jeudi, 03 mars 2011
Présentation de la Vlaams huis de Lille au Local à Paris par Luc Pécharman le 10 février dernier...
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Le Libre journal télévisé du Parti de la France de ce mois...
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Chronique de la France asservie et résistante...
Chronique de Robert Spieler
Publiée dans Rivarol du 25 février 2011 (n°2988)
Quels liens entre Bernard-Henri Lévy et le troisième Reich ? L’amour ! Est-ce une conséquence de la nomination de son épouse, Arielle Dombasle, dont il partage la vie depuis 20 ans, aux Gérards de la plus mauvaise actrice de l’année ? Toujours est-il que le couple mythique du Tout-Paris faisandé et cosmopolite s’est séparé. BHL a retrouvé l’amour dans les bras de Daphné Guinness, une belle blonde, héritière de l’empire éponyme, qui déclare : « C’est évidemment l’amour de ma vie ». Cette belle blonde a cependant un lourd passé génétique qui fait soupçonner un remake du film Portier de nuit, de Liliana Cavani, avec Charlotte Rampling et Dirk Bogarde, qui fit scandale il y a 40 ans, mettant en scène un ancien officier SS qui retrouve vingt ans plus tard une ses prisonnières, avec laquelle il rétablit une relation sado-masochiste enfiévrée. Un excellent film, au demeurant, dont on se demande s’il serait aujourd’hui autorisé. Mais revenons à Daphné Guinness.
BHL, le IIIème Reich et l’amour
Sa grand-mère était Diana Mitford, une de ces extraordinaires sœurs Mitford, qui avait épousé Bryan Guinness, l’héritier de l’empire Guinness. Diana quitta son mari pour épouser Oswald Mosley, le chef de la British Union of Fascists, l’homme politique britannique sans doute le plus brillant de sa génération. Les épousailles eurent lieu en Allemagne, en 1938, en présence des Goebbels et d’Adolf Hitler. Scandale. Ils furent internés pendant trois ans, dans des conditions très dures, avant que le cousin de Diana, Winston Churchill, ne les fît libérer. Diana, dont la sœur Unity s’était suicidée par amour pour le Führer, resta fidèle jusqu’à son dernier souffle au national-socialisme. J’en profite pour rendre hommage au souvenir d’un de ses fidèles amis, l’abbé Coueix, que certains Rivaroliens ont peut-être connu, mort hélas très jeune, il y a dix ans. Diana et Oswald Mosley menèrent au lendemain de la guerre une vie sociale brillante, à Paris, avec le duc et de la duchesse de Windsor dont ils étaient très proches. Oswald Mosley ne renonça pas pour autant au combat et fut à l’origine de la création du Parti national européen, aux côtés notamment de Jean Thiriart et de Giorgio Almirante. Oswald Mosley et Diana eurent deux fils, dont Max, qui défraya la chronique, il y a quelques années. Le très puissant patron de la Formule 1 se fit photographier dans des séances sado-masochistes mettant en scène des prisonniers en pyjamas rayés et des gardiennes de camp de concentration. Quand je vous le disais : BHL se retrouve confronté à un lourd passé. C’est fini ? Non, on continue. L’arrière grand-père de Daphné, l’amoureuse de BHL, était Lord Moyne, le père de Diana Mosley, qui fit, en pleine guerre, le 9 juin 1942 un discours anti-sioniste à la chambre des lords, déclarant que les juifs ne sont pas les descendants des Hébreux antiques, et qu’ils n’ont aucune « réclamation légitime » à faire sur la Terre Sainte, s’exprimant en faveur d’une limitation de l’immigration juive en Palestine. Il sera accusé d’être « un ennemi impitoyable d’Israël » et assassiné, au Caire, le 6 novembre 1944 par deux extrémistes d’un groupe radical juif, le Lehi, qui seront enterrés en 1970 au « monument des héros » à Jérusalem. Le gouvernement britannique déplorera qu’Israël honore des assassins comme des héros.
Dans quelle affaire BHL s’est-il embarqué ? Nous promettons au lecteur de l’informer, minute après minute, de l’évolution des amours de notre philosophe cosmoplanétaire qui cosignait, avec Georges-Marc Benhamou cette exquise déclaration dans le premier numéro du magazine Globe, en 1985 : « Bien sûr, nous sommes résolument cosmopolites. Bien sûr, tout ce qui est terroir, bourrées, binious, bref franchouillard ou cocardier, nous est étranger, voire odieux ». Sacré BHL ! Allez, sans rancune ! Mazel tov !
Les relations sexuelles illicites à l’origine des tremblements de terre ?
Selon l’ayatollah Kazem Sedighi, imam de la prière du vendredi de Téhéran. « Beaucoup de femmes mal habillées (ne respectant pas la tenue islamique) corrompent les jeunes, et l’augmentation des relations sexuelles illicites est la cause de l’accroissement des tremblements de terre ». Il n’a pas forcément tort. Des oscillations même minimes peuvent entraîner l’effondrement de ponts ou le déchaînement de cyclones à des milliers de kilomètres. On dit que le battement des ailes d’un papillon en Australie peut avoir comme conséquence l’émergence d’un ouragan en Floride. Cela paraît complètement farfelu, mais c’est scientifiquement exact. C’est ce qu’on appelle le phénomène de résonance, c'est-à-dire d’amplification des ondes et donc des oscillations. Tout élève de Terminale S en a étudié la théorie en cours de physique. Deux exemples : le 16 avril 1850, un bataillon de soldats franchit au pas cadencé le pont de Basse-Chaîne, près d’Angers. Le pont entre en résonance et s’écroule. 222 soldats perdent la vie. Depuis ce jour, il est interdit aux militaires de franchir un pont au pas cadencé. Le pont de Tacoma (USA), inauguré le 1/7/1940 se met quant à lui à osciller fortement le 7/11/1940 sous l’effet d’un vent pourtant modéré. Il s’effondre. Une vidéo impressionnante est consultable sur internet.
Mais revenons à notre ayatollah. Comment réduire les risques de catastrophes naturelles ? Interdire les relations sexuelles illicites ? Pourquoi pas. Mais à ce compte, interdisons aussi les relations sexuelles licites et faisons un sort aux Quakers américains (les « trembleurs », ceux qui « tremblent devant Dieu »), aux parkinsoniens, aux trouillards et exterminons bien sûr les papillons.
C’est bon pour nous, ça ? Non, c’est pas bon du tout…
Roger Cukiermann, ex-président du CRIF (Conseil représentatif des institutions juives de France) s’inquiète des velléités démocratiques du peuple égyptien. Il déclare au micro de la radio parisienne Judaïques FM, in formation reprise sur le site du CRIF : « Ce qui se passe en Egypte n’est pas de bon augure ». Il poursuit en expliquant que les Arabes ne sont pas faits pour la démocratie. Car la démocratie pourrait bien entendu amener au pouvoir les Frères musulmans, qui souhaitent la disparition d’Israël. Que les Egyptiens continuent à subir la dictature, le népotisme et la rapacité de Moubarak n’a rigoureusement aucune importance, dès lors que les intérêts d’« Israël d’abord » sont préservés. Les prétendues valeurs universelles, la démocratie, les droits de l’homme, la lutte contre le racisme, etc… que l’officine prétend défendre chez nous, ostracisant bien sûr l’extrême droite, sont jetées aux orties dès lors qu’il s’agit des intérêts d’Israël. Et si nous commencions, nous aussi, à nous demander « ce qui est bon pour nous » ?
Les prêtres africains envahissent la Catalogne française
Depuis 1960, la France a perdu plus de la moitié de son personnel clérical vieillissant. Pas grave. L’Afrique vient à la rescousse de la France. Rien que dans les Pyrénées-Orientales, sur 69 prêtres en Roussillon, 12 viennent d’Afrique. Le ministère des Affaires étrangères leur a mitonné un statut spécial, et leur salaire, 560 euros par mois, auquel il faut ajouter les dons et le logement, est le même que celui de tous les prêtres de l’évêché. L’Eglise organise des « séquences welcome », « welcome », pas « de bienvenue » pour briefer les nouveaux venus sur « la foi made in France » qui, paraît-il, n’est pas tout à fait la même qu’en Afrique. « J’adore les histoires d’animaux d’Afrique qu’il évoque régulièrement dans ses homélies », s’émerveille un fidèle du père Bampembé, originaire de la République Démocratique du Congo. Après tout, si ça peut lui faire plaisir, nous y en a être contents pour lui.
L’imposture éolienne
Faisons le point de cette imposture verte qu’est la production d’électricité par les éoliennes. Quelques chiffres pour nous remettre les idées en place : la France dispose d’un parc de 2000 éoliennes qui représentent à peine 1% de sa consommation d’électricité. Une éolienne nécessite que l’on coule 1500 tonnes de béton sur terre, 3000 en mer. Sa durée de vie : 15 ans. Prix du démantèlement : 500.000 euros. Les éoliennes ne produisent de l’électricité qu’un jour sur quatre : la faute à l’inconstance des vents. L’Allemagne, qui dispose du plus grand parc éolien du monde et qui, sous la pression d’écologistes encore plus dingues qu’en France, veut supprimer le nucléaire, et a été ainsi contrainte de remettre en service des dizaines de centrales thermiques à charbon, les plus pollueuses, et d’importer une bonne part de son électricité. Son principal fournisseur est la France qui exporte 13% de son électricité, produite à 75% grâce au nucléaire. Ces Allemands sont décidément d’exceptionnels tartuffes… A noter que l’Allemagne est un des plus grands pollueurs d’Europe, la France étant quant à elle le moins pollueur. Lorsque EDF rachète le kilowatt éolien, elle le paye 3 à 5 fois plus cher que le kilowatt nucléaire. Le lecteur de Rivarol sera content d’apprendre que la taxe de 5% de contribution au service public d’électricité (CSPE), qui figure sur sa facture, sert à financer cette coûteuse et absurde ineptie que sont les éoliennes, qui défigurent nos paysages. D’autant plus absurde et inutile que, grâce au nucléaire, la France est largement excédentaire et n’a nul besoin de ce parc de 10.000 éoliennes dont rêvent certains grands malades. A une époque, les professeurs Nimbus nous faisaient rire. On les laissait divaguer. S’ils dépassaient les bornes, on les envoyait quelques temps en villégiature au cabanon. Mais ces dingues tiennent aujourd’hui le haut du pavé et pérorent à qui mieux, mieux, et dictent leurs exigences à une classe politique et médiatique, de gauche et de droite, veule, incompétente, et d’une incommensurable bêtise.
Florence Cassez : qu’elle aille au diable !
On sait que Florence Cassez vient d’être condamnée définitivement à 60 ans de prison par la justice mexicaine. Tant mieux. L’arrestation, en décembre 2005, d’Israël Vallarta Cisneros et de sa compagne française, Florence Cassez, sonna le glas d’un épouvantable gang de kidnappeurs mexicains, « Los Zodiakos », coupable de dizaines d’enlèvements, d’assassinats, de tortures et de viols. Plusieurs victimes, hommes, femmes et enfants témoignent et accusent Florence Cassez d’avoir participé aux séquestrations d’otages, qui se passaient dans le ranch où elle vivait depuis trois ans avec son compagnon. Les preuves sont accablantes. C’est ainsi que le fils, âgé de onze ans de la dernière otage, se fit ponctionner son sang qui fut envoyé avec une oreille coupée (qui n’était pas la sienne) au mari de la malheureuse qui avait été relâché afin de réunir la rançon. Le pauvre enfant a reconnu la voix de Florence Cassez, ainsi que sa mère, violée à de nombreuses reprises par son compagnon, et de nombreux témoins de cette barbarie. Oui, les preuves de la culpabilité de Florence Cassez sont accablantes. Les parents de Florence Cassez, qui squattent les plateaux de la télévision « française » prétendent n’avoir jamais rencontré le compagnon de Florence Cassez. Ils mentent. Une photo, montrant son père, Bertrand Cassez, trinquer amicalement avec le tortionnaire dans le ranch Las Chinitas, à 29 km de Mexico, vient d’être dévoilée…
Le président mexicain est confronté à une véritable guerre : depuis 2006, 30.000 (oui, trente mille) soldats de ses forces de sécurité, ont trouvé la mort dans cette guerre contre les gangs criminels et les cartels.
Le petit caprice émotionnel du Tout-Paris, relayé par la misérable diplomatie française, relayé par les médias loukoumeux, amplifié par le pauvre Sarkozy, n’impressionne pas le Mexique. Comme le dit Aymeric Chauprade, « Nous affichons devant le monde entier une arrogance sans nom, un mépris pour la justice et la souveraineté de ces pays, comme si d’ailleurs notre justice et notre démocratie étaient exemplaires ! » Et il conclut excellemment : « Cette politique émotionnelle, du ‘coup médiatique’, qui contamine jusqu’à notre politique étrangère, est devenue absolument insupportable ». En attendant, Carlos Fuentes, un des hommes de lettres les plus respectés d’Amérique latine, nobélisable dit-on (en littérature), ancien ambassadeur du Mexique à Paris, déclare au sujet de l’histrion élyséen : « Sarkozy en fait une affaire d’Etat parce que son prestige est au plus bas… Cela lui permet de passer pour un défenseur de la patrie » Et bien, nous, nous disons : vive le Mexique !
Retrouvez dans Rivarol de vendredi prochain la nouvelle chronique de Robert Spieler : cliquez ici
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Dimanche 10 avril : 4ème congrès du Renouveau français à Villepeux...
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Révolte ou révolution ?
L'éditorial de Militant de ce mois :
Depuis le début de l'année 2011, parti de Tunisie, un mouvement de révolte se propage dans tout le monde musulman de l'Afrique du Nord au Proche-Orient. Il a surpris par sa soudaineté et son ampleur alors que depuis des décennies la situation semblait immuable. Un terreau social dégradé favorise le développement des germes de l'agitation populaire : ces Etats, pauvres en matières premières, sont confrontés à une population en croissance rapide, dont une partie de la jeunesse est instruite alors qu'ils ne parviennent pas à développer leur économie et permettre ainsi de sortir la population du chômage et de la misère. Les médias des pays occidentaux et leurs pseudo élites, qui ne veulent voir le monde qu'au travers de leur aveuglement idéologique et dogmatique, ne tarissent pas d'éloge sur ces populations soulevées contre des régimes dont il y a peu encore, ils s'accommodaient fort bien et des dictateurs qui étaient leurs meilleurs amis. Ils célèbrent l'avènement en ces pays de cette "démocratie" que le monde entier doit adopter. Nous ne pouvons prévoir quel sera l'avenir de ces pays mais il est certain que ces mouvements ne seront pas sans conséquences durables. La proximité de l'Etat d'Israël, inquiet de la situation égyptienne et pivot de l'équilibre politique mondial actuel pour la préservation duquel les forces dominantes du monde sont prêtes à toutes les extrémités, est un facteur décisif. Le monde européen affaibli, au sein duquel ne cessent de s'installer en masse des populations musulmanes, sera par la force des choses concerné. Actuellement, les Etats européens se pensent préservés. Rien ne semble devoir changer : l'ordre démocratique instauré en 1945 règne et est assuré pour longtemps d'autant plus qu'il a étendu ses conquêtes après 1990 dans l'Est européen. Pourtant, est-ce si assuré ? Sommes-nous dans cette situation de liberté "que tout le monde nous envie"? A la différence des régimes du Proche-Orient, où l'on use d'une coercition visible et par suite mal acceptée, la répression est feutrée, menée à coups d'étouffements médiatiques de personnages ou d'idées, de telle manière que l'on façonne le cerveau des gens en fonction de ce que les éléments dirigeants veulent qu'ils pensent avec, néanmoins, des lois répressives très dures pour ceux qui critiquent trop visiblement les racines du système. Electoralement, le système est "verrouillé". A la vérité, nous vivons sous un régime d'oppression très élaboré et tenu par des forces doctrinalement mondialistes pour lesquelles nations et identités nationales sont l'ennemi. De même, les médias occidentaux dénoncent la corruption et le népotisme régnant au Proche-Orient, les privilèges des dirigeants. Mais que dire de nos Etats d'Europe, éclaboussés de scandales, où les écarts de fortune ne cessent de grandir de manière éhontée, où les classes dirigeantes se reproduisent de manière endogène ? La grande différence avec les pays de la rive sud de la Méditerranée est que les Européens n'ont pas le ventre vide. Du moins pas encore. En dépit de sa nature prédatrice, le système, nourri au néo libéralisme, parvient encore à distribuer du pain et des jeux de cirque. Mais tout porte à penser que la situation pourrait se dégrader plus vite qu'on ne l'imagine. Crise financière et économique endémique, instabilité liée au pluri ethnisme, désindustrialisation, voilà autant de facteurs de déstabilisation à l'œuvre, sans compter ceux provenant d'événements extérieurs. Les populations ne bougent que lorsqu'elles ressentent "dans leurs tripes" que leur situation devient intenable. Ainsi naissent les révoltes. Toutefois, un mouvement de révolte ne se transforme en révolution que lorsqu'un mouvement révolutionnaire existe, a su être suffisamment patient et opiniâtre pour se structurer et s'implanter parmi la population pour en prendre la direction et l'employer pour obtenir un changement de régime selon ses vœux. Dans le monde arabo-musulman, les mouvements islamiques pourraient jouer un tel rôle s'ils savent comprendre les enjeux présents. En Europe, une telle situation se présentera, surprenante, imprévisible. Mais pour qu'elle soit utilisée au service du redressement national et européen, il est nécessaire que les nationalistes s'y préparent avec opiniâtreté par un long et patient travail, souvent ingrat, parfois d'apparence insignifiante mais vital tant les grandes choses ont de petits commencements. Il faut s'appliquer à former les futures élites de nos nations et gagner la confiance du peuple. Le temps presse. MILITANT s'y emploie avec détermination.
Source Militant cliquez ici
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mercredi, 02 mars 2011
Un clip de la NDP alsacienne sur le voyage à Salem...
Au mois de décembre dernier, une délégation de jeunes militants nationalistes français, composée de membres de la NDP alsacienne (cliquez ici) et de Troisième voie Paris, s'est rendue à Salem, en Suéde, afin de participer à la marche du souvenir organisée en mémoire de Daniel Wretström, militant suédois assassiné il y a 10 ans par une bande venue d'ailleurs.
Plus de 1 000 jeunes Européens ont participé à cette manifestation exemplaire. Celle-ci avait été présentée à Paris le 11 novembre dernier lors de la 4ème journée nationale et identitaire de Synthèse nationale par Robert Vesterlund, fondateur du Salemfonden (cliquez ici).
Les jeunes de la NDP de Strasbourg ont réalisé un clip sur leur voyage.
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ON EST TRES A CHEVAL SUR LES VALEURS, CHEZ DIOR...
Par Anne Kling
Faut pas croire, il n’y a pas que le fric qui compte, il y a aussi les valeurs. Et certaines plus que d’autres.
« Insultes racistes : Dior veut licencier John Galliano »
On a pu admirer la célérité exemplaire avec laquelle la maison Dior a sanctionné les propos de son directeur artistique, John Galliano, sans même attendre que la justice tranche. La présomption d’innocence n’a pas été invoquée en la circonstance, comme on aurait pu s’y attendre (dans un pays normal). Mais pensez, des insultes à caractère « antisémite » ! Le tremblement de terre ! Il y aurait eu également d’autres insultes dirigées contre des asiatiques, mais ça, c’est moins grave.
Aujourd’hui, c’est carrément une procédure de licenciement qui est engagée contre le styliste qui franchement, n’a pas été très subtil dans toute cette affaire, si tant est qu’elle se vérifie. Il ne savait donc pas où il mettait les pieds ?
Le PDG de Dior Couture s’appelle Sidney Toledano, dont le père est président de la communauté juive de Casablanca. Et comme le monde est petit, la nouvelle égérie de Dior depuis quelques mois s’appelle Natalie Portman. Un pur hasard. A l’époque, ça baignait entre elle et Galliano, mais à présent, plus du tout : "Je suis profondément choquée et dégoûtée par la vidéo qui a fait surface. Etant fière d'être juive, je refuse d'être associée à monsieur Galliano en aucune façon."
On est également très, très contents au CRIF et à la LICRA. Encore un méchant puni. On peut juste se demander si finalement il est tellement judicieux de braquer ainsi les projecteurs sur ce genre de faits somme toute minuscules. Et si la maison Dior sortira tellement gagnante de cette irruption tonitruante dans l’atmosphère franchement nauséabonde – moi aussi j’adore – du politiquement correct poussé à son paroxysme.
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Car chez les Dior, on ne fait jamais les choses qu'à moitié....
Françoise (Miss) Dior, en 1962...
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mardi, 01 mars 2011
L'alibi libyen : une déferlante migratoire programmée sur l'Europe !
Par Yves Darchicourt
"Les personnes fuyant la Libye ne seront pas repoussées" : Cécilia Malmström, commissaire européenne à l'immigration et à la sécurité, manie la litote avec maestria ! C'est tout l'art de dire moins pour suggérer davantage : la déferlante migratoire en provenance de Libye ne sera pas arrêtée aux frontières de l'Union européenne. Ce qui revient à admettre que les dizaines de milliers de "réfugiés", auxquels se mêleront allégrement tous les candidats de longue date à l'émigration vers l'Europe, y seront accueillis… probablement pour y faire souche.
On remarquera que sur les quelques 100 000 personnes ayant fui la Libye, selon le Haut Comité aux Réfugiés de l'ONU, la grande majorité est constituée de Tunisiens et d'Egyptiens qui auraient, en principe, vocation à retourner s'installer dans leur pays d'origine, non à transiter vers l'Europe. Or, il semble bien que l'Union européenne s'apprête à accueillir indistinctement toute personne venant (ou prétendant venir) de Libye et se disant "réfugiée."
On se demandera si les dramatiques évènements qui surviennent en Afrique du Nord comme dans la péninsule arabique, en attendant ceux qui risquent de survenir dans le reste du Proche-Orient ou en Afrique de l'Ouest, ne sont pas pain béni pour des gens comme Cécilia Malmström et ses comparses eurocrates dont on sait bien qu'ils n'envisagent l'avenir de l'Europe que comme celui d' un territoire soumis aux maîtres du Nouvel Ordre Mondial : une étendue peuplée d'êtres indifférenciés, coupés de leurs racines, de leur Histoire et de leurs traditions, des consommateurs unicolores, décérébrés et sans âme.
La nécessité humanitaire va faire pleurer dans les chaumières, c'est un excellent alibi. Mais derrière les grands mots et les trémolos se cache la volonté de détruire l'Europe de nos aïeux et la civilisation européenne. Cette civilisation dont nous sommes les dépositaires mais aussi les gardiens et les défenseurs. Alors : Rassemblement - Résistance - Reconquête ! Vite, très vite !
Source cliquez ici
22:16 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
LES NOUVELLES POLICES DE LA PENSÉE
La chronique
de Philippe Randa
La plus connue des polices française est certes celle qui a son siège place Beauvau ; le remaniement ministériel de dimanche soir y a porté à sa tête Claude Guéant, en remplacement de Brice Hortefeux. Sans doute pour illustrer une fois de plus la formule, rendue célèbre en 1963 par Luchino Visconti dans son film "Le Guépard" : "Tout change pour que rien ne change" !
Ce qui change depuis quelques années, en revanche, c’est la multiplication des autres “polices”. Beaucoup plus discutables.
La plus ancienne est cette “police de la pensée”, immortalisée par George Orwell dans son roman dystopique "1984", mais qui, désormais, est déclinée sous toutes les formes possibles et imaginables, telle que l’avait dénoncée dès avril 1990 dans les colonnes du "Figaro" l’ancienne communiste Annie Kriegel : bien que juive, elle s’inquiètait de voir la communaute juive française apparaître “comme un groupe exigeant que règne en sa faveur une véritable police de la pensée [...] une insupportable police juive de la pensée…” Une “police des spectacles” a également sévi. Les humoristes Patrick Timsit et Bruno Gaccio en ont été les premiers à en faire les frais.
Un sketch du premier sur les mongoliens (“C’est comme les crevettes, tout est bon sauf la tête”) le fit poursuivre en justice. Il échappa à une condamnation en créant une association d’aide aux trisomiques... en collaboration avec la famille qui l’avait assigné !
Le second moqua les nains dans une émission de Canal + (“T’enlèves la tête et le cul d’un nain, y’a moins à manger que sur une caille”). “Sommé de faire des excuses publiques par l’Association des personnes de petites tailles et l’APF, il répondit : “Pensez-vous vraiment que j’ai des excuses à formuler eu égard à l’énormité du propos ? Je revendique et assume ce mauvais gout”” (www.handinaute.org).
Quant à leur confère Dieudonné, il fut chassé des plateaux de télévision après un sketch jugé peu soumis aux diktats de cette “insupportable police” que dénonçait Annie Krigel ; lui s’entête, depuis, à ne pas faire repentance… et à le faire savoir !
Quant à la liste de ces nouvelles polices de la pensée, qu’elles soient “hygiénistes” (haro sur les fumeurs !), “mensongèrement sécuritaires” (souriez, automobilistes, vous êtes flashés !) ou encore “bancaires” (limitation du montant des retraits en espèces de votre propre compte), elle s’allonge au fil des mois.
Dernière “police de la pensée” à la mode, celle des vacances ! Plusieurs ministres se sont retrouvés dans le collimateur : Michèle Alliot-Marie en a perdu son ministère pour avoir accompagné papa et maman en Tunisie… Le Premier Ministre Fillon s’est longuement expliqué sur sa mauvaise idée d’avoir été promener sa moitiée en Égypte à Noël dernier, tandis que le conseiller special à l’Élysée Henri Guaino faisait de même… en Libye ! À croire qu’ils l’ont fait exprès !
Le plus étonnant tout de même (quoi que !) sont que le seul reproche qui leur soit adressé est de s’être compromis avec des dictatures qui se sont toutes écroulées sitôt leur départ…
On aurait pu remarquer, tout de même que, nos ministres ne portaient donc pas la scoumoune qu’à leurs seuls compatriotes !
Et on aurait pu aussi leur faire remarquer, en passant, que lorsqu’on est Ministre en exercice d’un pays qui subit une crise économique importante et durable, la moindre des convenances serait qu’ils montrent l’exemple en “consommant français”.
Mais la convenance, comme le bon goût, ne sont pas les attributs de la Sarkozye. La chance non plus, d’ailleurs !
09:59 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Scène de la vie parisienne en 2011... BRAVO LE KARCHER !
01:22 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Steenvoorde : encore un beau succès pour Opstaan !
Par Yves Darchicourt
Une belle réussite ! Les médias régionaux n'ont pu s'y soustraire : on a parlé de Opstaan (cliquez ici) et de son action de protestation contre l'immigration clandestine et l'implantation de populations allogènes dans nos Trois Provinces. Bien évidemment, les commentaires des médias aux ordres du politiquement correct sont amplement de parti pris hostile mais au-delà, nos concitoyens entendent un autre point de vue que celui des immigrationnistes patentés et de leurs idiots utiles.
L'essentiel était aussi de faire savoir que notre jeunesse régionale n'est en rien comparable au ramassis interlope venu à Steenvoorde pour vociférer, casser, voler et brutaliser et que les jeunes enracinés de Flandre, d'Artois et du Hainaut étaient déterminés à continuer et à amplifier le combat politique pour la défense de nos identités régionales, nationales et européenne.
Le message politique est passé ! Félicitations à nos jeunes camarades ! Rassemblement - Résistance - Reconquête !
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La crise libyenne, aspiration démocratique ou éclatement des alliances tribales ?
Par Bernard Lugan
L'Afrique réelle
Personne ne regrettera le satrape libyen responsable de multiples attentats, de nombreux crimes et de la déstabilisation de régions entières de l’Afrique. Ceci étant, laissons l’émotionnel aux amateurs de superficiel et les pamoisons aux journalistes, pour ne nous intéresser qu’au réel. La fin de Kadhafi qui risque d’avoir des conséquences dont nous sommes loin de mesurer l’ampleur est en effet moins une aspiration démocratique populaire que la manifestation de l’éclatement de l’alchimie tribale sur laquelle reposait son pouvoir.
A la différence de la Tunisie ou de l’Egypte, la Libye dont plus de 90% du territoire est désertique, n’est en effet pas un Etat, mais un conglomérat de plus de 150 tribus divisées en sous tribus et en clans. Ces ensembles ont des alliances traditionnelles et mouvantes au sein des trois régions composant le pays, à savoir la Tripolitaine avec la ville de Tripoli qui regarde vers Tunis, la Cyrénaïque dont la capitale est Benghazi et qui est tournée vers Le Caire et le Fezzan dont la principale ville est Sebba et qui plonge vers le bassin du Tchad et la boucle du Niger.
De l’indépendance de la Libye en 1951 jusqu’au coup d’Etat qui porta le colonel Kadhafi au pouvoir en 1969, la Libye fut une monarchie dirigée par les tribus de Cyrénaïque. Membre d’une petite tribu chamelière bédouine, le colonel Kadhafi fut porté au pouvoir par une junte militaire multi tribale mais dans laquelle dominaient les deux principales tribus de Libye, celle des Warfallah de Cyrénaïque et celle des Meghara de Tripolitaine. La plupart des tribus de Cyrénaïque demeurant attachées à la monarchie, le colonel Kadhafi réussit un grand coup politique en épousant une fille du clan des Firkeche membre de la tribu royale des Barasa, ce qui lui assura le ralliement de la Cyrénaïque rebelle.
Or, aujourd’hui, c’est tout son système d’alliance avec la Cyrénaïque qui a volé en éclats. La date clé du délitement tribal du système Kadhafi est 1993 quand un coup d’Etat des Warfallah fut noyé dans le sang. Les haines furent ensuite tues tant la terreur imposée par le régime fut forte, mais les tribus de Cyrénaïque n’attendaient qu’une occasion pour se révolter et elle se présenta durant le mois de février 2011. Elles s’emparèrent alors de la région et arborèrent le drapeau de l’ancienne monarchie.
Kadhafi avait certes perdu la Cyrénaïque, comme les Turcs et les Italiens avant lui, mais il lui restait la Tripolitaine et le Fezzan. Dans ces deux régions, le régime avait également constitué de subtiles alliances tribales. Au moment où ces lignes sont écrites, à savoir le 27 février 2011, certaines tribus ont ainsi quitté le camp Kadhafi, mais les grandes solidarités demeurent, même si elles sont chancelantes.
A court terme, le principal danger qui menace le colonel Kadhafi n’est pas la Cyrénaïque séparée par plus de 1000 km de désert de la ville de Tripoli ; ce n’est pas non plus la surréaliste armée libyenne et encore moins les volontaires que l’on voit parader dans les rues de Benghazi ou de Tobrouk. Tout est en effet suspendu au choix que vont faire les chefs de la tribu guerrière des Megahra qui domine en Tripolitaine. Longtemps alliée à celle de Kadhafi, les Khadîdja, elle donna un temps le numéro 2 du régime en la personne du commandant Abdeslam Jalloud avant sa disgrâce de 1993 quand il fut suspecté d’avoir noué des liens avec les putschistes warfallah. Si les Megahra demeurent loyaux ou même neutres, Kadhafi se maintiendra un temps encore au pouvoir sur une partie du pays. Dans le cas contraire, il se trouvera alors véritablement en difficulté et contraint de se replier sur sa seule tribu laquelle n’est forte que de 150 000 membres.
Si les Meghara abandonnaient Kadhafi, cela voudrait dire qu’ils ont l’intention de s’emparer du pouvoir et la Libye serait coupée en deux, la Tripolitaine et la Cyrénaïque se trouvant dominées par les alliances tribales constituées autour des Warfallah et des Meghara. La question qui se poserait alors serait celle de la survie de l’Etat libyen.
Ces deux ensembles se combattront-ils ou bien se partageront-ils le pouvoir dans un cadre fédéral ou confédéral ? Nous l’ignorons, mais le danger est de voir apparaître une situation de guerres tribales et claniques comme en Somalie. Elles pourraient être suivies d’un éclatement en plusieurs régions, ce qui ouvrirait un espace inespéré pour Aqmi qui prospérerait au milieu du chaos avec en plus, dans le sud du pays, une dissidence toubou qui aurait des répercussions au Tchad, et des initiatives touareg auxquelles pourraient s’adosser l’irrédentisme touareg du Mali et du Niger ; sans parler, naturellement des conséquences pétrolières qu’aurait un tel conflit.
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Jeudi soir, au Local :
00:27 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 28 février 2011
Sarkozy bouche les trous ministériels et fait du remplissage médiatique...
Un communiqué du Parti de la France :
C’est contraint et forcé en raison de « l’affaire » des vacances de Michèle Alliot-Marie en Tunisie, que seulement 86 jours après le précédent, Nicolas Sarkozy procède à un nouveau remaniement ministériel.
Après que la France ait déjà subi Bernard Kouchner au ministère des Affaires étrangères, le nouveau remplacement en catastrophe de Michèle Alliot-Marie par Alain Juppé ne donne malheureusement pas de la politique étrangère française une image crédible et sereine.
La nouvelle promotion d'Alain Juppé au Quai d'Orsay, cacique de l'UMP lourdement condamné en 2004 pour « abus de confiance, recel d’abus de biens sociaux, et prise illégale d’intérêt », ne changera pas grand-chose à une politique étrangère approximative, sans ambition et essentiellement alignée sur les positions de Barack Obama. En vérité, le rôle de la France dans le monde et particulièrement dans le monde arabe s’est considérablement affaibli depuis 2007.
Alors que la déstabilisation politique des pays arabes risque d’entraîner un nouveau déferlement migratoire sur l’Europe, le Président de la République n’a rien proposé d’autre, face à la crise, qu’une réunion du Conseil européen et une refondation de l’Union pour la Méditerranée. Aucune mesure concrète pour nous protéger du risque migratoire, aucune mesure concrète pour diminuer le racket fiscal de l’Etat sur le litre de carburant dont le montant atteint aujourd’hui des sommets.
A défaut d’un vrai projet gouvernemental et d’une grande politique de souveraineté diplomatique, Nicolas Sarkozy n’a fait que du remplissage médiatique.
Le Parti de la France rappelle son exigence de souveraineté nationale dans le domaine diplomatique et son refus de voir la politique étrangère française dépendre d’autres intérêts que celui de l’intérêt national français. La sécurité intérieure et extérieure de la France et le maintien de son rôle dans le monde doivent être nos objectifs.
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Affaire Florence Cassez : le point de vue (non conformiste) d'Hugues Kéraly...
Première partie
Seconde partie
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Quand les nationalistes autonomes lorrains démontent le MRAP : ça fait mal !
11:49 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Des hommes et des Dieux : la tolérance à sens unique !
Par Véronique Bouzou (source)
A première vue, on pourrait se réjouir que Des hommes et des Dieux, film qui avait déjà obtenu en mai dernier le Prix de l'Education nationale à Cannes, soit primé aux Césars.
Mais à entendre la réaction de Xavier Beauvois lors de la remise de son César, on ne peut que se raviser et déplorer que ce film ne serve finalement que le discours politique démagogique de son réalisateur, visant à démontrer que ceux qui ont peur (en l'occurrence peur des terroristes islamistes, si l'on se réfère au sujet du film) ne sont qu'une bande de révisionnistes, de gens immondes, sournois et intolérants.
Et pour mieux les réduire au silence, il leur oppose la conduite exemplaire de moines trappistes qui, habités par l'esprit de paix et de pardon, ont préféré se faire assassiner plutôt que partir ou résister à leurs oppresseurs par les armes !
Un beau message à destination de tous les citoyens français que nous sommes (quelles que soient d'ailleurs nos origines et nos convictions), nous invitant à courber l'échine face à une poignée d'extrémistes islamistes fanatisés qui veulent imposer par tous les moyens leur conception de la culture, des moeurs et de la religion sur notre territoire. Un beau message hélas adoubé par de nombreuses personnalités politiques qui leur ont déjà entrouvert les portes.
C'est comme si les malheureux moines de Tibhirine avaient été assassinés deux fois : la première, physiquement, par un groupe présumé d'islamistes terroristes. La seconde, idéologiquement, par un réalisateur qui utilise leur martyre à des fins politiques et mercantiles.
Pour sa rédemption, on ne saurait trop lui conseiller de reverser l'intégralité des recettes de son film qui a fait plus de 3,5 millions d'entrées dans l'Hexagone aux organisations qui viennent en aide aux Chrétiens d'Orient qui, tous les jours, continuent d'être martyrisés et assassinés. Amen !
Morceau de bravoure : de 2'47 à 3'51
« On peut mettre en lumière la parole de gens, de frères, de moines ou d'autres personnes. On peut mettre cette parole en lumière et c'est une parole d'intelligence qui est une parole qui dit juste simplement : il ne faut pas avoir peur des autres. Il faut juste se parler et quand on se parle, ça va. C'est un message de liberté, d'égalité, de fraternité. Et il y a des choses qui se passent en France en ce moment. C'est un petit peu l'inverse. On dit : il faut avoir peur. Des choses immondes que j'entends... Des remises de prix à des négationnistes ou des choses immondes. Des choses sournoises comme Zemmour ou des choses intolérables comme Hortefeux... et voilà. Le cinéma français, il est comme la France ; il est riche, il est varié et je n'ai pas envie que dans les campagnes électorales qui arrivent on dise du mal des Français musulmans. C'est la leçon de ce film et là, je vais arrêter parce que je vais dire des bêtises ».
11:32 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 27 février 2011
Lundi soir à Montparnasse : soupe de Solidarité des Français...
11:56 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Nationalistes autonomes persécutés...
Par François-Xavier Rochette (Rivarol)
Lundi 7 février, la police républicaine a organisé un vaste coup de filet pour appréhender 13 jeunes nationalistes autonomes lorrains à Nancy et dans ses environs. Dès le lendemain la presse locale maçonnique a relayé l’information par L’Est Républicain sur une demi-page illustrée d’une photo d’un rassemblement nationaliste censée effrayer les lecteurs.
Le tâcheron Saïd Labidi s’en est donné à cœur joie en qualifiant rapidement les résistants présumés agressifs de « skinheads », « skins » et autres « fascisants »… A la fin de l’année 2010, l’édile de la cité ducale, le frère trois points du GO, André Rossinot, avait souhaité la dissolution de ce « groupuscule » de fait. Comme on le voit, la façon d’agir ne fut pas administrative mais policière. Sur les 13 jeunes gens mis en garde à vue, 5 ont été déférés le 9 février au parquet de Nancy qui a requis que quatre d’entre eux (dont au moins un mineur) soient placés en détention provisoire. Ces quatre-là, dont un brillant étudiant en droit de 17 ans, sont toujours en prison ! Cette justice reproche aux Nationalistes Autonomes d’avoir perpétré une dizaine d’agressions à l’encontre de militants d’extrême-gauche dont une jeune fille syndiquée à l’UNEF « se déplaçant en fauteuil roulant ». A plusieurs reprises, ces derniers mois, les media régionaux avaient stigmatisé leurs cibles afin de préparer l’arrestation de ces fougueux patriotes dont plusieurs « éléments qui laissent à penser qu’ils sont d’extrême-droite » (Libé Strasbourg dixit) : l’argument qui tue…
Cependant il semblerait d’après certaines déclarations officielles que les faits reprochés aux jeunes nationalistes (dont beaucoup ont moins de 18 ans) ne constitueraient qu’un prétexte pour freiner les succès du groupe dont l’activité militante s’accentuait mois après mois. Le vice-procureur de Nancy, Amaury Lacôte, n’a-t-il pas ainsi déclaré à la presse que ces nationalistes étaient des « jeunes gens qui montaient en puissance » et auxquels il fallait « donner un coup d’arrêt » ! Que cela signifie-t-il réellement ? Que les décideurs et leur loge ont décidé de tuer systématiquement dans l’œuf toute entreprise nationaliste ? Car si des coups, des baffes, des gnons sont partis, les nationalistes lorrains n’en auraient-ils pas eux-aussi reçus sans pleurnicher ?
En tout cas, il ne faut compter ni sur Libé, ni sur L’Est Républicain pour présenter des témoignages esquissant plus justement la réalité. Pourtant, in fine, nos quatre détenus ne sont inculpés « que » pour coups et blessures lors d’une bagarre sans caractère aggravant. Nous pouvons par conséquent nous demander à quoi peuvent bien servir une telle chasse aux sorcières et une telle propagande orchestrée à l’encontre d’un petit groupe d’individus patriotes ? Nous posons une hypothèse à ce sujet : Nancy étant le théâtre depuis plusieurs mois d’une délinquance explosive et crapuleuse ayant fait à de multiple reprises la une des journaux locaux, le pouvoir politique n’a-t-il pas profité de l’occasion pour fabriquer un lien subliminal entre ces nombreuses agressions nocturnes perpétrées par de vulgaires bandits ultra-violents et le militantisme d’extrême-droite… vomi par la maçonnerie ?
A lire Lettre ouverte au Maire de Nancy où les nationlistes autonomes lorrains répondent aux accusations : cliquez ici
11:50 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
RAPPEL : aujourd'hui, dimache 27 février à 15 h 00, contre les délires de Terre d'errance, manifestation à Steenvoorde (Nord)...
Un communiqué d'Opstaan :
Après Calais, Teteghem et Bailleul, voici que la question des clandestins revient, mais à Steenvoorde (cliquez là).
Une fois de plus une association invoque les «droits de l’homme» et la «solidarité»… Bien facile à invoquer lorsqu’il ne s’agit ni de son argent (celui qu’elle a est l’argent des contribuables) ni de son terrain qui est prêté aux clandestins : si Terre d’errance croit tant en la solidarité envers eux, pourquoi les responsables associatifs n’accueillent-ils pas chez eux les migrants ? Alors que la population ne supporte plus cette présence devenue gênante, Terre d’errance invoque cette fois la «xénophobie»…
Nous estimons nous qu’un peuple libre n’est pas un peuple xénophobe, mais un peuple qui a le droit de se sentir maître chez lui.
Tous ensemble, libérons Steevoorde ! Rendez-vous devant la mairie le dimanche 27 février à 15 h 00.
Source : cliquez ici
11:28 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 26 février 2011
QUEL DRAPEAU SUR LA MARMITE ?
Le billet de Patrick Parment
Les événements du Moyen Orient nous échappent complètement au même titre qu’ils échappent à leurs acteurs. Nul ne sait ce sur quoi vont déboucher ces destitutions en chaîne. Destitutions qui s’apparentent fort à des « révolutions » dans la mesure où tous les ingrédients sont réunis : une petite bourgeoisie moteur du mouvement, lasse qu’elle était d’être pressurée de tous les côtés par des « tyranneaux » locaux, le petit peuple comme élément sacrificiel nécessaire à sa mise en scène et une jeunesse, fort nombreuse, majoritairement au chômage et plutôt bien éduquée, qui a constitué un excellent relais vu qu’elle n’avait rien à perdre. On notera également que les deux acteurs principaux, la Tunisie et l’Egypte, sont aussi ceux qui ont le plus de contacts réguliers avec le monde occidental, et l’Europe en particulier, en raison de leur haute valeur touristique.
L’onde de choc s’est donc propagée au point d’atteindre tout le Moyen Orient – Bahreïn, le Yemen et le cas dramatique de la Libye - et il n’est pas dit, qu’à terme, d’autres bouleversements interviennent dans cet Orient fortement pétro-dollarisé. On constate que l’ensemble des régimes en place se mettent à lâcher du lest, Arabie saoudite en tête, afin d’éviter un embrasement total.
Il n’en demeure pas moins qu’on ne passe pas impunément de la dictature à la démocratie sans phase transitoire, phase qui est tout aussi dangereuse d’ailleurs que la révolution elle-même. Car la région est ultra sensible en ce qu’elle est depuis longtemps sous haute surveillance, via Israël, d’un côté, qui mène une guerre régionale incessante depuis l’annexion de la Palestine, de l’Amérique de l’autre qui, outre le fait de protéger l’Etat hébreu, surveille sa principale source d’approvisionnement en pétrole.
Le plus stupéfiant dans cette histoire est le silence des instances européennes. On sait à peine que la mère Ashton et le père Rompuy, les deux hérauts du conglomérat européen, se sont rendus en Tunisie afin de proposer une aide… financière ! Stupeur et consternation !
Le seul à s’être fait entendre dans ce grand silence, c’est l’Italie. Et pour cause, elle a vu débarquer sur l’île de Lampedusa 2000 Tunisiens dont nous n’avons rien à faire. Et l’Italie de réclamer, légitimement, l’aide de la communauté européenne. Mais quel soutien ? Impuissante, l’Europe ne décide de rien, hormis de sortir un carnet de chèques.
En revanche, il y a là un vrai problème, car l’Europe n’a pas vocation à être le refuge naturel des populations moyennes-orientales entrées en fusion. On a dépassé depuis longtemps notre quota d’immigrés.
Mais, sur cette question fondamentale, l’Europe est muette et l’autre baltringue de Sarkozy ne trouve rien de mieux que de vouloir imposer un débat sur l’islam quand le vrai sujet devrait porter sur l’immigration et l’art et la manière de renvoyer au pays ceux qui se considèrent aujourd’hui « chez eux, chez nous ». Point barre. Il faut bien dire qu’en ce moment, la politique étrangère de la France est aux abonnés absents. Madame Alliot-Marie a largement dépassé son contingent d’incompétences diverses et variées. Le problème est que l’état de délabrement intellectuel et moral de ce pays est lui aussi largement dépassé.
Il n’empêche, les événements qui se déroulent actuellement au Moyen Orient méritent une attention toute particulière car, il semble bien qu’à terme, c’est toute la géopolitique de la région qui risque de se trouver remise en cause. Et, la Méditerranée reste pour l’Europe - au même titre que la Russie d’ailleurs - une des données géographiques incontournables. Et donc politique.
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Franche-Comté (Haute-Saône) : un soutien important pour Christophe Devillers...
Christophe Devillers, candidat du Parti de la France sur le canton de CHAMPAGNEY (Haute-Saône), reçoit le soutien de l'ancienne Secrétaire départementale FN70, Conseillère régionale de Franche-Comté (2004-2010), et candidate FN à toutes les élections depuis 1998 : Anne-Marie JEANMOUGIN.
"Je tiens aujourd'hui à apporter mon soutien pour les élections cantonales de Champagney des 20 et 27 mars prochain (canton que j'ai défendu ni même les deux précédentes fois) à Monsieur Christophe DEVILLERS car je pense que par son sérieux, il sera le candidat idéal pour réunir toutes les tendances nationalistes (*) afin de lutter contre les politiciens actuels qui ne tiennent pas leurs promesses et accumulent les renoncements et le clientélisme.
La Haute-Saône est malade des mêmes maux qui rongent notre Nation. Il est grand temps de se réveiller et de tourner le dos à la logique démagosocialiste.
(*) Christophe Devillers a le soutien de la Nouvelle Droite Populaire et du MNR.
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vendredi, 25 février 2011
Marine Le Pen abandonne Hénin-Beaumont : vol au dessus d'un nid de cocus !
Par Yves Darchicourt
Touchée par la loi - qu'elle estime inique - sur le cumul des mandats, Marine Le Pen vient de démisionner de son poste de conseiller municipal de ma bonne ville d'Hénin-Beaumont. Rien d'étonnant à cela finalement ! Connait-on beaucoup d' exemples d'élus de l'UMP, du PS ou des politiciens de leurs satellites centrifuges ou centripètes qui aient abandonné un mandat doté d'une confortable indemnité pour une représentation politique certes, mais sans intérêt pécuniaire ?
Or le FN marinisé a sans conteste rallié le "système" et il n'y a donc aucune surprise à ce que sa dirigeante adopte les moeurs et les pratiques des politicards professionnels représentatifs de l'oligarchie qui nous gouverne.
La chose faisait parler sur le grand marché du vendredi ce matin à Hénin. Amusés, résignés, écoeurés ou déçus, les Héninois(es) se souviennent que la dame s'était faite élire au Conseil régional du Nord / Pas-de-Calais - paraît-il devenu "sa" région, pour repartir presto en Ile-de-France, sans doute pour être plus près de papa, et que la sombre perspective de ne pas être réelue par les Francilien(nes) lui a conseillé la prudence de revenir politiquement nidifier façon coucou chez nous.
Les sans-ceur seulement lui jetteront la pierre. Imaginent-ils ce que représentent pour une bourgeoise de St-Cloud les obligations d'apparaître au conseil municipal d'Hénin-Beaumont, une petite ville sinistrée où il n'y a même pas une boutique fashionable ou une boîte branchée ! Et pour rien en plus !
Les Héninois(es) qui avaient pensé qu'elle allait se dévouer corps et âme pour leur cité doivent sentir poindre bois et cornes. Pourvu qu'on y acrroche pas de clochettes comme s'en amusait la chanson !
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La carte 2011 des mosquées en France...
Sourde Terre et peuple Provence - cliquez ici
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Les Centurions sont en deuil...
Jean Lartéguy est mort
De son vrai nom Lucien Osty, il est né à Maisons-Alfort (Val-de-Marne) le 5 septembre 1920 avant de grandir à Aumont-Aubrac (Lozère). Alors que la Seconde guerre mondiale éclate, il s’engage en 1939 et rejoint en 1942 les Forces françaises libres (il obtient d’ailleurs la Croix de guerre 39-45). La guerre finie, Jean Lartéguy passe une licence de lettre et devient correspondant de guerre. Il couvre notamment les conflits en Corée et en Indochine puis devient grand reporter à Paris-Presse puis à Paris Match. En 1955, il obtient le prix Albert Londres pour des articles sur la guerre d'Indochine. De cette expérience sur le terrain de l’horreur naît une cinquantaine d'ouvrages, notamment sur les conflits d'Indochine, de Corée et d'Algérie. Mais le succès vient à partir de 1959, avec des livres comme Les centurions. Les mercenaires (700.000 exemplaires vendus), Les prétoriens ou Mourir pour Jérusalem. Les centurions ont d’ailleurs connu une seconde vie aux Etats-Unis. Ce récit de guerre, qui s’inspire notamment de la figure du général français Marcel Bigeard, y a été réédité à la demande du général américain David Petraeus, qui a trouvé dans l’ouvrage une inspiration pour la guerre en Irak. Son dernier ouvrage Traquenard était paru en 1996. Jean Lartéguy était chevalier de la Légion d'honneur.
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Revue de presse : Le nouvel ordre moral
Par Éric Branca Valeurs Actuelles
La condamnation d’Éric Zemmour le démontre une fois de plus : au nom du principe de « non-discrimination », certaines associations s’érigent en arbitres du débat public.
Constater un fait, est-ce propager la haine ? Depuis le 18 février, date de la condamnation d’Éric Zemmour pour « provocation à la discrimination envers un groupe de personnes à raison de leur origine », la question est posée. Zemmour, on le sait, était poursuivi par cinq associations (SOS Racisme, la Licra, le Mrap, l’UEJF et J’accuse) pour deux phrases distinctes et sans rapport entre elles. L’une de dix-huit mots, prononcée en direct le 6 mars 2010 sur le plateau de Salut les terriens (Canal plus) : « Parce que la plupart des trafiquants sont noirs et arabes, c’est comme ça, c’est un fait. » L’autre de cinq : « Mais ils ont le droit », lâchée au cours d’un débat, également le 6 mars 2010, organisé par la chaîne France Ô, puis mise en ligne sur le site Dailymotion… Cette dernière phrase répondait à la question suivante, posée par un interlocuteur : « Quand, par exemple, certains employeurs s’adressent à des directeurs d’agence d’intérim et leur disent : « S’il vous plaît, je ne veux pas d’Arabes et de Noirs », c’est injuste, quand même, non ? Reconnaissez-le. »
Le délit de « diffamation raciale » n’a pas été retenu au sujet des trafiquants, comme le réclamait la Licra, mais Zemmour a néanmoins été condamné pour « provocation à la discrimination » par la 17e chambre du tribunal correctionnel de Paris. Même sanction, même motif pour les mots : « Mais ils ont le droit », s’appliquant aux employeurs qui préfèrent recruter des candidats selon des critères qui leur sont propres… Pour résumer, il n’est donc pas diffamatoire de dire que « la plupart des trafiquants sont noirs et arabes », mais rendre ce constat public est constitutif d’une provocation !
Certes, Éric Zemmour n’est condamné qu’avec sursis à deux amendes délictuelles de 1 000 euros. Mais cette mansuétude vaut avertissement : qu’il se permette d’aborder les mêmes sujets dans les mêmes termes, et la peine sera exécutoire, assortie des majorations liées à sa qualité de « récidiviste » – celles-là mêmes que beaucoup de juges renoncent à réclamer à des délinquants condamnés plusieurs fois pour le même délit…
Surtout, il va devoir verser près de 11 000 euros aux associations plaignantes sans compter l’obligation humiliante de payer les frais de diffusion d’un communiqué relatant sa condamnation sur les ondes de la chaîne France Ô.
Le jugement n’est pas avare de détails quant à l’exécution de la peine : « Ce texte sera lu à l’antenne au début d’une émission […] tandis qu’il sera également visible à l’écran où il devra apparaître ou se dérouler de manière à être clairement visible, pendant la lecture qui en sera faite. »
Peut-on mieux signifier que, désormais, tout débat devra être soigneusement cadré et chaque intervenant chapitré afin de ne pas donner lieu à l’irréparable : l’irruption d’un sujet hors la loi ?
L’analyse du passage dans lequel Zemmour prononce, en une courte incise, les mots « mais ils ont le droit » est un morceau d’anthologie. Le jugement de la 17e chambre ne consacre pas moins de deux pages au contexte dans lequel ils ont été prononcés. Le prévenu regrettait - il cette discrimination (comme le suggère le « mais ») ou approuvait-il ce que la loi punit ? Que voulait-il dire quand, quelques minutes plus tôt, il constatait que la vie était « injuste » et les discriminations partout ? Cela devait-il être mis à son crédit ou, au contraire, à sa charge ? Autant de circonlocutions rappelant involontairement les procès en sorcellerie d’antan : le prévenu est-il ou n’est-il pas inspiré par le Malin ?
Tout démontre en tout cas l’importance déterminante prise, dans nos institutions, par certaines associations s’autoproclamant « représentatives » – la dernière-née étant le Cran, pour Conseil représentatif des associations noires de France – et le poids, symétriquement décroissant, de la puissance publique, censée garantir le droit des gens et l’intérêt général.
Jusqu’à la loi Pleven de 1972, en effet, seules deux instances étaient habilitées à saisir la justice pour « diffamation ou injure raciste » : la personne s’estimant diffamée ou discriminée et le parquet, en sa qualité de représentant de la société, s’il s’agissait d’actes susceptibles de porter atteinte à l’ordre public (par exemple, un texte publié dans la presse contraire à l’honneur d’une communauté voire susceptible d’entraîner des violences contre celle-ci). Toutes choses régies par la loi de 1881.
Mais, depuis trente ans, tout a changé : ce n’est plus seulement la personne qui s’estime diffamée ou le ministère public, s’agissant d’un groupe, qui sont habilités à saisir la justice. Mais toute association s’autoproclamant représentative de tel ou tel intérêt, ou de telle ou telle communauté. Y compris en l’absence de plainte individuelle préalable ! C’est ainsi que le ministre de l’Intérieur, Brice Hortefeux, a pu être mis en cause par le Mrap à propos d’une plaisanterie adressée à un militant UMP d’origine maghrébine – militant qu’on voit rire de bon coeur sur la vidéo incriminée et qui, pour avoir pris la défense d’Hortefeux, sera à son tour menacé.
Conçue, à l’origine, pour punir les actes authentiquement racistes – au début des années 1970, point de départ de l’immigration de masse, les ratonnades n’étaient pas rares –, cette loi a rapidement dépassé ce cadre, en soi louable, pour devenir un instrument d’influence aux mains de toutes les minorités, se saisissant du moindre mot de travers comme d’une arme retournée contre l’adversaire.
D’où l’inflation régulière des contentieux qui tend, non seulement à faire du juge l’arbitre des causes les plus variées, mais aussi et surtout à privatiser l’action publique en autorisant les associations à la déclencher. Tout, dès lors, devient possible. Et les textes, se nourrissant des jurisprudences ainsi créées, ne cessent de renforcer cette évolution.
La judiciarisation des opinions menace-t-elle la démocratie ?
En 1990, ce fut la loi Gayssot, instituant des peines de prison pour punir certains délits (notamment le négationnisme) – au risque, selon la plupart des historiens, d’instituer une vérité officielle renforçant paradoxalement les fantasmes que la loi était censée combattre. Puis, sont venues la loi du 9 mars 2004, portant de trois mois à un an la prescription relative aux délits de presse « racistes » ou présumés tels, et surtout celle du 30 décembre 2004, qui a donné naissance à la Halde.
Or, on l’oublie trop souvent, cette dernière fut votée contre l’avis de la Commission nationale consultative des droits de l’homme qui en avait rejeté la philosophie en se référant à la tradition juridique française, hostile au communautarisme, « parce que c’est l’être humain en tant que tel, et non en raison de certains traits de sa personne, qui doit être respecté et protégé. […] Cette segmentation de la protection des droits de l’homme remet en question leur universalité ».
Argument prémonitoire : comme le disait le regretté Philippe Muray, c’est moins désormais la justice qui y trouve son compte, que la « fièvre cafteuse » de tous contre tous, prenant prétexte d’un mot, d’une phrase, d’un sous-entendu même, pour régler ses comptes avec la communauté d’en face… Le contraire, en somme, du droit, dont la vocation est de désamorcer les conflits plutôt que de les relayer !
Source cliquez ici
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Dans Rivarol de cette semaine : un grand entretien avec Gabriele Adinolfi...
Gabriele Adinolfi est une des figures intellectuelles non conformistes italiennes les plus en vue. Ce militant national- révolutionnaire très influencé par Julius Évola a été contraint à l’exil en France pendant vingt ans. On lui doit deux ouvrages remarqués ces derniers temps, « Nos belles années de plomb » en 2004 et « Pensées Corsaires, abécédaire de lutte et de victoire » en 2008 (cliquez ici). Plus que jamais en pointe du combat en Italie, il a accepté de répondre à quelques-unes de nos questions.
RIVAROL : En premier lieu M. Adinolfi, vous qui êtes un militant de grande expérience et qui avez fait de nombreux sacrifices pour l’idéal fasciste, pouvez-vous nous dire comment vous voyez le futur de l’Italie et celui de sa jeunesse ?
GABRIELE ADINOLFI : Très négatif. L’Italie est un pays vieillissant dont le taux de natalité est le plus bas à l’échelle mondiale, il n’a presque plus d’industrie, un secteur agricole restreint et une souveraineté très limitée. Les seuls éléments qui sauvent actuellement l’Italie de la ruine se trouvent dans l’appareil énergétique national notamment l’ENI), dans l’industrie d’armement, dans la petite entreprise et dans ce qui reste de l’épargne familiale.
Dans le contexte actuel de globalisation, cela nous donne quelques années à peine de survie si les données ne changent pas radicalement.
R. : Quelle place peut occuper le fascisme dans le futur italien ?
G. A. : C’est un paradoxe. Le fascisme encore aujourd’hui présente toutes les réponses aux problèmes actuels. On peut dire de lui que c’est le seul système de pensée et d’organisation qui possède les solutions aux grands défis contemporains. Mais il ne parvient toujours pas à se mettre en place dans la conjoncture présente. Les Italiens qui ont connu le fascisme réel au quotidien continuent d’apprécier et même d’aimer l’oeuvre de Mussolini, ayant joui de tous ses bienfaits sociaux, économiques, éthiques et culturels. À la différence notable de ceux qui n’en ont connu que la légende noire, à l’instar des Français qui ne l’ont jamais expérimenté (Vichy procédant de circonstances aussi inattendues que défavorables et n’incarnant de toute façon pas un projet fasciste). Cette nostalgie grandit de jour en jour par la simple comparaison de l’Italie mussolinienne avec l’Italie antifasciste d’abord et post-fasciste après. Cependant il manque toutes les conditions objectives pour la fondation d’un Etat-Nation d’inspiration fasciste, donc le fascisme malheureusement en l’état actuel des choses ne pourra pas se proposer. Il est possible cependant d’extraire du fascisme toute une série de solutions aux problèmes qui nous écrasent. Disons que si un certain nombre de conditions sont remplies, on peut espérer dans le futur italien une formule mixte, une forme de péronisme à l’italienne. (...)
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La Femme Loire déplacée...
La Femme-Loire, cette curieuse statue géante repésentant une femme nue qui devait être érigée en surplomb de l’abbaye de Marmoutier, là où vécu Saint-Martin, près de Tours, sera finalement tranférée ailleurs, a annoncé le maire socialiste de Tours, Jean Germain.
Voilà une bonne nouvelle pour nos amis de Touraine qui, depuis plusieurs mois, menaient une campagne active pour faire en sorte que cette statue ne défigure pas le patrimoine culturel, spirituel et identitaire de leur région.
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Vendredi, c'est le jour de Rivarol...
08:18 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |