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mercredi, 16 mars 2022

Ukraine/Russie : Jean-Marie Le Pen s'exprime

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Jean-Marie Le Pen :
 
« Poutine n'est ni un dictateur ni un monstre. La russophobie est une bêtise géante. Le continent boréal comprend la Russie et l'Europe de l'Ouest. Ils devront au plus tôt se rapprocher : c'est un enjeu vital..."
 
Au risque de déplaire...
 
Le journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine :
 

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mardi, 15 mars 2022

MERCREDI 16 MARS : FARID SMAHI EST L'INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR TV LIBERTÉS

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Eric Zemmour sur TF1 à propos de la guerre en Ukraine

Le simulacre de débat sur TF1 a confirmé la profonde rupture des politiciens professionnels avec le peuple, avec la France.

Macron transpire le mépris. C’est lui qui a refusé le débat.  Il s’accroche à son trône, coûte que coûte, et se sert de sa position actuelle pour voler l’élection. 

Les macronistes, persuadés d’avoir déjà gagné, sont aussi arrogants que lui. Ils se croient au-dessus de la mêlée, perchés sur l’Olympe…

Seul Éric Zemmour persévère à dire le réel avec courage. Il est le seul à replacer les Français au cœur de la politique. Avec excellence et clarté, il ose parler d’immigration et de votre sécurité.

Il ne cherche pas à plaire. L’apparence ne l’intéresse pas : seuls les Français comptent. Quitte à gêner ceux qui ne cherchent que leur petit confort.

Voilà notre futur Président !

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Eric Zemmour à Agen

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† JEAN-PIERRE RONDEAU, FRANÇAIS D’ALGÉRIE

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Philippe Randa

L’engagement politique nuit souvent à une belle carrière professionnelle, entend-on souvent : « Ah ! s’il n’avait pas de telles idées ! »… Enfin, pas les idées de la « bien-pensance », bien sûr, qui, pour certains, sont plutôt gage de « coup de pouce citoyen » pour « faire de bons coups » surtout entre coquins.

Oui, mais… le talent, la droiture, la conviction, l’engagement, la fidélité, la camaraderie, toutes ces sortes de choses démentent parfois de telles affirmations…

La preuve par Jean-Pierre Rondeau que les suites d’une longue maladie, comme on dit pudiquement, ont fini par emporter à 79 ans.

Président, puis président d’honneur des Anciens du lycée Lamoricière d’Oran, il a été de ces pieds-noirs qui s’étranglaient d’une juste indignation depuis qu’ils avaient appris, législation française oblige, qu’ils seraient « nés à l’étranger ». On le serait à moins quand on a témoigné comme lui qu’« aujourd’hui, notre histoire est de plus en plus trafiquée. Demain, nos enfants oublieront, si ce n’est déjà fait ou s’ils l’ont jamais su, pourquoi et comment nous sommes partis, victimes d’un nettoyage ethnique non reconnu pour nous ».

Ces mots sont extraits de la préface d’Aspects véritables de la rébellion algérienne suivi d’Algérie médicale, livre de documents sur les crimes et horreurs du FLN, véritable outil de réinformation quant aux risques à venir, en provenance de certains mouvements islamistes, qu’il a bien voulu présenter pour l’édition que j’en fis, à sa demande, aux éditions Dualpha, il y a… 21 ans : « Publie ces documents, c’est important », m’avait-il dit alors.

Je l’avais fait autant par intérêt historique que pour lui faire plaisir : une bonne action étant parfois récompensée, ce livre lancera ma collection « Vérités pour l’Histoire » où des dizaines d’autres livres sur l’Algérie française et l’OAS suivront. Merci, Jean-Pierre !

Oui, Jean-Pierre Rondeau ne renia jamais ses origines, son passé militant, ses convictions, ses engagements comme administrateur de plusieurs associations pieds-noirs… et n’en fit pas moins une brillante carrière, politique comme maire adjoint des Pavillons-sous-Bois (93) et surtout professionnelle dans la gestion de patrimoine ; rappelons qu’il fut (entre autres) PDG fondateur en 1994 de MEGARA Finance SA, président fondateur en 2005 de La Compagnie des CGPI (ex-CIF-CGPC) et l’administrateur de la Chambre des propriétaires…

Jusqu’à ses derniers mois, il publiait une lettre de réflexions sur le patrimoine et j’avais été particulièrement frappé par cet avis sur la crise économique : « La Covid n’est qu’un révélateur et un accélérateur de la débauche des Etats (endettement), des banques centrales, de la dérégulation des marchés, de l’inversion des critères d’appréciation et de la création des bulles »… et plus encore par cette (funeste) prédiction : « Oui, la fiscalité va s’alourdir, de même que les prélèvements sociaux, alors que les contreparties sociales et de santé et les services de proximité vont continuer à être réduits. Les retraites et pensions de réversion vont être rognées au nom de slogans démagogiques (partage entre générations, par ex.), alors qu’il s’agit de combler les gaspillages de l’Etat. »

Funeste présage sur une France que, malgré toutes les épreuves qu’elle imposa au natif d’Oran qu’il resta jusqu’à son dernier souffle, malgré toutes les trahisons politiques successives de nos dirigeants, malgré la rage qui était la sienne et l’écœurement, qui prenait chez lui la place de la révolte, pour nos élites politico-médiatico-moralistes, Jean-Pierre Rondeau aima toujours. Passionnément. 

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lundi, 14 mars 2022

Guerre de l’info… haine autorisée

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« La guerre est une vérité. Elle éclaire d’une lumière crue ceux qui la regardent »

Kamel Daoud,

écrivain algérien (Le Point, 10 mars 2022)

Les médias ont eux aussi déclaré la guerre à la Russie et à Poutine en particulier. Il ne  s’agit pas de prendre ici position mais de constater un fait. L’Observatoire du journalisme nous en offre un florilège.

  1. Vladimir Poutine a tué le Covid. Un récit a remplacé l’autre. Le récit crimes de guerre a remplacé le récit Covid. Avec le même fond musical et le même refrain : la peur et ses diverses orchestrations.
  2. Le conflit a tué également l’élection présidentielle française remplacée par un roman photo dont la dernière image – une réélection triomphale et heureuse – se laisse deviner de manière de moins en moins subliminale.
  3. L’unanimité est toujours suspecte. Du Monde au Figaro, de Médiapart au Point, des radios privées et publiques aux télévisons publiques et privées la ritournelle est quasi la même, avec des variations de style. Il n’est pas interdit de s’en étonner. Et même d’en analyser certaines causes, nous le ferons plus au calme.
  4. La propagande existe des deux côtés.
  5. La propagande russe est massive à domicile, les médias étrangers sont interdits et les journalistes russes muselés. Mais ceci en Russie seulement..
  6. La propagande américano-ukrainienne est toute aussi massive à l’ouest, les médias russes sont interdits. Chez nous et dans toute l’UE.
  7. Les russes ont renoncé au soft power de l’information, les seuls communiqués laconiques sont ceux du commandement russe indiquant les progressions militaires (avec retard bien entendu et sans doute de manière douteuse), le nombre de tués et de blessés (avec retard aussi, même commentaire).
  8. Le soft power américain est une arme de guerre. En 1990, le géopolitogue américain Joseph Samuel Nye l’avait théorisé dans un livre célèbre, The Changing Nature of American Power qu’il a complété en 2004, Soft Power: The Means To Success In World Politics. Le soft power, nous citons « met en forme les préférences de l’autre à travers la culture, les valeurs et les politiques étrangères», (nous mettons en caractères gras les derniers mots) ; en une phrase « la meilleure propagande n’est pas la propagande». Ce soft power n’exclut pas le hard power, il le complète à moindre coût.
  9. La haine, autrefois objet de répulsion devient autorisée. Les réseaux sociaux américains autorisent (encouragent ?) leurs utilisateurs à appeler au meurtre contre les russes et leurs dirigeants. Il faudra s’en souvenir plus tard quand les « discours de haine » seront de nouveau bannis de manière univoque et viendront justifier la censure.
  10. Le refrain de l’UE, repris par nombre de journalistes amnésiques, « il s’agit de la première guerre en Europe depuis 1945», n’est qu’un mensonge. En 1999 les avions de l’OTAN ont bombardé pendant 78 jours la Serbie, occasionnant des centaines de morts civils.

Le schéma narratif se poursuit. À suivre, hélas.

Source : site L'Observatoire du journalisme

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ESPAGNE : LA DROITE NATIONALE ENTRE POUR LA PREMIÈRE FOIS DANS UN GOUVERNEMENT RÉGIONAL

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Xavier Eman Présent cliquez ici

C’est une petite révolution dans le paysage politique ibérique. Le parti nationaliste espagnol Vox va en effet faire pour la première fois son entrée dans un gouvernement régional, dirigé par la droite en Castille-et-Léon (centre), ont annoncé jeudi 10 mars cette formation et le Parti Populaire (PP, droite).

«Nous sommes parvenus à un accord de législature avec Vox (…) qui va permettre l’entrée en fonction d’un gouvernement stable et solide», a déclaré sur Twitter le président sortant de cette région, Alfonso Fernandez Mañueco (PP), qui va pouvoir être reconduit dans ses fonctions grâce à cet accord.

Vox a indiqué de son côté qu’il détiendrait la vice-présidence du gouvernement de cette région proche de Madrid, qui dispose, comme les autres régions d’Espagne, de très larges compétences dans ce pays très décentralisé.

Lors d’un scrutin anticipé en février en Castille-et-Léon, remporté par le Parti Populaire (PP) mais sans majorité absolue, Vox avait totalisé 17,6% des suffrages et 13 sièges de députés régionaux sur 81 (contre un seul au dernier suffrage).

Le parti socialiste au pouvoir en Espagne a évidemment immédiatement dénoncé, des trémolos scandalisés dans la voix, l’entrée de Vox au sein de ce gouvernement régional, qualifiant l’accord avec le PP de «pacte de la honte»

Il ne reste plus qu’à espérer que cette expérience « d’union des droites » soit plus probante et efficace que celles, par exemple, qu’a pu connaître l’Italie et qui ont abouti à des fiascos tant pratique qu’idéologique.

 

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Ukraine : le foutoir merdiatique !

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Le billet de Patrick Parment

Dans son ensemble la presse mainstream occidentale s’est fixée un axe auquel elle se tient : haro sur Poutine, le grand méchant loup et louanges du valeureux soldat résistant ukrainien. Au final dans ce flot d’information, il est tout à fait impossible de se faire une idée précise de ce qui se passe réellement en Ukraine où, à nous en tenir à nos merdiatiques médias, les soldats russes n'ont pas le moral et pillent les magasins d’alimentation, violent les femmes et les enfants, etc. Sans oublier de spéculer sur les intentions malfaisantes évidemment du nouveau satrape planétaire : Vladimir Poutine.

Ce qui ne manque pas de piquant dans cette affaire, comme le souligne un de mes amis, c’est que l’on a d’un côté des pays plutôt en bonne santé économique – la Russie n’a pas de dette et la Chine n’a pas monétarisé le covid – et de l’autre des pays – européens notamment - qui sont très endettés et qui ont déjà les taux d’intérêt très très bas – voire zéro -, victimes de l’inflation et qui ne pourront donc pas les baisser significativement pour financer leur guerre comme ils l’ont toujours fait. Certes me direz-vous, seule l’Allemagne est peu endettée. Elle est le maillon faible de ce dispositif raison pour laquelle traîne des pieds pour appliquer les sanctions.

On le sait déjà, et même nos merdiatiques médias en font état, ce n’est pas l’Amérique avec son Joe Bidet de service qui va payer la note, mais bien les Européens. Et notre-va-t-en guerre Macron fait des ronds de jambes, quand on sait d’ores et déjà que la note va être salée. Entre les dépenses dues à la pandémie et les sanctions qui se décident à Bruxelles, la France de Macron risque de virer tiers-monde. Pas sûr que la France  « d’en bas » soit décidé à payer – comme d’habitude - la facture, d’autant que peu de Français sont décidés à mourir pour Kiev. Pas plus qu’ils ne l’étaient pour Dantzig ! D’ailleurs la plupart s’en foutent complètement de l’Ukraine, dont chacun a bien compris que ce pays – corrompus par ailleurs au dernier degré et jouissant d’une justice issue directement de l’ère soviétique – appartient au pré-carré Russe. Depuis 1989, l’Occident et l’Amérique en particulier ont voulu rouler dans la farine une Russie que Vladimir Poutine a remis sur pied tout à la fois économiquement mais aussi et surtout militairement. Vladimir Poutine pourrait dire « l’Occident combien de divisions ? ». Aucune mon général. Avec ce conflit, l’Europe vient de se rendre compte qu’elle est à poil militairement – exception faite des sous-marins nucléaires français et anglais – et qu’économiquement elle est fortement liée à la Russie dans des domaines qui ne se limitent pas au gaz et au pétrole.

Il est très difficile à ce jour d’imaginer quelle sera l’issue de cette guerre. Poutine vient de réveiller une Europe anesthésiée par sa société de consommation, préoccupée de chasse à l’homme genre #Metoo et au final vassalisée et aux ordres de l’Ordre mondial libéral.

On crie au loup en décrétant des sanctions dont on sait très qu’elles ne servent à rien sauf à mettre à mal nos propres économies, ce qui n’est pas le moindre des paradoxes. Dans quel bourdier les Macron, Van der Leyen et autres Borrell vont-ils nous entraîner ? Il faut en effet négocier avec Poutine, mais en tant qu’Européens, pas au nom d’un Occident problématique avec une Amérique en toile de fond. Cette Amérique qui ne mène que des combats foireux depuis 1945 !

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dimanche, 13 mars 2022

Vous avez raison...

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23:39 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Parti de la France soutient la candidature de Eric Zemmour à la présidence de la République

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Communiqué de Bruno Hirout,

secrétaire général du PdF :

Samedi 12 mars à Paris, avant son meeting de soutien à Éric Zemmour, le Parti de la France a réuni son Conseil national, afin de faire le bilan sur ses finances, sur ses activités et sur la situation politique.

La Parti de la France, aux finances saines et à la ligne politique droite et claire, a ensuite présenté, par la voix de son président Thomas Joly, les perspectives politiques qui s’offrent à nos idées de redressement national, notamment dans le cadre des importantes échéances électorales à venir d’ici quelques semaines.

Les Conseillers nationaux ont ensuite participé à une séance de questions/réponses, puis le Conseil national s’est achevé avec la ferme intention de poursuivre le combat pour la victoire des idées nationales, quelle que soit l’issue de tel ou tel scrutin.

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Prochainement, un compte-rendu du meeting du PdF

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L’Europe piégée par l’Allemagne

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Dans un contexte de tensions géopolitiques entre la Russie et les États-Unis, le choix allemand de sortir du nucléaire risque de se traduire par une forte hausse des prix payés par les consommateurs européens. Frédéric Paya, dans Valeurs actuelles dresse un état des lieu.

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samedi, 12 mars 2022

Le meeting parisien du Parti de la France, cet après-midi de 14 h à 18 h

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Tyrannie à la canadienne

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La chronique flibustière de

Georges Feltin-Tracol

Au moment où le monde entier se focalise avec raison sur le sort de l’Europe orientale, des politiciens occidentaux plus ou moins gâteux traitent leurs homologues de « dictateurs » alors qu’une authentique tyrannie s’établit en silence au Canada.

Le 28 janvier 2022 débutait sur les autoroutes du royaume américain le célèbre et imposant « Convoi de la Liberté » qui allait bientôt déferler sur Ottawa dans l’ordre, la bonne humeur et la propreté. Propriétaires de leur outil de production, leurs camions, les chauffeurs routiers s’élevaient contre l’obligation vaccinale imposée pour franchir la frontière avec les États-Unis. À cette revendication initiale s’en ajoutèrent d’autres comme l’exaspération des contraintes sanitaires liberticides et une franche hostilité envers le gouvernement fédéral du libéral Justin Trudeau.

Sous prétexte d’être atteint par le covid-19, surtout désorienté par cette fronde massive inouïe inédite, Trudeau quitta piteusement la résidence officielle du Premier ministre et se réfugia dans une maison de campagne. Pendant quelques jours, les autorités municipales d’Ottawa, provinciale de l’Ontario et fédérales du Canada se trouvèrent désemparées. Incapables de comprendre cette vigoureuse protestation populaire et professionnelle, elles pratiquèrent la désinformation de masse et le détournement de l’actualité. Réfugié dans sa tour d’ivoire, en bon libéral progressiste, Justin Trudeau ne commença aucune discussion avec les camionneurs, les méprisant ouvertement.

Puis, le 14 février, aidé au Parlement par l’extrême gauche du Nouveau Parti démocratique, il activa la loi sur les mesures d'urgence. Adopté en 1988 pour remplacer la loi sur les mesures de guerre de sinistre mémoire, ce texte instaure l’état d’urgence sécuritaire. Outre l’arrestation de tout opposant et l’interdiction de manifester, ces dispositions exceptionnelles prévoient l’illégalité des occupations sur la voie publique et des blocages routiers. Pis, elles facilitent le gel immédiat du compte en banque des manifestants ainsi que leur éventuel licenciement, prémices d’une mort sociale certaine. Sans oublier un matraquage médiatique considérable en faveur du régime en place. Depuis cette date, le Canada détient des prisonniers politiques. Qui s’en  soucie ?

Justin Trudeau est bien le digne rejeton de son père, l’ignoble Pierre-Eliott Trudeau. Ce dernier usa en 1970 de la loi martiale contre le réveil national québécois. L’attitude hautaine de son gamin se comprend facilement. La révolte des camionneurs férocement réprimée entrave son projet ultime déjà mûri par le paternel de lugubre mémoire : transformer le Canada en premier État multiculturaliste, cosmopolite et post-national de l’histoire. Cette volonté délirante s’inscrit dans la diffusion et l’encensement des théories multiculturalistes les plus démentes afin de noyer, d’étouffer et de fondre la spécificité ethno-culturelle et linguistique canadienne-française (Québécois, Acadiens, communautés francophones de l’Ouest) dans un magma contractuel consumériste égalitaire civico-moral…

Le multiculturalisme officiel se prolonge aujourd’hui en idéologie wokiste. En 2019, le gouvernement fédéral a versé une subvention de 163 000 dollars au nom de la décolonisation des sciences physiques. Il importe de les libérer de leur matrice européenne ! Wokiste acharné, Justin Trudeau s’agenouille huit minutes en mémoire du délinquant multirécidiviste George Floyd. Il attend en revanche onze jours avant de condamner du bout des lèvres l’assassinat de Samuel Paty peut-être coupable à ses yeux d’être Européen… Dommage que Justin Trudeau n’ait pas de jumeau; ils auraient été les Dupont et Dupond de la politique - spectacle internationale. Trudeau a l’habitude de s’habiller à la mode locale quand il se rend en voyage officiel dans un État exotique au risque de susciter des remous diplomatiques inattendus.

Sur le plan intérieur, le Premier ministre canadien accumule autant les scandales politico-financiers que les gaffes. En pleine séance de la Chambre des Communes, il tance la députée conservatrice Melissa Lantsman coupable de soutenir les convoyeurs de la Liberté dont certains brandiraient des croix gammées. Or, cette élue accusée de néo-nazisme implicite est de confession juive…

Le tournant despotique du gouvernement canadien se caractérise enfin par une série de projets de loi destinés à combattre la haine et les discriminations.  Par exemple, un texte encore en discussion considérerait comme discriminatoire et donc passible de poursuites judiciaires le non-respect de l’identité et de l’expression de genre. Un autre entend renforcer la répression des « discours de haine ». Il prévoit qu’un certain Tribunal canadien des droits de la personne prononcerait de lourdes amendes à tous ceux qui useraient d’un « langage haineux ». Toujours dans le cadre de ce projet de loi, les individus pourraient aussi porter plainte à titre préventif, donc avant qu’ils entendent l’éventuelle infraction, envers des individus susceptibles de tenir des « propos haineux ».  Il va de soi que ce tribunal considère déjà comme un « langage de haine » tout ce qui va à l’encontre du discours officiel, de la doxa médiatique dominante et de la rhétorique gouvernementale.

Devant cette chape de plomb intellectuelle qui avance inexorablement, rares sont les associations supposées défendre les libertés d’expression et d’opinion qui s’en offusquent ! Ailleurs dans le monde non occidental, les condamnations morales tomberaient aussitôt… À l’instar de son complice néo-zélandais, le Premier ministre féminin Jacinda Ardern très en pointe dans la gestion orwellienne des foules, Justin Trudeau agit en potentat ploutocrate. Avant de se faire violemment expulsés, les participants du Convoi de la Liberté n’avaient pas hésité à décrypter Trudeau en Tyrant, Ruthless, Unrealistic, Damaging, Egotistical, Arrogant et Uncivil, soit, si on traduit rapidement, « tyran », « impitoyable », « irréaliste », « déglingué », « égoïste », « arrogant » et « impoli ». Tous ces qualificatifs finement trouvés conviennent parfaitement à ce triste sire.      

Salutations flibustières !

« Vigie d’un monde en ébullition », n°23, mise en ligne le 9 mars 2022 sur Radio Méridien Zéro.

00:43 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Journal du chaos

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vendredi, 11 mars 2022

ALLO MANU, A QUAND UN PROCHAIN CHEQUE POUR L’ENERGIE ?

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Pieter Kerstens

Parce que vu la hausse importante du prix du baril de pétrole et les prix des carburants, faire le plein devient impayable !

Certes, le yo-yo du pétrole, ce n’est pas nouveau, comme les cours de l’Euro par rapport au Dollar. 

On se souviendra que début janvier 1999, le taux de change de l’Euro était de 1,18 Dollar. Quand le 15 juillet 2008, le baril de pétrole de la mer du Nord coûtait 146 USD, l’Euro valait 1,60 USD, soit 91,25 euros le baril.

Le 20 décembre 2016, le baril de Brent plongeait à 30 USD et l’euro se changeait à 1,04 USD, soit 28,8 € le baril.

Au 8 mars 2022, le super 98 est à 2,04 € le litre et le diesel à 2,15 €, quand le Brent est à 132 USD le baril, soit 122 € (donc 34 % de plus qu’en 2008). A la veille du mouvement des gilets jaunes, le super était à 1,67 € et le diesel à 1,53 € le litre.

Mais aujourd’hui, plus personne ne manifeste alors qu’en 3 ans ½ la hausse du diesel est de plus de 28 % et depuis mars 2021, elle s’élève à 41 % ! 

Tétanisés par le Covid-19 et pétrifiés par la guerre en Ukraine, les peuples européens sont matraqués à longueur de journée par une propagande d’Etat qui infuse la frousse dans les esprits et anesthésie toute envie de raisonnement et d’analyse lucide des évènements.

Il va falloir choisir entre l’indispensable et le superflu.

Car la hausse du prix du pétrole s’accompagne de celle du gaz, du charbon et de nombreuses autres matières premières depuis plusieurs mois, dont par exemple le blé, l’acier, le maïs, le palladium, le nickel, le seigle, la bauxite, le plomb, le titanium, le coton, l’orge et le phosphate, parmi d’autres. Ces augmentations auront bien évidemment des répercussions sur une multitude de produits commerciaux que nous achetons au quotidien et conduiront inévitablement à une crise économique, dont on ne parle pas encore.

L’Europe est dépendante du gaz russe à 45 % et pour 26 % de son pétrole. En France, 17 % du gaz vient de Russie, 36 % de Norvège et 8 % d’Algérie, alors que l’Allemagne, elle, dépend de 55 % du gaz russe, de 50% de son charbon et de 30 % de son pétrole, depuis des années et avec le soutien des Grünen…

AUCUN PRODUCTEUR de gaz ou de pétrole dans le monde ne pourra combler ces quantités quand les Etats-Unis auront mis en place leur embargo envers la Russie et si l’Union Européenne boycotte les énergies et les produits exportés par la Russie et l’Ukraine.

Les intérêts de l’Europe ne sont pas les mêmes que ceux des USA ou du Canada, qui, eux, sont auto-suffisants en matière d’énergies.

Déjà, de nombreuses entreprises européennes sont à l’arrêt et leurs travailleurs au chômage, car incapables de payer un gaz dont le prix a été multiplié par dix et une électricité en hausse de 125 %, depuis un an.

En France, il est ahurissant de voir que dans un sondage du 7 mars réalisé par Le Figaro auprès de 207 000 lecteurs, 64 % d’entre eux sont « d’accord à stopper les achats de gaz et de pétrole russes ». Ils ignorent donc que 67 % de la consommation de gaz est réalisée par les entreprises, pour qui le prix n’est pas bloqué. 

Face au choix dogmatique de l’Union européenne de suivre la stratégie et les décisions américaines, nos concitoyens vont devoir se serrer très sérieusement la ceinture dans les semaines à venir et se prononcer très clairement sur la transition énergétique et l’utopie des énergies « renouvelables » à l’exemple de l’Allemagne qui, en fermant ses centrales nucléaires, se retrouve piégée avec l’approvisionnement de gaz et de pétrole russe, en ayant choisi de produire son électricité par des centrales à charbon(le plus polluant en CO2), au gaz et avec un parc d’éoliennes qui fonctionne à moins de 25 % de ses capacités, faute de vent !

Il est urgent de rompre avec les chimères des Khmers verts et ne plus respecter les directives imbéciles de la Commission de Bruxelles qui nous impose des prix alignés sur le coût du gaz étranger, alors que l’électricité en France est la moins chère d’Europe, parce que produite par des centrales nucléaires, non polluantes en CO2.

18:41 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le bon sens d’Andreï Makine

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L’académicien franco-russe, prix Goncourt 1995, s’afflige de voir l’Ukraine transformée en « chaudron guerrier ». Il se défend d’être pro-Kremlin et regrette « une vision manichéenne qui empêche tout débat et toute compréhension de cette tragédie ». Pour l’écrivain, un cessez-le-feu nécessite la prise en compte du point de vue russe. Il affirme que -à tort ou à raison-  le bombardement de Belgrade par l’Otan en 1999 sans feu vert des Nations unies a été vécu par les Russes et leurs dirigeants comme « une humiliation et un exemple à retenir ». L’homme de lettres déplore de même que l’Union européenne n’ait pas condamné le bataillon Azov, qui, selon lui, revendique une idéologie néonazie et fournit ainsi un prétexte à la propagande du Kremlin et à ses amalgames. « L’Europe est un Titanic qui sombre et d’un pont à l’autre, on se bat », se désole Andreï Makine.

Lire la suite ICI 

Source : Le Figaro 11/03/2022

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L’Europe au cœur du conflit

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La guerre déclarée par les Russes à l’Ukraine a déclenché une réprobation quasi planétaire et un lot inédit de sanctions économiques destinées à mettre la Russie de Poutine à genoux.  Les Européens sont évidemment les premiers visés pour la bonne raison que nos économies dépendent en partie du gaz et du pétrole russe. Le Nouvel économiste dresse un premier état des lieux.

Lire la suite ICI

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jeudi, 10 mars 2022

La droite nationale avec Eric Zemmour

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Ne restez pas spectateurs de la campagne présidentielle ! Participez au meeting samedi 12 mars à Paris organisé, de 14h à 18h, par le Parti de la France et intitulé « La droite nationale avec Zemmour ».

Après des mois d'impossibilité de se réunir en raison des contraintes sanitaires gouvernementales, c'est l'occasion de partager un moment politique mais aussi convivial entre patriotes : des stands (Synthèse nationale, Riposte Laïque, PdF, etc) et une buvette seront à votre disposition.

Pour participer à cet événement, veuillez vous inscrire ici : resa12marspdf@gmail.com

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Patriotisme, souveraineté, nation

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Natacha Polony, dans la dernière livraison de Marianne, pose la question de savoir que ce qui vaut pour l’Ukraine vaut-il également pour la France ? Histoire de nous préciser avec justesse ce qu’implique les notions de patriotisme, de souveraineté et le recours nécessaire à la nation. En ces temps de confusion politique et mentale, une petite explication de texte ne fait pas de mal.

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Les russes boucs émissaires universels

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Etienne Defay

 L’invasion militaire de l’Ukraine par les forces armées russes a provoqué une mobilisation internationale inégalée depuis des décennies. Pour certains, la situation a des allures de guerre froide ressuscitée avec le retour de lz menace des chars russes qui « sur ordre du Kremlin peuvent franchir le Rhin » pur reprendre la chanson du chateur antisoviétique Jean-Pax Méfret.

Mais la situation est loin d’être comparable. Seule l’Ukraine est concernée et l’empire soviétique, du moins l’emprise de la Russie sur les pays de l’Est, se réduit comme peau de chagrin. Autre différence profonde, l’omniprésence des réseaux sociaux permet à l’opinion publique de suivre cette guerre en temps réel. En suivant les bons canaux et les bons réseaux, on peut suivre cette guerre comme on le ferait d’une série américaine. Las. Les injonctions émotionnelles ont pris le pas sur le recul et la raison. Entre les traditionnels va-t-en- guerre du centre-gauche qui préconisent une guerre totale face à la Russie comme ils avaient incité à intervenir en Libye avec le succès qu’on leur connaît et les ministres bien à l’abri derrière un studio de radio annonçant à qui voulait l’entendre que nous mènerions une guerre économique, force est de constater que la raison a déserté.

On soutient l’Ukraine comme on a boycotté les JO de Pékin, marché pour le climat, milité pour les trois doses de vaccins, lutté contre le retour des heures sombres et la menace fasciste. En bref, on a besoin de cause pour maintenir un pouvoir en place. Cette cause, aujourd’hui c’est le bouc émissaire, à l’ instar des lapidations publiques où chacun pouvait apporter sa pierre à l’exécution, il fait bon de se montrer en train de persécuter du Russe. Ainsi, chez nos voisins belges, on coupe les bourses des étudiants russes. A Toulouse, on pousse le directeur d’un théâtre à la démission en voulant le forcer à prendre position. On déprogramme le Bolchoï, on menace les restaurants russes, on lance des cocktails molotov contre leurs institutions. Au nom des droits de l’homme, on exclut la Russie de la Coupe du monde de football devant se jouer au... Qatar ! Il n’est venu à l’idée de personne que le simple fait de jouer au Qatar était une gifle administrée à ces mêmes droits de l’homme. Mais ce n’est pas tout, les chats russes sont privés de compétition internationale et les athlètes handicapés de ce pays privés de Jeux paralympiques. Au nom du bien évidemment.

Dans ce contexte, la commission européenne par la voix d’Ursula von der Leyden a interdit sur le territoire européen la chaîne RT et le média Sputnik. En cause ? Le fait qu’ils seraient un vecteur de la propagande russe. Passons sur le fait qu’en matière de propagande, le service public français n’a rien à envier au Kremlin pour nous interroger sur les motivations.

Comment reprocher à un pays son régime autoritaire en prenant des décisions de censeurs ? Comment ne pas s’interroger sur ces dizaines de journalistes professionnels sans emploi du jour au lendemain et marqués à vie du sceau de la trahison ? « J’ai perdu 90 % de mes revenus, globalement mes confrères de la presse mainstream me recommandent de changer de carrière » confie, abattu, l’un d’entre eux. Il est à l’évidence plus facile de martyriser des journalistes et des athlètes handicapés qu’affronter l’armée russe. Il est plus facile d’appeler les Français à se priver de chauffage depuis une station de ski huppée que de se retrouver face à un char...

Source : Présent 10/03/2022

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Sanctions économiques : l’Europe va en payer la note

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Jean Terrien, dans le dernier numéro de Rivarol nous livre une analyse lucide des conséquences engendrées par les sanctions économiques contre la Russie. En un mot comme en cent, ce sont bel et bien les Européens qui vont en faire les frais, pour ne pas dire en régler la facture. Et certainement pas les Américains qui disposent des ressources énergétiques nécessaires (gaz et pétrole). Une fois de plus l’Europe va payer cher sa vassalité envers cette Amérique qui cherche à imposer un modèle économique destiné à tuer les peuples, araser les cultures et réduire l’homme à n’être qu’un simple consommateur. 

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Source : Rivarol 9/03/2022

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mercredi, 09 mars 2022

Le prix de la guerre

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Gaëtan de Capèle

Quel sera le prix à payer pour stopper la folie expansionniste de Vladimir Poutine ? Deux semaines après l’invasion de l’Ukraine, et alors que l’escalade des sanctions n’est pas achevée, on commence à mesurer les répercutions du conflit. Elles prennent la forme d’un choc énergétique géant, qui fait qui fait craindre le retour de la stagflation, ce monstre économique combinant flambée des prix et faible croissance, douloureusement expérimenté dans les années 1970. La première partie de l’équation est déjà sur la table : la hausse vertigineuse des cours du pétrole et du gaz prend particuliers et entreprises à la gorge. Mais l’État veille : à circonstances exceptionnelles, mesures exceptionnelles, il en épongera une partie. Comme il a épongé la crise des « gilets jaunes », puis la crise sanitaire, puis l’augmentation des prix de l’électricité. L’art de la politique étant de faire des choix, libre au gouvernement de se donner pour mission de protéger les Français contre tout, y compris l’inflation. Mais, dans la situation financière calamiteuse du pays, écrasé sous 2 800 milliards de dettes, il a en retour le devoir d’expliciter comment seont financées ces dépenses exponentielles qui nous mènent au bord du gouffre. Non pas en faisant miroiter les frutis d’une croissance hypothétique, mais en précisant à travers quelles économies et surtout quelles réformes. Cette obligation vaut pour tous les candidats à la présidentielle, aussi prodigues les uns que les autres.

À côté de ces mesures de court terme, le cataclysme ukrainien impose une réflexion de fond sur la politique énergétique européenne. L’Allemagne démontre ce qu’il en coûte de renoncer à sa souveraineté par idéologie, pour confier son approvisionnement à la Russie de Poutine. L’abandon du nucléaire par Berlin fut une faute économique et politique impardonnable. Après s’être imprudemment engagée sur le même chemin, la France a fini, in extremis, par reprendre ses esprits. Il était temps : la guerre en Ukraine nous confirme que le grand basculement sans garde-fous vers le tout-renouvelable est un piège mortel.

Source : Le Figaro 9/03/2022

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A propos de la guerre Ukraine-Russie : Vladimir Poutine expose son point de vue...

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François Floc'h

Les affrontements continuent sur le terrain… et le consensus règne sur les plateaux de télévision où nous assistons à un ballet incessant de commentateurs présentés comme "experts" !

Les images de guerre tournent en boucle, sans précision de lieux et de dates. Technique largement utilisée pour générer la sidération, le stress et ramollir les cerveaux !

Mais, bizarrement, certaines autres personnalités ne sont jamais invitées à exposer leurs points de vue. Sans doute sont-elles trop politiquement incorrectes.

Bref, la propagande de guerre fait rage ! Et, de "Je suis Charlie" hier, aujourd'hui nous sommes sommés d'être "Je suis Ukraine" !

Il ne faut donc pas s'étonner que peu nombreux sont les téléspectateurs qui ont pris connaissance de 2 initiatives de communication de Vladimir Poutine :

• le 25 février, une allocution télévisée au peuple russe,

• le lendemain 26 février, une lettre à destination des "Citoyens du monde".

Dans une guerre, il est primordial de connaître les ressorts et la psychologie de l'adversaire. Ses objectifs et les moyens mis en œuvre pour y parvenir. Et cela, que l'on "pour" ou que l'on soit "contre" !

Alors, pourquoi avoir occulté ces deux interventions  du président russe ? Pour nous masquer une part de la réalité ? Pour pouvoir mieux nous manipuler ?

Dans son allocution télévisée au peuple russe, Vladimir Poutine expose les origines de la crise, la situation géopolitique telle qu'il la voit. Il justifie l'obligation de l'engagement en Ukraine. Banni de tous les réseaux sociaux sous mainmise des USA, cette déclaration est diffusée sur la plateforme Odysée. Elle dure 28 minutes et est traduite en français en simultané.

La lettre aux citoyens du monde, elle, a été diffusée, traduite en différentes langues dont le français. La voici in extenso.

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EPONA PRENDRA LA PAROLE SAMEDI 12 MARS AU MEETING DU PARTI DE LA FRANCE À PARIS

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00:15 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 08 mars 2022

Action militante : tractage massif de Reconquête ce matin à l'entrée du siège de Orange à Lannion

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Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale,

participait à l'opération.

Plusieurs groupes de militants trégorois de Reconquête ont tracté très tôt ce matin aux entrées de l'usine Orange de Lannion (22) pour soutenir la candidature d'Eric Zemmour à la Présidentielle. 

Cette opération a été couronnée de succès. Bien sûr, il y avait les éternels grincheux qui prenaient un air offusqué en refusant nos tracts ; mais, de nombreuses personnes qui embauchaient nous ont aussi manifesté leur approbation, pour ne pas dire leur soutien. 

Visiblement, malgré les calomnies et la désinformation propagées par la presse du Système, la campagne d'Eric Zemmour s'intensifie de jour en jour. Il ne reste plus que quelques semaines avant la victoire...

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lundi, 07 mars 2022

L’Europe, un continent de profiteurs

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Pendant des décennies, sa défense a été soutenue par l'Amérique. Sur le plan économique, l'Europe s’est appuyée sur les innovations venues d’ailleurs pour suivre ses rivaux. La décision de Poutine d’entrer en guerre a fait naître un sentiment d’unité parmi un ensemble de gouvernements rivaux qui se chamaillent plus souvent au sein d’une union imparfaite. Le Nouvel Economiste  dresse ici un état des lieux qui prête à réfléchir. L’Europe a encore du chemin à parcourir.

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dimanche, 06 mars 2022

Le meeting triomphal de Toulon

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Premier dimanche de Carême, en chemin vers Pâques

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François Floc'h

Mercredi dernier, Mercredi des Cendres, jour de pénitence pour les catholiques qui manifestent ainsi leur humilité devant la vie sur la terre et l'Espérance en une vie surnaturelle, Eric Zemmour publiait un communiqué à l'intention de ces catholiques : "Aujourd'hui, les catholiques célèbrent les Cendres. C'est un jour d’humilité face aux épreuves. Que ce moment solennel nous inspire dans le regard que nous posons sur la guerre, ses dangers et toutes ses victimes."

 Les catholiques de France sont touchés par ce geste de reconnaissance. Mais, tristes et sans étonnement, ils ont constaté que rien n'est venu du côté de l’Élysée…

Quelques jours plus tôt, Eric Zemmour n'avait-il pas déclaré : "Je tiens à dire aux lecteurs de Chrétiens Magazine, que je suis le seul candidat qui affirme que le catholicisme a fait la France." Vous ne trouvez pas qu'il s'agit là d'une bizarrerie dans le monde politicien dont il ne fait point partie ? Pareille sincérité sera sûrement suspecte aux Frères du Grand Orient !

A la messe de ce 1er dimanche de Carême, le Psaume 90 tenait lieu d’Épître.

A l'inverse des avertissements habituels des débuts de films policiers, "Toute ressemblance avec des personnages… etc.", nous pouvons dire que nous percevions une certaine ressemblance ! Dans un contexte politique truqué par un président sortant malhonnête, notre candidat doit supporter tous les traquenards, tous les coups bas, toutes les injures ! Mais, il continue son chemin, calmement, déterminé.  Et, de plus en plus nombreux, les Français le suivent. Honneur à lui !

Citons le beau texte du Psaume 90

Celui qui s'abrite dans la maison du Tout-Puissant,

Qui repose sous la protection du Très-Haut,

Il pourra dire au Seigneur : « Mon refuge et ma forteresse,

C'est toi, mon Dieu, en qui je mets ma confiance.

Car il m'a délivré des pièges qu'on me tendait et de la calomnie perfide.

 

Comme un oiseau sous ses plumes, il t'abritera et,

Sous ses ailes, tu reprendras espoir.

Comme un bouclier, sa fidélité te couvrira ;

Et tu n'auras à craindre ni les frayeurs de la nuit,

Ni la flèche qui fend les airs pendant le jour,

Ni la peste qui se propage dans les ténèbres,

Ni le mal foudroyant qui attaque en plein midi.

 

Qu'il en tombe mille à ta gauche et dix mille à ta droite,

Toi pourtant tu ne seras pas touché.

Car Dieu t'a recommandé à ses Anges,

Pour qu'ils te protègent sur tous les chemins que tu suivras.

Ils te soutiendront de leurs mains,

de peur que ton pied ne heurte le rocher.



Tu pourras marcher sur les vipères et les serpents,

Écraser lions et bêtes féroces.

 

Le Seigneur a dit : « Parce qu'il s'est attaché à moi,
Je le préserverai, je le protégerai,

Parce qu'il sait que je suis Dieu.

Qu'il m'appelle, et je lui répondrai;

Dans la détresse, je resterai avec lui.

Je le délivrerai et le couvrirai de gloire.

Pour le combler, je lui accorderai de longues années ;
Et je lui ferai voir que je suis son Sauveur.
»

 

Et ce même dimanche, Eric Zemmour enflammait l'esprit et le cœur des Toulonnais...

 



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Exit le covid-19, place au Poutine-22

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La chronique de Philippe Randa

De l’issue de la guerre russo-ukrainienne et de ses conséquences, il est certes encore trop tôt pour avoir quelques certitudes que ce soit, mais tout au moins peut-on déjà constater certains bouleversements.

Notamment outre-Atlantique où l’ancien président Trump a fait un « tabac » à la grande convention annuelle des conservateurs américains en fustigeant son successeur Joe Biden qu’il rend responsable de la situation : « Le problème n’est pas que Poutine soit intelligent, parce que bien sûr il est intelligent (…) Le vrai problème est que nos dirigeants soient si bêtes »… surfant ainsi sur le sondage Harvard Center for American Political Studies (CAPS)-Harris Poll révélant que 62 % des électeurs américains estimeraient que « Poutine n’aurait pas envahi l’Ukraine si le président Trump était toujours en fonction… »

Plus proche de nous, soit outre-Rhin, le chancelier Olaf Scholz a annoncé une augmentation importante des dépenses militaires de son pays, tout en décidant de livrer des armes à l’Ukraine, ce que Radio France internationale considère à juste titre comme « un revirement politique de taille pour Berlin. La non livraison d’armes à des zones de conflits était officiellement une constante de la diplomatie allemande depuis la IIe Guerre mondiale. »

Et en France ? Le malheur des Ukrainiens aura au moins permis de nous débarrasser des « médecins de plateaux » chargés d’effrayer le populo depuis deux ans avec leurs prédications apocalyptiques ; exit le covid-19 à bout de souffle, le Poutine-22 nous menace désormais.

S’il y a bien un constat à faire avec l’actualité, c’est qu’elle se montre bien souvent, sinon toujours, impitoyable avec les prédictions sur la marche du Monde. L’attaque russe de l’Ukraine en cette fin février, en aura surpris plus d’un qui ne pensait pas la chose possible ; comme quoi, impossible n’est pas que français.

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Eric Zemmour à la rencontre de la France rurale : un accueil enthousiaste

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