Terre et Peuple - BP 38 - 04300 Forcalquier
01:05 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 03 décembre 2014
Aramis ce soir sur Radio Courtoisie
Aramis est invité ce mercredi soir à 19 h sur Radio Courtoisie au Libre Journal de Martial Bild pour nous parler du dessin de presse en général et de son dernier album "ça calme !" en particulier.
Le nouvel album d'Aramis : cliquez ici
Le commander en ligne : cliquez là
1000 excuses... En raison d'un retard indépendant de leur volonté, Aramis et Roland Hélie n'ont pas participé à l'émission de mercredi soir. Ce n'est que partie remise.
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samedi, 29 novembre 2014
Après Staline, Lénine et Trotsky, Nicolas Tandler nous démonte un autre grand humaniste : Pol Pot
Pol Pot (1928-1998) : «Pour construire l économie [...] comme pour faire la guerre [...] la direction du Parti doit exercer son rôle directeur en employant une violence tranchante [...]. » (Pol Pot, juin 1976.)
On ne dit pas «Djougachvili», mais Staline. De même, on ne parle pas de «Saloth Sâr», mais, à partir de 1970, de Pol Pot, son pseudonyme. D'une famille cambodgienne aisée, il profita de divers enseignements dans la capitale du pays, Phnom Penh. Parti compléter sa formation en France, il y découvre les Lumières avec Rousseau, la Révolution avec Robespierre, le marxisme avec Staline. Il néglige son école technique, et il doit retourner au pays sans diplôme. Il décide alors de devenir révolutionnaire professionnel.
Stoïque, il fait ses classes grâce aux communistes vietnamiens, qu il hait, dans son for intérieur, comme ennemis héréditaires des Khmers. Devenu l organisateur du Parti communiste à Phnom Penh, la chance le sert: le chef du PC est tué, et il prend sa place. Le voici acteur d une guerre tout à la fois civile et internationale. Avec des enfants-soldats vêtus de noir, ses troupes, les Khmers rouges, se multiplieront grâce aux erreurs de la puissante Amérique, aux divisions entre républicains et royalistes, au soutien de Hanoï.
Le 17 avril 1975, Pol Pot atteint son but. Trois ans, huit mois, vingt jours, le peuple khmer subira une expérience démente, à vif, qu aucun utopiste social n avait osée avant lui. Elle lui coûtera 1700000 morts (estimation basse). Puis Pol Pot fut vaincu dans une guerre éclair par le Vietnam. Il survécut deux décennies à sa défaite, divisant le monde à son propos, avant de mourir, esseulé.
Pol Pot, Nicolas Tandler, Editions Pardes, collection "Qui suis-je ?", 128 pages, 12 €
10:41 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 20 novembre 2014
"Rêve d'enchantement", le nouveau livre de Charles-Henri d'Elloy
« Eh bien moi, je n’ai pas renâclé à naître et il paraît que je me tortillais de rire ! Oui, je dodelinais le sourire aux lèvres, je souriais à la vie, sans doute avec un air un peu goguenard. Étais-je déjà amusé, malgré mes yeux clos, par le nouveau monde qui se présentait, ou feignais-je de rire de son absurdité ? »
Lorsque Charles-Henri d’Elloy s’empare de sujets aussi graves que le désespoir, le déclin, la justice, la religion, la politique, les femmes, l’amitié… il nous fait la politesse de garder le sourire. Cet anxieux, pince-sans-rire, nous emmène dans les finesses de sa réflexion avec délicatesse et vigilance. Son esprit stellaire, la rigueur et la sincérité font l’élégance de son style. Ce livre, empreint de philosophie, est un hymne à la beauté qu’il vénère comme antidote à la tristesse, c’est aussi un hommage à l’écriture et un régal d’humour libre pour enchanter notre âme.
Rêve d'enchantement, Charles-Henri d'Elloy, éditions Godefroy de Bouillon, 132 pages, 16,00 € cliquez ici
Charles-Henri d'Elloy dédicacera son livre à la journée du livre de l'AGRIF dimanche prochain, 23 novembre cliquez là
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mercredi, 19 novembre 2014
Sortie le 7 décembre du nouveau livre de Gabriele Adinolfi : Années de plomb et semelles de vent...
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jeudi, 13 novembre 2014
Thierry Maulnier, l’insurgé
Nous reprenons ici l'article de Robert Spieler publié dans Rivarol de la semaine dernière sur le remarquable livre que notre ami Georges Feltin-Tracol à consacré à Thierry Maulnier.
