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lundi, 30 juin 2025

Sarah Knafo invitée chez Pascal Praud lundi matin sur C-News

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13:17 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Selon la dernière note de l’OID, l’immigration « accentue les principaux maux de l’économie française »

Paris: des migrants établissent un campement devant l'Hôtel de Ville

Maurice Bernard

Note après note, l’Observatoire de l’immigration et de la démographie s’impose comme une précieuse source d’informations. Ce fait vient de trouver une nouvelle illustration avec la dernière publication de l’OID, L’impact de l’immigration sur l’économie française, réalisée à partir de données de l’OCDE et de l’Insee.

Les constats qu’on y trouve méritent qu’on s’y arrête. Ils sont sans appel.

Premier constat : « l’immigration n’améliore pas le taux d’emploi défaillant de la France mais, au contraire, le dégrade fortement ». En effet, dans un pays où le taux d’emploi des 15-64 ans est déjà faible comparé à celui des grands pays voisins (69,5% contre 74,5% au Royaume-Uni, 77,4% en Allemagne, 80,4% en Suisse et 82,5% aux Pays-Bas – au 2e trimestre de 2024), celui des immigrés est 7,1 points en-dessous : 62,4% (alors que le taux d’emploi des immigrés est de 67% dans les 27 pays de l’Union européenne et de 71,8% dans ceux de l’OCDE). Ainsi, en 2021, 30,5% des étrangers de 15 à 64 ans se trouvant sur le territoire national n’étaient ni en emploi, ni en études, ni en retraite, contre 13% des Français (soit 2,3 fois plus) ; et le taux d’emploi des descendants d’immigrés (2e génération) était de 59,7%, contre 70,7% pour les personnes sans ascendance migratoire…

Deuxième constat : en France, « l’immigration tend à réduire la productivité du travail ». Son impact négatif vient d’abord du niveau de qualification des immigrés, très inférieur à celui des personnes sans ascendance migratoire. Ainsi, en 2021, 37% des immigrés de 30 à 64 ans n’avaient aucun diplôme, contre 14% des personnes sans ascendance migratoire. Il tient aussi à la moindre présence des immigrés « dans des parcours propices à l’innovation » ou encore dans l’entrepreneuriat…

Troisième constat : « en France, l’immigration dégrade les comptes publics et réduit le pouvoir d’achat des natifs ». Selon la note de l’OID,  « le moindre taux d’emploi des immigrés et descendants d’immigrés représente une perte de PIB de 3,4 % et une perte de recettes fiscales et sociales de 1,5 point de PIB ». Ainsi, dans notre pays, les recettes budgétaires apportées par les immigrés ne représentent que 86% des dépenses publiques qui leur sont affectées, contre 140% au Portugal, 127% au Royaume-Uni ou 124% en Italie. En outre, en 2019, les immigrés ont perçu en moyenne 2.380 euros de prestations sociales - et ceux originaires d’Afrique 3.130 euros -, soit 2 fois plus que les personnes sans ascendance migratoire (1.200 euros)…

Quatrième et dernier constat : en France, « l’immigration bénéficie aux secteurs abrités de la concurrence internationale (en particulier la construction et la sécurité) et pénalise indirectement les secteurs exposés comme l’industrie par leur surimposition (induite par le plus faible taux d’emploi des immigrés), alors que nous avons un besoin absolu de les relancer pour redresser nos finances ».

Face à cet aggravation des maux qui affectent notre économie, la note de l’OID préconise la réforme conjointe de notre système de formation, de notre modèle social et de notre politique d’immigration ; toutes choses réclamées depuis quatre décennies par la droite nationale ! Malheureusement, compte tenu de la situation politique actuelle, il va nous falloir attendre encore pendant au moins deux ans. Après tout, si l'on en croit Vauvenargues, « la patience » n’est-elle pas « l’art d’espérer »…

Pour accéder à la note de l'OID, cliquez ici.

07:30 Publié dans Maurice Bernard | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dimanche, dans les Côtes d'Armor, Reconquête ! réunissait ses militants

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Dimanche 29 juin, la fédération costarmoricaine de Reconquête ! organisait près de Saint-Brieuc son banquet amical d'été.

Près d'une centaine d'adhérents ont répondu présents, ce qui prouve la bonne forme du mouvement d'Eric Zemmour dans ce département breton. Ils purent ainsi écouter les interventions de Pierre-Yves Thomas, secrétaire départemental, qui en profita pour présenter le bureau, et celle d'Antoine Clamagirand, délégué régional de Reconquête !, qui parla des prochaines échéances électorales, à savoir les municipales de mars prochain et les éventuelles législatives qui se dérouleraient en cas de nouvelle dissolution (on ne sait jamais ce qui mijote dans la tête d'un Macron). Quoiqu'il en soit, Reconquête ! 22 se prépare pour participer à ces campagnes.

Un sympathique banquet, préparé par les militants briochins et très apprécié du public, suivit ces interventions. Ce fut l'occasion de resserrer les liens de franche camaraderie qui caractérisent le mouvement dans ces terres de mission que sont les Côtes d'Armor.

Plusieurs stands, dont celui de Synthèse nationale, étaient installés dans la salle et de nombreux amis profitèrent de l'occasion pour s'abonner à notre revue.

S N

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Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, était présent à cette  belle fête de Reconquête ! À droite, Margaret Studler, responsable de la 5e circonscription, et Pierre-Yves Thomas, secrétaire départemental 22.

01:16 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |