jeudi, 15 février 2024
Tribune libre : FA/ANTIFA la stratégie de la tension qui monte partout en Europe
Gabriele A1dinolfi
Une société dévorée par les endoparasites
Un spectre hante l’Europe : celui d’un fascisme introuvable qui obsède les paranoïaques et excite les réprimés qui se sentent vivants dans la chasse aux sorcières. Il s’agit de ceux qui, pour se donner une allure et une raison de vivre, doivent persécuter un méchant invisible, de préférence sans défense, car parmi eux, ils sont vraiment peu nombreux à savoir affronter une épreuve de courage physique ou moral. Leur seul souci est d’anéantir un ennemi imaginaire dont ils ne connaissent rien, mais auquel ils attribuent toutes les causes de leurs échecs existentiels.
Ainsi, nous sommes de retour, mais en l’absence d’un conflit civil, aux sombres jours où tuer un fasciste n’est pas un crime, et nous voilà dans le justificatif des bandes criminelles antifa et même des “foibe”, les fosses où furent jeté encore vivants des milliers de civils italiens par les communistes de Tito.
C’est loin d’être une répétition de l’histoire, même loin d’être une farce, comme le dirait Marx : nous sommes ici dans la démence la plus sombre et sordide, subhumaine !
Pour cette folie, l’explication principale est le malheur dû à la misère humaine de ceux qui portent cette haine stupide, aveugle et surtout dépassée ; mais ce n’est pas la seule.
Il y en a une autre : l’évolution historique de la symbiose entre le capitalisme et le communisme qui a fait en sorte que les deux survivent ensemble, en tant que mentalités et mécanismes, même s’ils s’expriment sous des formes différentes. La Chine, par exemple, est un communisme devenu capitaliste, les États-Unis sont un capitalisme qui a adopté et promu l’âme communiste. La Russie est, selon sa tradition historique, le résultat déformé d’un avortement qui exprime sans finesse aucune le pire des deux côtés et avec très peu de leurs qualités respectives.
En ce qui concerne l’Europe, la chute du mur de Berlin a marqué la victoire économique et structurelle du capitalisme sur le communisme défaillant, mais aussi l’invasion invisible dans les organes occidenteaux des structures héritières de la HVA de la Stasi (expression de ce même Bund qui a engendré Trotsky et Rosa Luxembourg, s’occupant principalment du sabotage à l’ouest). Dans l’Allemagne réunie, après 1990, favorisées par le terrain préparé par l’École de Francfort, ces structures impalpabes ont poussé comme un endoparasite. C’est-à-dire ces insectes dont les femelles adultes pondent des œufs dans le corps d’une malheureuse victime et laissent les larves se nourrir du corps de l’insecte vivant, le dévorant de l’intérieur.
Mais il n’y a pas seulement les enfants de l’HVA-Stasi, il y a les trotskistes en France, les enfants de l’Internationale socialiste dans les pays de langue espagnole et portugaise, les cathocommunistes en Italie. Tous ces groupes ont accompagné et continuent d’accompagner l’évolution capitaliste sans poursuivre aucun rêve révolutionnaire. Ils se sont soumis aux mécanismes, mais en échange, ils ont prévalu dans l’imposition d’acides corrosifs psychologiques et spirituels envers l’ensemble de la société qu’ils veulent remodeler, en laissant d’abord place à la tabula rasa.
Aujourd’hui, où il n’y a plus de lignes politiques différentes entre elles, mais seulement différentes conceptions de l’administration et du décor, on assiste, à l’échelle européenne et même américaine, à la répétition du même schéma qu’en 1974 en Italie. À l’époque, la “pacification” des deux compères-ennemis (Démocratie chrétienne – Parti communiste italien) s’est faite par le biais de la stratégie terroristee des Massacres aveugles dans la foule, attribués aux fascistes malgré toutes les évidences, les indices et les preuves, créant ainsi un ennemi inhumain et imaginaire qui a ensuite permis à l’ensemble de l’appareil du PCI et de l’extrême gauche de se défouler, en toute impunité, dans la chasse au fasciste et dans la suppression physique de ce dernier. Et ainsi, tous ces lamentables personnages se sont donné un beau rôle tout en collaborant avec les “Patrons” qu’ils feignaient par ailleurs de maudire.
Le schéma se répète de manière inquiétante. Le seul élément de soulagement est que la capacité d’hypnotiser offerte par la propagande des Réseaux en ligne permet de reproduire le même schéma sans que les terroristes au service des chasseurs de sorcières aient nécessairement à commettre des Massacres terroristes au préalable. Il suffit d’en parler d’une certaine manière pour qu’ils soient perçus comme réels par des cellules captives.
Cela dit, le fait qu’une série de délinquants psychopathes, détachés de toute réalité, s’exercent au meurtre en série, comme la célèbre Hammerbande qui a frappé, entre autres, à Budapest lors de l’arrestation d’Ilaria Salis (1), est un fait qui ne disparaîtra pas de lui-même, et quiconque affecte de s’en désintresser, le minimise voire justifie aujourd’hui, est complice du futur sang versé, qu’il en soit conscient ou non. Même si ensuite, comme toujours, il s’en lavera évidemment les mains. L’expérience de la bourgeoisie illuminée et possédée qui a fourni à la fois le salon, le carburant et la protection au terrorisme des années 1970, d’abord salué comme providentiel et ensuite justifié en le présentant comme une forme de défense impétueuse ou juvénile, a visiblement peu servi. Ils n’ont pas eu honte alors et ne l’auront pas maintenant. C’est une question de nature : certains sont abjects par vocation.
(1) Ilaria Salis est une “antifa” italienne arrêtée dans un taxi à Budapest en février 2023 en compagnie de deux chefs allemands de la Hammerbande, munis de bâtons, marteaux et autres objets contondants, immédiatement après les agressions répétées commises à 10 contre un par leurs commandos contre neuf manifestants nationaux ciblés isolément, en marge d’un rassemblement patriotique annuel. Ceux-ci furent violemment frappés à la tête, aux bras ou poignardés, ce qui a conduit à des accusations de crimes de bande armée internationale et de tentatives multiples de meurtre contre Salis et ses collègues. Une grande partie de la gauche et des médiats italiens mènent aujourd’hui une campagne en faveur de la détenue.
NB Le HVA était la structure d’espionnage et sabotage à l’exterieur de la RDA (Allemagne communiste), dirigée par le tristement célèbre Markus Wolf.
Source cliquez ici
Note rédigée par Terre & peuple cliquez là :
Pour quiconque se concentre uniquement sur la situation de son pays il est difficile de saisir la délicatesse et le danger du moment actuel.
L’inquisition antifasciste (ou antinationale) a atteint des niveaux inconnus depuis des décennies. Non seulement les manifestations politiquement incorrectes sont interdites, mais même les commémorations.
La propagande médiatique affiche un danger fasciste complètement artificiel. Pendant ce temps, des bandes armées internationales s’organisent et attaquent. En nous limitant à ce qui a été officiellement établi lors des procès, il y a eu 18 tentatives d'assassinat en Allemagne et 9 en Hongrie par des antifa. Les prévenus sont incompatibles avec la prison selon les juges allemands. En Grèce, des anarchistes ont été arrêtés après des attentats à la bombe - faisant des victimes - et, bien qu'ils aient été trouvés en possession des minuteurs, ils ont été relâchés faute de preuves suffisantes.
Il semble que nous revivions la naissance de la stratégie de tension des années 70 en Italie, mais à l'échelle européenne. Ajoutez à cela que la guerre à Gaza radicalise certaines minorités islamistes et qu’elles reçoivent des armes de puissances amies et de mafias qui exploitent la guerre en Ukraine. Il faut en être conscient et être vigilant.
Avez-vous lu le dernier essai de Gabriele Adinolfi ?
