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mercredi, 05 octobre 2011

Crise financière ou sanction des dérives parlementaires...

Pierre-Descaves-CR(3).jpgPar Pierre Descaves

France résistance cliquez ici

Nous y voilà, nous y sommes, nous allons devoir payer pour nos choix politiques en faveur des irresponsables de droite, comme de gauche, membres de l’oligarchie UMPS.

Depuis 1945, à la chute de l’Etat français, qui avait tenté de remettre en vigueur la morale en politique, la rigueur en matière de gestion financière, nous avons sous l’emprise de la classe médiatique, élu des irresponsables, les plus incompétents, les plus corrompus, des candidats aux élections nationales.

Depuis 1945, il n’y a pas eu d’année sans que l’on voit des scandales éclater, sans que des corrompus soient embastillés, et ce , malgré, de scandaleuses protections dont ils ont pu bénéficier.

Alors que les scandales atteignent, de nos jours, les plus hautes autorités, n’est-il pas venu, pour nous, le temps de nous révolter contre un système destructeur des structures morales et sociales de notre vie en société.

Dois-je vous rappeler la gabegie financière organisée et défendue, becs et ongles, par une classe politique complètement déboussolée.

Devons nous insister sur la destruction menée de façon systématique contre notre peuple, en raison de sa race blanche, de sa religion chrétienne, de sa civilisation helléno-romaine.

Disparition de notre peuple par l’élimination des enfants à naître, pour une politique familiale ouverte au monde entier dont nous sommes les derniers à profiter, par cette euthanasie des plus âgés dont la programmation arrive à grands pas.

En revanche l’ouverture de nos frontières à tous les pauvres, tous les miséreux, tous les aigris du monde entier appel és à venir s’approprier des aides, des avantages, des profits, des emplois dont nos citoyens sont dépouillés.

Sur le plan économique, dois-je vous rappeler que l’ouverture des frontières, l’abandon des barrières douanières ont conduit à la disparition de pans entiers de notre industrie de main d’œuvre d’où est résulté un chômage démentiel, porteur de misères, de drames, de détresse dans nos foyers.

Enfin, sur le plan de la gestion financière des Comptes de la Nation, comment ne pas prendre acte de l’incapacité totale de nos élus à assurer une saine gestion des fonds publics résultant de prélèvements, de plus en plus, élevés sur le fruit de notre travail, sur notre bien résultant de nos économies.

Prendre aux travailleurs, ceux qui produisent les richesses, 56% du fruit de leurs efforts est une véritable spoliation.

L’Etat qui ne devait, en République, que se borner à assurer les fonctions régaliennes, précédemment dévolues au Roi, est devenue une sorte de monstre administratif se mêlant de tout, d’industrie, de commerce, de finances en devenant banquier, assureur, prêteur, emprunteur.

Il veut même orienter les décisions patronales par des incitations financières dont chacun sait quel seront sans résultat. Inciter à l’embauche par des subventions n’aura aucun effet dans le secteur de la production de richesses sur le seul critère que retient le chef d’entreprise est le volume de ses commandes.

En revanche les embauches dans le secteur non commercial ne feront qu’aggraver la situation en alourdissant les charges du secteur productif.

Alors mes amis, de la résistance à la disparition de notre peuple, de notre nation, de notre civilisation, le moment est venu de ne plus croire aux boni-menteurs de la grande presse, aux promesses électorales jamais tenues, nos votes doivent servir à éliminer les mauvais bergers, ces candidats de l’U.M.P.S. qui nous ont toujours menti, trompé.

Votez pour qui vous voulez sauf pour des candidats qui vous sont présentés comme les seuls à pouvoir redresser le pays, car nous savons, nous, qu’ils continueront l’enfoncer. Jugez les candidats sur leurs actes, pas sur leurs promesses. Ils nous ont coûté assez cher. La « toile » est pleine des cris de haine à l’encontre de notre peuple par ceux qui veulent nous remplacer, nous éliminer, après avoir fait de nous les esclaves d’une religion restée bloquée au VIIe siècle de notre ère.

Les femmes doivent disparaître sous des linceuls ambulants, elles doivent être cloîtrées, avoir leurs droits de vivre pratiquement supprimés.

Les homosexuels, ceux qui changent de religion, ceux qui trompent leur conjoint, doivent être exécutés, les uns par lapidation, les autres en étant égorgés comme des moutons le jour de la fin de Ramadan.

Alors mes amis, citoyens de cette France que nos ancêtres nous ont léguée, qui est aujourd’hui gravement menacée, rejoignez les rangs de la résistance, unissez vous rapidement, car le moment est proche où cela ne sera plus possible de le faire.

Et dans toutes les élections à venir, virez les incapables, virez les corrompus, virez les incompétents qui ont conduit notre pays au désastre

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mardi, 27 septembre 2011

Tribune libre : La destruction des classes moyennes en France, en Europe et aux Etats-Unis...

Par Marc Rousset

Economiste

En Europe, la destruction, mais dans les pays émergents, la montée des classes moyennes, voilà où nous conduisent le libre échange mondialiste, les sociétés multinationales qui, à l’exemple de Renault, délocalisent, ainsi que les stock options des dirigeants embarqués dans un capitalisme au service  exclusif des actionnaires, n’en déplaise à Madame Laurence Parisot, Présidente du Medef. Seul le retour au capitalisme rhénan et à la préférence communautaire, avec des droits de douane sonnants et trébuchants, peut endiguer la catastrophe économique  et sociale en cours !

Un symbole éloquent est fourni par l’entreprise américaine Apple. Ses produits sont conçus en Californie et assemblés en Chine par Foxconn. Apple, la deuxième plus grosse capitalisation mondiale après Exxon, que tous les bien pensants  portent aux nues, fait travailler à peine une cinquantaine de milliers de salariés, chercheurs et cadres. Foxconn que personne connaît fait travailler un million de salariés en Chine dans des emplois industriels ! Le Prix Nobel d’économie Michael Spence constate que de 1990 à 2008, 98% des 27 millions d’emplois créés aux Etats-UnIs l’ont été pour des secteurs travaillant exclusivement pour le marché intérieur américain, dont dix millions pour les agences gouvernementales et la santé. En revanche, les industries dont les produits sont exportables n’ont pas accru leurs emplois sauf dans les métiers très hautement qualifiés. Le grand perdant est donc la classe moyenne employée dans l’industrie .Quant au professeur Alan Blinder, ancien numéro deux de la Fed, il estime que 25% de tous les emplois aux Etats-Unis sont potentiellement « délocalisables » (1).

Il est cocasse de constater pendant le même temps et dans le même quotidien, l’émerveillement du brillantissime  footballeur Edson  Arantes do  Nascimento  Pelé. L’Ambassadeur du Brésil pour la Coupe du monde de 2014 s’émerveille au contraire de l’apparition et de la montée des classes moyennes dans son pays : « Notre économie actuellement la 7ème du monde est diversifiée, innovante et elle allie croissance, stabilité, durabilité et inclusion sociale. Ces dix dernières années, plus de 40 millions de personnes ont rejoint la classe moyenne, enfin majoritaire dans le pays. »(2)

Avec l’expansion des échanges et la diffusion rapide des technologies vers les pays en développement, les employés européens sont confrontés à une concurrence croissante par delà les frontières. La Chine, l’Inde et les pays émergents dans une économie mondiale libéralisée et déréglementée provoquent plus qu’un doublement de l’offre de travail globale et un excès structurel de main d’œuvre permettant de faire porter sur les salariés  l’ajustement aux nouvelles conditions de concurrence. Le fossé se creuse entre ceux qui sont à l’aise dans la mondialisation et le reste de la population, qui craint la précarité, la vulnérabilité, le déclassement social et se recroqueville sur ses avantages acquis.

Les classes moyennes tremblent en France pour leurs enfants, dont beaucoup obtiennent au mieux, des fonctions inférieures à des  diplômes, il est vrai, de plus en plus dévalorisés et inadaptés, et n’auront d’autre ressource que de brûler le patrimoine reçu en héritage (3). 80% des emplois nouveaux créés en France relèvent de l’intérim, de CDD (sept embauches sur dix), de stage, de travail à temps partiel et il arrive sur certains sites de l’industrie automobile que les effectifs soient à plus de 50% intérimaires.  La moitié des salariés - dont 52% des cadres et 73% des plus de 50 ans- estiment qu’il leur serait « difficile de retrouver un emploi au moins équivalent » en cas de perte de celui qu’ils occupent actuellement (4). La fameuse « France d’en bas » est la conséquence directe de l’absence  de véritables  frontières  douanières européennes.

Ce qui est vrai pour la France et les Etats-Unis se vérifie aussi en Allemagne  où selon une étude de Joachim Frick et Markus Grabka, chercheurs à l’Institut pour la recherche en économie (DIW) de Berlin, la classe moyenne, le « milieu », voit son importance décroître. En 2000, elle représentait encore plus de 62% de la population allemande ; en 2006, cette catégorie, autrement dit les Allemands qui gagnent entre 70% et 150% du revenu médian, était tombée à 54%. Aujourd’hui en haut de l’échelle en Allemagne, les richesses issues du capital ne cessent d’augmenter. Selon Joachim Frick, « la répartition des revenus est plus inégale et plus polarisée qu’avant » ; la confiance et l’optimisme des classes moyennes s’érodent en raison de la précarisation du travail; il est de plus en plus rare de disposer d’un emploi à temps plein et les salaires ne suffisent plus. Selon un quotidien économique en 2008, « l’Allemagne se découvre, 22% de travailleurs pauvres ». Albrecht von Kalnein, Directeur de la fondation Herbert Quandt, explique ces changements par l’ouverture de la Chine, la mondialisation et la délocalisation des services et des emplois industriels. L’offre mondialisée exerce « une pression sur les salaires en Allemagne » explique Albrecht von Kalnein.

Les emplois délocalisés sont en général des emplois ouvriers stables, porteurs de technologie, d’investissements, favorisant d’autres emplois  et services grâce au pouvoir d’achat initialement créé par les  salaires de l’industrie, ce qui est la base même d’une économie saine. La qualité des emplois se dégrade et les Européens s’abrutissent de plus en plus à des tâches instables, peu gratifiantes et routinières ; au-delà du problème du chômage stricto sensu se pose le problème de la dégradation continuelle et structurelle de la qualité de l’emploi. Les emplois créés pour pousser les vieillards dans leurs petites chaises roulantes, pour faire les courses des personnes malades, pour faire le ménage  ou pour jardiner  sont un exemple  d’emploi de services bas de gamme d’intérêt limité, sans avenir ni  contenu technologique, des quasi  transferts de revenu qui portent en fait  le nom d’emplois pour des pays décadents en voie de désindustrialisation rapide. Dans les statistiques officielles, ces emplois strictement alimentaires contribuent  à  la croissance d’un  PIB qui est en fait de plus en plus désindustrialisé ainsi qu’à la poudre aux yeux médiatique de la lutte victorieuse des gouvernements contre le chômage. Ce qui caractérisait  les pays sous développés et les économies de l’Ancien Régime, c’est  le nombre  incalculable de domestiques que faisaient vivre les nobles dans leurs châteaux et les classes privilégiés dans leurs belles demeures !

Bien que sa politique ait conduit les Etats-Unis  et le monde à une situation économique catastrophique, Alan Greenspan prétend que (5) : « L’industrie manufacturière, c’est la technologie du XIXe siècle ! (…) L’industrie manufacturière, ce n’est pas un secteur d’avenir. L’avenir est dans les idées qui servent à concevoir les produits. (…). Il n’y a rien de sacro-saint qui justifie la préservation de l’industrie manufacturière au sens traditionnel du terme. Un pays qui défend son industrie manufacturière d’antan se condamne à voir son niveau de vie stagner ». Nous aimerions savoir comment l’ancien gouverneur de la Réserve fédérale américaine entend trouver du travail à 300 millions d’Américains passant  leur temps à concevoir des produits ! Dans les années 1950, l’industrie manufacturière représentait 27% de l’économie et 30% des emplois aux Etats-Unis ; aujourd’hui elle ne représente plus que 12% du PIB et un emploi sur dix. Le développement foudroyant de la Chine (70% de son PIB  dans l’industrie) est  là pour montrer que ce qu’affirme Alan  Greenspan est complètement inexact !

Il est vital pour l’Europe de ne pas rester à l’écart du monde industriel moderne, de concevoir un développement industriel fort, créateur d’emplois pour la prochaine génération, d’assurer un renouvellement de son tissu manufacturier.  Il importe de reconquérir avec des droits de douane et la préférence communautaire les 3 millions d’emplois industriels perdus en France pendant 30 ans par la classe moyenne, au profit de celle de la Chine et des pays émergents.

Notes

 (1) Jean Pierre Robin, Le Figaro, 26 septembre 2011, Libres échanges, p.29

 (2) Coupe du Monde : une Chance pour le Brésil, Le Figaro, 26 septembre 2011

 (3) Louis Chauvel, Les Classes moyennes à la dérive, Seuil, 2006, 112 pages

 (4) Observatoire du travail BVA, L’Express, 14-29 septembre 2007

 (5) Les Conseils d’Alan Greenspan à la France, Le Figaro du 24 septembre 2007 

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mardi, 20 septembre 2011

Tribune libre : Désaccord avec Christine Tasin sur la France blanche et chrétienne...

Par Eric Didelon

Source Le Gaulois cliquez ici

 

Je souhaiterais réagir à l’article de Christine Tasin « Non, La France blanche et chrétienne, ce n’est pas la France ». (Voir Riposte Laïque)

 

Comment ça, La France n’est pas blanche et chrétienne ? Mais comment peut-on écrire une chose pareille… à part en France ? Allez faire un tour dans n’importe quel pays d’Asie ou d’Afrique et dites-leur que vous êtes de leur pays parce que vous y vivez et vous aimez leur terre, leur culture et leurs valeurs. Vous ne rencontrerez au mieux que des sourires gênés, mais surtout beaucoup d’incompréhension et même de la colère et de l’hostilité.

 

Car il ne suffit pas de vivre dans un pays et de l’aimer pour en faire partie. Allez dire à un Indien ou un Chinois que comme vous vivez dans son pays et l’aimez, vous en faites autant partie que lui… Allez aux Antilles et dites aux gens que vous êtes antillais, alors que vous êtes blanc et observez les réactions !

 

C’est justement à cause de cette négation du caractère blanc et chrétien de la France que tous les débordements que vous dénoncez ont lieu en France de nos jours. Si la France n’est pas un pays blanc et chrétien, alors n’importe quelle personne d’origine étrangère peut arriver et imposer ses croyances et sa vision du monde.

 

La grosse erreur est de croire que revendiquer l’origine blanche et chrétienne serait la porte ouverte a la discrimination et au racisme. C’est complètement faux. Il suffit d’observer la situation ailleurs qu’en Europe. De nombreux pays d’Asie ont une forte présence étrangère : a Hong Kong par exemple, des lors qu’un étranger a un visa de travail, il dispose d’une carte d’identité locale d’apparence identique a celle des autochtones, qui lui donne pour ainsi dire les mêmes droits qu’un natif. Il n’y a aucune discrimination et tous les rapports avec l’administration, les services publics et la population sont courtois et bienveillants. Mais a aucun moment vous n’entendrez a Hong Kong que vous êtes chinois parce que vous vivez a Hong Kong et que vous aimez Hong Kong et son mode de vie. Il n’y a pas non plus de droit du sol a Hong Kong : un enfant de parents étrangers ne sera jamais hongkongais. Car être hongkongais c’est être de race « jaune », avoir un nom a consonance chinoise etc etc. Ca peut paraitre « raciste » mais au moins, les choses sont claires et du coup, on ne déplore pour ainsi dire jamais d’actes « racistes ».

 

Si les valeurs « républicaines et laïques » ne font pas recette auprès des allogènes de France, demandez-vous pourquoi ? De mes voyages de par le monde, j’en suis venu a la conclusion que l’être humain a besoin d’appartenir a quelque chose de concret, de l’ordre du sang et de la terre. Les tentatives de fonder une nation sur une appartenance a un principe supérieur, supra-ethnique n’ont marche nulle part en Eurasie. L’homo sovieticus n’existe plus, la nation « yougoslave » s’est dissoute dans la violence et les massacres.

 

Les Français sont en train de se faire bouffer par l’islam parce qu’ils ont honte d’affirmer leurs origines: blanche et chrétienne précisément. Toute l’erreur (et c’est une erreur commise UNIQUEMENT dans l’Union Européenne) est de croire que si les Français affirmaient leurs origines ethniques et religieuses, ce serait la porte ouverte au racisme et « aux-plus-sombres-pages-de-notre-histoire ». Et si c’était le contraire ?

 

Les Émirats Arabes Unis sont des territoires musulmans et arabes… Et pourtant 80% au moins de leurs populations sont des travailleurs étrangers qui très souvent ne sont pas musulmans (Indiens, Philippins, Chinois etc). Les Indiens hindous fêtent en toute liberté leurs fêtes, dans la rue, comme ils feraient en Inde. Mais à aucun moment, les arabes ne leur ont dit qu’ils étaient comme eux et qu’ils acceptaient de partager leur territoire avec eux. Les seuls maitres à bord à Dubaï, ce sont les émiratis … point barre !

 

En France c’est devenu un crime honteux que de revendiquer ses origines à savoir… blanche et chrétienne. Les peuples de la terre entière ont le droit d’affirmer le caractère ethnique de leur nation, les Tibétains, les Palestiniens et tous les autres. Mais un Français non, il est sommé de minimiser et d’effacer toute référence à caractère ethnique et si cela ne lui plait pas, c’est qu’il est un « franchouillard », un fasciste, bref quelqu’un de honteux et haïssable. Pourtant si les Français s’aimaient à nouveau en tant que peuple blanc et chrétien, d’abord ils se feraient mieux respecter, ensuite ils n’auraient pas honte de poser des limites à ceux qui ne sont ni blancs ni chrétiens et pourraient ainsi, à l’intérieur de ces mêmes limites, accepter et accueillir tous ceux qui viennent d’ailleurs et aiment la France.

 

En attendant si la France n’est ni blanche ni chrétienne, alors n’importe qui peut arriver et dire aussi bien qu’elle est musulmane... depuis 3000 ans* (sic).

 

*Ndlr. legaulois.info : c’est Djamel Debbouze, l’inénarrable intellectuel de haute volée, qui a déclaré devant les caméras que « l’islam est en Europe depuis 3000 ans » 

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lundi, 12 septembre 2011

DSK ET LA PAUPERISATION...

M de Poncins.jpgPar Michel de Poncins

 

Les signes de la paupérisation du peuple français s'accumulent de plus en plus. Les statistiques officielles montrent qu'en 2009 8,2 millions de personnes, soit 13% de la population, vivaient en dessous du seuil de pauvreté. En 2008, c'était moins : 7,84 millions. Un Français sur deux vit avec moins de 1580 € par mois. Certes ces statistiques doivent être lues avec prudence : il est plus évident d'être pauvre à Paris lorsque l'on a peu de revenus qu'en province avec les mêmes revenus, si par ailleurs on dispose d'une maison et d'un jardin.

 

Des indices plus sûrs et évidents existent comme la « prospérité » des restos du cœur et celle du secours catholique. Les politiques qui pilonnent l'économie française, soit pour détruire les industries et services, soit pour les chasser ailleurs, ont au moins une production qui marche bien c'est justement celle des restos du cœur.

 

Au même moment, DSK fait un retour quasi triomphal à Paris et les médias le montrent avec gourmandise pénétrant dans son magnifique logis de la place des Vosges. Ses innombrables camarades et amis de la fausse droite et de la vraie gauche sont, certes, fort embarrassés par ce retour. La présomption d'innocence existe dans le domaine pénal, ce qui n'empêche pas les rumeurs et les chuchotements.

 

UNE INCOMPETENCE MANIFESTE

 

Pour sauver l'honneur, les voici chantant ses prétendus talents et sa prétendue compétence. Mais il se trouve que la présomption d'innocence n'existe pas dans le domaine économique.

 

Dans les multiples fonctions qu'il a rempli au plus haut niveau en France, il a décidé et orchestré les plus grandes calamités : semaine de 35 heures, retraite à 60 ans, enrichissement fabuleux des politiciens, déluge fiscal, dépenses publiques illimitées, endettement en folie. Le résultat pitoyable est connu : chômage, crise du logement, délocalisations des entreprises, retraites insuffisantes, panne de la croissance et bien d'autres manifestations qui ont conduit précisément à la paupérisation rappelée ci-dessus.

 

Certes, pour sa défense, il pourrait dire qu'il n'était pas le seul et que ses amis sont étroitement solidaires de la catastrophe générale. Il ajouterait que la fausse droite, en dehors de quelques aménagements, a poursuivi la course folle et n'a nullement arrêté le double bolide des impôts et de l'endettement.

 

S'il avait, au tribunal de l'histoire, un avocat aussi talentueux que celui qui lui a permis d'éviter d'être jugé, il pourrait aussi affirmer qu'il était ignorant du mal qu'il créait par ses actions. Étant donné le degré élevé d'intelligence de ces gens, la présomption d'ignorance n'a aucun sens. Il y a eu agression contre l'économie française et agression volontaire.

 

Une autre ligne de défense pourrait être d'évoquer le consentement du peuple français s'exprimant par les votes ; cela voudrait dire qu'il n'y a pas eu de viol, comme cela aurait pu se produire dans la suite 2806 du Sofitel de New-York, si la victime n' était pas consentante.

 

L'ORCHESTRE MEDIATIQUE

 

Que se passe-t-il dans l'isoloir ? C'est là qu'intervient dans l'analyse un autre facteur, à savoir l'orchestre médiatique. Les médias en France sont à la fois créateurs et complices des calamités publiques ; ils sont étroitement imbriqués avec les politiques et forment avec ces derniers un ensemble cohérent, imposant une censure d'autant plus impitoyable qu'elle est apparemment douce. La situation est donc étrange : il n' y pas eu viol puisque le peuple a voté. Mais le consentement a été obtenu grâce à la complicité de l'orchestre médiatique, lui-même arrosé généreusement par les impôts arrachés aux victimes-contribuables-électeurs.

 

La même propagande célèbre le rôle de DSK à la tête du FMI. Les tribulations récentes ont permis d'admirer sur les écrans la magnificence de cette organisation qui, avec ses 14 000 employés, n'est que l'une des multiples et luxueuse succursales du pouvoir totalitaire mondial en voie d'édification rapide.

 

Au même moment, nous avons le spectacle de la misère que ce FMI impose cruellement au peuple grec, soi-disant pour le « sauver ». C'est une pratique courante de cette organisation. Là aussi la présomption d'ignorance n'existe pas.

 

Comment ce personnage incompétent est-il arrivé à la tête du FMI ? Peu de gens se souviennent que pendant plusieurs mois les affaires étrangères de la France ont été mises au service de sa nomination et, de même, récemment de celle de Madame Christine Lagarde. Dans les affaires étrangères rien n'est gratuit et tout se paye ; personne ne peut connaître les contreparties que la France a du donner pour ces deux nominations correspondant aux caprices et intérêts du pouvoir en place.

 

LES IMPOTS FRAPPENT SURTOUT LES PAUVRES

 

La paupérisation évidente du peuple français met en évidence un fait que peu admettent, à savoir que les impôts frappent en priorité les pauvres. En effet, ces derniers deviennent pauvres précisément à cause des impôts qui détruisent les créateurs de richesse, ceux qui font tourner la machine.

 

Les simples précaires, qui arrivent seulement à vivoter risquent à leur tour de tomber dans la trappe de la pauvreté. A mesure que les gens s'élèvent dans la richesse, l'impôt devient de moins en moins pesant. S'ils accèdent à la grande richesse, l'impôt n'existe plus puisqu'ils peuvent s'évader parfaitement légalement pour échapper à l'enfer fiscal.

 

La France en ruine, le désastre du FMI : décidément les camarades ont bien de l'audace à essayer de redonner du lustre à leur encombrant ami. En fait, ce n'est que le reflet de leur propre solidarité à la fois dans l'incompétence et dans ses résultats.

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dimanche, 11 septembre 2011

CRISE FINANCIERE OU FAILLITE DEPENSIERE...

images (2).jpgPar Pierre Descaves

Nos dirigeants, de droite comme de gauche, ont élevé le mensonge, la désinformation, à la hauteur d'une institution.

Durant tout l'été ils nous ont accablés de la démonstration de leur gabegie, de leur incompétence, de leur incapacité de faire face aux réalités.

Réunis au sein de cette Europe funambulesque, gérée par des eurocrates aussi incompétents qu'irresponsables, ils avaient considéré que certains critères de gestion devaient être respectés.

Le traité de MAASTRICHT, voté par la France grâce à la prostate providentielle du Président François MITTERRAND, avait fixé à 3 % le déficit maximum du budget annuel des Etats, et à 60 %, le maximum de l'endettement public à ne pas dépasser.

Cela démontrait déjà une incompréhension des obligations naturelles, destinées à présenter une gestion responsable, aux contribuables.

Le déficit tolérable en économie ne saurait concerner le règlement des dépenses courantes. Celles-ci doivent être couvertes par les recettes annuelles courantes.

Un déficit n'est justifiable que s'il s'agit de couvrir des dépenses d'investissements dont les fruits, à venir, sont répartis sur plusieurs années.

Le critère du déficit budgétaire de 3 %, était déjà une hérésie, en bonne gestion économique.

Mais ce que l'on a constaté, seulement au moment de la récente crise, c'est que ce critère déjà anormal, n'avait pas été observé et que, la plupart des Etats de l'Europe, l'avaient très largement dépassé.

Les déficits budgétaires se sont échelonnés de 3,3 % pour l'Allemagne, le bon élève, à 14 % pour la Grèce, le très mauvais élève et à 7 % pour la France, le mauvais élève.

Bien évidemment ces déficits ne pouvaient être couverts qu'au moyen d'emprunts publics devenant, d'année en année, de plus en plus lourds.

Et l'on en est arrivé, au lieu des 60 % fixés par le Traité de MAASTRICHT à des déficits de 85,6 % pour la France, 100 % et plus pour l'Italie, l'Espagne, le Portugal notamment et 139 % pour la Grèce championne en la matière.

Ces dettes, appelées « dettes souveraines » car dettes des Etats, doivent, chacun peut le comprendre, être remboursées et les emprunts le sont sur un certain nombre d'années. Chaque année, l'Etat endetté, doit payer une échéance comprenant capital et intérêt.

Plus le crédit est étalé, dans le temps, moins l'échéance annuelle est élevée. Ceux des particuliers qui ont emprunté savent de quoi il s'agit.

Voilà les principes, mais, ce qui a dérapé, ce sont les applications pratiques.

Les emprunts d'Etat sont souscrits, depuis la disparition volontaire des banques d'Etat, chez nous la « Banque de France », auprès des banques privées et des organismes de crédit. Cela a un coût, c'est l'intérêt du prêt dont le taux est apprécié en fonction du risque encouru.

Ainsi, d'année en année, avec l'accroissement du risque d'insolvabilité, les taux des intérêts ce sont accus, pour atteindre des sommets de plus de 10 % et parfois de plus de 20 % (Grèce).

Il est facile de comprendre que l'accumulation du déficit annuel et de l'augmentation de la charge de l'emprunt rendaient le redressement financier du pays illusoire.

D'où l'affolement estival des responsables de cette situation, qui durent mettre en œuvre des solutions de pure façade, destinées à dissimuler leur incompétence.

Les mesures décidées n'ont pas consisté à revenir à des principes de saine gestion budgétaire de « père de famille », mais à trouver de simples palliatifs, afin de donner l'illusion aux peuples, que la situation était rétablie et que le spectre du « défaut de paiement », c'est-à-dire, en terme usuel, de la « faillite » avait été écarté.

Il fut décidé que les Etats de l'Europe de l'euro (17 Etats) prendraient en charge une partie des dettes de la Grèce, au moyen de prêts consentis par la « Banque Centrale Européenne », sous la garantie des autres Etats.

Le taux de ces prêts fut ramené de 4,5 % à 3,5 % et vous verrez que, rien n'étant au fond résolu, on en viendra au taux zéro qui était celui de la « Banque de France », pour les emprunts de l'Etat.

Parallèlement, la durée des prêts passa de 7 ans à 15 ans et, pour la Grèce, à 30 ans. La fin du cycle sera atteint lorsque la durée sera fixée à 100 ans.

Vous comprenez que, globalement, rien n'est résolu car le poids des emprunts est resté inchangé, même si les créanciers ne sont plus les banques privées, mais la B.C.E.

La charge annuelle est allégée au détriment de la communauté. Une partie de la dette Grecque, envers les banques privées, a été rachetée, à 60 % de sa valeur, par la B.C.E. Cette perte financière de 12,7 milliards d'euros, sera sans doute récupérée par les banques (dividende oblige) auprès de leur clientèle privée, donc des contribuables.

L'Allemagne a évalué sa perte de trésorerie à 43 milliards d'euros et la France à 15 milliards d'euros. Devinez qui va devoir compenser cela ?

Déjà le Gouvernement étudie, un accroissement des recettes fiscales, pour couvrir ces pertes et pour réduire son déficit annuel. Ce sont donc les contribuables qui devront encore payer.

Il n'est pas venu à l'idée de nos dirigeants de réduire les dépenses de l'Etat, en s'attaquant par exemple aux 70 milliards d'euros que nous coûte l'immigration ou aux si nombreux autres milliards de subventions distribuées, à tort et à travers, à tout demandeur bien introduit.

Il n'a pas été prévu, non plus, de dissoudre ces multiples organismes, aussi inutiles que malfaisants (il y en a plus de 1.000) qui servent à placer les petits copains dont les électeurs n'ont plus voulus.

Alors citoyens criez avec moi : ASSEZ de Gabegie. DEHORS les incapables.

Source France Résistance cliquez ici

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jeudi, 08 septembre 2011

Tribune libre : Marine Le Pen, une démagogue en économie !

imagesCA2CHBN1.jpgPar Marc Rousset

 

Nicolas Sarkozy ne connait pas l’histoire et Marine Le Pen ne connait pas l’économie, mais tous deux sont d’excellents démagogues. Le Parti socialiste, lui, pratique la démagogie par définition, puisque son fonds de commerce consiste à faire rêver les gens d’une façon irréaliste en évoquant la justice, en augmentant les impôts et en taxant les vrais comme les faux riches, ce qui a pour résultat effectif de  conduire  à la misère pour tous et à l’inefficacité économique, comme à Cuba, et comme  on a pu le voir  dans les pays de l’Europe de l’Est, en URSS et dans la Chine de Mao !

 

Marine Le Pen a promis devant l’Assemblée Nationale, de dégager la France des griffes de ses créanciers, (banques, rapaces et marchés financiers), en permettant notamment à l’Etat d’emprunter à des taux « très faibles » à la Banque de France, ce qui revient à faire tourner la « planche à billets » !

 

Nous voudrions rappeler à Marine Le Pen qu’il fut un temps où les gens en Allemagne, complètement ruinés tapissaient leurs chambres avec des billets de banques ! Le 26 septembre 1923 ont été émis des billets de 500 000 000 D Mark ! Les rois de France ne faisaient pas autrement parfois pour se libérer de leurs dettes, en émettant de la monnaie dévalorisée ! Marine Le Pen, avec ses théories démagogiques, nous mène tout droit à l’’hyper-inflation" qui signifie la ruine des épargnants, des prêteurs, des détenteurs d’emprunts publics !

 

De la même façon, pour courir, comme Nicolas Sarkozy et les socialistes après les votes, elle se présente en défenseur du service public .Elle n’a pas le courage de s’attaquer au problème fondamental du nombre trop élevé de fonctionnaires français dont les salaires représentent 13% du PIB en France tandis qu’ils représentent seulement 7% du PIB en Allemagne, ce qui signifie que 15 ans de mauvaise gestion de nos fonctionnaires en France représente la totalité de la dette publique française de 1 680 milliards d’euros !

 

Bref, Marine Le Pen, c’est mieux que Nicolas Sarkozy, cent fois préférable au Parti socialiste, mais la fille à papa devrait pratiquer un peu moins la démagogie, surtout en matière économique, afin d’être davantage crédible !

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jeudi, 01 septembre 2011

Tribune libre : Ce que je pense en me rasant, à la différence de Monsieur Pierre Lellouche...

Marc Rousset.jpgPar Marc Rousset

Lors d’un débat organisé dans le cadre de l’université d’été du Medef, le secrétaire d’Etat au Commerce extérieur, Pierre Lellouche, a admis qu’il pensait « chaque matin » en se rasant au déficit des échanges commerciaux  de 26 milliards d’euros entre la France et la Chine, soit exactement la moitié du déficit commercial français qui s’élève à 52 milliards d’euros.

Les Français ont compris qu’on avait un problème de dette, mais ils n’ont pas encore compris qu’on avait un problème de déficit commercial ; or les deux sont liés a t-il estimé. Parmi les facteurs à l’origine de ce déséquilibre, il a cité le problème de compétitivité de la maison France, la sur-dépendance des entreprises françaises à l’égard du marché européen et la prédominance des grands groupes par rapport aux PME. L’analyse de Monsieur Lellouche est exacte, mais partielle, insuffisante  et politiquement correcte ,car  se refusant à indiquer les causes premières à l’origine du manque de compétitivité, du déficit commercial et de l’endettement public français très élevé de 1 680 milliards d’euros :

1)      L’esprit socialiste et laxiste qui a imprégné l’UMPS pendant ces 30 dernières années (relance par la consommation au lieu de renforcer nos entreprises, 35 h, retraite à 60 ans, mesures sociales trop généreuses...) avec comme corollaire l’augmentation des dettes

2)      L’immigration extra-européenne qui coûte 40 milliards d’euros par an à la France, soit au bout de 20 ans, à elle seule, la moitié de la dette totale ! La France a un budget de défense de 1,5% du PIB (5,1% sous le général De Gaulle)  et  n’a pas de second porte avions alors que rien qu’avec le coût de l’immigration, elle pourrait en construire 10 par an ! On fait une fois encore  les poches des Français en augmentant les impôts par le biais des lénifiantes niches fiscales pour 10 milliards d’euros  sans s’attaquer au problème de fond de l’immigration qui représente un  montant  quatre fois plus élevé!

3)      Le libre échange mondialiste qui a couté 3 millions d’emplois industriels en 30 ans. L’emploi industriel est passé de 30% en 1980 à 13% de nos jours. Il importe de revenir de toute urgence à la politique de la préférence communautaire avec des droits de douane.

4)      Un trop grand nombre de fonctionnaires qui ruinent notre pays  de la même façon qu’une entreprise ne peut survivre avec des frais généraux trop élevés. Les dépenses publiques dépassent de 160 milliards d’euros celles de l’Allemagne. Les salaires des fonctionnaires français représentent 13% du PIB tandis qu’en Allemagne, ils représentent seulement 7%. Le dette  publique totale française représente donc 15 ans de laxisme de mauvaise  gestion de nos fonctionnaires  et l’on se demande bien pourquoi  l’on a éprouvé le besoin de créer l’ENA en 1945 , si c’est pour en arriver à des résultats aussi catastrophiques. La France doit s’inspirer de la Suède, de la Finlande, du Canada, de l’Allemagne et  mettre en place des structures administratives compétitives, légères et efficaces.

Chaque matin, en me rasant, à la différence de Monsieur Lellouche, je pense que la situation est grave et que la  France a besoin d’une façon urgente d’un nouveau De Gaulle afin de mettre en place autrement que par des mots la règle d’or, tout en élevant  le budget de la défense à 3% minimum du PIB et en redonnant une vision historique à notre politique étrangère !

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jeudi, 25 août 2011

La Nuit du 4 août 2012 : Abolition des Privilèges des Patrons du CAC40...

imagesCA2CHBN1.jpgPar Marc Rousset

Economiste et écrivain

Maurice Lévy et un grand nombre de patrons du CAC 40,  victimes de leurs mauvaises consciences et  du « faire parler de soi » démagogique dans notre société médiatique décadente, n’ont trouvé rien de mieux pour nous sortir de la crise économique  que de proposer de taxer les super-riches ! L’hypocrisie de ces Messieurs n’a pas de bornes ! C’est l’Hôpital qui se moque de la Charité. Quinze patrons du CAC 40 qui gagnent  en moyenne plus de 3,06 millions, stock options et actions gratuites comprises proposent en fait de distribuer quelques miettes de leurs brioches au peuple, afin de  sortir les Français de leurs  difficultés : ils  proposent la taxation de tous les super-riches  pour un montant d’environ 300 millions d’euros, en plein débat sur une dette publique de 1675 millards d’euros, ce qui revient à faire  prendre aux Français des vessies pour des lanternes.

Or comme chacun sait, c’est avant tout et seulement en diminuant en France les dépenses publiques qui  dépassent de 160 milliards d’euros celles de l’Allemagne, avec les salaires d’un trop grand nombre de  fonctionnaires qui représentent en France 13% du PIB contre 7% en Allemagne, en passant à l’immigration zéro (coût de 40 milliards d’euros par an pour la France), en réindustrialisant l’Hexagone grâce à la préférence communautaire et à la suppression du libre échange mondialiste, que l’on arrivera à un  budget équilibré ! Le gouvernement actuel, au-delà de ses propos lénifiants, se moque des Français en augmentant les impôts, alors que le non remplacement d’un fonctionnaire sur deux, soit une véritable source d’économies, sert en fait, pour 70% de ces sommes, à améliorer le statut de telle ou telle catégorie de fonctionnaires. A quand la suppression de l’inutile Conseil Economique et Social ? A quand la suppression de certaines niches, comme celles sur les primes des retraites des fonctionnaires d’outre-mer ou les régimes spéciaux chers aux socialistes et aux syndicats, tout aussi immoraux que les grands patrons, juste capables de réclamer  une augmentation des impôts  et des prélèvements publics ruineux déjà  les plus élevés d’Europe !.

Contrairement aux affirmations de Proudhon : « la propriété c’’est  le vol ! », les rémunérations et les stock options  des patrons dans les grandes entreprises, voilà le véritable vol ! Si la rémunération est la contrepartie du risque, de la réussite et des responsabilités, alors personne n’est capable d’expliquer pourquoi un patron du CAC 40 peut gagner 300 000 euros par mois alors qu’un patron de PME touche en moyenne un peu moins de 5000 euros  dans le même temps. IL est temps de supprimer les stock options dans les grandes entreprises car elles ne comportent absolument aucun risque  propre à l’entrepreneur  et ouvrent droit à des plus values éhontées injustifiées. Les trois quarts des Français sont favorables à la fixation d’un salaire maximal pour les grands  patrons.

John Pierpont Morgan, le fameux banquier américain, refusait de prêter de l’argent à des entreprises où l’écart de salaire avec un employé était supérieur à 20 fois. Henry Ford, lui, estimait que ce facteur devait être de quarante. Or rien que pour leurs salaires fixes, hors stock options, les grands patrons gagnent en moyenne plus de 150 fois le SMIC. Il y a vingt ans, Jacques Calvet, PDG de Peugeot gagnait 36 fois le salaire minimum et cela choquait ! L’instauration d’un salaire maximum est un impératif économique et de justice sociale. Même les aristocrates à la veille de la Révolution ne bénéficiaient pas de tels privilèges car la grande majorité avait encore  le sens  de l’honneur, et n’hésitait pas à payer l’impôt du sang, un de leurs fils étant toujours destiné à  la carrière militaire ! Pourtant, dans la nuit du 4 août 1789, les députés de l’assemblée nationale constituante, dans un bel élan  mythique d’unanimité correspondant en fait aux intérêts  bien compris de la bourgeoisie, proclamaient l’abolition des droits féodaux et de divers privilèges

Nos sociétés européennes doivent  revenir au capitalisme rhénan, substituer à  l’irrrationalité financière et  à la valeur actionnariale, des valeur sociétales. L’ancien président allemand Horst Köhler, très courageusement, peu avant sa démission, n’a vait  pas hésité à dénoncer les salaires des grands patrons et le « monstre » constitué selon lui par les marchés financiers. Il convient donc d’opposer à la logique actionnariale  celle des différentes parties prenantes de l’entreprise (les « stakeholders » par opposition aux « stockholders »). La finalité de l’entreprise n’est pas de satisfaire les seuls actionnaires, mais de prendre en compte les attentes de tous les ayant droit de l’entreprise : actionnaires, clients, fournisseurs, personnel, pouvoirs publics, environnement, etc… Il apparaît que seule la pratique d’une logique d’ayant droits peut permettre d’éviter le piège tendu par la mondialisation. C’est à l’Etat seul, par des lois, une stratégie économique industrielle, une politique fiscale intelligente et surtout des droits de douane, à la Commission de Bruxelles par un retour aux sources de la CEE, aux citoyens par leurs votes, qu’il appartient de réagir et non aux chefs d’entreprise attirés par l’appât du gain personnel, subissant les contraintes du compte d’exploitation ou pieds et poings liés par la crainte de perdre leurs postes !

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jeudi, 18 août 2011

Sarkozy dégage !

