mardi, 30 novembre 2021
Declaration de candidature d'Eric Zemmour : l'Histoire est de retour !
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Pourquoi la Droite nationale doit se rallier à la candidature d'Eric Zemmour :
En avril 2022, à l’occasion de l’élection présidentielle, nous allons faire un choix crucial pour l’avenir de notre nation et celui de notre civilisation. Soit nous continuons dans la voie du mondialisme à outrance, avec toutes ses conséquences funestes, soit nous revenons à une politique véritablement nationale et identitaire.
En dix ans, la droite nationale, aveuglée par une chimérique quête de respectabilité, a perdu toute sa crédibilité. Le temps est sans doute venu d’envisager les choses autrement. Un sursaut s’impose…
AVEC DES CONTRIBUTIONS DE :
Cécile Antoine, ancienne collaboratrice au Parlement européen
Jacques Bompard, maire d'Orange
Franck Buleux, enseignant, écrivain
Catherine Dahmane, militante identitaire alsacienne
Alain Favaletto, ancien responsable du FN en Alsace
Nicolas Égon, militant Génération Z en Normandie
François Floc'h, militant en Bretagne
Thomas G., ancien cadre de Debout la France
Romain Guérin, auteur, compositeur
Roland Hélie, directeur de la revue Synthèse nationale
Bruno Hirout, secrétaire général du Parti de la France
Valérie Laupies, conseillère municipale de Tarascon
Iannis Morleau, responsable nationaliste en Bourgogne
Patrick Parment, directeur du Journal du Chaos
Lliorenç Perrié-Albanel, écrivain, militant identitaire catalan
Philippe Gérard, conseiller municipal de Cambrai
André Posokhow, contributeur à Polémia et à Riposte laïque
Alaric Py, militant de Génération Z en Normandie
Philippe Randa, écrivain, éditeur, directeur du site EuroLibertés
Jean-Paul Tisserand, cadre du Centre national des Indépendants
Victor, militant de Génération Z en Normandie
194 pages, 20,00 €
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(sortie le 28 octobre)
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14:30 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Omicron, une aubaine pour Macron
Aussi interminable que Les Feux de l’amour, le feuilleton Covid se poursuit encore et toujours. Au programme cette semaine : un nouveau variant menaçant ! Voilà une péripétie que nous n’avions plus connue depuis quelques mois et qui tombe à point nommé pour le gouvernement. Et ce, alors que des médecins Sud-Aficains affirment que ce variant est moins dangereux que la version Delta et autres qui sévit en Europe et n’a causé aucun mort à ce jour.
Louis Marceau, dans Présent (30/11) nous explique pourquoi
Lire la suite ICI
10:00 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
De la transphobie à la transdinguerie !
La chronique de Philippe Randa
Certes, il y a ceux que les « différences sexuelles » offusquent pour des raisons morales, vouant aux gémonies les homosexuels, qu’ils soient hommes ou femmes et plus encore les « transgenres » qui ne sont ni l’un, ni l’autre ou les deux à la fois ou alors encore même plus si affinités… et ceux qui ne s’y retrouvent plus guère dans toutes les différences revendiquées, depuis que l’on est passé du vocable LGBT à LGBTQIA+ et désormais MOGAI et QUILTBAG, vaste fourre-tout de toutes les espèces humaines connues, reconnues ou en voie de reconnaissance, sinon d’existence : lesbiennes, gays, bisexuelles, trans, queers, intersexes et asexuelles, bispiritualités, cisgenres, dyadiques, altersexuels, etc., etc., etc.
Jusqu’à présent, pour le monde de la bien-pensance, les choses étaient simples : d’un côté, les monstrueux, forcément monstrueux, homophobes ; de l’autre, leurs victimes, forcément victimes, tous unis dans la commune reconnaissance de leur sexualité différente. Oui, mais, trop simple, peut-être ! Alors, la nature humaine étant ce qu’elle est, voilà que les lesbiennes se retrouvent désormais dans le collimateur des transgenres qui les accusent de les snober !
Entendez par là que ces dames qui n’aiment que les dames n’auraient que peu, sinon pas du tout, d’attirance pour les hommes se prenant pour des dames… et qu’elles se montreraient quelque peu récalcitrantes à succomber à leurs charmes : « Ce que je vois dans les clubs, c’est que les jeunes lesbiennes un peu naïves sont essentiellement obligées d’avoir des relations sexuelles avec des personnes qui se décrivent comme des femmes, mais évidemment elles ne le sont pas », a expliqué l’avocate Lucy Masoud (anciennement pompier de son état) au média en ligne Femail… et de poursuivre : « La difficulté, cependant, survient lorsque ces personnes exigent ensuite que les lesbiennes les acceptent comme transsexuel et sortent avec elles. »
Accusées de transphobie, les demoiselles effarouchées se voient alors exclues pour ce prétexte des sites de rencontres et pour certaines « traitée de transphobe, fétichiste des organes génitaux, perverse et “terf” (excluant la féministe radicale) », nous rapporte de son côté le site LesObservateurs.ch.
Ah ! que le monde d’antan était donc simple quand les filles naissaient dans les roses et les garçons dans les choux…
(Ilustration : dessin d’Ignace).
Lire EuroLibertés cliquez ici
09:46 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
ENFIN ! C'EST AUJOURD'HUI...
00:18 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 29 novembre 2021
Véronique Bouzou, une prof courageuse, invitée par Epona aux Entretiens du Parti de la France
L'intervention de Véronique Bouzou en avril 2011 au cours d'un colloque organisé par Synthèse nationale sur le regroupement familial cliquez là
17:06 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Eric Zemmour : ce n’est qu’un début…
Le billet de Patrick Parment
C’est la dernière lubie médiatique : Eric Zemmour dévisse dans les sondages, son exposition médiatique a fini par lasser. Evidemment Libération, ce torche-cul islamo-gauchiste s’en est donné à cœur joie relayé par tout le boboland de gauche médiatique. Et les sondeurs qui sont à la sonde ce que le bénitier est au salut des âmes, auscultent les entrailles de la bête : pense donc, Zemmour n’est plus qu’à 15%. Il est repassé en dessous de la présidente du Rassemblement national. Raison principale de ce passager désamour : la virée marseillaise de Zemmour qui n’a pas rencontré le succès espéré. Dans cette ville, la plus pourrie de France, où les élus sont des tocards, à commencer par le petit fils de l’amiral de bateau lavoir Muselier, la virée de Zemmour était courageuse dans la mesure où cette ville maghrébine, lieu de tous les trafics, est l’exemple même de tout ce que dénonce Eric Zemmour. Et ce n’est pas un doigt d’honneur qui viendra perturber l’audience du potentiel candidat.
On le sait, une campagne électorale, présidentielle de surcroît, n'est pas vraiment une partie de plaisir. C’est épuisant, d’autant que ce n’est pas en effet, la tasse de thé d’Eric Zemmour. On ne peut donc que louer son courage. Car il dérange tout le Landerneau politique en posant les vraies questions qu’il s’agisse du laxisme de nos élus et gouvernants en matière d’immigration, d’insécurité grandissante mais aussi et surtout la survie de l’identité française, de notre culture et de nos mœurs face à un islam dont tous nos élus ont la trouille et qui baissent leur froc au moindre pet coranique. Zemmour met le doigt sur tous les dysfonctionnements de la société française quand nos élus s’empressent de mettre tout cela sous le tapis.
Les Français ne sont pas dupes contrairement aux sondeurs. Pour la bonne raison que son discours est le reflet de ce que nous attendons depuis des décennies. La preuve en est que ces dernières années les Français ont joué un coup à droite, un coup à gauche et pour finir au centre avec Macron, espérant qu’on les écouterait enfin. Que nenni. Emmanuel Macron a clairement joué le jeu des riches au détriment des classes moyennes qui de quinquennat en quinquennat ne cessent de souffrir de l’incompétence des leurs élites.
C’est peu dire que l’avenir immédiat est incertain. Le paysage politique est proprement dévasté. En tout premier lieu la gauche qui est en train de disparaître complètement. Et ce ne sont pas les Yannick Jadot et autre Jean-Luc Mélenchon qui sauveront les meubles. On ne parle même pas de la maire Hidalgo ! A droite, le centre a quasiment disparu et n’est pas en mesure d’aligner un candidat. Au passage, la guimauve Jean-Christophe Lagarde voulait lui « mettre une balle dans la tête ». On en rigole encore !
Chez les Républicains, c’est proprement la guerre des ego tant ils présentent tous le charisme d’un crapaud en rut. Quant à Marine Le Pen, on le sait depuis longtemps, les Français n’en veulent pas au-delà d’être ce « gueuloir » qu’elle se refuse désormais de jouer, s’imaginant un destin national ! Fort d’un tel constat, les Français vont-ils donc une fois de plus voter contre eux-mêmes. ? Vont-ils prendre le risque de réélire ce président des riches ? Si tel est le cas, alors il faut s’attendre à des mouvements sociaux de grande envergure dont les Gilets jaunes n’apparaîtront alors que comme une modeste répétition. Tant il est vrai que les classes moyennes, celles-là même qui s’abstiennent, n’ont plus rien à perdre.
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dimanche, 28 novembre 2021
Entretien avec Marcel Gauchet
Marcel Gauchet ne laisse pas indifférent. Par sa produc- tion intellectuelle, d’abord. Plusieurs de ses essais ont fait date ( de Le Désenchantement du monde, 1985, à Macron, les leçons d’un échec, 2021) et il ne laisse pas indifférent, ensuite, par ses prises de position. L’historien et philosophe – par ailleurs ancien rédacteur en chef de la revue Le Débat – divise la scène intellectuelle. Certains saluent un homme affranchi de la bien-pensance et de la tyrannie de l’opinion. D’autres y voient un intellectuel qui, sous couvert de questionnements, n’est ni plus ni moins qu’un défenseur zélé de la tradition. Voire l’une des figures de proue des néoréactionnaires. Il répond ici et en toute liberté aux questions de Marie Boëton pour La Croix Magazine (27/11/2021). Ca vaut le détour.
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Eric Zemmour remet une contestataire à sa place...
12:15 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 27 novembre 2021
La campagne d'Eric Zemmour s'intensifie
Les sondages le donne en hausse ; les antifas, en bon domestiques de la finance internationale, sont réactivés par les partis du Système ; le sénateur Ravier était, en ami, aux côtés du candidat de la France qui n'a pas dit son dernier mot ce matin à Marseille ; la presse multiplie les mensonges et les invectives, ; le Zennith de Paris sera bourré dimanche prochain... Tous les ingrédients d'une grande campagne sont réunis...
17:17 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La grande peur... institutionnalisée
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Journal du chaos
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10:23 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le nouveau numéro (n°193) de la revue Eléments est sorti
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Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
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vendredi, 26 novembre 2021
Une forme de dégoût à l'égard de la politique
Brice Teinturier *
Dans un livre*, en 2017, j'appelais les “Plus rien à faire, plus rien à foutre” (Praf) les Français passés de déception en déception et habités par une forme de dégoût ou, du moins, de détachement grandissant à l'égard de la politique. C'était un ensemble interclassiste, avec une petite surreprésentation des milieux populaires. Je faisais la distinction entre cette catégorie-là et les coléreux que l’on retrouvait au RN ou à LFI. Parce que quand vous êtes en colère, dans la protestation, vous êtes encore en relation avec le collectif. Et j'indiquais à quel point l’enjeu d’une campagne électorale est de faire revenir des Praf. Cela vaut plus que jamais en 2022. L'évidence, c’est que ce groupe des Praf a grossi en cinq ans. Il suffit de voir les taux d'abstention colossaux qu’on a eus aux municipales et aux régionales, ce n’était pas lié uniquement au Covid. D'ailleurs, dès 2017, on avait enregistré une abstention forte à la présidentielle (22 %) et record (plus de 50 %) aux législatives: ce n'était pas dû à un simple effet institutionnel! Les Français se disent beaucoup moins en colère qu'auparavant. En revanche, ils se laissent gagner par une forme de lassitude, de résignation, même. Et ce n’est pas uniquement une conséquence du Covid! Au contraire, les études le montrent, la pandémie a redonné conscience aux Français qu'il était utile que des gens prennent des décisions pour les protéger. Non, cette crise démocratique est bien plus grave, et le vrai danger, plus que jamais, c’est le détachement. »
Propos recueillis par Soazig Quéméner pour Marianne
(*) Plus rien à faire, plus rien à foutre. La vraie crise de la démocratie, Robert Laffont, 2017.
Brice Teinturier est analyste politique et, directeur général d’Ipsos
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Penser sous la mitraille
Plus de cinq mois avant la présidentielle, et chacun peut pressentir qu’elle n’apportera pas les réponses pourtant essentielles aux défis que doit relever notre pays. Il apparaît que le problème n’est plus seulement la dévastation du champ politique et le désert qui en résulte mais la question de savoir si l’on peut encore porter une proposition politique qui ne soit pas une caricature, une vocifération. Natacha Polony, dans cet édito de Marianne de cette semaine pose la question.
Lire la suite ICI
Source : Marianne 26/11/2021
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jeudi, 25 novembre 2021
Bruno Gollnisch invité de l'émission "Synthèse" sur TV Libertés
Regardez l'émission cliquez ici
Bruno Gollnisch est un homme politique qui a joué un rôle important au sein de la droite nationale française. Il fut successivement député (1986-1988), député européen (1989-2019) et il occupa des postes essentiels au sein du Front national alors que celui-ci était présidé par Jean-Marie Le Pen.
Il eut aussi une brillante carrière universitaire durant laquelle il enseigna, entre autres, les langues orientales (il fut directeur d’UFR à l’université de Lyon III et, à ce titre, l’un des plus jeunes doyens de France). Il connaît donc parfaitement l’Asie, en particulier la Chine et le Japon.
C’est justement pour nous parler de l’Europe et de l’Asie, des rapports entre ces deux continents au moment où une nouvelle guerre économique s’engage que Bruno Gollnisch est aujourd’hui l’invité de l’émission « Synthèse », animée par Roland Hélie et par Philippe Randa.
15:17 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Côte d'Armor (5e circ) : Roland Hélie est intervenu mercredi soir lors de la réunion de lancement du Comité local de soutien à Eric Zemmour
Très belle réunion mercredi soir près de Lannion (22) pour lancer le Comité de soutien à Eric Zemmour du Trégor. Une quarantaine de militants locaux était présent. Sous la présidence de François Floc'h, délégué de la 5e circonscription des Côte d'Armor, ils purent écouter l'intervention politique de Roland Hélie, directeur de la revue Synthèse nationale, qui soutient activement la candidature d'Eric Zemmour et celle de Pierre-Yves Thomas, responsable départemental, sur le travail d'implantation et sur les techniques de propagande.
Lire aussi, sur le soutien à Eric Zemmour : cliquez là
15:14 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
À ne pas manquer : un grand article sur le livre "Pourquoi Eric Zemmour ?" dans le quotidien Présent d'aujourd'hui
15:06 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L'affaire Astra Zeneca
Des victimes témoignent
L’affaire AstraZeneca, c’est l’histoire d’un scandale sanitaire occidental qui a vu des personnes en parfaite santé mourir peu après l’injection d’un vaccin produit par la multinationale pharmaceutique suédo-britannique. Le sujet est grave : l’enquête est rigoureuse, menée par des journalistes professionnels.
Nous sommes partis à la rencontre de médecins, de proches des victimes décédées quelques heures après l’injection du vaccin et de témoins de ces drames humains auxquels les médias mainstream refusent la parole, que les GAFA censurent impitoyablement.
Les victimes de cette affaire sont mortes deux fois : par des thromboses et par le silence coupable du pouvoir politico-médiatique.
Journalistes professionnels, nous avons décidé de briser le tabou. Par devoir de solidarité, par respect de la personne humaine, et en hommage aux victimes, nous n’avions pas le droit de nous taire. Vous non plus !
Partagez ce film auprès de vos proches et du plus grand nombre. Si nous nous taisons, les pierres crieront ! Et aidez-nous financièrement, si possible de façon récurrente, à en produire de nouveaux, toujours plus rigoureux et incisifs. La vérité mérite le meilleur, donc quelques moyens. Et sans vous, nous ne ferons rien. Par avance, un grand merci à vous !
Source : Les victimes parlent
10:18 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 24 novembre 2021
Christian Perronne et Ivan Rioufol sur CNews le 21 novembre 2021
Christian Perronne lâche des bombes en direct sur Cnews : "Ce n'est pas un Vaccin !" ... Sur les Effets secondaires du vaccin et les morts.
Vous pouvez le commander ICI
18:52 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
ET SI LES ANTILLES FRANÇAISES AVAIENT CONNU LE SORT D’HAÏTI ?
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
La Guadeloupe vient de vivre et vit encore, les heures agitées d’une véritable insurrection dont le prétexte, - la vaccination obligatoire pour les soignants -, est un commode « cache-sexe » à la volonté violement exprimée par des racailles, de casser, de détruire, d’incendier et, surtout, de piller. On a même assisté à des scènes frisant la guerre civile, avec des tirs d’armes à feu effectués contre les forces de l’ordre.
Mais quand on a dit cela, on n’a pas tout dit. Derrière ce qui ressemble à une révolte, voire même à un mouvement révolutionnaire, il y a du carburant pour alimenter la machine. Depuis des lustres la Guadeloupe, - les Antilles françaises en général, à l’exception d’îles privilégiées comme Saint-Barthélemy -, subissent les inconvénients de leur insularité : prix supérieurs à ceux pratiqués en métropole, taux de chômage plus élevé (1), angoissante crise sanitaire liée, en plus du virus chinois, aux conséquences de l’utilisation de chlordécone, un produits chimique nocif pour l’humain, utilisé jadis dans les plantations bananières. Ajoutez à cela une immigration concurrentielle (2) et une mauvaise distribution d’eau potable par exemple, vous avez derrière la carte postale de rêve, une plus triste réalité.
La Martinique voisine s’est lancée dans un mouvement de grève générale, et le pouvoir parisien pour enrayer les violences, a même dû dépêcher dans les deux îles, des renforts de gendarmerie, y compris des effectifs du GIGN. Le président LREM de la région de Guadeloupe, Ary Chalus, a déclaré le 20 novembre sur France-Info, « Nous avons plus de quarante ans de retard par rapport à l’hexagone concernant notre développement économique ». Pourtant, de nombreux îliens fournissent en métropole des cadres dans la fonction publique, comme hier les Corses qui s’expatriaient dans les ex-colonies de la République. Apparemment, cela ne suffit pas à refroidir la température de cette marmite exotique française…
La France est à la croisée des chemins. Ou elle entend conserver son rang de première puissance moyenne mondiale, et dans ce cas, - comme pour son arsenal nucléaire -, son outre-mer lui est indispensable, ou elle écoute les sirènes du renoncement et elle doit conduire à l’indépendance tous ces confettis qui ne sont plus que les miettes d’un grandiose festin impérial. Mais si la France veut garder le deuxième domaine maritime au monde, et la présence de son drapeau sur tous les océans, elle a l’impérieuse obligation d’élever le niveau économique de ses ressortissants ultra-marins. Sous deux réserves : d’abord qu’ils le veuillent, et qu’ils y mettent bien sûr, un peu d’ardeur ! (Je n’oublie pas les slogans en créole peints sur les murs, du type « Fwansé deho », dont la traduction ne s’impose pas, tellement c’est clair !)
Le prochain référendum en Nouvelle-Calédonie et les leçons qu’en tirera le pouvoir macronien, nous donneront une petite idée sur les orientations de l’Élyséen par rapport à notre outre-mer. En attendant, nos concitoyens des îles feraient bien de méditer sur le sort de la plus vieille République noire au monde, Haïti, libre depuis 1804. Une indépendance pour elle qui n’est synonyme que de misère, car la République haïtienne, n’est hélas qu’un cloaque à l’air libre …
(1) Un planteur m’avait dit, lors d’un court séjour à la Martinique, que « les locaux ne voulaient plus travailler dans les bananeraies, et qu’il devait avoir recours à de la main d’œuvre issue de l’immigration.
(2) Une immigration venant essentiellement d’Haïti et des ex-colonies britanniques des Antilles, - Dominique, Sainte-Lucie, Antigua, la Barbade etc. -, qui ont eu la… « malchance » de devenir indépendantes. (Pas folle la « perfide » Albion !)
12:42 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
DISSOLUTION DE L’ALVARIUM : LES ÉTRANGERS AVANT LES FRANÇAIS !
Un communiqué du MNR :
Le mercredi 17 novembre 2021, en conseil des ministres, a été dissous l’Alvarium, groupe angevin créé en janvier 2018, qui se définit comme « un centre communautaire d’actions sociales et culturelles en Anjou ». Le décret de dissolution précise que l’association :
« alimente un discours de haine assumée », « incitant à la discrimination ou à la violence envers des personnes en raison de leur origine ou de leur religion ».
Dans sa présentation, l’Alvarium dit :
« Aux confluents du catholicisme social et des doctrines nationalistes, son but premier est l’action sociale auprès des nôtres et la lutte contre le nihilisme européen.»
Il faut vraiment que nos autorités soient mentalement malades pour y voir un discours de haine.
Une fois de plus, notre gouvernement trahit le peuple qu’il est censé défendre. A quelles ignominies faut-il encore s’attendre ?
Source cliquez ici
02:26 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
CE MERCREDI 24 NOVEMBRE : BRUNO GOLLNISCH INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR TV LIBERTÉS
Initialement programmée le mercredi 17 novembre, cette émission sera diffusée le mercredi 24 novembre.
LES PRÉCÉDENTES ÉMISSIONS CLIQUEZ ICI
02:21 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi dernier, les Phalangistes de Madrid ont rendu hommage à José Antonio Primo de Rivera
02:19 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
#balancetonprésident
La chronique de Philippe Randa
En Belgique, les bars et discothèques sont dans le viseur d’un collectif (un de plus !) nommé #balancetonbar dont les animateurs et/ou trices appellent à leur boycott, se justifiant de les « attaquer à (leurs) portefeuilles pour (se) faire entendre ? »
Entendre de quoi ? Des plaintes de victimes qui « soupçonnent leur agresseur présumé, barman ou membre du personnel, de les avoir droguées à leur insu avant de passer à l’acte. »
Autre temps, autres mœurs… Il fut un temps que les moins de… moins de… on ne sait plus trop bien ! ne semblent pas avoir connu où une victime allait porter plainte directement au poste de police… et plusieurs plaintes consécutives ne passaient pas inaperçues, même si prétendre le contraire semble désormais à la mode !
Aujourd’hui, les victimes préfèrent répandrent leurs malheurs dans les réseaux, tel Instagram, cité par l’une des organisatrices qui – c’est à la mode, ça aussi ! – s’est réjoui de cette « libération de la parole ». Avant, c’est vrai, les filles (et pas que !) était muette, n’est-ce pas ? Ah bon !
« “Nous sommes fortes, nous sommes fières, et féministes, et radicales, et en colère”, chantait aussi la foule entre deux interventions publiques », rapporte Le Monde.
Comme quoi, il y a les « extrémistes », les « radicaux », voués aux gémonies par certains médias… et il y a les « extrémistes », les « radicaux » qui, tout au contraire, sont montrés en exemple par les mêmes.
Certes bars et discothèques se prêtent plus que d’autres lieux aux agressions sexuelles. Quoique… Qui aurait crû qu’en France, on le sait depuis quelques jours, l’Élysée en serait un : une militaire y aurait été violée lors d’un pot de départ organisé pour trois personnes, dont un général en juillet dernier. Une première en un tel lieu prestigieux. Ou tout au moins, une première à faire les gros titre…
Alors, bientôt, le collectif #balancetonprésident ? Chiche !
Source EuroLibertés cliquez ici
02:13 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 22 novembre 2021
Le retour du fascisme, c’est du théâtre
À quelques mois de l’élection présidentielle, Christophe Guilluy, l’auteur de Fractures françaises, dresse un tableau du paysage politique et social actuel. Celui-ci n’a, selon lui, pas beaucoup changé depuis 2017. Pour le géographe, le grand clivage de notre époque demeure l’opposition entre la France périphérique, qui rassemble les perdants économiques et culturels du modèle globalisé, et la France des grandes métropoles, composée par les gagnants de la mondialisation. Emmanuel Macron reste le champion incontesté de ces derniers, tandis que Marine Le Pen et Éric Zemmour se disputent les classes moyennes et populaires. À eux deux, ils représentent un bloc électoral d’au moins 35 %, note Guilluy. S’il constate que celui-ci peine à trouver un débouché, le géographe note cependant sa solidité et sa détermination. Continuer à ignorer ses aspirations ne peut que conduire à une impasse politique.
Lire l’entretien ICI
Source : Le Figaro 22/11/2021
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dimanche, 21 novembre 2021
Le Libre Journal de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
23:14 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les racines de notre échec au Mali
Bernard Lugan
Parenthèse au milieu d’une longue et insupportable litanie de repentance, Emmanuel Macron a jeté un gros pavé dans la mare des relations entre Paris et Alger. En s’interrogeant sur l’existence de la « nation algérienne » avant la conquête française de 1830, il a en effet frappé au cœur la fausse histoire de l’Algérie. Cette histoire reconstruite sur laquelle repose la « légitimité » des profiteurs de l’indépendance (1) qui, depuis 1962, mettent le pays en coupe réglée après avoir dilapidé l’incomparable héritage laissé par la France.
Le président Macron n’est d’ailleurs pas le premier à poser la question de la réalité historique de l’Algérie. Ainsi Fehrat Abbas, le futur premier chef d’Etat algérien en 1962 qui avait déclaré au mois de février 1936 dans l’Entente franco-musulmane :
« L’Algérie en tant que Patrie est un mythe. Je ne l’ai pas découverte. J’ai interrogé l’Histoire ; j’ai interrogé les morts et les vivants ; j’ai visité les cimetières : personne ne m’en a parlé. »
Dans sa conférence de presse du 16 septembre 1959, le général De Gaulle disait la même chose :
« Depuis que le monde est le monde, il n’y a jamais eu d’unité, ni, à plus forte raison, de souveraineté algérienne. Carthaginois, Romains, Vandales, Byzantins, Arabes syriens, Arabes de Cordoue, Turcs, Français, ont tour à tour pénétré le pays, sans qu’il y ait eu, à aucun moment, sous aucune forme, un Etat algérien ».
Au Mali, pourquoi, dix ans après avoir été applaudie, lors du déclenchement de l’Opération Serval, la France y est-elle désormais détestée ? Pourquoi une aide salvatrice dans laquelle elle a laissé 52 de ses meilleurs enfants et des dizaines de mutilés, s’est-elle transformée en entreprise « néo-coloniale » aux yeux des Maliens ? Pourquoi les dizaines de milliers de déserteurs maliens installés dans la région parisienne et qui laissent les militaires français se battre à leur place osent-ils critiquer la France ? Pourquoi un tel retournement de situation ? Pourquoi un tel échec politique ?
La réponse est pourtant claire : par refus idéologique et dogmatique de prise en compte du réel ethnique au profit des éternelles nuées démocratiques. Si les dirigeants français avaient eu un minimum de culture, ils auraient pu méditer cette phrase écrite dans le rapport de 1953 du Gouverneur général de l’AOF, précisément au sujet des pays du Sahel :
« Moins d’élections et plus d’ethnographie, et tout le monde y trouvera son compte ».
Tout est dit dans cette phrase qui explique en quelques mots l’échec actuel de la France dont les dirigeants n’ont pas vu que nous n’étions pas face à une guerre religieuse, mais face à une guerre ethno-raciale millénaire dans laquelle les islamistes se sont insérés. Comme je ne cesse de le dire depuis le début de la guerre, dans toute la BSS, l’islamisme n’est en réalité que la surinfection d’une plaie ethnique historique. Mais encore faut-il ne pas refuser de le voir. Et là encore je dois renvoyer à mon livre Les guerres du Sahel des origines à nos jours dans lequel cette problématique millénaire est longuement expliquée.
1/ voir mon livre Algérie, l’Histoire à l’endroit
Source : Blog de Bernard Lugan, L’Afrique réelle
20:03 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 20 novembre 2021
Le Robert valide les désirs « inclusifs »
Xavier Eman
La soumission à l’air du temps et la volonté de plaire aux lobbys les plus médiatisés du moment sont deux des maux les plus destructeurs de notre temps. Pour nouvelle preuve, la décision des éditions du Robert d’intégrer l’absurde pronom neutre « iel » (contraction de « il » et « elle », promue par les militants LGBTQI+) aux éditions numériques de son dictionnaire.
Face aux nombreuses réactions outrées suscitées par cette décision, les éditions Le Robert ont cherché à se dédouaner de tout militantisme. « Non, n’en déplaise à certains, Le Robert n’a pas été subitement atteint de “wokisme” aigu. Est-il utile de rappeler que Le Robert, comme tous les dictionnaires, inclut de nombreux mots porteurs d’idées, présentes ou passées, de tendances sociétales, etc. ? Ce qui ne vaut évidemment pas assentiment ou adhésion au sens véhiculé par ces mots », a ainsi déclaré Charles Bimbenet, directeur général de la société éditrice, faisant au passage preuve d’une grande hypocrisie en feignant de ne pas admettre que sa présence dans le dictionnaire donne une « légitimité » presque institutionnelle à tel ou tel terme. Par ailleurs, à l’inverse de certains mots d’ argot ou autres néologismes entrés progressivement dans le dictionnaire, le pronom « iel » n’ est aucunement utilisé par la majorité des Français, ni même largement répandu dans la société ; seule une infime poignée d’activistes a le ridicule de s’en servir. Il ne s’agit donc nullement d’une « évolution de la langue » que Le Robert se verrait contraint d’intégrer mais bel et bien la marque d’une volonté de faire la promotion de ce terme pour progressivement l’ imposer.
C’est pour ces raisons que l’on ne peut que partager le mécontentement de Jean-Michel Blanquer. Le ministre de l’ Education nationale a en effet apporté son soutien au député de la majorité François Jolivet qui avait dénoncé l’entrée de ce mot dans une lettre à l’Académie française.
« Je soutiens évidemment la protestation de François Jolivet vis-à-vis du Petit Robert. L’écriture inclusive n’est pas l’avenir de la langue française. Alors même que nos élèves sont justement en train de consolider leurs savoirs fondamentaux, ils ne sauraient avoir cela pour référence », a-t-il notamment déclaré.
On pourra souligner ce propos en rappelant la charge idéologique très forte contenue dans le terme « iel » qui cherche à faire passer l’idée folle qu’il existerait – de façon suffisamment massive pour devoir forger un pronom spécifique – des gens indéterminés sexuellement ou revendiquant conjointement les deux sexes. La seule place de cette terminologie serait en réalité, à l’extrême limite, dans un dictionnaire des troubles psychiatriques mais certainement pas dans une édition grand public tournée notamment vers la jeunesse.
Fort heureusement, Le Robert n’est pas, tant s’en faut, le seul dictionnaire disponible. Le boycotter n’en sera donc que plus aisé.
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