samedi, 10 mai 2014
"Une poupée gonflée", un "ebook" signé Patrick Gofman
Sous le règne de Giscard, une jeune fille de bonne famille, d’une beauté effrayante, dégringole du trotskisme au gangstérisme pur et simple, en frôlant la pornographie. Cette dégringolade traverse Paris, l’Afrique, Caen, la Californie, Hawaï, et l’Amérique latine, pour finir. Mal finir.
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Avez-vous lu aussi "Le trotskisme dégénéré", le livre politique de Patrick Gofman ?
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vendredi, 02 mai 2014
Quelques séances de dédicaces à Paris
A la librairie Notre Dame de France (21, rue Monge Paris Ve) :
- SAMEDI 3 MAI, de 15 h à 18 h, Philippe Maxence, Chesterton face à l'Islam, et Christophe Lacroix, Ripostes au politiquement correct (I et II).
- VENDREDI 16 MAI, de 17 h à 20 h, Emmanuel Ratier, Le vrai visage de Manuel Valls.
A la Librairie française (5, rue Auguste Bartoldi Paris XVe) :
- vendredi 16 mai, de 17 h à 19 h 30, l'écrivain et chercheur Pierre Hillard dédicacera ses ouvrages, dont le nouveau Chroniques du mondialisme.
- samedi 7 juin, de 15 h à 18 h, Laurent Glauzy dédicacera ses ouvrages, dont le dernier Les Géants et l'Atlantide.
- samedi 28 juin, de 15 h à 19 h, le groupe de rock FTP dédicacera ses disques.
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vendredi, 25 avril 2014
Lisbonne, 25 avril 1974 : la "révolution" qu'il faut mieux oublier...
Le 25 avril 1974, il y a 40 ans aujourd'hui, un soulèvement militaire orchestré par une poignée d'officiers marxistes, mettait fin à l'Etat nouveau instauré par le professeur Salazar 40 ans plus tôt. En quelques jours le Portugal sombrait dans la guerre civile et dans le chaos. Il mettra des années à s'en remettre.
40 ans après cette pénible période, alors que le pays est au bord de la crise, plus de 40% des Portugais considèrent qu'Antonio de Oliveira Salazar a été le plus grand homme de l'Histoire de leur pays. On comprend mieux pourquoi l'intelligentzia marxisto-mondialiste, pourtant si prompte à fanfaronner sur ses "victoires", se montre plutôt discrète sur cet anniversaire.
Pour mieux connaître cette période de l'histoire portugaise, lisez le livre que Jean-Claude Rolinat a consacré à celui qui fit de son pays une nation moderne : Salazar le regretté...
Salazar le regretté, Jean-Claude Rolinat, Les Bouquins de Synthèse nationale, 2012, 164 pages, 18,00€
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24 avril 1903 : naissance de José Antonio Primo de Rivera
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jeudi, 24 avril 2014
Sortie demain : "Le vrai visage de Emmanuel Valls", le nouveau livre choc signé Emmanuel Ratier
En moins de trois ans, Manuel Valls est passé de l’anonymat (5,6 % lors de primaire socialiste de 2011) à Matignon. L’histoire de Manuel Valls est une espèce de bluff très largement reconstruit.
Issu de la plus haute bourgeoisie catalane par son père et d’une famille suisse enrichie dans le trafic de l’or par sa mère, ce fils d’un célèbre peintre catalan nullement anti-franquiste a grandi dans un milieu huppé, dans une maison située en face de l’île Saint-Louis. Ce qui lui a permis de fréquenter le gratin des beaux-arts mais aussi de la politique. Dès ses 18 ans, alors qu’il n’était même pas encore naturalisé français, il a passé un accord secret, appelé « pacte de Tolbiac », avec deux camarades au très brillant avenir : Stéphane Fouks, aujourd’hui pape des communicants socialistes et responsable du Conseil représentatif des institutions juives de France, et Alain Bauer, ancien Grand Maître du Grand Orient de France et ponte de la sécurité urbaine. Son ascension doit beaucoup à ces deux hommes, avec lesquels il est demeuré étroitement lié.
Le nouveau Premier ministre est aussi l’incarnation même du nouveau Parti socialiste tel que défini par son think tank Terra Nova : un pur apparatchik rompu aux jeux d’appareil, à la fois « boboïsé », social-démocrate modéré en apparence mais surtout haineux vis-à-vis de ses adversaires politiques, prêt à toutes les compromissions avec les milieux sarközystes recentrés, libéral rallié au mondialisme, à l’européisme, au métissage et au multiculturalisme. Ce que d’aucuns pourraient appeler l’« after-socialisme » ou socialisme « à l’eau de rose ». Il est bien évidemment membre du club d’influence Le Siècle, mais aussi du groupe mondialiste de Bilderberg. Semblable aux néo-cons américains, en général venus de l’extrême gauche, il est également un soutien fanatique d’Israël, pays avec lequel il s’est déclaré « éternellement lié ». C’est cet individu qui se voit évidemment trôner en 2017 ou 2024 à la présidence de la République.
