jeudi, 31 mars 2022
La vérité sur les sondages
Éric Zemmour
Un mystère hante l’élection présidentielle : et si les sondages se trompaient complètement ?
Les commentateurs en parlent, les politiciens professionnels le craignent, les sondeurs s’interrogent.
Leur conviction : rien n’est joué.
Leur question : existe-t-il un vaste réservoir de suffrages que personne ne parvient encore à détecter, mais qui pourrait déjouer les pronostics au soir du premier tour ?
Ma réponse : ce réservoir existe bel et bien, et surtout, il est une excellente nouvelle pour la démocratie et pour la France.
Il existe plusieurs manières d’évaluer les intentions de vote.
Le plus souvent, les médias parlent de la méthode statistique traditionnelle : celle des instituts de sondage. Elle consiste à demander à des gens qui aiment être sondés et qui se sont pour cela inscrit sur des « panels », quel est leur candidat préféré.
Notez bien : à des gens qui aiment être sondés.
Vous qui me lisez, avez-vous déjà été sondé ? Non, 99% d’entre vous répondront non.
Car il est impossible d’interroger les autres, ceux qui ne savent pas comment faire partie de ces « panélistes », ceux qui se méfient des sondages, ou ceux qui les détestent carrément. Ceux-là sont innombrables, sans doute de plus en plus nombreux.
Et, parmi eux, il n’y a pas que des abstentionnistes ou des « antisystèmes » : on y trouve une grande diversité d’électeurs qui refusent tout simplement de donner leur opinion. J’en ai rencontré tous les jours lors de ma campagne.
Mais il existe une autre manière de sonder les intentions d’un peuple : la réalité de la vie, effective, concrète, incarnée, des citoyens français.
- Que Reconquête!, mon parti fondé il y a à peine trois mois, compte aujourd’hui 120 000 adhérents et soit le plus puissant parti de France, voilà une information concrète.
- Que mes meetings soient incontestablement les plus peuplés et les plus fervents de la campagne électorale, voilà une certitude fondée.
- Que nous soyons les seuls à pouvoir remplir la place du Trocadéro de 100 000 patriotes venus des quatre coins de France, quand mes concurrentes ne dépassent pas les 6 000 personnes, est une information capitale. Dimanche dernier, nous avons vu le nombre et nous avons vu la ferveur : ce sont les deux déterminants d’un vote massif, car le nombre se démultiplie et car la ferveur est contagieuse.
- Que mes vidéos et mes passages à la télévision obtiennent des scores incomparablement plus élevés que ceux de mes adversaires, personne n’ose le nier.
- Que les dons, les messages de soutien et les témoignages de sympathie affluent vers moi comme vers aucun autre candidat, c’est aussi vrai que deux et deux font quatre et cela est chaque jour plus vrai et plus impressionnant que la veille, quels que soient les scores des instituts.
Un proverbe dit : « Crois ce que tu vois, pas ce qu’on te dit. »
Je vois la surabondance des preuves et je vois l’omniprésence de mes sympathisants dans tous les secteurs de la société française. Vous la voyez aussi et vous sentez, sur tous les marchés de France, qu’elle se situe bien au-delà de 12 %.
Vous sentez que parmi les millions de soutiens qui convergent vers ma candidature, il y a un très grand nombre d’abstentionnistes. Ils me disent que cette fois, ils veulent aller voter.
Pourquoi ?
Parce que je ne suis pas un politicien professionnel, parce que je n’ai jamais vécu aux crochets du contribuable, parce que je ne suis pas à la recherche d’un poste, parce que je renverse le jeu des partis traditionnels et parce que je suis le plus grand opposant à Emmanuel Macron.
Ils savent qu’ils peuvent compter sur moi. Je sais que je peux compter sur eux.
Enfin, il y a ceux qui ne peuvent pas dire qu’ils vont voter pour moi. Parce que leurs milieux professionnels ou familiaux sont soumis au régime de la terreur du politiquement correct.
Je pense à ceux qui viennent me dire leurs craintes : à ces Français des banlieues, à ces fonctionnaires, à ces enseignants, à ces artistes, qui doivent se cacher par crainte des représailles.
Je pense à tous ces résistants avec affection. Ils ne sont pas des lâches : ils sont des cibles. Ils placent leur espoir en ma candidature. Je compte sur leur revanche dans l’isoloir.
Le soir du premier tour sera leur soir.
