mardi, 22 juillet 2014
Le nouveau livre de Richard Roudier sur le découpage anti-identitaire de la France
«Monsieur le Président, un gouvernement doit toujours avoir une méthode visible à chacun et celle-ci ne doit jamais paraître de son invention, sinon…
Sinon, il laissera infailliblement la place aux soupçons d’arbitraire ou d’arrangements louches. Ainsi, tout découpage territorial sera forcément suspect s’il n’obéit pas à une méthode vérifiable par tous, y compris jusqu’aux enfants des classes primaires… L’évidence est la vertu d’un découpage territorial ; l’obscurité est son crime, ne le savez-vous pas ?»
Contre la région découpée par François Hollande au mépris de l’Histoire et de la Géographie, Richard Roudier propose un découpage identitaire selon les anciennes aires linguistiques mais corrigé par des aspects fonctionnels…
Richard Roudier – Lettre Ouverte au Président à propos de la réforme des régions, réponse au bazar anti-identitaire – 12€+ 3€ de frais de port – 125 pages
Pour le commander, cliquez ici
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dimanche, 20 juillet 2014
Maurice Bardèche, "Suzanne et le Taudis"...
Source Europe Maxima cliquez ici
« Je rendais grâce au ciel d’avoir fait de moi un cuistre obscur.
Et aussi de m’avoir donné un taudis d’une pièce et demie,
quand la moitié de l’Europe logeait dans des caves. »
1 – Maurice Bardèche et la politique
La production littéraire de Maurice Bardèche ayant trait à la politique, radicale dans son fond et souvent très attrayante dans sa forme, n’est pas le fruit de l’assimilation particulièrement réussie de la pensée d’illustres prédécesseurs maurrassiens, ni même la somme d’un nombre quelconque de réflexions antérieures, forgées à chaud à cette époque désormais révolue où l’expression « presse d’opinion » avait encore un sens. Au contraire, comme le révèle Jacques Bardèche, son propre fils, dans l’entrevue qu’il a bien voulu accorder à nos camarades de M.Z. [l’émission de webradio « Méridien Zéro »; N.D.L.R.E.M.] récemment, Maurice Bardèche a commencé à vraiment s’intéresser à la politique à partir d’un moment historique bien précis : l’exécution de son ami et beau-frère Robert Brasillach, le 6 février 1945. De fil en aiguille, la pensée politique de Bardèche a donc émergé en réaction à un certain nombre d’événements, qu’il juge insupportables : l’exécution sommaire et injustifiée de son ami, les horreurs de l’épuration, le climat d’hypocrisie exacerbée d’après-guerre… Pour autant, jamais la plume de Bardèche n’accouche de propos haineux, contrairement à ce que laisse souvent entendre une certaine littérature engagée à gauche. Bien loin des pamphlets outranciers de Céline, des présages sombres et du pessimisme de Drieu, des intransigeances de Rebatet ou de Coston, la prose de Bardèche invite souvent le lecteur à entrevoir des rivages plus sereins : la recherche d’une forme d’équilibre, de justice, ou tout simplement de common decency, pour reprendre la formule d’Orwell. La pensée de Bardèche, c’est peut-être d’abord l’expression du bon sens appliquée à la politique. C’est un véritable antidote à la langue de bois.
Suzanne et le Taudis s’inscrit parfaitement bien dans cette forme littéraire très particulière, issue d’une radicalité qui ne sacrifie jamais à l’outrance ou à la provocation. Il en résulte un véritable pamphlet dans un gant de velours
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mardi, 15 juillet 2014
« L'EFFACEMENT DU POLITIQUE » DE PIERRE LE VIGAN Un livre indispensable de réflexion pour l'été
Métamag cliquez ici
L’Union européenne traverse une crise grave. Le nier et poursuivre une politique de fuite en avant vers l'Est ou le Sud - « plus d’Europe ! » – ne fait qu'accentuer davantage le rejet de l’Europe mais il y a pire : la dépolitisation de l'homme européen.
L'Union européenne s’est bâtie contre les Etats. Elle se veut l'amorce de l'Etat universel rêvé par Kant, la concrétisation du cosmopolitisme politique. Nous le rêvions humain et démocratique, il se révèle technocratique et totalitaire. L’attitude du Parlement européen est typique à cet égard. Une étude de la Diète fédérale allemande a établi récemment que 85 % de nos lois et règlements proviennent désormais de Bruxelles, ce qui vide de sens le principe même de subsidiarité et les délibérations de nos Parlements nationaux. Le mode d'être de la politique est la gouvernance à savoir la gestion des « affaires courantes », l'absence de toute autorité.
