mardi, 07 novembre 2017
Bonne nouvelle : le livre de Bernard Plouvier "LE POPULISME OU LA VÉRITABLE DÉMOCRATIE" est à nouveau disponible !
En rupture de stock depuis quelques semaines,
il est à nouveau disponible...
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vendredi, 03 novembre 2017
Hier encore en rupture de stock, ELLE VIENT D'ÊTRE RÉÉDITÉE !
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mercredi, 25 octobre 2017
Du nouveau chez Pardès : un "Qui suis-je ?" consacré à Carl Schmitt signé Aristide Leucate
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lundi, 23 octobre 2017
Il y a un an, à l'occasion du 60e anniversaire de l'insurrection de Budapest (octobre 1956), Synthèse nationale éditait l'intégralité de l'oeuvre magistrale de Davis Irving sur cet événement
L'acheter en ligne cliquez ici
À propos du livre de David Irving
Le cauchemar d’une nation
Un entretien avec Yannick Guibert
Automne 2016 , à l’occasion du 60e anniversaire du soulèvement de Budapest, Synthèse nationale a publié la traduction intégrale, inédite à ce jour, du livre « Budapest 1956 : le cauchemar d’une nation », de l’historien anglais non conformiste David Irving.
Nous publions ici un entretien réalisé pour le site EuroLibertés avec Yannick Guibert, traducteur de cet ouvrage en deux volumes.
Propos recueillis par Fabrice Dutilleul.
Que représente la Hongrie en Europe dans les années cinquante ?
Ce pays s’étend sur environ 90 000 km2, soit à peine un cinquième de la France, au cœur de l’Europe. Dominée par une capitale surdimensionnée qui concentre près du quart de la population (dix millions) et l’essentiel des activités économiques secondaires et tertiaires, le pays a alors des frontières communes avec la Tchécoslovaquie, l’URSS, la Roumanie, la Yougoslavie et l’Autriche avec laquelle il a aussi partagé une longue histoire commune.
Après la Ire Guerre mondiale, le traité de Trianon ampute la Hongrie des deux tiers de son territoire et de plus de la moitié de sa population. Dès 1920, après la brève et sanglante république des soviets de Bela Kun, l’amiral Horthy rétablit le Royaume (très catholique) de Hongrie dont il assume la régence. Alliée fidèle du IIIe Reich, la Hongrie sera envahie par les Soviétiques dès septembre 1944 ; ils occuperont Budapest en février 1945 après trois mois de siège.
Quel est le gouvernement qui prend la tête du pays en 1945 ?
C’est un gouvernement fantoche communiste formé à l’instigation des Soviétiques dès leur entrée en Hongrie et installé à Debrecen à la suite de l’Armée rouge. Dans le camp des vaincus, le peuple hongrois subit les exactions des vainqueurs : pillages déportations, viols illustreront la libération par les communistes.
Toutefois, en vertu des accords de Yalta, des élections libres sont organisées en novembre 1945 et elles furent un désastre pour Moscou : le Parti des Petits propriétaires obtint la majorité absolue (57%), suivi des sociaux-démocrates et des communistes (17%), le Parti national paysan arrivant quatrième. Les communistes hongrois tombaient de haut, mais leur chef, Matthias Rakosi – né Matthias Roth en 1898 à Budapest – disposait d’un atout majeur : la présence de l’Armée rouge. Doté d’une intelligence supérieure, il fut l’inventeur de « la tactique du salami » qui permit aux Communistes d’atteindre le pouvoir absolu dès 1948 après avoir menacé, noyauté, corrompu, abusé ses concurrents politiques et la population hongroise.
S’ensuivit une politique économique aberrante visant à imposer à ce pays profondément rural une industrie lourde et la collectivisation des terres. Parallèlement, la terreur rouge s’abattait sur le pays et tout opposant se voyait persécuté, enfermé, dénoncé : une première vague de procès staliniens épura le parti de tous ses éléments considérés comme trop tièdes. Une police politique très efficace, l’AVO (rebaptisée ensuite AVH), assurait la consolidation du régime. L’activité économique se délitait, la misère triomphait, une chape de plomb recouvrait la Hongrie.
Puis, au printemps 1953, la foudre frappa le monde communiste : Staline meurt ! Ceci entraîna des troubles bien au-delà du rideau de fer, mais notamment en Hongrie : grèves dans les aciéries chères au régime, manifestations paysannes massives dans la Puszta, la grande plaine hongroise. Un vent de réformes se leva qui se traduisit par une timide libéralisation économique et politique : un nouveau gouvernement formé par Imre Nagy, vieux routard du communisme, venait tempérer l’action de Rakosi qui demeurait à la tête du PC. Ce dernier put ainsi s’opposer efficacement à la Nouvelle Voie de Nagy et provoquer sa chute début 1955.
Mais il est trop tard pour revenir à un régime stalinien et l’année 1956 va connaître un foisonnement de contestations politiques dans les milieux intellectuels, même au sein du Parti…
C’est ce qui va conduire à l’insurrection de 1956 ?
Elle débutera à l’issue des grandes manifestations étudiantes, fruits de cette agitation intellectuelle, qui se déroulent le 23 octobre 1956 à Budapest.