Il y a près de 25 ans, la dénomination d’un nouveau lycée d’enseignement général, construit dans la banlieue ouest de Nice, suscitait l’émoi chez les couineurs de gauche, d’extrême-gauche, et chez les émotionnés professionnels de l’antiracisme. Pensez… Le maire de Nice, qui était alors Jacques Médecin, voulait le baptiser ‘Lycée Thierry Maulnier’. Ce qui fut fait, au grand dam des indignés congénitaux. Qui était Thierry Maulnier ? Une biographie écrite par le prolifique Georges Feltin-Tracol, nous dévoile les arcanes de cet étonnant personnage, qui fut accusé d’être ‘fasciste’ et dont Mauriac dira : « Au lieu de (se) contenter de quelques articles au Figaro, (il) aurait pu être le Sartre de (sa) génération ». Mais Thierry Maulnier ne s’est, certes pas, contenté d’écrire « quelques » articles au Figaro…
Sa jeunesse
Thierry Maulnier est le pseudonyme de Jacques Louis André Talagrand. Il est né le 1er octobre 1909 à Alès, de parents agrégés de lettres. Son père, Joseph, est un farouche républicain et un anticlérical énervé. Accessoirement, il se comporte comme un parfait tyran domestique, et voue ses deux fils à se consacrer à l’étude permanente : pas à l’école républicaine, non, à la maison… Jacques finira tout de même par découvrir la vie lycéenne dans un établissement de Nice. Gare à lui s’il amène des notes autres qu’excellentes à la maison. Le « despote », c’est ainsi que les frères le surnomment, se déchaîne… Mais cette dure éducation a des vertus. Jacques est plus que brillant, plus que cultivé. Il aura droit à sa photo dans la presse locale niçoise pour avoir décroché le second prix au Concours général d’histoire. A l’automne 1924, précoce, il entre en classe de terminale au lycée Louis-le-Grand, à Paris. Il s’y fait vite une réputation certaine : sa haute taille, son exceptionnelle culture générale, et son m’en-foutisme affiché attirent les regards. Il fait le choix d’être un « cancre invétéré » qui sera cependant bachelier avec une mention « assez bien », en une époque où une telle mention avait de la signification. Le voici en hypokhâgne où il fait la connaissance des inséparables Maurice Bardèche et Robert Brasillach, avec qui il sympathise fortement. En deuxième année de Normale ’Sup, loin de s’amender pour ce qui concerne son indolence, tant naturelle que travaillée, il se singularise, une fois de plus. Le diplôme de fin d’études repose sur un mémoire que la plupart des étudiants préparent d’arrache-pied tout au long de l’année. Pas lui. Il entreprend d’écrire son mémoire consacré à « L’art dramatique chez Racine d’après ses préfaces », 48 heures avant l’échéance, et obtient la note de 18/20 ! Il épate évidemment Brasillach, Bardèche, et ses camarades. Mais la perspective de devenir professeur, comme ses parents, ne l’enchante absolument pas. Il sera journaliste.
Thierry Maulnier, journaliste
Il découvre Charles Maurras et L’Action française, adhère à l’AF et milite quelques temps aux Camelots du Roi. Ecrivant dans l’organe maurassien des étudiants L’Etudiant français, il prend le pseudonyme de Thierry Maulnier. Grâce à la qualité de ses articles, le nombre d’abonnements augmente. Il acquiert une certaine célébrité dans les milieux nationalistes. Il est âgé de vingt an ! Le service militairel’attend. Il en gardera un vif sentiment d’inutilité et un antimilitarisme sous-jacent. Sa vie sociale sera intense. Les sorties au théâtre, au cinéma et dans les bistrots s’enchaînent, aux côtés de ses amis Brasillach, Bardèche, Blond, Lupin, Kleber Haedens. Il plaît beaucoup aux femmes et fréquente assidument la Coupole, le Flore, Lipp quand lui et ses amis ne font pas le tour (à pied) de la capitale. Mais quand trouve-t-il le temps d’écrire ? Une anecdote qui décrit sa méthode : A un ami s’enquérant de son éditorial du mois, il répondit : ‘Il est prêt’, et alors que l’autre le lui demandait, il ajouta : ‘Il ne me reste plus qu’à l’écrire’… Claude Roy dira de lui : « Ce grand travailleur est aussi un grand paresseux ». Cela n’explique cependant pas tout de ses retards à ses rendez-vous. Il est amoureux de Dominique Aury, pseudonyme d’Anne Cécile Desclos, qui fréquenta la joyeuse équipe de Brasillach et de Bardèche. Elle sera, plus tard, en 1953, le célébrissime auteur, sous le pseudo de Pauline Réage, d’Histoire d’O, roman érotique qui eut quelques soucis avec la censure.
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