images.jpgGeorges-Alexandre Sadrol

« Dégage ! » C’est à ce cri, à cette interjection, à cet ordre que les manifestations tunisiennes et égyptiennes invitaient leurs leaders respectifs à prendre le large et à quitter le pouvoir. Engluée en Afghanistan, - 74 tués à ce jour -, embourbée  politiquement en Libye, la France sarkozienne joue au petit soldat et enterre ses morts. Morts pour qui, morts pour quoi, là sont les deux terribles interrogations. Cérémonies funèbres, ô combien la République, quel que soit son numéro, sait faire ça très bien. C’est d’ailleurs l’une des rares choses que l’on puisse porter à son crédit. Elle aime bien ses soldats recouverts du linceul tricolore. Chapeau ! Tout y est, décor, figurants, hautes autorités figées, et en avant  la musique ! Trop de jeunes petits gars tombent pour rien en OPEX, notamment sur le théâtre afghan. Les Anglais s’y sont cassés les dents au XIXème siècle et n’ont plus dépassé la passe de Kyber. Les Russes, quant à eux, ont tourné « COsaque » si je puis dire. Dans un ou deux ans, l’OTAN fera pareil et le Président Karzaï et sa clique prendront le chemin de l’exil comme l’ont fait bien avant eux les présidents Thieu du Sud-Vietnam ou Lon-Nol du Cambodge abandonnés par leur protecteur US. Pourquoi tous ces morts occidentaux au « pays de l’insolence », cette contrée rebelle qui continue « d’encager » ses femmes dans leurs burkas et d’appliquer peu ou prou la charia ? Demain ou après-demain, les Talibans entreront dans Kaboul par la force ou la négociation en bons marchands de tapis qu’ils sont. On entendra peut-être des « you-you » de joie dans les banlieues ethniques de Londres et de Paris, mais au moins nos hommes seront épargnés, économisés pour le combat décisif qui se déroulera ici, en nos murs !

En Libye la guerre nous coûte cher. Le porte-avions Charles De Gaulle rentre au bercail après un bon trimestre opérationnel. Nous nous appuyons désormais sur les deux seules bases de Sicile et de Crête pour mener des raids aériens qui seront de plus en plus parcimonieux. On arrête les tirs de missiles de croisière SCALP, une véritable petite merveille : « more expansive ! »  (1) Crise économique et financière, crise intellectuelle et morale, immigration non maitrisée, comptes sociaux au rouge depuis bien longtemps, tout cela nous mène à observer une irrésistible ( ?) décadence de notre « cher vieux pays » comme disait l’autre  et aboutit à une  tragique constatation : cette pauvre France crève à petit feu. Alors, en 2012, « Sarkozy, dégage ! ». Mais, une fois que l’on a dit cela, - ça fait du bien… -, par qui le remplacer ? L’héritière de Saint-Cloud ? Trop imprévisible, manque de métier. Le rescapé d’une cure d’amaigrissement de la Corrèze ? Aucun charisme. Le Conseil général de Tulle n’est pas la République française. « L’hommasse » de Lille ? Trop à gauche, carrément islamophile. La fêlée du Poitou ? Merci, on a déjà donné. Le fébrile du calebar ? Indisponible pour cause de séjour involontaire à New-York. Alors, qui ? Le « benêt du Béarn » ? Laissez-moi rire ! Le Roi ? Il faudrait « qu’ils » se mettent d’accord, il y a au moins un ou deux prétendants de trop. Alors ? Alors, la divine surprise peut arriver  et sortir de nos rangs. A circonstances exceptionnelles, homme exceptionnel. Le clivage n’est plus entre la gauche et la droite, appellations obsolètes, mais entre ceux qui veulent la renaissance et l’indépendance de notre Patrie française dans une Europe réellement EU-RO-PE-ENNE et les autres, collabos d’une submersion étrangère. La résistance d’aujourd’hui fera écho  aux résistances d’hier !

Note

(1)   (1) 11 SCALP sur 500 commandés au total ont été tirés. Ce missile est un engin quasi indétectable développé par MATRA  et fabriqué par MBDA. Il coûte la bagatelle de 850 000 euros pièce ! (Avec mes éconos, j’peux même pas me payer le quart du dixième de la moitié d’un). Précisons que cet engin de 400 kg a une précision de frappe de l’ordre du mètre. Diabolique, imparable, meilleur « butteur » que les millionnaires de « l’équipe de France » !

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jeudi, 14 avril 2011

La sauvagerie comme voisine de palier...

Joly-cantonale-2011.jpgPar Thomas Joly

Secrétaire général du

Parti de la France

 

La sanglante actualité en Côte d'Ivoire, où ennemis tribaux se massacrent joyeusement les uns les autres avec une frénésie toute primitive, et l'arrivée massive de pseudo-réfugiés du Maghreb, prédateurs sociaux en puissance, m'amène à l'inquiétante réflexion suivante :

 

Ce sont donc ces gens hautement civilisés que l'on laisse entrer en France depuis des décennies, à qui nos gouvernants offrent, avec l'argent de nos impôts, logements, soins, éducation, allocations diverses et variées, nationalité française, passe-droits, etc ?

 

C'est donc avec des Tunisiens qui balancent en pleine mer les femmes par-dessus bord pour délester leurs embarcations de fortune qui leur servent à débarquer à Lampedusa, des Ivoiriens qui brûlent vifs leurs voisins par haine ethnique ancestrale, des pillards Lybiens, des étêteurs Rwandais, des égorgeurs algériens du FLN, que les Français sont sommés de « vivre ensemble » ?

 

Car il est évident que les gouvernants africains ne retiennent pas, bien au contraire, la racaille de leur pays, trop content de s'en débarrasser. Ce qui fait qu'une bonne part des "migrants" dont nous héritons - sans que l'on nous ait jamais demandé notre avis - ne font pas partie du haut du panier, loin de là.

 

Voici donc quel genre de voisins de palier le smicard français peut côtoyer dans son HLM.

 

Peut-on alors encore s'étonner de la sur-représentativité des "personnes issues de la diversité" (pour causer en novlangue) dans les prisons françaises ?

 

Et que se passera-t-il pour les petits blancs que nous sommes quand, comme le prédit sombrement Roger Holeindre, les collabos de l'invasion qui nous gouvernent « en arriveront à armer les banlieues communautaristes pour sauver leurs valeurs de la République » ? Quel sort nous sera réservé lorsque, unis par la haine du pays d'accueil et par la même religion conquérante et belliqueuse, les nouveaux occupants seront majoritaires (ce qui, au rythme actuel de colonisation de notre pays, ne saurait tarder) ? Posons la question à nos compatriotes pieds-noirs rapatriés, je pense qu'ils ont une petite idée du traitement qui nous sera appliqué...

 

Il appartient à nous tous de réagir avant que ce triste présage ne se réalise, avant que le chaos ne s'installe et que les barbares ne balayent notre civilisation en phase de décadence avancée. Rien n'est perdu si notre peuple retrouve sa fierté, son courage et son identité face aux dangers mortels qui le guettent. A nous de lui servir d'éclaireurs.

 

Source cliquez ici

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