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lundi, 27 mai 2024

La folie #MeToo

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Si l’on avait tout lieu de voir d’un bon œil l’émergence du mouvement #MeToo, force est de constater qu’il prend des dimensions qui dépassent son logique objet d’être. Il suffit pour un homme d’être accusé non seulement de viol mais d’harcèlements divers et variés pour voir s’effondrer d’un coup une carrière. Sans même passer par la case justice et quand bien même cette dernière aurait dédouané l’accusé. L’enfer c’est les autres, disait Sartre. Dans son édito au Journal du dimanche, Pascal Praud, nous dit avec raison ce qu’il en pense. On partage.

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Source : Journal du dimanche 26/5/2024

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jeudi, 23 mai 2024

Paradis artificiels

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Alors que la violence sous toutes ses formes explose dans notre pays – mais pas que -, mais aussi outre-mer, on s’aperçoit que la drogue est bien souvent la source principale des règlements de comptes qui se déroulent quotidiennement sous nos yeux. Pierre Lellouche, pour Valeurs actuelles, dresse un dramatique constat de cette situation où l’on notera l’absence cruelle d’organismes spécialisés de lutte contre la drogue. Ce qui serait la moindre des choses.

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Source : Valeurs actuelles, 23/05/2024

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dimanche, 19 mai 2024

L’Europe ! l’Europe ! l’Europe !

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L’Europe de Macron est une utopie. " L’Europe résume assez bien Emmanuel Macron qui aime la lampe merveilleuse d’Aladin, celle qu’il suffit de frotter pour voler au-dessus du réel. Le président entretient le flou, le vague et l’ambigu. Il excelle à discourir et rechigne à agir. L’Europe est un terrain de jeu idéal." Pascal Praud dans Le Journal du dimanche résume bien le sentiment qu’éprouvent de nombreux Français à l’égard de cette Europe trop technocratique et pas assez humaine.

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Source : Journal du dimanche 19/5/2024

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Dans le Pacifique, la France n’a pas d’amis

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Regis Le Sommier

Gérald Darmanin l’assure : « l’Azerbaïdjan, ce n’est pas un fantasme, c’est une réalité. » Le ministre français accuse « une partie des indépendatistes » d’avoir « fait un deal » avec la dictature d’Ilham Aliyev. Bakou réfute : « Nous démentons tout lien entre les leaders de la lutte pour la liberté calédonienne et l’Azerbaïdjan », affirme l’Azerbaïdjan, voyant dans les propos du ministre « une campagne de calomnie » dirigée par Paris. Gérald Darmanin n’a pas tort pourtant. Les faits sont là. D’abord dans les manifestations, où le drapeau de l’Azerbaïdjan a été brandi à de nombreuses reprises à côté de la bannière du FLNKS. Étrange, lorsqu’on réalise que Bakou se trouve à 14 000 kilomètres de Nouméa... Ensuite, par les déplacements – trois au moins –, d’une délégation de représentants des peuples autochtones à Istanbul, pour assister le 1er mars dernier à une conférence tous frais payés, selon les services de renseignement français, sur la décolonisation. Car derrière l’Azerbaïdjan, il y a bien sûr la Turquie...

Les représentants ont formé le groupe d’initiative de Bakou, un collectif de 14 mouvements luttant pour l’indépendance des dernières colonies françaises qui diffuse des communiqués. Il est plus difficile d’assurer qu’en dehors de cette aide « idéologique », une véritable stratégie de déstabilisation de l’archipel français ait été mise au point par les Azerbaïdjanais. Il reste évident que Bakou cherche à faire payer à la France l’aide militaire que celle-ci apporte à l’Arménie. Jeter de l’huile sur le feu dans un bout de France au-delà des mers est sans doute davantage une aubaine que la mise en œuvre d’un plan machiavélique. Attention à ne pas reproduire les travers des guerres d’Indochine ou d’Algérie, trop longtemps perçues comme des agitations orchestrées par l’Union soviétique et la Chine, ce qui permettait d’occulter la propre responsabilité de la France. Ce n’est pas l’étranger qui crée le problème, même si c’est souvent lui qui en profite. L’Azerbaïdjan n’est d’ailleurs pas le seul pays à militer pour l’indépendance du « Caillou ». Depuis de nombreuses années, la Chine cherche à s’ouvrir de nouvelles routes maritimes dans le Pacifique pour y accroître son influence. La Nouvelle-Calédonie l’intéresse au premier plan. Prenant acte du repli de la France en Afrique, Pékin pense tirer profit de l’affaiblissement de notre pays. La fermeture du réseau TikTok depuis le début des émeutes est une première réponse de la France. Cette décision tient d’abord au fait que TikTok sert d’instrument de com- munication et de promotion de leurs exploits pour les émeutiers. Mais il s’agit aussi d’envoyer un signal en mettant un coup d’arrêt au puissant réseau chinois. Les États-Unis ne sont pas en reste et poursuivent des visées expansionnistes à partir de leurs prés carrés des Philippines, de Palaos, des Îles Marshall, de Jarvis ou des Samoa. L’Australie regarde également d’un œil bienveillant la dégradation de la situation à Nouméa. Elle dispute depuis longtemps à la Chine ses ambitions expansionnistes dans la zone. Ayant fait main basse sur Samoa et Nauru, elle lorgne sans vergogne sur l’« or vert » calédonien, le nickel, dont les sous-sols de l’île contiendraient entre 20 et 30 % des ressources mondiales. La Nouvelle-Zélande, dont l’influence s’exerce sur Tokelau et Niue, fait partie des prédateurs. Même si l’exploi- tation de ce minerai qu’on appelle l’« or vert » est au bord de la faillite, ce qui provoque sur l’île une crise économique majeure (son cours est passé de 50 000 à 19 000 dollars la tonne), il reste très convoité. Cet intérêt pour les ressources minières de l’archipel et ses zones de pêche n’est pas nouveau. Jacques Chirac avait autrefois remis les Australiens à leur place en leur rappelant que pour des gens qui souhaitent l’indépendance de la Nouvelle-Calédonie et le bien-être du peuple kanak, ils n’en avaient pas moins, au cours de leur histoire, massacré leurs propres autochtones

Source : Journal du dimanche 19/5/2024

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samedi, 18 mai 2024

Lire, et faire lire, le passionnant nouveau numéro (n°19) de La Revue d'Histoire européenne consacré aux crimes de guerre des alliés durant la Seconde Guerre mondiale

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Un dossier non-conformiste qui révèle ce que la doxa officielle nous a toujours soigneusement caché. A ne pas manquer...

Le Revue d'Histoire européenne, n°19, mai juin juillet 2024, 80 pages, 9,50 €, en vente dans les Maisons de la Presse.

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Lire aussi l'article su Riposte laïque cliquez là

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Macron rencontre Xi-Jinping et se prend une gamelle

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La guerre en Ukraine est en train de redéployer la carte géopolitique du monde. Et dans l’affaire il s’agit moins du destin de la Russie que celui de la Chine. L’Occident prend des sanctions contre la Russie mais se montre nettement plus prudente à l’égard de la Chine dont elle est devenue par trop dépendante. Emmanuel Macron s’est littéralement planté avec Vladimir Poutine et sa rencontre récente avec le Chinois XI-Jinping qu’il croyait pouvoir infuencer s’est révélée être un fiasco total comme l’explique ici Pierre Lellouche dans un édito de Valeurs actuelles (16/05/202)

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jeudi, 16 mai 2024

Vers l’interdiction de la croix celtique ?

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Jérôme Bourbon, Rivarol cliquez ici

SE DIRIGE-T-ON vers l’interdiction pure et simple de la croix celtique en France ? Cela paraît délirant mais ce n’est pas hélas improbable compte tenu de la folie répressive actuelle. Après le succès de la manifestation organisée par le Comité du 9 mai en hommage au militant nationaliste Sébastien Deyzieu, mort il y a trente ans en tombant d’un toit alors qu’il était poursuivi par la police de Charles Pasqua, alors ministre de l’Intérieur du gouvernement de cohabitation dirigé par Edouard Balladur, à la suite de sa participation à une manifestation interdite contre l’impérialisme américain, le député socialiste du Calvados, Arthur Delaporte, propose dans Libération daté du lundi 13 mai d’interdire purement et simplement l’usage de la croix celtique dans notre pays. Il faut dire que le Système a été ulcéré par la réussite d’un rassemblement pacifique se déroulant sans que se produisît le moindre incident (cela change des manifestations de gauche et d’extrême gauche ou des défilés syndicaux qui ont presque toujours leur cortège de casseurs !) réunissant près d’un millier de jeunes participants en plein Paris le samedi 11 mai après que le tribunal administratif eut cassé la décision préfectorale d’interdiction de la manifestation au motif que l’arrêté du préfet portait une atteinte grave et disproportionnée à la liberté de manifester. Cet acte d’indépendance de la justice administrative étonne positivement quand on sait que cette dernière se fait trop souvent la simple chambre d’enregistrement des décisions gouvernementales ou préfectorales, on l’a vu notamment au moment des crises covidesques où elle a validé toutes les décisions liberticides de l’Exécutif portant atteinte à la liberté de circulation, de manifestation, de réunion et de culte et on s’en est également aperçu lorsqu’elle a validé à deux reprises, d’abord en référé à l’été 2022, puis sur le fond au printemps 2024, la décision de la CPPAP (commission paritaire des publications et agences de presse) de nous exclure de ses registres.

Cette décision du tribunal administratif est une victoire pour les organisateurs du défilé en hommage à Sébastien Deyzieu qui ont su trouver les arguments juridiques de nature à convaincre les juges. Mais elle est aussi et surtout un camouflet pour le préfet de police de Paris, Laurent Nunez, et plus encore pour le ministre de l’Intérieur, Gérald Moussa Darmanin. N’oublions pas en effet que c’est après le défilé du 6 mai 2023 en hommage à Sébastien Deyzieu qui avait indisposé la gauche que le locataire de la Place Beauvau avait pris une circulaire ahurissante interdisant de manière systématique, à Paris et sur tout le territoire national, toute manifestation « de l’ultra-droite et de l’extrême droite ». Toute manifestation, c’est-à-dire des défilés, des colloques, des banquets, des offrandes florales à la sainte de la patrie, un hommage à un défunt dans un cimetière. Cette décision du tribunal administratif prise le samedi 11 mai 2024 au matin, quelques heures seulement avant le début du défilé pour Sébastien Deyzieu, marque-t-elle un coup d’arrêt à cette dérive liberticide du gouvernement désireux de complaire à de puissants groupes de pression, toujours les mêmes, ou est-elle seulement une victoire à la Pyrrhus qui ne changera rien sur le fond dans la durée ? Il est encore trop tôt pour le dire mais saluons pour l’heure cette humiliation pour le sinistre Darmanin. On se réjouira également que les défilés et manifestations en l’honneur de sainte Jeanne d’Arc aient pu avoir lieu normalement cette année, le dimanche 12 mai, qu’ils aient pu se tenir sans encombre et n’aient pas été interdits en amont.

LA GAUCHE étant connue pour son esprit sectaire voire totalitaire, elle ne saurait bien sûr accepter que les nationalistes et identitaires puissent eux aussi défiler dans la capitale pour rendre hommage à l’un de leur camarade décédé dans des conditions dramatiques. C’est pourquoi elle propose d’aller encore plus loin dans la répression. Il n’est donc finalement pas si surprenant qu’un député socialiste ose proposer l’interdiction de la croix celtique alors même que cet emblème immémorial est au cœur de nos traditions et de nos civilisations et que, si on le voit dans tous les cimetières d’Irlande, il est aussi présent en France dans nombre de monuments, de peintures et de sculptures et notamment au faîte de certaines églises. Thierry Bouzard a précisément consacré il y a quelques années un très intéressant ouvrage à la croix celtique qui démontre de manière documentée, précise et indiscutable à quel point ce symbole est ancré dans notre histoire et répandu dans notre civilisation (NDLR SN : voir ci-dessous). L’élu socialiste Arthur Delaporte, qui se comporte en cloporte, annonce donc à Libération — qui recueille religieusement son initiative — le dépôt rapide d’une proposition de loi destinée, tenez-vous bien, à pouvoir « interdire tout symbole utilisé par des associations reconnues comme anticonstitutionnelles et contraires aux principes d’amitié contre les peuples ». Rassurez-vous, le député ne vise pas là les associations communautaires juives, de la LICRA à l’OJE (Organisation juive européenne) en passant par l’Observatoire juif de France (OJF) qui ne trouvent rien à redire, mais vraiment rien, au génocide en cours des Palestiniens à Gaza et à la famine organisée par l’entité sioniste désireuse de se débarrasser des « animaux humains » que seraient les Gazaouis selon les propos publics du ministre de la Défense israélien. Non, le député Delaporte, que les électeurs auraient dû mettre à la porte, vise là exclusivement les associations et groupements nationaux et nationalistes.

« Il faut, gémit-il dans Libé, nous protéger contre les ennemis de la République et de la démocratie. Aujourd’hui l’article R645-1 de notre code pénal interdit le “port d’un insigne ou un emblème rappelant les uniformes, les insignes ou les emblèmes qui ont été portés ou exhibés soit par les membres d’une organisation déclarée criminelle” à l’issue de la Seconde Guerre mondiale par le très contestable tribunal militaire international de Nuremberg, “soit par une personne reconnue coupable par une juridiction française ou internationale d’un ou plusieurs crimes contre l’humanité”. Donc les nazis. Et uniquement leurs organisations reconnues comme telles. Résultat : on interdit la vente de drapeaux avec une croix gammée mais on peut se balader dans Paris avec une croix celtique alors que c’est aussi un symbole suprémaciste blanc, ethnodifférentialiste. Je propose donc de nous inspirer de ce que font les Allemands : interdire tout symbole utilisé par des associations reconnues comme anticonstitutionnelles et contraires au principe d’amitié contre les peuples. En changeant la loi, on pourrait interdire l’utilisation de la croix celtique puisqu’elle a été l’emblème de plusieurs groupements dissous en France. […] Il faut d’urgence muscler notre droit pour renforcer notre arsenal juridique. Pouvoir interdire ces manifestations et ces emblèmes qui participent de l’usage d’une symbolique tout en garantissant nos valeurs fondamentales. Ce qui a fait la force du nazisme, c’est aussi l’usage des symboles sur les masses. »

CE QUE le député Delaporte ne dit pas, c’est que la croix celtique n’a jamais été utilisée comme emblème par l’Allemagne nationale-socialiste et tout ramener au nazisme est grotesque et prouve de surcroît une certaine forme d’inculture, hélas très courante aujourd’hui, même chez les élus de la République. Et pour justifier cette nouvelle mesure liberticide, le député convoque sans surprise l’histoire (écrite par les vainqueurs) et la Mémoire : « Nous allons entrer dans une séquence de commémorations des 80 ans du Débarquement en Normandie. Je rappelle que la manifestation interdite du 7 mai 1994, au cours de laquelle meurt accidentellement le militant de l’Œuvre française à qui rendent hommage ces néofascistes chaque année, avait été organisée contre l’organisation des 50 ans du débarquement des Alliés, parce qu’ils ne voulaient pas que l’on commémore la fin du régime hitlérien ! Dans trois semaines, on rendra hommage à ces combattants qui nous ont libérés du nazisme. Comment accepter qu’on laisse s’afficher des symboles en plein Paris accompagnés de saluts hitlériens ? » On se demande où le député a vu dans ce défilé pacifique et remarquablement organisé des « saluts hitlériens » (il serait d’ailleurs plus juste historiquement de parler de saluts romains ou olympiques) mais, qu’importe, l’essentiel pour ces gens n’est pas de dire la vérité mais d’asphyxier sans cesse nos libertés.

Alors que les crimes et les délits, y compris les plus barbares, explosent dans notre pays, le Parlement n’a donc pas d’autre priorité que d’interdire la croix celtique. Et également d’euthanasier les vieux (et à terme aussi les autres) puisque le projet de loi appelé pudiquement sur la fin de vie va être examiné à partir de cette semaine par l’Assemble nationale. Le Parlement se garde bien également de condamner les crimes perpétrés par l’entité sioniste. Lors du dîner annuel du CRIF le 6 mai dernier, le Premier ministre Gabriel Attal, rappelant explicitement sa judéité, a justifié sans réserve l’action meurtrière de Tsahal à Gaza et n’a pas eu un mot de compassion, pas un seul, pour la population civile palestinienne martyrisée. Quant à l’Eurovision, où l’on exclut la Russie mais où Israël est membre de plein droit (l’entité sioniste serait-elle géographiquement en Europe ?), ce qui a suscité fort heureusement en Suède où se tenait cet événement certaines réactions outrées compte tenu des crimes commis par un Etat sioniste, terroriste, assassin et voyou, elle a fait étalage de mauvais goût, de pornographie, de satanisme (la chanteuse irlandaise était ainsi grimée en sorcière avec un accoutrement effrayant) et d’homosexualisme, le chanteur suisse qui a gagné la compétition, Nemo, se définissant comme non binaire (Libé salue avec enthousiasme « le monde queer de Nemo »). Pauvre Europe ! Jusqu’où est-elle tombée ?

Face à toutes ces immondices, recommandons-nous de sainte Jeanne d’Arc, fêtée dimanche dernier, et de la Vierge Marie, la vraie première Dame de France célébrée tout particulièrement en ce mois de mai qui lui est consacré, « le mois le plus beau » comme nos pères le clamaient dans un cantique populaire, simple et attachant.

Editorial de Jérôme Bourbon publié dans le n°3614 (15 mai 2024) de l'hebdomadaire Rivarol.

Sur l'histoire de la croix celtique :

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Qu’ils abattent Mohamed Amra comme Kelkal, Merah et les Kouachi

Pierre Cassen ne mâche pas ses mots...

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mardi, 14 mai 2024

La France qui dégringole

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Vincent Trémolet de Villers

Choose France, deux mots anglais pour camoufler, dans le décor somptueux d’un pays qui fut grand, un triste rétrécissement. Débat Attal-Bardella et peut-être Macron-Le Pen pour faire oublier, dans la fièvre des slogans, la passion du jeu médiati- que, le vide des caricatures, une situation économique et sociale proche de l’auto- destruction. En 2003, Nicolas Baverez publiait La France qui tombe, constat accablant sur notre dette, nos déficits, notre bureaucratie. Aujourd’hui, Jérôme Fourquet, dans une note pour Le Figaro qui fera date, décrit la France qui a dégringolé. Il y a vingt et un an, le poids de la dette publique, ramené au PIB, atteignait 63 %, aujourd’hui nous en sommes à près de 110 %. La vérité que décrit le politologue est implacable : ceux qui se sont succédé au pouvoir ont choisi de ne pas remettre en cause un modèle politique qui a sacrifié la production à la consommation. Dans cette grande fresque des quarante dernières années défilent les usines qui ferment, les entrepôts de logistique qui ouvrent. Les champions français qui passent sous pavillon étranger : Pechiney, Arcelor, Alcatel-Lucent, Lafarge, Norbert Dentressangle, Club Med, Latécoère... La grande distribution, qui redessine nos paysages, modifie nos comportements et tente de recouvrir tous les aspects de nos existences : «Il n’y avait pas d’espace funéraire Leclerc, mais ça semblait être le seul service manquant », écrit Houellebecq dans Sérotonine. Ce « stato-consumérisme » repose sur les aides publiques qui pénètrent nos existences jusque dans l’achat de notre vélo, la réparation de notre électroménager et même la reprise de nos vêtements troués ! Il s’appuie sur une fonction publique de plus importante subventions et une population immigrée « pièce essentielle du puzzle pour fournir des consommateurs nouveaux » (Pierre Vermeren), le tout sous l’emprise d’une administration droguée aux normes et aux réglementations. Mais, quand les caisses sont vides, que le travail s’insère entre les vacances, les week-ends et les RTT, que les règles sociales et environnementales découragent les énergies créatrices, le modèle s’épuise. Nous y sommes. Emmanuel Macron sait tout cela mais peut-il encore rattraper le temps perdu ?

Source : Le Figaro 13/5/2024

Enquête de l’Ifop sur l’Etat-guichet, un modèle à bout de souffle. Lire ICI

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lundi, 13 mai 2024

A Bélâbre (Indre), la révolte anti-CADA continue

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Francis Bergeron Le Nouveau Présent cliquez ici

Le samedi 11 mai, les habitants de Bélâbre, charmant village du sud-Berry, étaient appelés à manifester pour la septième fois en quinze mois cliquez ici. Une manifestation tournée une fois de plus contre le projet d’implantation d’un Centre d’Accueil d’Immigrés. Sept manifestations successives sans compter les réunions en salle, voilà qui est inédit pour un village de 900 habitants dont les sites internet vantent « le charme discret ». Il est vrai que ce village très rural est un peu loin de tout, comme l’a rappelé l’avocat et chroniqueur de CNews Pierre Gentillet, originaire du canton. Néanmoins 140 personnes (je les ai comptées !) ont répondu à l’appel de l’Union bélabraise contre le centre pour migrants. En face, une vingtaine de contre-manifestants ont chanté l’Internationale, séparés par…150 gendarmes.

La révolte des habitants (une pétition contre l’implantation du centre pour immigrés a recueilli 400 signatures de villageois en âge de voter, ce qui est une sorte de record !) trouve son origine dans le refus du maire Laroche de tenir compte de l’avis des habitants. Il y a ici un déni de démocratie manifeste, a rappelé Maître Gentillet.

Mais l’assassinat du jeune Matisse, poignardé à Châteauroux par un « réfugié » afghan a encore avivé la colère des habitants. C’est que Châteauroux, la préfecture du département, n’est que d’une cinquantaine de kilomètres. Et les Bélâbrais ignorent tout du profil des 32 « réfugiés » (en attente d‘expulsion ou de régularisation) qui doivent venir s’installer ici. Combien d’Afghans ? Combien d’islamistes ? La prochaine victime sera-t-elle bélabraise ?

Une usine désaffectée a été achetée et quelques millions d’euros de travaux sont prévus pour loger ces personnes.

  • N’ayez pas peur, ce seront des familles avec femmes et enfants, promet le maire, pour rassurer la population.

Mais l’assassin de Matisse n’a que 15 ans. Quant à sa mère elle a giflé au sol sa victime en train d’agoniser !

Fort heureusement les travaux de réhabilitation n’ont pas encore commencé, alors que le maire Laroche annonçait l’ouverture du centre pour cet automne. Il évoque à présent une ouverture des locaux en 2025. De nombreux recours contre ce projet ont été lancés par les voisins du bâtiment en cause, et sont loin d’avoir encore été jugés. Ludivine Fassiaux, la jeune animatrice de l’Union bélabraise, est optimiste : ce centre ne verra sans doute jamais le jour.

Quant aux bélabrais dans leur ensemble, en opposition frontale avec les édiles, qui se font discrets, ils se reconnaissent dans ce rôle de lanceurs d’alerte, au nom de tous les villages ruraux impactés par ces implantations artificielle de contingents de migrants venus de l’autre bout du monde, pour une durée indéterminée.

Le rassemblement s’est terminé par le témoignage d’un habitant de Calais, ayant pris sa retraite par ici, pour fuir les « incivilités ». Un récit qui fait froid dans le dos, et qui désespère ce « réfugié » dans son propre pays.

Il y a deux semaines, un élu de Châteauroux (sur la liste du maire ex-LR macroniste Averous) me disait au téléphone :

  • Bardella va faire 50% dans l’Indre, après l’assassinat du jeune garçon.

La presse locale (La Nouvelle République), très engagée ici à l’extrême gauche,  fustigera une fois de plus la « récupération de l’extrême droite ». Mais quelle « extrême droite », et quelle récupération ? Les faits parlent d’eux-mêmes, hélas.

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samedi, 11 mai 2024

Pourquoi se gêner ?

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Gaëtan de Capèle

Dans un peu plus de deux mois, la France sera le centre du monde. Des centaines de milliers de touristes, des milliards de téléspectateurs n’auront d’yeux que pour les exploits des athlètes, mais aussi pour sa culture, son patrimoine, son art de vivre. Le retour, cent ans après, des Jeux olympiques à Paris a mobilisé toutes les énergies. Épreuves sportives, festivités, sécurité, logistique... tout a été pensé au millimètre pour que la plus grande compétition sportive du monde organisée à Paris reste gravée dans les mémoires. L’événement doit être une fête, une joie collective, une fierté nationale.

La France entière aspire à profiter de cette parenthèse de temps suspendu. Toute ? Non. Un bastion syndical peuplé d’irréductibles protestataires résiste encore et toujours. Ses dernières forces sont regroupées en un point et un seul : le mal nommé service public. Drapés dans les grands principes, la CGT et ses camarades de SUD ou de Solidaires ont depuis longtemps trahi ses missions pour le mettre au service d’un corporatisme forcené. Pour ces derniers Mohicans, les Jeux olympiques sont avant tout un formidable outil de chantage. Tony Estanguet rêvait d’une « trève sociale » ? Emmanuel Macron avait foi en « l’esprit de responsabilité des syndicats » ? Message reçu cinq sur cinq : un préavis de grève a été lancé dans les trois fonctions publiques. A la SNCF, à la RATP, chez les aiguilleurs du ciel, chez les éboueurs, dans la police ou encore aux douanes, c’est, comme dirait l’autre, la foire à la saucisse : primes, augmentations, départs anticipiés à la retraite…le catalogue des revendications n’a plus de limites, y compris les plus extravagantes, comme chez les cheminots. Dans ces rouages indispensables au succès des JO, le « quoi qu’il en coûte» tourne à plein régime. Mais, après tout, pourquoi se gêner? Plus qu’à son tour, l’État leur a signifié qu’il préférait acheter la paix sociale plutôt qu’affronter une crise. Face aux professionnels du conflit, il a depuis longtemps renoncé à tout acte d’autorité, à toute restriction du droit de grève, même la plus outrancière. Il ne fait que récolter ce qu’il a semé.

Source : Le Figaro 11/05/2024

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mardi, 07 mai 2024

L'Irlande se réveille : des milliers de manifestants à Dublin contre l'invasion migratoire

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Source Breizh-Info cliquez ici

Une marche contre l’immigration dans le centre ville de Dublin a attiré un grand nombre de personnes lundi après midi, rapporte RTE. Les manifestants sont partis du Garden of Remembrance (jardin du souvenir) et ont emprunté O’Connell Street peu avant 15h30, où la présence policière était notable, avec notamment une file d’agents de la Public Order Unit (unité de maintien de l’ordre public).

Au GPO (Poste de Dublin), les gardes se sont interposés entre les marcheurs et un groupe plus restreint de manifestants pro-palestiniens. Après son départ, la marche anti-immigration s’est regroupée au Customs House Quay pour une manifestation qui a duré jusqu’à près de cinq heures du soir.

Des protestations « Get them out, get them out » contre le gouvernement ont été entendues tout au long de la manifestation, ainsi que des condamnations des groupes politiques d’opposition, rapporte RTE.

Les manifestants portaient des pancartes sur lesquelles on pouvait lire, entre autres, « L’Irlande appartient aux Irlandais », « Les droits civiques des Irlandais », « Arrêtez le traité de l’OMS sur les pandémies », « Déportations massives », « Les migrants économiques ne sont pas des réfugiés » et « Les vies irlandaises comptent ».

Des groupes locaux de Coolock et Newtownmountkennedy – où des manifestations ont été organisées récemment contre l’utilisation de bâtiments pour héberger des demandeurs de protection internationale – étaient également représentés. Des pancartes faisaient également référence à l’installation d’une nouvelle « plantation » de l’Irlande en référence à la colonisation de l’île par les Anglais. A noter quelques membres du Sinn Féin aperçus parmi les manifestants.

Comme partout en Europe, l’immigration est devenue l’une des principales préoccupations des peuples autochtones en Irlande. De nombreuses manifestations ont été organisées pour protester contre la transformation de bâtiments en logements pour demandeurs d’asile, et plusieurs incendies criminels ont été perpétrés.

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dimanche, 05 mai 2024

Cultures et dépendances

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J’avoue que j’ai découvert Pascal Praud en regardant CNews qui nous offre chaque soir une analyse des événements en contradiction avec les versions officielles diffusées sur le service public – France Inter, France Info, etc. Mais le virus de la bien-pensance gangrène aussi les soi-disant médias privés comme RTL, la galaxie BFM, etc. On est dans un pays sous surveillance où il devient de plus en plus difficile de cacher sous le tapis la réalité des faits ou l’envolée inexorable du Rassemblement national. Pascal Praud donc. Il est de cette école où la formation se fait dans l’écrit avant de passer à l’oral. Il a commencé comme journaliste sportif. Sportif il devait le rester car chaque semaine il dézingue avec la voix du bon sens les maux de cette société dans laquelle on a de plus en plus de mal à se reconnaître.

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Source : Journal du dimanche 5/5/2024

 

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samedi, 04 mai 2024

Attal, Lecornu et Séjourné visés par une plainte pour avoir livré à une puissance étrangère du matériel affecté à la défense nationale

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Source France Soir cliquez ici

Paul Pellizzari est un Général de l’Armée de Terre à la retraite ayant mené une longue carrière dans l’armée et devenu spécialiste de l’armement et des munitions. Il a comme tous les Français pu constater certaines dérives de la part des membres du gouvernement, gouvernement qui pour lui manque un peu d’expérience. Ayant pu observer l’envoi de munitions et d’armement en Ukraine (la France a envoyé quelques trente canons César sur un stock de soixante-seize), il s’est interrogé sur la légitimité des décisions, leur légalité et leurs conséquences.  

En effet la France a envoyé outre des fonds en Ukraine, mais aussi des armes et des hommes. La ligne rouge de la cobelligérance a donc été franchie. 

Devant ce fait accompli et sans l’autorisation de la population française, le général Pellizzari a décidé d’agir en déposant plainte contre, le premier ministre Gabriel Attal, le ministre des Armées Sébatien Lecornu et Stéphane Séjourné le ministre de l’Europe et des Affaires étrangères.  Ce dernier ministre n’ayant pas sollicité l’accord du secrétariat général du gouvernement avant la signature de l’accord de coopération franco-ukrainien enfreignant ainsi une autre ligne rouge juridico légale constituant en un viol éventuel de la constitution comme l’a révélé France-Soir ce 17 avril 2024. 

 La plainte auprès de la Cour de Justice de la République a donc été déposée début avril et vise les trois ministres pour avoir livré à l’Ukraine depuis le mois de février 2022 des matériels, constructions, équipements, installations et appareils affectés à la défense nationale. Des faits prévus et réprimés par l’article 411-3 du Code Pénal qui dispose que :   

« Le fait de livrer à une puissance étrangère, à une entreprise ou une organisation étrangère ou sous contrôle étranger ou à leurs agents des matériels, constructions, équipements, installations, appareils affectés à la défense nationale est puni de trente ans de détention criminelle et de 450 000 euros d'amende». 

En outre la plainte, que France-Soir a pu consulter, déclare que ces faits reprochés ont été commis par « ces personnes en qualité de dépositaires de l'autorité publique ou chargées d'une mission de service public, dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de leurs fonctions ou de leur mission ». 

Le gouvernent français a livré à l’Ukraine pour plus de 3,08 milliards d’euros d’équipements militaires sous forme de dons entre le 24 février 2022 et le 31 décembre 2023.  Ces équipements ont été pris sur le stock des armées, affaiblissant nos capacités de défense. Le matériel fourni comprend des équipements individuels de protection (casques, gilets pare-balles, tenues NBC, armement de petit calibre, appareils de vision nocturne etc.), mais aussi des matériels majeurs : systèmes anti-char, pièces d’artillerie, défense sol-air, véhicules blindés, véhicules de transport, missiles air-sol, drones. Dans la plainte on peut lire que les dons à l’Ukraine amputent de « près de 25% puis de 40% les capacités de l’armée française ». Une paille pour certains. 

Un fait intéressant est que les véhicules blindés donnés à l’Ukraine sont totalement inadaptés au conflit et au terrain d’emploi !  

En tant que président, Emmanuel Macron est aussi chef des armées et il avalise politiquement l’ensemble des décisions de cession. 

L’article 411-3 du Code Pénal dispose que : « Le fait de livrer à une puissance étrangère, à une entreprise ou une organisation étrangère ou sous contrôle étranger ou à leurs agents des matériels, constructions, équipements, installations, appareils affectés à la défense nationale est puni de trente ans de détention criminelle et de 450 000 euros d'amende ». 

Le rapport parlementaire du 8 novembre 2023 fait état que « l’aide militaire ne doit pas abimer notre propre outil de défense ». En fournissant 40% de notre capacité d’artillerie n’abime-t-on pas notre outil de défense ? Une question à laquelle un ministre devrait répondre.   

De plus le rapport écrit aussi que la France est « alliée de longue date de l’Ukraine, impliquée dès 2014 dans le règlement de son conflit avec la Russie ». Mais l’Ukraine n’appartient ni à l’OTAN, ni à l’UE et aucun accord de défense ne préexistait avant l’envoi d’armes en Ukraine, pas plus qu’une déclaration de guerre autorisée par le Parlement en application de l’article 35 de la Constitution. 

Enfin la France et l’Ukraine ont signé le 16 février 2024, encore une fois sans l’aval du Parlement, un accord de coopération où la France s’engage sur 10 ans et 3 milliards d’euros en 2024. Ce qui affecte le budget de l’État et aurait donc dû faire l’objet d’un vote au Parlement sur fond de l’article 53 tel que nous l’avions écrit précédemment. Ce viol manifeste de la constitution a poussé le Sénateur Houpert et le député Dupont Aignan à saisir l’ONU. Cela vient à la suite de leur première saisine du Conseil d’Etat, se déclarant incompétent, le président Macron ayant décidé un jour avant de solliciter le Parlement pour un vote qui n’engageait pas sa responsabilité sur fond de l’article 50-1.  Une entourloupe supplémentaire. 

C’est bien devant ces faits et en soutien aux actions du sénateur Alain Houpert et du député Nicolas Dupont-Aignan que le Général Pellizzari a déposé sa plainte. En outre il commente la communication faite par Emmanuel Macron à propos de la mise à disposition de l’arme nucléaire pour défendre l’Europe. "Un pas de trop" explique le Général Paul Pellizzari. 

La Cour de Justice va-t-elle entendre les propos du Général Pellizzari ? L’affaire est sérieuse, car il y va de la souveraineté française en matière de défense nationale, mais aussi d’un départ de la doctrine diplomatique Française. Affaire à suivre.

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vendredi, 03 mai 2024

Nos juges sont intouchables, même en cas de lourde faute professionnelle

Source Riposte laïque cliquez ici

Quand vous passez devant un tribunal, vous avez une chance sur trois d’être jugé par un membre du Syndicat de la magistrature, ce qui n’est guère rassurant, sachant que des juges peuvent ne pas être adhérents de ce syndicat, qui devrait être dissous, et en appliquer les principes. Et le pire est que ces magistrats bénéficient, en cas d’erreur, voire de faute professionnelle, d’une impunité totale. Quelques exemples.

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Un jeune militant de l’Oriflamme avait été condamné en première instance à 4 mois de prison ferme, à une amende de 2900 euros et à 3 ans d’interdiction de détenir une arme. Son crime ? Avoir paisiblement manifesté à Saint-Senoux, près de Rennes, contre une lecture effectuée par des drag-queens devant des enfants de 3 à 6 ans. Le juge qui présidait ce procès inique s’appelle Béatrice Revail, et le procureur qui avait demandé 6 mois de prison ferme (quel scandale !), par ailleurs bien connu pour son indulgence avec la racaille se nomme Philippe Astruc.

Or, et heureusement, il demeure des juges qui font du droit, et pas de la politique, et la cour d’appel de Rennes a cassé ce verdict inique. cliquez ici

Mais nous avons des raisons d’être inquiets, puisque le maire de Saint-Senoux, l’écologiste Antinea Leclerc, a déposé plainte également contre Riposte Laïque, suite à cet article de Rose Martin que cette grande démocrate n’a pas apprécié. cliquez là

Nous avons donc toutes les chances de tomber de nouveau sur le tandem Revail-Astruc, qui ne seront pas sanctionnés pour le verdict inique qu’ils ont demandé pour l’un, et prononcé pour l’autre.

Dans un autre dossier, Riposte Laïque avait été condamné en première instance par le juge Caroline Kuhnmunch à une lourde amende à payer immédiatement à deux caissières voilées. Avant le procès, nous avions déjà évoqué nos inquiétudes quant à ce juge. cliquez ici

Nous avions d’autant de raisons d’être inquiets que nous avions vu ce juge faire preuve d’une agressivité invraisemblable contre Christine Tasin, à l’occasion de deux procès intentés contre la présidente de Résistance républicaine. Hélas, la suite a confirmé que nous avions raison d’être inquiets.

Il était impossible que Riposte Laïque perde ce procès, pour cinq raisons précises, dont la principale était que la plainte des deux caissières voilées visaient les éditions Riposte Laïque, qui n’avaient aucune responsabilité dans la parution de cet article. Or, en toute connaissance de cause, sachant qu’elle commettait une énormité juridique, le juge Caroline Kuhnmunch nous a lourdement condamnés.

Bien sûr, en appel, Riposte Laïque a été totalement relaxé, infligeant un sévère camouflet à Caroline Kuhnmuch, qui a commis une faute professionnelle. Que croyez-vous qu’il arriva ? Ce juge est à présent vice-président de la 17e chambre correctionnelle de Paris !

Moralité : les magistrats français font partie de la seule profession où des fautes professionnelles sont au mieux impunies, au pire récompensées, surtout quand elles visent des patriotes.

Mais bien sûr, j’ai confiance dans  la justice de mon pays…

09:40 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 01 mai 2024

Le nouveau numéro de Terre et peuple Magazine est sorti

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L'éditorial de Pierre Vial :

La France ne doit pas disparaitre

Certains vont sans doute trouver le titre de mon édito trop alarmiste. C’est qu’ils ne veulent pas regarder la réalité en face. Quand cette réalité va leur éclater en pleine figure, ils seront les premiers à se mettre à l’abri pour nous donner d’excellents conseils… quand nous, nous irons au casse-pipe… ces dernières années m’ont appris à savoir qui est qui, loin des illusions.

Il y a plusieurs façons de mourir. Il y a la mort physique pure et simple. Il y a aussi la mort spirituelle, qui fait que le mot « Français » ne recouvre plus aucune réalité charnelle, identitaire.

Cela va sans dire mais cela va encore mieux en le disant :  par Français nous entendons parler des hommes et des femmes d’origine européenne et en qui la race et la culture s’allient pour constituer une identité, portée par un peuple. Certains – toujours les mêmes - me reprochent d’utiliser le mot « race », trop connoté, trop marqué, trop compromettant. En somme, tabou. J’ai toute ma vie appelé un chat un chat et ce n’est pas à la fin de mon existence terrestre que je vais changer. Je laisse à ceux et à celles à qui cela donne des vapeurs le soin de s’adapter à l’air du temps. Mais qu’ils ne se fassent pas trop d’illusions : ayant côtoyé des maudits, dont je suis, ils restent à jamais des maudits. Ceci étant, les mots ont leur importance car ils sont des armes, c’est pourquoi j’utilise volontiers « Gaulois » pour désigner les vrais Français. Les gauchistes l’ont bien compris, qui ont lancé naguère leurs malédictions contre Astérix dans les colonnes de Libération. 

Eux qui veulent enlever à la France son identité ont bien compris que la clé pour arriver à leurs fins c’est la démographie. C’est pourquoi il n’y a rien de plus important que la question du peuplement. Tout doit donc être fait pour enrayer le suicide démographique de la France. À ceux qui prétendent qu’il n’y a pas de solution, je réponds que l’Histoire en fournit de nombreux exemples. Le premier devoir d’un futur gouvernement de Bloc National est d’avoir une politique nataliste dynamique, conjointement au Grand Ménage destiné à renvoyer chez eux les envahisseurs. Nous avons en tête des solutions très efficaces.

Nous sommes réalistes et pragmatiques. C’est dans cet esprit qu’il faut saisir toute occasion qui se présente pour faire avancer notre conception des choses. Les prochaines élections européennes en sont un bon exemple. Il n’y aura pas de possibilité de survie pour la France si elle ne retrouve pas sa souveraineté, confisquée par les Européistes de Bruxelles. Il faut donc impérativement que toutes (je dis bien toutes) tendances confondues, ceux qui refusent la fin de la France programmée à Bruxelles constituent un Bloc National, qui peut faire pencher la balance du bon côté. Ceux qui disent qu’il y a ceci ou cela pour refuser ce Bloc National sont soit des imbéciles, soit des traîtres – ou les deux à la fois. Aujourd’hui ne peuvent se justifier d’aucune façon les ego, les susceptibilités, les ambitions, les rancunes, l’appât du gain. LA PATRIE EST EN DANGER. Nous sommes maintenant nombreux à le dire : sans souveraineté politique, économique (énergétique, industrielle, agricole – la grande colère de nos campagnes est totalement légitime), militaire (La France dispose de 70 hélicoptères Tigre… mais la moitié seulement est opérationnelle !), culturelle, la France est condamnée à mort. Ou, ce qui revient au même, à être le Xe État d’une nébuleuse mondialiste. Donc que vive la CONFÉDÉRATION EUROPÉENNE DES PEUPLES où chaque peuple apportera sa contribution, avec son génie propre dans un faisceau de volontés, conscient que l’unité fait la force. Et une grande leçon de L’Histoire c’est que la force est la seule réplique efficace aux agresseurs de toutes sortes.

La France a tout à perdre à se mêler de questions qui ne la concernent pas. C’est vrai pour l’Ukraine. C’est vrai pour le chaudron africain, où nous avons usé bêtement notre armée. Voici des mois que Juifs et Palestiniens disent et redisent aux Européens qu’il faut choisir son camp. Beaucoup tombent dans le panneau. Ils ont tout faux. Car choisit-on entre la peste et le choléra ? Arabes et Juifs sont des Sémites, qui se disputent un héritage commun. Qu’ils règlent donc entre eux leurs querelles de famille. Nous n’avons pas à être les idiots utiles ni des uns ni des autres.

Pour le commander cliquez ici

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mardi, 30 avril 2024

Macron agite les passions tristes des Français

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Incapable d’enrayer l’endettement du pays, le dérèglement climatique ou l’insécurité sociale et physique des Français, le chef de l’État en est réduit à employer le registre de la commémoration, de la repentance, et à appuyer sur les pulsions funèbres d’une société désorientée, analyse l’historien, Pierre Vermeren.  

Lire la suite ICI 

Source : Le Figaro 30/04/2024

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lundi, 29 avril 2024

Chouette, encore des logements sociaux à Pontivy !

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Source Breizh-Info cliquez ici

Dans le quartier du Vélodrome à Pontivy 57 nouveaux logements vont être construits par Morbihan Habitat. Parmi eux, 23 seront des logements sociaux et 34 seront en promotion privée. Le quartier est déjà une “cité” de barres d’immeubles de 5 étages.

Cette annonce faite au cours du conseil municipal ce lundi 15 avril devrait être une bonne nouvelle. “Enfin de nouvelles solutions de logement pour les ménages modestes” alors que la tension sur les maisons et appartements n’a jamais été aussi forte en Bretagne. On peut imaginer des jeunes bretons, des étudiants, des familles ouvrières bretonnes, des mères ou pères de famille solo s’installant dans des logements dont la qualité s’est considérablement améliorée depuis des années.

Malheureusement, quels seront les critères d’attribution de ces logements sociaux ? Certaines catégories de population seront-elles privilégiées comme c’est souvent le cas ? Depuis des décennies maintenant, nos pauvres doivent faire de la place aux pauvres des autres ! C’est ainsi que les nouvelles constructions de logements à loyers modérés inquiètent légitimement la population, que ce soit en Bretagne ou en France, car elles constituent de véritables pompes aspirantes à des publics n’ayant rien à voir avec les objectifs premiers de ces constructions : donner un toit aux Bretons et aux Français modestes.

Et, en campagne, ce type de logement à la fâcheuse habitude de donner asile à des familles dont les grandes agglomérations ne veulent plus. Pontivy va-t-elle accueillir, avec ce nouveau programme, des familles de Ménimur ou de Kercado à Vannes ou de Bois-du-Château à Lorient ?

La cité napoléonienne, connaît déjà une hausse exponentielle de la délinquance, ces nouveaux logements, attribués aux mauvaises familles, pourraient rapidement aggraver la situation.

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jeudi, 25 avril 2024

Démocratie sélective à la mairie de Paris

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Claude Lorne Le Nouveau Présent cliquez ici

Après avoir condamné l’interdiction d’un meeting propalestinien de Mélenchon à l’université de Lille, Libération va-t-il protester contre le nouveau « scandale liberticide » que constitue la dernière décision de la mairie de Paris ? Sur l’ordre d’Anne Hidalgo qui le menaçait de représailles, le publicitaire JC Decaux a dû en effet faire retirer des colonnes Morris les affiches annonçant la publication du livre Transmania (éd. Magnus).

Halte à la « transphobie »…

En effet, selon « Notre-Drame de Paris » et ses adjoints, cette enquête rigoureuse menée par deux féministes pourtant engagées, Dora Moutot et Marguerite Stern (la seconde est même une ex-FEMEN), démontre les ravages en tous domaines de l’idéologie transgenre. « Le mot femme disparaît, et le vocabulaire scientifique et médical avec, déplorent-elles ainsi. Dans un livret médical, l’hôpital NHS de Brighton (Sussex, Royaume-Uni), somme les sage-femmes de préférer les termes “lait humain, “lait des seins/du torse, ou “lait provenant du parent allaitant au lieu de ”lait maternel” ». Toujours dans le même livret, on demande au personnel de parler de « trou du devant » ou d’« ouverture génitale » pour désigner le vagin… Dans un rapport datant du 20 mai 2022, le ministère de la Santé canadien évoque la santé des “personnes menstruées. Et la France n’est pas épargnée. Dans son lexique trans, le Planning familial désigne le sexe comme un “construit social basé sur des observations moyennes des différences biologiques entre les genres. […] Sur son site internet, le département Psychiatrie et neurosciences du GHU de Paris nous parle du sexe ”assigné à la naissance. Dans un document relatif aux parcours de transition des personnes transgenres publié le 7 septembre 2022, la Haute Autorité de santé (HAS) nous parle également de sexe “assigné»

Plus graves encore, soulignent les deux auteurs, la pression éhontée exercée sur les parents et les médecins pour faire pratiquer, malgré les mises en garde de nombre de pédopsychiatres et d’éducateurs, une « transition de genre » hormonale et chirurgicale sur les enfants et adolescents se sentant mal dans leur peau, pas forcément d’ailleurs en raison du « sexe assigné », et l’inscription dès 2010 par Roselyne Bachelot, sous le règne de Sarkozy donc, de cette transition sur la liste des ALD » – affections de longue durée totalement prises en charge par la Sécurité sociale ».

Autant de constatations de simple bon sens, qui ont mis en furie la cage aux folles parisienne, vouant aux gémonies ce « livre transphobe propageant un discours de haine » — cf. Emmanuel Grégoire, premier adjoint d’Anne Hidalgo, qui estimait qu’un tel ouvrage n’avait pas « sa place dans l’espace public ».

… Mais bienvenue à la révolution

Espace sur lequel, en revanche, de nombreuses réjouissances sont prévues à partir du 25 avril pour le 50e anniversaire de la révolution portugaise dite des Œillets, en particulier sur le parvis de l’Hôtel-de-Ville, dans le Grand Hall de la Maison des Sciences de l’Homme, ainsi qu’au Théâtre (subventionné) de la Ville, ainsi que Mme le maire l’a annoncé avec fierté. Sous l’influence d’Alvaro Cunhal, leader du PCP clandestin, successivement réfugié à Prague, à Moscou et à Paris, cette révolution d’inspiration militaro-communiste n’avait-elle pas « mis fin à 48 ans de dictature et d’empire colonial, tout en déclenchant une vague démocratique en Europe et dans le monde », comme s’en émerveille le bulletin municipal ? En oubliant qu’à peine indépendantes, les colonies libérées (Angola, Mozambique, Guinée Bissau ou Guinée équatoriale) sombrèrent dans une dictature bien pire que celle de l’Estado novo de Salazar, le népotisme et un chaos de luttes ethniques qui perdurent.

Comme on voit, Anne Hidalgo a une conception très personnelle de l’espace public.

Transmania, Dora Moutot et Marguerite Stern, Magnus éditions, 21,00 € cliquez ici

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Un grand entretien avec Filip Dewinter sur Breizh-Info

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Source cliquez ici

Propos recueillis par Lionel Baland

Filip Dewinter est premier vice-président du Parlement flamand de Belgique et la figure de proue du parti nationaliste flamand Vlaams Belang. Il est également conseiller municipal à Anvers (Antwerpen). Lionel Baland l’a rencontré et interrogé pour Breizh-info lors du congrès des nationaux-conservateurs Natcon 2 à Bruxelles.

Breizh-info : Pourquoi êtes-vous venu ici à la réunion des nationaux-conservateurs ?

Filip Dewinter : Je pense qu’il est important que les nationaux-conservateurs, mais aussi les tenants d’autres tendances, puissent se rencontrer et échanger des idées. L’important est de trouver un consensus sur celles-ci, ainsi que sur les stratégies, à la veille des élections européennes et que ces forces identitaires, conservatrices, nationalistes et autres soient unies au sein du Parlement européen, ce qui n’est pas, en ce moment, le cas. En effet, différents groupes existent et j’espère que toutes ces forces pourront être ensemble et que nous pourrons devenir les deuxièmes, voire, peut-être, les premiers, au sein de cette assemblée. Des réunions comme celle d’aujourd’hui sont donc importantes, car elles accueillent des personnes issues de différents pays, mais surtout de diverses tendances politiques. Des Européens, mais aussi des Américains et d’autres, peuvent trouver un moyen de s’entendre et, pour cela, il faut se parler, échanger des idées, se rencontrer. Nous le faisons ici.

Lors des élections du 9 juin 2024, pour les parlements flamand, belge et européen, sur quelle liste serez-vous présent ?

Je resterai au Parlement flamand, qui est pour notre parti nationaliste flamand, le Vlaams Belang, le seul légitime. J’en suis actuellement le premier vice-président et j’espère, si le scrutin confirme les scores qui nous sont attribués au sein des sondages d’opinion qui nous donnent premiers en Flandre, être, peut-être, candidat à la présidence du Parlement flamand.

Cette fois, vous ne serez pas tête de liste, mais dernier ?

Oui, je suis dernier sur la liste. Je suis un ancien de notre mouvement et cela veut dire que je n’ai plus l’ambition d’en être le président ou la figure de proue, mais seulement de le soutenir avec la popularité dont je dispose encore. Cependant, je serai tête de liste lors des élections communales [municipales] à Anvers en octobre.

Que se passera-t-il si les deux partis nationalistes flamands Vlaams Belang et N-VA disposent ensemble, à l’issue du scrutin, d’une majorité ?

Alors, il faudra briser le cordon sanitaire [qui frappe le Vlaams Belang].

Contrairement à ce qui est prétendu, je n’ai pas l’impression que nous sommes dans une démocratie. Et pas seulement dans le cadre de ce que nous vivons aujourd’hui. Deux salles prévues consécutivement afin d’accueillir l’événement ont été dans l’impossibilité de le faire suite à des pressions politiques et ce jour encore le bourgmestre (maire) de Saint-Josse-ten-Noode Emir Kir, qui est d’origine turque et qui est dirigé par l’AKP, le parti du président turc Recep Tayyip Erdoğan, a annoncé, dans des médias belges, qu’il va tenter de tout faire pour interdire ce rassemblement, aujourd’hui, et encore plus demain, alors que la présence du Premier ministre hongrois Viktor Orbán, du ministre israélien Amichai Chikli et de l’ancien Premier ministre conservateur polonais Mateusz Morawiecki est annoncée.

Mais le fait que ce rassemblement se tienne dans une des communes de la région bruxelloise constitue une victoire pour la démocratie car je tiens à rappeler que, un an auparavant, j’ai tenté deux fois de faire un petit tour dans des communes de la région bruxelloise comme Saint-Josse-ten-Noode et Schaerbeek avec mon grand ami [le président du parti patriotique anti-islamisation néerlandais PVV] Geert Wilders. Nous étions dans l’impossibilité de le réaliser à cause de bourgmestres comme Monsieur Kir et d’autres. Le fait que cette conférence se déroule à Saint-Josse-ten-Noode est symbolique.

L’autre élément anti-démocratique est le cordon sanitaire qui frappe le Vlaams Belang et qui rend les élections inutiles, car les électeurs savent que, même si ce parti arrive premier et obtient un très haut score, il sera exclu du pouvoir à cause des partis anti-démocratiques qui vont perdre les élections, mais seront au pouvoir après celles-ci. C’est la folie totale ! C’est une démocratie bidon installée pour faire plaisir à la population, pour lui faire croire qu’elle a quelque chose à dire, mais, en fait, avec le cordon sanitaire, les élections sont inutiles.

Le côté positif de ces élections est qu’elles permettent de s’exprimer, mais tout le monde sait d’avance que si le Vlaams Belang l’emporte électoralement, il ne sera pas au pouvoir.

Nous avons en Belgique un Premier ministre, Alexander De Croo, dont le parti libéral représente, dans les sondages, 7 % des électeurs en Flandre. Le parti donné comme étant le plus petit dans les enquêtes d’opinion a la possibilité de disposer du poste de Premier ministre. C’est la démocratie « à la Belge » !

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Les Anglais ont enfin voté l’expulsion des clandestins vers le Rwanda

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Jacques Guillemain Riposte laïque cliquez ici

Heureux Anglais qui peuvent dorénavant expulser leurs clandestins vers le Rwanda.

Tandis que Macron reste les bras ballants face à l’immigration clandestine, prétendant que la submersion que connaît l’Europe est une fatalité qu’il faut accepter, vu la démographie galopante de l’Afrique, le Parlement  britannique a adopté la loi “Rwanda”, après bien des péripéties.

Deux ans de guérilla politico-judiciaire, opposant la Chambre haute et celle des communes. Sans parler du différend entre la CEDH et la Haute Cour de Londres, en total désaccord sur la légalité du projet.

Il faut dire que les traversées de la Manche en pleine expansion, avec les drames qui les accompagnent, ont fini par avoir raison des demi-mesures franco-britanniques, totalement inefficaces.

75 000 traversées en deux ans et une augmentation de 25% depuis le début de l’année 2024 par rapport à l’an dernier, ont montré l’urgence d’adopter une législation radicale, de type australien : “Stop the boats”. Londres et Canberra, même combat !

Rishi Sunak peut pavoiser :

“L’adoption de cette loi historique n’est pas seulement un pas en avant mais un changement fondamental dans l’équation mondiale de la migration. Ce plan doit dissuader les migrants vulnérables d’entreprendre des traversées périlleuses et briser le modèle commercial des bandes criminelles qui les exploitent.”

Les charters commerciaux sont prévus et un terrain d’aviation au Rwanda est réservé à cet effet.

On est loin de l’inaction criminelle d’un Macron qui se révèle incapable d’expulser nos 4 500 fichés S étrangers, qui sont pourtant des dangers majeurs pour le pays.

Le texte de la loi prévoit de passer outre les injonctions de la CEDH, avec possibilité de quitter cette institution si besoin.  Sunak a été très clair :

“Aucune cour étrangère ne nous empêchera de faire décoller les avions.”

Et d’ajouter pour être très clair :

“S’il faut choisir entre la sécurité de nos frontières et l’appartenance à une juridiction étrangère, je donnerai bien sûr la priorité à notre sécurité nationale.”

Tout le contraire d’un Macron, qui a bradé la totalité de notre souveraineté nationale à Bruxelles et qui se dit patriote européen avant d’être français.

Le peuple français a vraiment réélu un président nuisible, qui veut sa perte.

La porte britannique s’étant refermée, tous les candidats à la traversée resteront en France. Après l’immigration francophone, c’est toute l’immigration anglophone qui va venir solliciter notre généreux guichet social.

Si le peuple britannique ne veut pas disparaître, le peuple gaulois, quant à lui, continue de tisser la corde qui le pendra, en votant depuis 40 ans pour les immigrationnistes de gauche comme de droite. Nul ne peut empêcher un peuple de se suicider.

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dimanche, 21 avril 2024

Aux racines de la violence juvénile

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C’est peu dire que la violence est désormais le pain quotidien des Français. Et l’on découvre que cette violence se manifeste de plus en plus chez les jeunes à l’école, dans la rue, partout de la ville à la campagne. On s’effraie de voir des gamins de 13 ans 14 ans en tuer d’autres du même âge. Dans la longue litanie des faits divers, on notera cependant que cette violence s’exerce en grande partie au sein même des communautés immigrées où la drogue fournit souvent le motif. Certes les Gaulois en font aussi les frais quand un Maghrébin décapite un prêtre ou surine des passants. Les exemples sont trop nombreux. Pudiques, les journaux se gardent bien d’énoncer la nationalité du délinquant ! Qui est dupe ? Nos politiques n’apportent d’autres solutions que technique qui ne touchent en rien aux racines du mal. Car le problème est d’abord et essentiellement culturel. Ce que nous cessons de répéter. La psychologue clinicienne Marie-Estelle Dupont nous livre ici une réflexion pleine de bon sens et qui va dans le nôtre.

Lire la suite ICI

Source : Journal du dimanche 21/04/2024

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mardi, 16 avril 2024

Livre noir : infiltrée au coeur de l'extrême gauche

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lundi, 15 avril 2024

Le nouveau numéro du magazine breton "War Raok !" est sorti

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Site de la revue cliquez là

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Notre-Dame, tout n'est pas rose

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Pour Didier Rykner, directeur de la rédaction de La Tribune de l'Art, tout n'est pas rose dans la réfection de Notre-Dame. Il s'en explique ici dans le Journal du dimanche.

Lire la suite ICI

Source : Journal du dimanche 14/04/2024

 

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jeudi, 11 avril 2024

Une facétie de Patrick Besson

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N’y a pas que le désert médical. Il y a aussi le désert littéraire. Nos grands et chers aînés sont malheureusement tous morts (Blondin, Laurent, Aymé, Morand, etc.) et parmi les survivants - outre Sylvain Tesson -, on compte, à nos yeux, Patrick Besson, 67 ans, dont le parcours est pour le moins singulier et que résume ce lecteur de l’Humanité qui fait des piges – entre autres – au Figaro Magazine. Il a un œil à l’Ouest comme à l’Est, du côté de la Serbie et de Moscou, plus Poutine que Brejnev ! Son œuvre, à nos yeux, est inégale non dans son talent narratif qui domine largement que dans le choix de ses sujets. Chroniqueur au Point depuis de nombreuses années, il y trimbale ses humeurs vagabondes. Sa dernière facétie nous a fait sourire, il imagine vivre dans une France occupée par les Russes. Est-ce que ce ne serait pas mieux, tout compte fait, qu’une France métissée, islamisée, sans âme et sans avenir ?

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Source : Le Point 11/4/2024

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Le nouveau numéro du magazine québécois "Le Harfang" est sorti

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Le Harfang est dirigé par

notre Ami Rémi Tremblay cliquez là

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mercredi, 10 avril 2024

Le coût de l’immigration

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C’est le sujet par excellence que nos politiques ne veulent pas aborder. A l’heure où le sieur Bruno Le Maire – et nous avec, cela va sans dire – se retrouve avec une dette colossale à combler, s’intéresser à la masse d’argent consacrée aux immigrés – dont l’évaluation n’est pas mince à 45 Mds€ - permettrait de faire quelques économies sans tomber pour autant sous la coupe d’un pseudo racisme exacerbé. A ce sujet, revenir sur nombre d’aides rendraient plus frileux les candidats à l’immigration. La revue Causeur a le courage de dresser un bilan sur le sujet qui ne manque pas de sel.

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Source : Causeur, avril 2024

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lundi, 08 avril 2024

Le nouveau numéro (n°45) de la revue Livr'arbitres, consacré à Gabriele d'Annunzio, est sorti

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samedi, 06 avril 2024

La France harcelée

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Vincent Trémolet de Villers

C’est la même société qui vote des lois sur la discrimination capillaire dans l’entreprise et laisse une jeune fille se faire battre à mort devant son école. Le même microcosme qui surveille, collecte, signale les « violences symboliques », tandis qu’explose sur le trottoir une sauvagerie de temps barbares. Le même pouvoir qui promeut les cours d’empathie et assiste désemparé au départ d’un proviseur menacé de mort parce qu’il a dit à une lycéenne de retirer son voile, au lynchage d’un jeune élève. Samara, nouvelle victime d’une litanie insoutenable de crimes où s’étreignent l’inhumanité et l’impunité, nouveau drame d’un grand renversement qui donne la primauté à la force sur le droit, à la cruauté sur la civilité, à la meute sur l’autorité. Si l’on en croit sa mère, l’islamisme, dans cette histoire, mêle son poison au ricanement, au harcèlement, aux pulsions noires de l’adolescence. L’enquête nous dira ce qu’il en est, mais il n’est malheureusement pas besoin d’attendre pour faire clignoter tous les signaux d’alarme. C’est la France entière qui se sent harcelée par la violence ordinaire. L’école, qui devrait être le sanctuaire de la transmission, le temple de l’instruction, le refuge de l’émancipation, est frappée en plein cœur par une entreprise de décivilisation ivre de son pouvoir.

Entendons-nous : en chaque homme, « ce nœud complexe d’appétits violents » (Saint-Exupéry), existe une part de férocité irréductible, mais le génie d’une société est de surmonter cette sauvagerie par le savant mélange de l’autorité intangible, de la maîtrise des pulsions et de l’élévation des sentiments. En déifiant l’individu, nous avons atomisé les piliers de l’autorité (ni maître ni père) ; en nous acharnant contre notre passé, nous avons méthodiquement déconstruit les murs porteurs d’une société (frontières, famille, culture, coutumes). Reste le chaos, tempéré par une élite de professeurs, de policiers, d’infirmières, de parents qui, dans la tempête, tiennent ce qu’ils peuvent.

Le pouvoir, lui, commente et se noie dans un océan de mots, quand tout le pays attend une discipline démocratique capable, sans trembler, de protéger nos libertés élémentaires et la vie de nos enfants.

Source : Le Figaro 05/04/2024

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