Ce mardi, vers 15 heures, deux cortèges rassemblant une dizaine de milliers d’étudiants chacun s’ébranlent parallèlement au Danube, l’un côté Pest à partir de la faculté de droit, l’autre côté Buda à partir de Polytechnique. Tous les deux se dirigent vers les statues du général Bem et du poète Petöfi, héros de la révolution de 1848.
Initialement interdite par le Parti, la manifestation fut autorisée à la dernière minute face à la détermination des étudiants. Déstabilisé par la dénonciation du stalinisme au sein même du Kremlin par les nouveaux maîtres et en premier lieu Nikita Khrouchtchev lui-même, le Parti communiste hongrois s’est ramolli : il a même interdit à la police de tirer.
Tout se déroule dans un calme bon enfant jusqu’à la dislocation vers 18 heures où certaines voix s’élèvent pour que l’on puisse exprimer à la radio les revendications des étudiants ; de plus, entre-temps, de nombreux ouvriers des équipes du matin qui venaient de débaucher s’étaient joints à la manifestation, ainsi que les employés qui sortaient des bureaux : plus de 50 000 personnes se retrouvèrent ainsi dans la rue. Alors qu’un petit groupe allait à la maison de la radio pour exiger la diffusion de leurs revendications, la masse des manifestants se dirigea vers la place du Parlement où la foule rassemblée exigea le retour au pouvoir d’Imre Nagy.
À la maison de la Radio, durant la nuit, l’affrontement tourne au drame, les gardes de l’AVH chargés d’en interdire l’accès, affolés par la pression des manifestants, ouvrent le feu, faisant une dizaine de victimes. Scandalisés par ces meurtres, des policiers réguliers et des officiers de l’armée commencent à donner des armes aux manifestants. Puis deux fausses ambulances font irruption : il s’agit en fait de transports d’armes et de munitions camouflés pour l’AVH encerclée à l’intérieur de la Radio… La foule s’en empare et l’affrontement tourne à la guérilla jusqu’au petit matin. Durant la nuit, d’autres manifestants déboulonnent la gigantesque statue de Staline qui dominait la place des Héros.
Comment réagit le gouvernement communiste ?
Affolé, le Politburo qui venait de nommer Imre Nagy à la tête du gouvernement, fait appel aux troupes soviétiques stationnées en Hongrie pour rétablir l’ordre. Les blindés soviétiques investissent les rues de Budapest au petit matin et se positionnent autour des centres nerveux du gouvernement.
Le 24 au matin, tout a basculé : ce ne sont plus des intellectuels ou des étudiants qui occupent la rue, mais les classes populaires, et en premier lieu des ouvriers, armés et avides d’en découdre. Ils attaquent les commissariats pour trouver des armes, récupèrent celles des clubs de tir sportifs de leurs usines et s’emparent même d’arsenaux de banlieue qu’ils connaissent bien.
Les insurgés établissent des places fortes notamment à la caserne Kilian où le colonel Maléter rejoint la cause rebelle, le cinéma Corvin à Pest, places Széna et de Moscou à Buda.
La marée rebelle se répercute de villes en villes : Györ, Debrecen… avec une grève générale dans tout le pays et le démantèlement des fermes collectives dans les campagnes.
En une semaine, le Parti communiste hongrois s’est effondré : de ses 800 000 adhérents, il ne peut plus compter que sur l’AVH et l’Armée Rouge pour le défendre. Son siège à Budapest est pris d’assaut le 30 octobre et ses occupants massacrés Mais après un cessez-le-feu et le départ apparent de l’Armée Rouge de Budapest, Kadar et Münnich forment un gouvernement prosoviétique le 4 novembre… C’est le retour des troupes russes qui écrasent l’insurrection entre le 4 et le 11 novembre, même s’il y a encore des combats sporadiques jusqu’au début décembre.
Le bilan est de 2 500 à 3 000 morts, 17 000 à 19 000 blessés (dont 80 % à Budapest), tandis que 200 000 Hongrois parviennent à se réfugier en Autriche.
Source EuroLibertés, 29 novembre 2016
Pour commander les deux volumes de David Irving :
Insurrection Budapest 1956 : le cauchemar d’une nation (vol. 1), 330 p., 22 € cliquez ici
Insurrection Budapest 1956 : le cauchemar d’une nation (vol. 2), 352 p., 22 € cliquez là
Les deux volumes cliquez ici
Ecoutez, ou ré-écoutez, l'émission Synthèse réalisée le sur Radio Libertés sur l'insurrection de Budapest le novembre 2016 cliquez là
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samedi, 14 octobre 2017
Aujourd'hui, samedi 14 octobre, Charles-Henri d'Elloy dédicacera son livre "Les enfants de Maastricht" à la Librairie française à Paris
La Librairie française cliquez ici
Les enfants de Maastricht cliquez là
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samedi, 07 octobre 2017
Carl Lang invité du Journal du PdF
INFORMATION IMPORTANTE :
La parution du livre-entretien de Carl Lang avec Jean-François Touzé avait été annoncée pour le 1er octobre. Cependant un problème imprévu, indépendant de notre volonté, nous a amené à retarder celle-ci de quelques semaines. Les livraisons seront effectuées dès la date de la parution.