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mercredi, 14 février 2024
Début du Carême : un temps de pénitence
Aujourd'hui, c'est le mercredi des Cendres. C'est le début du Carême qui dure jusqu'à Pâques. Pendant cette période, nous nous souvenons que Jésus-Christ a survécu 40 jours dans le désert et qu'il a réussi à résister à toutes les tentations.
Le tabagisme, la drogue, la consommation excessive d'alcool et la pornographie sont des choses qui nous font du mal et nuisent à notre fonctionnement. Pour servir le peuple flamand, nous devons devenir la meilleure version de nous-mêmes. Nous ne pouvons exiger de nos concitoyens que ce que nous exigeons d'abord de nous-mêmes.
Les addictions qui procurent un plaisir à court terme n'ont pas leur place dans la vie d'un nationaliste sain. Il vaut mieux se concentrer sur le long terme, sur l'éternel, sur les choses qui nous apportent une satisfaction à long terme, comme les gens, la famille, le sport et le travail.
Mais il est parfois difficile de faire ce pas, il faut parfois un coup de pouce. Le Carême est une occasion idéale pour cela. Des millions de personnes dans le monde entier vont essayer de résister aux tentations. Mettez de côté le tabac, les drogues, la consommation excessive d'alcool et la pornographie pendant 40 jours et voyez l'effet que cela produit. Vous vous sentirez probablement mieux et deviendrez ainsi un meilleur serviteur pour votre famille et votre entourage. En outre, c'est une bonne façon de faire revivre une tradition flamande ancestrale comme le carême. Bonne chance à tous.
Dries Van Langenhove (30 ans) est un Politologue Flamand, avocat, entrepreneur et plombier. Ancien membre du parlement Belge (Vlaams Belang) et fondateur de l'association Schild en Vrienden. Il est également ancien membre du conseil d'administration de l'université de Gand.
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Pour Marine et Jordan, c’est un retour de bâton !
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Marine le Pen et son poulain, Jordan Bordella – ce dernier, au demeurant, le « bon choix » pour la vitrine de son parti, le RN -, en seront pour leurs frais. Eux qui, par deux communiqués larmoyants après le décès de Robert Badinter - l’avocat d’un meurtrier d’enfant, l’abolitionniste sauveur des têtes de criminels -, pensaient faire partie du fameux « Arc républicain », iront voir ailleurs s’il fait beau le jour de « l’Hommage national » rendu à l’ancien ministre de l’ (in)Justice de François Mitterrand. En effet, la famille du défunt avocat n’a pas souhaité leur présence, pas plus que celle des représentants de « La France insoumise ».
Il y a quelque chose de pathétique à voir les héritiers de ce qui fut un grand parti, courir après la « respectabilité », même au prix de renoncements idéologiques criants. Car, si le Rassemblement national était l’héritier du FN de Jean-Marie le Pen, comme le pensent, hélas, nombre d’électeurs, il n’irait pas quémander une place dans le cortège des pleureuses de la « Ripouxblique »… La peine capitale pour les criminels était dans son programme.
Au moins, un autre membre de la famille du « Menhir », en l’occurrence la jeune Marion Maréchal, tête de liste de Reconquête ! pour les futures élections européennes en juin prochain, n’a pas cru bon de se renier, d’effectuer une reptation pour complaire au système. La mort n’a pas rendu M. Badinter plus sympathique à nos idées, ni sympathique tout court. Il faut voir et revoir son visage haineux lors des débats à l’Assemblée nationale, à l’égard de ses adversaires. Il est mort ? Paix à son âme. Point barre !
00:08 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 13 février 2024
Pas d'agriculteurs, pas de nourriture ! Le grand réveil
22:49 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Donald Trump, cauchemard des auto-proclamés bien-pensants…
La chronique de Philippe Randa
Conçue à l’origine comme une protection pour « garantir la liberté et la sécurité de ses membres par des moyens politiques et militaires » principalement et même exclusivement contre la menace soviétique d’alors, l’alliance atlantique (Otan) est depuis la chute du communisme tout aussi principalement et même ces derniers temps quasi-exclusivement une menace de l’empire américain et de ses vassaux européens au sein de l’Union européenne contre la Russie.
Si l’OTAN était admissible lors de Guerre froide pour faire notamment contre-poids au Pacte de Vasovie – soit l’alliance des pays peu ou prou assujettis à Moscou – son existence même devenait à l’évidence obsolète après la chute de l’URSS, le 25 décembre 1991.
Une évidence qui ne l’a pas été pour Washington.
Mais son avenir semble aujourd’hui quelque peu menacé.
Donald Trump, favori des sondages à l’investiture du Parti républicain pour la prochaine élection présidentielle de novembre, envisage, s’il est réélu, de faire sortir les USA de l’Otan au motif que son pays assume seul (ou à peu près) le coût de celle-ci.
En effet, lors d’un meeting en Caroline du Sud le 10 février dernier, il a même révélé l’échange qu’il aurait eu avec « un des chefs d’État de l’Otan » dont il n’a pas livré le nom.
— Si on ne paie pas et qu’on est attaqué par la Russie, est-ce que vous nous protégerez ? aurait demandé celui-ci.
— Non, je ne vous protégerais pas. En fait, je l’encouragerais à vous faire ce qu’elle veut. Vous devez payer vos dettes.
On se doute du tollé que cette déclaration a déclenché non seulement dans les rangs du Parti démocrate, on s’en serait douté, mais bien au-delà car si l’Otan était la bête noire de la gauche et de l’extrême-gauche à la fin du siècle dernier, elle est désormais la nouvelle idole devant laquelle les progressistes de tous bords se prosternent avec une rare obsénité.
Comme l’a récemment souligné Le Journal du dimanche, « le candidat républicain a retenu la leçon de sa victoire surprise d’il y a huit ans comme de sa défaite, jamais admise, il y a quatre ans. Les épreuves du pouvoir, mais aussi les échecs (et notamment aux midterms) ont façonné le favori de l’élection de novembre prochain. »
Difficile alors d’imaginer que The Donald a parlé sans réfléchir à ce qu’il disait. Il y a tout lieu de croire qu’au contraire, sa menace d’en finir avec l’alliance atlantique n’est pas à prendre à la légère car si Washington ne paie plus, c’est un arrêt de mort immédiat pour elle.
Son come-back à la Maison-Blanche pourrait donc signifier la fin de l’impérialisme militaire yankee tel que le monde le subit depuis 1945… et un retour à une ligne isolationniste et neutraliste de la politique extérieure américaine qui fut celle des États-Unis avant leur entrée en guerre en 1917, ce qui leur permit de cesser d’être les débiteurs de l’Europe pour en devenir les créanciers.
Décidément, Donald Trump entend bien rester le cauchemard des auto-proclamés bien-pensants… tandis que beaucoup d’autres Terriens peuvent peut-être « faire un rêve… »
Un rêve américain… une fois n’est pas coutume !
EuroLibertés cliquez ici
20:14 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le lycée Averroès de Lille perd une première manche devant le Juge administratif.
Michel Festivi
Suite à la décision prise par le Préfet des Hauts- de- France le 10 décembre 2023, sur avis conforme de la Commission, de résilier le contrat d’association de ce lycée musulman avec l’État, pour divers manquements à ses obligations contractuelles, les avocats du lycée avaient saisi au fond et en référé le Tribunal administratif de Lille, contestant cette conclusion préfectorale.
Devant le Juge des référés, en urgence, ils réclamaient, dans l’attente du jugement au fond, le rétablissement de la subvention publique et donc la suspension de l’arrêté préfectoral, l’argent étant le nerf de la guerre. C’est cette prétention qui a été écartée ce 12 février, par l’attendu suivant « Il n’y a pas lieu de maintenir le contrat d’association liant le lycée Averroès à l’État jusqu’à ce que la décision de résiliation de ce contrat soit examinée par les juges du fond. ». Les recours administratifs, sauf exceptions n’étant pas suspensifs.
Ce n’est qu’une première manche, gagnée par le Préfet, qui n’avait pas ménagé sa peine, il faut le souligner, d’une très longue bataille judiciaire, sans compter le fait que la politique puisse s’en mêler d’une manière ou d’une autre à tout moment. Déjà les Conseils du lycée invoquent « une décision inacceptable » et vont saisir le Conseil d’état en cassation. Quant à la décision au fond, elle devrait intervenir selon un communiqué du Tribunal, avant la fin de l’année scolaire en cours.
Le juge des référés aurait retenu deux arguments, premièrement, deux refus de l’établissement d’un contrôle inopiné en janvier et juin 2022 par des inspecteurs d’académie, et aussi « un cours d’éthique » musulman très largement controversé, portant notamment sur la place et le rôle de la femme dans la société, la peine de mort pour apostasie, et la supériorité de la loi musulmane sur les lois de l’État. Bien sûr le Directeur du lycée pousse des cris d’orfraie et jure ses grands Dieux, qu’il n’en a rien été.
Ce lycée avait bénéficié, lors de son ouverture en 2003, du soutien de l’UOIF, devenue depuis Musulmans de France, issu de la mouvance frériste, portant notamment le combat pour le port du voile. Ce lycée compte aujourd’hui 400 élèves et 35 enseignants, 800 élèves avec le collège.
Bien sûr, les défenseurs du lycée ont, selon la bonne vieille théorie de l’amalgame des deux poids deux mesures, fait valoir la comparaison avec le fameux lycée catholique Stanislas et ses quatorze observations, qui avait défrayé la chronique ces derniers jours, s’outrageant d’une différence de traitement. En tout cas, à l’audience, l’avocat de la Préfecture et le Préfet lui-même avaient rappelé les liens du lycée avec la mouvance des Frères musulmans, le Préfet évoquant même « une idéologie séparatiste », ce qui bien sûr avait été rejeté en bloc par la direction de l’établissement.
L’anthropologue de l’islam et du frèrisme, Madame Florence Bergeaud-Blackler, chargée de recherches au CNRS, avait twitté sur X, le 2 décembre 2023 en fustigeant les réactions convenues des thuriféraires de ce lycée musulman, comme le directeur de sciences-po Lille, affirmant les liens de cet établissement scolaires avec les Frères musulmans. Car dit-elle : « Les Frères sont des « islamistes légalistes » en ce qu’ils diffusent leur doctrine séparatiste d’islamisation salafie en respectant le cadre légal. Ils déploient progressivement, territorialement et sectoriellement leur influence pour former des ambassadeurs de leur doctrine » C’est ce qu’elle avait expliqué dans son livre publié l’an passé chez Odile Jacob, Le Frèrisme et ses réseaux qui avait fait polémique et qui avait connu un franc succès et obtenu le prix science et laïcité.
Mais connaissant « la jurisprudence » du Conseil d’état, on ne peut que souhaiter, que la Préfecture ait un dossier « béton », bien ficelé.
09:32 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 12 février 2024
Marion Maréchal invitée dimanche sur BFM TV
23:37 Publié dans Européennes 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Poutine - Carlson : Le face à face Russie - Occident avec François Martin
L’entretien de Vladimir Poutine accordé au journaliste américain Tucker Carlson est une allégorie de nos temps agités. L’inaptitude des médias du Système à faire leur travail pour tendre le micro sans se muer en juges, conjuguée à une société liquide et pressée, a dessiné le chemin du succès pour les médias alternatifs. Grâce à des canaux alternatifs et tout particulièrement Twitter dit X d’Elon Musk, Tucker Carlson est donc parvenu à réaliser l’entretien qui a mis les élites occidentales aux abois.
Au fil de plus de deux heures d’entretien, le président russe a littéralement pris les rênes pour reprendre le fil de l’Histoire et s’inscrire dans le temps long. Une Histoire dans laquelle Vladimir Poutine a replacé la Russie, l’Union Soviétique et l’Ukraine, mais aussi le récent conflit suscité par les États-Unis et leur bras de l’OTAN, que l’Ukraine ne pourrait jamais gagner. Vladimir Poutine dénonce le rôle de la CIA dans des opérations de déstabilisation, du Caucase à Nord Stream et Maïdan en passant par la Serbie et bien d’autres. À ce titre, il évoque à demi-mot l’État profond qui dépasse de loin le vieillissant Joe Biden. Un entretien marquant par les réactions qu’il a suscitées, mais aussi par son ton et son rythme qui tranchent radicalement avec les pénibles exercices de communication des dirigeants occidentaux.
François Martin est diplômé de l’ESSEC, fort d’un MBA à HEC, auditeur de l’INHESJ et de l’IHEDN et parle 6 langues. Également essayiste et géopolitologue, il a fondé plusieurs cercles de réflexion en la matière, notamment à HEC mais aussi le Cercle Eleutheria avec Paul-Marie Coûteaux. Il a également publié plusieurs ouvrages dont "L’Ukraine : un basculement du monde", publié aux éditions Jean-Cyrille Godefroy (disponible ici )
18:10 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Mayotte, et ailleurs ?
Yves Thréard
Parti sabre au clair pour contenir la déferlante migratoire qui accable Mayotte, Gérald Darmanin dit vouloir mettre fin au droit du sol sur l’archipel. Un tabou va- t-il enfin sauter ? L’expérience commande d’attendre pour juger. À plus d’un titre, cette réforme ressemble comme deux gouttes d’eau à celle de l’immigration, qui a défrayé la chronique ces derniers mois. D’abord, la fermeté affichée d’un côté est, au nom du « en même temps », compensée par une mesure de générosité : pour faire admettre une plus grande sévérité sur le front des expulsions, on se souvient que l’exécutif a sorti de son chapeau la régularisation des clandestins dans les métiers en tension. Ensuite, on l’a vu, le parcours législatif du texte peut changer pas mal de choses et déboucher sur un résultat très décevant.
Face à l’anarchie migratoire qui règne à Mayotte, une mesure peut également en cacher une autre. À la suppression locale du droit du sol, le ministre de l’Intérieur souhaite en effet ajouter l’abandon du visa territorialisé. En d’autres termes, les étrangers régularisés sur place pourront mettre, après, le cap sur le territoire métropolitain. Or de plus en plus d’Africains, venus du Mozambique ou de la région des Grands Lacs, débarquent à Mayotte. Tel un appel d’air, cette décision risque fort d’attirer encore davantage de migrants, effaçant du même coup l’objectif recherché en premier lieu. Il est à parier que l’archipel deviendrait une escale très prisée sur le chemin de l’Europe.
Gérald Darmanin veut, par ailleurs, inscrire son projet dans La nationalité le cadre d’une révision constitutionnelle. On sait la procédure longue et semée d’embûches. Le débat s’annonce houleux, en présence d’une majorité relative et tiraillée. La gauche est déjà vent debout contre ce qu’elle interprète comme une violation du principe d’égalité des territoires. Quant à la droite, elle devrait logiquement exiger que la suppression du droit du sol soit étendue à tout le pays.
À Mayotte, comme partout en France, pourquoi l’attribution de la nationalité serait-elle un dû ?
Source : Le Figaro 12/2/2024
17:52 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Droit du sol :… il faut le supprimer !
Bernard Germain
Tout d’abord prenons quelques secondes pour rappeler les possibilités permettant de devenir Français. Cela peut se faire par « attribution » ou par « acquisition ».
On dit que la nationalité est « attribuée » lorsqu'elle est obtenue de façon automatique.
C’est le cas, à la naissance, pour :
- un enfant né en France ou à l'étranger dont au moins un des parents est Français, c'est le "droit du sang" ;
- un enfant né en France de deux parents apatrides ("droit du sol") ;
- un enfant né en France dont au moins un des parents est également né en France, c'est le "double droit du sol".
La nationalité peut également être « attribuée » à la majorité lorsqu'un enfant est né en France de deux parents étrangers, c'est le "droit du sol". Pour cela, il doit résider en France à la date de ses 18 ans et avoir sa résidence habituelle en France pendant une période continue ou discontinue d’au moins cinq ans depuis l’âge de 11 ans.
Toutefois, l'enfant peut obtenir la nationalité française avant sa majorité sur demande de ses parents (entre 13 et 16 ans) ou sur demande personnelle (entre 16 et 18 ans), avec des conditions de durée de résidence en France. Dans ce cas, c'est une « acquisition » de la nationalité par déclaration.
En ce moment, cette notion de « droit du sol » est l’objet de très vives polémiques en France, principalement du fait de la situation à Mayotte, véritable poudrière. On se souviendra que Mayotte fait partie de l’archipel des Comores situé dans le canal du Mozambique.
Le 23 décembre 1974, un référendum fut organisé aux Comores pour demander à la population si elle voulait son indépendance vis à vis de la France. Le résultat fut sans appel : 96 % favorables à l’indépendance. Écrasante majorité pour l’indépendance, mais à une exception près : l’île de Mayotte choisira de rester avec la France. La France organisera un second référendum à Mayotte, le 8 décembre 1976, pour confirmer ce choix. La population confirmera par son vote sa volonté de rester liée à la France.
Le 18 avril 2008, à l’unanimité, le conseil général de Mayotte votera une résolution demandant que Mayotte devienne un département français.
Le 29 mars 2009, un référendum est organisé pour demander à la population si elle veut la transformation de Mayotte en département. Par 95,24 % de « oui », a approuvé le projet, avec une participation de 61,37 %. Mayotte deviendra donc le jeudi 31 mars 2011, le 101° département français et le 5° département d’Outre-Mer. Ce qui provoquera une grave crise dans tout l’archipel car les Comores revendiquent l’appartenance de Mayotte aux Comores et l’ONU n’a jamais reconnu le référendum de 1976 et la volonté des Mahorais de rester français.
En ce moment la situation est au bord de l’explosion à Mayotte car une immigration délirante y déferle de manière continue, en provenance des Comores, mais aussi d’Afrique. Des bidonvilles immenses se sont créés. La délinquance et la violence sont omniprésentes sur l’île, avec des crimes et délits innombrables. Les Mahorais n’en peuvent plus.
On pourrait se demander pourquoi les populations comorienne (qui ont souhaité leur indépendance) et africaine viennent si nombreuses sur le sol de Mayotte. La réponse est toute simple : parce qu’il y a le droit du sol !
De très nombreuses femmes viennent donc accoucher à Mayotte car pour elles c’est un avantage fabuleux. Par la magie du droit du sol, l’enfant qui naît à Mayotte est français. Avec bien sûr tous les avantages et droits sociaux liés à la nationalité française. Sans parler bien sûr des droits accordés aux parents, suite à cette naissance d’un petit « français ». Pour mesurer l’ampleur du problème, il faut savoir que Mayotte possède la plus grande maternité de France.
Afin de stopper cette immigration totalement incontrôlée, Gérald Darmanin a annoncé dès son arrivée à Mayotte aujourd’hui qu’il voulait supprimer le droit du sol sur l’île. Hurlements bien sûr à gauche. Notamment parce que cela serait une décision qui remettrait en cause l’égalité de traitement entre les citoyens Mayotte et ceux du reste de la France.
L’argument est parfaitement recevable et c’est justement pour cela qu’il faut supprimer le droit du sol, pas simplement à Mayotte, mais sur tout le territoire français y compris dans les DOM.
D’ailleurs, ce qui est en train de se passer à Mayotte, c’est ce qui va arriver à notre France métropolitaine dans les années à venir.
L’immigration y est de plus en plus nombreuse et totalement incontrôlée. On n’est pas encore au niveau de Mayotte, mais on y vient. Et comme à Mayotte, la délinquance et la violence ne cesse d’augmenter, comme l’ont confirmé les chiffres publiés par le ministère de l’intérieur en janvier 2024.
L’essentiel des immigrés viennent en France, au motif d’être des « réfugiés politiques », mais en réalité pour obtenir nos avantages sociaux. On voit à Mayotte où ce phénomène les a conduits. L’île est au bord de l’explosion. Si nous ne faisons rien pour endiguer l’immigration, dans quelques années, la France métropolitaine connaîtra la même situation et le même destin que Mayotte.
La suppression du droit du sol, véritable pompe aspirante pour l’immigration, est une nécessité vitale. Pour Mayotte mais aussi pour toute la France.
Il resterait donc simplement deux possibilités d’obtenir la nationalité française :
- Avoir au moins l’un de ses parents possédant la nationalité française.
- Avoir fait une ou des actions particulièrement favorables à la France. Mais l’attribution de la nationalité dans ce cas serait une décision à l’entière discrétion des autorités.
Au passage, ces modifications des conditions d’obtention de la nationalité française auraient l’avantage de nous éviter de voir proliférer les « français de papiers » qui veulent être français pour nos avantages sociaux, mais vomissent la France et les Français à la moindre occasion.
17:44 Publié dans Bernard Germain, Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jeudi 15 février, à Nancy : conférence de Hilaire de Crémiers sur Charles Maurras
17:43 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dimanche 10 mars, Paris : LANCEMENT DE LA CAMPAGNE ELECTORALE DE MARION MARÉCHAL
Réservez votre place dès maintenant cliquez ici
17:41 Publié dans Européennes 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 11 février 2024
Nouvel exploit de Moussa : il arrête 39 jeunes rendant hommage à Robert Brasillach
Un communiqué de Pierre Cassen, fondateur de Riposte laïque :
Pendant que Moussa fait son cinoche à Mayotte, et se prépare à envoyer dans l’Héxagone tous les Comoriens et Africains dont les Mahorais ne veulent plus, on en apprend de belles sur les exploits de ses nervis, qu’on ne peut même plus appeler forces de l’ordre, en région parisienne.
La Brav-M a arrêté, ce samedi, 39 jeunes militants qui avaient rendu hommage à Robert Brasillach (que Mitterrand appréciait beaucoup), dans un cimetière. Parmi elles, l’ancien chef des Zouaves, qui paraît un des hommes à abattre du régime, Marc de Cacqueray-Valmenier cliquez ici.
Ils n’ont commis aucun délit. Mais selon les policiers, ils auraient pu en commettre, ils se préparaient à en commettre. Ils n’ont commis aucun attentat, mais ils seraient fichés S pour la moitié d’entre eux. Et bien sûr les médias de propagande essaient de justifier l’arrestation de ces jeunes, en les qualifiant de néo-nazis, en rappelant qu’ils auraient agressé des militants de Sos Racisme, oubliant de dire qu’ils étaient venus foutre le bordel dans un meeting d’Eric Zemmour. Ils précisent même, circonstance aggravante, que Marc de Cacqueray-Valmenier serait allé se battre en Arménie avec les chrétiens, contre les musulmans azeris.
Voilà donc les priorités, ces quinze derniers jours, de don Moussa et de son valet Nunez : garde-à-vue de Charles Demassieux, perquisition chez Pierre Cassen, dissolution de La Citadelle, et arrestation de 39 jeunes militants rendant hommage à Brasillach.
Pendant ce temps-là, à Rennes, les antifas ont tout cassé pendant une heure 30, sans intervention de la police, et sans la moindre arrestation. Pendant ce temps-là, dans toute la France, des apprentis djihadistes sèment la terreur, agressent, violent, poignardent…
Ordures !
Source cliquez ici
19:45 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Libération de la femme, féminisme et viols d’actrices…
Catherine Blein
Il ne se passe pas de trimestre sans que les médias n’abordent le sujet du « féminisme » et de la « libération de la femme ». Pas un trimestre non plus sans qu’on nous annonce que telle actrice porte plainte pour « viol », la plupart du temps trente ou quarante ans après les faits.
Arrêtons-nous quelques instants sur le mot « féminisme ». Il n’a pas toujours eu le même sens selon les époques. Jadis, au début du vingtième siècle, le féminisme se traduisait par de justes revendications, celle du droit de vote et celle de l’ouverture aux femmes de l’enseignement supérieur et des grandes écoles notamment. N’oublions pas que ce n’est qu’en 1944 que les Françaises ont obtenu le droit de vote, grâce au Général qui voulait les remercier ainsi de leur engagement durant la Seconde Guerre.
Pour l’enseignement supérieur et surtout l’accessibilité aux grandes écoles… il faudra encore attendre.
À tous les moins de 50 ans, je dirais, ou plutôt j’apprendrais qu’à mon époque, lorsque j’avais 18 ans, dans les années 64-65 et qu’il était temps de choisir une voie, tout ou presque était fermé aux jeunes filles, hormis l’Université. Les grandes écoles par exemple nous étaient fermées. Polytechnique sera ouverte aux jeunes filles en 1972, Saint-Cyr en 1983 et si votre rêve était d’entraîner des chevaux de course, vous pouviez aller vous rhabiller, ce n’est qu’en 1991, après un long forcing, que l’école des Courses s’ouvrira aux jeunes filles.
Tous ces combats étaient justes car nous ne nous contentions plus de faire la loi discrètement à la maison, nous voulions montrer nos capacités, intellectuelles notamment, et élargir nos horizons, mais en aucune façon renier ou combattre les hommes, hormis les jours d’examens.
Sur le plan « sociétal » comme on dit, et notamment dans leur comportement vis-à-vis des hommes, les jeunes filles de mon époque, et a fortiori celles de l’époque de ma mère, étaient, je crois, mieux armées que de nos jours. L’éducation était plus stricte, la religion nous incitait à la prudence et à la retenue, le porno et mai 68 n’étaient pas passés par là. On nous inculquait des règles simples : « l’homme propose, la femme dispose », et point barre. Celles qui enfreignaient ces règles étaient qualifiées de « Marie-couche-toi-là » ou de petites p… ou de gourgandines (époque Grand’Mère !).
Je suis frappée de tous ces « viols » déclarés aujourd’hui, souvent des décennies après lesdits faits, et m’étonne que l’on accepte de qualifier ainsi des actes consentis et acceptés durant des années.
Le viol, ce n’est pas cela, il bouscule tout et la force y joue un rôle prépondérant.
La femme « violée » d’aujourd’hui apparaît comme une pauvre petite chose faible et sans défense, livrée aux désirs impérieux des hommes auxquels elle est incapable de résister. Bien sûr le milieu du cinéma a toujours eu mauvaise réputation, tout comme celui du théâtre du temps de la grande Sarah.
Le théâtre, lui, a su prouver sa respectabilité, ne serait-ce que parce qu’il est d’un accès plus sélectif que le cinéma et que le vrai talent en est la clé, ce qui n’est pas vrai du cinéma, plus facile et où le physique joue un rôle souvent déterminant et peu exigeant sur le reste…
Toutes les exactions et les mauvais comportements viennent de lui (Epstein et les Lolitas Express etc.).
Je m’interroge donc sur ces jeunes actrices qui se laissent violer aussi aisément. Où sont leurs parents qui les ont lâchées à 14 ans dans la mare au diable ?
Quelle fut leur éducation ? certainement pas chrétienne ou alors ça n’a pas imprimé.
Je suis convaincue, pour ma part, qu’outre la démission parentale vraisemblable, le manque de spiritualité, il y a aussi une question de QI, désolée pour l’accusatrice de ces jours derniers.
Catherine Frot, Juliette Binoche, Sharon Stone semblent ne s’être laissé « violer » par personne.
Je ne suivrai en aucune façon les journaleux qui décernent des lauriers à Judith G. pour son tardif « courage » de dénonciation. Secourue par les psys, toujours là pour trouver des excuses à tout, elle accuse aujourd’hui de viol un type avec qui elle a accepté de coucher pendant six ans !
Les méchantes langues de ma jeunesse auraient dit qu’ « elle a couché pour faire du cinéma ».
Je me souviens d’une autre actrice, dont j’oublie le nom, qui, il y a quelques années, accusait également de viol le type avec lequel elle était montée boire un verre dans la chambre d’hôtel… Bon, elle n’avait, semble-t-il, pas grande imagination…
Quand on a couché « pour faire du cinéma », on peut se mordre les doigts d’avoir été aussi lâche et stupide, mais on ne fait pas porter à l’autre la responsabilité de son manque de caractère dans le but d’alléger sa conscience.
On ferme sa gueule et on demande pardon au Bon Dieu, ou à sa conscience, ou à qui l’on veut, pour avoir donné une si misérable image de la Femme. Je suis sans doute dure et sans empathie, mais j’ai de la femme une autre idée que celle véhiculée par des starlettes sans colonne vertébrale et sans cerveau et je trouve extrêmement grave ce laisser-aller moral qui excuse tout, y compris l’inexcusable et qui jette l’opprobre sur la mauvaise personne.
Je vois par ailleurs dans cette complaisance générale la vilaine patte du wokisme dégénérateur et anti-masculin, et porteur d’un féminisme bien pâlot.
Quand on pense au vrai courage de nos mères et grands-mères, courage physique autant que moral, on a honte des pleurnicheries d’aujourd’hui.
Les femmes, comme tout un chacun, peuvent faire des conneries et avoir des faiblesses, mais Bon Diou, qu’elles assument !
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Les miliciens antifas ont encore frappé à Paris : la Librairie Vincent vandalisée dans la nuit de vendredi à samedi
Une fois de plus, le régime macroniste aux abois s'en prend à la culture. Ses miliciens, dans la nuit de vendredi à samedi, ont attaqué la Librairie Vincent, espace de liberté à Paris.
Ils savent que leurs jours sont comptés et, dans leur folie suicidaire, ils multiplient les agressions contre les forces nationales et identitaires... Après les interdictions, les dissolutions et les perquisitions, les petits valets du liberticide de la Place Beauvau passent au stade des intimidations. Cet acte lâche et minable en est une preuve de plus...
Aujourd'hui, les patriotes doivent soutenir cette courageuse librairie, ainsi que notre ami Vincent, son animateur, face aux actions malveillantes qui les menacent.
S N
Librairie Vincent : cliquez ici
12:04 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 10 février 2024
10 février 1977 : la mort aux conséquences inattendues d'Alain Escoffier
Le 10 février 1977, sur les Champs-Elysée, se déroula dans l'indifférence presque totale un événement aux conséquences inattendues. Voici comment ce qui n'aurait pu être qu'un "fait-divers", est relaté dans le Cahier d'Histoire du nationalisme n°24 consacré aux 50 ans de la création du Front national cliquez ici :
Un événement aux conséquences inattendues se déroula le dimanche 10 février de cette année-là. Dans l'après-midi, un jeune militant solidariste, Alain Escoffier, probablement désespéré, s'est donné la mort en s'immolant dans les locaux de l'Aeroflot, la compagnie aérienne soviétique, situés sur les Champs Élysées. Cet acte terrible passa relativement inaperçu mais, sans le savoir, Alain Escoffier allait provoquer une rencontre prometteuse.
En effet, quelques jours plus tard, le hasard allait bousculer les choses. Une cérémonie fut organisée en mémoire du malheureux à la demande de ses camarades solidaristes dans une église parisienne. Jean-Marie Le Pen décide de se rendre à cette messe. À l'issue de celle-ci, sur le parvis de l'église, il retrouve un ancien militant de la campagne de Tixier qu'il n'avait pas revu depuis 1965, Jean-Pierre Stirbois. Ils déjeunent ensemble et, à la suite de ces retrouvailles, Stirbois décide de rejoindre le Front. Sans qu'ils le sachent, ni l'un ni l'autre, l'histoire politique de la France venait de prendre un tournant qui durera jusqu'à aujourd'hui.
En septembre, l'Union solidariste se rallie au FN. Jean-Pierre Stirbois était un militant chevronné, méthodique et déterminé, il allait désormais mettre ses talents et son charisme au service de Le Pen.
La suite, c'est Dreux, c'est 1984, c'est 2002, c'est...
Ayons une pensé pour ce camarade...
S N
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Le Journal du Chaos
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Hommage à Pierre Taupin, héros de la chouannerie du Trégor
10:49 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 09 février 2024
Procession pour Sainte Scholastique au Mans ce samedi 10 février à 18 heures
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Nouvelle folie liberticide de Darmanin : il vient de dissoudre le mouvement identitaire lillois La Citadelle
Aurélien Verhassel, président de La Citadelle lilloise
La réaction de Pierre Cassen, fondateur de Riposte laïque :
Au suivant ! Au suivant ! Notre Moussa national conserve son rythme de croisière. Bien meilleur que Borne, incapable de battre le record de 49-3 ! Moussa vient de pulvériser, en trois ans, le record de dissolutions d’associations, et curieusement très souvent celles des patriotes.
Son dernier exploit : la dissolution du bar Identitaire « La Citadelle », à Lille, tenu par Aurélien Verhassel. Ils avaient osé organiser une soirée débat autour du thème « Qu’ils retournent en Afrique ! ».
Bien sûr, grand cinéma du pouvoir, la Gravosse avait demandé l’interdiction, obtenue, les gauchos avaient attaqué le bar, la justice avait autorisé sa réouverture, cela ne pouvait plus durer. Moussa a donc frappé, et le Conseil des ministres a officialisé la dissolution de La Citadelle, comme en 2014 le Local de Serge Ayoub avait été dissous par Manuel Valls.
Demain le tour de Riposte Laïque ? Le pire est que c’est possible !
Et dire que certains comparent la France, le pays des Droits de l’Homme et de la défense des libertés, à la Corée du Nord !
Source cliquez ici
Lire aussi : l'article de Clémence de Longraye publié sur Boulevard Voltaire cliquez ici
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Convulsions rurales
La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol
À cinq mois des élections européennes, les campagnes du Vieux Continent s’emballent dans une exaspération variée. Espagnols, Britanniques, Belges, Allemands et Français suivent avec deux à cinq ans de retard la révolte de leurs homologues néerlandais. Ces derniers protestèrent contre les normes administratives, les injonctions officielles et les oukases écologiques punitifs. La Commission européenne a, d’une part, incité à prendre ces mesures et, d’autre part, insisté à ratifier les traités déments de libre-échange au moins disant agricole avéré.
Depuis bientôt trois semaines, les syndicats majoritaires de l’agriculture hexagonale, productiviste et mécanisée, la FNSEA (Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles) et les Jeunes Agriculteurs, rencontrent la concurrence non plus de la Confédération paysanne altermondialiste, mais de la Coordination rurale. Dissidence de la FNSEA en 1991 en réaction contre la réforme libre-échangiste de la PAC (Politique agricole commune), la Coordination rurale fusionne avec la FFA (Fédération française de l’Agriculture) dont l’une des figures marquantes fut l’infatigable défenseur de l’enracinement et grand activiste agricole à l’instar d’Henri Dorgères, Alexis Arette. Qu’on se souvienne du magnifique blocus paysan de Paris en 1992 ! Quant au MODEF (Mouvement de défense des exploitants familiaux), proche du PCF, il se met à la remorque des événements…
La présente crise agricole résulte de plus de six décennies d’« industrialisation », de « tertiarisation » et de « bureaucratisation » du secteur primaire. Les agriculteurs sont de nos jours les formidables aventuriers d’une ère moderne finissante. Certains commentateurs voient dans ces manifestations et autres blocages autoroutiers la synthèse des Bonnets rouges bretons de 2013 et des Gilets jaunes de 2018 – 2019, d’où le bonnet jaune porté avec fierté par les mécontents. D’autres y transfèrent leur nostalgie ruraliste et agrarienne alors que le monde agricole est à 100 % urbanisé dans les mentalités. La césure entre les aires rurales et les espaces urbains n’existe plus d’un point de vue psychologique.
Ce constat, Bernard Charbonneau l’a fait dès 1973 dans son essai Tristes Campagnes (Éditions L’Échappé, coll. « Poche », 2023, 232 p., 12 €). Ami personnel du philosophe anti-technicien Jacques Ellul (1912 – 1994), Bernard Charbonneau (1910 – 1996) reste à l’écart des milieux politiques écologistes. C’est un paradoxe ! Son œuvre riche en essais édifiants constitue une belle somme intellectuelle non-conformiste. Méfiant envers le progrès technique, il clame son amour des patries charnelles. Il regardait d’un œil critique et sceptique l’entrée des écologistes dans l’électoralisme.
Amoureux des paysans du Béarn, des Landes et du Pays Basque, Bernard Charbonneau remarque qu’« autrefois maître de sa terre, le paysan béarnais n’en est plus que l’exploitant provisoire ». Il souligne que « la grande nouveauté de l’après-guerre c’est l’intégration de la campagne dans l’ensemble industriel et urbain, avec pour effet sa transformation en banlieue ». Il note en outre que « nous vivons dans une société qui n’a guère qu’une idée : produire ». Cette course au rendement explique l’endettement des exploitants agricoles, l’extension nécessaire des parcelles au grè des remembrements incessants et l’acquisition, de plus en plus en GAEC (Groupement agricole d’exploitation en commun), de machines automatisées coûteuses. L’introduction de la compétition dans le travail des champs explique le passage du paysan libre au salarié, plus ou moins direct, de l’industrie agro-alimentaire.
11:17 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 9 mars : conférence de Reynald Secher à Montréverd en Vendée
10:39 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 08 février 2024
Ingrid Courrèges - La dose de trop
19:07 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
« Tout politique qui ne dénonce pas cet agenda meurtrier (2030) est complice… » Jean Jacques Le Moel
Le dernier numéro de Nexus parle de « génocide », de l'agenda 2030, du CO2, des pesticides, et ne cache pas son désarroi face au système politique actuel. Pendant vingt minutes, devant la caméra, Jean-Jacques Le Moel, producteur de lait bio dans le centre de la Bretagne, répond aux questions de Nexus. Il exprime une profonde inquiétude quant à l'avenir du monde paysan.
« Ils ont menti sur tout ! Tant que les politiques avanceront masqués en tant que complices du génocide paysan, rien ne bougera ». Dans cet entretien, il aborde également la question des pesticides, de la robotique dans les exploitations agricoles, et de l'endettement des paysans.
Jean-Jacques Le Moel échange avec Armel Joubert des Ouches, journaliste reporter au magazine Nexus.
19:04 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les cafards de Libération s'en prennent encore et toujours à Jean-Marie Le Pen !
Un communiqué de Thomas Joly, Président du Parti de la France :
Les sales cafards de Libé en sont encore à tenter de salir l'image de Jean-Marie Le Pen, combattant pendant la guerre d'Algérie, en racontant toutes sortes de bobards récoltés auprès de mythomanes patentés par des militants politiques d'extrême-gauche.
À bientôt 96 ans, il fait encore figure d'épouvantail pour les héritiers des traîtres à la France porteurs de valises pendant cette guerre - d'ailleurs gagnée par l'armée française trahie par De Gaulle.
La longévité du Menhir est un parfait bras d'honneur à tous ces cloportes qui ne lui arriveront jamais à la cheville !
Site du PdF cliquez ici
11:45 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 07 février 2024
Psychodrame en Allemagne : Où en est l’AFD ?
Michel Festivi
Depuis plusieurs fins de semaines, dans toute l’Allemagne, des milliers de gauchistes et de centristes se rassemblent pour demander la dissolution de l’AFD assimilée aux nazis, à Hitler, et ce, suite à une réunion qui s’était tenue en novembre dernier, à laquelle participaient certains groupuscules dont un ou deux représentants de l’AFD, réunion où horresco referens aurait été abordé le thème de la « remigration », le retour des immigrés dans leurs pays d’origine, effectivement quelle horreur !
Il n’en a pas fallu plus pour que resurgisse aussitôt le spectre de la réapparition des « heures les plus sombres de notre histoire, car le ventre qui a vu naître la bête immonde est toujours fécond... ». Bien sûr la classe politique allemande actuellement en perdition, notamment les socio-démocrates - (qui n’ont de démocrate que le nom) - du SPD et les centristes de la CDU se sont joints aux chants des sirènes pour s’associer aux pires extrémistes de gauche, afin de demander la dissolution de ce parti et empêcher ainsi des millions d’Allemands, d’avoir les représentants de leur choix.
N'est- ce pas d’ailleurs ce communiste de Brecht, qui avait proclamé « Puisque le peuple vote contre le gouvernement, il faut dissoudre le peuple ». Effectivement, le 17 juin 1953, en RDA communiste, État prison où des milliers d’Est allemands fuyaient où tentaient de fuir vers l’Ouest, eurent lieu des insurrections ouvrières, contre une hausse des cadences de travail et des baisses de salaire, insurrections qui furent réprimées dans le sang, avec l’aide des troupes soviétiques. Brecht n’hésita pas à soutenir le gouvernement communiste qui avait fait arrêter près de 30 000 ouvriers, il avait notamment écrit « Des éléments fascistes organisés ont essayé d’abuser de ce mécontentement... Seule l’intervention rapide et décisive des troupes soviétiques a permis de déjouer cette tentative. »
Mais de cela, les gauchistes, le SPD, la CDU n’en parleront pas, comme ils refuseront d’évoquer les vagues permanentes de l’immigration massive et la montée exponentielle de la délinquance. On préfère se référer aux sempiternelles années 1930, pour supprimer un adversaire qui fait de l’ombre et qui dérange le bel ordonnancement de l’entre-soi.
Pourtant les derniers sondages créditent l’AFD de 23% des intentions de vote aux prochaines élections européennes de juin, elle avait réalisé 11% en 2019 et 7% en 2014, un an après sa création. En septembre prochain, des élections capitales auront lieu en Saxe, Thuringe et Brandebourg, régions de l’Est très attirées, plus qu’à l’Ouest, par les thèses de l’AFD. Les manifestations anti-AFD, devraient de plus belles reprendre, attisées par « la grande peur des bien-pensants ». Il est bien connu que l’incapacité gouvernementale, associée au refus de nommer le réel et de résoudre les problèmes qui assaillent nos peuples européens, rendent enragés les tenants du désordre établi.
18:01 Publié dans En Europe et ailleurs..., Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
FRANCE, LIBÈRE-TOI !
Roland Hélie
Editorial du n°65 de la revue
Synthèse nationale (Hiver 2023-2024) cliquez là
Le 9 juin prochain les électeurs de l’ensemble des pays qui forment ce que l’on appelle « l’Union européenne » vont élire les députés censés les représenter au Parlement européen. La belle affaire ! Une élection en plus et une multitude de pouvoirs en moins pour les peuples européens… En effet, 45 ans après la première élection au suffrage universel de cette assemblée, en juin 1979, force est de reconnaître qu’elle ne sert pas à grand-chose, si ce n’est que contribuer à la réduction de notre indépendance nationale et au recasement de quelques politicards en manque de mandats.
En fait, au-delà de sa caution « démocratique » qu’est son « parlement », c’est sur l’utilité de l’Union européenne qu’il convient maintenant de s’interroger. Si l’idée d’une communauté économique européenne pouvait sembler séduisante au lendemain du désastre de la Seconde Guerre mondiale, force est de constater que son aboutissement, à savoir l’Europe intégrée d’aujourd’hui, n’a plus rien de réjouissant. L’Europe devait garantir la liberté et la prospérité de ses peuples et, finalement, elle n’engendre que soumission, contraintes et décadence. L’Union européenne qui aurait dû s’imposer comme une puissance souveraine au niveau planétaire est devenue un marchepied pour les thuriféraires de la gouvernance mondiale qui entendent, à terme, imposer leur pouvoir sur la planète. Macron et sa clique n’en étant que les petits serviteurs locaux… Il est donc plus que temps de quitter cette machine à broyer les peuples et les nations.
Sortir de l’Europe, c’est justement ce que préconise notre ami Bernard Germain dans son dernier ouvrage que nous venons de publier (1). Il y démontre un par un les méfaits de cette construction insensée qui ne repose que sur la soif de profits immédiats, la vassalisation aux organismes mondialistes (à commencer par l’OTAN), la volonté d’accentuer le grand remplacement et l’acharnement contre les réactions identitaires de chacun. Face à cela, il propose tout simplement de reconquérir notre indépendance nationale.
Indépendance nationale ne signifie pas « mépris » ou « conflits » avec les autres nations européennes…
Bien au contraire, c’est en redevenant ce que nous aurions dû rester que nous pourrons établir des partenariats équilibrés et cordiaux avec nos voisins. C’est en redevenant cette nation unie et forte qui, dans l’Histoire, a joué un rôle primordial que nous serons à nouveau respectés et enviés. Ce n’est pas en restant la cinquième roue d’une carriole hétéroclite qui s’avance vers l’abîme, que nous redonnerons à notre peuple sa fierté, son audace et sa grandeur…
Mais, revenons aux élections européennes qui approchent. Selon tous les pronostics, celles-ci devraient voir s’accentuer sur l’ensemble du continent une poussée significative des droites nationales et identitaires, ce dont nous nous réjouissons. Certes, la plupart d’entre elles ne préconisent pas encore l’éclatement final et salvateur de l’UE, mais leurs positions respectives, de plus en plus réservées à l’encontre du despotisme bruxellois, vont dans le bon sens. En France, les deux principales listes nationales annoncées, celle du Rassemblement national conduite par Jordan Bardella et surtout celle de Reconquête ! menée par Marion Maréchal, se montrent très critiques par rapport à la destinée de l’UE. Mais le parlement européen n’a pas, et n’aura jamais, un pouvoir suffisant pour refreiner réellement les décisions nationicides de la Commission dirigée par la mondialiste Ursula Von der Leyen. Non ! Décidément non, la France n’a plus rien à faire dans cet étouffoir.
Au-delà de la critique, la sécession salvatrice…
S’il y a peu de chances que d’ici juin, en France, les listes nationales en arrivent à cette conclusion. Il n’empêche que l’ampleur de leurs scores respectifs sera significatif. Ils incarneront la révolte grandissante au sein de notre peuple à l’encontre de la mainmise oppressante de la Commission. Ils prouveront aussi la volonté de voir enfin naître en France ce véritable « bloc national » que nous préconisons dans les colonnes de Synthèse nationale depuis si longtemps. Un « Bloc national » respectant toutes les sensibilités et allant de frange souverainiste de la droite modérée jusqu’à l’avant-garde nationaliste du mouvement populaire et patriotique. Le plus petit dénominateur commun de ces forces complémentaires étant l’amour de la France et la conscience d’appartenir à une civilisation qui a éclairé le monde.
Depuis cinquante ans, le curseur se déplace vers « la droite ». Les utopies post-soixante-huitardes et leur émanation wokiste tournent à la ringardise. Face à la globalisation néfaste à notre économie, face à la destruction programmée de nos repères historiques et ethniques, face à une immigration massive et incontrôlée, les Français aspirent à l’indépendance, la liberté, à la défense de leur identité. Alors, plus que jamais, il est temps de scander haut et fort notre vieux cri de guerre rassembleur : « France libère-toi ! »
(1) L’Union européenne : en sortir… au plus vite ! Bernard Germain, préfacé par Alban d’Arguin, Synthèse nationale, 2023, 272 p., 25,00 €. cliquez ici
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13:06 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 06 février 2024
Un nouveau livre de Marc Rousset : "Notre faux ami l'Amérique"
Dans son ouvrage « Notre Faux-Ami l’Amérique – Pour une Alliance avec la Russie », Marc Rousset constate que l’Europe ne va pas de Washington à Bruxelles, mais de Brest à Vladivostok. L’Océan Atlantique sépare l’Amérique de l’Europe, alors que l’Union Européenne et la Russie, le plus grand pays de l’Europe, sont deux grands voisins complémentaires.
En conclusion de son ouvrage, Marc Rousset nous dit que la seule vraie question pour les Européens, c’est de faire le choix suivant : Rester Européen en se rapprochant de la Russie ou devenir Américain en acceptant le protectorat de l’OTAN et en perdant leur identité européenne. La Russie et l’Europe ont des intérêts communs et un Avenir commun sur ce grand continent paneuropéen qui va de l’Océan Atlantique à l’Océan Pacifique.
Piotr Tolstoï (extrait de la Préface)
Marc Rousset, H.E.C, Docteur ès Sciences Economiques, diplômé des universités Columbia et Harvard, Prix de l’Académie des Sciences Morales et Politiques, est un ancien haut dirigeant d’entreprise. Chroniqueur, économiste, écrivain, auteur de « la Nouvelle Europe de Charlemagne » préfacée par Alain Peyrefitte, il en appelle à un sursaut salvateur et démontre dans ce livre que l’Avenir de la France et de l’Europe est à l’Est, avec la Russie, et non pas avec l’Amérique !
Les articles de Marc Rousset sont régulièrement publiés sur le site Synthèse nationale cliquez ici ou dans la revue éponyme.
"Notre faux ami l'Amérique", Marc Rousset, préface de Piotr Tolstoï, édition Librinova, 2024, 374 pages, 24,90 €.
17:44 Publié dans Livres, Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La guerre des États-Unis contre l’Europe. Conférence de Youssef Hindi à Bruxelles le 28 février
Artémus a le plaisir de recevoir, le chercheur et historien des religions Youssef Hindi, en exclusivité belge à l'occasion de la sortie de son dernier essai « La guerre des États-Unis contre l’Europe ».
L’Union européenne a été créée sous le prétexte de concurrencer les États-Unis sur le terrain commercial. Quelle est la véritable nature de cette guerre ? Les questions prosaïques et terrestres, économiques et géopolitiques dissimulent peut-être un autre genre de guerre qui ne dit pas son nom. Une conférence inédite de Youssef Hindi, le 28 février prochain.
Sur inscription uniquement, via notre billetterie.
16:17 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Revue de presse : Avoir des enfants, un « plus » pour un politique ? La réponse est oui
Gabrielle Cluzel Boulevard Voltaire cliquez ici
Stupeur et tremblement. Un propos de Guillaume Peltier au micro de Sonia Mabrouk sur Europe 1/CNews a déclenché une vague d’indignation : « Marion Maréchal est maman de deux petites filles et ça compte beaucoup. » Guillaume Peltier ajoute être « assez gêné » par cette « nouvelle mode », cette « tendance » des politiciens à ne pas avoir d’enfants : il cite Emmanuel Macron, Gabriel Attal mais aussi les têtes de liste aux européennes Bardella et Bellamy. Pour lui, « à l’heure où la natalité est en berne, la politique familiale est attaquée […] avoir des enfants est un message politique ». Il précise vouloir le dire « sans jugement et avec beaucoup de délicatesse » : pour lui, ce n’est pas « un moins » de ne pas en avoir, mais « un plus » d’en avoir : « Avoir des enfants, c’est la garantie de sérieux, de concret par rapport au présent et par rapport à l’avenir. C’est la certitude que la valeur de transmission va l’emporter sur la valeur de l’ambition. » « C’est la garantie, conclut-il, qu’on pensera davantage à la prochaine génération qu’à la future élection. »
Blessant mais vrai
On peut trouver le propos, en dépit des précautions oratoires, maladroit et potentiellement blessant pour les personnes nommément citées, car il fait fi des raisons intimes, qui sont parfois de grandes souffrances : on se souvient de l’ancien Premier ministre d’Écosse, Nicola Sturgeon, souvent cité parmi les dirigeants sans enfant, qui avait avoué avoir fait jadis une fausse couche. Mais la politique n’a jamais été le lieu le plus charitable du monde. Par ailleurs, si aborder la vie privée est interdit en politique, il faut que cette règle soit appliquée dans tous les sens : n’oublions pas que c’est Gabriel Attal lui-même qui a évoqué son homosexualité, dans un contexte totalement hors sujet, à l’Assemblée, il y a quelques jours.
Au fond, ce qu’assène Guillaume Peltier est-il fondamentalement faux ?
Les noms d’oiseaux fusent de partout, et en particulier du RN : « C’est tellement bidon, blessant et ridicule… », jette notamment, sur X, le député du Gard Pierre Meurin : Jordan Bardella n’a que 27 ans ; et il se donne à fond pour son pays. Louis XIII n’est devenu père de Louis XIV qu’à 28 ans. Il était pourtant un grand roi. »
Difficile, bien sûr, de faire grief à un jeune homme de 27 ans de ne pas (encore) avoir d’enfants. Mais puisqu’on répète à l’envi que la jeunesse est un atout, n’a-t-on pas le droit de dire qu’en revanche, le manque d’expérience en est le revers ? Or, il se trouve que la parentalité est une incomparable expérience empirique, qui « vous enracine et vous oblige à prévoir l’avenir », vous force à « ne pas travailler pour votre bien-être à vous », qui « vous oblige à prendre des décisions qui s’inscrivent dans le temps long ». Ce n’est pas moi qui le dis mais Marine Le Pen, à l’auteur du livre Femmes dirigeantes, comment elles ont osé (Plon, 2022). Marine Le Pen use, du reste, de ce statut personnel pour faire campagne : à Saint Rémy-sur-Avre (Eure-et-Loir), en 2022, c’est en « mère de famille » que Marine Le Pen s’est posée pour défendre les « plus vulnérables ». Une posture rassurante que lui autorise - légitimement - sa situation personnelle.
Nicolas Sarkozy, dans le livre Chérie, j’ai rétréci la droite (Robert Laffont), avance quant à lui que le manque d’autorité d’Emmanuel Macron serait lié au fait qu’il n’a pas d’enfant. A-t-on le droit d’aborder ces questions ou sont-elles taboues ? Quand Gabriel Attal affirme qu’ayant été lui-même harcelé, il comprend les enfants qui le vivent, il s’avance un peu : si jeune soit-il, il fait référence à l’école d’il y a vingt ans. La dégringolade est si rapide, en France, que le harcèlement d’aujourd’hui n’est pas comparable à celui d’hier. Il faut être parent pour en prendre la mesure.
Symbole et malaise
Puis si, individuellement, l’infécondité de ceux qui nous gouvernent (ou y prétendent) ne veut rien dire, elle est, collectivement, chargée de sens.
D'abord, pour le symbole : la natalité en berne de nos pays européens et de leurs dirigeants est révélatrice d’un état d’esprit - même si, encore une fois, chaque histoire est singulière - où la vie de famille, la procréation, l’envie de transmettre ne sont pas les priorités. Comme leurs nations, nos dirigeants acceptent de disparaître sans postérité.
Ensuite, pour le malaise qui en résulte : alors que l’horizon est si chaotique, que les peuples ont la certitude un peu plus forte, chaque jour, qu’une élite décide de leur avenir - et, donc, de celui de leur progéniture - sans les consulter, il y a comme une présomption d'« après moi le déluge » : quand, en 2015, celle qui, bizarrement, a été surnommée « Mutti Merkel » a ouvert la voie à une immigration massive en Europe, par la route syrienne, avec son célèbre « Wir schaffen das » [« Nous y arriverons ! »], c’est l’avenir des enfants qu’elle n’a pas qu’elle a obéré.
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