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jeudi, 17 avril 2014
La Révolution conservatrice allemande, un nouveau livre de Robert Steuckers
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mercredi, 16 avril 2014
Sortie attendue le 25 avril du nouveau livre explosif sur Manuel Valls !
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dimanche, 13 avril 2014
Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme sont en vente à Paris :
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dimanche, 06 avril 2014
Le nouveau numéro de l'excellente revue Livr'arbitres
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jeudi, 03 avril 2014
Cette Espagne que déteste Manuel Valls : retrouvez la dans "Présence de José Antonio Primo de Rivera" :
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vendredi, 21 mars 2014
Gabriele Adinolfi présente son dernier livre "Orchestre rouge"...
Gabriele Adinolfi, Avatar éditions, 2013, 166 pages, 19 € (+ 3 € de port). Préface de Michel Drac
Presque dix ans après Nos belles années de plomb, Gabriele Adinolfi, figure historique de la droite radicale italienne, revient sur cette tragique période qui a secoué son pays, avec un ouvrage choc longuement mûri qui intègre les apports de nombreux travaux ayant vu le jour depuis lors et constitue un gros pavé dans la mare du politiquement correct et des mensonges de l’historiographie officielle.
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jeudi, 20 mars 2014
L'introduction du livre "Présence de José Antonio" écrite par Olivier Grimaldi...
Il y a une semaine, jour pour jour, nous nous retrouvions nombreux dans la peine pour un dernier adieu à notre camarade et ami Olivier Grimaldi qui nous a prématurément quitté le 9 mars dernier à la suite d'une longue et cruelle maladie. En effet, plus de 600 personnes ont assisté à la magnifique et très émouvante messe célébrée, en l'église St Nicolas du Chardonnet, par M. l'abbé Xavier Beauvais, curé de la paroisse.
Hier soir, pensant à Olivier, j'ai relu l'introduction qu'il avait écrite, au mois d'octobre dernier, pour le livre que nous avons édité pour le Cercle Franco-hispanique, Présence de José Antonio Primo de Rivera (*). Je pense que ces quelques lignes résument parfaitement le sens de l'engagement de leur auteur pour cette noble cause qui est celle de l'Espagne Une, Grande et Libre...
Elles méritent d'être portées à la connaissance du plus grand nombre de nos lecteurs...
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
Introduction du livre Présence de José Antonio (*) :
Ce petit ouvrage n’est pas une biographie du fondateur de la Phalange, mais l’hommage qu’il lui est rendu par le Cercle Franco-Hispanique depuis 1983, et par des Français bien connus des milieux nationaux. Nous rééditons un extrait des actes du colloque organisé en 2003, à l’occasion du centième anniversaire de la naissance de José Antonio Primo de Rivera. Parmi ces spécialistes de l’Espagne et du national syndicalisme, j’invite nos lecteurs à acquérir le livre magistral de six-cents pages d’Arnaud Imatz : José Antonio, la Phalange Espagnole et le national-syndicalisme (1). Cet ouvrage a été traduit en espagnol. Il est considéré par mon ami Antonio Gibello, ex directeur du quotidien El Alcazar, comme une « bible ». Il a été réédité par les Editions Godefroy de Bouillon.
J’ai découvert José Antonio en 1971, lors d’un séjour à Barcelone. Jeune militant d’Ordre Nouveau, j’étais d’abord étonné de voir dans les échoppes de souvenirs, des objets à son effigie ainsi que les cinq flèches et le joug du mouvement. Je me suis rendu au local de la Vieja Guardia, une maison austère et sombre gardée par un ancien combattant en chemise bleue, portant ses décorations dont la Croix de Fer gagnée en Russie. De quoi surprendre un jeune parisien ! Au regard de mes dix-huit ans, il me dirigeât vers l’immeuble abritant les jeunes de l’Organizacion Juvenil Espanola (OJE). Des dizaines d’adolescents portant la chemise phalangiste (alors que celle-ci n’était plus réglementaire) s’activaient à préparer un camp. Le chef provincial me reçu dans son bureau et m’offrit une photo de José Antonio que je garde très précieusement. Une jeune fille me donna une chemise et un insigne de l’OJE.
Que représentions-nous, Nationalistes français par apport aux organisations espagnoles, qu’elles soient légales ou tolérées comme les Cercle José Antonio (50 000 adhérents) ? Pas grand-chose, si ce ne sont les souvenirs des Français accueillis en 1945 et l’aide apportée aux militants de l’OAS.
J’ai compris la place que tenait José Antonio en voyant son nom gravé sur les murs des églises. Mais les seuls actes officiels des phalangistes étaient principalement constitués par les commémorations du « 20-N » au Valle de los Caïdos. Il fallait comprendre le courage, l’engagement révolutionnaire et le message sublime de celui qu’on nommera « l’absent » après son exécution.
C’est ainsi que je suis resté fidèle à cet aristocrate, Grand d’Espagne, qui a commencé à s’engager dans le combat pour défendre la mémoire de son père. Il serait trop long de me livrer davantage et d’évoquer mes rencontres et mes amitiés avec les plus grands Phalangistes dont Pilar Primo de Rivera, Raimundo Fernandez Cuesta ou Ramon Serrano Suner qui avait encouragé notre colloque peu avant sa mort.
Je terminerai donc ce propos par ces mots brefs et poignants prononcés par le général Franco sur la tombe du Fondateur à l’Escorial devant des milliers d’Espagnols : « Espagnols, José Antonio est mort, disent les crieurs de journaux. José Antonio vit, déclare la Phalange. Qu’est-ce que la mort et qu’est-ce que la vie ? La vie est l’immortalité… Le grain n’est pas perdu, mais jour après jour il se renouvelle avec une vigueur et une fraîcheur nouvelles. C’est la vie aujourd’hui pour José Antonio ».
José Antonio Primo de Rivera : Presente !
Arriba Espana !
Olivier Grimaldi
Médaillé de la Vieja Guardia
Président du Cercle Franco-hispanique
Note
(1) José Antonio, la Phalange Espagnole et le national-syndicalisme, Arnaud Imatz, réédité en 2000 chez Godefroy de Bouillon, 600 pages cliquez là
(*) Présence de José Antonio cliquez ici
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mardi, 18 mars 2014
A nouveau disponible, vous pouvez acheter le dernier livre d'Anne Kling, "Menteurs et affabulateurs de la shoah" aux Bouquins de Synthèse nationale
Au fil des années, la shoah s’est transformée en sujet totalement tabou et sacralisé dans nos sociétés occidentales. Echappant aux historiens qui risquaient de la « banaliser », crime suprême, elle a fini par quitter le domaine du rationnel et de la critique historique pour entrer de plain-pied dans celui du « mystère ». Pour ne pas dire de la religion.
Dans ces conditions, il n’est guère étonnant que des petits malins aient exploité à leur profit un filon qu’ils jugeaient prometteur. Cet ouvrage relate un certain nombre des tromperies avérées de ces menteurs de la shoah, récits d’imaginaires souffrances ou de tribulations présentées comme autobiographiques.
Il relate également les affabulations, exagérations, inventions ou récupérations d’autres personnages, y compris celles d’anciens déportés dont les récits soulèvent quelques questions.
Menteurs et affabulateurs de la Shoah, Anne Kling, Editions Mithra, mars 2013, 256 pages, 18 €
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"SHOAH STORY", UN LIVRE A LIRE PAR LES ESPRITS LIBRES...
Source Polémia cliquez ici
Entretien avec Philippe Mozart, auteur.
Peu d’événements ont autant d’importance politique que la Shoah. Sa mémoire pèse sur la diplomatie et la politique militaire, notamment au Proche-Orient. Sa simple évocation rend difficiles l’expulsion d’immigrés clandestins ou les démantèlements d’un camp de Roms. Son enseignement est au cœur des programmes de l’Education nationale.
Elle est devenue une pièce centrale des discours mémoriels. Or la connaissance que nous avons de la Shoah a beaucoup évolué au cours des 70 dernières années.
Sans faire de concessions aux révisionnistes qu’il appelle « révigationnistes », Philippe Mozart présente une très intéressante histoire de l’histoire de la Shoah. Derrière le titre impertinent Shoah Story, cette histoire en abyme est pleine d’enseignements pour les esprits libres.
Philippe Mozart a bien voulu répondre à nos questions.
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Savez vous que l'histoire de la LICRA, la ligue vertueuse qui sévit en France, est intimement liée à celle de l'Ukraine des années 1920 ?
Tout est raconté dans le remarquable livre d'Anne Kling
"La France LICRAtisée". C'est édifiant !
A LIRE, ET A FAIRE LIRE !
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mercredi, 12 mars 2014
RAPPEL : samedi 15 mars, Jean-Claude Rolinat présentera son livre "La faillite de Mandela" à Lille :
NDLR :
Le nouveau livre de Jean-Claude Rolinat : La faillite de Mandela édité aux Bouquins de Synthèse nationale.
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lundi, 10 mars 2014
Samedi prochain : Roger Holeindre à la Librairie française...
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mercredi, 26 février 2014
Une biographie de Juan Peron par Jean-Claude Rolinat
Article publié dans Rivarol
n°3130 du 20 février 2014
Après la très intéressante biographie consacrée à Evita Peron par Jean-Claude Rolinat, le voici qui récidive avec le portrait de Juan Peron et du Justicialisme.
Paraphrasant une publicité d'une célèbre marque gazeuse, il note que le péronisme avait « le goût du fascisme, l'odeur du fascisme et la couleur du fascisme, mais ce n'était pas du fascisme ».
Une dictature ? Pas davantage. Tout au plus un pouvoir autoritaire, une république forte et indépendante. L'expression parlementaire était maintenue et les élections étaient libres. Il n'y avait pas, comme en Italie mussolinienne, ou au Portugal salazariste, ou en Espagne franquiste, de parti unique. Le parti justicialiste était certes dominant et le syndicat, la Confédération générale du travail (CGT) largement majoritaire. Mais l'Argentine ne sera jamais un État corporatiste tels l'Italie ou le Portugal, ni national-syndicaliste, tel le Portugal. Peron était un vrai nationaliste qui refusa l'alignement de l'Argentine sur les États-Unis, tout en refusant de tomber sous la coupe de Moscou. Il fera de l'Argentine la cinquième puissance économique au monde !
Né le 8 octobre 1895, issu de l'immigration basque et italienne, il embrassa tout naturellement la carrière militaire et deviendra ultérieurement attaché militaire en Italie mussolinienne. Il y découvre les idées du Fascio et, hissé à la charge de secrétaire d’État au Travail deviendra le protecteur des humbles tout en cherchant à éviter dira-t-il, « les erreurs de Mussolini ». Il va concocter toute une série de mesures sociales qui le rendront ultra-populaire : régime de retraite étendu à deux millions de salariés, prévention des accidents du travail, légalisation des syndicats, obligation de signature de conventions collectives pour les employeurs et les salariés, création de tribunaux d'arbitrage, législation sur les congés payés. Ces mesures vont susciter l'hostilité des classes aisées pour qui le régime est trop réformiste, voire révolutionnaire. Washington ira jusqu'à rappeler son ambassadeur.
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samedi, 22 février 2014
RAPPEL : aujourd'hui, samedi 22 février, Jean-Claude Rolinat à la Librairie française
La faillite de Mandela cliquez ici
Jean-Claude Rolinat dédicacera aussi
Salazar le regretté sorti en 2012 cliquez là
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lundi, 17 février 2014
Le Glaive et la Charrue, le livre Richard Roudier commenté par Georges Feltin-Tracol
Georges Feltin-Tracol
Méconnu du plus grand nombre de nos compatriotes, Richard Roudier n’en est pas moins un activiste convaincu. Très tôt adhérent à Europe Action, il conduit aujourd’hui la Ligue du Midi, identitaire et régionaliste, et préside le Réseau Identités. Ce combattant politique – et culturel – a souvent porté le glaive sans pour autant renoncer à la charrue, lui qui s’impliqua fortement auprès des viticulteurs languedociens en tant que syndicaliste agricole.
C’est d’ailleurs sous ce titre qui réunit une arme de poing et un instrument agraire que Richard Roudier publie ses mémoires. Mais cet « itinéraire identitaire » ne se veut pas pas que biographique. Résolument tourné vers l’avenir, l’ouvrage estime que « le temps de la réunification a sonné et que le temps des laboratoires devrait s’effacer devant celui de la préparation des conditions de la victoire (p. 10) ».
Richard Roudier retrace son parcours. Fils de petits paysans de Béziers, il suit enfant l’effervescence poujadiste. Plus tard, ses premiers émois militants concernent la lutte viticole et son implacable répression policière hexagonale encouragée par un pouvoir parisien centralisateur qui n’a jamais digéré le grand soulèvement fraternel et méridional de 1907 brisé par l’infâme Clemenceau, personnage le plus infect de l’histoire de France avec le retors Adolphe Thiers.
Lycéen à l’époque de la Guerre d’Algérie, il rejoint les rangs de la F.E.N. (Fédération des étudiants nationalistes) où il rencontre le jeune Pierre Krebs. Ils fondent ensemble un petit journal ronéotypé intitulé Spartiate, et lisent avec passion Europe Action. Souvent, dans le Midi, les distributions de tracts et l’organisation de réunions publiques s’achèvent par des bagarres avec les gauchistes. L’auteur ne cache pas le plaisir qu’il avait de s’y jeter… S’il passe ensuite au M.N.P. (Mouvement nationaliste de progrès), l’héritier politique d’Europe Action, il omet toute éventuelle participation au R.E.L. (Rassemblement européen de la liberté), sa version électoraliste, puis à l’I.E.O. (Institut des études occidentales) de Dominique Venner et de Thierry Maulnier, ne s’engage pas en revanche au G.R.E.C.E. dont le ton très nordiciste l’agace. Richard Roudier suit néanmoins avec intérêt ses recherches et approuve régulièrement les orientations prises par cette centrale d’idées.
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dimanche, 16 février 2014
"LA FRANCE LICRATISEE", le livre incontournable d'Anne Kling est en vente aux Bouquins de Synthèse nationale...
Puisque la justice du Système s'abat de plus en plus fréquemment sur la résistance patriotique, nous pensons qu'il est utile de mieux connaître ces organisations anti-françaises qui ont la prétention d'imposer leur loi dans notre pays. Nous conseillons donc à nouveau à nos lecteurs et amis de lire le remarquable ouvrage publié par Anne Kling : La France licratisée.
Ce livre, par ailleurs agréable à lire, retrace parfaitement l'oeuvre destructrice, des années 20 à nos jours, des officines à la solde du communisme international. Officines qui continuent à sévir et dont on ne dénoncera jamais assez le rôle néfaste.
Lisez et, surtout, faites lire La France licratisée, c'est un acte militant.
La France licratisée, Anne Kling, Editions Mithra, 2007, 246 pages, 18,00 € (+3,00 € de port).
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Anne Kling lors d'une récente réunion de Terre et peuple :
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mardi, 11 février 2014
La faillite de Mandela et Juan Peron par Jean-Claude Rolinat
Camille Galic
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Trente-huit pages dans « Le Point » réputé « de droite », davantage encore dans les hebdos de gauche, le 5 décembre dernier, le décès – d’ailleurs attendu depuis plus de six mois – de Nelson Mandela a plongé dans l’affliction la planète entière dont les dirigeants ont tenu à se rendre toutes affaires cessantes aux obsèques du « géant ». C’est dire si le livre de Jean-Claude Rolinat, « La Faillite de Mandela » (*), s’imposait après le raz-de-marée d’éloges déversés sur la sépulture de celui que certains ont proposé de sacrer « plus grand homme d’Etat du XXe siècle ».
Mandela richissime, la RSA ruinée
Le 3 février, l’un des exécuteurs testamentaires de « Madiba » faisait savoir que sa fortune personnelle était provisoirement évaluée à 46 millions de rands, soit 3 millions d’euros. Pas mal pour un simple avocat (diplôme obtenu sous le régime honni de l’apartheid, notez bien) : libéré en 1990 après de longues années passées en prison pour entreprise terroriste, il n’aura occupé que cinq ans la présidence de la République sud-africaine, dont l’appauvrissement a, au contraire, été proportionnel à l’enrichissement de son premier président noir, si bien qu’en effet la faillite du pays est avérée. Quelles qu’aient été les intentions pacificatrices de Mandela couronnées par un prix Nobel de la paix également attribué à son complice afrikander Frederik Willem de Klerk, président du Parti national et président de la République d’Afrique du Sud de 1989 à 1994, qui a trahi son peuple au profit de la majorité noire et d’un puissant capitalisme apatride, le résultat n’est pas à la hauteur des folles espérances mises par la mediaklatura dans la « nouvelle Afrique du Sud ». Les chiffres accablants fournis par J.-Cl. Rolinat le prouvent : « Le passage du pouvoir blanc au Black Power » a accouché d’un pays malade.
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samedi, 25 janvier 2014
Un petit ouvrage remarquable que l'on doit aux Editions de Chiré :
Il faut savoir gré à Léon Arnoux d’avoir composé ce florilège, le premier du genre, de poètes à ce point maudits que leur œuvre demeure, aujourd’hui encore, sous le coup d’une flétrissure originelle.
Grand prescripteur d’opinion et souverain proscripteur, le Comité national des écrivains, imprima le sceau d’infamie, en dressant dès le début de septembre 1944, la première de ses listes noires rendant publique la mise à l’index de nombreux auteurs, souvent de renom, qui furent donc réduits au silence.