Nous prions les nombreux lecteurs qui ont passé des commandes de bien vouloir nous excuser.
S.N.
Le livre est bien-sûr toujours en pré-vente cliquez ici
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vendredi, 29 septembre 2017
Samedi après-midi : Sébastien Jallamion dédicacera son livre à la Librairie française
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lundi, 18 septembre 2017
Le 30 septembre et le 1er octobre Patrick Gofman est très occupé
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PARUTION LE 1er OCTOBRE À L'OCCASION DE LA JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE DU LIVRE DE CARL LANG : UN CHEMIN DE RÉSISTANCE
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mercredi, 13 septembre 2017
Sur ADG de Thierry Bouclier, édité dans la collection Qui suis-je ? chez Pardès
Camille Galic Polémia cliquez ici
Disparu à l’âge de 56 ans, A.D.G. révolutionna le polar mais il fut aussi l’inventeur d’une forme de journalisme mêlant critique acérée de la scène politique, fiabilité de l’information et recherche d’un style extrêmement travaillé sous une apparence rigolarde et populiste, comme on ne disait pas encore.
C’est donc un homme et un auteur assez inclassable que Thierry Bouclier présente dans l’excellente collection Qui suis-je ?
Fin des années 1990 de l’autre siècle. De l’atelier jouxtant mon bureau fusent des éclats de rire. Inutile d’en demander la cause : Jacques Dupuy Le Doublet, notre maquettiste, est en train de formater la chronique d’Alain Fournier, alias Alain Camille, alias Alain Dreux-Gallou, alias A.D.G.– dont Thierry Bouclier, avocat de son état, vient de publier la chaleureuse et dense biographie (1).
Petit-fils d’un ouvrier tourangeau militant communiste, frère d’un prêtre très conciliaire mais aussi ancien enfant de troupe, expérience dont il était fier, A.D.G., qui tâta du socialisme avant de rejoindre la droite radicale par la voie de l’anarchisme et la découverte de Céline, est arrivé à Rivarol en avril 1996, en provenance du Libre Journal de Serge de Beketch (ancien enfant de troupe lui aussi) où il signait des chroniques papoues assez hilarantes. Dans l’hebdomadaire « de l’Opposition nationale et européenne », il se fait plus sérieux, commentant au fil des semaines un remaniement ministériel, une bourde présidentielle comme il n’en manqua pas sous Chirac ou encore un congrès des Verts, mais toujours avec l’inimitable « patte » qui, à Minute dont il fut un collaborateur vedette de 1973 à 1985 ainsi qu’à la Série noire, dont il était le seul auteur « réac» face à une horde de gauchistes, avait fait son succès. Ses romans policiers sont drolatiques, parfois patoisants, grouillant d’une faune étrange et goûteux à souhait : Le Grand Môme, Pour venger Pépère, Cradoque’s Band, La Nuit des grands chiens malades dont Georges Lautner tira le film Quelques messieurs trop tranquilles sur un scénario de Michel Audiard (excusez du peu), etc. Avec son double inversé Jean-Pierre Manchette, comme lui pilier de la Série noire et « lecteur boulimique » mais très proche pour sa part de l’Internationale situationniste, A.D.G. a donné, ainsi que l’écrivit Dominique Venner cité par Bouclier, « un terrible coup de vieux à tout un pan du polar à la française… Impossible après eux d’écrire comme avant ».
Entre Minute, où ses billets intitulés « Minute babillons » sont très prisés, et la « Noire », le Tourangeau (qui défendait férocement les rillettes de sa ville contre celles du Mans et se faisait le champion des vins de Loire) est devenu une célébrité, invité partout et notamment – la Pensée unique ne régissait pas encore totalement l’audiovisuel – à plusieurs émissions de Bernard Pivot ou de Michel Polac, sur le plateau duquel il se castagne avec le dessinateur Siné. La belle vie pour celui qui se définit comme « un peu anar mais royaliste légitimiste, d’extrême droite ».
Toutefois, une actualité plus sombre le rattrape. Deux reportages au Liban, aux côtés des Kataïeb chrétiens, le marquent profondément avant qu’il ne s’envole en 1982 pour la Nouvelle-Calédonie où s’affrontent Caldoches et Canaques et y fonde, en même temps qu’une nouvelle famille – et, ami de Jean Raspail, qu’un vice-consulat de Patagonie ! – l’hebdomadaire loyaliste Combat calédonien. Le journal portait bien son nom : très offensif et… très favorable au Front national dont, responsable local, il accueillera le président Le Pen, Jean-Marie de son prénom, prénom qu’Alain donnera à son fils né sur « le Caillou ».
Comme le dit son biographe, « jeux de mots laids et calembours bons » abondent dans les papiers de sa période rivarolienne comme naguère dans ses polars, mais aussi gallicismes cocasses et mots-valises ; certains étaient géniaux et d’ailleurs pillés sans vergogne ensuite par des confrères, tel ce « bobardement » figurant dans le titre de son article de mars 2003 sur l’invasion de l’Irak par les Etats-Unis, agression précédée depuis des mois par la scandaleuse et surtout mensongère campagne d’intoxication menée de Washington sur la prétendue détention par Saddam Hussein d’un redoutable arsenal d’armes « de destruction massive » – mensonge reconnu sans la moindre gêne, dès le mois de mai suivant, dans le magazine Vanity Fair par Paul Wolfowitz, numéro deux du ministère américain de la Défense.