C'est ce que Pierre Le Vigan appelle « l'effacement du politique », la dépolitisation du monde. Elle est le règne du droit, la dictature du droit, la république des juges au cœur du grand marché. « Toute société a un droit oral ou écrit », nous rappelle Le Vigan mais « notre société se veut régie par le droit » (p.126). Ce n'est effectivement pas la même chose. Il faut dix ans pour rédiger un règlement ou une directive européenne, dix ans pour la modifier.
La directive, résultat de la réflexion des experts vaut alors force de loi. Le peuple, même par ses représentants, n'est jamais consulté. On comprend, par l'analyse, que Pierre Le Vigan brosse du néo-constitutionnalisme contemporain ce sentiment que nous avons de ne plus pouvoir rien faire au quotidien. Ce sentiment d'absence de liberté n'est pas indépendant du processus de marchandisation extrême qui est à l'œuvre. Il en est au contraire sa logique même. On ne nous prive pas de notre liberté individuelle mais de toute liberté collective. Le pouvoir judiciaire est ainsi la nouvelle religion du temps ( p.136 ), les directives et les décrets arbitraires, le mode quotidien de gouvernement. Cela illustre le passage de la démocratie représentative à la démocratie procédurale, analysée aussi par les argentins Alberto Buela et Luis Maria Bandieri. Le droit est vidé, marchandisé, privatisé. Pierre Le Vigan fait la généalogie de ce processus, de Machiavel et Hobbes à Habermas, et c’est le grand apport de ce livre que de mettre à jour les racines profondes de la dépolitisation de l’Europe.
13:31 Publié dans Livres, Michel Lhomme | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 12 juillet 2014
Les Carnets de Françoise Stern, un nouveau Roman de Gérard Pince
Françoise Stern, une historienne marxiste, part à la poursuite d’un criminel des guerres de l’ex-Yougoslavie. L’horrible trafic d’organes sur des prisonniers serbes et les souvenirs du génocide ukrainien vont bientôt la rattraper !
Obsédée par la lancinante question juive, comment réagit-elle à de terribles découvertes impliquant ses proches et qui bouleversent ses convictions et le sens de sa vie ?
Comme lors de ses précédents romans, l’auteur greffe une intrigue dramatique sur des événements réels souvent occultés par les médias. Il décrit dans un style lumineux la folle randonnée d’une jeune femme perdue par ses fantasmes.
Les Carnets de Françoise Stern, Gérard Pince, Editions Godefroy de Bouillon, 284 pages, 28 €
En vente à la Librairie française cliquez ici
14:23 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 24 juin 2014
Samedi prochain, 28 juin, séance de dédicaces à la Librairie Notre Dame de France à Paris
PHILIPPE PICHOT-BRAVARD,
La Révolution Française, préfacé par Philippe de Villiers, 294 pages, 24,00 €
Ce livre synthétique et brillant d’intelligence parle de la régénération de l’homme, qu’il faut en effet cesser de libérer !
L’influence de Xavier Martin est évidente, les massacres révolutionnaires supposant la notion de sous-homme. Philippe de Villiers renvoie aux travaux de Reynald Secher : la régénération provoque forcément d’inévitables « dommages collatéraux », prévus et voulus aussi bien en 1789 qu’en 1792 ou 93. Sur ce sujet, l’hypocrisie est confondue.
Librairie Notre-Dame de France 21, rue Monge 75005 PARIS cliquez ici
07:52 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 11 juin 2014
Le site "Le Rouge et le Noir" parle du dernier livre de Jean-Claude Rolinat "La faillite de Mandela" :
République sud-africaine : la faillite de Mandela
Jean-Claude Rolinat raconte l’histoire récente de l’Afrique du Sud
« L’Afrique du Sud c’est comme un zèbre. Que vous lui tiriez une balle dans la bande blanche ou la bande noire, l’animal meurt quand même ! [1] »
Le Rouge et le Noir cliquez ici avait bien sûr évoqué la mort de Nelson Mandela cliquez là, faisant au passage un peu de réinformation. Nous avions également eu l’occasion, peu avant, d’interroger Bernard Lugan cliquez ici, africaniste bien connu et cité à plusieurs reprises par Jean-Claude Rolinat.
L’auteur du livre cliquez ici [2] de cette semaine s’évertue à remettre les choses à l’endroit, à propos d’un pays dont l’histoire contemporaine a été généreusement romancée par les grands media. Nos énarques ont fait de Nelson Mandela un ange [3] ; l’histoire doit en faire une bête. Mais ne nous arrêtons pas au titre de l’ouvrage : Jean-Claude Rolinat peint une fresque bien plus large. Ainsi, il écrit un très clair livre d’histoire, avec un style d’écriture travaillé, et des accroches remarquables – ce qui est, de nos jours, assez rare pour mériter d’être souligné.
Lire la suite cliquez ici
07:15 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 09 juin 2014
Avez-vous lu le nouveau Bouquin de Synthèse nationale "La faillite de Mandela" (de Jean-Claude Rolinat) ?
En vente dans les bonnes librairies
ou en le commandant à Synthèse nationale cliquez là
ou encore en ligne en cliquant ici
11:20 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 05 juin 2014
Il y a un an, une bande de gauchistes agressait des jeunes patriotes à Paris...
Depuis un an, Esteban et Samuel, deux jeunes militants nationalistes, croupissent en prison.
Retour sur un scandale d'Etat :
Pour mieux comprendre comment une véritable manipulation a été orchestrée par le pouvoir et en particulier par celui qui est devenu depuis Premier ministre, lisez le livre de Serge Ayoub.
Commandez-le en ligne cliquez ici
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Plus d'informations cliquez ici
Retour sur l'affaire cliquez là
11:30 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 27 mai 2014
Choisir une autre Europe ? Des pistes !
Auteurs : ouvrage collectif
Editeur : Les Bouquins de Synthèse nationale
Année : sorti à l'occasion de la 6e journée de Synthèse nationale le 11 novembre 2012 cliquez là
166 pages, 18,00 €
Depuis septembre 2008 une crise, sans doute aussi grave que celle de 1929, asphyxie l’Europe. La France n’échappe pas à cette situation de plus en plus préoccupante. Aucun gouvernement, ni aucun parti du Système, ne semble capable d’apporter des solutions efficaces pour sortir de ce marasme. Les peuples européens ne croient plus en leurs dirigeants, pire encore, ils ne croient plus dans leur avenir…
En réalité, cette crise remonte à beaucoup plus longtemps. Depuis une soixantaine d’années, l’Europe que l’on nous propose, ou plutôt que l’on nous impose, n’est qu’un ersatz imaginé et réalisé par des technocrates serviles, dénués de toutes conscience nationale ou identitaire, dont la seule raison d’être est de servir, sur notre continent, les intérêts de l’hyper-classe mondialiste. Ils ont livré l’Europe, et les nations qui la composent, au bon vouloir des prédateurs de la Goldman & Sachs et autres banques apatrides…
Alors, un autre destin pour l’Europe est-il possible ? Certainement, mais celle-ci devra vite rompre avec les carcans qui lui sont jusqu’à présent imposés. Tout est une question de volonté.
Ce livre n’a pas, loin s’en faut, la prétention d’être ni un programme ni un quelconque manifeste. Nous avons interrogé une trentaine de personnalités (politiques, écrivains, journalistes, responsables associatifs…) françaises ou européennes qui ont toutes un point commun : l’amour de la civilisation européenne. Chacune d’entre elles, avec ses références et sa sensibilité, a répondu à nos questions. Ces réponses peuvent sembler parfois paradoxales.Il en découle cependant une certitude : la fin de notre civilisation et de notre identité ne sont pas une fatalité.
Cette enquête pour une autre Europe a la volonté d’ouvrir des pistes nouvelles, des pistes aussi éloignées les unes que les autres du libéralisme et du socialisme…
Liste des contributeurs :
Franck Abed, écrivain, Gabriele Adinolfi, écrivain (Rome), Serge Ayoub, Président de 3e voie, Lionel Baland, journaliste (Liège), Francis Bergeron, écrivain, Thibaut de Chassey, Président du Renouveau français, Pierre Descaves, ancien député, Georges Feltin-Tracol, écrivain, André Gandillon, rédacteur en chef de Militant, Nicolas Gauthier, journaliste, Olivier Grimaldi, Président du Cercle franco-hispanique, Pieter Kerstens, chef d’entreprise (Bruxelles), Pierre Le Vigan, écrivain, Patrick Parment, journaliste, Luc Pécharman, membre du Bureau de la Nouvelle Droite Populaire, Martin Peltier, journaliste, Dr Bernard Plouvier, écrivain, essayiste, Philippe Randa, écrivain, Enrique Ravello, responsable de Plataforme pour la Catalogne (Barcelone), Alain Renault, ancien secrétaire général du Front national, Jean-Claude Rolinat, écrivain, Marc Rousset, économiste, Gilbert Sincyr, ancien président du GRECE, Robert Spieler, ancien député, Hervé Van Laethem, membre de la direction de Nation (Bruxelles), Pierre Vial, Président de Terre et peuple, Gabor Vona, Président de Jobbik (Budapest) et un texte en annexe de Bruno Mégret, fondateur du MNR...
Présenté par Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale
Face à la crise : une autre Europe, enquête, Editions Les Bouquins de Synthèse nationale, 18 € (+ 3€ de port), 166 pages, novembre 2012.
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11:10 Publié dans Européennes 2014, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 22 mai 2014
Dien Bien Phu : pour ne pas oublier...
90 pages en couleurs, format 21 x 29,7 cm, nombreuses photos. 15 €. TTC.
Commande à passer au Cercle National des Combattants, 38 rue des Entrepreneurs, 75015 Paris. Chèque à l’ordre du CNC.
06:13 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 19 mai 2014
Le nouveau numéro de Livr'arbitres consacré à Dominique Venner
Livr'arbitres cliquez ici
00:53 Publié dans Livres, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 18 mai 2014
Il y a un an, Dominique Venner...
13:00 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 14 mai 2014
DOMINIQUE VENNER : POUR MIEUX COMPRENDRE, POUR NE PAS OUBLIER...
POUR MIEUX COMPRENDRE, POUR NE PAS OUBLIER :
Il ne nous appartient pas de commenter le geste ultime de Dominique Venner.
Nous rappellerons seulement la place essentielle qui fut la sienne dans le combat nationaliste au cours des années 60. Après la fin de l'Algérie française, il fut l'un des instigateurs de deux mouvements, la Fédération des étudiants nationalistes et Europe Action, qui allaient être à l'origine d'un grand bouleversement idéologique au sein de notre famille politique, à savoir l'introduction de la dimension civilisationnelle européenne dans la doctrine nationaliste. Ses écrits, en particulier son fameux texte intitulé "Pour une critique positive", ont marqué durablement les générations militantes qui se sont succédées depuis cette époque tumultueuse. Enfin, en lançant, il y a une dizaine d'années, la Nouvelle Revue d'Histoire, Venner a probablement aussi été à l'origine de l'une des initiatives les plus intelligentes depuis bien longtemps.
Dominique Venner a voulu donner à son acte une signification politique. Nul ne peut encore préjuger de l'impact que celui-ci aura réellement sur notre peuple. Quoi qu'il en soit, le devoir de chaque militant nationaliste est de continuer et d'amplifier le combat contre l'oligarchie mondialiste et sa politique destructrice de nos identités et de nos libertés, le combat pour que revive une France française dans une Europe européenne. C'est sans doute là le plus bel hommage que l'on puisse rendre à la mémoire de Dominique Venner.
Voilà pourquoi nous avons décidé de publier ces quelques témoignages, à la fois sur l’homme et sur son engagements, afin de faire, à notre modeste niveau, en sorte que l’acte fatal de Dominique Venner et le message qu’il nous a laissé ne tombent pas dans l’oubli.
● Gabriele Adinolfi ● Alain de Benoist ● Francis Bergeron ● Renaud Camus ● Bruno Favrit ● François-Philippe Galvane ● Guillaume Faye ● Georges Feltin-Tracol ● Bruno Gollnisch ● François Sidos ● Gilbert Sincyr ● Robert Spieler ● Nicolas Tandler ● Abbé Guillaume de Tanoüarn ● Pierre Vial et bien d'autres…
Livre réalisé sous la direction de Lionel Muresan
Editeur : Les Bouquins de Synthèse nationale
Parution : août 2013
160 pages, 18,00 €
Commandez-le en ligne cliquez là
10:17 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 13 mai 2014
Le livre d'Anne Kling, "Menteurs et affabulateurs de la shoah" est édité aussi en Italie...
Plus d'infos sur l'édition italienne cliquez ici
Avez-vous lu la version française ?
Menteurs et affabulateurs de la shoah
Anne Kling
Editions Mithra, mars 2013
256 pages
18,00 € (+ 3,00 € de port)
Plus d'informations cliquez ici
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00:42 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 12 mai 2014
Le trotskisme dégénéré, de Patrick Gofman : feu sur le prophète et ses disciples !
Lucette Jeanpierre
Riposte laïque cliquez ici
Voilà un livre qui devrait intéresser nos anciens trotskistes Pierre Cassen (LCR) et Alain Rubin (OCI), mais aussi tous ceux qui, tout au long de leur vie militante, côtoyèrent des militants issus de ces mouvances.
L’auteur, Patrick Gofman a milité à l’OCI, groupe le plus violent et sectaire de l’extrême gauche, des années 1967 à 1979, soit de 18 à 30 ans. Il tord le cou à une légende, qui veut que Staline aurait rompu avec les idéaux de la Révolution d’Octobre, auxquels Trotski serait resté fidèle.
En introduction, il annonce tout de suite la couleur, citant cette phrase de 1949 d’hérétiques du trotskisme, Lefort et Castoriadis : « C’est parce que l’organisation trotskiste a été incapable de se séparer radicalement et organiquement du stalinisme, parce qu’elle est restée, au mieux, qu’une opposition à celui-ci, ou, comme on l’a dit, un appendice du stalinisme, qu’elle n’a jamais pu se construire ».
En gros, et Gofman l’écrit tel quel, le trotskisme a toujours été à la remorque du stalinisme. Il va même plus loin, et affirme que si Trotski avait gagné, cela aurait été pire pour l’histoire de l’humanité. Il écorne sans concession le côté narcissique et égocentrique de celui qu’on appelait le Prophète de la IVe Internationale, à cause de ses analyses sur la Révolution permanente et ses débouchés en Allemagne, en Espagne, en France, etc. Et il conclut par cette petite histoire : le stalinisme, c’est le massacre de l’homme par l’homme, le trotskisme, c’est le contraire.
Pour la petite histoire, il est savoureux de connaître les circonstances dans lesquelles Patrick Gofman a été exclu de l’OCI, après douze années de bons et loyaux services. Se sentant des dispositions à l’écriture, le jeune lambertiste se lance dans l’écriture de son premier livre, « Les femmes préfèrent les cons », écrit à quatre mains avec Pierre Marcelle, vieille connaissance de Riposte Laïque, qui, embauché à Libération, déversait souvent sa bile contre notre site (cliquez ici).
Il se trouve que les deux malheureux, dans un réflexe sans doute individualiste petit-bourgeois, avaient oublié qu’un révolutionnaire de l’OCI doit être un soldat au service de la cause, et donc que, dans ce contexte, toute expression publique ne peut se faire qu’avec l’aval de la direction. La convocation à un procès politique, à deux heures du matin, instruit par le même Pierre Marcelle, qui avait demandé pardon, lui, à la direction du Parti, et devait donner des gages en enfonçant son ancien copain, est un grand moment de cet ouvrage, qui confirme que les lambertistes étaient capables des pires pratiques staliniennes.
Imaginez Fabien Engelmann, lui aussi ancien trotskiste, convoqué à 2 heures du matin par Marine Le Pen, Louis Aliot et Florian Philippot pour avoir publié « Du gauchisme au patriotisme » sans l’accord de ses chefs…
Dans un style plutôt brut de décoffrage, l’auteur épingle tour à tour les communistes, bien sûr, les leaders historiques du trotskisme, Pierre Boussel, Alain Krivine et Arlette Laguiller, dans des termes qu’on qualifiera de virils… Il éreinte leurs organisations moribondes.
On se régale particulièrement, sur la fin de l’ouvrage, quand il s’occupe des anciens camarades de sa génération, et insiste sur leur fascination pour le pouvoir, l’argent, la magouille et le luxe.
Dans un chapitre intitulé « Quelques asticots sur la charogne trotsko-lambertiste », il se farcit, dans un style savoureux, Mélenchon, sénateur à 35 ans, avec tous les avantages matériels qui vont avec, Cambadélis, nouveau secrétaire du Parti socialiste, dont il rappelle les nombreuses condamnations judiciaires, et d’anciens responsables de la Mnef, comme Rozenblatt ou Campinchi, qui, c’est le moins qu’on puisse dire, vivaient bien sur la Bête… Julien Dray, Harlem Desir et la mafia Sos Racisme ne sont pas épargnés.
A présent, Gofman se présente comme un « supporter du mouvement national dans sa totalité ». On peut ne pas partager l’ensemble de l’évolution de l’auteur, et quelques-unes se ses analyses. Mais on se régale, tout au long de cet ouvrage caustique, devant la liberté d’une plume polémiste à souhait, qui ne fait pas dans la dentelle…
Le Trotskisme dégénéré, de Patrick Gofman, Les Bouquins de Synthèse nationale, 134 pages, 18 euros
NDLR : avez-vous lu "Le trotskisme dégénéré", le livre de Patrick Gofman ?