(.) La panoplie des peines ne fut jamais aussi large. La fusillade, bien sûr, mais aussi les années de géhenne en prison, ou pire en centrale, l’indignité nationale, la confiscation des biens. L’oubli, sournois, acheva la besogne. Pour les poètes aussi.
Léon Arnoux est allé les chercher au fond de leur puits d’oubli.
(.) La poésie carcérale s’impose d’abord comme l’expression d’une sensibilité exacerbée par les affres de l’enfermement. Le prisonnier vit dans l’attente et l’incertitude. Celle, immédiate, de son sort. Mais tout peut lui être source de tourments. L’épouse qui ne répond plus aux lettres, ni ne vient aux parloirs, les négligences de l’avocat, la mère qui se consume de désespoir.
Nombre des poèmes traduisent le paroxysme d’une souffrance ou d’une émotion. Ils témoignent souvent d’une élévation d’âme, particulièrement chez le condamné à mort, dont les poèmes ont les accents d’une foi découverte ou retrouvée.
Extrait de la préface de Pierre-Denis Boudriot.
L'épuration et les poètes, Léon Arnoux, Editions de Chiré, 2013, 144 pages, 17,00 € cliquez ici
Source Zentropa cliquez là
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mercredi, 22 janvier 2014
Samedi 25 janvier : Patrick Gofman à la Librairie française
NDLR :
Patrick Gofman est l'auteur du livre Le trotskisme dégénéré édité aux Bouquins de Synthèse nationale.
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Entretiens confidentiels de Georges Albertini
À la mort de Georges Albertini, Le Monde écrivit qu’il « fréquenta, connut, conseilla, guida presque toutes les personnalités politiques de premier plan entre 1940 et 1981. Il organisa des campagnes électorales, fit écrire des centaines d’articles, prononcer des dizaines de discours, exerça le pouvoir par gens célèbres, interposés. Il demeura lui-même constamment dans l’ombre… il ne laisse curieusement derrière lui aucun Mémoire sur sa prodigieuse existence. Les historiens le regretteront un jour, car peu d’hommes auront remué tant de choses dans les coulisses du siècle. » À défaut de Mémoires, il reste de Georges Albertini la transcription détaillée de ses entretiens et des réflexions que ceux-ci lui inspiraient, effectuée jour après jour sous son contrôle pendant une trentaine d’années. En raison de son engagement sous l’Occupation (il avait été le secrétaire général du Rassemblement national-populaire, que présidait Marcel Déat), il était tenu à la discrétion et privé d’ambition personnelle. Aussi ses interlocuteurs se livraient-ils à lui en toute quiétude, assurés que leurs confidences resteraient sans suite. Ils sollicitaient ses conseils qu’ils savaient désintéressés, et aussi son aide à l’efficacité éprouvée, tant pour résoudre des problèmes délicats que, parfois, pour se tirer d’affaires embarrassantes. Aussi Georges Albertini aurait-il pu dire, comme Saint-Simon en son temps : « Je me suis donc trouvé instruit journellement de toutes choses par des canaux purs, directs et certains, et de toutes choses grandes et petites ». C’est une sélection de ces transcriptions qu’on trouvera ici, l’ensemble ne devant être accessible que plus tard.
Entretiens confidentiels de Georges Albertini, par Morvan Duhamel, Editions Amalthée, 802 pages, 28,00 €
Source Zentropa cliquez ici
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dimanche, 19 janvier 2014
Après Nantes et Angers le mois dernier, Patrick Gofman sera à Charleroi le 8 février pour présenter son livre "Le trotskisme dégénéré"...
Le trotskisme dégénéré cliquez ici
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De plus, samedi prochain 25 janvier, Patrick Gofman dédicacera ses livres à la Librairie française (5, rue Auguste Bartholdi Paris XVe cliquez ici).
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samedi, 11 janvier 2014
"La fallite de Mandela", le nouveau livre de Jean-Claude Rolinat est dans les bonnes librairies parisiennes :
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La Guerre de 2014...
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Auteur en 2004 d’un ouvrage sur Le Fondateur de l’Aïkido, Morihei Veshiba et en 2007 de Constat d’Occident, Laurent Schang est un fana mili, un passionné du fait militaire, de l’armement et des questions tactiques. Il a un temps participé à la revue La voie stratégique et anime une maison d’édition au nom évocateur spécialisé dans ce domaine spécifique : Le Polémarque.
D’abord paru en 2009 chez un modeste éditeur disparu, Kriegspiel 2014 est un roman d’anticipation ou plus exactement de politique-fiction dans la lignée de Tom Clancy (en moins volumineux) et de Gérard de Villiers (sans les scènes pornographiques). Les éditions Le Retour aux Sources viennent de le republier dans une version actualisée et enrichie. Relevons par exemple l’absence du sous-titre présent dans la première édition, « Le livre dont Vladimir Poutine est le héros ».
Laurent Schang inscrit les événements qu’il nous décrit dans un schéma conceptuel tiré d’une lecture polémarchique de la philosophie de l’histoire. Il estime que « selon une loi non écrite bien connue des historiens militaires, l’avenir de la péninsule européenne […] se décide entre la dixième et la quinzième année du siècle courant (p. 7) ». 1914, 1815, 1715, 1610, 1515 etc. marquent le début ou la fin d’une conjoncture conflictuelle majeure.
L’auteur nous dépeint la déflagration survenue en 2014. Dans moins d’un an, le 12 décembre 2014, les tensions sino-japonais liées au sort des îlots Senkaku – Diaoyu débouchent en conflit armé ouvert. Parallèlement, des islamo-nationalistes turcs renversent le gouvernement islamo-conservateur d’Ankara, relancent le touranisme et soutiennent l’agitation ouïgoure au Xinjiang chinois. C’est l’explosion du monde de l’après-Guerre froide !
Pendant que la Chine envahit Taïwan et le Japon, les États-Unis d’Obama et l’Europe unie – car l’Union européenne est devenue une entité fédérale ambiguë et velléitaire – renâclent à intervenir, tergiversent et réclament surtout des négociations. Si Barack Obama a proclamé la neutralité de son pays, c’est parce plusieurs États fédérés menacent de faire sécession…
Les atermoiements occidentaux aiguisent les ambitions turques et le dessein russe. La Turquie envahit l’Arménie, occupe la partie grecque de Chypre et s’empare des Balkans qui replongent dans d’inextricables guerres civiles. Néanmoins, l’invasion néo-ottomane provoque la formation d’une Confédération panslaviste tandis que Moscou reconnaît l’indépendance de l’Adjarie, du Haut-Karabakh arménien et du Kurdistan du Nord, ses nouveaux protectorats.
Mieux, le 22 décembre, la Russie attaque l’Ukraine, la Pologne et les États baltes. Cette action violente tétanise une O.T.A.N. paralysée par le neutralisme affiché de Washington. Quant à l’Europe unifiée, désemparée, elle se révèle incapable d’agir. Ses États membres ne prennent aucune initiative. En effet, « leurs armées sont au régime sec, les pays européens ont réduit leurs budgets militaires au minimum et la plupart de leurs engagements sont au point mort, vecteurs aériens y compris, faute de crédits nécessaires. Conséquence, en dix ans l’Europe unifiée a vu sa puissance de feu diminuer du tiers (p. 84) ». Bref, les Européens « sont juste incapables de se défendre eux-mêmes (p. 85) ». Cela n’empêche pas de grandes métropoles européennes de sombrer dans une situation insurrectionnelle larvée. Échoue dans ce contexte tendu un 26 novembre à Bruxelles un coup d’État pro-européen.
Bien que se voulant neutre, la Belgique se déchire entre partisans de l’unité nationale et indépendantistes flamands. Ses voisins et ses partenaires s’interrogent sur une éventuelle réponse à donner aux événements. Tout démontre que « groggy, l’Europe unifiée chancelait sur sa base. Dans les premiers jours du conflit, les dirigeants européens avaient pu afficher une unité de façade devant les caméras. Au vrai, usés au physique, affaiblis au moral, les peuples ne manifestèrent à aucun moment l’envie de les suivre (p. 133) ». Le sursaut européen provient finalement de la réussite d’un second coup d’État. Perpétré par « les Fils de la Louve », un groupe clandestin de jeunes officiers paneuropéens, le putsch renverse les institutions continentales, écarte les politicards de l’Europe unifiée et impose un Saint-Empire fédéral paneuropéen confié au petit-fils d’Otto de Habsbourg : Ferdinand Zvonimir.
Disposant rapidement d’un siège de membre permanent au Conseil de sécurité de l’O.N.U., ce nouveau Saint-Empire rassemble 31 États dont le califat de Sarajevo. En revanche n’y appartiennent pas le Royaume-Uni, la Pologne et une Confédération balkano-danubienne constituée de la Serbie, de la République serbe de Bosnie, du Monténégro, de la Macédoine et de la Grèce. Favorable à la désoccidentalisation de l’Europe et au Grand Bloc Continental, le jeune souverain paneuropéen prend acte du monde accouché par cette brève et intense guerre eurasiatique (moins d’une année). Les États-Unis paient leur neutralité d’un net recul de leur influence planétaire. S’esquisse dès lors un siècle altaïque régi par la Chine, la Russie et la Turquie – Touran, prélude à un grand-espace géopolitique eurasien, voire eurasiste ? Ferdinand Zvonimir Ier ne déclare-t-il pas à ce sujet que « les civilisations ne sont pas des aires closes, des valeurs communes les relient et les unissent les unes aux autres (pp. 145 – 146) ».
Riche en considérations techniques précises sur les différents systèmes d’armement des belligérants, Kriegspiel 2014 se déroule dans le cadre d’une guerre conventionnelle classique, très éloignée des schémas prévus de la cyber-guerre, de la guérilla et des conflits méta-locaux. Ce roman n’en ouvre pas moins d’étonnantes perspectives géostratégiques même s’il faut largement minorer l’idée fallacieuse que la Russie serait prête à attaquer volontiers son étranger proche au Sud et à l’Ouest de ses frontières… Laurent Schang aurait-il trop lu les doctrines néo-conservatrices qui envisagent toujours l’Ours russe comme une forte menace potentielle ? En revanche, les contentieux dans le Caucase et entre Pékin, Tokyo, Séoul et Pyongyang sont plausibles et peuvent dégénérer en guerre. À moins que le principal neutre de ce « Jeu de guerre 2014 », les États-Unis, ne révèle sa dangerosité en se lançant dans des aventures militaires déstabilisatrices. Victimes d’une grave crise économique, sociale et financière seulement dissimulée par l’exploitation intensive du pétrole et du gaz de schiste, l’actuelle première puissance mondiale pourrait très vite devenir un État super-voyou qui met en péril la paix mondiale, surtout si en 2017 accède à la Maison Blanche un taré républicain ou un fanatique démocrate, éternels pantins de l’État profond yankee.
L’histoire est par essence tragique, inattendue et aléatoire. Verrons-nous donc cette année 2014 le retour d’Athéna et d’Arès, de Taranis et de Maponos, de Tyr et de Thor sur notre sol plusieurs fois millénaire ?
Laurent Schang, Kriegspiel 2014, Le Retour aux Sources (La Fenderie, F – 61 270 Aube), 2013, 155 p., 15 €.
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vendredi, 27 décembre 2013
"L'Epuration et les poètes", retour sur une période sombre de notre Histoire...
Il faut savoir gré à Léon Arnoux d'avoir composé ce florilège, le premier du genre, de poètes à ce point maudits que leur œuvre demeure, aujourd'hui encore, sous le coup d'une flétrissure originelle.
Grand prescripteur d'opinion et souverain proscripteur, le Comité national des écrivains, imprima le sceau d'infamie, en dressant dès le début de septembre 1944, la première de ses listes noires rendant publique la mise à l'index de nombreux auteurs, souvent de renom, qui furent donc réduits au silence.
(.) La panoplie des peines ne fut jamais aussi large. La fusillade, bien sûr, mais aussi les années de géhenne en prison, ou pire en centrale, l'indignité nationale, la confiscation des biens. L'oubli, sournois, acheva la besogne. Pour les poètes aussi.
Léon Arnoux est allé les chercher au fond de leur puits d'oubli.
(.) La poésie carcérale s'impose d'abord comme l'expression d'une sensibilité exacerbée par les affres de l'enfermement. Le prisonnier vit dans l'attente et l'incertitude. Celle, immédiate, de son sort. Mais tout peut lui être source de tourments. L'épouse qui ne répond plus aux lettres, ni ne vient aux parloirs, les négligences de l'avocat, la mère qui se consume de désespoir.
Nombre des poèmes traduisent le paroxysme d'une souffrance ou d'une émotion. Ils témoignent souvent d'une élévation d'âme, particulièrement chez le condamné à mort, dont les poèmes ont les accents d'une foi découverte ou retrouvée.
(Extrait de la préface de Pierre-Denis Boudriot)
L'Epuration et les poètes, Léon Arnoux, Editions de Chiré, 144 pages, 19,00 € cliquez ici
09:47 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Sortie très prochaine du nouveau livre de Jean-Claude Rolinat : LA FAILLITE DE MANDELA...
Face à la mandelamania,
une autre voix se fait entendre...
Sortie prévue la semaine prochaine !
Un mauvais cadeau de fin d'année
pour la bienpensance institutionnalisée !
Il est temps de rétablir la vérité !
Vous pouvez déjà le commander :
18, 00 € (+ 3,00 € de port)
Synthèse nationale
116, rue de Charenton 75012 Paris
(correspondance seulement)
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