Alain, qui, ayant des amis dans les deux camps, avait été durement affecté à partir de décembre 1998 par la crise du Front national, était déjà très affaibli par sa lutte contre le Crabe. Les séances de chimio le terrassaient. Souvent, allant dans son bureau, je le trouvais endormi, la tête sur le clavier de son ordinateur d’où, n’ayant pas été enregistrées à temps, les dernières lignes de son article avaient sauté. L’actualité ne le passionnait plus comme autrefois mais cette année 2003 lui fut pourtant propice avec la réédition de La Nuit myope, très joli livre aux antipodes (c’est le cas de le dire) de son ambitieuse fresque néo-calédonienne Le Grand Sud, dont il affirmait lui-même qu’elle « puait des pieds » pour souligner son ancrage dans la réalité parfois sordide des bagnards, et la publication de Kangouroad Movie (2) – encore un terme valise. Ce roman d’aventures très enlevé se déroulant dans l’Outback australien, très loin de son petit Liré, fut presque unanimement salué par la presse, dont Libération, une revanche sur trois lustres d’ostracisme. Dans son malheur, il pouvait surtout compter sur l’assistance et le dévouement de Martine Joulié, une jeune femme exceptionnelle par l’intelligence, la culture et la générosité, qu’il devait épouser le 5 juillet 2004 lors d’une cérémonie célébrée à Saint-Eugène, ce qui lui plut à double titre : d’une part, c’est là que Jules Verne s’était marié en 1857 et, d’autre part, l’abbé François Potez qui officiait était un prêtre selon son cœur, puisque ancien officier de marine.
Nous étions voisins de palier. Quatre mois plus tard, en revenant du journal au soir du 1er novembre, je tombai sur l’équipe du Samu qui, appelée par Martine, tentait de sauver Alain de l’étouffement. Sans succès. Il avait 56 ans.
A.D.G., dont la verve – qui est souvent la politesse des pessimistes et des natures inquiètes, et Alain n’était un joyeux drille qu’en apparence – nous avait tant fait rire, nous faisait maintenant pleurer. Merci à Thierry Bouclier d’avoir ressuscité l’œuvre et la personnalité d’un auteur profondément original, incarnation d’une littérature et d’un journalisme si authentiquement français. Et même identitaires.
Notes :
- Thierry Bouclier, A.D.G., coll. Qui suis-je ?, éditions Pardès, 11/08/2017,128 pages.
- Archives Polémia cliquez ici
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samedi, 12 août 2017
CET ÉTÉ, LISEZ LA PRESSE NATIONALE & IDENTITAIRE
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jeudi, 10 août 2017
Pour acheter le livre d'Alban d'Arguin, Eoliennes un scandale d'Etat...
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lundi, 07 août 2017
IL VIENT DE SORTIR : LE NOUVEAU RECUEIL DE CHANSONS TRÈS ATTENDU DE THIERRY BOUZARD
Les Chansons de notre identité
Un recueil exceptionnel, avec l’histoire de chacune d’entre eux, de 220 chants politiques, militaires, religieux, historiques, scouts, marins, bretons, vendéens, d’ailleurs, modernes et anciens et même à boire… Bref une partie non négligeable de notre patrimoine. Un ouvrage remarquable réalisé par Thierry Bouzard, journaliste et musicologue bien connu des patriotes.
318 pages, 220 chansons, nombreuses illustrations, 27 €
Le commander en ligne cliquez ici
À ceux qui l'ont déjà commandé, les expéditions seront faites cette fin de semaine. Merci pour votre patience.
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jeudi, 13 juillet 2017
Pour cet été, le nouveau livre de Charles-Henri d'Elloy, "Les enfants de Maastricht" est paru...
Souvenez-vous de l'été 1992. Il y a 25 ans, les Français étaient conviés à se prononcer par référendum sur le traité de Maastricht...
« La génération Maastricht ne se compose pas seulement des jeunes cabotins des émissions de téléréalité. Contre toute attente, et malgré le matraquage des médias et la propagande dispensée dans les grandes écoles, il demeure une jeune élite, rebelle aux forces dominantes. Ces réactionnaires forment-ils le dernier carré de la jeune garde qui meurt et ne se rend pas ? Seraient-ils les derniers légionnaires de Camerone ? L’Histoire n’est pas écrite d’avance. Il ne faut jamais, jamais croire à un quelconque “sens de l’Histoire” ; cette expression ayant été inventée par des fatalistes et des défaitistes qui, par calcul ou par lâcheté, se sont souvent ralliés aux forces du déclin. »
Sans complaisance ni dramatisation, Charles-Henri d’Elloy esquisse le portrait d’une jeune génération qui devra assumer sa part de responsabilité dans la destinée d’une France confrontée aux fracas des grands bouleversements de l’Histoire du monde.
Les enfants de Maastricht, Charles-Henri d'Elloy, Les Bouquins de Synthèse nationale, 88 pages, 18 €
Sortie le 28 juin : le commander dès maintenant en ligne cliquez ici
Le précédent essai de Charles-Henri d'Elloy cliquez là
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dimanche, 09 juillet 2017
Avez-vous lu le nouveau Bouquin de Synthèse nationale consacré à la Hongrie, son histoire et sa politique ?
La Hongrie a toujours été rebelle par rapport aux diktats que l'on a voulu lui imposer. En 1956, elle se soulevait contre le régime communiste qui l'asservissait. Aujourd'hui, elle montre l'exemple à ceux qui veulent se dégager de la tutelle de la bureaucratie bruxelloise.
Mais la Hongrie, son peuple, son histoire et ses traditions sont trop souvent méconnus du reste de l'Europe. Un peu comme si on cherchait à l'isoler afin d'éviter que son "mauvais esprit" devienne contagieux.
Voilà pourquoi il nous a semblé intéressant de publier cette étude que nous devons à Jean-Claude Rolinat, grand voyageur et fin connaisseur de ce pays courageux. Le lecteur pourra ainsi mieux comprendre la politique hongroise, là où la "droite musclée" est au pouvoir et où l'extrême droite est l'opposition...
Ce livre est le premier de la collection "Notre belle identité européenne" créée par Synthèse nationale et destinée aux Européens non reniés.
Avec un texte de Georges Feltin-Tracol
La Hongrie, sentinelle de l'Europe, Jean-Claude Rolinat, Les Bouquins de Synthèse nationale, juin 2017, 192 pages, 20 €
Le commander en ligne cliquez ici
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Sortie d'un magnifique album racontant l'histoire du Kosovo, signé Luc Luret
Remarquable album de 80 planches, riches en illustrations, relatant, étape après étape, l'histoire de ce petit pays tant convoité par ceux qui veulent la destruction de la Serbie.
Luc Luret, bon cconnaisseur de l'histoire des Balkans, à qui nous devons le livre Kosovska (La Cocarde 2016), nous raconte le passé du Kosovo, coeur de la Serbie, et nous aide à mieux comprendre ce qui se passe aujourd'hui.
Histoire illustrée du Kosovo et Métochie, Luc Luret, 80 planches illustrées, 2017, 15 € (+ 4 € de port)
Pour le commander cliquez ici
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samedi, 08 juillet 2017
N'OUBLIEZ PAS DE COMMANDER NOS NOUVEAUX LIVRES POUR CET ÉTÉ
SYNTHÈSE ÉDITIONS CLIQUEZ ICI
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dimanche, 02 juillet 2017
Les enfants de Maastricht, le nouveau livre de Charles-Henri d'Elloy
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jeudi, 15 juin 2017
"ANNÉES DE PLOMB ET SEMELLES DE VENT", LE LIVRE DE GABRIELE ADINOLFI RÉÉDITÉ À L'OCCASION DE LA RÉUNION DE SAMEDI PROCHAIN
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vendredi, 09 juin 2017
Les Bouquins de Synthèse nationale : deux nouvelles parutions à la fin du mois... et une surprise
Sortie : 25 juin 2017
Les chansons de notre identité cliquez là
Cahier d'Histoire du nationalisme n°12 cliquez ici
On en reparle...
Consultez Synthèse éditions cliquez ici
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jeudi, 01 juin 2017
L’Europe des peuples face à l’Union européenne
Franck Buleux avait écrit un livre fort intéressant l'an passé sur la logique réunification de la Normandie. Il récidive ces derniers jours avec un nouvel ouvrage consacré à l'Europe des peuples. Notre confrère et ami EuroLibertés l'a interrogé. Cela donne :
Vous publiez un essai sur l’Europe par opportunisme, du fait de l’actualité porteuse ?
L’Europe fait effectivement couler beaucoup d’encre, mais surtout du point de vue des obligations faites aux États et aux citoyens par les normes impératives issues de l’Union européenne. Il est plus question de directives que de peuples dans le discours ambiant, même si un « réveil » se fait perceptible, ici ou là.
Un réveil ?
Oui, un réveil des peuples : l’Europe est constituée de nations-États, nous ne remettons pas cela en cause, mais aussi de patries charnelles fortement identifiées à l’intérieur des structures étatiques constituées. En effet, une nation ne pourrait-elle pas être constituée de plusieurs peuples ? Eh bien, au sein des États, des peuples se réveillent, de la Catalogne à la Lombardie, de l’Écosse à la Corse, chaque patrie charnelle revendique sa propre identité, parfois issue du fond des âges, spécifique. Cette identité peut être fondée sur une langue, une histoire, des traditions ancestrales communes…
Vous évoquez dans votre titre les peuples contre l’Europe. Est-ce toujours le cas ?
C’est effectivement un raccourci médiatique. Un peuple peut d’abord vouloir s’émanciper de la nation-État dont il est issu et, a contrario, souhaiter s’intégrer au sein d’une volonté européenne, et donc d’une structure de type fédérale. Chaque courant identitaire a ses propres options. Enfin, il faut distinguer l’Europe, véritable Finistère du bloc eurasiatique et l’Union européenne, structure humaine et, par nature, éphémère.
On peut donc être régionaliste et européen ?
Oui, vouloir, comme une grande partie de la population de l’Écosse, se défaire du Royaume-Uni pour mieux réintégrer l’Union européenne est un exemple emblématique de ce type de choix. Par contre, il est clair que ce type de régionalisme, de populisme identitaire, n’est pas persona non grata au sein de l’Europe actuelle. Par contre, un régionalisme antieuropéen est le plus souvent diabolisé par les institutions. Mais, au-delà des institutions, on peut être régionaliste et européen, sur le modèle d’une Europe aux cent drapeaux. La notion de nation est parfois très récente, en tout cas plus récente qu’un territoire enraciné.
Les régionalismes européens ne sont donc pas homogènes ?
Ni même unis, loin de là ! Dans mon essai, vous lirez qu’il existe des régionalismes proches des Verts, donc de l’ultra-gauche, mais aussi des communistes, de la droite souverainiste, libérale ou identitaire. En matière idéologique, il n’y a pas d’unicité. Il y a une volonté émancipatrice issue d’un fondement, parfois l’identité étatique sera perçue comme une manifestation colonialiste, d’où l’évolution, dès les années 1960, de certains régionalistes vers la gauche idéologique.
Peut-on parler de populisme ?
Absolument, le populisme est une réaction populaire à un certain ordre, issu d’une élite. Ici, il s’agit d’une réaction contre un État jacobin ou considéré comme tel (Tous les États européens ne sont pas aussi jacobins que le nôtre…). Ce populisme s’appuie sur l’histoire des peuples, sur la mémoire européenne : en ce sens, il se veut pérenne.
Cette forme de populisme identitaire est-elle purement historique, voire ethnique ?
Non, justement, le populisme fiscal a largement investi les programmes politiques des régionalismes, même les plus enracinés. On constate que, le plus souvent, les régions les plus riches sont les plus revendicatrices en matière d’autonomie, de délégations de pouvoirs issues de l’État central. Le Pays basque, la Catalogne, l’Écosse, la Lombardie et la Flandre sont des territoires qui se plaignent de payer pour les autres territoires, plus pauvres. L’Italie du Nord contre le Mezzogiorno ! Il y a, aussi, une forme de « régional-égoïsme ». Mais à l’heure de l’homo economicus, comment pourrait-on leur en vouloir ? Il y a bien longtemps que le régionalisme identitaire basque est devenu un régionalisme européo-compatible. La fonction économique a dépassé, dans le contexte basque, la fonction biologique… Je fais référence à cette tradition indo-européenne qui fait de la population basque, un peuple issu d’une langue homogène.
Quel est le rôle de l’Union européenne dans cette poussée des régionalismes ?
L’Union européenne prend en compte les régions, notamment via un système de dotations financières. Elle a compris que certaines régions étaient plus fidèles à l’Union que les États dont ces régions sont issues… Parfois, le mouvement régionaliste rejette les deux structures, l’État et l’Union… L’Union européenne est une structure mutante, c’est-à-dire qu’elle n’a aucune figure préalable, elle peut-être un assemblage d’États comme une fédération supranationale ; en réalité, elle se situe entre les deux, mais elle pourrait favoriser les régions, pour pouvoir survivre. L’Union européenne est ce que les États en font, et surtout les majorités politiques issues de ces mêmes États… Elle ne théorise rien.
Et la France ? Est-elle concernée ?
Plus faiblement que la plupart de ses voisins.
La France jacobine est menacée par l’autonomisme corse sur le Continent. Nous l’avons vu lors des élections régionales de 2005 : la victoire de l’union des autonomistes et des indépendantistes a choqué le pouvoir central. Vous lirez dans mon essai les liens entre les autonomistes et les institutions européennes. En métropole, les régionalistes obtiennent de bons scores en Alsace et en Bretagne (entre 5 et 8 %), des terres aux identités reconnues et maintenues. Au-delà, les territoires d’Outre-Mer sont plus sensibles aux sirènes indépendantistes, ce qui est logique compte tenu de leur éloignement géographique.
L’Europe a perdu le Groenland…
Oui, cela peut paraître anecdotique, mais je l’ai souligné dans mon essai car, outre le point de vue dimensionnel, cette terre est un véritable « pont » entre l’Europe et le Nouveau monde. La découverte de ce territoire par un homme du Nord est le début de la découverte du continent américain. La « perte » du Groenland est donc, symboliquement, dommageable car il isole l’Europe alors que notre territoire fut le véritable catalyseur du monde. Le Groenland fait toujours partie de la Couronne danoise, c’est une consolation.
Et demain ?
Je pense que l’Europe devrait se refonder sur les peuples qui la composent. Chaque ère de notre sous-continent a ses propres qualités : le Nord est porté, naturellement, vers la Mer, le Sud vers les relations méditerranéennes, l’Est a un rôle essentiel à réaliser avec notre partenaire russe.
Et surtout, ne confondons pas l’Europe et l’Union européenne. L’une est éternelle, comme la vitalité de ses peuples.
L’Europe des peuples face à l’Union européenne de Franck Buleux, préfacé par Georges Feltin-Tracol, éditions L’Æncre, collection « À Nouveau Siècle, Nouveaux Enjeux », dirigée par Philippe Randa, 226 pages, 25 euros.
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mardi, 30 mai 2017
"LA HONGRIE SENTINELLE DE L'EUROPE", JEAN-CLAUDE ROLINAT S'EXPLIQUE...
Jean-Claude Rolinat, vous publiez aux éditions les Bouquins de Synthèse Nationale, votre 20e ou 21e ouvrage, avec vous on ne sait plus ! Il est consacré à la Hongrie. D’où vous vient ce goût pour « l’étranger », au sens noble du terme. Vous trainez dans votre sillage la réputation d’être un « grand voyageur ». Vous avez d’ailleurs signé de nombreux papiers et reportages dans des titres amis comme National-Hebdo, Ecrits de Paris, Rivarol, Présent, Synthèse nationale et vous tenez chaque jeudi matin une petite chronique de politique étrangère sur RADIO LIBERTES, pourquoi ?
JCR – Réputation un peu usurpée tout de même, il manque à ma collection, excusez du peu, l’Iran, la Chine, l’Australie, la Corée ou Taïwan, sans compter la…Corse, la plus proche de nos iles lointaines ! Les lectures de TINTIN, SPIROU et BUCK DANNY m’inspiraient plus que Le CID de Corneille ou LES PLAIDEURS de Racine ! J’ai sans doute été influencé par toutes ces aventures qui se déroulaient dans des pays réels ou imaginaires. Des occasions ici ou là, se sont présentées et j’ai un peu « bourlingué » partout où l’histoire s’écrivait. Ça continue, mais en classe « pépère ». Je pars en Pologne très bientôt, à la recherche du « plombier polonais » ! (rire…).
Oui mais, la Hongrie, pourquoi consacrer un livre à la Hongrie ?
JCR – C’est le premier titre d’une collection appelée, je l’espère, à s’enrichir d’un nouveau livre tous les 8 ou 9 mois, le temps d’une gestation en quelque sorte. La Hongrie est un pays à la longue mémoire, injustement traité par l’histoire, une terre matrice d’un peuple courageux : on l’a vu dans ses révoltes contre l’Autriche avant qu’il ne devienne un sage partenaire de l’Empire, face à la mainmise du bolchévique Béla Kun, dans son engagement – risqué – sur le front de l’Est, contre les Soviétiques par son héroïque résistance. Justement, l’année dernière, nous commémorions le 60e anniversaire de la révolte de Budapest qui, en 1956, fit l’admiration du monde entier. Les anciens du PC « F » à Paris doivent s’en souvenir encore, les murs de « l’HUMA » avaient eu chaud ! Ayant visité cet agréable pays - il y a de bonnes tables et la bière y est fraiche ! - et sa non moins séduisante capitale, Budapest, j’ai proposé à Roland Hélie ce titre, « La Hongrie, sentinelle de l’Europe ». Ce livre résume son histoire, analyse sa position actuelle de résistance – encore ! – à L’Union européenne, qui n’est plus qu’une sorte d’Union soviétique sans le goulag. Viktor Orban incarne cette fierté nationale, cette volonté de refuser l’invasion de sa patrie malgré le chantage et les diktats de Bruxelles. Pour cela, il est soutenu par les nationalistes de ce pays, notamment le JOBBIK, une variante très curieuse de l’espace nationaliste européen. Le seul mouvement classé à « l’extrême-droite » qui a, un peu, les « yeux de Chimène » pour la Turquie d’Erdogan.
Mon éminent confrère Georges Feltin-Tracol, développe admirablement cet aspect dans un chapitre spécial.
Cette collection « Notre belle identité européenne », est-elle appelée à s’enrichir ?
JCR- Je l’espère. Le nombre de lecteurs de ce premier titre sera un indicateur. Il y a dans les terres de nos pères tant et tant de merveilles artistiques, touristiques, tant et tant de légendes et d’actes héroïques à vulgariser, qu’une vie ne suffirait pas à venir à bout de la tâche. Je pense à des Etats comme le Portugal ou la Grèce, et j’espère que des amis, spécialistes d’autres pays, pourront se joindre à nous et enrichir, au fil des ans, cette collection, une sorte « d’arsenal historico-politico-touristique » si vous me passez cette expression un peu « barbare » , pour lutter contre la désinformation qui gangrène nos chères petites têtes, de moins en moins blondes d’ailleurs….
Jean-Claude Rolinat, nous vous remercions.
Propos recueillis par Anne Ravinet
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samedi, 20 mai 2017
SAMEDI 20 MAI : ALBAN D'ARGUIN DÉDICACERA "ÉOLIENNES UN SCANDALE D'ÉTAT" À LA LIBRAIRIE DUQUESNE DIFFUSION (PARIS)
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vendredi, 07 avril 2017
Pour comprendre la Syrie :
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samedi, 25 mars 2017
Gaston Couté : un poète qui n’a pas si mal tourné que ça !
« Mises en musique, ses chansons ont fait l’objet de plus d’une centaine d’enregistrements dont certains très récents et des "diseurs" et chanteurs continuent de monter des spectacles sur ses textes »
Entretien avec Alain Renault, auteur de Gaston Couté – Compléments d’enquête (éditions Dualpha). Propos recueillis par Fabrice Dutilleul).
Gaston Couté est-il actuel ?
Le poète Gaston Couté, auteur de La chanson d’un gâs qu’a mal tourné, mort en 1911 à 31 ans, n’est jamais tombé dans l’oubli et n’a pas manqué d’être apprécié jusqu’à nos jours. Mises en musique, ses chansons ont fait l’objet de plus d’une centaine d’enregistrements dont certains très récents et des « diseurs » et chanteurs continuent de monter des spectacles sur ses textes. Il reste donc très vivant même si un Musée lui est consacré à Meung-sur-Loire… Dans cette ville des « journées Gaston Couté » se tiennent chaque année en septembre avec de nouveaux artistes et un public toujours intéressé.
Mais a-t-il fait l’objet d’études ?
D’abord ses principaux textes sont régulièrement republiés en de nombreuses anthologies. Au moins deux biographies et une étude universitaire lui ont été consacrées et plusieurs sites internet poursuivent la tâche. Il y a quelques décennies, une édition en cinq volumes avait vocation à offrir ses « œuvres complètes », travail sans fin…
Qu’apporte donc votre ouvrage ?
Comme son titre l’indique, il offre des « compléments ». Il n’a pas vocation à reprendre ce qui a déjà été fait, ni à initier le néophyte. Il s’adresse à ceux qui ont déjà une connaissance au moins élémentaire des œuvres et de la vie de Gaston Couté.
On découvre ou redécouvre régulièrement de nouveaux poèmes. Mon ouvrage comporte ainsi certains de ses textes perdus et inédits dont on ne connaissait que le titre et d’autres parfaitement inconnus jusqu’à ce jour. S’y ajoutent des textes retrouvés pour avoir déjà été publiés dans des revues de son époque, mais qui avaient échappé aux recensions et éditions ultérieures.
Sa biographie est complétée par quelques épisodes pittoresques de son existence négligés ou erronés dans des ouvrages déjà parus, et des portraits de ses interprètes dans les années 20, époque où est popularisé son plus célèbre morceau, Va danser, même s’il n’est pas le plus représentatif de son œuvre. On trouvera aussi un prolongement à notre précédente discographie et quelques autres éléments autour du souvenir de Couté.
Gaston Couté – Compléments d’enquête d’Alain Renault, 160 pages, 15 euros, éditions Dualpha, collection « Patrimoine du spectacle », dirigée par Philippe Randa
Source EuroLibertés
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vendredi, 10 mars 2017
Gérard Letailleur vient de publier un recueil de contes intitulé : PÂQUES DE LA SAINTE RUSSIE
Les contes russes constituent un vaste univers dont les racines remontent aux temps les plus reculés. Ils ont conservé leur symbolique dans la mémoire populaire grâce à la riche palette de leurs couleurs, leur sens du mouvement, leurs nobles sentiments, et parfois leur charmante naïveté.
Dans cet ouvrage, ceux que nous avons choisis ont un point commun : la fête de Pâques. venue de Byzance au Xe siècle, à l’époque où les premiers slaves posèrent le pied sur le territoire russe entre la Haute Volga et le Dniepr, cette célébration revêt dans la liturgie orthodoxe une dimension fastueuse.
Les plus beaux contes de Pâques portent la signature d’écrivains exceptionnels, à l’instar d’Alexandre Pouchkine, Léon Tolstoï, Anton Tchékhov, Alexandre Kouprine, Fédor Dostoïevski…
Gageons que la redécouverte de ces petits joyaux tisse de nouveaux liens d’amitié entre nos deux peuples et contribue au renouveau spirituel de l’Occident chrétien.
Gérard Letailleur, éditeur d’ouvrages de bibliophilie, est l’auteur de nombreux livres consacrés à l’histoire, dont le dernier, L’histoire insolite des cafés parisiens, préfacé par Jean Piat, paru aux éditions Perrin, a rencontré un vif succès couronné par le prix de l’Académie Rabelais 2013.
Illustrations de Françoise Pichard.
Pâques de la sainte Russie, Gérard Letailleur, Via Romana, 139 pages, 19 € cliquez ici
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jeudi, 09 mars 2017
EOLIENNES UN SCANDALE D'ETAT, LE LIVRE RÉQUISITOIRE D'ALBAN D'ARGUIN EST SORTI : COMMANDEZ-LE, DIFFUSEZ-LE !
18:52 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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vendredi, 03 mars 2017
Avez-vous lu le réquisitoire d'Alban d'Arguin contre les éoliennes ?
19:22 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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vendredi, 17 février 2017
Avez-vous lu le roman de Modeste Lakrite "L'Edit de Mantes" ?
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09:43 Publié dans Livres | Tags : avez-vous lu le livre de modeste lakrite, "l'edit de mantes" | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mercredi, 15 février 2017
LE POPULISME OU LA VERITABLE DEMOCRATIE de Bernard Plouvier
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