Additionnez tous ces sondages, tous ces sympathisants si enthousiastes, tous ces abstentionnistes, tous ces silencieux, et vous obtenez un peuple.
Un peuple impossible à quantifier, mais qui est là, impatient et digne, prêt à créer la surprise. Un peuple qui veut me voir dire la vérité française à Emmanuel Macron, les yeux dans les yeux, pendant le débat du second tour. Un peuple qui veut que la France reste la France. Un peuple qui sait qu’impossible n’est pas français.
Dans 11 jours, notre peuple ridiculisera tous les faux prophètes et tous les mauvais experts.
Ce peuple, c’est vous.
Cet événement historique du 10 avril à 20 heures, c’est nous.
À demain pour la suite.
Vive la France !
01:05 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 30 mars 2022
Jeudi 31 mars à 21 h 00 : Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, est invité au "Forum du PdF" sur Télégram
18:13 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Web | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L'émission "Synthèse" sur TV Libertés avec comme invité Claude Chollet, président de l'OJIM
Connaissez-vous la Dilcrah, la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT (ouf) ? Non ? Alors, rappelez-vous du film magnifique "Le Corbeau" de 1943 de Georges Clouzot avec l’épatant Pierre Fresnay. Le film est inspiré d’un fait divers réel survenu en 1922, l’affaire de Tulle. Plus de cent lettres anonymes dénonçaient alors la "mauvaise conduite" de certains, l’adultère des uns, l’enfant naturel des autres. L’auteur, une vieille fille frustrée signait "L’œil du tigre" et ajoutait le dessin d’un corbeau. Le corbeau dénonce un tel qui couche avec une telle alors qu’il est marié, ou celui qui ne braie pas avec le troupeau, mais le corbeau exige aussi la punition par l’intercession du jugement moral de la communauté.
Roland Hélie, Philippe Randa et Pierre de Laubier reçoivent dans leur émission "Synthèse" Claude Chollet, collaborateur de la revue Éléments qui vient de publier aux éditions de la Nouvelle Librairie La Dilcrah, fossoyeur de nos libertés ; il dénonce, au nom de la salubrité publique, sa nuisance souvent haineuse et toujours partisane.
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15:43 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dette publique : spirale vertigineuse
Gaëtan Capèle
C’est l’éléphant dans la pièce que tout le monde fait mine d’ignorer : a douze jours de l’élection présidentielle, l’énorme sujet de la dette publique brille par son absence dans le débat politique. Les chiffres pourtant, donnent le vertige. L’endettement de la France, pris dans une spirale vertigineuse, a triplé en vingt ans pour dépasser les 2800 milliards d’euros. La Cour des comptes, chargée de surveiller le bon usage de l’argent public, s’inquiète ouvertement de cette trajectoire, en passe de devenir hors de contrôle. Depuis un demi- siècle, quelle que soit la météo économique, la France vit au-dessus de ses moyens, en dépensant systématiquement davantage que ce qu’elle possède. Avec la pandémie, puis la flambée des prix de l’énergie, les dernières digues ont lâché. Au nom de circonstances exceptionnelles qui le sont de moins en moins, l’État se charge de tout, se substitue à tout, paie tout, quoi qu’il en coûte.
Cette infantilisation du pays prépare des lendemains difficiles. Personne, à part Jean-Luc Mélenchon, ne croit à la fable d’un effa- cement de la dette. La réalité est qu’avec son gonflement sans fin et la remontée des taux d’intérêt, il faudra, à l’avenir, consacrer de plus en plus de moyens à son remboursement. Et que la générosité publique actuelle, purement factice, annonce les impôts de demain.
On cherche en vain, dans la frénésie dépensière des programmes électoraux, ce qui pourrait interrompre cette fuite en avant. Emmanuel Macron ou son successeur devra pourtant bien s’y astreindre. Car le monde d’avant, que l’on croyait révolu, revient au galop. Les banques centrales préparent la fin de l’argent gratuit à volonté. Les créanciers internationaux recommencent à trier les bons et les mauvais risques. Les Européens s’apprêtent à renégocier les règles budgétaires applicables dans la zone euro. La France, qui n’a quasiment jamais respecté les précédentes, espère davantage de souplesse et ambitionne même de convertir ses voisins aux bienfaits de la dette commune. Son lourd passif ne plaide pas en sa faveur.
Source : Figaro 30/3/2022
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MERCREDI 30 MARS (À PARTIR DE 18 H) : CLAUDE CHOLLET, DIRECTEUR DE L'OJIM, INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR TV LIBERTÉS
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mardi, 29 mars 2022
Robert F. Kennedy, Jr. s'adresse aux Français
Robert F. Kennedy, Jr. « Les Français doivent comprendre qu’il s’agit d’un projet mondialiste pour créer une technocratie permanente qui nous gouvernera au profit des grandes entreprises plutôt que pour l’esprit humain, l’âme et la dignité humaines et la santé publique.
J’ai écrit ce livre pour que les Américains, qu’ils soient démocrates ou républicains, puissent comprendre le rôle pernicieux du Dr Fauci, qui permet aux entreprises pharmaceutiques d’asservir notre gouvernement et de subvertir notre démocratie. Je l’ai aussi écrit pour relater le rôle clef joué par le Dr Fauci dans le coup d’État qui se joue actuellement contre la démocratie.»
Vous pouvez commander ce livre chez son éditeur par ICI
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Le succès d'Eric Zemmour :
15:30 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Ukraine : QUELQUES VÉRITÉS (PAS) BONNES À DIRE
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Indépendamment des pertes humaines qu’il est difficile à ce jour de quantifier - civils ukrainiens, militaires des deux camps - Vladimir Poutine a commis quelques erreurs majeures d’appréciation de la situation.
La première, en surestimant les capacités de son armée, qui semble en difficulté face à une résistance acharnée, malgré ses frappes bien souvent aveugles. La seconde erreur, en sous-estimant la rage à se battre des forces ennemies. On est en droit de s’interroger sur la capacité tactique des chefs d’unités russes sur le terrain, à voir comment se sont faits « allumer » les chars sur une grande route, alignés en file indienne, comme à la parade. Pas besoin de sortir de Saint-Cyr pour deviner que l’on n’engage jamais des blindés en terrain découvert, sans avoir fait procéder à une reconnaissance de l’avant… Quelles belles cibles pour les Ukrainiens, postés en embuscades, leurs modernes Panzerfausts à l’épaule ! Il semble que la doctrine d’emploi des moyens blindés n’ait pas évolué depuis l’ère soviétique. On a vu, à l’occasion des trois dernières guerres israélo-arabes – 1956, 1967, 1973 - ce qu’il en était, déjà, sur le terrain.
Troisième faute, un comble, Poutine a contribué à redonner vie à l’OTAN, un organisme qui, selon notre « Phare de la pensée nationale » - Macron – était en « état de mort cérébrale », sans oublier qu’il a également contribué à faire se resserrer les liens distendus unissant les pays de l’Union européenne.
Quatrième erreur, par ses bombardements massifs tuant de nombreux civils, il a contribué à faire émerger une nation ukrainienne que l’on disait divisée entre Ukrainiens « pur jus », notamment du côté de la Galicie à l’ouest, et Russophones du Donbass que, justement, il se proposait de libérer.
Et, cinquième conséquence négative de ce conflit - qui nous affecte le plus tout autant que la mort de nos frères européens dans les deux camps - il retarde d’au moins une à deux bonnes décennies, sauf imprévu, tout espoir de constituer un ensemble continental pacifié de « Brest à l’Oural » comme l’exprimait De Gaulle, qui ne disait pas que des bêtises. Une sorte « d’Euro-Sibérie » déconnectée de l’emprise américaine, où les nations d’Europe occidentale, indépendantes mais militairement soudées, échangeraient leurs produits finis et leurs biens de consommation courante, contre les immenses ressources minérales russes, une sorte d’échanges gagnants/gagnants.
Une consolation – pour longtemps ? – il semble qu’à part Renault qui s’est discréditée pour un bon moment - Mercédès et BMW lui tailleront des croupières lorsque la paix sera revenue ! - d’autres firmes françaises résistent aux insupportables injonctions du Président Zelensky, et restent sur le marché russe. Nous avions à Londres, le « général micro », il y a à Kiev un « Président télé » que les medias de la « bienpensance » viennent d’ériger en héros planétaire.
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Macron et la politique du grand écart
Françoise Monestier
Les hasards du calendrier ont permis à Emmanuel Macron de bénéficier des avantages de sa double casquette de président sortant et de candidat au renouvellement de son mandat lors de la cérémonie d’hommage aux victimes de Mohamed Merah, organisée à Toulouse le 20 mars dernier par le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) et son responsable régional Franck Teboul, proche du maire de la ville. Flanqué de son épouse, le président de la République a rendu hommage aux victimes, quatre juifs dont trois enfants, deux militaires musulmans et un soldat catholique, en évoquant simplement « une vision dévoyée de l’islam » pour qualifier la tuerie perpétrée par celui que l’on avait d’abord présenté comme le « tueur au scooter ».
L’ombre de la Shoah
« Depuis dix ans, face aux drames, face à leur répétition, nous n’avons pas baissé la tête. [...] Nous n’avons rien cédé, rien abandonné, sûrs et fiers de nos valeurs, recherchant sans trêve l’équilibre ente la défense de nos libertés et le renforcement de notre sécurité », oubliant, pêle-mêle, Charlie Hebdo, Magnanville, le Bataclan, Samuel Paty ou nos soldats victimes des tueurs islamistes. En revanche, il a rappelé, en s’adressant au président israélien Isaac Herzog qui avait fait le déplacement depuis Jérusalem, que le Parlement s’est abrité fin 2019 sous le parapluie de l’ Alliance internationale pour la mémoire de la Shoah pour définir l’antisémitisme afin de lutter contre « ses formes les plus insidieuses, les plus pernicieuses comme les plus désinhibées ». L’occasion rêvée pour Franck Teboul, après avoir demandé une minute de silence pour l’Ukraine, de s’en prendre violemment, sans le nommer, à Zemmour, déplorant que « les vieilles thèses ressurgissent », évoquant ses propos visant « l’innocence d’un capitaine » ou l’idée qu’un « traître puisse être considéré comme un bouclier ». Pendant ce temps-là, les horreurs commises aux cris d’« Alla-hou Akbar » passaient au second rang et le CRIF peut continuer à tirer les ficelles.
Fausses notes ?
Des esprits chagrins noteront qu’aucun hommage n’a été rendu, pour cette commémoration, aux trois militaires abattus par Merah qui avait soigneusement préparé sa tuerie. « Ils n’ont rien fait et je pleure. J’ai perdu un fils de trente ans, un fils de la République », déplore Latifa Ibn Ziaten qui a regretté l’absence de paroles spécifiques pour les soldats. François Hollande n’avait pas fait mieux en 2012, en qualifiant de musulman le catholique Abel Chenouf, un des trois militaires tués par Merah, provoquant la réaction de son père qui condamnait « l’inculture, l’agression verbale et le mépris » de l’ancien président.
Autre fausse note dans cette cérémonie, l’hymne israélien a été chanté avant notre Marseillaise et Emmanuel Macron a invité le grand rabbin de France à réciter le kaddish, la prière prononcée pour les morts dans la religion juive, sans convier les représentants de la religion catholique et de la religion musulmane à faire de même pour les autres victimes.
Trois jours plus tard, le même Emmanuel Macron s’indignait, après la mort de Colonna, violemment agressé par un Camerounais djihadiste dans sa prison d’Arles, que les étendards aient été mis en berne par la collectivité de Corse, oubliant qu’en 1953 ces mêmes symboles de la République l’avaient été pour la mort de Staline (des millions de morts au compteur) et en 2013 pour Mandela. Histoire sans paroles.
Source : Présent 29/3/2022
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Allemagne. Le cabinet McKinsey a conseillé le gouvernement Merkel sur l’accueil des migrants… contre 30 millions d’euros
SOURCE BREIZH-INFO cliquez ici
Le cabinet de conseil McKinsey, n’ayant versé aucun impôt en France depuis au moins 10 ans malgré des factures de plusieurs millions d’euros et dont l’un des responsables serait un proche d’Emmanuel Macron, est également intervenu en Allemagne. Pour conseiller le gouvernement Merkel sur l’accueil des migrants. Moyennant, là encore, une belle rémunération.
Quand McKinsey venait au chevet de l’Allemagne sous la pression migratoire
Puisque la France découvre progressivement (quoiqu’un peu tard) les relations troubles entre l’État français et McKinsey, il est donc temps de s’intéresser rétroactivement aux activités passées de ce cabinet de conseil en stratégie new-yorkais en Europe.
À ce titre, le cas de l’Allemagne est intéressant. Durant la crise migratoire de 2015, il s’avère que McKinsey a conseillé le gouvernement d’Angela Merkel dans sa gestion des flux de clandestins. Depuis, plusieurs titres de presse ont évoqué ces prestations de conseil.
Si le quotidien français La Dépêche s’interrogeait en février 2021 sur le rôle du « mystérieux cabinet McKinsey, qui accompagne Emmanuel Macron de la création d’En marche à la vaccination contre le Covid-19 », les projecteurs furent également braqués, cette fois par le Washington Post en juin 2017, sur la façon dont le cabinet de conseil avait « discrètement façonné la réponse de l’Europe à la crise des réfugiés ». Une réponse qui, comme en France pour les conseils en matière de stratégie vaccinale ou pour réduire les dépenses publiques, a conduit l’Allemagne à régler une facture plutôt salée à McKinsey.
Près de 30 millions d’euros pour ouvrir les portes de l’Allemagne aux migrants
Tandis que le pays était alors gouverné par la chancelière Angela Merkel, il faut donc rappeler que l’Allemagne a accueilli 1,5 million de clandestins en 2015, année marquée par ce que les responsables politiques d’Europe de l’Ouest et les médias mainstream appelèrent la « crise des migrants ». Avec la publication, dans ces mêmes médias, le 2 septembre 2015 de la photo d’un enfant syrien mort noyé, Aylan, l’objectif était alors à peine caché : faire accepter aux européens les mouvements de populations extra-européennes parmi les plus importants de l’histoire.
L’année suivante, en 2016, malgré les agressions de Cologne commises lors de la Saint-Sylvestre qui auraient dû alerter les autorités sur les conséquences néfastes de l’immigration massive, l’Allemagne accueillera un million de migrants supplémentaires.
C’est donc dans ce contexte, en octobre 2015, tandis que le pays était débordé par les flux de migrants et voyait ses structures d’accueil débordées, que l’Allemagne a eu recours aux services de McKinsey. À ce titre, Berlin a versé 29,3 millions d’euros au cabinet de conseil américain. Ce dernier a alors mené un travail en coopération avec l’Office fédéral des migrations.
La remigration, une idée que n’a pas eue McKinsey…
Parmi les projets de McKinsey figurait la mise en place de centres d’arrivée accélérée ayant la capacité de traiter les demandes en quelques jours afin d’éviter une accumulation des arriérés de dossier. À noter que le travail de la société sur les questions migratoires a également conduit ses consultants à prodiguer leurs conseils en Suède (en 2008 et 2009 pour un montant dépassant les 2 millions de dollars) et en Grèce, où, en 2017, un contrat d’un montant de 992 000 euros conclu entre McKinsey et le Bureau européen de l’asile aurait été passé sans « suivre la nécessaire procédure d’attribution des marchés publics », comme l’a notamment rapporté le journal Le Monde en 2020.
Quant aux préconisations du cabinet de conseil en matière de gestion des migrants, elles ont froissé certains experts en droit international du fait que cette gestion plus rapide des dossiers de demande d’asile aurait parfois conduit à priver les clandestins de certains droits comme celui regroupement familial.
Toutefois, pas question pour McKinsey de recommander à l’Allemagne une politique de remigration, concept popularisé depuis par Éric Zemmour. Ainsi, le centre d’études McKinsey Global Institute a publié en 2016 un rapport sur les « impacts et les opportunités des migrations mondiales. Le document décrit comment des procédures d’intégration plus efficaces pourraient stimuler les économies nationales tout en profitant aux migrants.
Voilà qui fait cher payé pour une idée répandue depuis longtemps au sein des gouvernements successifs, à savoir que l’immigration d’origine extra-européenne serait une « chance » pour nos sociétés occidentales, et plus particulièrement pour les tenants de l’économie. On connaît la suite…
13:04 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Éric Dénécé (spécialiste du renseignement) démonte Zelensky et l’OTAN
Eric Dénécé (Directeur du Centre Français de Recherche sur le Renseignement) : "J'avoue que je suis extrêmement choqué par l'écho médiatique et l'aura que l'on donne à Volodimir Zelensky qui est un acteur, un comédien (...) qui est responsable de ce qui se passe, lui et son entourage, n'oublions pas qu'il a été élu avec les voix des Russophones en 2019, il n'a pas appliqué les Accords de Minsk pour lesquels il avait été élu, ensuite il ne faut pas oublier que c'est un homme qui avait été mis en cause par les Pandora Papers, ce ne sont pas des racontars, il est accusé d'avoir dissimulé une grande partie de sa fortune, notamment avec sa société Maltex. Dès qu'il a été élu, il a nommé Sergei Shefir, qui était son producteur, comme principal conseiller. On sait aussi qu'il est accusé d'avoir blanchi près de 40 millions de dollars de l'oligarque Kolomoisky. Donc on a là quelqu'un qui est une forme de satire, je trouve qu'il faut le dire, et qui fait une véritable politique de communication très astucieuse, mais qui commence à se retourner contre lui. On l'a vu devant la Knesset il y a quelques jours où il a comparé ce qui se passait dans l'Est de l'Ukraine à la Solution Finale, alors inutile de vous dire que pour la moitié des élus israéliens c'était un véritable scandale, il nous a rejoué un grand coup de violon devant le parlement français sûr, vous le disiez tout à l'heure, le rapport entre Marioupol et Verdun, ça ne tient pas la route, et aujourd'hui, le chef de la diplomatie ukrainienne, qui est un de ses principaux adjoints, est en train de nous dire ce qu'on doit faire, c'est-à-dire que c'est lui qui décide de provoquer un boycott contre les produits, contre les magasins Auchan en Russie… Ainsi, ces gens qui ne représentent rien, ces gens qui n'ont cessé d'être manipulés volontairement par les Américains, je parle du gouvernement ukrainien, sont aujourd'hui responsables de ce qui se passe dans leur pays. Je fais une nette différence entre cette population ukrainienne qui est victime de la guerre et ce gouvernement qui a une énorme responsabilité, et au lieu de communiquer comme il le fait, on serait plutôt en droit d'attendre de sa part qu'il présente des excuses pour avoir été, un, à l'origine de ce conflit, et finalement il contribue à l'extermination de sa population."
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lundi, 28 mars 2022
La déplorable petite musique médiatique autour du « Macron assassin »...
23:41 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
"Macron assassin" : la minable polémique
Réaction de Thomas Joly, président du Parti de la France :
La minable polémique sur le slogan « Macron assassin », que d'ailleurs quasiment personne n'a entendu dimanche au Trocadéro, est significative de la frustration de la caste politico-médiatique face au succès de ce rassemblement historique. Ils enragent et savent bien qu'Éric Zemmour a toutes ses chances d'accéder au second tour de l'élection présidentielle.
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Les nations doivent être défendues
Absent depuis plusieurs mois de la vie intellectuelle et médiatique, Alain Finkielkraut fait son grand retour dans Le Figaro. L’académicien confie l’épreuve de la maladie qu’il a traversée et qui l’a obligé à interrompre son émission culte sur France Culture, Répliques. Lui, dont la mère est née à Lviv, ville anciennement polonaise devenue ukrainienne, livre son regard sur l’invasion russe à partir de son expérience familiale, mais aussi des lectures de Milan Kundera et Vassili Grossman. Il voit dans l’agression de l’Ukraine la persistance de la Russie impériale et dans la résistance de Kiev le rappel que les petites nations ne sont pas des concepts abstraits mais des lieux et des attachements à préserver.
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PHÉNOMÉNAL !
12:22 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 27 mars 2022
En force dimanche 27 mars à Paris avec Eric Zemmour
00:09 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 26 mars 2022
Charles-Henri d'Elloy a "fait un tabac" ce samedi après-midi à la Librairie française en présentant son dernier livre : Le procès de Jupiter
Belle après-midi de dédicaces. Merci à tous ceux qui ce sont déplacés. Toutes mes excuses aux lecteurs qui sont arrivés après la rupture de stock du "Procès de Jupiter". Ce n'est que partie remise. Merci de vos encouragements.
Charles-Henri d'Elloy
Acheter le livre : cliquer ici
23:07 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Colloque de l'Institut Iliade
Le prochain colloque de l’Institut Iliade a pour thème, identité, souveraineté, sacré. Il aura lieu le Samedi 2 avril 2022 de 10 heures à 19 heures à la Maison de la chimie, 28 rue Saint-Dominique, Paris 7ème – métro : Invalides.
Pour s'inscrire, cliquez ICI
10:19 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les effets de la crise ukrainienne sur l’économie mondiale
Christophe Barraud, prévisionniste chez Market Securities, analyse l’effet de la guerre d’Ukraine sur l’économie mondiale, concomitante de la crise sanitaire et du choc d’inflation.
