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vendredi, 13 février 2015

Un nouveau numéro (n°16) de la revue Livr'arbitres

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vendredi, 06 février 2015

Un nouveau "Qui suis-je ?" consacré à Ian Smith...

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Ian Douglas Smith (1919-2007) : « Je dirai que la colonisation est une chose merveilleuse. Elle répandit la civilisation en Afrique. Avant il n'y avait pas d'eau, pas de langue écrite, pas de roue comme nous le savons. Pas d'écoles, pas d'hôpitaux, pas même de vêtements normaux.» (Mémoires.)

Il était, il est toujours, de bon ton dans les cercles « éclairés » de gloser sur les méfaits du « colonialisme », d'insister sur la faiblesse des cours des matières premières et sur l'égoïsme des « pays riches » comme cause essentielle du sous-développement. L'école marxisto-tiers-mondiste a chargé l'Europe de tous les péchés, faisant l'impasse sur le fait tribal, l'épuisement des sols, l'explosion démographique, le népotisme, la corruption, sans parler des fléaux endémiques que la colonisation était partiellement parvenue à endiguer. La Rhodésie, si elle avait vécu, aurait pu constituer une heureuse exception. Elle l'aurait due à un homme, héros de la Deuxième Guerre mondiale, pilote de la Royal Air Force et fermier dans son pays natal : Ian Douglas Smith.

Pendant quinze héroïques années, les Rhodies, sous la houlette de leur déterminé Premier ministre, homme d'honneur et de parole, ont ­résis­té au monde entier, subissant sans broncher les retombées des sanctions décrétées par l'ONU et les mauvais coups d'une guérilla sanguinaire soutenue par le camp sino-soviétique. C'était, déjà, une guerre de la civilisation contre la barbarie.

Dans ce « Qui suis-je ? » Ian Smith, l'auteur dé­mon­tre que, avec « le Lion au coeur fidèle » à la tête de sa minorité blanche, la Rhodésie s'en sortait mieux, pour la prospérité de tous, que le Zimbabwe « indépendant » entre les mains du klepto­crate totalitaire Robert Mugabe.

Ian Smith, Collection "Qui suis-je ?", Pardès, Jean-Claude Rolinat, 128 pages, 12 €

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lundi, 02 février 2015

Avez-vous lu le livre de Gabriele Adinolfi ?

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Dans quelques jours, vous pourrez le commander en ligne...

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Kontrekulture reçoit Gabriele Adinolfi


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dimanche, 01 février 2015

Un livre raconte la résistance des catholiques corses face à la provocation du Piss Christ...

 

couverture.jpgDu 26 juin au 29 septembre 2014, à travers une exposition blasphématoire, la perversion anti-chrétienne sévissait en Corse, terre Mariale pétrie de christianisme. C'est la mise en échec de cette nouvelle manœuvre de subversion mondialisée qui est recensée dans ce livre d'agréable présentation.

À Ajaccio, du 26 août au 29 septembre, manifestations publiques, pétitions, interpellations des autorités civiles et religieuses, soutenues pendant ces trente-cinq jours par la grève de la faim de François Veyret-Passini, sont témoins de la réaction spontanée et efficace au-delà même de leurs espérances de ces manifestants.

L'auteur : François Veyret-Passini, né en 1964, est Corse, de Bonifacio, par sa mère. Il est marié et père de onze enfants, conducteur de trains, militant catholique et nationaliste.

180 pages, 20 € (franco)
Pour le commander : cliquez ici

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REMPLACER LES IMMIGRÉS PAR DES EXPATRIÉS, c'est le thèmes du livre de François de Chassey « Les politiques doivent sauver la France »

les-politiques-doivent-sauver-la-france-francois-de-chassey.jpg« Les politiques doivent sauver la France de l’invasion, sauver les Français et la Civilisation française » : il faut les obliger à prendre le problème à bras-le-corps.

Comment ? En votant pour ceux qui prendront l’engagement de « MESURES DE SURVIE » comme l’écrivait Jean Schmitt en 1986 :
1° Arrêt des francisations ;
2° Limitation stricte de l’immigration, en nombre comme en durée.

Cette dernière mesure était déjà préconisée, par exemple, par un personnage socialiste en 1973 (il y a plus de 40 ans !).

Elle fait l’objet de notre part d’un développement spécial dans un chapitre intitulé : « REMPLACER LES IMMIGRÉS PAR DES EXPATRIÉS ».

Car, écrit toujours Jean Schmitt dans son livre datant de presque 30 ans (à l’époque, il était journaliste au Point) : « nous assistons à un génocide » et « c’est de la démence, du suicide ». Il y a eu des avertissements depuis 50 ans, et là, non seulement les mots sont clairs, nets et précis, mais ils sont accompagnés des solutions.

Alors que l’on a toujours l’impression que les politiques de tous bords discutent du « sexe des anges » quand l’invasion se poursuit, un coup de tonnerre vient d’éclater, au mois d’août 2014. Mgr Amel Shamon Nona, archevêque de Mossoul, nous lance un avertissement : « Vous aussi, vous êtes en danger. Il vous faudra prendre des décisions courageuses et dures. » Sinon, il ne restera plus qu’ à « intégrer la France à l’islam ».

Quel Français souhaiterait à un seul pays du monde d’être envahi jusqu’à voir changer radicalement la composition de sa population ?

Les politiques doivent sauver la France, François de Chassey. 56 pages, Éditions des Cimes, 5 €. cliquez ici

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jeudi, 29 janvier 2015

"Afrrique, la guerre en cartes" : le nouveau livre de Bernard Lugan

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Cet ouvrage de 278 pages tout en quadrichromie est composé d'une centaine de cartes accompagnées de leurs notices-commentaires.

Il s'agit d'un exceptionnel outil de documentation et de référence construit à partir des cours que Bernard Lugan dispense à l'Ecole de Guerre et aux Ecoles de Saint-Cyr Coëtquidan.

Il est composé de deux parties. Dans la première sont étudiés les conflits et les crises actuels ; la seconde traite de ceux de demain.

Sa vocation est d'être directement utilisable par tous ceux, civils et militaires qui sont concernés par l'Afrique.

En savoir plus cliquez ici

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mardi, 27 janvier 2015

La gauche en soutien au Capital...

cwlu.jpgPierre Le Vigan

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Charles Robin offre, avec La gauche du capital, un regroupement de ses études sur la généalogie du libéralisme libertaire. Sa thèse est connue des lecteurs de Jean-Claude Michéa. Il n’y a pas un « libéralisme » économique, de « droite », qui s’oppose à un « libertarisme » sociétal, de « gauche ». Il y a un seul mouvement qui transforme la société, et passe par des acteurs socio-politiques qui se partagent le travail mais font, précisément, le même travail. Le libéralisme est en d’autres termes toujours en phase avec le libertarisme car il s’agit de déconstruire tous les liens, tous les enracinements, toutes les communautés pour aboutir à un homme nu, donc désaliéné selon l’extrême gauche, mais aussi totalement ouvert au libre marché, à la consommation mondiale unifiée, selon les libéraux. C’est le même homme suradapté à un monde de plus en plus intégralement marchandisé, postpolitique qui convient aux libéraux (dits de droite) et aux libertaires (dits de gauche).

Le travail de désencastrement de l’homme, de désincarnation (au profit de sa liquéfaction), de « libération » de toutes les valeurs et de tous les liens, est convergent, qu’il soit opéré par la droite « libérale avancée » ou par la gauche « libérale-libertaire », et concoure à un même résultat. Car, de fait, l’homme sans liens devient homme sans qualité, sans spécificité, sans identité culturelle, sans classe, sans syndicat, et est livré au marché, et celui qui est livré au marché est bel et bien « libéré », comme le rêve l’extrême gauche, de la famille, de la durabilité, de la transmission, de la « patrie », de la « solidarité de tribu » (ou de métier), du sexisme, du machisme, au profit de la consommation hédoniste de la sexualité et du relationnel en général (les « amis » que l’on a sur Facebook…).

Résumons. Le libéralisme n’est pas conservateur, il n’y a rien de plus révolutionnaire. Quant à la gauche elle n’est pas socialiste, elle est « la gauche du capital », elle est la pointe avancée de la déconstruction des peuples. Qui profite à qui ? Au capital.

Voilà notamment ce que développe, rigoureusement, Charles Robin. Autant dire que son livre est essentiel.

- Charles Robin, La gauche du capital. Libéralisme culturel et idéologie du marché, Krisis, 244 p., 18 €.

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vendredi, 09 janvier 2015

Les derniers Bouquins proposés par Synthèse nationale :

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mardi, 06 janvier 2015

Avez-vous lu le nouveau Adinolfi ?

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Gabriele Adinolfi est une figure incontournable du néofascisme italien. Au cours de ce qu’il est convenu d’appeler « les années de plomb », c'est-à-dire les années 70, un véritable climat insurrectionnel régnait en Italie. Le pouvoir démocrate chrétien, lié à la mafia et aux intérêts américains, était englué dans une multitude de scandales. Les terroristes communistes des Brigades rouges multipliaient les actions violentes et pour beaucoup la nostalgie de la glorieuse époque mussolinienne commençait à se faire ressentir. Afin d’éviter leur chute les pourris au pouvoir imaginèrent de fomenter des attentats meurtriers et de les mettre sur le dos des organisations nationales-révolutionnaires. Le plus spectaculaire d’entre eux fit plus de 80 morts et 200 blessés le 2 août 1980 dans la gare de Bologne.

S’en suivit une vaque de répression inouïe contre les milieux néofasciste, en particulier contre le mouvement Terza posizione qu’animait entre autres Gabriele Adinolfi. Pourtant, jamais sa culpabilité, ni l’implication de son mouvement, furent prouvées. Trente cinq ans plus tard, plus aucune charge ne pèse contre eux. Il n’empêche que pour des dizaines de militants ce fut la prison ou l’exile. Ainsi Adinolfi passa près de vingt ans dans la clandestinité à Paris. C’est ce qu’il nous relate dans ce livre captivant, bourré de rebondissement, de rencontres inattendues et d’anecdotes truculentes.

Aujourd’hui l’auteur vit à Rome, il anime l’Institut Polaris et est l’un des inspirateurs de la Casapound, le mouvement qui se revendique fièrement du fascisme du XXIe siècle. Gabriele Adinolfi a gardé de nombreux contacts en France où il revient régulièrement. Ce livre est aussi une galerie de portraits des militants et responsables nationalistes français qu’il rencontra au cours de sa longue cavale.

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jeudi, 25 décembre 2014

Notre « divin Marquis » nous dit : « A table ! »

image050.jpgRobert Spieler

Lu dans Rivarol n°3165 - 27 novembre 2014

Notre « divin Marquis » rivarolien, Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, vient de commettre un formidable ouvrage : un pavé de près de 300 pages à la gloire de la gastronomie française, dans lequel il raconte quelques souvenirs croustilleux. Son ouvrage est émaillé d’anecdotes, de situations cocasses. Ses critiques concernant certains restaurants, de tendance, disons cosmopolite, valent le détour. Michel Sy, Président des Amis de Curnonsky, qui préface son livre, décrit ainsi ce « gastronome raffiné, un hôte divertissant mais exigeant » :« Gourmand avisé, sa culture culinaire précise et immense lui accorde l’écoute et le respect des chefs, ses critiques sont acceptées des professionnels. »A noter que le livre du marquis est copieusement  illustré par Nicolas Charrier, dont j’avoue, toute honte bue, n’avoir jamais entendu parler. Quel dessinateur talentueux ! Incroyable ! C’est du Dubout (son style y ressemble) en bien mieux !

« La nourriture est la base de la vie spirituelle »

Notre Marquis cite Guillaume de Sardes : « Dieu nous ayant ordonné de manger pour vivre, nous y invite par l’appétit, nous soutient par la saveur, et nous récompense par le plaisir… » Il relève qu’Eve a été gourmande et note que la gourmandise est l’un des sept péchés capitaux, le seul, écrit-il à être… capiteux ! Il note, légèrement indigné que « le plaisir de manger (placé)aux côtés du meurtre, de laluxure et du vol (lui) semble excessif ». Il s’en était ouvert à son ami Poilane. Les compères décidèrent « qu’il serait souhaitable de substituer à la notion de gourmandise, celle de goinfrerie ». Et du coup, Poilane, qui adhéra totalement à cette réflexion, adressa une supplique à Jean-Paul II pour lui demander de mettre cette réforme à l’étude. La secrétairerie d’Etat répondit rapidement que la requête ferait l’objet d’un examen bienveillant. Hélas, Poilane décédait peu après dans un accident d’hélicoptère, et le pape mourut peu après. Exit la gourmandise, exit la goinfrerie. Jean-Paul Chayrigues de Olmetta note, avec un petit cynisme réjouissant : « Gourmands, mais pas goinfres, nous sommes toujours menacés de l’Enfer. Laissons passer un conclave puis nous aviserons. L’Eglise a évidemment d’autres préoccupations, au rang des premières : la faim dans le monde. »

Quelques anecdotes…

Le Marquis n’en tarit pas. Sait-on que « se mettre en rangs d’oignon » n’a rien à voir avec la plante ? L’origine de l’expression serait due à Artus de la Fontaine Solaro, baron d’Oignon qui, grand maître des cérémonies aux états de Blois, plaçait seigneurs et députés selon leur rang. Et « maître-queux » ? Rien à voir avec la queue des casseroles. Son origine latine est ‘coquus’, qui signifie ‘cuisinier’. On apprend qu’« appareiller » est l’art de mélanger les ingrédients, qu’ « habiller », celui de préparer une pièce : volaille, gibier ou poisson. Et le chocolat ? Son irruption en France date de 1615 où Anne d’Autriche, venue épouser Louis  XIII, l’importa d’Espagne. Le chocolat était une rareté, réservée à une élite. Mais qu’en est-il du café ? En novembre 1669, à Versailles, Louis XIV reçoit fastueusement Soliman Mustapha Raca, ambassadeur du sultan ottoman Mehmed IV. Les esclaves de sa suite offrent aux invités une curieuse substance noire, le kawa, dont de grandes quantités transiteront, dans les années qui suivent, en direction de la France, par le port de Moka sur la mer Rouge. On comptera plus de 300 cafés, à Paris, au début du règne de Louis XV ! L’abbé Morellet dira : « Paris est le café de l’Europe », tandis que l’abbé Delille écrira cette « Ode au café » : « Viens donc, divin nectar, viens donc, inspire-moi / A peine, j’ai senti ta vapeur odorante, / Mes pensers plus nombreux accourent à grand flots / Et je crois (…) boire dans chaque goutte un rayon de soleil ».

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lundi, 22 décembre 2014

AVEZ-VOUS LU LES DERNIERES PUBLICATIONS EDITEES PAR SYNTHESE NATIONALE ?

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vendredi, 19 décembre 2014

Un premier Bouquin de Synthèse nationale traduit en Espagnol !

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Il y a deux ans, le 11 novembre 2012, à l'occasion de la 6e Journée de Synthèse nationale un ouvrage collectif était publié par Synthèse nationale intitulé Face à la crise : UNE AUTRE EUROPE. Une trentaine de personnalités, tant françaises qu'européennes, avait répondu à nos questions. Ce livre a été assez largement diffusé depuis sa parution.

Il est toujours possible de se le procurer cliquez ici.

Aujourd'hui, une version espagnole de cet ouvrage de référence pour ceux qui s'intéressent à l'Europe vient de paraître à Barcelone. Ce sont les éditions Usatges qui sont à l'origine de cette heureuse initiative dont nous nous félicitons. Les travaux de Synthèse nationale sont reconnus dans l'Europe entière. 

Nos amis espagnols peuvent l'acheter en cliquant ici

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jeudi, 18 décembre 2014

Une idée cadeau ? Pourquoi-pas le nouvel album d'Aramis !

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Le nouvel album d'Aramis : cliquez ici

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mardi, 16 décembre 2014

Le conseil régional a décidé ce matin, en accord avec le maire de Nantes, de donner au nouveau lycée le nom de Nelson Mandela

Une confirmation : dans sa commission permanente d'hier, le conseil régional des Pays de Loire a décidé, ce matin, en accord avec le maire de Nantes, de donner au nouveau lycée de l'ïle-de-Nantes le nom de l'ex-président sud-africain, militant anti-apartheid et prix Nobel. Nelson Mandela est décédé il y a un an. (Ouest France cliquez là)
 
Connaissez-vous le vrai bilan de Mandela ?

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dimanche, 14 décembre 2014

Le catalogue de fin d'année des publications de Synthèse nationale : achetez nos livres pour les offrir à vos amis.

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Vous pouvez le télécharger en cliquant sur Catalogue SN noël 2014.pdf

Vous pouvez aussi les commander en ligne cliquez ici

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samedi, 13 décembre 2014

Un ouvrage pédagogique à l'attention des musulmans de France...

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L'association Riposte laïque, animée par Pierre Casen, vient de publier un ouvrage pédagogique à l'attention des musulmans. Son auteur, Hubert Lemaire, nous livre ici les raisons pour lesquelles il a écrit ce livre plein de bon sens et qui peut donner des arguments forts à ceux qui s'opposent à l'islamisation de notre pays et de l'Europe.

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mercredi, 10 décembre 2014

Un nouveau livre de Pierre Vial sur les Rites païens...

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Sortie aux Editions de la Fôret du premier tome d'une série de trois consacrée aux rites païens du berceau à la tombe.

Ce premier tome aborde les thèmes de la naissance et de l'enfance. Nombre de jeunes couples et parents identitaires pourront se reporter à ce livre, véritable bréviaire en la matière.

Prix: 16€ + frais de ports (2,10 € France uniquement et 4,15 € Europe)

Terre et Peuple - BP 38 - 04300 Forcalquier

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mercredi, 03 décembre 2014

Aramis ce soir sur Radio Courtoisie

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Aramis est invité ce mercredi soir à 19 h sur Radio Courtoisie au Libre Journal de Martial Bild pour nous parler du dessin de presse en général et de son dernier album "ça calme !" en particulier.

Le nouvel album d'Aramis : cliquez ici

Le commander en ligne : cliquez là

1000 excuses... En raison d'un retard indépendant de leur volonté, Aramis et Roland Hélie n'ont pas participé à l'émission de mercredi soir. Ce n'est que partie remise.

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samedi, 29 novembre 2014

Après Staline, Lénine et Trotsky, Nicolas Tandler nous démonte un autre grand humaniste : Pol Pot

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Pol Pot (1928-1998) : «Pour construire l économie [...] comme pour faire la guerre [...] la direction du Parti doit exercer son rôle directeur en employant une violence tranchante [...]. » (Pol Pot, juin 1976.)

On ne dit pas «Djougachvili», mais Staline. De même, on ne parle pas de «Saloth Sâr», mais, à par­tir de 1970, de Pol Pot, son pseudonyme. D'une famille cam­bodgienne aisée, il profita de divers enseigne­ments dans la capitale du pays, Phnom Penh. Parti compléter sa formation en France, il y découvre les Lumières avec Rousseau, la Révo­lution avec Robespierre, le marxisme avec Staline. Il néglige son école technique, et il doit retourner au pays sans diplôme. Il décide alors de devenir révo­lutionnaire professionnel.

Stoïque, il fait ses classes grâce aux communistes vietnamiens, qu il hait, dans son for intérieur, comme ennemis héré­ditaires des Khmers. Devenu l organisateur du Parti communiste à Phnom Penh, la chance le sert: le chef du PC est tué, et il prend sa place. Le voici acteur d une guerre tout à la fois civile et internationale. Avec des enfants-soldats vêtus de noir, ses troupes, les Khmers rouges, se multiplieront grâce aux erreurs de la puissante Amérique, aux divisions entre républicains et royalistes, au soutien de Hanoï.

Le 17 avril 1975, Pol Pot atteint son but. Trois ans, huit mois, vingt jours, le peuple khmer subira une expérience démente, à vif, qu aucun utopiste social n avait osée avant lui. Elle lui coûtera 1700000 morts (estimation basse). Puis Pol Pot fut vaincu dans une guerre éclair par le Vietnam. Il survécut deux décennies à sa défaite, divisant le monde à son propos, avant de mourir, esseulé.

Pol Pot, Nicolas Tandler, Editions Pardes, collection "Qui suis-je ?", 128 pages, 12 €

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jeudi, 20 novembre 2014

"Rêve d'enchantement", le nouveau livre de Charles-Henri d'Elloy

DSC_0129.jpg« Eh bien moi, je n’ai pas renâclé à naître et il paraît que je me tortillais de rire ! Oui, je dodelinais le sourire aux lèvres, je souriais à la vie, sans doute avec un air un peu goguenard. Étais-je déjà amusé, malgré mes yeux clos, par le nouveau monde qui se présentait, ou feignais-je de rire de son absurdité ? »

Lorsque Charles-Henri d’Elloy s’empare de sujets aussi graves que le désespoir, le déclin, la justice, la religion, la politique, les femmes, l’amitié… il nous fait la politesse de garder le sourire. Cet anxieux, pince-sans-rire, nous emmène dans les finesses de sa réflexion avec délicatesse et vigilance. Son esprit stellaire, la rigueur et la sincérité font l’élégance de son style. Ce livre, empreint de philosophie, est un hymne à la beauté qu’il vénère comme antidote à la tristesse, c’est aussi un hommage à l’écriture et un régal d’humour libre pour enchanter notre âme.

Rêve d'enchantement, Charles-Henri d'Elloy, éditions Godefroy de Bouillon, 132 pages, 16,00 € cliquez ici

Charles-Henri d'Elloy dédicacera son livre à la journée du livre de l'AGRIF dimanche prochain, 23 novembre cliquez là

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mercredi, 19 novembre 2014

Sortie le 7 décembre du nouveau livre de Gabriele Adinolfi : Années de plomb et semelles de vent...

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BULLETIN DE COMMANDE

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jeudi, 13 novembre 2014

Thierry Maulnier, l’insurgé

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Nous reprenons ici l'article de Robert Spieler publié dans Rivarol de la semaine dernière sur le remarquable livre que notre ami Georges Feltin-Tracol à consacré à Thierry Maulnier.

Il y a près de 25 ans, la dénomination d’un nouveau lycée d’enseignement général, construit dans la banlieue ouest de Nice, suscitait l’émoi chez les couineurs de gauche, d’extrême-gauche, et chez les émotionnés professionnels de l’antiracisme. Pensez… Le maire de Nice, qui était alors Jacques Médecin, voulait le baptiser ‘Lycée Thierry Maulnier’. Ce qui fut fait, au grand dam des indignés congénitaux. Qui était Thierry Maulnier ? Une biographie écrite par le prolifique Georges Feltin-Tracol, nous dévoile les arcanes de cet étonnant personnage, qui fut accusé d’être ‘fasciste’ et dont Mauriac dira : « Au lieu de (se) contenter de quelques articles au Figaro, (il) aurait pu être le Sartre de (sa) génération ». Mais Thierry Maulnier ne s’est, certes pas, contenté d’écrire « quelques » articles au Figaro…

Sa jeunesse

Thierry Maulnier est le pseudonyme de Jacques Louis André Talagrand. Il est né le 1er octobre 1909 à Alès, de parents agrégés de lettres. Son père, Joseph, est un farouche républicain et un anticlérical énervé. Accessoirement, il se comporte comme un parfait tyran domestique, et voue ses deux fils à se consacrer à l’étude permanente : pas à l’école républicaine, non, à la maison… Jacques finira tout de même par découvrir la vie lycéenne dans un établissement de Nice. Gare à lui s’il amène des notes autres qu’excellentes à la maison. Le « despote », c’est ainsi que les frères le surnomment, se déchaîne… Mais cette dure éducation a des vertus. Jacques est plus que brillant, plus que cultivé. Il aura droit à sa photo dans la presse locale niçoise pour avoir décroché le second prix au Concours général d’histoire. A l’automne 1924, précoce, il entre en classe de terminale au lycée Louis-le-Grand, à Paris. Il s’y fait vite une réputation certaine : sa haute taille, son exceptionnelle culture générale, et son m’en-foutisme affiché attirent les regards. Il fait le choix d’être un  « cancre invétéré » qui sera cependant bachelier avec une mention « assez bien », en une époque où une telle mention avait de la signification. Le voici en hypokhâgne où il fait la connaissance des inséparables Maurice Bardèche et Robert Brasillach, avec qui il sympathise fortement. En deuxième année de Normale ’Sup, loin de s’amender pour ce qui concerne son indolence, tant naturelle que travaillée, il se singularise, une fois de plus. Le diplôme de fin d’études repose sur un mémoire que la plupart des étudiants préparent d’arrache-pied tout au long de l’année. Pas lui. Il entreprend d’écrire son mémoire consacré à « L’art dramatique chez Racine d’après ses préfaces », 48 heures avant l’échéance, et obtient la note de 18/20 ! Il épate évidemment Brasillach, Bardèche, et ses camarades. Mais la perspective de devenir professeur, comme ses parents, ne l’enchante absolument pas. Il sera journaliste.

Thierry Maulnier, journaliste

Il découvre Charles Maurras et L’Action française, adhère à l’AF et milite quelques temps aux Camelots du Roi. Ecrivant dans l’organe maurassien des étudiants  L’Etudiant français, il prend le pseudonyme de Thierry Maulnier. Grâce à la qualité de ses articles, le nombre d’abonnements augmente. Il acquiert une certaine célébrité dans les milieux nationalistes. Il est âgé de vingt an ! Le service militairel’attend. Il en gardera un vif sentiment d’inutilité et un antimilitarisme sous-jacent. Sa vie sociale sera intense. Les sorties au théâtre, au cinéma et dans les bistrots s’enchaînent, aux côtés de ses amis Brasillach, Bardèche, Blond, Lupin, Kleber Haedens. Il plaît beaucoup aux femmes et fréquente assidument la Coupole, le Flore, Lipp quand lui et ses amis ne font pas le tour (à pied) de la capitale. Mais quand trouve-t-il le temps d’écrire ? Une anecdote qui décrit sa méthode : A un ami s’enquérant de son éditorial du mois,  il répondit : ‘Il est prêt’, et alors que l’autre le lui demandait, il ajouta : ‘Il ne me reste plus qu’à l’écrire’… Claude Roy dira de lui : « Ce grand travailleur est aussi un grand paresseux ». Cela n’explique  cependant pas tout de ses retards à ses rendez-vous. Il est amoureux de Dominique Aury, pseudonyme d’Anne Cécile Desclos, qui fréquenta la joyeuse équipe de Brasillach et de Bardèche. Elle sera, plus tard, en 1953, le célébrissime  auteur, sous le pseudo de Pauline Réage, d’Histoire d’O, roman érotique qui eut quelques soucis avec la censure.

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mardi, 11 novembre 2014

Dimanche 30 novembre, lire sous les sapins avec Anne Brassié

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lundi, 10 novembre 2014

Vient de paraître : A TABLE AVEC LE MARQUIS !

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vendredi, 07 novembre 2014

Les deux derniers Bouquins de Synthèse nationale à lire :

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QUATRE FIGURES DE LA REVOLUTION CONSERVATRICE ALLEMANDE Ils méritent d’être redécouverts aujourd’hui

photoliv45.jpgPierre Le Vigan

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Quatre figures, quatre portraits, quatre itinéraires. Voilà le sujet du dernier livre d’Alain de Benoist. Leur point commun : on peut légitimement, du point de vue de l’histoire des idées politiques, les rattacher tous au courant de la révolution conservatrice allemande. On comprend mieux, grâce à la bonne synthèse, fort bien informée, de l’auteur, l’antiproductiviste et antiéconomiciste Werner Sombart, le national-bolchevik et peut-être plus exactement national-léniniste Ernst Niekisch (qui était, lui, productiviste exaltant la figure du travailleur et du producteur, et aussi auteur étatiste, alors que le nazisme n’avait pas une notion sérieuse de l’Etat, ce que déplorera aussi Carl Schmitt). On revient avec intérêt sur Moeller van den Bruck, connu faussement pour son livre Le troisième Reich (dont la lecture est fort décevante au demeurant, tant les mots de Moeller ne nous parlent plus), loin d’être annonciateur de la pensée nazie, littéraire gagné par l’amour des enracinements nationaux, inclassable et surtout anti-bourgeois, qui se suicida en 1925. Chacun sera attentif aussi au cas du nationaliste césarien mais anti-totalitaire Oswald Spengler.

Le livre se lit fort aisément si on a une bonne culture de Weimar et de l’Europe des années 1914, 1920, 1930. Pour les autres, ce sera l’occasion de travailler. Il n’y a donc aucune raison sérieuse de ne pas lire ce livre !

Alain de Benoist, Quatre figures de la Révolution conservatrice allemande, 340 pages, 28 €,

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100 nouvelles occurrences pour le dictionnaire de Novlangue

novlangue-2013.jpgVoici 100 nouvelles occurrences de novlangue. Le voyageur savourera particulièrement la novlangue des transports :

- Panne électrique. Euphémisme employé dans les transports ferroviaires pour signifier aux usagers que des vols de métaux ont eu lieu. Voir « perturbations », « difficultés de circulation ».
- Evénements défavorables. Euphémisme utilisé par la RATP quand des supporters de l’équipe d’Algérie de football bloquent la circulation des bus.
- Difficultés de circulation. Euphémisme utilisé par la SNCF pour cacher aux usagers que des grèves sporadiques ou des actes de malveillance perturbent la circulation des trains. Voir aussi « panne électrique », « événements défavorables »
Polémia


Acteurs impliqués dans la conception. Expression utilisée à la place du mot « parent », car « Aujourd’hui, la filiation biologique n’est plus la seule filiation possible ; il y a une multiplication des acteurs impliqués dans la conception et l’éducation des enfants » (Dominique Bertinotti, commission des lois, réunion du 18 décembre 2012).

Américain. Mot fascinateur et accroche publicitaire, tout ce qui est américain étant réputé posséder toutes les qualités possibles.

Antifascistes. Agitateurs d’extrême gauche habituellement encensés par les médias et peu poursuivis par la justice malgré les déprédations et les violences qu’ils provoquent (ex. : « Des antifascistes protestent contre la venue du candidat FN à Sciences–po », leMonde.fr du 13 février 2014).

Austérité. Mot trompeur destiné à faire croire que l’on réduit effectivement les dépenses publiques en France, alors que l’on se borne, au mieux, à augmenter les dépenses un peu moins qu’anticipé et que l’on augmente surtout les prélèvements sur les salariés ; synonyme tout aussi trompeur : « rigueur ». Voir « économies budgétaires ».

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lundi, 03 novembre 2014

France, les années décisives, une réflexion de Laurent Ozon

BIOS-_couv_OZON_1.jpgClaude Bourrinet

« Nécessité fait loi », affirme le dicton. L'économisme se veut un destin. Donc, un fatum dont l'on ne sort que mort, ou quasiment. Car si la force des choses, des objets de consommation, l'emporte, emporte les corps, les âmes, l'humain, la vie, c'est tout ce qui est aléatoire, ou régi par la volonté, qui est noyé par le déluge réificateur. Autrement dit, la liberté est anéantie, et partant, toute politique, c'est-à-dire toute résistance aux prétendues « nécessités ».

Le dernier livre de Laurent Ozon, France, années décisives, dénonce cette « bulle » toxique, qui nous emprisonne depuis quarante ans. L'ancien conseiller de Marine Le Pen pour l'écologie, le fondateur de Maison Commune, organisation de formation pour cadres politiques, quant à lui, met l'accent sur l'avenir immédiat, qui décidera de notre survie en tant que peuple. Cette « bulle », qui tient du mirage, n'est plus qu'une baudruche qui se dégonfle sous nos yeux. La convergence des catastrophes, économique, démographique, écologique, politique, identitaire, nous ramène à ce qui avait été oublié dans la griserie des trente trompeuses, dans cette atmosphère de champagne bon marché, ce soir interminable où l'on fait la noce sans trop savoir comment le lendemain sera fait. Et voilà que le lendemain, c'est aujourd'hui, et que l'on a la gueule de bois.

Les vingt prochaines années vont donc décider du sort du peuple français, « substance historique sensible », et, plus largement, des peuples européens. Dans une saisissante analyse d'une situation qui a toute l'apparence d'être désespérée, Laurent Ozon nous livre des raisons d'espérer, malgré tout. Car, comme il le rappelle, c'est pas la volonté, l'action, la saisie lucide, pragmatique, décisive de notre destin, qu'un sursaut est possible. Il reprend la phrase de Heidegger, qui semble parfaitement résumer sa vision de l'engagement, et qui rejoint celle de Nietzsche : « Là où croit le danger, croît aussi ce qui sauve. » Pourquoi ? Tout simplement parce que « le réel revient en force ». Le réel, c'est tout ce qui nous lie au Territoire, aux Ressources, à la Reproduction. Autrement dit, à notre occupation du monde, à notre subsistance, à notre persistance vitale et identitaire.

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vendredi, 31 octobre 2014

De la Servitude universelle...

98335567.jpgClaude Bourrinet

L'émergence, dans la France chloroformée par des lustres d'endoctrinement, de discours émollients, et de délires idéologiques, d'un mouvement contestataire protéiforme, qui se décline par des manifestations impressionnantes, des opérations spectaculaires de dénonciation, des actes de résistance, a encouragé la prise de parole de Français, longtemps tenus de se taire et de souffrir en silence.

George Feltin-Tracol est l'un de ceux-là. Il nous propose régulièrement des analyses pertinentes sur notre monde, passe au peigne fin, si l'on ose dire, la question du contrôle de la société par les puissances étatiques, financières, médiatiques, dont l'objectif est d'instaurer un État mondial de tonalité totalitaire. Son ouvrage, En Liberté surveillée, remarquablement documenté, se veut, en même temps, une chronique des prémisses d'une « mise au pas » de la société française par un régime qui n'a plus aucune espèce d'inhibition « démocratique ». Les résistances multiformes, que tout le monde a en mémoire, et qui témoignent de la richesse plurielle (terme adéquat, cette fois!) de la lutte populaire, par exemple les manifestations contre les spectacles blasphématoires « Piss Christ », « Golgota picnic », l'affaire de Tarnac, le « cas » Dieudonné, la « Manif pour tous », ont pour réponses  les emprisonnements politiques, la censure, la brutale répression policière, les manipulations. La sphère politique est empoisonnée par l'idéologie nihiliste, les « nouvelles sacralités », qui suscitent des « phobies », lesquelles arment le bras de la « Justice », sans compter la vidéo-survillance, qui contrôle les routes et les rues, la novlangue, qui formate les consciences, l'endoctrinement scolaire, le néo-puritanisme, expression extrême de la clitocratie triomphante, dont l’égérie est la Suède, matrice du totalitarisme postmoderne dévirilisant, infantilisant, Grande Nursery dont Big Mother est la maquerelle fouettarde. Ces liens tressés par des Lilliputiens doctrinaires, liens dont le plus puissant, en ce moment, est incarné par le communautarisme, pendant symétrique d'un individualisme consumériste, sont destinés à étouffer notre identité... Ainsi cette entreprise liberticide évoque-t-elle la mise en place d'un despotisme nouveau, plus complexe, plus subtil, plus savant que les anciennes tyrannies, qui n'étaient que des ateliers artisanaux à côté de lui.

L'analyse ne se limite pas à une recension de notre servitude organisée, mais aussi à ses causes. La description de l' « État profond » est d'un intérêt capital : il s'agit en effet d'une « structure de gouvernement à la fois invisible et continue », qui gère réellement la société, tandis que les institutions apparentes, souvent élues, « représentatives », ne sont là que pour exécuter, ou amuser la galerie.

George Feltrin-Tracol, En liberté surveillée Réquisitoire contre un système liberticide, Éditions Les Bouquins de Synthèse nationale, 23€ - cliquez ici

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