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06:48 Publié dans Livres, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 10 mai 2014
"Une poupée gonflée", un "ebook" signé Patrick Gofman
Sous le règne de Giscard, une jeune fille de bonne famille, d’une beauté effrayante, dégringole du trotskisme au gangstérisme pur et simple, en frôlant la pornographie. Cette dégringolade traverse Paris, l’Afrique, Caen, la Californie, Hawaï, et l’Amérique latine, pour finir. Mal finir.
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Avez-vous lu aussi "Le trotskisme dégénéré", le livre politique de Patrick Gofman ?
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vendredi, 02 mai 2014
Quelques séances de dédicaces à Paris
A la librairie Notre Dame de France (21, rue Monge Paris Ve) :
- SAMEDI 3 MAI, de 15 h à 18 h, Philippe Maxence, Chesterton face à l'Islam, et Christophe Lacroix, Ripostes au politiquement correct (I et II).
- VENDREDI 16 MAI, de 17 h à 20 h, Emmanuel Ratier, Le vrai visage de Manuel Valls.
A la Librairie française (5, rue Auguste Bartoldi Paris XVe) :
- vendredi 16 mai, de 17 h à 19 h 30, l'écrivain et chercheur Pierre Hillard dédicacera ses ouvrages, dont le nouveau Chroniques du mondialisme.
- samedi 7 juin, de 15 h à 18 h, Laurent Glauzy dédicacera ses ouvrages, dont le dernier Les Géants et l'Atlantide.
- samedi 28 juin, de 15 h à 19 h, le groupe de rock FTP dédicacera ses disques.
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vendredi, 25 avril 2014
Lisbonne, 25 avril 1974 : la "révolution" qu'il faut mieux oublier...
Le 25 avril 1974, il y a 40 ans aujourd'hui, un soulèvement militaire orchestré par une poignée d'officiers marxistes, mettait fin à l'Etat nouveau instauré par le professeur Salazar 40 ans plus tôt. En quelques jours le Portugal sombrait dans la guerre civile et dans le chaos. Il mettra des années à s'en remettre.
40 ans après cette pénible période, alors que le pays est au bord de la crise, plus de 40% des Portugais considèrent qu'Antonio de Oliveira Salazar a été le plus grand homme de l'Histoire de leur pays. On comprend mieux pourquoi l'intelligentzia marxisto-mondialiste, pourtant si prompte à fanfaronner sur ses "victoires", se montre plutôt discrète sur cet anniversaire.
Pour mieux connaître cette période de l'histoire portugaise, lisez le livre que Jean-Claude Rolinat a consacré à celui qui fit de son pays une nation moderne : Salazar le regretté...
Salazar le regretté, Jean-Claude Rolinat, Les Bouquins de Synthèse nationale, 2012, 164 pages, 18,00€
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24 avril 1903 : naissance de José Antonio Primo de Rivera
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jeudi, 24 avril 2014
Sortie demain : "Le vrai visage de Emmanuel Valls", le nouveau livre choc signé Emmanuel Ratier
En moins de trois ans, Manuel Valls est passé de l’anonymat (5,6 % lors de primaire socialiste de 2011) à Matignon. L’histoire de Manuel Valls est une espèce de bluff très largement reconstruit.
Issu de la plus haute bourgeoisie catalane par son père et d’une famille suisse enrichie dans le trafic de l’or par sa mère, ce fils d’un célèbre peintre catalan nullement anti-franquiste a grandi dans un milieu huppé, dans une maison située en face de l’île Saint-Louis. Ce qui lui a permis de fréquenter le gratin des beaux-arts mais aussi de la politique. Dès ses 18 ans, alors qu’il n’était même pas encore naturalisé français, il a passé un accord secret, appelé « pacte de Tolbiac », avec deux camarades au très brillant avenir : Stéphane Fouks, aujourd’hui pape des communicants socialistes et responsable du Conseil représentatif des institutions juives de France, et Alain Bauer, ancien Grand Maître du Grand Orient de France et ponte de la sécurité urbaine. Son ascension doit beaucoup à ces deux hommes, avec lesquels il est demeuré étroitement lié.
Le nouveau Premier ministre est aussi l’incarnation même du nouveau Parti socialiste tel que défini par son think tank Terra Nova : un pur apparatchik rompu aux jeux d’appareil, à la fois « boboïsé », social-démocrate modéré en apparence mais surtout haineux vis-à-vis de ses adversaires politiques, prêt à toutes les compromissions avec les milieux sarközystes recentrés, libéral rallié au mondialisme, à l’européisme, au métissage et au multiculturalisme. Ce que d’aucuns pourraient appeler l’« after-socialisme » ou socialisme « à l’eau de rose ». Il est bien évidemment membre du club d’influence Le Siècle, mais aussi du groupe mondialiste de Bilderberg. Semblable aux néo-cons américains, en général venus de l’extrême gauche, il est également un soutien fanatique d’Israël, pays avec lequel il s’est déclaré « éternellement lié ». C’est cet individu qui se voit évidemment trôner en 2017 ou 2024 à la présidence de la République.
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jeudi, 17 avril 2014
La Révolution conservatrice allemande, un nouveau livre de Robert Steuckers
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mercredi, 16 avril 2014
Sortie attendue le 25 avril du nouveau livre explosif sur Manuel Valls !
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dimanche, 13 avril 2014
Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme sont en vente à Paris :
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dimanche, 06 avril 2014
Le nouveau numéro de l'excellente revue Livr'arbitres
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jeudi, 03 avril 2014
Cette Espagne que déteste Manuel Valls : retrouvez la dans "Présence de José Antonio Primo de Rivera" :
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vendredi, 21 mars 2014
Gabriele Adinolfi présente son dernier livre "Orchestre rouge"...
Gabriele Adinolfi, Avatar éditions, 2013, 166 pages, 19 € (+ 3 € de port). Préface de Michel Drac
Presque dix ans après Nos belles années de plomb, Gabriele Adinolfi, figure historique de la droite radicale italienne, revient sur cette tragique période qui a secoué son pays, avec un ouvrage choc longuement mûri qui intègre les apports de nombreux travaux ayant vu le jour depuis lors et constitue un gros pavé dans la mare du politiquement correct et des mensonges de l’historiographie officielle.
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jeudi, 20 mars 2014
L'introduction du livre "Présence de José Antonio" écrite par Olivier Grimaldi...
Il y a une semaine, jour pour jour, nous nous retrouvions nombreux dans la peine pour un dernier adieu à notre camarade et ami Olivier Grimaldi qui nous a prématurément quitté le 9 mars dernier à la suite d'une longue et cruelle maladie. En effet, plus de 600 personnes ont assisté à la magnifique et très émouvante messe célébrée, en l'église St Nicolas du Chardonnet, par M. l'abbé Xavier Beauvais, curé de la paroisse.
Hier soir, pensant à Olivier, j'ai relu l'introduction qu'il avait écrite, au mois d'octobre dernier, pour le livre que nous avons édité pour le Cercle Franco-hispanique, Présence de José Antonio Primo de Rivera (*). Je pense que ces quelques lignes résument parfaitement le sens de l'engagement de leur auteur pour cette noble cause qui est celle de l'Espagne Une, Grande et Libre...
Elles méritent d'être portées à la connaissance du plus grand nombre de nos lecteurs...
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
Introduction du livre Présence de José Antonio (*) :
Ce petit ouvrage n’est pas une biographie du fondateur de la Phalange, mais l’hommage qu’il lui est rendu par le Cercle Franco-Hispanique depuis 1983, et par des Français bien connus des milieux nationaux. Nous rééditons un extrait des actes du colloque organisé en 2003, à l’occasion du centième anniversaire de la naissance de José Antonio Primo de Rivera. Parmi ces spécialistes de l’Espagne et du national syndicalisme, j’invite nos lecteurs à acquérir le livre magistral de six-cents pages d’Arnaud Imatz : José Antonio, la Phalange Espagnole et le national-syndicalisme (1). Cet ouvrage a été traduit en espagnol. Il est considéré par mon ami Antonio Gibello, ex directeur du quotidien El Alcazar, comme une « bible ». Il a été réédité par les Editions Godefroy de Bouillon.
J’ai découvert José Antonio en 1971, lors d’un séjour à Barcelone. Jeune militant d’Ordre Nouveau, j’étais d’abord étonné de voir dans les échoppes de souvenirs, des objets à son effigie ainsi que les cinq flèches et le joug du mouvement. Je me suis rendu au local de la Vieja Guardia, une maison austère et sombre gardée par un ancien combattant en chemise bleue, portant ses décorations dont la Croix de Fer gagnée en Russie. De quoi surprendre un jeune parisien ! Au regard de mes dix-huit ans, il me dirigeât vers l’immeuble abritant les jeunes de l’Organizacion Juvenil Espanola (OJE). Des dizaines d’adolescents portant la chemise phalangiste (alors que celle-ci n’était plus réglementaire) s’activaient à préparer un camp. Le chef provincial me reçu dans son bureau et m’offrit une photo de José Antonio que je garde très précieusement. Une jeune fille me donna une chemise et un insigne de l’OJE.
Que représentions-nous, Nationalistes français par apport aux organisations espagnoles, qu’elles soient légales ou tolérées comme les Cercle José Antonio (50 000 adhérents) ? Pas grand-chose, si ce ne sont les souvenirs des Français accueillis en 1945 et l’aide apportée aux militants de l’OAS.
J’ai compris la place que tenait José Antonio en voyant son nom gravé sur les murs des églises. Mais les seuls actes officiels des phalangistes étaient principalement constitués par les commémorations du « 20-N » au Valle de los Caïdos. Il fallait comprendre le courage, l’engagement révolutionnaire et le message sublime de celui qu’on nommera « l’absent » après son exécution.
C’est ainsi que je suis resté fidèle à cet aristocrate, Grand d’Espagne, qui a commencé à s’engager dans le combat pour défendre la mémoire de son père. Il serait trop long de me livrer davantage et d’évoquer mes rencontres et mes amitiés avec les plus grands Phalangistes dont Pilar Primo de Rivera, Raimundo Fernandez Cuesta ou Ramon Serrano Suner qui avait encouragé notre colloque peu avant sa mort.
Je terminerai donc ce propos par ces mots brefs et poignants prononcés par le général Franco sur la tombe du Fondateur à l’Escorial devant des milliers d’Espagnols : « Espagnols, José Antonio est mort, disent les crieurs de journaux. José Antonio vit, déclare la Phalange. Qu’est-ce que la mort et qu’est-ce que la vie ? La vie est l’immortalité… Le grain n’est pas perdu, mais jour après jour il se renouvelle avec une vigueur et une fraîcheur nouvelles. C’est la vie aujourd’hui pour José Antonio ».
José Antonio Primo de Rivera : Presente !
Arriba Espana !
Olivier Grimaldi
Médaillé de la Vieja Guardia
Président du Cercle Franco-hispanique
Note
(1) José Antonio, la Phalange Espagnole et le national-syndicalisme, Arnaud Imatz, réédité en 2000 chez Godefroy de Bouillon, 600 pages cliquez là
(*) Présence de José Antonio cliquez ici
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mardi, 18 mars 2014
A nouveau disponible, vous pouvez acheter le dernier livre d'Anne Kling, "Menteurs et affabulateurs de la shoah" aux Bouquins de Synthèse nationale
Au fil des années, la shoah s’est transformée en sujet totalement tabou et sacralisé dans nos sociétés occidentales. Echappant aux historiens qui risquaient de la « banaliser », crime suprême, elle a fini par quitter le domaine du rationnel et de la critique historique pour entrer de plain-pied dans celui du « mystère ». Pour ne pas dire de la religion.
Dans ces conditions, il n’est guère étonnant que des petits malins aient exploité à leur profit un filon qu’ils jugeaient prometteur. Cet ouvrage relate un certain nombre des tromperies avérées de ces menteurs de la shoah, récits d’imaginaires souffrances ou de tribulations présentées comme autobiographiques.
Il relate également les affabulations, exagérations, inventions ou récupérations d’autres personnages, y compris celles d’anciens déportés dont les récits soulèvent quelques questions.
Menteurs et affabulateurs de la Shoah, Anne Kling, Editions Mithra, mars 2013, 256 pages, 18 €
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"SHOAH STORY", UN LIVRE A LIRE PAR LES ESPRITS LIBRES...
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Entretien avec Philippe Mozart, auteur.
Peu d’événements ont autant d’importance politique que la Shoah. Sa mémoire pèse sur la diplomatie et la politique militaire, notamment au Proche-Orient. Sa simple évocation rend difficiles l’expulsion d’immigrés clandestins ou les démantèlements d’un camp de Roms. Son enseignement est au cœur des programmes de l’Education nationale.
Elle est devenue une pièce centrale des discours mémoriels. Or la connaissance que nous avons de la Shoah a beaucoup évolué au cours des 70 dernières années.
Sans faire de concessions aux révisionnistes qu’il appelle « révigationnistes », Philippe Mozart présente une très intéressante histoire de l’histoire de la Shoah. Derrière le titre impertinent Shoah Story, cette histoire en abyme est pleine d’enseignements pour les esprits libres.
Philippe Mozart a bien voulu répondre à nos questions.
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Savez vous que l'histoire de la LICRA, la ligue vertueuse qui sévit en France, est intimement liée à celle de l'Ukraine des années 1920 ?
Tout est raconté dans le remarquable livre d'Anne Kling
"La France LICRAtisée". C'est édifiant !
A LIRE, ET A FAIRE LIRE !
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