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Source : Le Fiagaro 26/3/2022
09:42 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Journal du chaos
Pour télécharger, cliquez ICI
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vendredi, 25 mars 2022
Eric Zemmour était ce matin aux côtés des riverains de "la colline du crack" à Paris
Pendant que certains passent leur temps à pérorer sur les pseudo sondages, Eric Zemmour, avec courage et détermination, est allé ce matin à la rencontre des habitants de la Porte de la Villette à Paris, là où sévissent les trafiquants et consommateurs de crack.
Eric Zemmour : "Je me suis déplacé à la « colline du crack » en plein Paris, pour soutenir les riverains qui vivent l’enfer à ciel ouvert.
Cette insécurité liée à l'immigration massive est insupportable. Il faut montrer aux Français le vrai visage de l'insécurité.
Dans quelques semaines, j'y mettrai fin".
16:22 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Sortie le 25 mars du nouveau numéro de la revue Eléments
10:56 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Paris, dimanche 27 mars, 14 h : TOUS AU TROCADÉRO !
09:16 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 26 mars, de 14 à 18 h, Charles-Henri d'Elloy dédicacera "Le procès de Jupiter" à la Librairie française à Paris
Le procès de Jupiter cliquez ici
09:16 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Nous subissons une immigration sans précédent
Dans un entretien exclusif, l’ancien ambassadeur et ancien directeur général de la DGSE, Pierre Brochand, explique pourquoi, selon lui, l’immigration est le défi le plus important auquel nos sociétés sont confrontées. L’immigration de masse que vit la France depuis des décennies a créé des groupes culturels distincts dans notre pays, estime Pierre Brochand. Il juge que l’Europe est la seule partie du monde à nier l’importance de l’homogénéité culturelle. Or, pour l’ancien directeur général de la DGSE, la société des individus occidentale multiculturelle est vouée à des déchirements profonds. Il faut, plaide-t-il, un changement de cap complet de nos politiques publiques pour faire face à ce défi.
Lire la suite ICI
Source : Le Figaro 25/3/2020
02:33 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L’impossible double guerre
Christian Daisug
Pourquoi les Etats-Unis ne sont-ils pas intervenus militairement en Ukraine pour tenter de s’opposer au déferlement de l’armée russe ? Plusieurs raisons furent avancées, notamment la possibilité d’un enchaînement fatal vers une conflagration mondiale et la préférence de Joe Biden pour des sanctions économiques punissant Vladimir Poutine, président de la Fédération russe. Cependant, l’argument qui emporta la décision à la fois de la Maison Blanche et du Pentagone n’a rien de commun avec cette prudence calculée et ce choix de moyens : il est stratégique. Les Etats-Unis refusent de prendre le risque d’avoir à combattre sur deux fronts simultanés. Or, s’ils avaient estimé leur présence indispensable contre les envahisseurs de l’Ukraine, à l’autre bout du monde, Xi Jinping, le président chinois, aurait très bien pu sauter sur l’occasion et ouvrir des hostilités afin de s’emparer de Taiwan. Il n’attend que ce scénario et compte sur les faiblesses de l’Amérique.
En fait, ce ne sont pas tant les faiblesses, toute relatives, de leur superpuissance en déclin qui inquiètent les autorités de Washington que la force impressionnante de la Chine. En vingt-cinq ans, celle-ci s’est hissée sur les plans militaire et économique – deux domaines intimement liés – au niveau du pays que son ambition a pris pour cible. Elle le nargue. Elle le défie. Elle guette la moindre de ses défaillances ou de ses erreurs pour croiser le fer et essayer de prendre sa place. Xi a davantage de navires que Biden et peut utiliser des missiles supersoniques que son rival ne possède même pas. Il est vrai que les bombardiers indétectables restent le joyau de l’US Air Force, mais elle n’en dis- pose que de vingt. Si les Etats-Unis voulaient voler au secours de Taiwan, les experts ont calculé qu’ils devraient engager en avions, sous-marins, commandos, reconnaissance et renseignement, les trois quarts de leur armée. Que resterait-il pour un théâtre d’opérations en Europe ? Des unités clairsemées dotées d’un ma tériel insuffisant. Autrement dit, une Amérique faisant pâle figure devant une Russie plus décidée que jamais à prendre sa revanche.
Conclusion : pour les Etats-Unis, Taïwan est infiniment plus importante que l’Ukraine. L’île rebelle sert de verrou à leur influence dans le Pacifique. Si Xi parvenait à le faire sauter, Washington ne serait plus en mesure de défendre ses trois principaux alliés dans la région – Japon, Philippines et Corée du Sud – ni même de poursuivre avec eux un intense commerce : ses dirigeants auraient perdu la face. La Chine communiste aurait obtenu ce dont elle rêve depuis sa fondation : l’effacement de l’ultime symbole de l’ancien régime. Xi fait de cet objectif l’apothéose de son programme et le fer de lance de sa carrière. Son alliance avec Poutine sent le pétrole, le commerce et la fructueuse complicité face à l’adversité. Elle sent aussi la menace d’un double embrasement armé. Le Pentagone tient à sa formule : les alliés européens sont mieux placés pour tenir tête à la Russie que ne le sont les alliés asiatiques pour contenir la Chine.
Source : Présent 24/3/2022
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jeudi, 24 mars 2022
QG de campagne au siège de Reconquête...
16:46 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes
Dans son dernier édito de Marianne, Natacha Polony s’interroge sur la Corse et plus particulièrement décortique ce que pourrait signifier une « autonomie de la Corse » avancée par le gouvernement. Rappelant que le pacte républicain repose sur une France « une et indivisible ». Ce qui ne l’empêche pas, comme le rappelait Renan qu’elle est aussi une et diverse.
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09:11 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Ukraine : retour au réel
L’Europe peut sembler trop prudente à l’égard de Poutine… Mais c’est elle qui paierait le prix fort d’une escalade militaire avec le Kremlin.
Les accords de Minsk font suite à l’entrée des Russes dans le Donbass… Mais ils reconnaissaient une autonomie de la région non respectée par les Ukrainiens.
Comme tout pays, l’Ukraine peut demander son adhésion à l’Otan… Mais la promesse a bien été faite à la Russie que l’Alliance atlantique ne s’étendrait pas vers l’est.
Personne ne sait où la guerre de Poutine nous mène… Mais on peut encore envisager qu’elle puisse s’arrêter à la seule Ukraine ?
Vladimir Poutine a menti et s’étend vers l’ouest… Mais au début des années 2000, l’Occident a aussi beaucoup menti et n’a pas accepté la main tendue par Moscou.
Non, les Américains n’ont pas financé des laboratoires d’armes biologiques en Ukraine… Mais ils sécurisent des installations de recherches contre les épidémies.
A la frontière polonaise, un bel élan de solidarité se met en place… Mais des sectes en profitent pour étendre leur influence.
L’Europe sanctionne financièrement la Russie… mais elle ne parvient pas à l’asphyxier.
La Crimée est annexée par Poutine… Mais un vrai référendum aurait pu clarifier la question.
Zelensky agit en héros… Mais son nom apparaît bien dans la liste des fraudeurs fiscaux.
Les citoyens font preuve de générosité… Mais le patronat polonais se frotte les mains.
Source : Marianne 24/3/2022
09:09 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 23 mars 2022
GPA : Trafic humain en Ukraine – Le scandale Biotexcom
Alors que l’Ukraine est sous les bombes, une agence de GPA ose profiter des circonstances pour diffuser une vidéo « publicitaire » : elle consiste à vanter son efficacité à déplacer des dizaines de nouveaux-nés et, littéralement, à les stocker dans un sous-sol.
Cette vidéo atteste hélas de l’ampleur de ce trafic humain international. Elle témoigne de la chosification des enfants, emmenés loin de leur mère dès les instants de leur naissance pour être livrés à des inconnus. Dans l’urgence de toucher le prix de ces enfants, ces trafiquants ne réalisent même plus la monstruosité de ce qu’ils diffusent.
Sur les plateaux TV, les commanditaires sont reçus avec empathie quand des femmes, exploitées comme mères porteuses parce que très pauvres, dont aucun ne questionne les conditions de (sur)vie, sont retenus à Kiev, sous les bombardements, pour assurer la livraison du bébé commandé et attendu.
BIOTEXCOM, agence de GPA ukrainienne réalise une campagne publicitaire scandaleuse attestant de l’ampleur de ce trafic international de bébés. L'aliénation de la femme, le trafic humain de la GPA est inacceptable. La promotion de cette pratique indigne doit être empêchée et interdite. Il est temps de dire STOP. Il est temps de sauver ces femmes exploitées et d'exiger l’abolition universelle de la GPA ! Signez la pétition sur ukrainiennesendanger.com
14:34 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |