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mercredi, 30 avril 2014

Alstom : la trahison des grandes entreprises nationales

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Jean-Yves Le Gallou

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Les grandes entreprises technologiques – nucléaire, aéronautique et espace, transports, télécom et grandes infrastructures, voire automobiles – sont au cœur du modèle français.

Elles ont été choyées. Par l’État stratège, d’abord, qui a conçu leur développement, il y a maintenant une… cinquantaine d’années. Et qui a toujours veillé à leur donner un environnement favorable.

Les grandes entreprises technologiques ont aussi bénéficié de ce qui reste d’excellence du système scolaire français : les classes préparatoires et les écoles d’ingénieurs.

Et dans l’ensemble, l’État les a accompagnées par des financements, une fiscalité avantageuse et un bon environnement juridique.

Cela n’a pas été sans inconvénient pour le reste de la société et de l’économie.

Un impôt sur les bénéfices de l’ordre de 10 % en moyenne pour les grandes entreprises, de près de 30 % pour les PME. La polarisation des subventions et aides à la recherche sur quelques secteurs et surtout une politique commerciale très ouverte. Pour vendre des TGV, des Airbus, des centrales nucléaires, des ponts et des autoroutes, il a bien fallu sacrifier toute mesure protectionniste ou crypto-protectionniste. Des pans entiers de l’industrie ont ainsi disparu. Souvent dans le silence sur les causes du phénomène : le poids des grands groupes dans la publicité, voire dans le capital des médias (Bouygues), expliquant la complaisance de la presse vis-à-vis de leurs intérêts.

Dans les années 1960, les intérêts des grandes entreprises technologiques ont pu se confondre avec ceux de la France. Ce n’est plus le cas.

D’abord parce qu’elles se sont progressivement dénationalisées. Par leurs chiffres d’affaires, la localisation de leurs bénéfices et surtout la mentalité de leurs dirigeants. Les super-élites du corps des mines ou de l’inspection des finances étaient profondément patriotes dans les années 1960/1970, elles sont aujourd’hui devenues des relais de la super-classe mondiale à laquelle elles s’identifient. Et dont elles partagent le mode de vie et les privilèges.

Plusieurs leçons doivent être tirées des affaires Alstom et Peugeot :

- il y a dissociation des intérêts des grandes entreprises (et a fortiori de leurs dirigeants) et des intérêts français ;
- la France ne peut pas vivre éternellement sur ses fleurons des années 1960, il serait temps que l’État stratège se tourne vers l’avenir et discerne les futurs secteurs porteurs ;
- il faut davantage autocentrer l’économie française et corriger la mondialisation par un protectionnisme intelligent, des relocalisations et le localisme ;
- tenter de vendre à la Chine des produits qu’elle copiera ne peut suffire à définir la politique commerciale de la France et conduire à acheter sa camelote sans discernement ;
- la préférence nationale – dans les marchés publics, notamment – doit retrouver droit de cité comme c’est le cas (avec hypocrisie mais détermination) en Allemagne et aux États-Unis ;
- le patriotisme économique doit être promu et la formation des élèves ingénieurs aux humanités ne doit pas être négligée.

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Le JT de TV Libertés de mardi soir...

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mardi, 29 avril 2014

Commémoration de Sébastien Deyzieu le 9 mai à Paris...

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10:55 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Manuel Valls sifflé à Rome : à qui la faute ?

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Gabrielle Cluzel

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On l’a vu à la télé, on l’a lu dans les journaux, Manuel Valls s’est fait siffler à Rome, et s’est même fait siffler par deux fois : lorsque son image est apparue sur les écrans géants dimanche matin, à son arrivée sur la place Saint–Pierre avant le début de la cérémonie, mais aussi (comme le montrent des images rapportées par le blog catholique Le Salon beige) la veille au soir, devant le château Saint-Ange : à France Info, Manuel Valls a confié avoir fait samedi, après un dîner avec son homologue italien Matteo Renzi, une petite visite de Rome « pour mieux sentir l’ambiance de cette ville incroyable ». Pour la sentir, il l’a sentie.

Mais comment aurait-il pu en être autrement ? Comment imaginer que tout cela allait passer comme une lettre à la poste ? Que telle une enfant de Marie avec sa petite corbeille de fleurs, Manuel Valls allait, la mine modeste, faire ses civilités au pape pour que la presse puisse titrer « Valls et les cathos, la nouvelle lune de miel », sans que personne, parmi les milliers de pèlerins français venus pour la canonisation, ne bronche ?

Ceux-ci auraient dû rester tête baissée sans moufter, comme ces écoliers brimés par un instituteur rigide les ayant pris en grippe, affublés toute l’année d’un bonnet d’âne, raillés, humiliés, frappés sur les doigts à coups de règle mais qui, le jour où l’inspecteur passe dans la classe, se laissent tapoter gentiment la tête par le maître tout sourire – « braves petits ! » –, en essayant en sus de cacher leurs bleus ?

Pourquoi, en enfants confiants, n’auraient-ils pas le droit de se livrer au Saint-Père, de lui crier comme ils peuvent leur désarroi : « Il est là, il vous serre onctueusement la main, mais ne vous y trompez pas, c’est lui qui nous a méprisés, qui a sous-estimé nos manifestations, aspergé nos enfants de gaz lacrymogène, mis nos jeunes en garde à vue, laissé encore et toujours les Femen nous insulter ! »

Ces sifflets ont été « dénoncés » par Mgr Bernard Podvin, porte-parole de la Conférence des évêques de France, sur BFM TV. On lit par ailleurs, ici et là, que ces huées n’étaient pas « convenables », que ce n’était pas le lieu. À voir.

Car les deux papes que l’on canonisait ce jour-là n’avaient précisément pas la réputation d’être « convenus ». Et celui, en titre, qui officiait, n’est pas toujours très « convenable » ni à cheval sur le qu’en-dira-t-on, quand il s’agit de prendre les uns et les autres à rebrousse-poil pour leur asséner quelques bonnes vérités.

Alors, sans doute, il est des hautes fonctions dans l’Église de France qui n’autorisent pas à plaisanter avec les « convenances ». On se doit d’être sérieux, diplomate, de ménager la chèvre et le chou, et de ne fâcher personne. Las, les jeunes pousses, elles, sont impétueuses, insolentes, exigeantes, entières, facétieuses, cherchant une Église plus « véritable » que « convenable ». C’est épuisant pour qui doit ensuite justifier leur fougue auprès de ceux qui en font les frais.

Oui, mais la faute à qui ? Qui a labouré, semé, arrosé ? Qui a demandé sans ménagements à la France, quand, franchement, c’était un peu le cadet de ses soucis, où donc elle avait bien pu fourrer les promesses de son baptême ? Qui, de l’avis général, a galvanisé et décomplexé toute une génération montante ? Si certains veulent se plaindre, le bureau des réclamations est désormais là-haut, sur la stèle et sous l’auréole. Derrière l’écriteau « saint Jean-Paul ».

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Gagner l’Europe pour sauver la France. Un vote qui peut enfin changer les choses

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Dans les nations membres de l’Union, le vote en faveur des listes eurosceptiques est une occasion à ne pas manquer. Cela permettra aux peuples de rejeter une Europe qui ne correspond ni à leurs intérêts ni surtout à leurs attentes. Il faut construire l’Europe mais certainement pas cette Europe là. L’Europe ne peut pas être un simple rayon de supermarché économique et financier. Cette Europe là a échoué dans tous les domaines.

L’Europe doit être une communauté de destin dans une confédération impériale aux ambitions de puissance mondiale.

L’Europe doit être forte, avec une identité affirmée par son histoire et des frontières précises défendues pour que chaque composante réponde à cette belle  devise « nous voulons rester ce que nous sommes » sans jamais oublier que « l’union fait la force ».

Le vote européen peut être capital. Il peut en effet changer l’Europe par une modification radicale de la composante de son parlement. Il s’agira ensuite de concrétiser ce vote dans la composition de la commission européenne. Cela est rendu possible par le Traité de Lisbonne.

Le Traité de Lisbonne modifie le mode de désignation du président de la Commission en renforçant le poids du Parlement européen dans ce processus. Le Conseil européen (et non plus le Conseil réuni au niveau des chefs d’État ou de gouvernement, grâce à l’institutionnalisation du Conseil européen par le Traité de Lisbonne) propose au Parlement européen, à la majorité qualifiée, un candidat à la présidence de la Commission, « en tenant compte des élections au Parlement européen, et après avoir procédé aux consultations appropriées ».

Un parlement élu pour «  une autre Europe » pourra donc choisir ou influer sur la composition de l’exécutif. Or, 80% de la politique française se fait au niveau de l’Europe. Changer l’Europe c’est permettre de conserver la France que nous voulons dans une Europe politiquement choisie. Les partis qui veulent cette « révolution nationale et européenne » sont certes divers et parfois opposés. Ils ont des identités «  nationales »  mais une vision européenne commune. Le vote est un vote pour l’Europe. On ne vote pas pour Aube dorée en Grèce mais pour un parlement qui va  sauver l’Europe de la tyrannie bureaucratique et apatride. Il faut remettre l’Europe sur le chemin de son histoire en privilégiant ce qui a fait la civilisation européenne avant l’horrible système mondialiste.

Nous voulons une Europe civilisation contre une Europe système. Un vote peut l’affirmer et même l’imposer. C’est une chance historique de faire éclater également le verrou des élections nationales, notamment en France, où tout est fait pour que 40 % des Français des deux cotés de l’échiquier politique ne puisent jamais peser sur les décisions communes.

Cette Europe qui veut exporter la démocratie pour imposer la loi du marché mondial à tous les pays n’est pas démocratique. Mais elle doit, malgré tout, organiser parfois des votes et notamment  désigner son parlement. Les peuples sont prêts à déboulonner la fausse idole d’une Europe imposée par  les serviteurs du veau d’or mondialiste. Ce vote peut être historique et la victoire électorale pour les vrais européens, est à portée de l’urne, à portée de la main.

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Dr Merlin chante Verdun...

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Avez-vous lu le n°1 des "Cahiers d'Histoire du Nationalisme", la nouvelle collection proposée par Synthèse nationale ?

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lundi, 28 avril 2014

Le JT de TV Libertés de lundi soir :

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La Voix de la Russie de cette semaine

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Avez-vous lu le n°35 de la revue Synthèse nationale ?

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120 pages, 12,00 €

Au sommaire :

Editorial de Roland Hélie : Défendre nos intérêts d'abord...

Patrick Parment : Ukraine, quel avenir ?

Georges Feltin-Tracol : décentralisation, le puzzle territorial...

Arnaud Raffard de Brienne : vers l'implosion du Système...

Dr Bernard Plouvier : sur la théorie du genre...

Jacques-Yves Rossignol : Libé, la chute d'une maison bobo...

Ursule Minoret-Levrault : traité transatlantique, la grande arnaque...

Jean-Claude Rolinat : le sionisme, un nationalisme dévoyé...

Serge Ayoub répond à Frédéric Haziza

Un grand entretien avec Roger Holeindre sur le centenaire de la Grande guerre

Pieter Kerstens nous donne des nouvelles de l'Oncle Sam

Francis Bergeron : 1976, des volontaires nationalistes français aux côtés des phalangistes libanais, une histoire méconnue...

Les pages du Marquis, la rubrique des livres...

Un hommage à notre ami Olivier Grimaldi

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Corée du Sud : naufrage de l’honneur maritime

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Patrick Gofman

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Le temps semble très lointain, où le capitaine n’abandonnait jamais son navire, quitte à couler avec lui. De nos jours, le progrès fait rage, et le capitaine abandonne ses passagers avec son navire en perdition. On vient de le voir en Corée, deux ans après l’avoir vu en Italie.

Une différence notable, cependant : le Premier ministre sud-coréen, Chung Hong-won, a démissionné dimanche 27 avril 2014 en raison des critiques visant la gestion, par son gouvernement, du naufrage du ferry-boat Sewol, qui a fait plus de 300 morts ou disparus le 16 avril. La plupart des victimes du naufrage sont des lycéens en voyage scolaire qui avaient reçu ordre de rester dans leurs cabines en attendant d’autres instructions et l’ont payé de leur vie. Le Sewol, qui effectuait la liaison entre le port d’Incheon, près de Séoul, et l’île de Jeju, transportait 476 passagers et membres d’équipage, dont 339 lycéens et professeurs. Le nombre de corps repêchés était de 187 dimanche.

« Je voulais démissionner plus tôt, mais la gestion de la situation était la première priorité et j’ai pensé que c’était un acte responsable d’apporter mon aide avant de partir. Mais j’ai décidé de démissionner maintenant pour ne pas être un fardeau pour le gouvernement », a précisé Chung Hong-won.

On n’a rien vu de tel en Italie, après le naufrage du navire de croisière Costa Concordia, en janvier 2012. Son capitaine peu courageux, Francesco Schettino, se gobergeait sur sa passerelle de commandement en compagnie de Domnica Cemortan, une jeune danseuse moldave qui voyageait sans payer (d’argent), quand il a décidé de frôler la côte, peut-être pour épater la blonde décolorée. Résultat : 32 morts et disparus, Schettino ayant fui le premier.

Si sa compagnie a versé de misérables indemnités à ses victimes, on attend encore le châtiment de « l’homme le plus haï d’Italie ». Mais il est allé se promener sur l’épave, il se déclare « un gentilhomme », et va jusqu’à réclamer qu’on lui rende son poste !

Il y eut des temps plus difficiles, il n’y en eut pas de plus vils.

 

couv2.jpgNDLR : Il n'y a pas que les traditions maritimes qui dérivent... lisez le livre choc de Patrick Gofman: Le trotskisme dégénéré

134 pages, 18,00€

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Avril 1994 - avril 2014 : vingt années de pouvoir noir en Afrique du Sud

images.jpgLe bloc-notes de

Jean-Claude Rolinat

Les 26, 27 et 28  avril 1994, les électeurs Sud-Africains votaient pour la première fois dans un collège unique.

Auparavant chaque groupe de population exerçait ses droits dans son collège : les blancs à l'Assemblée, les Métis et les Indiens dans leurs deux chambres respectives - les trois étant réunies en une sorte de "Congrès" - et les noirs dans leurs Homelands (Bantoustans) et leurs municipalités. Ce système, déséquilibré, assurait tout de même  une représentation de tous les groupes de populations.

Aujourd'hui avec le fameux "one men, one vote" lâchement accordé à l'ANC par les négociateurs blancs  du Parti National au pouvoir à Pretoria en 1994, les Afrikaners, les anglophones comme les métis et les Indiens sont écrasés par la masse des suffrages noirs. La démocratie n'existe que sur le papier. La solution aurait résidé dans la mise sur pied d'une véritable Fédération Sud-Africaine et non pas en un Etat unitaire où les provinces n'ont guère plus de compétences que nos Conseils généraux et régionaux.

Résultats des courses en vingt années de "black power" : une discrimination positive en faveur des noirs, une représentation parlementaire et ministérielle blanche amoindrie, l'exode de plus d'un million de blancs, une tragique insécurité, l'irruption sur la scène économique et politique d'une caste de noirs "kleptocratiques" qui s'en mettent "plein les poches" au détriment des équipements nécessaires à la vie courante dans les townships. Le tout sous le contrôle d'un parti gangrené, vérolé par la corruption : l'African National Congress, l'ANC de feu Mandela.

Quant à l'armée, elle n'est plus que l'ombre d'elle-même, le dernier chef d'état-major blanc (Armée de l'air) vient de partir à la retraite.

Un fait nouveau, bien qu'une part importante des richesses soient encore concentrées entre quelques mains blanches (pas si blanches que cela...) du capitalisme international, des Afrikaners sont inscrits à la soupe populaire. Le chômage des noirs atteint des taux records tandis qu'une minorité roule en BMW, Mercedes et autres véhicules de luxe. Jacob Zuma, un Zoulou pittoresque et polygame qui vient de se faire taper sur les doigts pour détournement de fonds publics, a cependant toutes les chances de se succéder à lui-même à la tête de l'Etat. Réponse dans une semaine avec les nouvelles élections générales.

Une petite lueur : l'ANC, tant sur sa gauche que sur sa droite est de plus en plus contestée et Helen Zille, une blanche Premier ministre de la province du Cap occidental a de bonnes chances d'augmenter substantiellement le score de son Parti démocratique, désormais refuge de tous les contestataires blancs et métis, ce qui fait tout de même un bloc d'environ 7 à 8 millions de personnes. Mais l'avenir n'est écrit nulle part...

 

Une RSA la faillite de Mandela.jpgNDLR : Pour bien comprendre la situation en Afrique du Sud aujourd'hui, nous vous conseillons le dernier livre de Jean-Claude Rolinat : La faillite de Mandela.

170 pages, 18,00 €

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Castelsarrasin, 7 mai 2014 : commémoration de Dien Bien Phu

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00:07 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 27 avril 2014

L'intervention d'Alain de Benoist samedi 26 avril au colloque d'Eléments sur l'Europe...

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L'intervention d'Alain de Benoist au colloque du 26 avril 2014.
De gauche à droite Alain de Benoist,
Patrick Péhèle et Pierre Le Vigan.

Source Le blog d'Eléments cliquez ici

Mesdames, Messieurs, chers Amis,

Il y a encore un quart de siècle, l’Europe apparaissait comme la solution à presque tous les problèmes. Aujourd’hui, elle est perçue comme un problème qui s’ajoute aux autres. Sous l’effet de la désillusion, les reproches pleuvent de partout. A la Commission européenne on reproche tout : de multiplier les contraintes, de se mêler de ce qui ne la regarde pas, de vouloir punir tout le monde, de paralyser nos institutions, d’être organisée de manière incompréhensible, d’être dépourvue de légitimité démocratique, d’anéantir la souveraineté des peuples et des nations, de n’être plus qu’une machine à ne pas gouverner. Dans la plupart des pays, les opinions positives sur l’Union européenne sont en chute libre depuis au moins dix ans. La proportion de ceux qui, en France, pensent que « l’appartenance à l’Union est une mauvaise chose » a même bondi de 25 % en 2004 à 41 % en 2013. Plus récemment encore, un sondage Ipsos révélait que 70 % des Français souhaitent « limiter les pouvoirs de l’Europe ».

C’est un fait que l’Union européenne traverse aujourd’hui une crise de légitimité sans précédent. C’est un fait aussi que le spectacle qu’elle offre n’a rien pour enthousiasmer. Mais comment en est-on arrivé là ?

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19:22 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Flandre : le Vlaams belang en campagne

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Sur les murs,

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sur les routes,

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partout...

Pour suivre la campagne en Europe des mouvements nationaux,

consultez quotidiennement le blog de Lionel Baland cliquez là

13:51 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La route de l’Élysée passe-t-elle par la place Saint-Pierre ?

Philippe Randa 7.jpgLa chronique de Philippe Randa

Manuel Valls au Vatican ! Au Parti socialiste, personne n’y trouve rien à redire. N’y trouve PLUS RIEN à redire, plus exactement, car en 2011, la présence de François Fillon, alors Premier ministre, à la béatification de Jean-Paul II, avait été l’occasion d’un communiqué lapidaire : « Cette décision rompt avec une tradition diplomatique établie et respectée par tous ses prédécesseurs qui veut que notre pays ne se fasse représenter à ce type de manifestation que lorsqu’elle concerne un Français. Venant de Nicolas Sarkozy, qui aurait même songé à s’y rendre personnellement, cette décision ne surprend pas, mais elle reste particulièrement choquante. »

Les socialistes, en obsessionnels donneurs de leçon de morale, avaient même rappelé que « la République indivisible, laïque, démocratique et sociale assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction de religion respecte toutes les croyances… »

Mais si les promesses n’engagent que ceux qui y croient, les convictions politiques, elles, sont à géométries variables, on le sait bien.

Ce déplacement personnel de Manuel Valls n’est toutefois pas désintéressé, on s’en doute. À défaut de « signal », les catholiques français y verront-ils un « geste », pour apaiser leurs relations avec l’ex-ministre de l’Intérieur dont les CRS n’avaient pas hésité à faire usage de gaz contre des familles entières lors des manifestations contre le Mariage pour Tous ?… Une violence inappropriée qui avait choqué bien-au delà des seuls participants. Béatrice Bourges, Porte-parole du mouvement Printemps français, qualifie depuis le donneur d’ordre d’« idéologue qui n’a pas été à l’écoute d’une partie de la population, un homme qui n’est pas digne des fonctions qu’il occupe. »

Mais au-delà d’un simple calcul électoral, c’est plus probablement pour acquérir une stature internationale qu’il tient à être vu à cette cérémonie, présidée par le pape François, retransmise dans le monde entier et qui rassemblera plus d’un million de pèlerins dans la capitale italienne.

Une manière également d’atténuer son image désastreuse dans une autre partie de la communauté française, après ses déclarations sur l’antenne strasbourgeoise de Radio Judaïca le 17 juin 2011 : « Par ma femme, je suis lié de manière éternelle à la communauté juive et à Israël ! Quand même ! »

« Ces derniers mots figurent désormais parmi les premières occurrences à apparaître lorsqu’une recherche Google sur Manuel Valls est effectuée », indique le blog http://rso17.unblog.fr.

Enfin, s’il n’acquiert pas une stature internationale avec son voyage à Rome, Manuel Valls ramènera peut-être dans ses valises un peu d’eau bénite pour parer les révélations d’un brûlot qui n’est pas encore paru… mais qui fait déjà beaucoup parler.

Le Vrai visage de Manuel Valls, livre du journaliste Emmanuel Ratier (à paraître prochainement aux éditions Facta 4 Rue de Clichy 75009 Paris) intéresse déjà nombre d’observateurs politiques, notamment Nicolas Lebourg qui l’annonce dans un encadré significatif du dernier numéro de l’hebdomadaire VSD : « Annoncé comme truffé de “révélations explosives” sur la famille, le parcours et les réseaux du Premier ministre, l’ouvrage aurait été imprimé à l’étranger par crainte d’une saisie ».

11:18 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 26 avril 2014

Perles de Culture : l'émission d'Anne Brassié

18:50 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Journal du Chaos de cette semaine :

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Pour télécharger la lettre, cliquez ICI

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Bruno MÉGRET : "Le projet du FN manque de crédibilité"

img_5355b8ac8e65e.jpgInterview de Ghislain DE VIOLET
Paris Match, le 14 avril 2014

L'ancien rival de Jean-Marie Le Pen au sein du Front national analyse la stratégie d'implantation engagée par sa fille. Et revient sur la campagne de 1995.

Il a d'abord hésité. Retiré de la vie politique depuis six ans, Bruno Mégret, 65 ans, ne se voyait pas mêlant sa voix au flot des commentaires d'actualité. Ni paraître régler de vieux comptes avec le clan Le Pen, pour qui l'ancien numéro 2 du FN reste à jamais le '' félon '' de la scission de 1999. Deux jours après le second tour des municipales, celui qui est toujours haut fonctionnaire au ministère de l'Ecologie accepte pourtant une rencontre dans un café du 7e arrondissement de Paris. L'occasion pour Bruno Mégret de revendiquer, avec un peu d'amertume, les bons résultats du mouvement bleu Marine. Car ces victoires sont aussi un peu les siennes.

Sans jamais citer son nom, Marine Le Pen a largement intégré une partie des préceptes mégrétistes. S'il a été l'homme fort de Vitrolles, dont lui et son épouse avaient fait un laboratoire frontiste dès 1997 (avec une polémique prime de naissance pour les enfants européens, cassée par la justice), Bruno Mégret a aussi été le premier à murir la stratégie de dédiabolisation, censée transformer le mouvement d'extrême-droite en un parti apte à gouverner. Plusieurs de ses fidèles à l'époque sont d'ailleurs aujourd'hui des proches de la présidente du FN. Comme Steeve Briois, responsable de la formation des militants et nouveau maire d'Hénin-Beaumont. Ou Nicolas Bay, directeur de la campagne des municipales.

De là à voir dans Marine Le Pen sa digne héritière, il y a un pas que Bruno Mégret ne franchit pas. Surtout en matière économique. Entre le frontisme d'inspiration plutôt libérale du technocrate Mégret et les accents prolétariens de la fille de Jean-Marie Le Pen, il y a visiblement bien plus qu'une génération d'écart.

Paris Match. Le Front national a remporté plusieurs villes et fait élire plus d'un millier de conseillers municipaux. C'est un retour à la situation de 1995 ?

Bruno Mégret. C'est une progression significative du Front national, après une décennie d'obscurité et de reflux. De ce point de vue, je m'en réjouis. Ceci étant, la configuration actuelle est tout à fait différente de celle de 1995. A l'époque, il y avait encore une classe politique qui, malgré toutes ses tares, tenait la route et un front républicain extrêmement virulent. Aujourd'hui, avec un pouvoir discrédité et une opposition inexistante, le système politique est en pleine décomposition. Lorsque mon épouse a été élue à Vitrolles en 1997, l'ensemble du gouvernement s'était mobilisé. Le Premier ministre en personne, Lionel Jospin, était venu faire campagne en faveur de notre adversaire. Ces villes avaient été conquises de haute lutte. Aujourd'hui, ce sont plutôt les digues qui cèdent ici ou là face à la marée qui monte.

Vous aviez engagé à l'époque un mouvement de professionnalisation, de formation de cadres locaux. Vous reconnaissez-vous dans la stratégie portée par Marine Le Pen ?

Il est indéniable qu'elle a mis en oeuvre deux axes qui étaient les miens lorsque j'étais au FN et ensuite au MNR (Mouvement national républicain, NDLR). Le premier c'est la dédiabolisation. J'ai toujours milité pour la fin des dérapages et des provocations. L'autre, c'est l'enracinement territorial. Nous avions accompli un travail considérable qui avait rendu possible l'implantation de cadres performants et formés un peu partout sur le territoire. Tous ces cadres sont d'ailleurs partis avec moi lors de la rupture de 1999. Il semble que ce travail d'enracinement ait repris.

Le Front national est-il dédiabolisé pour de bon ?

Il est certain que la diabolisation est de moins en moins crédible. D'une part parce que Marine Le Pen n'imite pas son père en multipliant les provocations, même si elle gère son parti un peu comme lui. D'autre part, parce qu'à force de crier au loup sans que jamais le loup ne vienne, la diabolisation perd de plus en plus de sa force.

Qu'est-ce qui vous a empêché de mener votre entreprise jusqu'au bout ?

C'est Jean-Marie Le Pen qui s'est opposé à la rénovation du Front national. Quand il a compris qu'une majorité du mouvement soutenait la ligne de dédiabolisation que je proposais, il a entrepris de m'éliminer. C'est ce qui a provoqué la scission. Et je regrette que le système ait soutenu Le Pen lors des élections européennes en 2000, car, si nous l'avions emporté, nous en serions bien plus loin aujourd'hui que ne l'est  le Front national.

Le bilan très contesté des municipalités FN n'a pas non plus aidé...

Dire que la gestion des villes FN a été mauvaise, c'est de la désinformation pure. Si je prends l'exemple de Vitrolles, que je connais le mieux, nous avons réduit l'endettement de 130 millions à 100 millions d'euros en six ans. Dans le même temps, il n'y a pas eu d'augmentation d'impôts. La taxe sur les ordures ménagères a été réduite de 25% et le prix de l'eau de 10%. C'est ce que j'appelle une gestion triple A. Et tout cela en continuant à investir, sans subventions ni du conseil régional ni du conseil général. Quant à la délinquance, elle a baissé de 17% sur la durée du mandat. Une bonne gestion qui a d'ailleurs valu à mon épouse d'être réélue en 2001 ! Même si un recours a ensuite cassé l'élection.

Le vote FN est-il aujourd'hui un vote d'adhésion, comme l'assurent ses dirigeants ?

Il y a une adhésion aux thèses traditionnelles sur la question de la sécurité et de l'immigration, c'est clair. Au delà, je ne le pense pas. Sur la question de l'économie ou celle de l'Europe, le projet du FN manque de crédibilité.

Vous pensez à la sortie de l'euro ? Ou à la retraite à 60 ans ?

Personnellement, je ne suis pas pour la sortie de l'euro. Je considère que la devise européenne devrait être utilisée pour servir les économies de l'Union comme le dollar sert l'économie américaine.  Il faut faire baisser le cours de l'euro d'au moins 30 % et obtenir que la Banque centrale européenne soutiennent financièrement les Etats, comme le font les autres banques centrales. Sur la retraite, je suis partisan d'aller au-delà des 62 ans, en instaurant par exemple un système de retraite par points, avec des départs à la carte dans une fourchette entre 60 et 70 ans.

Marine Le Pen, elle, a développé un discours beaucoup plus étatiste et antilibéral...

Le FN actuel, c'est le discours ancien de Jean-Marie Le Pen réorienté à gauche sur le plan économique. Moi je pense qu'il faut s'intéresser surtout à la situation des classes moyennes. La France, ce n'est pas seulement les classes défavorisées du nord de la France. C'est d'abord une majorité d'artisans, de chefs de petites entreprises, de cadres, de membres des professions libérales qui créent la richesse et qui sont systématiquement pénalisés.

Selon vous, le FN peut-il encore progresser ? Ou est-il arrivé à un plafond ?

Je pense que la configuration politique rend possible l'émergence d'une force alternative au système.

18:06 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Bruxelles : un 1er mai solidariste

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vendredi, 25 avril 2014

Le temps des assassins en col blanc

3913186991.jpgAuran Derien

Metamag via Le Journal du Chaos cliquez là

La finance aime les monopoles. Londres avait réussi à installer, la “Londoner City”, la direction du marché mondial. Pas d’or, pas de révolution. Sans ce monopole du commerce mondial et de la finance, entre 1815 et 1914, il n’y aurait pas eu le déclenchement de la 1ère guerre mondiale décrit par Dominique Venner dans un ouvrage édifiant Le siècle de 1914  : « La guerre de 1914 fut l'événement fondateur du XXe siècle. Après avoir tué neuf millions d'hommes, cette guerre liquida les trois empires et les aristocraties qui charpentaient l'Europe ».

La psychopathie des dirigeants de la finance mondialiste s’auto-entretient dans des écoles de commerce où l'on enseigne à chacun la nécessité de tout contrôler, les fournisseurs, les techniques, la communication, les matières premières. Pour ces commerçants, seules les ententes et la répartition des tâches sont importantes ; cela se règle dans les « hauts lieux » à Davos ou autre Bilderberg.

Assassiner la concurrence

Plus ils parlent du libre commerce et de la libre concurrence, plus celle-ci est tuée au profit des monopoles. On sait, grâce aux travaux d’une équipe Suisse, que 40 firmes contrôlent l’économie mondiale. Où est passée la vertu de la concurrence? La violence commerciale augmente d’intensité à chaque nouvel accord : du traité de libre-échange USA-UE au Trans-Pacific Partnership (TPP) entre USA, Australie, Japon, Nouvelle-Zélande et Mexique.. Chacun se prend pour un génie. La concurrence ? Impossible! Il faut  des monopoles! On est plus tranquille. Et beaucoup affirment que ces monopoles sont trop grands pour faire faillite quand le contraire est vrai.

Le monopole du mensonge

L’année 2014 - et celles qui suivent - est vouée à l’expansion de cette politique. Ils veulent imposer en particulier le traité euro-atlantique dont le contenu est un crime contre l’Europe car il prévoit de garantir durant 120 ans des droits d'auteur pour tous les contenus émanant des propagandistes de Hollywood. Ils ne créent rien. Ils pillent la culture mondiale. En pratique, ils font payer des droits de reproduction (et non de création).

Une note autoriserait les monopoles pharmaceutiques à bloquer la circulation de médicaments génériques, et obligerait à semer la graine monsantoide qui stérilisera l’humanité dans deux à trois générations. Les géants de l’énergie veulent aussi vendre et acheter n’importe où sans avoir à respecter les populations qui vivent sur les terres dont ils ont besoin pour leurs négoces.

Surtout, ils cherchent à transformer les fournisseurs d'accès internet en espions, délateurs et censeurs. Voilà le monde prévu pour 2014 et les années suivantes.

Vers la nuit et le brouillard

Cette année certainement, le réajustement des dettes sera organisé. La directrice générale du FMI a déclaré que leurs prévisions allaient être réajustées à la hausse. Cependant, les dettes accumulées dépassent toutes les richesses que l’on puisse créer sur plusieurs années.

Dévaluer toutes les dettes pour recommencer à spéculer, installer un pouvoir hors de contrôle, que chacun se batte contre son voisin pour que le pouvoir soit tranquille : ce programme est déjà réalisé en Europe où la Gréce a pris la direction tournante de l’Union Européenne. Cela ne suffit pas. La nuit qui s’étend sur l’occident n’est pas assez noire. L’oligarchie veut plus et Manuel  Barroso signera la perte de l’Europe, puis il se perdra dans le brouillard, dans le néant.

23:49 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le JT de TV Libertés de vendredi soir :

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Lisbonne, 25 avril 1974 : la "révolution" qu'il faut mieux oublier...

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Le 25 avril 1974, il y a 40 ans aujourd'hui, un soulèvement militaire orchestré par une poignée d'officiers marxistes, mettait fin à l'Etat nouveau instauré par le professeur Salazar 40 ans plus tôt. En quelques jours le Portugal sombrait dans la guerre civile et dans le chaos. Il mettra des années à s'en remettre.

40 ans après cette pénible période, alors que le pays est au bord de la crise, plus de 40% des Portugais considèrent qu'Antonio de Oliveira Salazar a été le plus grand homme de l'Histoire de leur pays. On comprend mieux pourquoi l'intelligentzia marxisto-mondialiste, pourtant si prompte à fanfaronner sur ses "victoires", se montre plutôt discrète sur cet anniversaire.

Pour mieux connaître cette période de l'histoire portugaise, lisez le livre que Jean-Claude Rolinat a consacré à celui qui fit de son pays une nation moderne : Salazar le regretté...

Salazar le regretté, Jean-Claude Rolinat, Les Bouquins de Synthèse nationale, 2012, 164 pages, 18,00€

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Anne Frank, son martyre et ses produits dérivés : la concurrence est rude !

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La chronique de Philippe Randa

Boulevard Voltaire cliquez ici

Peut-on tirer profit de tout ? Comme pour le rire, le débat est vieux comme le monde et les avis divergent. La concurrence aussi !

Ainsi du spectacle – « scandaleux » pour les uns, « porte d’entrée plus authentique » pour d’autres – qui se prépare actuellement à Amsterdam autour d’Anne Franck, icône de la persécution des juifs s’il en est, « symbole d’héroïsme et spectre obsédant des dangers de la discrimination »… Des historiens ont remis en question l’authenticité de son fameux Journal, mais personne, encore, n’avait osé toucher à l’image de cette jeune fille de 16 ans, déportée et disparue avec toute sa famille durant la Deuxième Guerre mondiale (son père fut le seul survivant).

Objet de la polémique : le projet de la société de production Imagine Nation, une entreprise hollandaise de divertissement, d’ouvrir un immense théâtre dans la capitale des Pays-Bas. Un seul spectacle y sera joué, la pièce Anne, retraçant la vie, les épreuves et la mort de l’auteur du plus célèbre des journaux intimes.

L’un des deux créateurs, Kees Abrahams, défend son projet avec une verve et des arguments dignes des meilleurs marchands de tapis du monde : « C’est important que les gens se sentent chez eux, qu’ils passent un bon moment […] Nous avons donc fait construire un grand restaurant, en forme de salon, avec 150 places » ; quant au traiteur, Dennis Borrel, il est, d’après lui, « follement créatif », alors, n’est-ce pas, hein ?

Et puis, surtout, l’endroit sera abondamment pourvu… de toilettes « pour que les spectateurs n’aient pas à faire la queue comme du bétail pour se soulager » ; pour preuve, « [il y aura] 16 cabines de toilettes pour les femmes – trois fois plus que ce qui est requis […] Je pense que c’est crucial », s’enorgueillit l’attentionné maître des lieux.

Pourquoi pas, aussi, des « chambres tout confort, avec eau à tous les étages » ? Non, tout de même pas. Pas pour le moment, en tout cas…

Il faut dire que 1.100 places seront possibles par représentation avec des fauteuils coûtant entre 35 et 70 euros.

Le second créateur de la pièce, Robin de Levita, est, lui, un habitué des spectacles musicaux de Broadway, ayant travaillé précédemment sur les superproductions Chicago et Les Misérables… Heureusement que ce n’était pas pour Singing in the Rain : on imagine ce qu’aurait pu être alors son interprétation très personnelle de la fin d’Anne Frank…

On comprend alors que la nature commerciale de l’entreprise irrite au plus haut point la Maison Anne Frank : « Je ne peux m’empêcher de froncer les sourcils quand je vois un dispositif où sont prévus des verres de vin, des boîtes de snacks, un dîner avec vue, puis une virée nocturne, s’insurge Ronald Leopold, son directeur […] Si ça ne tenait qu’à moi, les choses ne se seraient jamais déroulées de la sorte. »

Indignation justifiée… ou concurrence irritante ? L’édition française du site timesofisrael rappelle toutefois que « le musée a été accusé il y a une vingtaine d’années de tirer profit de l’image d’Anne, en faisant vendre des ballons et des T-shirts lors d’expositions itinérantes ».

On sait, depuis Brel, que dans le port d’Amsterdam, « Ça sent la morue/Jusque dans le cœur des frites »… Certains pourront surtout penser que désormais « Ça sent le hareng/Jusque dans le devoir de mémoire »…

10:48 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ce soir, sur Méridien zéro :

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RBN Méridien zéro cliquez ici

 

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SOS Racisme contre le réel...

sos racisme 2.jpgUn communiqué du Parti de la France (Calvados) :

SOS Racisme porte plainte (source) contre un journal qui n'a émis aucune opinion, mais qui a juste informé ses lecteurs à propos de l'origine des auteurs des délits selon le type d'infraction.

Il s'agit d'une véritable opération de terreur de la part de SOS Racisme, dans l'unique but d'empêcher d'autres journaux de diffuser ce type d'article à l'avenir.

Il est temps de remettre en cause le statut de cette association, laquelle n'est ni d'utilité publique, ni neutre. SOS Racisme n'est qu'une officine socialiste, il n'y a qu'à voir où finissent ses cadres malgré leurs déboires judiciaires ! Cette officine partisane doit cesser de recevoir des subventions et être financée directement par le PS, ou par ses adhérents ! Les gens de SOS Racisme sont si sûrs d'eux et dominateurs, que leur légitimité doit s'appuyer sur un énorme nombre d'adhérents ! Qu'ils s'auto-financent donc sur les dons et les adhésions !

Mais, quand on est aussi peu connecté au réel que SOS Racisme, mieux vaut taper dans l'argent public en passant par le Système, que d'escompter obtenir volontairement le moindre euro du peuple.

Source cliquez ici

NDLR :Sur SOS Racisme : la campagne menée l'an passé par Synthèse nationale cliquez là

01:55 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

24 avril 1903 : naissance de José Antonio Primo de Rivera

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01:34 Publié dans Livres, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

A l'occasion de la sortie du livre explosif "Le vrai visage de Manuel Valls", Martial Bild reçoit Emmanuel Ratier...

Le vrai visage de Manuel Valls cliquez ici

00:49 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi prochain : Carl Lang à Toulouse

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00:48 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 24 avril 2014

Marseille, les racailles diminuent encore leurs effectifs : une embellie dans la morosité ambiante !

2655474797.jpgYves Darchicourt

Encore un règlement de compte à Marseille! Pourquoi s'en plaindre ? Assez d'angélisme, ce sont des racailles qui s'entretuent. Et les éliminations sont parfaitement ciblées. Des pros de la truanderie plombent des concurrents et sans dégât collatéraux. En règle générale, l'épuration se passe dans le cadre de l'économie souterraine liée au trafic de stupéfiants, quant aux victimes, ce sont le plus souvent des allogènes "connus des services de police", des truands notoires, des apprentis gangsters ou des taulards en voie de réhabilitation dans leur activité favorite. Ce ne sont certainement pas les honnêtes gens ou les policiers de terrain qui vont regretter leur mise hors d'état de nuire définitive. Dans un pays où il n'y a plus ni peine de mort ni réclusion perpétuelle effective, il n'est pas dommage que les nuisibles s'acharnent à limiter leurs propres effectifs à la kalachnikov.

Depuis le début de l'année, il y a eu 8 canailles envoyées ad patres dans les Bouches du Rhône (dont 6 à Marseille). Il y en avait eu 10 en 2010, 20 en 2011 (dont 13 à Marseille), 24 en 2012 (18 à Marseille) et 20 en 2013. Et ce malgré les sommes considérables investies à fonds perdus dans ces "quartiers" massaliotes qui sont de véritables couveuses à racailles de tous poils, malgré les renforts énormes en hommes et en matériels pour la police et la gendarmerie et surtout malgré les rodomontades ou les coups de menton des politiciens.

Soyons réalistes, le seul moyen vraiment efficace contre la truanderie est le nettoyage par le vide style opérations de police dans les favelas brésiliennes les plus criminogènes. Il ne faut guère y penser dans une France où par choix idéologique les dirigeants n'osent pas s'en prendre aux "droits de l'homme" des criminels désormais menacés du martinet ou chouchoutés prisons trois étoiles, sursis, semi-liberté et remises de peines automatiques. Alors il reste à se réjouir de l'auto-destruction des racailles en Paca ou ailleurs dans l'attente ici ou là d'une "Saint-Valentin" marseillaise genre Chicago 1929 ou même - pourquoi espérer petit - d'une grande "Saint-Barthélémy du mitan" selon la formulation de Michel Audiard.

18:23 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |