vendredi, 29 avril 2011
Vendredi, c'est le jour de Rivarol...
Et le samedi 21 mai, de 12 h 00 à 18 h 00, ce sera le grand banquet des 60 ans de Rivarol et de son n°3000.
Avez-vous retenu votre place ?
Site de Rivarol : cliquez ici
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jeudi, 28 avril 2011
NE MELANCHON PAS TOUT !
Par Jean-Gilles Malliarakis
L'Insolent cliquez ici
Ainsi donc le candidat du front de gauche à l'élection présidentielle de 2012 aura osé faire l’apologie du stalinisme. Cela s'est passé le 15 avril 2011. Ses déclarations étaient sans doute prévues pour bénéficier de la volatilité de l'oral. Elles ont été utilement archivées, retranscrites et soulignées par le site "Enquêtes et Débats" (1).
Rappelons d'abord l'unité de lieu. Il s'agit de l'émission "Arrêt sur images". Trois grandes consciences, utilisatrices des moyens nouveaux d'information, fabriquent les chroniques de la petite télévision sur internet sur laquelle le Mélenchon était invité à s'exprimer. Citons d'abord, honneur aux dames, Judith Bernard. Celle-ci produit "Dans le texte" rubrique littéraire qui "se plonge dans les secrets de la production des écrivains". Une vidéo, précise le site, est enregistrée "dès qu'un texte mérite attention", du moins aux yeux de la courriériste. Un autre responsable, M. Guy Birenbaum s'intéresse au "décalage [envisagé comme] parfois explosif entre médias traditionnels et médias sur Internet". Là aussi, on nous informe "qu'une émission est tournée dès que l'actualité l'exige", autrement dit, sans périodicité.
Et, enfin, chaque vendredi, Daniel Schneidermann s'efforce, si l'on en croit la page d'accueil, à un décryptage. Il paraît d'ailleurs qu'on "le regardait déjà sur France 5 avant son éviction". En elle-même cette petite entreprise pourrait passer à première vue pour honorable. Elle procède cependant d'adversaires dont la cécité et le sectarisme tuent la moindre étincelle de sens des réalités.
Voici l'affirmation centrale de l'homme nouveau, ancien ministre de Jospin, aujourd'hui dissident, et qui sollicite le suffrage des Français : "Le monde de 1945 était celui où le tiers de l’humanité avait échappé au régime capitaliste parce qu’elle était dans un régime socialiste."
Schneidermann acquiesce, probablement ravi.
Emmanuel Todd, invité de cet étrange débat, se manifeste alors : “Juste pour exprimer un accord assez fort avec ce qui vient d’être dit.”
Jouant les groupies ou les sottes de service, Judith Bernard déclare de son côté qu’elle “adore ce que vous faites, tous les deux“. Elle finira par se raviser, découvrant un peu plus tard à quel apprenti dictateur elle venait de donner quitus.
Le Mélenchon précise en effet sa haine des libertés : “Je déteste le désordre, et pour moi le régime capitaliste c’est le désordre permanent. [...] Le collectif humain, contre la pagaille spontanée qui écrase l’humanité si jamais elle n’y fait pas face.”
Todd s'efforce d'argumenter : “Moi j’accepte ce désordre, si on essaie de faire sans, on obtient une économie sous-productive.” Notons bien que la seule chose choquante à ses yeux dans le stalinisme semble du domaine de l'efficacité économique. Il ajoutera plus tard : “Dans ce cas-là, effectivement on est en désaccord, ce que vous voulez c’est une soviétisation de l’économie française, une économie sous-productive, et ça je n’en veux pas.” Mais son propos reste complice : “Faut pas déconner, on est du même bord.”
Pour ceux qui ignorerait son origine politique le candidat désormais soutenu par le PCF rappelle : "j’ai été trotskiste 3 ans, donc j’ai reçu le vaccin initial de la détestation du stalinisme.” À dire vrai les méthodes du groupe auquel il appartenait tenaient tout de même, en petit, de la même démarche religionnaire que celle de la grande maison.
Bref, conclut "Enquête et Débats", "Mélenchon fait l’apologie de l’URSS de Staline tout en dénonçant le stalinisme, comprenne qui pourra".
Il ne semble donc pas inutile, au-delà d'une exégèse qui se révélerait aussi périlleuse que stérile, de situer de tels énoncés dans leur contexte politique véritable.
Le parti communiste après bien des tergiversations a intronisé ce personnage comme porte-drapeau pour 2012 de ce "front de gauche "constitué en 2008, sur la base du refus du traité de Lisbonne.
Or les réticences du PCF ne viennent pas seulement d'une vanité d'appareil.
Elles tiennent au passé trotskiste que Mélenchon limite à "trois ans", ce qui est supposé satisfaire les uns et les autres, mais suscite une méfiance inguérissable chez les vieux "stals".
Tout le monde sait bien pourtant place du colonel Fabien que le jeune Pierre Laurent, continuateur de son père l'apparatchik Paul Laurent ne dispose encore d'aucun prestige personnel. Depuis le record de Duclos en 1969, qui obtenait encore 21,27 % des voix le score des candidats communistes au scrutin présidentiel avait constamment décliné en raison même de leur ton grisâtre : après les 15,35 % de Marchais en 1981, 1988 voit Lajoinie à 6,76 %, en 1995 légère remontée de Hue à 8,64 %, mais en 2002 le même secrétaire général tombe à 3,37 %, et enfin en 2007 la très inodore Marie-George Buffet s'effondre à 1,93 %. Ces résultats reflètent la déstructuration progressive d'une organisation déboussolée par la chute de l'Union soviétique. Il faut absolument se garder d'y voir en revanche la disparition de l'influence marxiste. Le poids cumulé du robespierrisme, de l'épuration, de la décolonisation, de 40 ans d'école et de culture soixante huitardes ne s'est pas divisé par 10. Ne nous illusionnons pas.
Pour la plus grande gloire de Marx et Engels, la promotion d'un "compagnon de route", voire d'un "utile idiot" peut préparer l'avenir en "plumant la volaille" de l'aile gauche du parti socialiste.
Mais en l'occurrence ce que les bons vieux cocos redoutent en Mélenchon, l'innovation presque totale, consiste à mettre en avant un produit trotskiste. Ce qui s'est appelé la "Gauche socialiste" (2) est essentiellement composé, en effet, d'anciens adeptes des divers débris de la Quatrième Internationale (3). Ces honorables citoyens, que l'on retrouve aussi chez les strauss-kahniens supposés rassurants, ont presque tous été recyclés par le grand orient de France. En dépit de tels liens fraternels la réconciliation entre eux et les fondateurs du front de gauche n'appartient pas au domaine du probable à court terme.
De celui-ci l'appareil du parti communiste représentera au contraire, selon la recette du pâté d'alouette, plus de 90 % des troupes et des cadres. La campagne de Mélenchon est axée d'ores et déjà sur une lutte chauvine et collectiviste, à la fois anti mondialisation et anti européenne. On se doute bien, selon la personnalité que les primaires du PS auront désignée que l'objectif de séduire une part de l'électorat socialiste, c'est-à-dire de la drainer vers un programme de plus grande réglementation, de plus forte fiscalité, etc. représentera une tâche plus ou moins facile. La gouaille rageuse, l'aplomb invraisemblable et la mauvaise foi du candidat n'y suffiront pas nécessairement. Il ne rencontrera guère de difficulté cependant à dépasser le score de Marie-George Buffet en 2007.
Notes
1 - cf. la recension de l'émission cliquez ici
2 - cf. Christophe Nick "Les Trotskistes" Fayard 2002, 615 pages
3 - Il s'agit du groupe Lambert cf. Philippe Campinchi "Les Lambertistes un courant trotskiste français" Balland, 2000, 316 pages
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mercredi, 27 avril 2011
L’alchimie tribale libyenne...
Par Bernard Lugan
La nouvelle selon laquelle le colonel Kadhafi aurait ordonné à son armée de se retirer de la ville de Misrata pour y confier le rétablissement de l’ordre aux tribus qui lui sont loyales, permet de mettre en évidence la grande réalité tribale sur laquelle repose la vie sociale libyenne [1].
Le problème, lorsque l’on parle des tribus de Libye tient au fait que nous sommes en présence d’ensembles divisés en une infinité de clans et de sous clans aux alliances fluctuantes et aux zones d’habitat mouvantes. On recense ainsi environ 150 tribus et clans dont la plupart vivent éclatés sur plusieurs régions et dont les intérêts sont régulièrement contradictoires. Ces tribus ne constituent pas des blocs homogènes unanimement rangés dans un camp ou dans l’autre. Ainsi, au sein même des Gaddafa, la tribu du colonel Kadhafi, l’un des cousins de ce dernier, Ahmed Gaddaf al-Dam est passé chez les insurgés. S’agit-il d’une adhésion sincère ou d’une habitude bédouine de ménager une porte de sortie pour les siens? L’histoire le dira.
Entre ces tribus et ces clans, les apparentements familiaux sont étroits, ce qui fait qu’en dépit des combats, les liens qui ne sont jamais rompus peuvent donc être renoués à tout moment. Deux exemples :
1) Les liens historiques et matrimoniaux entre la tribu des Gaddafa et certaines composantes des Warfallah sont anciens. Au mois de mars 2011, quand une majorité de clans warfallah abandonna le colonel Kadhafi, le chef de la branche warfallah de Beni Wallid « capitale » historique des Warfallah déclara qu’il ne considérait plus Kadhafi comme un « frère ». Certes, mais les liens du sang demeurent qui permettront, un jour, de procéder à des retrouvailles…
2) Toujours au mois de février, Seif al-Islam, fils du colonel Kadhafi, prononça un discours télévisé dont la portée a échappé à bien des observateurs. S’adressant aux rebelles de Cyrénaïque, il parla de ses « oncles d’el Baida », un des bastions de l’insurrection et centre de la tribu des Barasa. La raison de cette adresse était claire : le coeur de la confédération tribale de Cyrénaïque est la tribu Barasa, celle de l’ancien roi Idriss ; or, la seconde femme du colonel Kadhafi, Safeya Farkash al-Baraasa, mère de Seif al-Islam, est une Barasa. En parlant à « ses oncles d’el Baida», Seif al-Islam tentait donc de rallier le lignage de sa mère au régime de son père.
Pour ce qui est des grandes tribus, à la date à laquelle ces lignes sont écrites (24 avril 2011), la situation est la suivante :
Les Warfallah (Werfella) qui forment la principale tribu de Libye et qui sont divisés en plus de 50 clans que l’on retrouve dans toute la partie septentrionale du pays, avec une assise en Cyrénaïque dans la région des villes de Benghazi et de Dernah, mais qui sont également présents en Tripolitaine, se sont majoritairement rangés dans le camp des rebelles. Plusieurs de leurs clans, notamment une partie de ceux résidant en Tripolitaine sont cependant demeurés loyaux au colonel Kadhafi. Pour mémoire, l’opposition entre certains clans warfallah, essentiellement ceux de Cyrénaïque, et le régime libyen, remonte à l’année 1993 quand plusieurs dizaines d’officiers accusés de complot furent arrêtés et certains exécutés.
L’ensemble Maghara (al-Maghara) de Tripolitaine est en majorité demeuré fidèle au régime du colonel Kadhafi. Quant aux tribus du Sud, elles n’ont pas la même importance démographique que celles du nord, mais elles sont demeurées loyales. Elles auraient à craindre de représailles de la part des insurgés de Cyrénaïque si ces derniers étaient vainqueurs car elles ont fourni au colonel Kadhafi ceux qu’ils nomment les « mercenaires », alors qu’il s’agit largement de Libyens « noirs », à commencer par les Toubou du Fezzan.
Pour ce qui est des tribus berbères ou dites berbères, soit entre 10 et 15% de la population totale, la situation n’est pas homogène. Il est important de rappeler que le fond de la population de Libye est Berbère (Amazigh) et que son arabisation s’est produite aux XI-XII° siècles, sous les Fatimides d’Egypte, avec l’arrivée des tribus bédouines arabes Beni Hilal et Beni Salim.
Les Touaregs qui sont des Berbères, soutiennent le régime Kadhafi tandis que les Berbères de l’ouest, notamment ceux de la région du djebel Nefusa et de la ville de Zwara vers la frontière tunisienne, comme d’ailleurs ceux de l’est se sont clairement rangés du côté des rebelles.
Source L'Afrique réelle cliquez ici
[1] 15% seulement de la population du pays est détribalisée et vit en majorité dans les villes de Tripoli et de Benghazi (Al-Haram Weekly).
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mardi, 26 avril 2011
CEUX QUI FINANCENT LE BLASPHEME D'AVIGNON. Ne les oubliez pas lorsque vous ferez vos cadeaux pour la prochaine Fête des mères...
17:00 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Du regroupement familial à la colonisation…
Par Roland Hélie
Directeur de
Synthèse nationale
A la fin du mois de mars, le drapeau français qui flottait au fronton de la mairie de Florensac, dans l'Hérault, a été arraché et remplacé par le drapeau algérien. Ce fait divers, devenu hélas relativement banal dans notre pays, démontre à lui seul le degré de déliquescence auquel nous sommes arrivés. Cette provocation est en effet loin d’être isolée.
On ne compte plus les actes d’incivilités perpétrés par des jeunes - ou des moins jeunes - souvent issus de l’immigration, qui réduisent de jour en jour l’autorité de l’Etat. Mais, comment pourrait-il en être autrement lorsque l’on constate l’abdication constante de celui-ci face à l’islamisation rampante de notre nation.
Certains estiment qu'ils sont ici chez eux et qu’ils ont ainsi tous les droits, y compris celui de considérer que la France pourrait, à terme, devenir une excroissance de l’Algérie.
Après avoir pris l’habitude de siffler la Marseillaise dans les tribunes des stades lors des matchs de football opposant la France à l’Algérie (ou à n’importe quel autre adversaire d’ailleurs…), ils se croient maintenant autorisés à hisser le drapeau de leur pays d’origine sur nos bâtiments administratifs. Pourquoi se gêneraient-ils ? Après tout, le Système ne fait pas grand-chose pour les en dissuader.
La fin de notre nation et de notre civilisation sera vite arrivée si rien n’est fait pour enrayer cette triste dérive.
Mais comment en est-on arrivé là ?
Au début des années 60, le grand patronat français (en particulier ses branches du bâtiment et de l’automobile), avide de profits immédiats et déjà pourri par l’idéologie mondialiste, préféra encourager l’immigration plutôt que de procéder à la robotisation de notre industrie. C’est ainsi que des dizaines de milliers de déracinés arrivèrent du Maghreb et d’Afrique noire pour travailler en France. Les conditions de vie qui leurs furent réservées n’avaient rien d’enviables et beaucoup durent s’entasser dans des logements souvent insalubres dans les quartiers périphériques de nos agglomérations.
Il faut dire que tout le monde trouvait son compte dans cette affaire. Le patronat avait sa main d’œuvre docile et facile à exploiter et la gauche voyait poindre un nouveau prolétariat beaucoup plus maniable que les travailleurs français qui avaient, à ses yeux, une fâcheuse tendance à s’embourgeoiser.
Mais en 1974, ce fut l’élection à la Présidence de la République de Giscard d’Estaing et l’avènement de sa « société libérale avancée ». Une espèce de fourre-tout idéologique qui destiné à rassembler les Français « au centre » et qui se termina par une véritable catastrophe, à savoir l’arrivée de la gauche socialo-communiste aux affaires.
Parmi toutes les décisions qui furent prises par le gouvernement de l’époque, au nom de cette « société libérale avancée », l’une passa pratiquement inaperçue. Après l’abaissement de l’âge de la majorité à 18 ans et la légalisation de l’avortement, personne, ou presque, ne s’attarda sur ce regroupement familial que Giscard et son Premier ministre de l’époque, un certain Jacques Chirac, instaurèrent avec la plus grande discrétion en avril 1976. Et pourtant, cette calamiteuse décision allait avoir des conséquences incalculables. De l’immigration de travail, on passait subitement à l’immigration de peuplement avec tout ce que cela devait entraîner.
35 ans plus tard, les résultats sont là… ils sont terrifiants. On brule le drapeau français, on siffle notre hymne national, les bandes ethniques terrorisent les populations autochtones les plus vulnérables, l’islam s’implante dans la société française, petit à petit notre identité nationale et européenne se dilue, la France fonce droit vers sa disparition en tant que nation homogène, libre et prospère. Merci le patronat mondialiste, merci la gauche, merci Giscard, merci Chirac, merci le Système…
Ne pas succomber à la facilité du renoncement…
Mais rien n’est perdu. Ce que l’Histoire a fait, l’Histoire peut le défaire. Dans le passé, à plusieurs reprises, la France a frôler sa perte et, à chaque fois, elle s’est relevée. Il n’y a pas de fatalité du déclin. Le mouvement nationaliste et identitaire qui se développe dans notre pays prouve que nos compatriotes, de plus en plus nombreux, n’entendent pas laisser la France devenir une nation d’esclaves de la sharia.
Mais il ne sert à rien de se polariser sur les effets de l’immigration. En publiant ce numéro de Synthèse nationale consacré, en partie, au regroupement familial, nous avons voulu dénoncer l’une des causes profondes de la dramatique situation actuelle. Certes, elle n’est pas la seule, mais elle méritait d’être rappelée tant ses conséquences directes ou indirectes sont néfastes pour notre Peuple.
En fait le mal vient-il de l’immigration ou de ceux qui ont souhaité, engendré et amplifié la politique d’immigration ? La question mérite d’être posée.
Editorial publié dans le n°22 (mars avril 2011) de la revue Synthèse nationale.
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Jeudi soir : Patrick Gofman au Local...
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lundi, 25 avril 2011
Samedi 7 et dimanche 8 mai : une fin de semaine offensive pour les nationalistes !
Samedi 7 mai, dans un grand hôtel parisien, 4ème Conseil national de la Nouvelle Droite Populaire cliquez ici
Dimanche 8 mai, à 10 h 00, Place de la Madeleine, manifestation nationaliste unitaire contre le mondialisme. Défilé jusqu'à la place des Pyramides, prises de parole devant la statue de Jeanne d'Arc.
La NDP participe à la manifestation nationaliste unitaire du dimanche 8 mai à 10 h 00 à la Madeleine.
Dimanche après-midi, hommage national à Jeanne d'Arc organisé par l'Institut Civitas.
Dimanche après-midi, réunion de la 1ère internationale solidariste, à l'initiative de Troisième voie
10:20 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Avez-vous pensé à commander le numéro 22 (mars-avril 2011) de la revue Synthèse nationale ?
Au sommaire :
Du regroupement familial à la colonisation...
L'Editorial de Roland Hélie
Pierre Vial : Notre Mission…
Pierre Sidos : Penser global, agir national…
Un dossier sur les 35 ans du regroupement familial avec des contributions de : Véronique Bouzou, enseignante et écrivain, Anne Kling, écrivain, Pierre Vial, universitaire, Arnaud Raffard de Brienne, essayiste et spécialiste de la désinformation, Luc Pécharman, membre du Bureau national de la NDP…
Marc Noé : Pour l’abrogation des lois antiracistes et liberticides…
Philippe Pinson : 21 juin 1973, le premier meeting contre l’immigration…
Hugo L S : Nation et Justice sociale, Justice sociale et Troisième voie…
Un entretien avec Jean-Claude Rolinat sur Eva Peron…
Luc Barbulesco : Les pensées secrètes de l’humanité Proud’hon théologien ?
Yves Darchicourt : L’affaire du faux Baudouin en Flandre et en Hainaut…
Jean-Paul Chayrigues de Olmetta : In vitos veritas…
Francis Bergeron : Le mystérieux Monsieur Zaharoff…
Les rubriques de Patrick Parment, Lionel Baland, Philippe Randa, Patrick Gofman, Pieter Kerstens…
N°22 Mars Avril 2011 – 134 pages, 12,00 €
Abonnez-vous !
6 numéros : 50,00 € Soutien 100,00 €
Bulletin d'abonnement cliquez ici
10:19 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Lampedusa : reccord d'affluence...
Par Yves Darchicourt
760 d'un coup ! 760 prétendus réfugiés, entassés sur un bateau parti de Zwara en Libye sont parvenus mardi dernier à Lampedusa. Essentiellement composée d'hommes originaires d'Afrique Noire, la horde avait précautionneusement embarqué des enfants et des femmes (dont un certain nombre en état de grossesse) sans doute pour faire pleurer dans les chaumières européennes médiatiquement sensibilisées.
Tout ce beau monde va ré-embarquer... non pas vers la Libye ou les pays d'origine mais vers le sud de la péninsule italienne. Un petit coup de baguette magique va très vite y transformer les clandestins en demandeurs d'asile-chances pour l'Europe.
Comme l'a fait remarquer le ministre italien des affaires étrangères "la vengeance de Kadahafi a commencé". De fait, Mouammar n'a peut-être pas d'armes de guerre sophistiquées pour faire face à l'agression de la "coalition internationnale" cornaquée par l'Oncle Sam et ses sous-fifres européens mais il a d'inépuisables réserves d'Africains qui ne rêvent que d'émigration et dont il peut organiser le débarquement... en Europe.
Le pire reste à venir !
09:39 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Les terroristes de l'hygiénisme...

Ces jours-ci, une nouvelle campagne est lancée contre les fumeurs… via leurs paquets de cigarettes qui seront désormais décorés “d’images chocs”, dignes des pires films d’horreur de la Hammer ou, plus simplement, du quotidien des sanatoriums : tumeurs malignes par-ci, poumons pourris par-là, dents avariées, boutons purulents, ganglions crevassés et abcès de toutes les couleurs… Nul doute que voilà une idée qui tentera sans doute le très médiatisé artiste Andrès Serrano, celui qui vient de mettre en scène un crucifix trempé dans son urine pour une exposition plus scandaleuse qu’artistique en Avignon…
Reste évidemment à savoir si cette énième campagne d’informations portera ses fruits, voire quelques fruits ou non… L’avenir le dira, mais la tâche est ardue, sachant, comme le rapportait Le Figaro en octobre dernier qu’“en 2010, près d’un adulte sur trois fume quotidiennement ou de manière occasionnelle en France. Soit environ 15 millions de personnes, âgées de 15 à 75 ans. Un nombre en hausse “pour la première fois de manière significative depuis la loi Evin” a précisé lundi l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (INPES), en rendant publics les résultats du Baromètre santé 2010. En cinq ans, le pourcentage de fumeurs quotidiens a ainsi augmenté de 2 points, pour atteindre 28,7 % de la population, tandis que les fumeurs occasionnels se maintiennent à 4,7 %.”
Ce qui tenterait à prouver que plus on harcèle les fumeurs, moins il y a de résultats…
Dans la même logique, on se demande pourquoi terroriser ainsi les seuls fumeurs…
Pourquoi ne pas obliger les propriétaires de voiture à repeindre celles-ci avec des carcasses de véhicules accidentés où apparaîtraient des visages explosés, des cadavres sanguinolents, des bras et jambes broyés, etc. ?
Pourquoi ne pas obliger les fast-foods à orner leurs vitrines de fresques explicites sur les dégâts que leurs matières grasses provoquent sur l’organisme humain ?
Pourquoi ne pas obliger les banques à afficher à l’entrée de leurs agences le nombre de ménages surendettés par les crédits à la consommation ? Le nombre de clients ruinés par les placements foireux de leurs Conseillers ?
On pourrait ainsi décliner à l’infini les obligations des uns et des autres pour une plus saine vie citoyenne…
09:38 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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dimanche, 24 avril 2011
Ce soir, Méridien Zéro reçoit la rédaction d'Eléments...
10:27 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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LAIBACH A PARIS, DIMANCHE 8 MAI, A 19 H 00...
10:22 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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C'était vendredi dernier (Vendredi Saint) à Rome !
Nouvelle provocation ? Façon spectaculaire d'avancer ses pions ? Vendredi dernier, au coeur de Rome, devant le monument Victor Emmanuel (appelé aussi "la machine à écrire"), l'Islam s'impose, lentement mais sûrement, dans le paysage italien...
09:58 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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samedi, 23 avril 2011
Piss Serrano, tirons la chasse !
Par Yves Darchicourt
Le grand coup de gueule citoyen n'aura pas suffi, l'exposition "Je crois aux miracles" continue en Avignon avec comme "oeuvre" phare le Piss Christ de Andres Serrano, l'Afro-cubain catapulté artiste photographe et créateur de génie par les galleristes new-yorkais dont on connait, sinon le goût en matière artistique, du moins le nez infaillible pour faire du fric avec les parvenus du monde entier, irrésistiblement attirés par le scandaleux, le scatologique, le macabre et le pornographique. Le gugusse est une trouvaille dans le genre, un omnubilé permanent du sexe, du morbide et du pervers sur fond de fantasmes religieux, le tout intimement mêlé dans des montages du style "défunt au chapelet reposant sur un sexe exhibé", "femme torturée à côté d'un cardinal" ou encore "religieuse s'adonnant au plaisir solitaire". On l'aura compris, ce n'est pas n'importe quelle religion qui est l'objet des élucubrations dégénérescentes de l'olibrius qui se garderait bien de fixer pour l'éternité une "main de Fatima dans la culotte d'un zouave", des "rouleaux d'étrons dans l'Arche d'Alliance" ou une grandissime "défécation des droits de l'homme"... Pour réussir dans le genre, l'homme se devait de donner dans le christianophobe et plus particulièrement dans le catophobe !
C'est sans doute ce qui explique l'ampleur médiatique donnée au raid iconoclaste de dimanche dernier et aux glapissements indignés du monde politico-boboesque. L'affaire va sans doute doper les ventes des futurs tirages de la photographie mais elle permettra aussi de faire remarquer qu'en France, le cliché d'un Christ en Croix plongé dans l'urine est exposé et protégé comme création artistique alors que dans le même temps un jeune homme est condamné pour avoir pissé sur un Coran.
Et puis nos compatriotes seront aussi heureux d'apprendre que cette exposition présente la collection du richissime négociant en "art" et soit-disant mécène Yvon Lambert dont la Fondation éponyme est subventionnées à 100% par des fonds publics (Etat-PACA-ville d'Avignon qui lui a octroyé en outre un petit Noël de 45 000 €) : un million d'euro par an en échange d'une promesse de don à l'Etat de 350 bidules rebaptisées "oeuvres"... en 2030 !
L'argent du citoyen-contribuable détourné par de prétendues "élites intellectuelles" pour financer les aberrations pseudo-artistiques d'invalides du neurone cornaqués par des spéculateurs en "art contemporain", voilà qui, au-delà des coups de gueule, pourrait bien justifier des coups de triques.
11:27 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Lettre ouverte aux enseigants qui emmènent leurs éléves voir le Piss-Christ :
![vero[1].jpg](http://synthesenationale.hautetfort.com/media/02/00/1249101541.jpg)
11:21 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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La Rochelle : palme d'or de l'ethnomasochisme et de la collaboration... et du ridicule.
Le 26 mars dernier, à l’appel d’Amnesty International, du Club de l’Unesco, du MRAP, de la Ligue de l’Enseignement, de la Ligue des Droits de l’Homme et du Centre départemental d’Information Jeunesse (Ministère de la Jeunesse et des Sports), des habitants de La Rochelle se sont retrouvés pour danser à la manière des Africains et célébrer la « diversité ». Absolument pathétique...
Source FDessouche, via Thomas Joly (cliquez ici)
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vendredi, 22 avril 2011
Une grave crise politique...

L’abstention majeure, les scores dérisoires du parti au pouvoir, les résultats médiocres du PS montrent que la classe politique est maintenant totalement rejetée par le peuple.
Bien que le FN ait perdu 100 000 voix par rapport à 2004, ses résultats montrent que les Français attendent une véritable alternative et seraient prêts à se tourner vers une autre force dès lors qu’elle serait crédible et rassembleuse.
Le Bureau national du MNR estime en conséquence qu’il faut tout mettre en œuvre pour ouvrir enfin aux Français la voie de renouveau indispensable à l’avenir de notre pays. Et il se déclare prêt à prendre toute sa place dans cette nécessaire entreprise de redressement national.
20:07 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Franck Abed donnera une conférence à Paris le mercredi 27 avril sur le thème : pourquoi être royaliste aujourd'hui ?
Contact : reservation@franckabed.com
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Vendredi, c'est le jour de Rivarol !
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Fierté ?
Edito de Nicolas Gauthier
Publié dans Flash
n°64 du 20 avril 2011
Pissing Christ ? Une photo du Christ en croix trempée dans un bol d’urine et exposée durant la Semaine sainte à Avignon, Cité des Papes tant qu’à faire. Plus fort que la pissotière de Duchamp, exposée dans un musée de New York et dans laquelle un néo-dadaïste s’est d’ailleurs soulagé, rendant ainsi à l’objet sa fonction première tout en manquant de peu la prison ferme.
D’autres adeptes de cet art qui dérange ont encore plus dérangé les artistes dérangeants en fracassant le Pissing Christ à coups de tournevis et de marteau. Des “barbares”, a couiné, tout énervé, le conservateur du musée. Les barbares ont dû avoir peur. Prendre un sac à main en pleine face, ça peut changer la vie d’un homme. De son côté, Claire Chazal, encartée à la CFTC chez Bouygues (TF1), a évoqué la destruction de la photographie controversée d’Andres Serrano, représentant “un crucifix trempé dans l’urine du Christ”. On imagine qu’il était exposé à côté du crâne d’Hitler enfant et d’une sesterce romaine frappée de cette mention : “500 avant J.C.”…
Et maintenant, que faire ? Comme aurait dit Lénine ou Gilbert Bécaud. S’indigner ? Se dire que si le Serrano en question – mais un artiste portant un nom de jambon est-il vraiment sérieux ? –, avait voulu faire parler de lui en trempant une Torah dans un pot à merde ou un Coran dans une bauge à cochons, il aurait été pendu depuis longtemps ? Qu’il y a des religions dont il est licite de se moquer et d’autres qu’il est autrement plus risqué de railler ? On sait tout cela ; alors, à quoi bon radoter…
Plus inquiétant est le message que cette guignolade envoie de la France au reste du monde. Au moment où le judaïsme se radicalise de plus en plus et ou l’islam relève la tête, est-il bien opportun de laisser entendre que le catholicisme, ayant abdiqué toute dignité, est en train de se faire dessus. Parce que les fantaisies de Serrano ou d’Herta ou de Justin Bridou, peu importe, ne sont que peu de chose face à l’invraisemblable lâcheté d’un clergé catholique plus prompt à cracher sur Le Pen ou à brailler en chœur avec les immigrés clandestins qu’à lutter contre l’avortement de masse et à défendre ces valeurs qui, par nature universelles, les dépassent de loin. Il est un fait qu’ils sont, à tous les sens du terme, dépassés. Autrefois, les soutanes servaient au moins à masquer des couilles qui ne servaient pas forcément toujours, mais qui au moins étaient là. Aujourd’hui, cette église préfère la transparence, sachant qu’elle n’a plus rien à cacher. Au fait, ce qu’ont fait ces barbares, c’est très mal. Mais il n’y a pas non plus de mal à se faire du bien.
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La chronique de la France asservie et résistante...
Chronique de Robert Spieler
Publiée dans Rivarol
n°2995 du 15 avril 2011
Très intéressant article de Louis Chagnon dans le numéro de mars de la revue de Bernard Antony, Reconquête (70 bd Saint-Germain 75005 Paris, 4,5 euros). Son titre : la dhimmitude casher. Chagnon relève l’étrange attirance de certains juifs pour l’islam. Il les passe en revue. Voici Jacques Attali, ce grand bourgeois cosmopolite qui déclare que « l’islam est une des dimensions de la civilisation européenne, depuis l’origine de l’islam et depuis l’origine de l’Europe ». Une absurdité que tous nos lecteurs relèveront et qui fera retourner dans leur tombe Charles Martel et Isabelle la Catholique. Mais Attali insiste : « Pour la France, d’avoir plusieurs millions de Français qui parlent arabe, dont la culture est arabe (…), c’est un atout extraordinaire, extraordinaire ! Qu’il faut valoriser, qu’il ne faut pas antagoniser (sic !) » . Si ce pompeux imbécile continue à nous donner des leçons de Collaboration, nous allons finir par l’antagoniser d’importance… Une petite anecdote, histoire de rire un peu, qu’Eric Orsenna, académicien, et très proche de François Mitterrand, a racontée à un de mes amis. Mitterrand organisait régulièrement des dîners à son domicile, rue de Bièvre, entouré de ses plus proches amis. Dont un dîner avec Attali et… René Bousquet, ancien secrétaire général à la police, sous le régime de Vichy et, à ce titre, accusé des pires turpitudes. A la fin de la soirée, Bousquet s’étant retiré, Mitterrand, quelque peu sadique, demanda aux convives : « Savez vous avec qui vous avez dîné ce soir ? » Il paraît qu’Attali tirait une de ces tronches…
La dhimmitude casher
Le suivant sur la liste est l’inénarrable Bernard Kouchner qui, ministre des Affaires étrangères, avait invité les ambassadeurs des pays arabes, dont bien sûr la Libye, à un dîner de fin de ramadan. Emu, il déclara : « Je suis heureux de dire devant vous ce soir : nos communautés d’origine maghrébine, turque, africaine ou pakistanaise, sont une richesse, un pont vers vos cultures et vos civilisations ». Un pont, peut-être, mais un pont qu’il convient de dynamiter vite fait, bien fait…
Esther Benbassa, née à Istanbul, est quant à elle tout à fait représentative de l’intellectuelle juive à l’idéologie pervertie. Elle veut bien admettre qu’il y a un débat à mener sur l’identité. « Mais pour cela, encore faudrait-il que nos dirigeants aient la volonté de le faire pour ajuster leur politique (cad pour se coucher devant le camp de la trahison) et renoncent à ressortir la vieille panoplie nationaliste, instruction civique des adultes, Marseillaise obligatoire… » Et de conclure : « Et pourquoi pas des camps de rééducation ? » Celle là, on s’en occupe : un charter pour Istanbul… Et pour conclure, évoquons les « dialogueux » juifs et en premier lieu la famille Rothschild, dont Edouard de Rothschild, dont la fortune est estimée à plus de 300 millions d’euros et permet de financer le quotidien Libération qui « dialogue » intensément avec l’islam. Rothschild vient de prendre la nationalité israélienne, d’après lui pour des raisons purement équestres, car il espère intégrer l’équipe d’équitation israélienne. Citons aussi le Congrès mondial des imams et des rabbins pour la paix et la fondation Edmond de Rothschild qui explore « les différentes voies possibles au dialogue entre les communautés musulmanes et juives ». Un sacré programme qui devrait passionner les Palestiniens… Le grand rabbin de France, Gilles Bernheim, dont nous avons déjà eu l’occasion de parler dans Rivarol, déclare : « Je suis contre l’interdiction de construire des minarets, qui a été votée en Suisse ». Mais de quoi cet oiseau donneur de leçons se mêle-t-il ? Qu’attend-il pour se rendre en terre d’islam exiger l’arrêt des persécutions contre les Chrétiens et demander la construction d’églises, avec des clochers, en Algérie, en Arabie Saoudite, en Egypte, etc… Quand à Richard Prasquier, président du CRIF, le Conseil représentatif des Institutions juives de France, devant lequel viennent se prosterner les responsables politiques de gauche et de droite, il a envoyé une lettre très émue à son homologue musulman, président du CFCM, Mohammed Moussaoui, pour lui présenter ses meilleurs vœux à l’occasion de l’Aid El Adha. Une lettre où il « exprime, au nom de la communauté juive de France, sa forte désapprobation envers les réactions populistes qui avaient conduit, en Suisse, à une votation interdisant la construction de minarets ». Et de préciser, lors du récent dîner du CRIF : « La lutte contre le racisme est notre lutte. Nous ne voulons pas que le mot islam remplace le mot juif dans les fantasmes de diabolisation.(…) Nous voulons que les gens du voyage bénéficient des mêmes papiers que tous les citoyens de notre pays ». Et le reste à l’avenant… Mais de quoi se mêlent-ils ? De quoi se mêlent-ils ? Ils commencent sérieusement à nous les chauffer…
Et voila qu’ils pissent sur le Christ
A Avignon, une exposition artistique dénommée « je croix (sic) aux miracles » est organisée autour de la photo d’un Christ plongé dans l’urine. Des affiches de cette photo blasphématoire, appelée « Piss Christ », sont exposées publiquement dans les rues de la ville. Ceux qui financent cette ignominie ? Le Ministère de la culture de Sarkozy, la mairie UMP, le conseil régional PS, le groupe LVMH (Dior, Guerlain, Moët, Hennessy), mais aussi la SNCF et la Fondation Cartier. Le groupe LVMH, qui est un gros contributeur, se définit comme « l’ambassadeur de l’art de vivre occidental dans ce qu’il a de plus raffiné ». On comprend pourquoi la société Hermès s’est battue récemment pour ne pas être engloutie dans ce groupe aux pratiques dégénérées. Alain Escada, secrétaire général de Civitas mène l’offensive. Il rappelle qu’aux Etats-Unis, puis en Australie, cette photo avait été retirée. Il exige son retrait immédiat, la destruction de tous les supports de communication utilisant cette photo (affiches, panneaux municipaux, brochures, etc…) et l’arrêt de tout financement public et privé de cette exposition (un million d’euros par an). Soutenons la vigoureuse riposte de Civitas. Exprimez votre indignation ! Téléphonez à la mairie d’Avignon : 04 90 80 83 85, au Club des actionnaires de LVMH : 01 44 13 22 22, au secrétariat du président du conseil régional : 04 91 57 50 57. Harcelons-les !
Ah, au fait, pas d’émotions du côté du grand rabbin, du CRIF, des institutions musulmanes, du Grand Orient, des ligues de vertu idéologiques. Imaginons une seule seconde le scandale planétaire qu’aurait suscitée la photo d’un rabbin avec papillotes ou du Prophète Mahomet, plongée dans l’urine.
« Ils » ont saccagé toute l’église.
C’était mardi 29 mars, à Conas dans l’Hérault. Pénétrant dans l’église par le vitrail qu’ils avaient brisé, « ils » ont mis le feu à l’harmonica et à la sacristie, cassé des chaises et des bancs, des croix et des statues, et puis, sont repartis. Il y a quelques jours, c’est le drapeau français qui flottait au fronton de la mairie de Florensac, toujours dans l’Hérault, qui était arraché et remplacé par le drapeau algérien. Alors ? On fait quoi avec « ils » ?
De sacrés combattants, ces catalans !
J’étais invité, il y a quelques jours, au cinquième congrès du mouvement identitaire catalan Plataforma Catalunya qui avait lieu à proximité de Barcelone. Un jeune mouvement régionaliste, pas indépendantiste. D’un dynamisme incroyable, en puissante progression. Présidé par Josep Anglada, entouré de August Armangol et d’Enrique Ravello. Ils viennent d’échouer de peu à entrer au parlement catalan, mais ont la certitude, d’après les sondages d’augmenter massivement le nombre de leurs élus municipaux, aux élections qui auront lieu dans un mois. Une centaine de têtes de liste furent présentées, représentant plus de 1500 candidats, ce qui est un exploit pour un mouvement si jeune. Harald Vilimsky, secrétaire général du Fpoe autrichien et notre amie Hilde de Lobel, du Vlaams Belang flamand étaient présents et prirent la parole. Mario Borghezio, député de la Lega Nord, avait envoyé un message de soutien. Un discours de Josep Anglada sans concession : résolument contre l’invasion et pour la libération de l’Europe. Résolument contre le libéralisme tueur de peuples et contre le capitalisme mondialiste. J’ai soulevé, je l’écris en toute modestie, l’enthousiasme des congressistes en déclarant : « Le combat pour notre libération est ici, en Europe, pas en Afghanistan, pas en Iran, pas en Palestine, et pas en Israël. Nos soldats européens n’ont pas vocation à mourir, ni pour Washington, ni pour Tel Aviv. »
Inutile de vous dire que nos amis de Plataforma Catalunya n’ont aucune intention de se rendre en Israël, comme l’ont fait récemment certains mouvements nationalistes européens, afin d’y recueillir une illusoire respectabilité.
Un amusant poisson d’avril
Si non e vero, bene e trovato. Etant de nature sceptique, je n’y ai pas cru une minute. L’information, qui semble pourtant très sérieuse, mais qui a été diffusée le 1er avril, circule sur divers sites nationalistes. La Halde aurait nommé une commission d’étude en charge de définir les conditions de remplacement de l’hymne national français, La Marseillaise, par un hymne plus « consensuel », de même que les couleurs bleu blanc rouge, par un drapeau « respectant plus la diversité ». Ce rapport, selon l’article qui a toutes les apparences de la rigueur, serait attendu pour l’automne prochain. La Halde considère comme une évidence « la désaffection des Français pour les défilés militaires, le patriotisme et les drapeaux tricolores », et observe « un rejet évident » des « minorités visibles » à l’encontre de tout ce qui peut rappeler le patriotisme et la nation ainsi qu’elles s’expriment dans les couleurs nationales actuelles et dans les paroles de La Marseillaise. Cette dernière est devenue, de fait, obsolète et doit être remplacée. Les personnalités en charge de ce rapport seraient Bernard-Henri Lévy, Abderrahmane Dahmane ou encore Patrick Gaubert. Ces symboles, trop marqués par « le rejet de l’autre » et trop souvent l’objet d’instrumentation politique de partis extrémistes, sont l’expression de ce refus d’ouverture sur le monde. Au nom d’une « diversité toujours plus riche », il y aurait nécessité, urgence même, à combattre « les nostalgiques du patriotisme » et les « revendications nationalistes », afin de « réaliser une réelle reconversion des symboles nationaux » en mettant en avant, par exemple « les victimes du racisme ». La Halde proposerait d’ores et déjà de reprendre comme couleurs nationales celles de l’arc en ciel (le symbole des homosexuels) et comme hymne un texte qui est encore à définir mais dont la musique s’inspirerait de La Truite de Schubert… Félicitons l’auteur de ce texte parfaitement parodique. Quoique… Avec ces dingues, tout est possible. Et si c’était vrai ?
Le charabia écologiste
Sous le titre « L’écofolie ou la perversion du langage », Michel de Poncins recense dans Tocqueville magazine tous les poncifs du charabia écologiste, repris à la volée par tout ce que la France compte d’hyènes manipulatrices et de moutons crétins. Parmi ces termes magiques, « développement durable ». Personne ne sait ce que cela signifie, mais il est du dernier chic, dans les soirées bobo ou dans les assemblées d’élus de le prononcer, avec un air pénétré. Comme personne n’en comprend le sens, pas de risque d’être contré. « Sauver la planète », ça, tout le monde comprend. Ca vous donne un petit air Batman ou Superman qui vous pose son homme. Etre « eco-responsable » ! Alors là, vous marquez des points ! « Promouvoir l’environnement » (ne pas le promouvoir, c’est simple, vous êtes un salaud), des « fonds socialement responsables » (le fonds Madoff était socialement responsable, mais il y a eu un petit couac). Admirez le « socialement » ! Et tout ça, pour investir « pour un monde meilleur ». Les crapules mondialistes adorent planquer leurs turpitudes derrière ces mots magiques qui endorment le « citoyen ». Ah ! « citoyen », voila encore un incontournable ! Faire un geste citoyen en éteignant l’électricité ou en vivant à la lueur des bougies. Ca, c’est fort !
Nous, on va s’y mettre aussi. Je veux dire, au geste citoyen. On va les virer, tous ces clowns…
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mercredi, 20 avril 2011
Les Français jugent que l’intégration ne marche pas
Selon une étude réalisée pour la chaîne LCP-AN, les étrangers ne feraient pas assez d’efforts pour vivre harmonieusement en France.
Un fossé semble se creuser entre les Français et les populations issues de l’immigration. L’intégration des étrangers dans la société d’aujourd’hui est globalement considérée comme un échec. Et ce constat est partagé par les sympathisants de droite comme de gauche. C’est l’enseignement principal de l’enquête réalisée par Harris Interactive pour l’émission « Face aux idées » qui sera diffusée ce soir à 20h30 sur la chaîne LCP-AN avec comme invité Henri Guaino.
Des chiffres bruts, sans équivoque, qui provoqueront peut-être un certain malaise et en tout cas pas mal de réactions.
« Oui, c’est une tendance lourde, juge Jean-Daniel Lévy, de Harris Interactive. Bien sûr, il y a le discours ambiant d’une certaine partie de la classe politique. Les débats sur le voile, les mosquées, les prières de rue, la laïcité, tout cela joue. Mais cela relaie un sentiment fort dans l’opinion. » A la question de savoir si l’intégration fonctionne bien ou mal, les personnes interrogées répondent « mal » à 66%, « bien » à 28%. Deux tiers d’un côté, un tiers de l’autre. A qui la faute? Aux étrangers eux-mêmes, qui « ne font pas suffisamment d’efforts », affirment 76% des Français.
Un sentiment identique chez les électeurs de gauche
A noter que les électeurs de gauche partagent largement ce point de vue (62%). D’ailleurs, pour 51% des sondés la situation se dégrade depuis dix ans. Au final, personne ne semble faire confiance aux hommes politiques pour améliorer les choses. Ce sont les associations (48%), les citoyens (41%) ou encore les enseignants (33%) qui arrivent en tête du classement des acteurs qui pourraient faciliter l’intégration des étrangers, devant les entreprises (23%), les artistes (15%) et les responsables religieux (14%). Les partis politiques ferment la marche avec seulement 11% de réponses positives.
D’une façon générale, la méfiance paraît solidement installée entre les Français et les élites sur la question de l’intégration des étrangers. « Certains événements comme les révolutions dans le monde arabe en Tunisie, en Egypte et en Libye sont présentés comme des bonnes nouvelles par les médias alors qu’ils suscitent beaucoup d’inquiétude chez la plupart des gens, note Jean-David Lévy. Ils y voient surtout un surplus potentiel d’immigrants. »
Source : Frédéric Gerschel, pour Le Parisien du 20.04.2011
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Rivarol titre : "Marine Le Pen épuratrice en chef"
Par Jérôme Bourbon
Comme nous l’avions prédit pendant toute la campagne interne, les purges n’ont pas tardé dans le nouveau FN. C’est le grand nettoyage de printemps. A peine les cantonales terminées, Marine Le Pen a décidé de se débarrasser de tous les éléments encore nationalistes restés au FN. Le 19 avril, une vingtaine de cadres frontistes était ainsi auditionnée par la commission des conflits dont le jeune Alexandre Gabriac, conseiller régional de Rhône-Alpes, accusé par la presse, deux jours avant le second tour du scrutin, d’avoir fait naguère un salut hitlérien, en réalité l’ancien salut olympique en vigueur jusqu’en 1946. Gabriac a écopé d’un blâme de la part de la commission, non pour cette affaire mais pour avoir caché une condamnation pour violence il y a quelques années.
Marine Le Pen, sans prendre le temps de s’informer des travaux de la commission où siégeaient Bruno Gollnisch et Jean-Marie Le Pen qui tous deux pensent qu’il s’agit d’une photo-montage, a exclu Gabriac. D’où le courroux de Bruno Gollnisch qui a bien compris qu’il était visé et qu’il s’agissait pour Marine Le Pen de mettre au pas la fédération du Rhône qui lui est acquise et où militent plusieurs responsables naguère engagés à l’Œuvre française : «Je suis extrêmement étonné que la présidente ait pu prendre cette décision alors qu’elle se trouve à 10 000 kms de là, en vacances en Thaïlande, et qu’elle n’a donc pas pu prendre connaissance des travaux de la commission des conflits» remarque un Gollnisch estomaqué par ces procédés pour le moins expéditifs. Mais pour Lady Papa, ce qui compte, c’est de plaire aux media et à Israël et nullement d’assurer l’unité du camp national.
Le cas Gabriac n’est d’ailleurs pas isolé. Le falot secrétaire général du FN, l’insipide Steeve Briois (au moins lui ne fera pas d’ombre à Mme Le Pen !), a confirmé à Rue89 que Jean-Loup de Lacheisserie et Olivier Wyssa, deux militants historiques du FN proches de Gollnisch, «allaient également être exclus». Ancien secrétaire départemental du FN dans l’Ain, Olivier Wyssa dénonce une «une véritable purge». Accusé de “sabotage” par la direction mariniste du FN pour avoir renoncé à être candidat quelques semaines avant les élections cantonales, Wyssa, brillant intellectuel, estime aujourd’hui ne plus se reconnaître dans les «orientations très républicaines et laïcistes» de Marine Le Pen. Figure historique de l’extrême droite lyonnaise, Jean-Loup de Lacheisserie, militant depuis 1985, partage le même constat et confie à Rue89 : «Marine Le Pen veut éliminer tout le monde et ne souhaite plus avoir de catholiques traditionalistes et de pétainistes. Manque de bol, je me retrouve dans les deux cas.» Ce militant exemplaire a parfaitement compris qui était la cible de Marion dite Marine Le Pen : «A travers nous, c’est Bruno Gollnisch qui est visé.»
L’épuratrice en chef qui depuis 1998 a multiplié les purges, avant-hier contre les mégrétistes, hier contre les compagnons historiques de Jean-Marie Le Pen, ne compte évidemment pas s’arrêter là. Depuis plusieurs semaines, elle dénonce, hystérique, «l’entrisme d’un certain nombre de groupuscules, dont l’Œuvre française». Elle en a encore remis une louche le 30 mars sur la radio israélienne 90FM car lorsqu’il s’agit de stigmatiser des camarades de combat, c’est de préférence devant ses amis israéliens qu’elle les lynche! Steeve Briois a confirmé à la presse que tous ceux qui auraient la double appartenance (Œuvre, FN) seraient exclus du mouvement. Or cette situation n’avait pas gêné jusque-là la direction du FN puisque l’Œuvre ne joue pas la carte électorale et ne représente donc pas une concurrence pour le Front. Est particulièrement dans la mire Yvan Benedetti, coordinateur de la campagne de Gollnisch pendant la bataille de succession et directeur du périodique Droite Ligne. L’exclusion de Benedetti serait «une ultime provocation à l’égard de Bruno Gollnisch» estime Carl Lang qui explique : «Les secrétaires départementaux savent désormais qu’ils ont le choix entre l’allégeance totale à Marine Le Pen ou la disparition.» Quant à Pierre Vial, longtemps conseiller régional de Rhône-Alpes, il estime qu’en «s’attaquant à la fédération Rhône-Alpes, Marine Le Pen choisit de s’en prendre à l’un des derniers symboles de l’extrême droite historique». Et dire qu’il y a encore des lecteurs pour nous trouver trop sévère envers Marine Le Pen !
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LE 22 AVRIL… il y a 50 ans, commençait la révolte des centurions.
Par Pieter Kerstens
En 1959, le général Challe avait gagné la guerre d’Algérie. Coupé de ses bases tunisiennes et marocaines par des barrages imperméables, le FLN mourait d’asphyxie. Les parachutistes avaient largement contribué à cette victoire.
Le discours du 16 septembre 1959 sur l’autodétermination leur apparut comme une faute irréparable, compromettant la victoire psychologique et militaire à laquelle ils avaient œuvré. Quand d’un trait de plume, le général De Gaulle supprima le 5ème Bureau (bureau d’action psychologique), il fit un geste dont les Français ne mesurèrent l’importance ni dans l’immédiat, ni pour l’avenir.
Cette incompréhension totale de l’aspect subversif des guerres modernes n’a pas fini d’avoir des conséquences fâcheuses …
En avril 1961, c’est pour ne pas se perdre que des militaires, parmi lesquels une majorité de paras, choisirent de se révolter contre une politique qui les conduisait à renier leur combat, leurs certitudes, leur fidélité, leur espérance, leur honneur.
Plus tard, aucun d’entre eux ne sera surpris par la tournure des évènements. Ils connaissaient la nature profonde du FLN. Ils avaient découvert les ramifications qui menaient des maquis algériens à Moscou et à Pékin. A maintes reprises, depuis la désertion de l’aspirant Maillot, ils avaient détecté le travail de sape du Parti Communiste Français et de certains complices socialistes et si les communistes du monde entier et leurs compagnons de route se servaient des aspirations légitimes des populations, les officiers parachutistes ne se faisaient aucune illusion : ce n’était pas par grandeur d’âme, c’était une occasion bénie de lutter contre les nations occidentales libres et d’imposer à de jeunes peuples en quête de patrie, leur idéologie marxiste.
Il faudra longtemps pour que les observateurs politiques professionnels reconnaissent qu’ils se sont lourdement trompés…
Il faudra Soljénitsine, la chape du silence étendue sur le Viêt-Nam, le génocide des Khmers Rouges, l’implantation soviétique en Afrique noire, la fin du culte de Mao, pour qu’ils admettent -du bout des lèvres- toutes les atteintes portées sous le masque du mot « libération » aux principes qu’eux-mêmes défendent !
A-t-on encore jamais écrit l’histoire calamiteuse des journalistes perdus ?
Lorsque le 22 avril 1961 au petit jour, le général Challe annonce qu’il est revenu prendre la tête de l’armée et proclame sa volonté de gagner la guerre afin que l’Algérie puisse rester dans un cadre français, les parachutistes se rallient à lui, à la quasi-unanimité ! Si quelques problèmes se posent aux chefs de corps, il ne s’en pose pas beaucoup aux cadres subalternes, habitués à suivre aveuglément leurs chefs.
Depuis longtemps les jeux sont faits : l’immense majorité des paras se bat pour l’ALGÉRIE FRANCAISE.
Pourquoi les paras sont-ils si nombreux à répondre présents au général Challe ? Obéissent-ils à un réflexe conditionné ? Sont-ils donc tous semblables ? Certes non. Ils ont des personnalités accusées ; l’esprit de commandos développe chez le para le sens des responsabilités, le goût des initiatives. Les missions périlleuses loin des chefs, à la tête d’une poignée d’hommes que l’on peut mener au succès comme à la mort, accentuent les caractères, renforcent l’individualisme.
Qu’y a-t-il de commun entre un Broizat, moine-soldat philosophe, répugnant à la violence, et un Godard, vainqueur de la bataille d’Alger, inventeur de la bleuite qui a porté le massacre chez l’ennemi, organisateur de l’OAS, partisan de la terre brûlée ?
Quelle foi commune peut bien partager le petit Cabiro à l’œil étincelant de malice, au verbe haut, à la chaleur communicative, et l’immense Robin, Porthos toujours prêt à dégainer pour chasser l’importun qui traîne sur sa route ? Quel lien existe-t-il entre un Curutchet qui cite Marx, Lénine et Mao et un Glasser méticuleux comme une ménagère flamande qui ne supporte pas le moindre grain de poussière sur le canon d’un fusil ?
Pourquoi le lieutenant Degueldre, l’homme du rang et le lieutenant Godot, l’homme de l’élite, le fort en thème, l’éternel premier, vont-ils se retrouver côte à côte dans l’ombre et la violence ? Quelle force mystérieuse poussera donc le premier jusque sous les balles d’un peloton d’exécution, et le second dans les prisons où il sacrifiera sa jeunesse ?
Tous ont fait partie d’un corps d’élite et à ceux-là on demande plus qu’aux autres… Depuis 1946 en effet, on leur a tout demandé : lancer des assauts décisifs, défendre des positions intenables, sauter dans les fournaises, sillonner de jour et de nuit la jungle, les rizières, la rocaille. On leur a même demandé de se salir les mains pour traquer dans Alger les poseurs de bombes.
On pouvait tout leur demander comme le dira si bien le capitaine ESTOUP lors du procès des officiers du 1er REP :
-« On ne m’avait jamais appris à Saint-Cyr à organiser le ravitaillement en fruits et légumes d’une ville comme Alger. Le 2 janvier 1957, j’en ai reçu l’ordre.
- On ne m’avait jamais appris à Saint-Cyr à suivre une filière policière…j’en ai reçu l’ordre.
-On ne m’avait jamais appris à Saint-Cyr comment s’exerçaient les fonctions de préfet de police…j’en ai reçu l’ordre.
-On ne m’avait jamais appris à organiser un bureau de vote…à ouvrir un marché…à ouvrir des écoles… »
Etrange, émouvante litanie du devoir accompli sans hésitation ni murmure par des hommes habitués à aller jusqu’au bout de leurs ressources, toujours prêts à tenter l’impossible.
Ainsi, les centurions qui répondent « OUI » au général Challe ce 22 avril 1961 sont de cette race là. Ils sont nés des combats incessants qu’ils ont livrés aux marches de l’Empire à la pointe du combat, dans tous les coups durs.
On a donné d’eux l’image de loups affamés, durs, courageux, exigeants envers les autres, parce que surtout exigeants envers eux-mêmes.
On les a jalousés, accusés d’immodestie.
On leur a reproché d’être des vedettes. Ils se sont contentés de hausser les épaules.
Seule leur valeur les poussait au premier rang. C’est la sueur et le sang qui les maintenaient.
Ils en avaient conscience et ils ne se trompaient pas !
Ils ont été trahis, mais ne seront pas oubliés pour autant !
GLOIRE A EUX …
Article publié dans le n°22 de la revue Synthèse nationale
17:50 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 19 avril 2011
Finlande : belle envolée des "Vrais Finlandais"
Par Yves Darchicourt
Coup de blues dans les rédactions politiquement correctes : les élections législatives finlandaises viennent de concrétiser l'essor de la droite nationale et identitaire représentée par le Parti des Vrais Finlandais (Perus Suomalaiset) dont le nom seul est tout un programme.
Avec 19,10% des sufrages, le mouvement de Timo Soini quadruple son score par rapport à la consultation de 2007 et va envoyer 39 représentants au Parlement d'Helsinki où ils siègeront aux côtés de 44 conservateurs et 42 sociaux-démocrates.
Le premier ministre sortant - issu d'un Parti du Centre relègué à la 4e place dans le pays - devrait laisser sa place à un conservateur, lequel ne pourra gouvernenr qu'avec les sociaux-démocrates ou avec la droite nationale.
Les Vrais Finlandais ont basé leur campagne sur le refus de l'immigration, leur fort scepticisme à l'égard de l'Union européenne technocratique et leur hostilité à l'euro. Ils ont vraiment tout pour déplaire aux mondialistes et à leurs valets de l'eurocratie.
Un autre exemple fort de la marche en avant de l'Europe des Peuples et des Nations.
09:59 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lE DIMANCHE 8 MAI, 10 H 00, PLACE DE LA MADELEINE :
09:49 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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TERRE BRIARDE : UNE ASSOCIATION REGIONALE RESISTANTE, POUR UNE CULTURE ENRACINEE.
« TERRE BRIARDE » propose en Brie, et sur une plus grande échelle à l’est de Paris, des randonnées, des conférences, des rencontres lors des fêtes traditionnelles ainsi que des visites de sites historiques afin de permettre aux Européens de se retrouver dans un cadre communautaire chaleureux.
Ceci étant une nécessité de « survie » alors que, jour après jour, les populations cèdent à un abrutissement terrifiant.
UNE ASSOCIATION ECOLOGISTE ET LOCALISTE engagée dans la « décroissance » .
La décroissance, rupture avec le productivisme, est le seul véritable modèle économique compatible avec notre culture indo-européenne ancestrale.
Cela nécessite au préalable une véritable transformation des esprits.
Fidèle à sa vocation, Terre briarde mène, depuis quelques semaines, une campagne contre l'exploitation du pétrole de schiste dans le nord de la Seine-et-Marne (en savoir plus, cliquez ici).
Pour nous rejoindre : terrebriarde@aol.fr
Téléphone 01 64 30 05 16
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lundi, 18 avril 2011
Jeudi soir : Dr Merlin se produit au Local...
12:25 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Comment les Tunisiens entrent en France
Face à l’afflux de migrants, les policiers sont débordés. A peine la moitié des clandestins arrêtés sont expulsés.
Près de 27.000 Tunisiens sont arrivés en Italie depuis le début de l’année et ont massivement transité sur l’île de Lampedusa. La plupart sont déjà ailleurs : en Italie, en Belgique, en Allemagne, et surtout en France, la destination la plus prisée. Pourtant, selon le préfet des Alpes-Maritimes, principal point d’entrée des migrants tunisiens, la frontière est parfaitement « étanche ». Une affirmation qui surprend. Les chiffres disent autre chose : au premier trimestre, les forces de l’ordre de son département ont interpellé 3.258 clandestins. Parmi eux, 1.258 ont été reconduits en Italie et 415 ont été « éloignés », c’est-à-dire renvoyés dans leur pays d’origine, généralement la Tunisie. Plus de 1.584 clandestins ont donc été remis en liberté. Rien qu’en mars, sur 2.118 interpellés, 1.019 ont pu poursuivre leur route. Le discours de fermeté du ministre de l’Intérieur, Claude Guéant, se heurte au principe de réalité : expulser ou reconduire un clandestin n’est pas si simple. Les forces de l’ordre et les juges sont confrontés à trois situations :
1. Le clandestin est arrivé directement en France : il est renvoyé vers son pays d’origine.
2. Il a transité par un pays membre de l’Union européenne (l’Italie), comme l’indique un titre de transport ou une puce de téléphone italienne : il est alors « réadmis » en Italie, quitte à ce qu’il retente sa chance dès le lendemain.
3. Il n’a aucun papier prouvant sa nationalité : il est remis en liberté après sa garde à vue avec l’obligation de quitter la France dans un délai de cinq jours.
« C’est un gruyère », affirme un policier
Sur le terrain, à Nice, Menton ou Cannes, les effectifs de police classique, ceux de la police aux frontières (PAF) et la gendarmerie, ont le sentiment, selon leur expression de « p… dans un violon ». Frédéric Guérin, secrétaire départemental du syndicat Unité SGP-police pour les Alpes-Maritimes, avance le chiffre de « centaines » de clandestins entrant en France chaque jour. « La frontière, c’est un gruyère, assure le policier. Ils arrivent dans nos locaux par paquets de 20. » Le centre de rétention administrative (CRA) de Nice, qui dispose de 38 places, sature. « La PAF des Alpes-Maritimes est à deux doigts d’exploser, poursuit Frédéric Guérin. On met en place une politique, mais on ne donne pas de moyens humains avec. Les policiers travaillent à flux tendu, la plupart des brigades sont en heures sup. »
A Menton, les deux postes frontières ont été réactivés. Celui dit « du haut » assure les « réadmissions » vers l’Italie. Des cars de CRS surveillent celui « du bas », sur la route du front de mer. Et pourtant, les clandestins passent, parfois après avoir été expulsés quelques heures plus tôt. « Avant, les policiers italiens les prenaient en charge au poste du haut, plus maintenant. Du coup, les clandestins font la boucle : ils parcourent 4 kilomètres en Italie et reviennent par le poste du bas », glisse un policier français. D’autres empruntent les anciens sentiers de contrebandiers, par la montagne ou par le bord de mer. Parfois, c’est encore plus facile. Lundi soir, à 21 heures, le poste du « bas » de Menton est ouvert à tous (notre photo). Pas un policier à l’horizon. Il y a eu des interpellations un peu plus tôt. « Quand les équipages sont mobilisés, plus personne ne fait de contrôle », reconnaît le syndicaliste.
A la petite gare de Menton-Garavan, à 1 kilomètre de la frontière italienne, ce soir-là, les trains en provenance de Vintimille sont systématiquement contrôlés. Une poignée de CRS monte à bord, d’autres dévisagent les passagers à travers les vitres, depuis les quais. Sans succès. La route est sans doute déjà périmée. Tous les jours, des patrouilles sont mobilisées plus à l’ouest dans les TGV vers Marseille, Lyon et Paris. Les clandestins, ou plutôt les passeurs, s’adaptent. Ils optent désormais pour la route et choisissent des gares éloignées de la frontière. Un véritable « jeu du chat et de la souris », résume un policier de la PAF.
Source France Soir 18 avril 2011
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