vendredi, 22 avril 2011
Franck Abed donnera une conférence à Paris le mercredi 27 avril sur le thème : pourquoi être royaliste aujourd'hui ?
Contact : reservation@franckabed.com
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Fierté ?
Edito de Nicolas Gauthier
Publié dans Flash
n°64 du 20 avril 2011
Pissing Christ ? Une photo du Christ en croix trempée dans un bol d’urine et exposée durant la Semaine sainte à Avignon, Cité des Papes tant qu’à faire. Plus fort que la pissotière de Duchamp, exposée dans un musée de New York et dans laquelle un néo-dadaïste s’est d’ailleurs soulagé, rendant ainsi à l’objet sa fonction première tout en manquant de peu la prison ferme.
D’autres adeptes de cet art qui dérange ont encore plus dérangé les artistes dérangeants en fracassant le Pissing Christ à coups de tournevis et de marteau. Des “barbares”, a couiné, tout énervé, le conservateur du musée. Les barbares ont dû avoir peur. Prendre un sac à main en pleine face, ça peut changer la vie d’un homme. De son côté, Claire Chazal, encartée à la CFTC chez Bouygues (TF1), a évoqué la destruction de la photographie controversée d’Andres Serrano, représentant “un crucifix trempé dans l’urine du Christ”. On imagine qu’il était exposé à côté du crâne d’Hitler enfant et d’une sesterce romaine frappée de cette mention : “500 avant J.C.”…
Et maintenant, que faire ? Comme aurait dit Lénine ou Gilbert Bécaud. S’indigner ? Se dire que si le Serrano en question – mais un artiste portant un nom de jambon est-il vraiment sérieux ? –, avait voulu faire parler de lui en trempant une Torah dans un pot à merde ou un Coran dans une bauge à cochons, il aurait été pendu depuis longtemps ? Qu’il y a des religions dont il est licite de se moquer et d’autres qu’il est autrement plus risqué de railler ? On sait tout cela ; alors, à quoi bon radoter…
Plus inquiétant est le message que cette guignolade envoie de la France au reste du monde. Au moment où le judaïsme se radicalise de plus en plus et ou l’islam relève la tête, est-il bien opportun de laisser entendre que le catholicisme, ayant abdiqué toute dignité, est en train de se faire dessus. Parce que les fantaisies de Serrano ou d’Herta ou de Justin Bridou, peu importe, ne sont que peu de chose face à l’invraisemblable lâcheté d’un clergé catholique plus prompt à cracher sur Le Pen ou à brailler en chœur avec les immigrés clandestins qu’à lutter contre l’avortement de masse et à défendre ces valeurs qui, par nature universelles, les dépassent de loin. Il est un fait qu’ils sont, à tous les sens du terme, dépassés. Autrefois, les soutanes servaient au moins à masquer des couilles qui ne servaient pas forcément toujours, mais qui au moins étaient là. Aujourd’hui, cette église préfère la transparence, sachant qu’elle n’a plus rien à cacher. Au fait, ce qu’ont fait ces barbares, c’est très mal. Mais il n’y a pas non plus de mal à se faire du bien.
Source cliquez ici
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La chronique de la France asservie et résistante...
Chronique de Robert Spieler
Publiée dans Rivarol
n°2995 du 15 avril 2011
Très intéressant article de Louis Chagnon dans le numéro de mars de la revue de Bernard Antony, Reconquête (70 bd Saint-Germain 75005 Paris, 4,5 euros). Son titre : la dhimmitude casher. Chagnon relève l’étrange attirance de certains juifs pour l’islam. Il les passe en revue. Voici Jacques Attali, ce grand bourgeois cosmopolite qui déclare que « l’islam est une des dimensions de la civilisation européenne, depuis l’origine de l’islam et depuis l’origine de l’Europe ». Une absurdité que tous nos lecteurs relèveront et qui fera retourner dans leur tombe Charles Martel et Isabelle la Catholique. Mais Attali insiste : « Pour la France, d’avoir plusieurs millions de Français qui parlent arabe, dont la culture est arabe (…), c’est un atout extraordinaire, extraordinaire ! Qu’il faut valoriser, qu’il ne faut pas antagoniser (sic !) » . Si ce pompeux imbécile continue à nous donner des leçons de Collaboration, nous allons finir par l’antagoniser d’importance… Une petite anecdote, histoire de rire un peu, qu’Eric Orsenna, académicien, et très proche de François Mitterrand, a racontée à un de mes amis. Mitterrand organisait régulièrement des dîners à son domicile, rue de Bièvre, entouré de ses plus proches amis. Dont un dîner avec Attali et… René Bousquet, ancien secrétaire général à la police, sous le régime de Vichy et, à ce titre, accusé des pires turpitudes. A la fin de la soirée, Bousquet s’étant retiré, Mitterrand, quelque peu sadique, demanda aux convives : « Savez vous avec qui vous avez dîné ce soir ? » Il paraît qu’Attali tirait une de ces tronches…
La dhimmitude casher
Le suivant sur la liste est l’inénarrable Bernard Kouchner qui, ministre des Affaires étrangères, avait invité les ambassadeurs des pays arabes, dont bien sûr la Libye, à un dîner de fin de ramadan. Emu, il déclara : « Je suis heureux de dire devant vous ce soir : nos communautés d’origine maghrébine, turque, africaine ou pakistanaise, sont une richesse, un pont vers vos cultures et vos civilisations ». Un pont, peut-être, mais un pont qu’il convient de dynamiter vite fait, bien fait…
Esther Benbassa, née à Istanbul, est quant à elle tout à fait représentative de l’intellectuelle juive à l’idéologie pervertie. Elle veut bien admettre qu’il y a un débat à mener sur l’identité. « Mais pour cela, encore faudrait-il que nos dirigeants aient la volonté de le faire pour ajuster leur politique (cad pour se coucher devant le camp de la trahison) et renoncent à ressortir la vieille panoplie nationaliste, instruction civique des adultes, Marseillaise obligatoire… » Et de conclure : « Et pourquoi pas des camps de rééducation ? » Celle là, on s’en occupe : un charter pour Istanbul… Et pour conclure, évoquons les « dialogueux » juifs et en premier lieu la famille Rothschild, dont Edouard de Rothschild, dont la fortune est estimée à plus de 300 millions d’euros et permet de financer le quotidien Libération qui « dialogue » intensément avec l’islam. Rothschild vient de prendre la nationalité israélienne, d’après lui pour des raisons purement équestres, car il espère intégrer l’équipe d’équitation israélienne. Citons aussi le Congrès mondial des imams et des rabbins pour la paix et la fondation Edmond de Rothschild qui explore « les différentes voies possibles au dialogue entre les communautés musulmanes et juives ». Un sacré programme qui devrait passionner les Palestiniens… Le grand rabbin de France, Gilles Bernheim, dont nous avons déjà eu l’occasion de parler dans Rivarol, déclare : « Je suis contre l’interdiction de construire des minarets, qui a été votée en Suisse ». Mais de quoi cet oiseau donneur de leçons se mêle-t-il ? Qu’attend-il pour se rendre en terre d’islam exiger l’arrêt des persécutions contre les Chrétiens et demander la construction d’églises, avec des clochers, en Algérie, en Arabie Saoudite, en Egypte, etc… Quand à Richard Prasquier, président du CRIF, le Conseil représentatif des Institutions juives de France, devant lequel viennent se prosterner les responsables politiques de gauche et de droite, il a envoyé une lettre très émue à son homologue musulman, président du CFCM, Mohammed Moussaoui, pour lui présenter ses meilleurs vœux à l’occasion de l’Aid El Adha. Une lettre où il « exprime, au nom de la communauté juive de France, sa forte désapprobation envers les réactions populistes qui avaient conduit, en Suisse, à une votation interdisant la construction de minarets ». Et de préciser, lors du récent dîner du CRIF : « La lutte contre le racisme est notre lutte. Nous ne voulons pas que le mot islam remplace le mot juif dans les fantasmes de diabolisation.(…) Nous voulons que les gens du voyage bénéficient des mêmes papiers que tous les citoyens de notre pays ». Et le reste à l’avenant… Mais de quoi se mêlent-ils ? De quoi se mêlent-ils ? Ils commencent sérieusement à nous les chauffer…
Et voila qu’ils pissent sur le Christ
A Avignon, une exposition artistique dénommée « je croix (sic) aux miracles » est organisée autour de la photo d’un Christ plongé dans l’urine. Des affiches de cette photo blasphématoire, appelée « Piss Christ », sont exposées publiquement dans les rues de la ville. Ceux qui financent cette ignominie ? Le Ministère de la culture de Sarkozy, la mairie UMP, le conseil régional PS, le groupe LVMH (Dior, Guerlain, Moët, Hennessy), mais aussi la SNCF et la Fondation Cartier. Le groupe LVMH, qui est un gros contributeur, se définit comme « l’ambassadeur de l’art de vivre occidental dans ce qu’il a de plus raffiné ». On comprend pourquoi la société Hermès s’est battue récemment pour ne pas être engloutie dans ce groupe aux pratiques dégénérées. Alain Escada, secrétaire général de Civitas mène l’offensive. Il rappelle qu’aux Etats-Unis, puis en Australie, cette photo avait été retirée. Il exige son retrait immédiat, la destruction de tous les supports de communication utilisant cette photo (affiches, panneaux municipaux, brochures, etc…) et l’arrêt de tout financement public et privé de cette exposition (un million d’euros par an). Soutenons la vigoureuse riposte de Civitas. Exprimez votre indignation ! Téléphonez à la mairie d’Avignon : 04 90 80 83 85, au Club des actionnaires de LVMH : 01 44 13 22 22, au secrétariat du président du conseil régional : 04 91 57 50 57. Harcelons-les !
Ah, au fait, pas d’émotions du côté du grand rabbin, du CRIF, des institutions musulmanes, du Grand Orient, des ligues de vertu idéologiques. Imaginons une seule seconde le scandale planétaire qu’aurait suscitée la photo d’un rabbin avec papillotes ou du Prophète Mahomet, plongée dans l’urine.
« Ils » ont saccagé toute l’église.
C’était mardi 29 mars, à Conas dans l’Hérault. Pénétrant dans l’église par le vitrail qu’ils avaient brisé, « ils » ont mis le feu à l’harmonica et à la sacristie, cassé des chaises et des bancs, des croix et des statues, et puis, sont repartis. Il y a quelques jours, c’est le drapeau français qui flottait au fronton de la mairie de Florensac, toujours dans l’Hérault, qui était arraché et remplacé par le drapeau algérien. Alors ? On fait quoi avec « ils » ?
De sacrés combattants, ces catalans !
J’étais invité, il y a quelques jours, au cinquième congrès du mouvement identitaire catalan Plataforma Catalunya qui avait lieu à proximité de Barcelone. Un jeune mouvement régionaliste, pas indépendantiste. D’un dynamisme incroyable, en puissante progression. Présidé par Josep Anglada, entouré de August Armangol et d’Enrique Ravello. Ils viennent d’échouer de peu à entrer au parlement catalan, mais ont la certitude, d’après les sondages d’augmenter massivement le nombre de leurs élus municipaux, aux élections qui auront lieu dans un mois. Une centaine de têtes de liste furent présentées, représentant plus de 1500 candidats, ce qui est un exploit pour un mouvement si jeune. Harald Vilimsky, secrétaire général du Fpoe autrichien et notre amie Hilde de Lobel, du Vlaams Belang flamand étaient présents et prirent la parole. Mario Borghezio, député de la Lega Nord, avait envoyé un message de soutien. Un discours de Josep Anglada sans concession : résolument contre l’invasion et pour la libération de l’Europe. Résolument contre le libéralisme tueur de peuples et contre le capitalisme mondialiste. J’ai soulevé, je l’écris en toute modestie, l’enthousiasme des congressistes en déclarant : « Le combat pour notre libération est ici, en Europe, pas en Afghanistan, pas en Iran, pas en Palestine, et pas en Israël. Nos soldats européens n’ont pas vocation à mourir, ni pour Washington, ni pour Tel Aviv. »
Inutile de vous dire que nos amis de Plataforma Catalunya n’ont aucune intention de se rendre en Israël, comme l’ont fait récemment certains mouvements nationalistes européens, afin d’y recueillir une illusoire respectabilité.
Un amusant poisson d’avril
Si non e vero, bene e trovato. Etant de nature sceptique, je n’y ai pas cru une minute. L’information, qui semble pourtant très sérieuse, mais qui a été diffusée le 1er avril, circule sur divers sites nationalistes. La Halde aurait nommé une commission d’étude en charge de définir les conditions de remplacement de l’hymne national français, La Marseillaise, par un hymne plus « consensuel », de même que les couleurs bleu blanc rouge, par un drapeau « respectant plus la diversité ». Ce rapport, selon l’article qui a toutes les apparences de la rigueur, serait attendu pour l’automne prochain. La Halde considère comme une évidence « la désaffection des Français pour les défilés militaires, le patriotisme et les drapeaux tricolores », et observe « un rejet évident » des « minorités visibles » à l’encontre de tout ce qui peut rappeler le patriotisme et la nation ainsi qu’elles s’expriment dans les couleurs nationales actuelles et dans les paroles de La Marseillaise. Cette dernière est devenue, de fait, obsolète et doit être remplacée. Les personnalités en charge de ce rapport seraient Bernard-Henri Lévy, Abderrahmane Dahmane ou encore Patrick Gaubert. Ces symboles, trop marqués par « le rejet de l’autre » et trop souvent l’objet d’instrumentation politique de partis extrémistes, sont l’expression de ce refus d’ouverture sur le monde. Au nom d’une « diversité toujours plus riche », il y aurait nécessité, urgence même, à combattre « les nostalgiques du patriotisme » et les « revendications nationalistes », afin de « réaliser une réelle reconversion des symboles nationaux » en mettant en avant, par exemple « les victimes du racisme ». La Halde proposerait d’ores et déjà de reprendre comme couleurs nationales celles de l’arc en ciel (le symbole des homosexuels) et comme hymne un texte qui est encore à définir mais dont la musique s’inspirerait de La Truite de Schubert… Félicitons l’auteur de ce texte parfaitement parodique. Quoique… Avec ces dingues, tout est possible. Et si c’était vrai ?
Le charabia écologiste
Sous le titre « L’écofolie ou la perversion du langage », Michel de Poncins recense dans Tocqueville magazine tous les poncifs du charabia écologiste, repris à la volée par tout ce que la France compte d’hyènes manipulatrices et de moutons crétins. Parmi ces termes magiques, « développement durable ». Personne ne sait ce que cela signifie, mais il est du dernier chic, dans les soirées bobo ou dans les assemblées d’élus de le prononcer, avec un air pénétré. Comme personne n’en comprend le sens, pas de risque d’être contré. « Sauver la planète », ça, tout le monde comprend. Ca vous donne un petit air Batman ou Superman qui vous pose son homme. Etre « eco-responsable » ! Alors là, vous marquez des points ! « Promouvoir l’environnement » (ne pas le promouvoir, c’est simple, vous êtes un salaud), des « fonds socialement responsables » (le fonds Madoff était socialement responsable, mais il y a eu un petit couac). Admirez le « socialement » ! Et tout ça, pour investir « pour un monde meilleur ». Les crapules mondialistes adorent planquer leurs turpitudes derrière ces mots magiques qui endorment le « citoyen ». Ah ! « citoyen », voila encore un incontournable ! Faire un geste citoyen en éteignant l’électricité ou en vivant à la lueur des bougies. Ca, c’est fort !
Nous, on va s’y mettre aussi. Je veux dire, au geste citoyen. On va les virer, tous ces clowns…
10:27 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 20 avril 2011
Les Français jugent que l’intégration ne marche pas
Selon une étude réalisée pour la chaîne LCP-AN, les étrangers ne feraient pas assez d’efforts pour vivre harmonieusement en France.
Un fossé semble se creuser entre les Français et les populations issues de l’immigration. L’intégration des étrangers dans la société d’aujourd’hui est globalement considérée comme un échec. Et ce constat est partagé par les sympathisants de droite comme de gauche. C’est l’enseignement principal de l’enquête réalisée par Harris Interactive pour l’émission « Face aux idées » qui sera diffusée ce soir à 20h30 sur la chaîne LCP-AN avec comme invité Henri Guaino.
Des chiffres bruts, sans équivoque, qui provoqueront peut-être un certain malaise et en tout cas pas mal de réactions.
« Oui, c’est une tendance lourde, juge Jean-Daniel Lévy, de Harris Interactive. Bien sûr, il y a le discours ambiant d’une certaine partie de la classe politique. Les débats sur le voile, les mosquées, les prières de rue, la laïcité, tout cela joue. Mais cela relaie un sentiment fort dans l’opinion. » A la question de savoir si l’intégration fonctionne bien ou mal, les personnes interrogées répondent « mal » à 66%, « bien » à 28%. Deux tiers d’un côté, un tiers de l’autre. A qui la faute? Aux étrangers eux-mêmes, qui « ne font pas suffisamment d’efforts », affirment 76% des Français.
Un sentiment identique chez les électeurs de gauche
A noter que les électeurs de gauche partagent largement ce point de vue (62%). D’ailleurs, pour 51% des sondés la situation se dégrade depuis dix ans. Au final, personne ne semble faire confiance aux hommes politiques pour améliorer les choses. Ce sont les associations (48%), les citoyens (41%) ou encore les enseignants (33%) qui arrivent en tête du classement des acteurs qui pourraient faciliter l’intégration des étrangers, devant les entreprises (23%), les artistes (15%) et les responsables religieux (14%). Les partis politiques ferment la marche avec seulement 11% de réponses positives.
D’une façon générale, la méfiance paraît solidement installée entre les Français et les élites sur la question de l’intégration des étrangers. « Certains événements comme les révolutions dans le monde arabe en Tunisie, en Egypte et en Libye sont présentés comme des bonnes nouvelles par les médias alors qu’ils suscitent beaucoup d’inquiétude chez la plupart des gens, note Jean-David Lévy. Ils y voient surtout un surplus potentiel d’immigrants. »
Source : Frédéric Gerschel, pour Le Parisien du 20.04.2011
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Rivarol titre : "Marine Le Pen épuratrice en chef"
Par Jérôme Bourbon
Comme nous l’avions prédit pendant toute la campagne interne, les purges n’ont pas tardé dans le nouveau FN. C’est le grand nettoyage de printemps. A peine les cantonales terminées, Marine Le Pen a décidé de se débarrasser de tous les éléments encore nationalistes restés au FN. Le 19 avril, une vingtaine de cadres frontistes était ainsi auditionnée par la commission des conflits dont le jeune Alexandre Gabriac, conseiller régional de Rhône-Alpes, accusé par la presse, deux jours avant le second tour du scrutin, d’avoir fait naguère un salut hitlérien, en réalité l’ancien salut olympique en vigueur jusqu’en 1946. Gabriac a écopé d’un blâme de la part de la commission, non pour cette affaire mais pour avoir caché une condamnation pour violence il y a quelques années.
Marine Le Pen, sans prendre le temps de s’informer des travaux de la commission où siégeaient Bruno Gollnisch et Jean-Marie Le Pen qui tous deux pensent qu’il s’agit d’une photo-montage, a exclu Gabriac. D’où le courroux de Bruno Gollnisch qui a bien compris qu’il était visé et qu’il s’agissait pour Marine Le Pen de mettre au pas la fédération du Rhône qui lui est acquise et où militent plusieurs responsables naguère engagés à l’Œuvre française : «Je suis extrêmement étonné que la présidente ait pu prendre cette décision alors qu’elle se trouve à 10 000 kms de là, en vacances en Thaïlande, et qu’elle n’a donc pas pu prendre connaissance des travaux de la commission des conflits» remarque un Gollnisch estomaqué par ces procédés pour le moins expéditifs. Mais pour Lady Papa, ce qui compte, c’est de plaire aux media et à Israël et nullement d’assurer l’unité du camp national.
Le cas Gabriac n’est d’ailleurs pas isolé. Le falot secrétaire général du FN, l’insipide Steeve Briois (au moins lui ne fera pas d’ombre à Mme Le Pen !), a confirmé à Rue89 que Jean-Loup de Lacheisserie et Olivier Wyssa, deux militants historiques du FN proches de Gollnisch, «allaient également être exclus». Ancien secrétaire départemental du FN dans l’Ain, Olivier Wyssa dénonce une «une véritable purge». Accusé de “sabotage” par la direction mariniste du FN pour avoir renoncé à être candidat quelques semaines avant les élections cantonales, Wyssa, brillant intellectuel, estime aujourd’hui ne plus se reconnaître dans les «orientations très républicaines et laïcistes» de Marine Le Pen. Figure historique de l’extrême droite lyonnaise, Jean-Loup de Lacheisserie, militant depuis 1985, partage le même constat et confie à Rue89 : «Marine Le Pen veut éliminer tout le monde et ne souhaite plus avoir de catholiques traditionalistes et de pétainistes. Manque de bol, je me retrouve dans les deux cas.» Ce militant exemplaire a parfaitement compris qui était la cible de Marion dite Marine Le Pen : «A travers nous, c’est Bruno Gollnisch qui est visé.»
L’épuratrice en chef qui depuis 1998 a multiplié les purges, avant-hier contre les mégrétistes, hier contre les compagnons historiques de Jean-Marie Le Pen, ne compte évidemment pas s’arrêter là. Depuis plusieurs semaines, elle dénonce, hystérique, «l’entrisme d’un certain nombre de groupuscules, dont l’Œuvre française». Elle en a encore remis une louche le 30 mars sur la radio israélienne 90FM car lorsqu’il s’agit de stigmatiser des camarades de combat, c’est de préférence devant ses amis israéliens qu’elle les lynche! Steeve Briois a confirmé à la presse que tous ceux qui auraient la double appartenance (Œuvre, FN) seraient exclus du mouvement. Or cette situation n’avait pas gêné jusque-là la direction du FN puisque l’Œuvre ne joue pas la carte électorale et ne représente donc pas une concurrence pour le Front. Est particulièrement dans la mire Yvan Benedetti, coordinateur de la campagne de Gollnisch pendant la bataille de succession et directeur du périodique Droite Ligne. L’exclusion de Benedetti serait «une ultime provocation à l’égard de Bruno Gollnisch» estime Carl Lang qui explique : «Les secrétaires départementaux savent désormais qu’ils ont le choix entre l’allégeance totale à Marine Le Pen ou la disparition.» Quant à Pierre Vial, longtemps conseiller régional de Rhône-Alpes, il estime qu’en «s’attaquant à la fédération Rhône-Alpes, Marine Le Pen choisit de s’en prendre à l’un des derniers symboles de l’extrême droite historique». Et dire qu’il y a encore des lecteurs pour nous trouver trop sévère envers Marine Le Pen !
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LE 22 AVRIL… il y a 50 ans, commençait la révolte des centurions.
Par Pieter Kerstens
En 1959, le général Challe avait gagné la guerre d’Algérie. Coupé de ses bases tunisiennes et marocaines par des barrages imperméables, le FLN mourait d’asphyxie. Les parachutistes avaient largement contribué à cette victoire.
Le discours du 16 septembre 1959 sur l’autodétermination leur apparut comme une faute irréparable, compromettant la victoire psychologique et militaire à laquelle ils avaient œuvré. Quand d’un trait de plume, le général De Gaulle supprima le 5ème Bureau (bureau d’action psychologique), il fit un geste dont les Français ne mesurèrent l’importance ni dans l’immédiat, ni pour l’avenir.
Cette incompréhension totale de l’aspect subversif des guerres modernes n’a pas fini d’avoir des conséquences fâcheuses …
En avril 1961, c’est pour ne pas se perdre que des militaires, parmi lesquels une majorité de paras, choisirent de se révolter contre une politique qui les conduisait à renier leur combat, leurs certitudes, leur fidélité, leur espérance, leur honneur.
Plus tard, aucun d’entre eux ne sera surpris par la tournure des évènements. Ils connaissaient la nature profonde du FLN. Ils avaient découvert les ramifications qui menaient des maquis algériens à Moscou et à Pékin. A maintes reprises, depuis la désertion de l’aspirant Maillot, ils avaient détecté le travail de sape du Parti Communiste Français et de certains complices socialistes et si les communistes du monde entier et leurs compagnons de route se servaient des aspirations légitimes des populations, les officiers parachutistes ne se faisaient aucune illusion : ce n’était pas par grandeur d’âme, c’était une occasion bénie de lutter contre les nations occidentales libres et d’imposer à de jeunes peuples en quête de patrie, leur idéologie marxiste.
Il faudra longtemps pour que les observateurs politiques professionnels reconnaissent qu’ils se sont lourdement trompés…
Il faudra Soljénitsine, la chape du silence étendue sur le Viêt-Nam, le génocide des Khmers Rouges, l’implantation soviétique en Afrique noire, la fin du culte de Mao, pour qu’ils admettent -du bout des lèvres- toutes les atteintes portées sous le masque du mot « libération » aux principes qu’eux-mêmes défendent !
A-t-on encore jamais écrit l’histoire calamiteuse des journalistes perdus ?
Lorsque le 22 avril 1961 au petit jour, le général Challe annonce qu’il est revenu prendre la tête de l’armée et proclame sa volonté de gagner la guerre afin que l’Algérie puisse rester dans un cadre français, les parachutistes se rallient à lui, à la quasi-unanimité ! Si quelques problèmes se posent aux chefs de corps, il ne s’en pose pas beaucoup aux cadres subalternes, habitués à suivre aveuglément leurs chefs.
Depuis longtemps les jeux sont faits : l’immense majorité des paras se bat pour l’ALGÉRIE FRANCAISE.
Pourquoi les paras sont-ils si nombreux à répondre présents au général Challe ? Obéissent-ils à un réflexe conditionné ? Sont-ils donc tous semblables ? Certes non. Ils ont des personnalités accusées ; l’esprit de commandos développe chez le para le sens des responsabilités, le goût des initiatives. Les missions périlleuses loin des chefs, à la tête d’une poignée d’hommes que l’on peut mener au succès comme à la mort, accentuent les caractères, renforcent l’individualisme.
Qu’y a-t-il de commun entre un Broizat, moine-soldat philosophe, répugnant à la violence, et un Godard, vainqueur de la bataille d’Alger, inventeur de la bleuite qui a porté le massacre chez l’ennemi, organisateur de l’OAS, partisan de la terre brûlée ?
Quelle foi commune peut bien partager le petit Cabiro à l’œil étincelant de malice, au verbe haut, à la chaleur communicative, et l’immense Robin, Porthos toujours prêt à dégainer pour chasser l’importun qui traîne sur sa route ? Quel lien existe-t-il entre un Curutchet qui cite Marx, Lénine et Mao et un Glasser méticuleux comme une ménagère flamande qui ne supporte pas le moindre grain de poussière sur le canon d’un fusil ?
Pourquoi le lieutenant Degueldre, l’homme du rang et le lieutenant Godot, l’homme de l’élite, le fort en thème, l’éternel premier, vont-ils se retrouver côte à côte dans l’ombre et la violence ? Quelle force mystérieuse poussera donc le premier jusque sous les balles d’un peloton d’exécution, et le second dans les prisons où il sacrifiera sa jeunesse ?
Tous ont fait partie d’un corps d’élite et à ceux-là on demande plus qu’aux autres… Depuis 1946 en effet, on leur a tout demandé : lancer des assauts décisifs, défendre des positions intenables, sauter dans les fournaises, sillonner de jour et de nuit la jungle, les rizières, la rocaille. On leur a même demandé de se salir les mains pour traquer dans Alger les poseurs de bombes.
On pouvait tout leur demander comme le dira si bien le capitaine ESTOUP lors du procès des officiers du 1er REP :
-« On ne m’avait jamais appris à Saint-Cyr à organiser le ravitaillement en fruits et légumes d’une ville comme Alger. Le 2 janvier 1957, j’en ai reçu l’ordre.
- On ne m’avait jamais appris à Saint-Cyr à suivre une filière policière…j’en ai reçu l’ordre.
-On ne m’avait jamais appris à Saint-Cyr comment s’exerçaient les fonctions de préfet de police…j’en ai reçu l’ordre.
-On ne m’avait jamais appris à organiser un bureau de vote…à ouvrir un marché…à ouvrir des écoles… »
Etrange, émouvante litanie du devoir accompli sans hésitation ni murmure par des hommes habitués à aller jusqu’au bout de leurs ressources, toujours prêts à tenter l’impossible.
Ainsi, les centurions qui répondent « OUI » au général Challe ce 22 avril 1961 sont de cette race là. Ils sont nés des combats incessants qu’ils ont livrés aux marches de l’Empire à la pointe du combat, dans tous les coups durs.
On a donné d’eux l’image de loups affamés, durs, courageux, exigeants envers les autres, parce que surtout exigeants envers eux-mêmes.
On les a jalousés, accusés d’immodestie.
On leur a reproché d’être des vedettes. Ils se sont contentés de hausser les épaules.
Seule leur valeur les poussait au premier rang. C’est la sueur et le sang qui les maintenaient.
Ils en avaient conscience et ils ne se trompaient pas !
Ils ont été trahis, mais ne seront pas oubliés pour autant !
GLOIRE A EUX …
Article publié dans le n°22 de la revue Synthèse nationale
17:50 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 19 avril 2011
Finlande : belle envolée des "Vrais Finlandais"
Par Yves Darchicourt
Coup de blues dans les rédactions politiquement correctes : les élections législatives finlandaises viennent de concrétiser l'essor de la droite nationale et identitaire représentée par le Parti des Vrais Finlandais (Perus Suomalaiset) dont le nom seul est tout un programme.
Avec 19,10% des sufrages, le mouvement de Timo Soini quadruple son score par rapport à la consultation de 2007 et va envoyer 39 représentants au Parlement d'Helsinki où ils siègeront aux côtés de 44 conservateurs et 42 sociaux-démocrates.
Le premier ministre sortant - issu d'un Parti du Centre relègué à la 4e place dans le pays - devrait laisser sa place à un conservateur, lequel ne pourra gouvernenr qu'avec les sociaux-démocrates ou avec la droite nationale.
Les Vrais Finlandais ont basé leur campagne sur le refus de l'immigration, leur fort scepticisme à l'égard de l'Union européenne technocratique et leur hostilité à l'euro. Ils ont vraiment tout pour déplaire aux mondialistes et à leurs valets de l'eurocratie.
Un autre exemple fort de la marche en avant de l'Europe des Peuples et des Nations.
09:59 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lE DIMANCHE 8 MAI, 10 H 00, PLACE DE LA MADELEINE :
09:49 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
TERRE BRIARDE : UNE ASSOCIATION REGIONALE RESISTANTE, POUR UNE CULTURE ENRACINEE.
« TERRE BRIARDE » propose en Brie, et sur une plus grande échelle à l’est de Paris, des randonnées, des conférences, des rencontres lors des fêtes traditionnelles ainsi que des visites de sites historiques afin de permettre aux Européens de se retrouver dans un cadre communautaire chaleureux.
Ceci étant une nécessité de « survie » alors que, jour après jour, les populations cèdent à un abrutissement terrifiant.
UNE ASSOCIATION ECOLOGISTE ET LOCALISTE engagée dans la « décroissance » .
La décroissance, rupture avec le productivisme, est le seul véritable modèle économique compatible avec notre culture indo-européenne ancestrale.
Cela nécessite au préalable une véritable transformation des esprits.
Fidèle à sa vocation, Terre briarde mène, depuis quelques semaines, une campagne contre l'exploitation du pétrole de schiste dans le nord de la Seine-et-Marne (en savoir plus, cliquez ici).
Pour nous rejoindre : terrebriarde@aol.fr
Téléphone 01 64 30 05 16
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lundi, 18 avril 2011
Jeudi soir : Dr Merlin se produit au Local...
12:25 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Comment les Tunisiens entrent en France
Face à l’afflux de migrants, les policiers sont débordés. A peine la moitié des clandestins arrêtés sont expulsés.
Près de 27.000 Tunisiens sont arrivés en Italie depuis le début de l’année et ont massivement transité sur l’île de Lampedusa. La plupart sont déjà ailleurs : en Italie, en Belgique, en Allemagne, et surtout en France, la destination la plus prisée. Pourtant, selon le préfet des Alpes-Maritimes, principal point d’entrée des migrants tunisiens, la frontière est parfaitement « étanche ». Une affirmation qui surprend. Les chiffres disent autre chose : au premier trimestre, les forces de l’ordre de son département ont interpellé 3.258 clandestins. Parmi eux, 1.258 ont été reconduits en Italie et 415 ont été « éloignés », c’est-à-dire renvoyés dans leur pays d’origine, généralement la Tunisie. Plus de 1.584 clandestins ont donc été remis en liberté. Rien qu’en mars, sur 2.118 interpellés, 1.019 ont pu poursuivre leur route. Le discours de fermeté du ministre de l’Intérieur, Claude Guéant, se heurte au principe de réalité : expulser ou reconduire un clandestin n’est pas si simple. Les forces de l’ordre et les juges sont confrontés à trois situations :
1. Le clandestin est arrivé directement en France : il est renvoyé vers son pays d’origine.
2. Il a transité par un pays membre de l’Union européenne (l’Italie), comme l’indique un titre de transport ou une puce de téléphone italienne : il est alors « réadmis » en Italie, quitte à ce qu’il retente sa chance dès le lendemain.
3. Il n’a aucun papier prouvant sa nationalité : il est remis en liberté après sa garde à vue avec l’obligation de quitter la France dans un délai de cinq jours.
« C’est un gruyère », affirme un policier
Sur le terrain, à Nice, Menton ou Cannes, les effectifs de police classique, ceux de la police aux frontières (PAF) et la gendarmerie, ont le sentiment, selon leur expression de « p… dans un violon ». Frédéric Guérin, secrétaire départemental du syndicat Unité SGP-police pour les Alpes-Maritimes, avance le chiffre de « centaines » de clandestins entrant en France chaque jour. « La frontière, c’est un gruyère, assure le policier. Ils arrivent dans nos locaux par paquets de 20. » Le centre de rétention administrative (CRA) de Nice, qui dispose de 38 places, sature. « La PAF des Alpes-Maritimes est à deux doigts d’exploser, poursuit Frédéric Guérin. On met en place une politique, mais on ne donne pas de moyens humains avec. Les policiers travaillent à flux tendu, la plupart des brigades sont en heures sup. »
A Menton, les deux postes frontières ont été réactivés. Celui dit « du haut » assure les « réadmissions » vers l’Italie. Des cars de CRS surveillent celui « du bas », sur la route du front de mer. Et pourtant, les clandestins passent, parfois après avoir été expulsés quelques heures plus tôt. « Avant, les policiers italiens les prenaient en charge au poste du haut, plus maintenant. Du coup, les clandestins font la boucle : ils parcourent 4 kilomètres en Italie et reviennent par le poste du bas », glisse un policier français. D’autres empruntent les anciens sentiers de contrebandiers, par la montagne ou par le bord de mer. Parfois, c’est encore plus facile. Lundi soir, à 21 heures, le poste du « bas » de Menton est ouvert à tous (notre photo). Pas un policier à l’horizon. Il y a eu des interpellations un peu plus tôt. « Quand les équipages sont mobilisés, plus personne ne fait de contrôle », reconnaît le syndicaliste.
A la petite gare de Menton-Garavan, à 1 kilomètre de la frontière italienne, ce soir-là, les trains en provenance de Vintimille sont systématiquement contrôlés. Une poignée de CRS monte à bord, d’autres dévisagent les passagers à travers les vitres, depuis les quais. Sans succès. La route est sans doute déjà périmée. Tous les jours, des patrouilles sont mobilisées plus à l’ouest dans les TGV vers Marseille, Lyon et Paris. Les clandestins, ou plutôt les passeurs, s’adaptent. Ils optent désormais pour la route et choisissent des gares éloignées de la frontière. Un véritable « jeu du chat et de la souris », résume un policier de la PAF.
Source France Soir 18 avril 2011
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Avignon : le ménage est fait...
11:20 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 17 avril 2011
Reconnaissance du génocide vendéen : une atteinte à la liberté du citoyen ?
Cette visite printanière riche en enseignements devait m’en apprendre bien plus que les manuels d’histoire. Car si au collège (niveau quatrième) puis au lycée (niveau seconde), les élèves étudient bien la Révolution française, ils ne reçoivent que des informations très superficielles au sujet des révoltes de Vendée et sur les massacres perpétrés par les révolutionnaires à l’encontre des Chouans.
A l’école, les révolutionnaires sont érigés au rang de héros dont l’action a conduit à l’abolition des privilèges de l’Ancien régime et à la rédaction de la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen. En revanche, les dérives révolutionnaires avec l’évocation de la Terreur et des répressions à l’encontre des Chouans, qualifiés de « contre-révolutionnaires », sont expédiées en quelques lignes. Et pour cause : il ne faudrait surtout pas flétrir l’image de la République, d’autant plus que la devise républicaine est inscrite sur tous les frontons des écoles de France.
Pourtant, les Chouans ont bel et bien été victimes de ce qu’il est convenu d’appeler une extermination de masse planifiée. Et le musée, riche en documents divers (iconographies, manuscrits d’époque, témoignages écrits, compte-rendu de tueries) montre bien que les massacres, essentiellement de civils, avaient été programmés et que certains révolutionnaires ne manquaient pas d’ingéniosité pour garantir à la République d’excellents rendements meurtriers tels les « mariages républicains » (nom donné aux noyades massives) et autres « colonnes infernales » (destructions et tueries massives), en plus des fusillades.
A l’issue de cette visite, je m’interroge : pourquoi une telle discrétion autour du « génocide vendéen » ? Ce qui est certain, c’est que le sujet est éminemment politique et divise. Le 21 février 2007, neuf députés français de droite (sept de l’UMP et deux du MPF de Philippe de Villiers), se fondant explicitement sur les travaux de l’historien Reynald Secher (le premier à avoir évoqué le terme de « génocide ») et de Michel Ragon, ont déposé une proposition de loi (cliquez ici) à l’Assemblée nationale visant à la « reconnaissance du génocide vendéen » de 1793-1794.
Démarche qui a aussitôt suscité la réaction de professeurs d’histoire de l’enseignement supérieur, auteurs du site Révolution Française.net, pour lesquels cette proposition de loi constitue « une atteinte à la liberté du citoyen », rien de moins ! Leur argumentaire, (cliquez ici) et dont je vous laisse juge, me semble plutôt tiré par les cheveux…
Quoi qu’il en soit , il est bien dommage de donner le dernier mot à ces pseudo « hussards noirs de la République » prêts à tout pour refouler le martyre d’une partie de la population française sur l’autel des valeurs républicaines au rang desquelles l’universalisme, qui justement méprise les identités régionales composant notre pays.
Le combat de jadis des Chouans contre la République une et indivisible ressemble à s’y méprendre au combat actuel des patriotes contre le mondialisme et son diktat d’un mode de vie et de pensée uniformes. Après tout, se montrer critique vis-à-vis des excès de la République ou des dangers du mondialisme est une marque du bon sens populaire, le peuple tenant à préserver ses libertés individuelles et se méfiant avec raison de la devise républicaine « Liberté, égalité, fraternité » au nom de laquelle sont commis bien des excès.
A l’heure où certaines minorités, concurrence mémorielle oblige, réclament haut et fort la reconnaissance des crimes perpétrés à l’encontre de leurs ancêtres et l’obtiennent (la loi Taubira sur la reconnaissance des traites et des esclavages comme crime contre l’humanité en est la parfaite illustration), on aimerait voir un vrai leader politique s’emparer de ce sujet, au nom de la défense de la vérité historique et de l’intégrité de nos régions. En espérant qu’un jour cet épisode dramatique ne soit plus cantonné dans les tréfonds de l’Histoire de France et négligé des manuels scolaires…
Source cliquez ici
12:49 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L'intervention d'Annick Martin au colloque de Synthèse nationale, samedi 9 avril à Paris...
Les dirigeants politiques qui se sont succédé après la seconde guerre mondiale ont eu un objectif commun : soumettre la démographie au monde économique. Et pour ce faire, ils ont choisi la pire des solutions : la mise en oeuvre d'un flot ininterrompu d'immigration en provenance du continent africain principalement, en ce qui concerne la France.
Le choix d'une politique démographique
Ils ont choisi l'immigration alors qu'ils auraient pu choisir de relancer la natalité par une politique familiale au profit des familles françaises et européennes. Ce choix n'est pas neutre. Au-delà de l'aspect purement arithmétique dès phénomènes démographiques, les individus ne sont pas interchangeables d'une civilisation à l'autre et le danger de disparition menace les peuples européens, s'ils ne renouvellent pas eux-mêmes leurs générations et acceptent que cette mission soit accomplie par des populations non européennes, dont l'indice de fécondité sur notre sol dépasse largement trois enfants par femme.
Le choix de substituer les peuples européens est un choix délibéré qui s'opère au bénéfice de nos concurrents mondiaux. On peut d'ailleurs observer que l'immigration en provenance de pays moins développés est en véritable surchauffe depuis la chute du mur de Berlin et l'organisation de la mondialisation par la puissance américaine.
En ce qui concerne la France, ce qui n'était au départ qu'un levier en faveur de certains secteurs économiques est devenu un moyen d'écraser les Français qui auraient la volonté de relever la tête et de prendre en main leur destin.
Dans cette évolution mortifère, une étape majeure a été franchie en 1976 avec la décision de Giscard et Chirac, de donner un coup d'accélérateur à l'immigration majoritairement africaine, en instaurant ce qu'on appelle le '' regroupement familial ''. On peut fixer à ce moment le début de la politique d'immigration massive. En effet, il est clair que ce phénomène démographique qui menace lourdement notre société dans son identité, dans ses valeurs de civilisation, je dirais dans son âme, ce phénomène n'aurait pas pris les proportions qu'il a prises, sans cette décision. Aujourd'hui encore, le plus gros contingent de primo-arrivants, se fait par ce biais.
Avec le regroupement familial, nous assistons à l'organisation d'une substitution de population tout à fait insidieuse, d'une invasion irrépressible qui se fait par la seule force du nombre, avec l'appui du nouveau code de la nationalité qui veut que toute personne née sur le territoire français ait droit à la nationalité française.
Signalons aussi que l'Union Européenne a repris à son compte le décret sur le regroupement familial dans une directive de 2003 (2003/86/CE) qui préconise que '' l'état doit permettre à un étranger séjournant sur le territoire national de faire venir son conjoint et ses enfants mineurs dans les deux ans qui suivent son arrivée ''.
L'immigration au service des marchands
Au départ, l'instauration des mouvements migratoires étaient censés dépanner l'industrie en manque de main-d'oeuvre.
Jusqu'au XIXème siècle en Europe et particulièrement en France, une population abondante avait fait notre puissance, puisqu'il fallait des soldats pour les combats et que les invasions de l'époque se faisaient à coup d'épée puis de mousquets et pas encore au titre du regroupement familial... et que, par ailleurs, il fallait des bras pour assurer l'économie de subsistance.
A la fin du XIXème siècle on a commencé à avoir besoin d'ouvriers pour les usines, mais la France restant un territoire très rural, son industrialisation s'est faite progressivement et n'a pas provoqué de grande migration comme cela s'est produit en Angleterre.
C'est au XXe siècle qu'a eu lieu la grande mutation industrielle. C'est donc logiquement au cours de ce siècle que les besoins d'une nouvelle main-d'oeuvre se sont fait sentir.
La production industrielle est directement liée à 2 grands facteurs : le capital (les investissements) et la main d'oeuvre (la population active). Dans la stratégie qui consiste à satisfaire les besoins industriels de main d'oeuvre, l'immigration est devenu un élément clé par son volume et par son bas coût. Cela s'est fait par étapes, mais d'une façon exponentielle.
Dans les années 50 à 70, la part de la population active étant insuffisante pour les besoins de l'industrie renaissante, dans un premier temps, on a favorisé l'exode rural. Aucun effort n'a été fait pour conserver la population dans les campagnes. Au contraire, on a pratiqué une politique de déracinement et de préférence aux grandes exploitations agricoles, qui a conduit à la désertification. Dans un premier temps, les besoins de main d'oeuvre ont donc été comblés par une population non qualifiée et encore peu payée, par rapport à une classe ouvrière constituée dans les années 30, mieux formée et légitimement plus exigeante. L'ex-ouvrier agricole venait concurrencer l'ouvrier professionnel en place, tirant, déjà, les salaires à la baisse.
Lorsque cette source s'est tarie, on a fait appel aux femmes, autre catégorie de main d'oeuvre peu exigeante. Peu à peu s'est installée une nécessité : celle du salaire féminin venant compléter le salaire de l'homme que, du coup, on pouvait tempérer. Petit à petit il a fallu 2 salaires au lieu d'un pour vivre. Sans le salaire de la femme, il n'y avait souvent ni confort, ni vacances, ni voiture... Le prix démographique à payer a été lourd, puisqu'il a fallu choisir : travailler - souvent pour un salaire vraiment médiocre - ou faire des enfants... La société de consommation et S. Veil ont fait le nécessaire pour que les femmes à leur tour soient happées par les besoins d'une production toujours croissante, mais de moins en moins généreuse avec ses ouvriers.
Mais l'appétit de bénéfices étant sans limites, pour contracter encore les coûts, on a fait appel à l'immigration, grâce à la collusion entre le pouvoir politique et le pouvoir économique. En comparaison avec un salarié français, un immigré fraîchement débarqué est toujours meilleur marché et moins revendicateur. C'est pourquoi le système économique réclame toujours plus d'immigrés. Il fait son profit sur un flux qui doit être toujours renouvelé. Et peu importe le taux de chômage...
On aurait pu penser qu'on était arrivé au bout des possiblités de diminution des coûts en matière de main d'oeuvre. Et bien non !
Depuis les années 90, une nouvelle vague de populations importées vient concurrencer très efficacement les immigrés légaux, ce sont les150 à 200000 clandestins, qui par leur situation acceptent n'importe quelles conditions de travail jusqu'à l'obtention de leur régularisation.
Tant que la France était un pays riche, et qu'elle pouvait se permettre d'indemniser largement les Français laissés sur le carreau, les problèmes d'immigration restaient au deuxième plan. Tout le monde y trouvait son compte. Au point que lors de la récession des années 80, la nécessaire diminution des besoins en main-d'oeuvre a été très habilement maquillée par Mitterrand, au moyen de mesures de surcroit très populaires. La réalité était que l'industrie n'avait plus besoin d'autant d'employés, au lieu de renvoyer chez eux les immigrés surnuméraires, on a habillé la crise en progrès social. On se souvient du '' partage du travail '', de la diminution de l'âge des retraites, de l'augmentation du nombre de fonctionnaires, de l'augmentation des congés payés, de la diminution de la durée du travail. Autant de mesures qui, en fait, ont servi à masquer une sorte de chômage technique généralisé, mais qui ont ralenti, voire bloqué, l'évolution des salaires. Donc les mesures pour s'adapter à la situation économique nouvelle ont été prises et on a aménagé, certes de façon très discutable, la contraction de la main d'oeuvre.
Donc au plan économique on sait et on peut inverser une tendance assez rapidement. En revanche, on n'inverse pas les facteurs démographiques du jour au lendemain... surtout si on n'en a pas envie. D'autant qu'en matière de démographie, l'unité de mesure pour les populations installées c'est la génération, c'est-à-dire 30 ans !
Parler d'immigration : un tabou
C'est pourquoi, au fil des ans, il est devenu de plus en plus difficile de parler de l'immigration et corrélativement de l'effondrement démographique français et plus globalement européen.
En ces temps où mondialisme est synonyme de modernité, c'est prendre le risque d'être taxé de ringard(e), d'imbécile ou de paranoïaque, lorsqu'on prétend mettre en cause le dogme absolu de la bienfaisance de l'immigration.
'' L'immigration c'est bien ''. Et qui conteste cet axiome doit le faire avec la plus grande prudence. Eric Zemmour vient d'en faire l'expérience ; en matière d'immigration, les vérités ne sont jamais bonnes à dire.
La politique migratoire fait l'objet d'un véritable secret statistique et administratif. Les études sont volontairement tronquées, les enquêtes démographiques ne permettent pas de connaître l'origine des populations et les interprétations des rares chiffres qui sont portés à notre connaissance sont tout à fait fallacieuses.
Ainsi nous sommes dans une situation paradoxale, alors que nous sommes abreuvés de sondages qui observent jusqu'à nos moindres faits et gestes, qui dissèquent notre manière de penser et de consommer, nous ne savons rien - du moins officiellement - sur les populations immigrées. Il est urgent de faire un véritable inventaire démographique. Comme lors de son arrivée au pouvoir la gauche avait fait un inventaire économique, je suggère qu'à son arrivée, le prochain ou la prochaine président(e) de la république, procède à cet inventaire démographique.
Depuis la pratique du regroupement familial et l'application du nouveau code de la nationalité, et compte tenu également du nombre effréné de naturalisations (+ 16,8 % en 2010) à un rythme moyen de 12 000 par mois depuis 10 ans, l'implantation immigrée est tellement explosive qu'il n'est pas facile d'être exhaustif.
Malgré l'omerta statistique, l'explosion des minorités visibles est corroborée par les rares chiffres dont nous disposons. Encore faut-il les trouver et les lire avec attention et un minimum d'esprit critique.
Ainsi, alors que le chiffre de la population française est vraisemblable (63 millions d'habitants en métropole et 1 900 000 dans les DOM), l'INSEE nous annonce un taux d'immigrés de 8,3 %. Ce résultat (5,2 millions) paraît faible en regard du nombre d'immigrés musulmans revendiqué par les constructeurs de mosquées.
Il faut signaler aux amateurs de calcul, que les vérifications sont difficiles. En effet la consultation du site de l'INSEE est édifiante. En ce qui concerne les flux d'immigration permanente, l'INSEE a bloqué les compteurs en 2005 au chiffre de 135 395 pour cette année. Concernant le recensement des familles d'immigrés selon le pays d'origine, les derniers chiffres datent de 1999. Quant à la rubrique '' immigrés selon le pays d'origine '', elle comporte la mention '' tableau introuvable '' !
Concernant les naissances, sur les 800 000 naissances annuelles, 20 % sont des petits Français nés d'au moins un parent étranger (dont 7% de 2 parents étrangers). Notre population croissant de 346 000 individus / an, 57 % de l'accroissement démographique est donc le fait de l'immigration.
Les travaux de Gérard-François Dumont (in : Population & Avenir, n° 681 de janvier 2007) ont permis d'évaluer quelle est la contribution des femmes selon leur origine : la fécondité des femmes françaises (y compris celles qui ont la nationalité française mais sont d'origine immigrée) est de 1,79. Celle des femmes maghrébines est de 3,25, celle des africaines de 4,04, celle des turques de 3,35 et celle des asiatiques de 2,83.
La forte fécondité de ces femmes témoigne de leur satisfaction de se trouver en France et de pouvoir y bénéficier d'avantages médicaux et sociaux incomparables.
Certes la fécondité de la 2ème génération d'immigrées rejoint celle des françaises, mais elles sont remplacées par d'autres arrivantes.
Au total, on évalue à 0,2 la part de l'indice synthétique de fécondité liée aux populations récemment arrivées en France.
Ce qui ramène la contribution nationale à 1,73. Soit au même niveau que la Suède, par exemple.
Pourquoi escamote-t-on la réalité ? Pourquoi faut-il cacher aux Français la vérité lorsqu'on parle d'immigration ?
Parce qu'il y a une volonté d'installer définitivement des populations non-européennes sur notre terre, volonté qui s'est concrétisée par la réforme du code de la nationalité dont les pouvoirs économiques locaux n'ont strictement rien à faire. C'est la raison pour laquelle nous ne pouvons nous contenter des raisons strictement économiques pour expliquer cet acharnement à nous imposer ce phénomène qui représente une charge pour la nation, un grave danger pour nos valeurs de civilisation européenne et à terme pour notre existence même.
Il y a une volonté politique d'affaiblir l'Europe en l'obligeant à prendre en charge sur son sol une partie de la population africaine. Ce n'est pas une vue de l'esprit. En disant cela je ne fais que rappeler ce qui a été préconisé par l'ONU en 2000. L'ONU prévoyait de doubler la population européenne tous les 40 ans et d'implanter 160 millions d'immigrés supplémentaires en Europe à échéance 2025, soit 24 millions pour la France. Cela dans le but de corriger le vieillissement des populations européennes.
Certes il faut lutter contre le vieillissement de la population et la dépression démographique. Mais pourquoi le recours à l'immigration est-il la seule solution proposée. Pourquoi n'évoque-t-on pas la solution nataliste ?
Pourquoi choisir la solution qui anéantit tout espoir d'une Europe puissante et indépendante ? Pourquoi choisir la solution qui nous affaiblit face à la concurrence américaine ?
Nous savons, nous, il y a une autre politique possible que celle qui est mise en musique par nos dirigeants depuis des décennies. Une autre politique que cette politique qui nous est infligée mesure après mesure.
En effet, la population française et européenne est conditionnée, façonnée, préparée à laisser sa place à des populations immigrées moins développées, imposant peu à peu leurs propres modes de vie, coutumes et religion, mais combien plus malléables !
Tous les moyens sont bons pour nous imposer cette forme de colonisation à rebours, qui doit éliminer un continent et une civilisation du partage du pouvoir mondial. En résumé, par l'immigration qui est une véritable arme de destruction massive, il s'agit d'éliminer les Européens.
Pour ce faire, le peuple français subit un véritable bourrage de crâne depuis des décennies. Souvenez-vous... l'immigration a été successivement :
- une chance pour la France,
- un nécessaire apport de main d'oeuvre pour faire '' ce que les Français ne veulent PLUS faire '',
- les '' jeunes '' chez lesquels le taux de chômage avoisine les 35% allaient payer nos retraites,
- les immigrés rapportent plus qu'ils ne coûtent,
autant de mensonges éhontés :
- les prisons abritent 80 % de '' chances '',
- les Français veulent bien faire n'importe quel travail, mais ils veulent être payés décemment et en ont assez de faire l'aumône,
- quant à nos retraites, dans le système actuel, elles ne risquent pas d'être payés par des chômeurs ou des allocataires chroniques,
- enfin dire que l'immigration rapporte est un mensonge éhonté. Tout récemment un ancien expert du FMI (M. Pince) a démontré que l'immigration coûte plus de 50 milliards Euros/an.
On nous a servi la propagande pseudo-humanitaire la plus éculée.
Pour justifier le regroupement familial, nous étions des monstres qui séparaient les pères de leur(s) femme(s) et enfants. Sarkozy a du reste invoqué les mêmes mânes familiales pour supprimer la double peine.
Mais la réticence des Français croissant proportionnellement au nombre d'immigrés s'installant chez nous, une opération de culpabilisation de grande envergure a été menée ces dernières années : colonisation, tirailleurs sénégalais morts en 14-18, repentance à l'égard de l'esclavage... j'en oublie certainement, rien ne nous est épargné...
Le peuple français est soumis à un triple conditionnement : culpabilisation, compassion et même tentative de séduction : les charmes de la '' diversité '' ont succédé aux délices de la mixité... mais attention, le bâton n'est jamais loin, la discrimination ne peut être que positive et refuser l'immigration c'est forcément être raciste. On a crée la Halde !
Mais malgré ce '' pilonnage '', il arrive un moment où la propagande se heurte au mur de la réalité. Et nous assistons à une radicalisation de l'opinion qui s'est traduite récemment dans les urnes.
Voilà où nous en sommes.
L'assimilation a échoué.
L'intégration a échoué.
La mixité ethnique est une illusion et se développe le communautarisme qui débouche sur les conflits et la violence, entre communautés d'abord, puis avec les institutions du pays d'accueil. C'est pourquoi le communautarisme qui séduit parfois les Français européens qui espèrent trouver là une solution de repli pour eux-mêmes, n'est pas une bonne réponse à la menace qui pèse sur notre civilisation.
Il n'y a qu'une politique possible en l'état. C'est la politique du retour. Il faut non seulement stopper mais inverser les flux migratoires en provenance des rives sud et est de la Méditerranée et de l'Asie afin de préserver notre identité. '' Organiser le retour des immigrés non européens chez eux, c'est impossible, c'est trop tard... '' Ce sont les propos tenus par les timorés qui regardent disparaître la France avec chagrin, mais sans rien faire. Rien n'est plus faux. Quelques mesures législatives de bon sens sont à prendre :
- mettre un terme au droit du sol
- abroger le décret autorisant le regroupement familial
- restaurer l'éloignement des étrangers délinquants
- rendre au droit d'asile sa spécificité politique
- impliquer la préférence française et européenne concernant les emplois, les logements, les allocations familiales, le RSA, la CMU
- supprimer l'AME, chef-d'oeuvre d'incohérence politique.
En effet, l'appartenance à la communauté nationale engendre des devoirs et procure des droits et des avantages, qui, par définition ne sont pas accordés à d'autres communautés.
Commençons par compter les immigrés et qui sont illégalement sur notre territoire ou qui contreviennent gravement à la loi : on compte au bas mot 600 000 clandestins, 300 000 personnes appartenant à des familles polygames, plus de 40 000 incarcérés étrangers ou d'origine étrangère, sans compter tous les délinquants récidivistes parfaitement identifiés ('' connus des services de police '') qui alimentent les faits divers. Sans parler des activistes islamistes... On dépasse très largement le million de personnes qui doivent être reconduits à la frontière sans délai.
Commençons par là.
Concernant les immigrés chômeurs en fin de droits, organisons ensuite leur retour humainement.
Tout cela est possible, la preuve : si 250 000 personnes peuvent passer plus ou moins clandestinement la frontière dans un sens chaque année, on imagine mal qu'un gouvernement ne puisse organiser un retour à hauteur de 250 000 personnes par an dans l'autre sens.
Mais surtout nous devons reconquérir notre territoire par une natalité dynamique et une vraie politique d'aide aux familles françaises et européennes. Mais pour être efficace, une politique familiale doit tenir compte du désir des jeunes couples de bénéficier d'une qualité de vie comparable à celle des aînés ; et en particulier du désir pour la femme de conserver une activité hors du foyer. Mais ce n'est pas le sujet de ce séminaire.
La démographie est un secteur plus stratégique encore que celui de l'énergie. On ne s'achète pas un nouveau peuple comme on s'achète des barils de pétrole et l'importation de millions d'immigrés équivaut à un suicide.
Comme il y a une guerre économique, il y a une guerre démographique. Mener ce combat, résister à l'immigration, défendre notre civilisation et notre identité n'est certainement pas un combat d'arrière-garde. Ce combat n'est pas perdu d'avance, si nous avons l'audace de balayer la classe politique qui nous mène à notre perte. Il faut renoncer au palliatif inadapté qu'est l'immigration et oser faire de la natalité une priorité nationale et européenne.
À nous de trouver en France et en Europe, les nouveaux dirigeants qui auront à coeur de défendre nos identités et de faire de l'Europe une puissance mondiale.
Les interventions faites au cours de ce colloque seront publiées dans le prochain numéro de Synthèse nationale.
12:43 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La manifestation contre l'expo blasphématoire à Avignon :
A Avignon, "Piss Christ", l'oeuvre d'Andres Serrano exposée à la Collection Lambert alimente plus que jamais la polémique qui a commencé il y a une dizaine de jours.
Samedi après-midi, plus de 1500 personnes se sont rassemblées devant le musée d'art contemporain pour demander le retrait de cette photo qui représente un crucifix dans un verre d'urine à l'appel de diverses associations et sites catholiques (institut civitas, catholiques en campagne, e-deo, salon beige, observatoire de la christianophobie, etc.).
L'abbé Régis de Cacqueray, de la Fraternité sacerdotale Saint Pie X a exhorté les fidèles à dire un chapelet de réparation.
Devant les portes fermées du musée et sous le regard des policiers et de la petite dizaine de contre-manifestants de la Ligue des droits de l'homme.
Source Civitas cliquez ici
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samedi, 16 avril 2011
Les cons, ça ose tout. C'est même à cela qu'on les reconnait...
Le maire PRG (radicaux de gauche) de Carrière-sous-Poissy (Yvelines), Eddie Aït, a avancé au 11 avril la traditionnelle chasse aux oeufs dans sa ville, habituellement prévue le jour de Pâques (lundi 25). « Je ne voulais pas associer cet événement au fait religieux. J’ai donc décidé de dissocier les deux dates. » Sur les affiches annonçant l’événement, juste « chasse aux oeufs ». Et le repas de Noël à la saint Glinglin ?
Source : la remarquable revue hebdomadaire de presse du Journal du Chaos. Pour la recevoir gratuitement, c'est simple, faites la demande à : lejournalduchaos@gmail.com
16:29 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L'affaire du Christ d'Avignon : la résistance s'organise. Manif ce samedi après-midi à Avignon (15 h 00, Place du Palais des Papes)...
Un Christ plongé dans l’urine financé par une mairie UMP, un conseil régional PS, un ministère du gouvernement Sarkozy et LVMH.
En France, le Ministère de la culture du gouvernement Sarkozy, une mairie UMP et un conseil régional PS financent actuellement une exposition appelée «je crois aux miracles» organisée autour de la photo d’un Christ plongé dans l’urine. Des affiches de cette photo blasphématoire, appelée «Piss Christ», sont exposées publiquement en pleine rue d’Avignon.
Le groupe LVMH (Dior, Guerlain, Moët, Hennessy etc.), dirigé par Bernard Arnauld, cofinance ce "Piss Christ" et met son logo sur l'affiche, alors que ce même groupe LVMH se définit sur son site internet, comme « l’ambassadeur de l’art de vivre occidental dans ce qu’il a de plus raffiné » !!! (NB: On comprend pourquoi la société Hermès s'est récemment battue pour ne surtout pas être engloutie dans ce groupe.)
Les actionnaires et clients apprécieront de voir ce que LVMH fait de leur argent.
Enfin quelques sponsors secondaires (non présents sur les affiches) participent au blasphème comme la SNCF ou la Fondation CARTIER.
Aux Etats-Unis, puis en Australie, cette photo blasphématoire réalisée en 1987 a été bannie. Le gouvernement Sarkozy, la mairie UMP, le conseil général PS et LVMH, eux, en font tranquillement la promotion dans l’ancienne cité des papes. L’œuvre y est installée dans un des plus beaux hôtels particuliers de la ville, devenu une sorte de temple du blasphème.
Devant ces faits inacceptables, les chrétiens mais aussi toutes les personnes honnêtes refusant ces actes discriminatoires et provocants, exigent des autorités et dirigeants impliqués les mesures immédiates suivantes :
- Faire retirer la photo blasphématoire de cette exposition et interdire toute présentation publique en France, en raison de son caractère provoquant et discriminatoire envers les chrétiens.
- Faire enlever et détruire tous les supports de communication utilisant cette photo (affiches, panneaux municipaux, brochures etc.)
- Faire stopper tout financement public et privé de cette exposition (près d'un million d’euros par an prévus pour une nouvelle période de 10 ans !!! dont une grande partie par le contribuable).
Signé : La communauté des chrétiens de France
Plus d'informations : Civitas cliquez ici
Lire aussi l'article de Robert Spieler dans Rivarol de cette semaine sur ce sujet.
12:43 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dimanche soir sur RBN Méridien zéro :
12:22 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Du grand Gofman jeudi soir sur France 3...
Patrick Gofman, auteur du roman Vengeances de femmes (éditions Fol'fer) était jeudi soir invité à l'émission de Frédéric Taddei.
Une certaine Yael Mellul était venue prêcher l’abolition du “plus vieux métier du monde". Ses moyens ? Ceux que préconise Roselyne Bachelot. Réprimer les clients, et expliquer aux prostituées qu’elles sont aliénées ! Les proxénètes ? Pas un mot !
Pas de chance pour cette féministe hargneuse : elle tombe d’abord sur une femme épanouie, puis sur Me Vergès, et enfin sur Gofman ! Faites chauffer la colle !
12:09 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 15 avril 2011
Aidons la Côte d'Ivoire : rendons lui ses émigrés...
Par Yves Darchicourt
On a pu entendre hier soir sur RTL, un extrait de la conférence de presse donnée le jour même par Alassane Ouattara au cours de laquelle il s'était exclamé "nous demandons à tous ceux qui sont partis de revenir".
L'espace d'un instant, on a pu croire que le "monsieur à la licorne" souhaitait ardemment le retour au pays des dizaines de milliers d'Ivoirien(nes) partis pour toucher beaucoup plus en France à ne rien faire que chez eux en travaillant. Hélas non, ces propos s'adressaient aux résidents étrangers - en grande partie des Français(es) - ayant quitté la Côte d'Ivoire pendant la guerre tribale parce que craignant à juste titre pour leur vie.
Les immigrés ivoiriens installés en France ne sont donc pas concernés par ce pathétique appel. Ils seraient pourtant quelques 50 000 à résider chez nous officiellement, entre 80 et 120 000 en tenant compte de la masse fluctuante des clandestins. Selon les dogmes établis, ils doivent être considérés comme autant de "chances pour la France", une France à laquelle ils apporteraient ainsi leur intrinsèque valeur.
Dès lors, on se demande bien pourquoi Sarközy ne restitue pas cette manne providentielle à Ouattara pour contribuer au redressement de la Côte d'Ivoire. Voilà qui représenterait bien plus que les 400 malheureux millions d'euros d'aide directe que Christine Lagarde va se faire un plaisir de trouver dans le budget national. Les immigrés rentreraient travailler au pays, les 400 millions€ versés par les contribuables français serviraient aux français(es) et tout le monde serait content !
Source cliquez ici
18:31 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le reportage sur la cérémonie des Bobards d'or 2011 présidée par Jean-Yves Le Gallou...
18:20 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Vendredi, c'est le jour de Rivarol !
Chez votre marchand de journaux 3,50 €
Sommaire et abonnement cliquez ici
Avez-vous pensé à réserver votre place pour le grand banquet du 3 000ème numéro de Rivarol le samedi 21 mai ?
11:28 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 14 avril 2011
FLASH TOUJOURS DEBOUT !
Un message de notre confrère (et ami) Nicolas Gauthier, directeur de Flash :
La rumeur est assassine et le téléphone arabe jamais en dérangement, surtout sur Internet. Ainsi donc, le journal Flash serait donné pour mort ou sur le point de l’être…
Non, Flash est bien vivant et poursuit son développement.
Alain Soral, l’un de nos chroniqueurs vedettes, nous a quittés pour des raisons ne regardant que lui. Ainsi va la vie, celle des familles comme des journaux.
C’est donc au nom de toute l’équipe, plus soudée que jamais, Alain de Benoist, Philippe Randa, Christian Bouchet, Topoline, Pinatel, Pierre Le Vigan, Béatrice Péreire, Arnaud Guyot-Jeannin, Clovis Casadue et tous les autres, que je vous confirme la détermination de tous.
Il y a bientôt trois ans, nous avons lancé Flash, nouveau venu de la presse alternative, qui s’adresse aux patriotes de droite comme de gauche. Rigoureusement indépendants des partis politiques, indifférents aux querelles de chapelles et à des clivages politiques dépassés depuis longtemps, nous continuons notre chemin afin de révéler à nos lecteurs ce que les grands médias s’acharnent à leur cacher.
S’il vous plaît, transmettez ce message à tous vos proches, afin que tous sachent que Flash continue de paraître tous les 15 jours et poursuit son combat !
Nous gagnons chaque jour de nouveaux lecteurs, de nouveaux abonnés.
Si ce n’est déjà fait, j’espère que vous en ferez bientôt partie. Pour être accessible au plus grand nombre, nous avons fixé le prix à 50 euros pour l’année, soit même pas un euro par semaine, à peine le prix d’un café au comptoir…
Pour vous abonner, rien de plus simple : notre site www.flashmagazine.fr, sur lequel il est aussi possible de télécharger les anciens numéros.
Merci et à très bientôt, pour le prochain numéro de Flash !
Flash cliquez ici
17:09 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La sauvagerie comme voisine de palier...
Par Thomas Joly
Secrétaire général du
Parti de la France
La sanglante actualité en Côte d'Ivoire, où ennemis tribaux se massacrent joyeusement les uns les autres avec une frénésie toute primitive, et l'arrivée massive de pseudo-réfugiés du Maghreb, prédateurs sociaux en puissance, m'amène à l'inquiétante réflexion suivante :
Ce sont donc ces gens hautement civilisés que l'on laisse entrer en France depuis des décennies, à qui nos gouvernants offrent, avec l'argent de nos impôts, logements, soins, éducation, allocations diverses et variées, nationalité française, passe-droits, etc ?
C'est donc avec des Tunisiens qui balancent en pleine mer les femmes par-dessus bord pour délester leurs embarcations de fortune qui leur servent à débarquer à Lampedusa, des Ivoiriens qui brûlent vifs leurs voisins par haine ethnique ancestrale, des pillards Lybiens, des étêteurs Rwandais, des égorgeurs algériens du FLN, que les Français sont sommés de « vivre ensemble » ?
Car il est évident que les gouvernants africains ne retiennent pas, bien au contraire, la racaille de leur pays, trop content de s'en débarrasser. Ce qui fait qu'une bonne part des "migrants" dont nous héritons - sans que l'on nous ait jamais demandé notre avis - ne font pas partie du haut du panier, loin de là.
Voici donc quel genre de voisins de palier le smicard français peut côtoyer dans son HLM.
Peut-on alors encore s'étonner de la sur-représentativité des "personnes issues de la diversité" (pour causer en novlangue) dans les prisons françaises ?
Et que se passera-t-il pour les petits blancs que nous sommes quand, comme le prédit sombrement Roger Holeindre, les collabos de l'invasion qui nous gouvernent « en arriveront à armer les banlieues communautaristes pour sauver leurs valeurs de la République » ? Quel sort nous sera réservé lorsque, unis par la haine du pays d'accueil et par la même religion conquérante et belliqueuse, les nouveaux occupants seront majoritaires (ce qui, au rythme actuel de colonisation de notre pays, ne saurait tarder) ? Posons la question à nos compatriotes pieds-noirs rapatriés, je pense qu'ils ont une petite idée du traitement qui nous sera appliqué...
Il appartient à nous tous de réagir avant que ce triste présage ne se réalise, avant que le chaos ne s'installe et que les barbares ne balayent notre civilisation en phase de décadence avancée. Rien n'est perdu si notre peuple retrouve sa fierté, son courage et son identité face aux dangers mortels qui le guettent. A nous de lui servir d'éclaireurs.
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15:22 Publié dans Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Gofman chez Taddei ce soir...
Notre ami et collaborateur à la revue Synthèse nationale, l'écrivain Patrick Gofman sera ce soir 14 avril à 22 h 45 à l'émission "Ce soir ou jamais" de Frédéric Taddei, sur France 3, pour son livre Vengeances de femmes édité chez Fol'fer.
15:14 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les planches pourries du radicalisme...
Par Jean-Gilles Malliarakis
L'annonce de la candidature hypothétique de Jean-Louis Borloo président des radicaux valoisiens a manifestement réjoui certains journaux monopolistes régionaux. L'Est républicain de Nancy semble le soutenir. Et La Nouvelle république de Tours titrait fièrement le 8 avril "Paré pour 2012" avec en première page la photo du grand homme. Quant à la Dépêche de Toulouse, favorable aux radicaux de gauche, elle se montre plus réservée. La nouvelle phare qui réjouit sa rédaction correspond à une défection au sein du parti gouvernemental : "Après Jean-Louis Borloo, Rama Yade quitte l'UMP". Bigre. "Je suis le chemin emprunté par Jean-Louis, et j'invite d'ailleurs tous ceux qui sont en quête du même chemin d'espérance à le faire. Je fais comme lui, je suis solidaire et déterminée comme lui", avait déclaré en effet le matin même l'ex-secrétaire d'État.
De telles péripéties n'ont guère influencé la bourse de Tokyo, comme on peut l'imaginer aisément. L'électorat radical socialiste représente encore en France un bon 2 % des voix. Ceci pourrait jouer un rôle charnière certes, et les intéressés ne manquent pas de le faire valoir.
Offre soumise à condition, toutefois : il faut que l'unanimité des 2 % d'électeurs radicaux se portent sur le même candidat et votent au second tour selon ses recommandations. Pas gagné pour l'instant.
En 2007, le candidat se réclamant de la droite avait obtenu 53 % : un score beaucoup trop élevé au gré des manipulateurs classiques. À partir de 2008, tout a été fait, y compris par le chef de l'État lui-même, pour éroder la popularité de ce que les adversaires du Second empire appelaient déjà le pouvoir personnel.
Mme Yade ne manque pas de talent. Quand elle s'affirme "déterminée comme lui" nous pouvons d'autant plus la croire que la détermination des radicaux socialistes, dans leur longue histoire, au travers de leur 108 congrès n'a jamais strictement rien valu.
M. Borloo gère, en vrai professionnel, un magasin de planches pourries. On peut lui faire confiance pour contourner tout engagement auquel ses interlocuteurs auraient cru. On l'a vu, encore une fois, lors des négociations appelées ridiculement "grenelle de l'environnement".
Dans la période actuelle cette attitude typique des radicaux socialistes tient du vaudeville. Elle donne à rire.
Dans certaines circonstances, en revanche, elle a produit les effets les plus désastreux.
Ainsi, en 1940 la France fut essentiellement vaincue par la supériorité aérienne allemande, elle disposait "d'avions vieillots comme le Potez 25 à côté de chasseurs modernes comme le Morane 406. [Or] (…) avant la guerre on surestimait communément, en Allemagne aussi la force de l'aviation française. Personne n'aurait pu prévoir que l'aviation française jouerait un rôle aussi insignifiant. C'est aujourd'hui encore une énigme de savoir pourquoi il n'a pas été possible aux Français, au moins pendant les huit mois de la drôle de guerre, d'augmenter la capacité de production de leur industrie aéronautique." (3)
La clef du mystère ainsi évoqué tient à la bonne vieille tradition des radicaux socialistes : de 1936 à 1940, deux ministres de l'Air se sont succédé : Pierre Cot, qui recevra plus tard le prix Staline de la Paix, puis de janvier 1938 à mai 1940, Guy La Chambre, tous deux membres à l'époque de ce cher parti "républicain radical et radical socialiste" (nom officiel des radicaux valoisiens).
À celui-ci appartenait également Daladier, président du conseil, dont le protégé politique, le général Gamelin, dirigea si brillamment l'armée française.
Au lendemain de Munich, dès octobre 1938, la Grande Bretagne commença à préparer la guerre. De ce jour l'industrie britannique programma la fabrication de 450 avions de chasse par mois, ce qui permit à la RAF de gagner contre la Luftwaffe la Bataille d'Angleterre de l'été 1940. Dans le même temps il fut demandé aux Français un effort à hauteur de 250 avions par mois : ils ne les fabriquèrent pas. Pourquoi ?
Les politiciens radicaux socialistes avaient promis. Et ils ne tinrent pas leur promesse.
On pourrait, hélas, multiplier les exemples.
Je ne manquerai pas d'en donner quelques-uns en évoquant (4) de cette étrange période où Staline s'allia à Hitler mais où la France des radicaux socialistes croyait à l'alliance franco-soviétique inaugurée par le pacte de non agression négocié par Herriot dès novembre 1932, continuée par le traité signé par Laval en 1935 etc…
Notes
1 - cf. La Dépêche du 8 avril 2011.
2 - sur RMC et BFM-TV
3 - cf. Revue d'Histoire de la seconde guerre mondiale N°22 avril 1956 p. 90
4 - Dans "l'Alliance Staline Hitler" à paraître le 10 mai 2011
09:59 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 13 avril 2011
Revue de presse : Sophia Aram, les « gros cons » du FN… et la maman escroc ?
Retour de flamme pour l’humoriste « engagée » Sophia Aram, qui a récemment traité les électeurs du FN de « gros cons » avant de leur faire une leçon de morale républicaine. Sa mère, Khadija Aram, est soupçonnée d’avoir escroqué des clandestins alors qu’elle était adjointe au maire de Trappes !
L’arrogance moralisatrice de certaines bonnes âmes de gauche se prend de temps à autre la réalité en pleine face. Et ça fait du bien…
Si la France avait découvert avec Bertrand Cantat que certains champions de l’anti-racisme étaient de pires salauds que les électeurs du Front National, l’affaire Aram nous ramène à cette froide réalité.
C’est bien beau de professer la morale sur les ondes d’une radio et de faire le tri entre les bons citoyens et les méchants fachos, mais la vraie morale s’applique et ne se professe pas hypocritement.
L’affaire Aram concerne la mère de Sophia Aram, que la justice soupçonne d’avoir soutiré la somme rondelette de 31’500 euros à des clandestins lorsqu’elle était élue de la République en leur faisant croire qu’elle pourrait leur « acheter » des titres de séjour.
Devant les menaces des clandestins escroqués, Khadija Karam serait allé plus loin en tentant de les rembourser avec un chéquier d’une association dont elle est présidente ! Des faits d’escroquerie gravissimes s’ils venaient à être confirmés.
On verra bien comment se comportera Sophia Aram dans les jours et les semaines à venir et si elle mettra la même fougue à dénoncer ce crime, qui reconnaissons le serait bien plus odieux que de glisser un bulletin Marine Le Pen dans une urne !!!
Source 24heures/actu.com cliquez ici
21:10 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L'arabe en France : c'est bien une langue étrangère, Monsieur Mitterrand...
Dans l'éditorial de présentation, écrit par Frédéric Mitterrand, ministre de la culture et de la communication, on lit que "...l'arabe ne saurait être considéré comme une langue étrangère en France...". On y lit aussi que cette langue comprend chez nous "plusieurs millions de locuteurs", ce qui est un aveu de l'importance dramatique prise chez nous par l'immigration en provenance d'Afrique du nord.
Qu'un ministre de la culture ose faire ces remarques met en évidence, une fois de plus, la trahison perpétrée depuis des décennies par nos dirigeants et autorités diverses, qui n'ont rien à faire de notre identité. Une fois encore, c'est l'islamisation de notre pays qui est appelée, puisque l'arabe est la (seule) langue du Coran...
Il faut combattre sans relâche ces hommes politiques qui sont en vérité les fossoyeurs de notre civilisation.
20:58 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Chronique de la France asservie et résistante...
Chronique de Robert Spieler
publiée dans le n°2994 (8 avril 2011) de Rivarol
La deuxième édition des Bobards d’or a été organisée il ya quelques jours par l’excellent site Polémia, animé par Jean-Yves Le Gallou. Cette cérémonie « distingue » et « honore » les journalistes les plus menteurs et les désinformateurs du système totalitaire dans lequel nous baignons. Quatre catégories : Presse écrite, Radio, Télévision, Strass et Paillettes. Parmi les « candidats », citons quelques exemples. Histoire de rire ou de nous étouffer d’indignation. Voila tout d’abord Alexandre Adler, du Figaro, ancien compagnon de route de l’Union soviétique, actuellement proche des néoconservateurs américains, qui écrit au mépris de toute vérité : « Il est insensé de prétendre que l’Irak n’a jamais disposé d’armes de destruction massive ». Et Joseph Macé Scaron, directeur adjoint de Marianne, qui s’en prend sur RTL au référendum suisse sur le renvoi des étrangers criminels, déclarant que « le référendum en Suisse a été institué pour des avancées démocratiques ; pas pour des questions de société ». Une énormité…
Des histrions ignares et manipulateurs
Macé-Scaron commence sérieusement à m’énerver. S’il continue, je vais finir par raconter notre première rencontre. C’était il y a 30 ans à l’université d’été du GRECE, dont le chef était Alain de Benoist. Une violente campagne médiatique avait été lancée contre la Nouvelle Droite, avec comme slogan « Nouvelle Droite, nouveaux nazis ». Des commandos juifs avaient attaqué en 1979 un de nos colloques. Mais à l’époque, notre camarade Joseph ne trouvait rien à redire de l’orientation racialiste et païenne du GRECE… Claude Askolovitch, éditorialiste à Europe 1 a, quant à lui, parmi ses lubies, celle du mariage homosexuel. Il évoque « la France qui n’arrive pas à devenir moderne dans sa tête et dans ses pratiques ». L’homosexualité comme critère de modernité, il fallait oser. Mais il ne s’arrête pas en si bon chemin : « Les homosexuels se marient partout dans le monde ». Archifaux… Même la Californie a, par un référendum révocatoire, supprimé le mariage homosexuel, le jour même où la majorité des électeurs californiens élisaient Obama. Et puis, pour la bonne bouche, Jamel Debbouzze, « l’histrion ignare manipulateur de l’histoire », comme le qualifie Le Gallou. Debbouze déclare : « L’islam est en Europe depuis 3000 ans ». Nul doute qu’il mérite le Grand Prix de la bêtise crasse.
Des candidats FN quelque peu originaux
Le dernier éditorial de Lucien Rebatet, paru dans Je suis partout, deux semaines avant l’entrée des Américains dans Paris, avait pour titre « L’espérance est nationale socialiste ». Il fallait une bonne dose de courage pour oser… Curieusement, autant Rebatet était intellectuellement courageux, autant il ne l’était pas physiquement. Jean Herold-Pâquis (« Comme Carthage, Londres sera détruite ») a eu le temps, avant d’être fusillé, d’écrire ses mémoires « Des illusions, désillusions », un livre remarquable (Editions Deterna, 26 euros, 10, rue Primatice, 75013 Paris) que je vous recommande vivement. Des passages hilarants, que je laisse au lecteur le soin de découvrir et que je n’aurai pas la cruauté de raconter. Pourquoi évoquer l’éditorial de Rebatet ? Parce qu’Alexandre Gabriac, nonobstant son jeune âge (20 ans), conseiller régional FN, et candidat dans le canton Grenoble-6, a sans doute été inspiré par cet éditorial, même si, sans doute, il ne l’avait pas lu en août 44. Le Nouvel Observateur publie sur son site une photo d’Alexandre Gabriac faisant de la main gauche le salut hitlérien devant un drapeau nazi, un coup de poing américain sur la main droite. Il se défend en déclarant : « C’est un montage ». Marine Le Pen n’en croit pas un mot et n’a apprécié que modérément, d’autant que son intention de se rendre en Israël se confirme. Gabriac, qui a, malgré le scandale et le retrait du soutien du FN, progressé de 4% entre les deux tours, est sur le point de se faire virer du FN. Ce qui ne sera que justice. Il est en effet du dernier mauvais goût de faire le salut hitlérien en levant le bras gauche…
Sandra Kaz était la candidate du FN à Coudekerque-Branche, à proximité de Dunkerque. D’excellents résultats : 24% au premier tour, plus du tiers au second. Elle s’est prétendue étudiante en littérature, écrivain et chanteuse rock. Pourquoi pas. Certes, elle est une adepte du style gothique, long manteau de cuir noir, cheveux de jais, piercings. Mais après tout, c’est son problème, et elle contribue ainsi à moderniser l’image du Front national. Là où cela devient un petit peu plus gênant, c’est quand les journalistes découvrent sur internet qu’elle est, sous le pseudo de Gothika, une fan de Marylin Manson, chanteur provocateur, rendu célèbre par son album « Antichrist superstar ». Et qu’elle use aussi du pseudo d’Angunn, blonde et sexy, qui propose ses services d’escort girl sur deux sites spécialisés. Elle est aussi présente sur un site gallois qui propose des massages en France… Sacrée Sandra !
Remarquez que Sandra vaut largement, électoralement, le candidat du FN dans un canton de Meurthe-et-Moselle, âgé de 93 ans, qui ne quitte plus sa maison de retraite…
BHL, vu des Etats-Unis
L’éditorialiste américaine Anne Applebaum n’y va pas par quatre chemins, allumant au passage Bernard-Henri Lévy et Nicolas Sarkozy. Elle s’interroge publiquement : « Le président français a-t-il défendu l’intervention en Libye pour avoir de meilleures chances d’être réélu ? ». Et de rappeler le rôle majeur joué par BHL dans la décision du président de la République de reconnaître officiellement les rebelles libyens du Conseil national de transition. BHL, dit-elle, est « un philosophe-pop tellement français qu’il n’a pas d’équivalent américain. Nous n’avons pas de philosophes qui portent des chemises déboutonnées, épousent des actrices blondes, et choisissent avec enthousiasme un camp dans des guerres au Bengladesh, en Angola, au Rwanda, en Bosnie ». Pour Anne Applebaum, l’Union européenne ressortira de cette guerre en très mauvaise posture. « Si le but de Sarkozy était d’exposer les faiblesses et les incohérences de la diplomatie européenne, il n’aurait pu mieux faire ». Bien vu.
Une très grosse conne
Sophia Aram est parait-il humoriste. Elle sévit sur France Inter, où elle a remplacé Stéphane Guillon, viré pour cause d’insolence à l’encontre du pouvoir. Elle s’en prend avec beaucoup d’humour, aux électeurs du Front national, qu’elle traite de « gros cons ». Elle déclare : « J’aurais tendance à penser qu’avec les gros cons quand il y en a un, ça va, c’est quand ils sont plusieurs que ça pose problème ». D’origine arabe, elle rencontre un autre d’origine, Djamel Debbouze, avec qui elle a un enfant. Qu’elle appelle Chaïm, prénom aux sonorités plus juives qu’arabes ou bretonnes. Commentaire assez marrant de l’auteur de l’article « Sophia Aram ou la connerie satisfaite », sur le blog lorgane.com : « Chaïm ? Ça signifie : hé, ho, moi aussi je suis juive et je veux entrer dans le showbiz ». En hébreu ancien… bien sûr…
Le match Algérie-Maroc dégénère en France
Incidents dans plusieurs villes de France, il y a une semaine, en marge du match de football Algérie-Maroc, remporté à domicile par l’Algérie. Des heurts ont opposé de jeunes supporters des deux équipes à des policiers, à Toulouse, où une cinquantaine d’excités a pris à partie les forces de l’ordre, brisant des vitrines et incendiant des véhicules. A Montpellier, une centaine de véhicules venant des quartiers occupés ont bloqué le centre-ville. Les vitres d’un tramway ont été brisées, des poubelles incendiées. Un policier a déclaré : « C’est toujours le même scénario, dès que l’équipe d’Algérie dispute un match, on s’attend à des échauffourées »
« L’économie française a besoin de 10 millions d’immigrés d’ici à 2040 »
C’est le thème du livre écrit par Karine Berger et Valérie Rabault, Les trente glorieuses sont devant nous. Elles ont élaboré un plan de secours à l’économie française par un recours massif à l’immigration. Elles évoquent le vieillissement de la population. Si rien n’est fait, entendez, dans leur esprit, s’il n’y a pas d’immigration massive, 26% des Français auront plus de 65 ans en 2040. Elles ont raison quant au constat. Mais quant à envisager une audacieuse politique nataliste, ce n’est pas leur préoccupation. Non, la solution passe par l’immigration… A la question qui leur est posée par le quotidien économique La Tribune, « Combien de personnes arrivent chaque année en France ? », elles répondent : « Officiellement, 100.000, beaucoup plus si on prend en compte les clandestins » (merci, nous le savions). Et elles poursuivent : « L’idée est d’envisager plutôt un flux de 300.000 immigrés par an, soit 10 millions de personnes d’ici 2040, qui, selon nous, sont indispensables pour régénérer la population (oui, oui, régénérer, c’est le verbe utilisé, comme ça, en passant, mine de rien…), permettre à notre économie de conserver sa capacité d’innovation (sic…) et pérenniser notre système de protection sociale (re sic) ». Des traîtres à notre peuple…
Les représentants des principales religions critiquent le débat sur la laïcité
Les représentants des principales religions pratiquées en France se sont unis pour signer une tribune dans laquelle ils ordonnent au gouvernement de renoncer au débat sur la laïcité. Débat dont nous n’avons, au demeurant, rigoureusement rien à cirer. Mais il est toujours intéressant de les observer, de les écouter, ces petits émotionnés qui, avec une voix de châtré, expriment leur souffrance. « N’ajoutons pas de la confusion dans la période trouble que nous traversons. Nous militons ensemble pour une laïcité de bonne intelligence ». Les catholiques qui furent persécutés par le Petit Père Combes, en 1905, lors de la loi de 1905 de séparation de l’Eglise et de l’Etat, doivent s’en retourner dans leur tombe…
Réunis au sein de la Conférence des responsables de culte en France, des représentants des bouddhistes (qu’est-ce qu’ils viennent faire là, ceux là ?), des catholiques, des juifs, des musulmans (évidemment), des orthodoxes et des protestants demandent au gouvernement de « ne pas dilapider ce précieux acquis » qu’est la laïcité. Je note avec effroi que les représentants de Seigneur Raël et les adorateurs de la banane bleue n’y figurent pas. La religion des Lumières, la franc-maçonnerie n’y est pas ? Mais vous plaisantez, ils n’ont pas besoin de cette pantalonnade pour imposer leurs idées ! Allez, continuons, avec amusement de noter leurs émotions. « Il nous paraît capital, pendant cette période pré-électorale, de bien garder sereinement le cap en évitant amalgames et risques de stigmatisation », écrit la Conférence des responsables de culte en France. « Stigmatisation » ! Ces châtrés adorent ce mot magique… Stigmatisation… Louant la « laïcité à la française » et espérant que « le facteur religieux soit un élément de paix et de progrès », la CRCF estime que « l’accélération des agendas politiques risque de susciter des confusions qui ne peuvent qu’être préjudiciables ». Et ils concluent par cette phrase qui me fascine par sa profonde connerie : « Le devoir de ceux qui sont ‘en responsabilité’ consiste à éclairer le chemin et à élaborer des solutions conformes au bien de tous. ». C’est pas grandiose, ça, « le devoir de ceux qui sont en responsabilité » ? Mon Dieu, qu’ils sont minables…
Mais Anne Sinclair et Dominique Strauss-Kahn vont bien, merci
Anne Rosenberg, dite Sinclair, épouse de Dominique Strauss-Kahn, est l’héritière de Paul Rosenberg, un des principaux galeristes de le première partie du XXème siècle. Tranquille… Quelques petites transactions… Un Fernand Léger, adjugé le 4 novembre 2003 à 22,4 millions de dollars, un Claude Monet, à plus de 20 millions, quelques tableaux mineurs adjugés le 3 décembre 2007 14,2 millions d’euros, et un Matisse adjugé le 6 novembre 2010 pour 33,6 millions d’euros. Il reste encore160 œuvres du même acabit a vendre, stockées dans une banque de Libourne. A part ça, ca va : un Riad luxueux dans la médina de Marrakech et un appartement de plus de 200 m2 place des Vosges, à, Paris. Ils sont de gauche ? Et alors ? Jaloux ?
Vendredi prochain, retrouvez une nouvelle chronique de la France asservie et résistante de Robert Spieler dans Rivarol...
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