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jeudi, 20 juin 2024

L’heure doit être à l’apaisement !

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Roland Hélie,

directeur de Synthèse nationale

Les élections législatives anticipées se dérouleront donc les 30 juin et 7 juillet prochains. Leur annonce a entraîné un certain nombre de crises internes au sein des différentes familles politiques. La nôtre, la droite de conviction, n’échappe pas à la règle, comme vous pouvez malheureusement le constater… Ambitions, frustrations, rivalités, mésententes se révèlent au grand jour et les affrontements vont bon train !

L’heure est grave. Le pouvoir est aux abois et la possibilité de l’accession à Matignon du Nouveau Front populaire n’est pas à exclure. Face à ce danger et à l’état actuel de notre pays, nous souhaitions, naïvement peut-être, qu’une union de toutes les forces militantes nationales, nationalistes, souverainistes, conservatrices et identitaires, se fasse autour d’une plate-forme commune d’union nationale. Une occasion historique s’offrait à nous de mettre entre parenthèses les egos, les rivalités, d’enterrer les divisions et d’affirmer haut et fort notre volonté de sauver la France du mondialisme, de la préserver du wokisme et de l’islamo-gauchisme. Hélas, ça n’a pas été possible. Dont acte…

Cette situation nous désole au plus haut point, mais elle est la réalité présente avec laquelle nous devons composer. Par conséquent, dans un souci d’apaisement, nous avons décidé de ne pas relayer les communiqués des différentes composantes qui s’affrontent actuellement au sein de l’opposition nationale.

Durant les vingt jours qui viennent, nous nous en tiendrons uniquement au factuel, même si certaines prises de position (comme celles concernant la dissolution programmée du GUD) nous révoltent.

Bien hardi qui peut dire ce qu’il va se passer dans les prochaines semaines. Mais, quelle que soit la fin de cette séquence, pour notre part, nous continuerons à agir, parler et écrire pour qu’un jour se réalise enfin une véritable et salvatrice synthèse nationale.

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mardi, 11 juin 2024

Face au Front populaire en gestation, il faut imposer le Bloc national

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Roland Hélie

directeur de Synthèse nationale

Quoi que l'on pense de la dissolution de l'Assemblée, les faits sont là, dans trois semaines la France se retrouve à l'heure du choix... Pour la droite de conviction dans son ensemble, l'opportunité de jouer un rôle historique se présente enfin. 

La France est au bord du gouffre, que ce soit sur le plan économique ou sur le plan démographique. L'anéantissement de notre puissance industrielle au profit de la mondialisation sans limite ; l'immigration incontrôlée qui, petit à petit, se transforme en "grand remplacement", sans parler des problèmes de sécurité qui en découle ; l'alignement sans réserve sur la politique étrangère et belliciste de l'OTAN et des États-Unis ; le sacrifice de notre indépendance énergétique... voilà le bilan de décennies de gestion des différents pouvoirs qui se sont succédé.

Les Français sont de plus en plus nombreux à se rendre compte que cette situation ne peut plus durer. Ils l'ont exprimé dimanche dernier en votant pour les forces nationales (RN et Reconquête !) et aussi, dans une certaine mesure, pour la liste de François-Xavier Bellamy (avec toutes les réserves que nous avons maintes fois exprimées au sujet des LR). 

À peine les résultats annoncés, le désordre et la violence s'installent dans les rues. Comme en 2002 après l'accession de Jean-Marie Le Pen au second tour de la présidentielle, la gauche et l'extrême gauche, en bons petits serviteurs du pouvoir, multiplient les appels à manifester contre l'"extrême droite" cherchant ainsi à imposer un climat de peur bénéfique à la Macronie. Ils savent que, pour la première fois, l'éventualité de l'arrivée au pouvoir des nationaux n'est plus seulement un fantasme de journalistes en mal de sensations...

Mais pour arriver aux affaires, encore faut-il que la droite nationale mette toutes les chances de son côté. Chacun doit y mettre du sien. Nous ne pouvons donc que saluer l'initiative de Marion Maréchal de proposer, comme l'a toujours préconiser Eric Zemmour, l'émergence d'une véritable "union des droites". 

Union ne veut pas dire fusion. Les différences entre le RN, Reconquête, les LR éclairés, Debout la France de Nicolas Dupont Aignan, les Patriotes de Florian Philippot sont nombreuses, mais tous sont attachés à la survie de la France. Cette union, compte tenu des circonstances, est donc possible. Il en va de l'avenir non seulement de notre nation, mais aussi de notre civilisation.

Espérons donc que, très vite, l'ensemble des formations se retrouve derrière une plate-forme commune capable de rassembler le plus grand nombre de nos compatriotes. Seul ce "Bloc national" pourra battre le "Front populaire", sorte de NUPES ripolinée, et le parti macroniste.

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lundi, 10 juin 2024

Il est temps que s’impose à droite une véritable « synthèse nationale »

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Roland Hélie

directeur de Synthèse nationale

Dimanche, la France s’est exprimée. Elle a clairement manifesté sa volonté de rupture avec la politique européiste et mondialiste imposée depuis des décennies par les partis du Système : nous ne pouvons que nous en féliciter.

En mettant les forces nationales, souverainistes et identitaires en tête avec près de 40% des voix (RN + Reconquête + les autres « petites » listes), elle a enfoncé le clou un peu plus encore : là, nous nous réjouissons.

Le RN de Jordan Bardella réussit une belle performance et Reconquête !, en franchissant la barre fatidique des 5%, réussit son pari audacieux de devenir une force politique conséquente. Félicitons Marion Maréchal pour la campagne remarquable qu’elle a menée ces derniers mois. En faisant élire cinq de ses colistiers, elle permet au camp national de peser davantage encore face à la tyrannie bruxelloise.

Si les forces nationales pouvaient fêter hier soir leurs victoires respectives dans le calme et la bonne humeur, il n’en était pas de même dans le camp mondialiste. Il faut se méfier des bêtes blessées. Macron nous en a fait la pathétique démonstration en annonçant la dissolution de l’Assemblée nationale. Il y était déjà presque minoritaire ; il risque fort de s’y retrouver atomisé.

Curieuse et hasardeuse décision… Macron n’est pas De Gaulle, ni Mitterrand.

Quand le général, en 1968, dissout, après les émeutes de mai, l’Assemblée, il sait qu’il incarne, après un mois de « chienlit », le « parti de l’ordre ». Et ce sera un raz de marée gaulliste en juin. Mitterrand, en 1981 puis en 1988, fort de ses victoires présidentielles, peut se permettre d’en faire autant pour obtenir une majorité stable au Palais Bourbon. Chirac, en 1997, tente sa chance mais cela ne lui porte pas bonheur… Macron devrait méditer sur ce dernier cas.

Quoi qu’il en soit, les élections législatives prochaines (30 juin et 7 juillet) ne pourront être gagnées par les forces patriotiques que si celles-ci adoptent une stratégie unitaire. Aujourd’hui, la droite nationale est « plurielle », il faut en tenir compte.

Déjà, dans le camp mondialiste, les appels à un « front commun antifasciste » se multiplient. Une fois de plus, la macronie, la gauche et l’extrême gauche sont sur la même fréquence. Elles agitent l’épouvantail désuet de la « résurgence du mal absolu ». Elles comptent s’en sortir en imposant la peur, mais la ficelle est désormais un peu trop grosse, l’entourloupe marche de moins en moins...

Oui, il est temps que s’impose à droite une véritable « synthèse nationale » pour sauver la France face aux fléaux auxquels elle se trouve confrontée, qu’il s’agisse de la mondialisation ou de l’islamisation. Espérons que la raison l’emportera et que chacun saura, dans l’intérêt de notre nation et de notre civilisation, mettre de côté les prétentions et les dissensions…

Réponse très rapidement.

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samedi, 08 juin 2024

Le 9 juin, le vote "utile", c’est le vote pour la liste de Marion Maréchal…

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Roland Hélie

directeur de Synthèse nationale

Nous l’avons dit et redit, nous l’avons écrit : nous ne nous faisons plus aucune illusion sur l’avenir, ni même sur la raison d’être, de l’Union européenne. L’UE, telle qu’elle est aujourd’hui, n’est plus réformable. Elle est devenue une structure technocratique et supranationale, un véritable marchepied vers la gouvernance mondiale… Pour sauver la France, il faut donc en sortir et, autant que faire se peut, au plus vite.

Cela étant dit, cette nécessité ne se réalisera pas avant le 9 juin, date du prochain scrutin européen.  Alors, que faire ?

Lorsque nous sommes confrontés à un problème, le seul choix qui doit s’imposer, c’est celui qui sert l’intérêt national.

Certains, par pureté idéologique ou par refus des carcans bruxellois, pensent qu’il faut snober cette échéance en se réfugiant dans l’abstention ou le vote nul. C’est oublier la maxime « qui ne dit mot, consent ». Qu’on le veuille ou non, s’abstenir dans le système démocratique, c’est servir les intérêts de nos adversaires. C’est-à-dire ceux des partis de l’anti-France qui vont de l’extrême gauche islamo-wokiste aux résidus de la pseudo droite, dite "républicaine", d’antan.

Le choix ne peut se faire qu’entre les différentes listes se réclamant du courant national. Et, à ce jour, elles sont pléthore…

Il y a bien sûr les listes de souverainistes, comme celle des Patriotes de Florian Philippot, celles de nationalistes, telle la liste  du courageux avocat toulousain Maître Pierre-Marie Bonneau, auxquelles il faut en ajouter quelques autres, comme celles de l’UPR de François Asselineau ou de l’Alliance rurale (Nicolas Dupont-Aignan s’étant, pour sa part, retiré récemment de la compétition). Mais aucune d’entre elles, aussi sympathiques soient-elles, ne peut espérer passer la fameuse barre des 5% lui permettant d’avoir des élus. Par conséquent, les deux seules listes qui peuvent jouer un rôle sont celles du Rassemblement national, menée par Jordan Bardella, et celle de Reconquête, conduite par Marion Maréchal. Rappelons que pour la France, il y a 81 sièges à pourvoir et que leur répartition se fait en fonction des résultats des différentes listes qui passent la barre fatidique.

L’intérêt national, c’est qu’il y ait un maximum d’élus nationaux le 7 juin.

À quelques semaines du scrutin, si l’on s’en tient aux sondages, la liste du RN arrive largement en tête, avec près de 30% des intentions de vote, et celle de Reconquête oscille entre 5 et 7%. Le total des deux listes tourne autour de 40%, ce qui équivaut, à peu près, au score de Marine Le Pen au second tour de la dernière présidentielle (2022). Tenons-nous en à cette hypothèse…

Avec 30% des suffrages exprimés, la liste RN peut espérer avoir une trentaine d’élus. Si la liste de Marion Maréchal fait plus que 5%, elle en aura quatre ou cinq (en dessous, elle n’en aura aucun).

J’entends parfois, ici et là, des amis qui ont soutenu Éric Zemmour lors de la présidentielle, éblouis peut-être par les sondages actuels, me faire part de leur intention de voter "utile" aux européennes en donnant leur voix à la liste RN. Font-ils le choix de l’efficacité ? Si la finalité est d’avoir un maximum d’élus nationaux au Parlement européen, permettez-moi d’en douter…

Je ne remets pas en cause leur sincérité mais, par manque d’information, ils ne connaissent pas tous les rouages de ce type de scrutin. Je les invite donc à réfléchir sur les cas de figure suivants :

• Dans la perspective la plus vraisemblable évoquée ci-dessus, si 1% des électeurs potentiels de Marion se reporte sur la liste RN, plaçant ainsi Reconquête en-dessous des cinq points, cela fera peut-être un élu en plus pour le RN mais cela fera surtout aucun élu pour Reconquête et donc, à l’arrivée, au mieux trente-et-un élus nationaux au lieu de trente-quatre ou trente-cinq… Est-ce un bon calcul ?

• Second cas de figure : la liste de Marion Maréchal dépasse les 5%. Cela ne fera pas un élu en moins pour le RN, mais cela fera quatre ou cinq élus de plus pour le courant national. Ce qui, bien sûr, ne peut être que bénéfique pour la France !

Le parti Reconquête sera-t-il l’instrument permettant au RN et à la droite nationale dans son ensemble de sortir de son isolement ?

Vous le savez, à Synthèse nationale, notre préférence va plutôt à la liste conduite par Marion Maréchal. Il en a été de même, il y a deux ans, lors de la présidentielle, avec Éric Zemmour. Nous avons à maintes reprises exposés nos critiques à l’encontre de ce qu’est devenu le Rassemblement national ces dernières années. Néanmoins, nous considérons que ce parti, malgré ses dérives "dédiabolisatrices", sa quête de "respectabilité" et ses votes douteux à l’Assemblée nationale, fait partie de notre courant de pensée. Nous n’allons donc pas nous plaindre de le voir progresser comme c’est le cas actuellement.

En revanche, le problème qui a toujours été celui, d’abord du Front national, puis du RN, c’est l’impossibilité, faute de partenaire(s) conséquent(s), de pouvoir contracter des alliances. Or, en France, c’est un fait, il est impossible d’arriver seul au pouvoir (le PS s’est allié avec le PC, le RPR avec l’UDF, Macron avec le Modem...). Bref, jusqu’à aujourd’hui, en dehors de quelques alliances ponctuelles avec des groupuscules éphémères, le FN/RN est demeuré cloîtré dans une solitude certaine. L’émergence de Reconquête, qui clame sa volonté de voir se réaliser l’union des droites, est peut-être la chance historique de notre famille politique. Mais encore faut-il que cette émergence se confirme et se consolide… Espérons aussi que, d'un côté comme de l'autre, au cours de cette campagne, on mette de côté les rancunes et les invectives inutiles...

Les prochaines élections européennes sont donc cruciales pour l’avenir de la droite nationale et, plus encore, pour l’avenir de la France. Voilà pourquoi, le 9 juin, nous vous invitons à voter pour la liste Reconquête conduite par Marion Maréchal !

Editorial publié le 11 avril dernier.

Publié aussi dans la revue Synthèse nationale cliquez ici

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jeudi, 16 mai 2024

IMMIGRATION & INSÉCURITÉ ET SYNTHÈSE NATIONALE VA AVOIR 18 ANS !

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Roland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

Éditorial du n°66 (printemps 2024) de la revue Synthèse nationale

Il faut être buté comme un électeur de LFI, naïf comme un Vert ou benêt comme un Macroniste pour ne pas faire le rapprochement entre immigration et insécurité. Cependant, afin d’éviter toute interprétation abusive de la part de nos "amis les bien-pensants", je précise d’emblée que lorsque je parle ici d’"immigration", je fais la part entre ceux qui souhaitent véritablement s’assimiler, il y en a, et ceux qui, hélas en trop grand nombre, viennent chez nous, au mieux pour profiter des avantages sociaux que notre système leur offre, au pire pour subvertir, physiquement et mentalement, notre nation et, de fait, détruire notre civilisation au profit de la leur.

Le simple fait d’exposer de manière aussi factuelle cette réalité était, il n’y a pas si longtemps, quelque chose d’impensable. Il fallait être téméraires (et clairvoyants), comme un Jean-Marie Le Pen ou un militant nationaliste, pour annoncer que l’importation massive, sur notre continent, de populations venues de loin allait, à terme, créer des problèmes incommensurables. Seulement, voilà : les cris d’alarme des patriotes n’ont pas été entendus et aujourd’hui, nous payons très cher l’incurie des dirigeants écervelés qui se sont succédé, qu’ils soient socialistes ou libéraux.

En janvier 2015, avec le massacre de la rédaction de Charlie hebdo et la prise d’otages dans un supermarché parisien, les Français découvraient avec stupeur la présence parmi eux de gens qu’ils avaient accueillis mais qui les détestaient… Incroyable (pour le bobo de base) mais véridique ! Puis survinrent les attentats du Bataclan, du Stade de France, de Nice, les assassinats du Père Hamel, près de Rouen, de Samuel Paty dans les Yvelines, de policiers, d’enseignants, de chefs d’entreprises, de jeunes qui voulaient simplement vivre leur vie, de Français comme les autres… Nous n’allons pas dresser ici la liste - qui ne cesse de s’allonger - des crimes, en France de l’islamisme ou des voyous issus de l’immigration sauvage. Elle croît semaine après semaine et désormais, aucun village de France n’est vraiment à l’abri. Ce qui, pour autant, n’empêche pas certains imbéciles, enfermés dans leur tour d’ivoire, prisonniers de leurs certitudes idéologiques, de continuer à nier cette réalité, sur les plateaux de télévisions, dans la presse ou au sein de la classe politique…

Les Français en ont assez !

Dieu merci, les Français (ceux qui voient vraiment ce qu’il se passe autour d’eux) sont de plus en plus nombreux à prendre conscience de la situation. Pourtant, pendant des décennies, on les a intoxiqués avec l’idée que l’immigration serait une chance pour la France. On leur a répété que ceux qui s’y opposaient étaient forcément des nostalgiques de Vichy ou des admirateurs du IIIe Reich. On leur a fait peur de manière à ce qu’ils restent dans les clous et continuent à voter sagement pour les partis du Système. Ce qu’on voulait leur dissimuler, c’est que l’immigration faisait surtout l’affaire de l’hyperclasse. Qu’elle servait à la fois les intérêts du grand patronat (qui y trouvait une main d’œuvre facile à exploiter permettant de faire pression à la baisse sur les salaires) et ceux des syndicats et partis marxistes (à la recherche d’un prolétariat de substitution, les ouvriers "de souche" s’étant rallié au Front national dans les années 1980-1990). Évidemment, à l’arrivée, les seuls perdants dans cette affaire, c’étaient eux, c’était notre pays… 

Mais les faits sont têtus et la vérité finit toujours par l’emporter. Nos compatriotes se réveillent et, petit à petit, l’idée d’une reprise en main de leur destin fait son chemin. L’immigration qui engendre chômage, insécurité, perte des repères et des valeurs traditionnelles, pauvreté et menaces pour notre identité, est désormais largement rejetée. Les bobards colportés par les tenants du Système ne marchent plus. Et, au-delà de l’immigration, c’est l’asservissement aux diktats de l’Union européenne qui est également remis en cause. L’heure approche où la France peut redevenir elle-même. Cela fait 18 ans que Synthèse nationale se bat pour cela, et si les choses vont dans le bon sens, c’est aussi parce que nous y avons contribué à notre (modeste) niveau.…

Avoir 18 ans…

En effet, lorsqu’au printemps 2006 nous avons décidé de créer, d’abord le site quotidien d’information Synthèse nationale, puis la revue éponyme, nous voulions doter la Droite nationale et identitaire "non reniée" d’un espace de rencontre et de réflexion ouvert à toutes ses différentes sensibilités. Loin de nous l’idée de faire de Synthèse nationale un nouveau mouvement unitaire. Il s’agissait juste d’introduire au sein de notre famille d’idées un nouvel état d’esprit. Faire en sorte que plus personne ne se regarde en chiens de faïence et que tous se battent, côte à côte, avec leur originalité propre, pour sauver le plus petit dénominateur commun qui nous anime, à savoir l’amour immense de notre patrie, la France.

C’est ce que nous avons fait, à travers notre revue, notre maison d’éditions, nos multiples campagnes de sensibilisation sur divers sujets, nos "Journées Bleu-Blanc-Rouge" annuelles…, tout au long de ces 18 années de Synthèse nationale. Et nous nous félicitons de constater que, depuis 2006, malgré quelques anicroches, les choses ont plutôt évolué dans le bon sens. Tout cela a aussi été possible grâce à la fidélité et au soutien de nos lecteurs que nous ne remercierons jamais assez.  Nous le savons, il reste beaucoup à faire. Aussi n’entendons-nous pas nous arrêter en si bon chemin.

Au-delà des péripéties électorales du mois de juin prochain qui peuvent entraîner une véritable redistribution des cartes (cf. l’article suivant cliquez là), nous continuerons avec enthousiasme notre combat !

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lundi, 06 mai 2024

J'ai regardé le face-à-face sur CNews avec Sarah Knafo, elle a été remarquable...

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Les lecteurs de Synthèse nationale le savent, si nous soutenons avec entrain la liste de Marion Maréchal cliquez ici, nous restons parfois dubitatifs sur la stratégie de la direction parisienne de Reconquête! Stratégie inspirée, dit-on, par Sarah Knafo. Ce fut le cas notamment cliquez ici suite aux mobilisations unitaires de 2022 et 2023 pour sauver Callac, Saint-Brévin ou encore, plus récemment, Dol-de-Bretagne du grand remplacement orchestré par les sbires du pouvoir macronien... La pusillanimité de certains cadres parisiens de R! avait alors eu le don de décourager, on peut le comprendre, de nombreux camarades... 

Cela dit, j'ai regardé ce matin le face-à-face sur CNews où Sonia Mabrouk recevait justement Sarah Knafo. Jusqu'à présent, je n'avais jamais eu l'occasion de voir une émission avec cette jeune femme. Je dois dire que celle-ci a été remarquable. Je craignais, compte tenu des expériences citées ci-dessus, qu'elle adopte une attitude "marinesque", cherchant le consensuel en minimisant les idées, il n'en fut rien.

Bien au contraire, la troisième de liste de Reconquête!, convaincante, a entièrement assumé les fondamentaux de la droite nationale non-reniée que son parti doit incarner aujourd'hui. Elle a, bien sûr, dénoncé avec vigueur l'agression dont a été victime cliquez là samedi Éric Zemmour à Ajaccio et la manipulation médiatique qui suivit. Elle a aussi défendu avec talent une ligne purement identitaire face à l'immigration incontrôlée. Elle a rappelé, non sans malice, qu'une élection n'est jamais gagnée trois ans avant en énumérant la liste des nombreux politiciens qui, sous la Ve République, sont tombés de haut. Elle a enfin expliqué que, pour arriver au pouvoir, la droite nationale devait se rassembler en respectant la personnalité de chacun et mettre les volontés hégémoniques de côtés. 

C'est en effet à l'édification de ce vaste rassemblement salvateur que nous devons oeuvrer aujourd'hui. Un rassemblement de toutes les sensibilités qui font la richesse de notre famille d'idée. À l'heure où notre continent subit une invasion que certains osent encore nier, nous ne pouvons donc que nous réjouir des propos tenus ce matin par Sarah Knafo. L'heure n'est plus aux tergiversations stériles, elle est à l'efficacité offensive.

Roland Hélie

 

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dimanche, 05 mai 2024

LÂCHE AGRESSION CONTRE ÉRIC ZEMMOUR À AJACCIO

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Éric Zemmour lâchement agressé dans le dos par une hystérique antifa à Ajaccio.

Alors qu'il menait campagne sur le marché de la préfecture de la Corse, accompagné par plusieurs candidats de la liste de Marion Maréchal, et qu'il recevait un accueil plus que favorable de la part de la population, le président de Reconquête ! a été lâchement agressé par une bande de nervis. Heureusement, Éric Zemmour, déjà rôdé à ce type de danger, s'est courageusement défendu et a repoussé l'hystérique qui s'était jetée sur lui par derrière. Le soir même, malgré la violence gauchiste, il a tenu un grand meeting qui a rassemblé des centaines de patriotes corses venus l'acclamé.

Notons au passage le silence assourdissant de la classe politique face à cette odieuse agression. D'habitude si prompte à l'indignation volubile lorsque l'on découvre une svastika taguée sur une boite à lettres ou tracée à la craie derrière une vespasienne, celle-ci reste bien muette aujourd'hui. Quant-aux plumitifs de la presse aux ordres, ils ont tenté, sans grand succès il faut bien le dire, de travestir le déroulement des faits en confondant sournoisement les agresseurs et l'agressé.

Ce terrible incident révèle, une fois de plus, la nécessité d'en finir avec les agissements criminels des gangs islamogauchistes. Dans un État national digne de ce nom, il faudra mettre hors la loi les groupes prétendus anti-fascistes qui manipulent les cerveaux et agressent les patriotes ; il faudra aussi en finir avec les partis, tels LFI et quelques autres, qui encouragent le terrorisme et cautionnent les agissements des milices islamistes sur notre sol.

En attendant, manifestons notre totale solidarité militante avec Éric Zemmour et espérons que, dorénavant, Darmanin, le matamore de la place Beauvau, mettra autant de zèle à veiller au bon déroulement de la campagne qu'il en met à s'acharner contre les organisations nationalistes et identitaires qui elles, soulignons-le, ne se livrent à aucune violence. On peut toujours rêver...

Roland Hélie

Sur ce sujet, lire aussi l'article de Patrick Jardin publié sur Riposte laïque cliquez ici

 

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13:18 Publié dans Editoriaux, Européennes 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 10 avril 2024

Les héroïnes de Besançon :

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Deux jeunes femmes au courage exemplaire ont participé à leur manière au carnaval de Besançon dimanche dernier. Elles ont en effet défilé en brandissant des pancartes dénonçant le développement de la criminalité liée à l'immigration incontrôlée. Ces jeunes femmes appartiennent au collectif identitaire Némésis cliquez ici qui, depuis quelques années, agit efficacement pour soutenir les femmes agressées.

Il n'en fallait pas plus pour susciter l'hystérie des valets locaux du Système qui, par l'intermédiaire du maire de la capitale franc-comtoise, une dénommée Anne Vignot (écolo immigrationniste), en appellent à la répression contre ces valeureuses résistantes. 

Pourtant, cette manifestation improvisée a eu le mérite de susciter dans la nombreuse assistance présente l'approbation ou, tout du moins, l'interrogation. Il s'agit donc d'une victoire pour nos jeunes et téméraires camarades. Cela, le maire écolo et ses sbires ne peuvent le supporter.

Viendra vite le temps où la Vignot et les autres collabos de cette ville devront, ici comme ailleurs, enfin rendre des comptes. 

S N

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Au même moment, des militantes ont déployé une banderole cliquez là en plein centre ville de Besançon.

11:59 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 03 avril 2024

Bonne nouvelle : le site de Riposte laïque, piraté la semaine dernière, fonctionne à nouveau

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Voilà l’image cauchemardesque à laquelle ont eu droit pendant tout le week-end de Pâques les dizaines de milliers de visiteurs qui ont voulu consulter Riposte Laïque pour bénéficier d’une information différente de celle de la propagande officielle.

Mais, fort heureusement, les amis de Pierre Cassen ont travaillé d'arrache-pied pour rétablir le site durant toutes les Fêtes pascales. Et, depuis ce matin, le site est à nouveau consultable, et c'est tant mieux.

En voulant faire taire ce média non-conformiste, les thuriféraires de la pensée dominante se sont attaqués à l'ensemble de l'opposition nationale et identitaire. Mauvaise pioche car ils ont sous-estimé la capacité de réaction de nos amis... Tant pis pour eux et que vive Riposte laÏque.

Synthèse nationale

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Pour consulter le site de Riposte laïque cliquez ici

01:10 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 20 mars 2024

IL FAUT SAUVER LE SOLDAT "RIPOSTE LAÏQUE" !

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Depuis près de quinze ans, Riposte laïque se bat sans relâche, avec un courage remarquable, contre l'islamisation de notre pays et pour la défense de la France française... Je dirais, un peu "comme nous".

Enfin, pas tout à fait "comme nous" car Riposte laïque à une particularité, et non la moindre, par rapport "à nous", c'est que la plupart de ses responsables vient de la gauche, voire de l'extrême gauche. Mais cela ne nous empêche pas de nous battre côte à côte aujourd'hui. Comme quoi, en politique, tout peut arriver...

En quinze ans, Riposte laïque est devenue un allié incontournable dans le combat que nous menons tous pour sauver notre patrie. Je ne compte plus les réunions, les conférences, les colloques que nous avons, Pierre Cassen son fondateur et moi, tenus ensemble. Sans oublier les campagnes, comme celle de Callac il y a quelques mois... Nous avons même édité, en juin dernier, un livre "Transgression, voyage du camp du bien... vers le camp du mal" cliquez ici dans lequel, Pierre, ainsi que notre Ami Bernard Germain, lui aussi venu de l'extrême gauche, expliquent leurs prises de conscience et leurs ralliements à la cause nationale et identitaire.

Mais, justement parce que Riposte laïque est issue de la gauche, "du camp du bien", le Système ne supporte pas cette transgression et il entend lui faire payer très cher. Cette organisation est aujourd'hui menacée dans son existence même. Une pluie de procès s'abat sur elle et ses responsables sont persécutés par les petits flics de la pensée dominante qui ne rêvent que de les réduire au silence... Cette situation est intolérable, en attaquant Riposte laïque, le pouvoir attaque toute la résistance nationale et identitaire. Il n'y a donc pas à tergiverser, nous devons tous faire bloc pour sauver Riposte laÏque...

Ce soir mes Amis, "Nous sommes tous Riposte laïque !"...

Roland Hélie

directeur de Synthèse nationale

Pour aider RL à faire face à la répression cliquez ici

Voici le message de Pierre Cassen, fondateur de RL :

Dans les jours qui viennent nous publierons un entretien exclusif avec Pierre Cassen qui nous expliquera l'évolution de la situation.

RAPPEL À NOS AMIS DE BRETAGNE :

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vendredi, 15 mars 2024

Interview d'Emmanuel Macron : une prestation pitoyable et grotesque.

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Retenez-moi ou je fais un malheur !

Synthèse nationale

Prisonnier de sa posture jusqu’au-boutiste, plus matamore que matador, un chiffon rouge dans une main, en guise de muleta, et un cure-dents dans l’autre, en lieu d’épée : Emmanuel Macron est apparu hier au soir, une fois de plus, dans sa criante, sa cruelle vérité. Celle d’un moulin à paroles creuses et à formules alambiquées qui prend ses désirs pour des réalités, brasse de l’air et, en fin de compte, ne produit que du vent.

Sa France, financièrement dans le rouge, est en quasi-faillite. Elle est l’un des États européens les plus désindustrialisés. Son taux de chômage reste à un niveau inquiétant. Son agriculture est au bord de l’asphyxie. Elle se révèle incapable de reprendre la main en matière d’immigration et sa communauté nationale se divise, se délite. Le wokisme abrutit ses universités et grandes écoles. Une partie de ses flics et de ses profs déclarent vivre désormais dans la peur. Une partie de ses maires jettent l’éponge. Ses banlieues menacent en permanence de s’enflammer au moindre prétexte tandis que des mafieux en noir y règlent leurs comptes à la kalachnikov. Son armée, dont le budget a jusqu’ici servi de variable d’ajustement, se trouve réduite à la portion congrue ; matériellement échantillonnaire,  manquant de munitions, sans véritable réserve, elle est incapable pour l’heure de faire face à une guerre de haute intensité… Et notre omniprésident, omniprésent, omniscient, omnipotent, nous parle de « fin de l’insouciance », de « guerre existentielle », de « sécurité des Français qui se joue en Ukraine ». Il nous enjoint d’être forts et de ne fixer aucune limite à notre soutien à Kiev…

Cette détermination feinte, ce virilisme de pacotille, ces coups de gueule surjoués, qui inquiètent notre population et nos alliés bien plus qu’ils ne les galvanisent, doivent bien faire rire à Moscou… Pathétique et grotesque : que dire, que retenir d’autres de ces trente-six minutes d’entretien ? Décidément, les trois années à venir vont être bien longues…

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mercredi, 21 février 2024

Pour le RN, être présent à la cérémonie pour Manouchian, est-ce une bonne idée ?

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Vouloir assister à la pathéonisation du communiste Missak Manouchian participe, finalement, à la volonté de Marine Le Pen de faire de son parti un parti comme les autres. C'est son choix, elle est logique avec elle-même. Nous ne nous étendrons donc pas là-dessus.

Néanmoins, puisque l'occasion nous en est donnée, il nous semble opportun de rappeler qu'au sein même du Front national, à l'époque où il était présidé par Jean-Marie Le Pen, ce n'étaient pas les héros de la Résistance qui manquaient. Ceux-ci, pour la plupart, n'avaient pas attendu la rupture du pacte germano-soviétique pour s'engager.

Dans le n°24 de la collection des Cahiers d'Histoire du nationalisme, consacré au cinquantième anniversaire de la création du FN, nous avions justement publié cette liste (non exhaustive).  

Nous pourrions aussi parler de la résistance monarchiste incarnée par Honoré d'Estienne d'Orves, ou par Pierre de Bénouville... et du colonel François de La Rocque, fondateur des Croix de feu, mort à son retour de captivité (après avoir été injustement traité).

Il est facile aujourd'hui pour les chiens de garde de la pensée dominante de donner, plus de 80 ans après les faits, des "brevets de bonne conduite". Mais ceux-ci doivent se mettre une fois pour toute dans leurs petites têtes que, dans ce domaine comme dans bien d'autres, la droite nationale n'a de leçons à recevoir de quiconque...

Alors, pourquoi foncer dans le panneau et s'obstiner à honorer un communiste ? D'autant, on le sait, qu'il y a beaucoup à dire sur l'attitude du PC entre 1939 et 1941 (et même après)...

S N

Voici la liste publiée dans le n°24 des Cahiers d'Histoire du nationalisme. Tous appartiennent à la longue marche du FN, liste non exhaustive : des extrémistes ?

Michel de Camaret, Compagnon de la Libération

Augustin Jordan, Compagnon de la Libération

Georges Bidault, Compagnon de la Libération, successeur de Jean Moulin et qui faillit présider le Front National en 1972

Colonel Horace Savelli, Compagnon de la Libération

Pierre Clostermann, Compagnon de la Libération, héros des combats aériens sur La Manche

Jean-Louis de Camaret, frère de Michel, Croix du Combattant Volontaire de la Résistance

Commandant Serge Grosjean, Ancien chef du Maquis de l’Oisans

Rolande Birgy, Juste parmi les Justes, inscrite au Monument Yad Vashem de Jérusalem

Armelle Bonnefond, Médaillée de la Résistance, évadée du train de la déportation

Jean Valette d’Osia, Général d’Armée – chef du Maquis haut-savoyard – Grand Croix de la Légion d’Honneur, Croix de Guerre 14-18 – Croix de Guerre 39-45 – Médaille des Evadés – Rosette de la Résistance

Raymond Merentie, Résistant de l’armée secrète bas-alpine, Croix de Guerre avec Palme, Médaille de la Résistance

Docteur Jacques Lafay, Officier de la Légion d’Honneur, Croix de Guerre, Croix du Combattant Volontaire de la Résistance

Robert Hemmerdinger, Croix de Guerre, Médaille de la Résistance, Médaille de la France Libre, Médaille des blessés

André Figueras, Croix de Guerre, Médaille de la Résistance

Général Georges Noël, Officier de la Légion d’Honneur, Commandeur de l’Ordre National du Mérite, Médaillé militaire 1944, Croix de Guerre 39-45, Croix de la Valeur Militaire

Commandant Louis Ressicaud, Officier de la Légion d’Honneur, Médaille Militaire, 7 citations

Général Jean Quelennec, Commandeur de la Légion d’Honneur, Croix de la Valeur Militaire, Croix de Guerre des TOE

Pr Pierre Routhier, Chevalier de la Légion d’Honneur, Croix de Guerre 39-45, Ancien élève de l’Ecole Normale Supérieure

Gilbert Garnier, Résistant FFI 42-44, Interné Déporté, Médaille Militaire, Croix de Guerre 39-45, Médaille de la Résistance

Marie-Antoinette Colin, Ancienne déportée, Médaille de la Résistance, Croix du Combattant

Capitaine de Vaisseau Pierre Chesnais, Officier de la Légion d’Honneur, Médaille de la Résistance

Pr Roger Asselineau, Médaille de la Résistance

Vincent Saint-Gratien, Croix du Combattant Volontaire de la Résistance, Médaille militaire,

Jacqueline Keller, Croix du Combattant Volontaire de la Résistance, Médaille de la France Libre

Général Jean de Rostolan, Commandeur de l’Ordre National du Mérite, Croix de Guerre 39-45 avec Palmes, plusieurs fois cité

Alexis Arette, Médaillé Militaire, Croix de Guerre 39-45

Alain de Sancy, Croix de Guerre 39-45, Croix du Combattant Volontaire

Colonel Antoine Argoud, Polytechnicien, Colonel de Cavalerie, Légion d’Honneur, Croix de Guerre, Adjoint des généraux de Lattre de Tassigny, Massu et Salan.

Jean-Baptiste Biaggi, Croix de Guerre, Officier de la Légion d’Honneur, Médaille de la Résistance, Grand Invalide de Guerre

Colonel René Challe, Commandeur de la Légion d’Honneur, Médaille de la Résistance, Croix de la Valeur Militaire,

Jean de Mailly de Nesle, Officier de la Légion d’Honneur, Croix de Guerre 39-35, Résistant déporté

Bernard Gsell, Commandeur de la Légion d’Honneur, Médaille Militaire, Croix de Guerre 39-45, Médaille de la Résistance, Médaille des déportés, Croix du Combattant volontaire de la Résistance

Louis Doare, Chevalier de la Légion d’Honneur, Médaille Militaire, Croix de Guerre 39-45, Médaille de la Résistance

André Delacotte, Croix de Guerre 39-45, Croix du Combattant Volontaire de la Résistance

Commandant Léon Rolland, Croix de Guerre avec Étoile d’Argent, Médaille Militaire, Croix de la Valeur Militaire avec Étoile de Vermeil, Officier de la Légion d’Honneur, Radio Mitrailleur en 44-45 sur B 26 Marauders de l’US Air Force

Colonel André Bordes, Officier de la Légion d’Honneur, Croix de la Valeur Militaire, 3 Citations, Combattant volontaire de la Résistance, Interné Résistant, Grand Invalide de Guerre

Jean Boulic, Pilote des Forces Aériennes Françaises Libres, Combattant Volontaire de la Résistance

Dr Jean-Jacques Plat, Médaillé Militaire, Médaille des Evadés, Croix du Combattant volontaire de la Résistance.

Lire le CHN (n°24) consacré au FN cliquez ici et celui (CHN n°18) consacré à Honoré d'Estienne d'Orves cliquez là

Lire aussi le livre de Didier Lecerf consacré à François de La Rocque cliquez là

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mercredi, 07 février 2024

FRANCE, LIBÈRE-TOI !

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Roland Hélie

Editorial du n°65 de la revue

Synthèse nationale (Hiver 2023-2024) cliquez là

Le 9 juin prochain les électeurs de l’ensemble des pays qui forment ce que l’on appelle « l’Union européenne » vont élire les députés censés les représenter au Parlement européen. La belle affaire ! Une élection en plus et une multitude de pouvoirs en moins pour les peuples européens…  En effet, 45 ans après la première élection au suffrage universel de cette assemblée, en juin 1979, force est de reconnaître qu’elle ne sert pas à grand-chose, si ce n’est que contribuer à la réduction de notre indépendance nationale et au recasement de quelques politicards en manque de mandats.

En fait, au-delà de sa caution « démocratique » qu’est son « parlement », c’est sur l’utilité de l’Union européenne qu’il convient maintenant de s’interroger. Si l’idée d’une communauté économique européenne pouvait sembler séduisante au lendemain du désastre de la Seconde Guerre mondiale, force est de constater que son aboutissement, à savoir l’Europe intégrée d’aujourd’hui, n’a plus rien de réjouissant. L’Europe devait garantir la liberté et la prospérité de ses peuples et, finalement, elle n’engendre que soumission, contraintes et décadence. L’Union européenne qui aurait dû s’imposer comme une puissance souveraine au niveau planétaire est devenue un marchepied pour les thuriféraires de la gouvernance mondiale qui entendent, à terme, imposer leur pouvoir sur la planète. Macron et sa clique n’en étant que les petits serviteurs locaux… Il est donc plus que temps de quitter cette machine à broyer les peuples et les nations.

Sortir de l’Europe, c’est justement ce que préconise notre ami Bernard Germain dans son dernier ouvrage que nous venons de publier (1). Il y démontre un par un les méfaits de cette construction insensée qui ne repose que sur la soif de profits immédiats, la vassalisation aux organismes mondialistes (à commencer par l’OTAN), la volonté d’accentuer le grand remplacement et l’acharnement contre les réactions identitaires de chacun. Face à cela, il propose tout simplement de reconquérir notre indépendance nationale.

Indépendance nationale ne signifie pas « mépris » ou « conflits » avec les autres nations européennes…

Bien au contraire, c’est en redevenant ce que nous aurions dû rester que nous pourrons établir des partenariats équilibrés et cordiaux avec nos voisins. C’est en redevenant cette nation unie et forte qui, dans l’Histoire, a joué un rôle primordial que nous serons à nouveau respectés et enviés. Ce n’est pas en restant la cinquième roue d’une carriole hétéroclite qui s’avance vers l’abîme, que nous redonnerons à notre peuple sa fierté, son audace et sa grandeur…

Mais, revenons aux élections européennes qui approchent. Selon tous les pronostics, celles-ci devraient voir s’accentuer sur l’ensemble du continent une poussée significative des droites nationales et identitaires, ce dont nous nous réjouissons. Certes, la plupart d’entre elles ne préconisent pas encore l’éclatement final et salvateur de l’UE, mais leurs positions respectives, de plus en plus réservées à l’encontre du despotisme bruxellois, vont dans le bon sens. En France, les deux principales listes nationales annoncées, celle du Rassemblement national conduite par Jordan Bardella et surtout celle de Reconquête ! menée par Marion Maréchal, se montrent très critiques par rapport à la destinée de l’UE. Mais le parlement européen n’a pas, et n’aura jamais, un pouvoir suffisant pour refreiner réellement les décisions nationicides de la Commission dirigée par la mondialiste Ursula Von der Leyen. Non ! Décidément non, la France n’a plus rien à faire dans cet étouffoir.

Au-delà de la critique, la sécession salvatrice…

S’il y a peu de chances que d’ici juin, en France, les listes nationales en arrivent à cette conclusion. Il n’empêche que l’ampleur de leurs scores respectifs sera significatif. Ils incarneront la révolte grandissante au sein de notre peuple à l’encontre de la mainmise oppressante de la Commission. Ils prouveront aussi la volonté de voir enfin naître en France ce véritable « bloc national » que nous préconisons dans les colonnes de Synthèse nationale depuis si longtemps. Un « Bloc national » respectant toutes les sensibilités et allant de frange souverainiste de la droite modérée jusqu’à l’avant-garde nationaliste du mouvement populaire et patriotique. Le plus petit dénominateur commun de ces forces complémentaires étant l’amour de la France et la conscience d’appartenir à une civilisation qui a éclairé le monde.

Depuis cinquante ans, le curseur se déplace vers « la droite ». Les utopies post-soixante-huitardes et leur émanation wokiste tournent à la ringardise. Face à la globalisation néfaste à notre économie, face à la destruction programmée de nos repères historiques et ethniques, face à une immigration massive et incontrôlée, les Français aspirent à l’indépendance, la liberté, à la défense de leur identité. Alors, plus que jamais, il est temps de scander haut et fort notre vieux cri de guerre rassembleur : « France libère-toi ! » 

(1) L’Union européenne : en sortir… au plus vite ! Bernard Germain, préfacé par Alban d’Arguin, Synthèse nationale, 2023, 272 p., 25,00 . cliquez ici

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dimanche, 28 janvier 2024

18 ans de combat national et identitaire : Synthèse nationale, plus que jamais !

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Synthèse nationale a été créée en 2006. Cette année, cela fait donc 18 ans que, chaque jour avec le site d’information et chaque trimestre avec la revue, nous contribuons à ce vaste travail de réinformation indispensable pour susciter le salvateur réveil de notre peuple.

Et, force est de le reconnaître, ce travail commence à payer. Chacun peu l’observer, depuis 18 ans, le curseur se déplace de plus en plus « vers la droite », ce dont nous ne pouvons que nous féliciter.

Si les yeux d’un nombre croissant de nos compatriotes se dessillent aujourd’hui, c’est grâce à l’immense combat mené depuis des décennies par l’ensemble des forces nationales et identitaires. Au sein de ce vaste mouvement de redressement patriotique, Synthèse nationale, de par son travail éditorial et militant, a joué pleinement son rôle.

Seul le soutien fidèle de nos abonnés et de nos donateurs a permis de tenir depuis aussi longtemps et d’accroître notre audience. Mais, ne soyons pas naïfs, il reste encore beaucoup à faire.

Pour amplifier notre offensive, nous avons besoin de votre aide. Abonnez-vous à notre revue, achetez et diffusez les livres que nous publions, faites connaître notre site autour de vous. L’heure de la Libération nationale et identitaire sonnera bientôt. À nous tous de faire en sorte qu’elle ne tarde pas trop…

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samedi, 27 janvier 2024

Synthèse nationale, plus que jamais !

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Il y a quelques semaines, Emmanuel Macron nommait le gouvernement Attal. Il ne fallait pas, alors, être grand clerc pour saisir l’objet essentiel de l’opération : relancer non pas la France mais un exécutif déjà à bout de souffle 21 mois après la réélection du président de la République et, au passage, appuyer là où ça fait mal chez Les Républicains... Sur notre blog, nous écrivions : « Les cocus patentés qui, il y a dix-sept ans, ont aimé se faire avoir par Sarkozy, adorent déjà ce nouveau cabinet. Ils veulent y voir le signe d’un basculement à droite répondant aux attentes d’un pays qui, à les en croire, pencherait de ce côté… Ils oublient un peu vite les enseignements de la dernière présidentielle et des législatives qui ont suivi. Ils oublient aussi que le maître des orientations politiques reste l’actuel occupant de l’Élysée et que de ce côté, il n’y a rien de particulier à attendre »…

Quinze jours plus tard, la réalité est venue se rappeler au bon souvenir du pays. Alors que le monde paysan a entrepris de bloquer les routes pour manifester sa lassitude et sa colère après des décennies de double langage du pouvoir (un discours au niveau national, un autre au niveau européen), le Conseil constitutionnel, saisi notamment par Macron, a retoqué les amendements à la loi immigration voulus par les LR et le RN. Ce faisant, il a donné raison à Éric Zemmour qui, sur CNews, le 21 décembre, se disait « éberlué par le cirque médiatique et parlementaire » autour de ce texte, avant de dénoncer « la macronie qui se déchirait pour des mesurettes, la gauche qui faisait semblant d’être offusquée par une loi qui faisait elle-même semblant d’être ferme et, cerise sur le gâteau, les LR et le RN qui criaient à la victoire idéologique alors que le grand résultat, ce sera toujours plus d’immigration ». Et le président de Reconquête ! d’ajouter : « Avec tous ces gens qui crient victoire, on voit bien que c’est la défaite, mais la défaite du peuple français parce que, quand on fait semblant de traiter les problèmes, c’est encore pire que si on ne faisait rien (…). J’avais l’impression que c’était une digue de sable face à une vague énorme qui allait tout submerger. J’avais l’impression de voir des joueurs qui jouaient à la belotte sur le pont du Titanic »…

Ainsi, à l’heure où tout semble s’accélérer ; où le gouvernement des juges bafoue la volonté populaire ; où le pouvoir prétend vider la mer avec une petite cuillère et ne cesse de se féliciter des pauvres rustines qu’il appose sur une France qui craque de toute part (de son fait, en grande partie), notre combat, plus que jamais, apparaît non seulement juste et nécessaire, mais urgent et vital. Alors, plus que jamais, lisez, faites connaître et soutenez Synthèse nationale !

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mercredi, 17 janvier 2024

Après la conférence de presse... Emmanuel Macron, président de la République, Premier ministre, ministre de l'Education nationale... L'omniprésident, nouveau Clemenceau (le caractère, la volonté et l'esprit en moins)

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Synthèse nationale

"Miroir, mon beau miroir, suis-je toujours le plus intelligent ?"... En fin de compte, que retenir d'autre des quelque 2h15 de conférence de presse d'hier soir ? Discours-fleuve, logorrhée, pensum, pensée magique, autosatisfaction, autocélébration, cynisme, foutage de gueule... Les mots et les expressions ne manquent pas pour résumer ce numéro d'équilibrisme...

Au commencement était le verbe : comme à son habitude, l'omni-président s'étourdit de ses propres paroles, déverse sur l'auditoire un flot de mots ; il parle, parle, parle et croit agir alors qu'il ne fait que brasser des intentions, des "nous savons", des "nous avons bien pris la mesure de", des "y'a qu'à, faut qu'on" ; bref, il brasse de l'air, il fait du vent...

Encore trois ans et demi... Bon sang, ça va être long, bien long, trop long !

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vendredi, 12 janvier 2024

Gouvernement Attal : un gouvernement pour relancer la France ? Non, pour relancer Macron !

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« De mille traits que j’ai entendus, je conclurais que si les singes avaient le talent des perroquets, on en ferait volontiers des ministres ».

Chamfort.

Synthèse nationale

À peine annoncé, le gouvernement Attal apparaît comme un nouveau beau coup politique d’Emmanuel Macron. Son objet essentiel : relancer non pas la France mais un exécutif déjà à bout de souffle, vingt-et-un mois après la réélection du président de la République ; et, au passage, appuyer là où ça fait mal chez Les Républicains.

Bref, chapeau l’artiste ! Pour le reste, pas grand-chose à signaler ; beaucoup de réchauffé… Les cocus patentés qui, il y a dix-sept ans, ont aimé se faire avoir par Sarkozy, adorent déjà ce nouveau cabinet. Ils veulent y voir le signe d’un basculement à droite répondant aux attentes d’un pays qui, à les en croire, pencherait de ce côté…

Ils oublient un peu vite les enseignements de la dernière présidentielle et des législatives qui ont suivi (voir l’analyse des résultats dans le n°60 cliquez ici de notre revue Synthèse nationale). Ils oublient aussi que le maître des orientations politiques reste l’actuel occupant de l’Elysée et que de ce côté, il n’y a rien de particulier à attendre…

Décidément, alors que le pays ne cesse de se déliter, de s’enfoncer, de déprimer, les trois ans et demi à venir vont sembler interminables…

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mardi, 09 janvier 2024

Nouveau remaniement, Attal Premier ministre, ambiance de fin de règne… Les quatre ans à venir vont être bien longs !

Naufrage du Titanic : que s'est-il vraiment passé en 1912 ?

«  Le macronisme n’est pas un hypercentrisme mais un égocentrisme. Il aura théorisé le relativisme par narcissisme ».

Bruno Retailleau, président des Républicains au Sénat, juillet 2023.

Synthèse nationale

À la fin du mois de juillet dernier, dans Valeurs Actuelles, Édouard Roux voyait dans le remaniement d’alors le « resserrement des derniers fidèles autour du président, (…) la mainmise, de plus en plus chancelante et désabusée, d’Emmanuel sur la Macronie » et « le symbole d’un essoufflement institutionnel et démocratique ». Cinq mois et demi plus tard, alors que Gabriel Attal devient Premier ministre en remplacement d’une Élisabeth Borne poussée vers la sortie, le commentaire n’a rien perdu de sa pertinence ; pas plus que cette sentence de Machiavel citée par le même journaliste : « Gouverner, c’est faire croire ». Emmanuel Macron et les membres de ses différents gouvernements sont en effet passés maîtres en la matière.

Réagissant au non-événement que constitue ce énième remaniement, Éric Zemmour, avec l’habituelle acuité de son analyse, a su aller à l’essentiel. Rien à enlever ou à ajouter à ses derniers envois sur X  : « Vous pouvez remanier une fois par jour le "en même temps", vous obtiendrez toujours le "en même temps". On ne remanie pas le vide, le flou et le zigzag. (…) Attal remplace Borne. Une macronienne est remplacée par un macronien qui va remplacer des macroniens par d’autres macroniens. Emmanuel Macron est une toupie : s’il s’arrête de tourner en rond, il tombe ».

En ce qui nous concerne, dans cette "affaire", la seule (petite) satisfaction que nous pouvons faire valoir concerne Gérald Darmanin. Une nouvelle fois, l’ambitieux dont les dents n’arrêtent plus de rayer les parquets lustrés de la République voit Matignon lui échapper. Or, il paraît qu’en juillet dernier déjà, il n’en dormait pas de la nuit… C’est sans doute un peu mesquin de notre part, mais ça fait quand même plaisir…

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jeudi, 04 janvier 2024

L'UDB n'a pas changé : toujours aussi anti-bretonne...

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L'UDB, vous connaissez ? L'Union démocratique bretonne, un groupuscule européo-régionaliste d'extrême gauche qui sévissait depuis des décennies et prétendait défendre les Bretons. 

Dans les années 1970, ses membres criaient à l'invasion à chaque fois qu'ils croisaient une voiture immatriculée dans la Mayenne ou dans le Calvados. Lorsqu'il s'agissait d'un 75, ils étaient au bord de l'évanouissement... Dans le même temps, ils se félicitaient de voir un africain devenir maire d'un village breton... 

Aujourd'hui, cette UDB, que l'on croyait morte et enterrée, refait parler d'elle. Elle vient de publier un nouveau numéro de son canard : Peuple breton. La couverture, ci-dessus, est à la hauteur de la réputation de ses éditeurs : immigrationiste, wokiste... en un mot "mondialiste"...

En réalité, l'UDB méprise l'identité bretonne et la tradition identitaire du mouvement breton. Elle est là pour faire illusion et servir localement les intérêts de l'oligarchie planétaire qui prétend diriger le monde.

Avec de tels "défenseurs", les Bretons ont raison de s'inquiéter sur leur avenir.

S N

Sur l'UDB, lire aussi cliquez là

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samedi, 21 octobre 2023

Pour en finir avec le pseudo « islamo fascisme »…

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C'est curieux cette habitude malsaine qu'on certains, à chaque fois que des islamistes sévissent sur notre sol, de s'évertuer à vouloir amalgamer l'islamisme au fascisme. Pour remettre les choses à leurs places, voici un article publié en mars 2015 dans la revue Synthèse nationale (n°39, mars avril 2015) et, apparemment, toujours d'actualité. Cependant, cette mise au point ne doit en aucun cas être considérée comme une réponse à l'excellent article de Michel Onfray publié ce jour dans Le Figaro magazine (cf. poste précédent) :

Guirec Sèvres

Les tueries qui, au début du mois de janvier, ont ensanglanté les locaux de Charlie Hebdo et une supérette kasher du XIIe arrondissement de Paris ont suscité une légitime émotion. Emotion qui fut vite récupérée par les stratèges du pouvoir en place et transformée, en quelques heures, en une remarquable manipulation.

A peine les terroristes refroidis, la France se devait d’être unanimement, pour ne pas dire obligatoirement, « Charlie ». Et pour guider cette nouvelle « France Charlie » on pouvait compter sur la détermination de nos politicards qui, de Hollande à Sarkozy, ont toujours fait preuve, comme chacun sait, d’une remarquable clairvoyance face à l’islamisme conquérant.  Et si, par malheur, cette évidence vous avait échappée, c’est sans doute parce que vous êtes un fasciste ou, pire encore, un « islamo fasciste ».

Le mot est lâché, le concept est né : l’ « islamo fascisme » est le nouvel ennemi de la démocratie qu’il faut abattre à tout prix.

Mais que diable le fruit de la glorieuse pensée mussolinienne vient-il faire dans cette galère ?

On le sait depuis 1945, le fascisme est le mal absolu. On nous l’a enseigné à l’école, on nous le rabâche tous les jours dans les journaux et tous les soirs à la télévision et si, par ignorance ou par bravade, certains venaient à en douter, la Justice est là pour le leur rappeler.

Mais l’islam, jusqu’à ces dernières années, n’était pas, aux yeux de nos démocrates sincères, une idéologie condamnable. Bien au contraire. Il n’y a pas si longtemps que cela, Hollande et sa clique, à l’instar de Sarkozy pour la Libye, clamaient haut et fort qu’il fallait écouter Monsieur Lévy (Bernard-Henri) et armer les gentils rebelles islamistes en Syrie contre  « l’ignoble régime fasciste et laïque de Bachar el Assad ».  Et puis, sans aller aussi loin, ne sont-ce pas les mêmes démocrates qui, toutes étiquettes confondues, dans les villes où ils sont aux commandes, autorisent et subventionnent la construction de mosquées, favorisant ainsi l’implantation durable de l’islam sur notre sol ? Face à une telle évidence pour le moins gênante, il fallait trouver une parade. Ce fut vite chose faite avec la formule magique : « pasdamalgame »…

Pas d’amalgame lorsqu’il s’agit de confondre les musulmans et l’islam conquérant mais vive l’amalgame lorsque l’islamisme devient subitement l’islamo fascisme.

Comparer l’islamisme au fascisme est facile, confortable, peut-être même émouvant, mais, qu’on le veuille ou non, totalement inepte. Dans un magnifique article récemment publié par notre excellent confrère Metamag (1), le pertinent Raoul Fougax remet les pendules à l’heure.

Nous en reproduisons ici les principaux extraits :

On les voit venir avec leurs gros sabots. Nos dirigeants, de gauche et de droite d’ailleurs, se veulent des enfants de la résistance au fascismo–nazisme. C’est leur référence absolue. Il ne peut y avoir de mal plus grand que le fascisme dont le nazisme est un avatar. Combattre l’islamisme radical aujourd’hui, c’est donc continuer le combat des démocraties contre le fascisme. (…)

C’est bien sûr totalement faux. C’est juger le présent par rapport au passé de la même manière que l’on juge le passé par rapport aux valeurs du présent. L’anachronisme est une sclérose qui empêche l'analyse. C’est une maladie de l’intelligence.

Le décor est ainsi planté et Fougax précise les choses :

Le fascisme n’a jamais été un obscurantisme. Un totalitarisme oui, un obscurantisme non. Le fascisme n’a jamais été une lecture fanatique d’une religion monothéiste, souvent bien au contraire.

Le fascisme certes cultive le culte du passé mais dans une démarche progressiste. Le fascisme est un socialisme, pas un traditionalisme. Il veut moderniser en valorisant le passé, il invoque la longue mémoire de l'histoire, il ne veut pas ramener la société au comportement de temps révolus.

Et les remet dans le contexte du Monde arabe :

Dans les pays musulmans de plus, le fascisme a toujours été un anti-islamisme, c’est vrai de la Turquie kémaliste comme de l’Egypte nassérienne. La laïcité dans les pays musulmans a été un fascisme non avoué et c’est l'échec de ces régimes totalitaires laïcs, notamment face au sionisme, qui explique la montée d’un islamisme anti-israélien devenu en Europe un nouvel antisémitisme. Vouloir par confort intellectuel ramener tout antisémitisme au fascisme pour, en fait, exonérer les islamistes et donc l’islam de ce péché raciste majeur pour nos dirigeants est une stupidité dangereuse.

Il y a un nouvel antisémitisme qui est un islamisme et qui est lié au terrorisme qui frappe les juifs, pas que des juifs mais tous ceux qui sont des impies au regard des égorgeurs du sectarisme djihadiste. On peut parler d’islamo-sectarisme, car on a à faire à une secte musulmane issue de l'islam. Mais parler d’islamo-fascisme est une désinformation historique par aveuglement idéologique.

Les fascistes n’ont jamais été des islamistes et les islamistes ne sont pas des fascistes. Ils sont des obscurantistes musulmans sans lien avec les racines européennes et sociales du fascisme. (…)

Et Raoul Fougax conclue avec raison :

Ils ne veulent pas restaurer la grandeur de Rome comme le Duce. Ils veulent une mosquée à la place de St Pierre au Vatican. (...)

Ceux qui conseillent l'amalgame islamisme et fascisme pour lutter, on l'a bien compris, contre l'amalgame islamisme-islam sont des malhonnêtes et surtout des apprentis sorciers.

Tout est dit… 

Les mots ont un sens et Charles Maurras nous a enseigné qu’« une virgule à sa place, c’est déjà une victoire contre le chaos… ». Comparer l’islamisme au fascisme est une contrevérité que les militants anti-islamistes devraient bannir de leur vocabulaire.

Et que l’on ne nous brandisse pas la prétendue fascination que certains chefs nazis auraient éprouvée pour le Coran. A cet argument fallacieux, il est facile de rétorquer la collusion entre les mêmes nazis et certains ultra-sionistes avant et pendant la Deuxième Guerre mondiale. Mais tout cela relève d’une période révolue. Les alliés actuels de l’islamisme ne sont pas les fascistes mais bel et bien les démocrates mondialistes, au premier rang desquels on retrouve les adeptes de « Nous sommes tous Charlie », qui, avec leurs politiques imbéciles, ont tout fait pour que celui-ci se développe en France et en Europe.

 (1) metamag.fr

Illustration : peinture liée à l'art fasciste de Alfredo Gauro Ambrosini, peintre futuriste. Il représente le visage du Duce, superposé à la Rome des César (œuvre de 1930). L'islamisme, pour sa part, détruit l'art.

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mercredi, 04 octobre 2023

Aujourd'hui, le pouvoir dissout Civitas... Demain ce sera le tour à qui ? Au Rassemblement national ? À Reconquête ? 

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Roland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

Dissoudre un mouvement nationaliste rassure peut-être les pleutres, les fanatiques et les bobos qui forment le fond de commerce du gouvernement actuel mais cela n'entame jamais la détermination des militants... Bien au contraire.

En procédant à la dissolution de Civitas, le régime de Macron aux abois montre à quel point il est soumis aux injonctions de Mélenchon et de la NUPES. Hier, une député de ce parti a bavé à l'Assemblée un pathétique réquisitoire contre les forces patriotiques cliquez ici et ce matin Macron et son caniche Darmanin, aux ordres, dissolvent Civitas. Et ils osent encore nous tarabuster avec leurs prétendues "valeurs de la république"...

La réalité, c'est que le pouvoir macronien péte de trouille devant l'extreme gauche, les terroristes écologistes et les racailles importées qui font la loi dans les cités. Pour faire croire qu'il tient encore debout, il s'en prend à ceux, comme Civitas, qui défendent pacifiquement la France nationale et catholique.

Que l'on soit d'accord ou pas avec la sensibilité qu'incarne Civitas, nous devons tous manifester notre solidarité avec ce mouvement et son président Alain Escada. Aujourd'hui, le pouvoir dissout Civitas... Demain ce sera le tour à qui ? Au Rassemblement national ? À Reconquête ? 

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mardi, 03 octobre 2023

A propos des manifestations de soutien à la police...

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Suite à la publication sur notre site de l'annonce des manifestations de soutien à la police qui se sont déroulées samedi dernier à travers la France, nous avons reçu un certain nombre de messages de lecteurs nous faisant part de leur désapprobation.

Ces lecteurs, dont nous ne doutons pas un instant de leur sincérité, mettent en avant le fait que la répression policière n'a jamais été tendre à l'encontre de la droite nationale et identitaire alors qu'elle est beaucoup plus timorée lorsqu'il s'agit de mater les manifestations violentes de la gauche, de l'extrême gauche ou des racailles des cités. Nous ne les contredirons pas sur ce point, mais le problème n'est pas là...

Qu'on le veuille ou non, tout État a besoin d'une police. Celle-ci, en principe, est là pour assurer l'ordre et la sécurité. Le problème, ce n'est donc pas la police en elle-même, le problème ce sont ceux qui dirigent l'État. Si les tenants du pouvoir la poussent à dépasser ses prérogatives, c'est à eux qu'il faut s'en prendre. Si nous avons appelé à participer à ces manifs, c'est justement parce que nous faisons la part des choses entre les dérives tyranniques de Macron et de sa clique et les policiers qui prennent au quotidien des risques énormes pour tenter de maintenir encore un semblant de sécurité dans le pays.

Je précise que celui qui écrit ces lignes a reçu, en cinquante ans de militantisme, son lot de coups de matraques, de gardes à vue, de perquisitions et n'a donc pas de leçons à recevoir de quiconque dans ce domaine. Lorsque l'on s'engage dans l'action politique, surtout lorsque cet engagement est en opposition radicale au Système en place, on doit être conscient des risques que cela implique.

Roland Hélie

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samedi, 09 septembre 2023

LORSQUE LES FAITS NOUS DONNENT, HÉLAS, RAISON...

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Roland Hélie Directeur de Synthèse nationale

Editorial du n°64 (été 2023)

L'embrasement de tout le pays qui a marqué le début de l'été n'est que l'aboutissement logique des politiques menées par l'ensemble des gouvernements qui se sont succédés depuis une cinquantaine d'années en matière d'immigration. En effet, à force de se voiler la face et de nier les réalités, on finit par se retrouver face à des situations catastrophiques de plus en plus difficiles à gérer.

D'abord, revenons sur les faits. Un délinquant de 17 ans dénommé Nahel Merzouk, consommateur de stupéfiants, roulant à vive allure dans les rues de Nanterre (92) au volant d'une voiture de luxe alors qu'il n'a pas l'âge d'avoir le permis de conduire, refuse d'obtempérer lors d'un contrôle de police... Ce garçon, c'est le moins que l'on puisse dire, n'a pas hésité à prendre des risques inconsidérés. Or, lorsque l'on prend de tels risques, il faut en assumer les conséquences. Certes, l'issue fatale de ce "GymKhana" urbain est sans doute regrettable pour Merzouk mais, qu'on le veuille ou non, elle fait partie des écueils éventuels du "jeu"...

Ce qui est le plus regrettable encore, c'est la tournure que prirent les événements suite à ce fait divers hélas trop fréquent. Des nuits d'émeutes d'une rare violence se sont succédées à travers la France, des dizaines de villes furent saccagées et des centaines de magasins pillés. Fait nouveau, ces violences ne touchèrent pas seulement ce que l'on appelle pudiquement "les quartiers" (entendez les zones dominées par les populations d'origines diverses), elles embrasèrent l'ensemble du territoire national, y compris parfois les communes les plus reculées.

Alors, comment en est-on arrivé là ?

Le développement de l'immigration, dans la seconde moitié du XXe siècle, voulu par les dirigeants de la planète, encouragé à la fois par la haute-finance apatride à la recherche de profits immédiats (baisse des salaires, docilité supposée des immigrés due à la précarité...) et les syndicats marxistes à la recherche d'un prolétariat de substitution (le prolétariat français s'étant peu à peu rallié au camp national) et orchestré par les lobbys humanitaristes peu scrupuleux à l'affut de juteuses subventions, le tout sous l'œil bienveillant des médias aux ordres, ne pouvait, à terme, qu'engendrer la situation actuelle. Les brassages de populations étant immanquablement synonymes de déracinements et de pertes des repères civilisationnels.

Déjà, il y a 50 ans, des voix se sont élevées.

Dès le début des années 1970, des voix téméraires se sont élevées en France et en Europe pour dénoncer l'immigration incontrôlée. Ce furent les nationalistes du mouvement Ordre nouveau en 1973, puis l'immense écrivain Jean Raspail avec son roman prémonitoire le Camp des saints qui fit grand bruit à l'époque et, bien sûr, le Front national de Jean-Marie Le Pen à travers les multiples campagnes électorales auxquelles il participa. Plus tard, de nombreux mouvements et associations, ainsi que des intellectuels de renom, tels Jean-Yves Le Gallou, Renaud Camus ou Éric Zemmour et bien d'autres leur emboitèrent le pas et sonnèrent le tocsin. Tous payèrent très cher leur lucidité et leur engagement... Honneur à eux d'avoir eu raison alors que leurs contemporains se complaisaient dans un aveuglement confortable.

Quand la réalité dépasse la fiction.

Aujourd'hui, la terrible réalité éclate à la face de tous. Les Français lobotomisés constatent que leur pays est livré à la chienlit et les péroreurs patentés qui encombrent les plateaux de télévision étalent, avec des mines contrites de circonstance, leur stupéfaction artificielle face aux conséquences de leur inconséquence. Si la situation n'était pas aussi grave, nous pourrions éclater de rire face à ce spectacle affligeant.

Il est donc plus que temps pour nous autres, nationalistes et identitaires, de rappeler la justesse de notre combat. Ce n'est pas au moment où les événements nous donnent raison que nous allons réduire la voilure.

Cela, le gouvernement le sait bien et il le craint plus que tout. Voilà pourquoi, depuis quelques mois, il s'évertue à vouloir "museler", dans son ensemble, l'opposition nationale, seule opposition crédible à la destinée mortifère du mondialisme. En interdisant de manière arbitraire les réunions et les colloques, en procédant à des dissolutions injustifiées, en calomniant en permanence les forces patriotiques, le pouvoir macronien aux abois tente par tous les moyens de sauver sa peau. 

Alors, évitons de sombrer dans ces provocations, amplifions notre combat et gardons notre détermination car nous savons, et l'Histoire vient une fois de plus de nous le prouver, que nous avions et que nous avons toujours raison.

Nous n'allons pas nous priver de le faire savoir. Dans les semaines qui viennent, nous allons publier un numéro hors-série de Synthèse nationale entièrement consacré à cela. Nous comptons sur vous tous pour nous aider à le diffuser le plus largement possible. 

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mardi, 08 août 2023

Après les interdictions du printemps, voici les dissolutions de l'été...

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Après avoir procédé à de multiples interdictions frappant les organisations patriotiques au printemps, l'été venu, Darmanin passe à la vitesse supérieure en annonçant une procédure de dissolution à l'encontre du mouvement catholique Civitas.

Pourquoi s'arrêter en si bon chemin ? Il aura suffit que Mélenchon, qui a beaucoup à se faire pardonner,  "s'indigne" au sujet de propos tenus dans un cadre privé lors de l'Université d'été de Civitas pour que Darmanin, en bon petit chien de garde du Système, se mette à aboyer.

La France est au bord de l'insurrection, nos villes et leurs banlieues sont saccagées par les bandes de racailles, de dealers et autres blacks blocs ou antifas et Darmanin ne trouve rien de plus urgent que de harceler l'opposition nationale et identitaire. Décidément, ce ministricule à l'allure de petit rond-de-cuir aura réussi au moins une chose : celle de repousser les limites de l'incompétence et de la paranoïa au-delà de l'infini...

La droite nationale et identitaire doit réfléchir sur les menaces de Darmanin. Aujourd'hui, c'est Civitas qui est dans le collimateur. Demain, ce sera qui ? Le Rassemblement national ? Reconquête ? 

En réalité, Darmanin, Mélenchon, Macron et autres valets du mondialisme gesticulent car ils savent que, face à la formidable réaction populaire salvatrice qui se prépare, ils ne sont déjà que des vestiges nuisibles d'un passé qu'il faudra balayer. 

En attendant, que l'on soit en harmonie ou pas avec la sensibilité qu'incarne Civitas, exprimons notre solidarité combattante à ce mouvement, et à son président Alain Escada, face aux menaces liberticides qui pèsent sur eux.

Roland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

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vendredi, 23 juin 2023

La manifestation du Parti de la France vient d'être interdite

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Thomas Joly, président du Parti de la France, vient de m'apprendre que la manifestation contre le sinistre Darmanin organisée demain après-midi place Beauvau à Paris par le PdF est interdite. La folie liberticide des tyrans (aux visages poupins certes, mais tyrans tout de même) actuellement au pouvoir a encore frappé... 

En effet, depuis le début du mois de mai, les interdictions se multiplient sans que cela ne semble émouvoir les donneurs de leçons patentés qui encombrent le paysage politico-médiatique. Ce fut d'abord l'Action française qui, depuis 1922, commémore chaque année la Sainte de la Patrie. Son colloque annuel et son cortège traditionnel de Jeanne d'Arc ont été interdits cliquez là. Grâce à sa capacité de réaction, l'AF a réussi à humilier le pauvre Darmanin en faisant casser sa décision infondée. Pour se venger, l'ex-RPR devenu macroniste fit interdire une réunion et le défilé de Jeune nation et, quelques jours plus tard, le colloque de l'Iliade. A ce train là, on peut craindre qu'il s'en prenne dorénavant à toutes les forces patriotiques...

Aussi, lorsqu'il n'interdit pas, le pouvoir envoie ses chiens de garde que sont les terroristes antifas, LFI et autres CGT manifester et saccager les salles où doivent se tenir les réunions. On a encore vu cela samedi dernier à Brest où la séance de dédicaces d'Eric Zemmour a été agressée par les miliciens de Darmanin. Tout cela avec la bénédiction d'un incapable qui joue le rôle de préfet du Finistère...

Revenons au rassemblement qui était prévu pour demain, rassemblement auquel j'étais d'ailleurs invité par nos amis du PdF à prendre la parole. Celui-ci fait donc l'objet d'une interdiction. Les raisons évoquées sont dignes d'un article rédigé par un trotskiste obsessionnel de l'anti-fascisme cliquez ici

Le Parti de la France n'entend pas se laisser faire. Sachez que ses avocats viennent de déposer un recours devant le Tribunal administratif de Paris. Il est trop tôt pour savoir ce qu'il en résultera. Quoi qu'il en soit, l'ensemble de la rédaction de Synthèse nationale tient à exprimer toute sa solidarité avec le PdF face à cette scandaleuse interdiction. Henry de Montherlant disait : "Quand la bêtise gouverne, l'intelligence est un délit"... Ce soir, nous en avons, hélas, une fois de plus la démonstration.

Restez mobilisés. Nous vous ferons part dès demain matin des consignes du PdF.

Roland Hélie

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dimanche, 18 juin 2023

Brest : LES MILICES ANTIFAS TENTENT D'EMPÊCHER LA SÉANCE DE DÉDICACE D'ÉRIC ZEMMOUR

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Ce samedi après-midi, dans les salons d'un hôtel de la rue de Siam à Brest, se déroulait une séance de dédicaces du dernier livre d'Eric Zemmour, Je n'ai pas dit mon dernier mot (Rubempré éditions). Plus de 300 personnes s'étaient massées devant l'hôtel pour rencontrer le président de Reconquête ! lorsque déboulèrent les groupes terroristes d'extrême gauche qui agressèrent avec une violence inouï les paisibles patriotes bretons. C'est grâce à l'efficacité et à la détermination du service d'ordre nationaliste que les assaillants furent repoussés. Les forces de police, pourtant nombreuses, restant curieusement pusillanimes face aux casseurs de gauche. 

Roland Hélie

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Eric Zemmour et Roland Hélie à l'issue de la séance de Brest

Voici la réaction d'Eric Zemmour suite à cette odieuse attaque :

Une attaque a eu lieu aujourd'hui et c’est un triple scandale :

1. Des milices d’extrême gauche, soutenues par LFI, attaquent cet après-midi ma dédicace à Brest.
Ils s’en prennent à des adolescents et à des personnes âgées sans défense, les tabassant jusqu’au sang. Le reste des sympathisants est confiné à l’intérieur de l’hôtel, en panique entre les jets de projectiles et les gaz lacrymogènes. 

2. Les antifas les plus violents ont été capables d’approcher mes sympathisants : pourquoi ?
Pourquoi ne sont-ils pas enfin empêchés de nuire ?
Pourquoi le pouvoir arrive-t-il à neutraliser des manifestants inoffensifs avec des casseroles et pas des voyous qui jettent des barrières sur des sympathisants et des policiers ?
Le préfet du Finistère, le même qui a « géré » la catastrophe du stade de France, choisit-il les citoyens qui méritent d’être protégés ?

3. Le comble : je vois que la presse, au lieu de s’indigner d’une telle violence, parle désormais d’affrontements, de heurts entre sympathisants et opposants. Ce signe égal entre les agresseurs et les agressés est insupportable.

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Les vitres brisées de l'hôtel

En savoir plus cliquez là et cliquez ici 

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lundi, 22 mai 2023

INTERDICTION DU COLLOQUE DE L'ILIADE : LE RÉCIDIVISTE DE LA PLACE BEAUVAU PERSISTE

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Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale

Il fallait oser... il l'a fait. Darmanin, le petit monsieur qui sert actuellement de ministre de l'Intérieur, était vexé car, la semaine dernière, il avait été ridiculisé par l'annulation de son interdiction de la commémoration de la Fête nationale de Jeanne d'Arc par l'Action française cliquez ici. 

Après avoir sans doute ruminé sa vengeance toute la semaine, il a récidivé dimanche en interdisant au dernier moment le colloque de l'Institut Iliade. Colloque organisé à Paris pour commémorer le dixième anniversaire de la mort de Dominique Venner et qui, comme chacun peu l'imaginer, était de nature à renverser la République...

Décidément, après Valls et autres Cazeneuve hier, on croyait en avoir fini avec les apprentis Staline. Mais, force est de reconnaître que, une fois de plus, le pire est toujours à craindre. Avec Darmanin, un pas vient d'être franchi vers l'abolition de nos Libertés... 

Ces interdictions infondées montrent la vraie nature du régime Macron. Celui d'une dictature (au visage poupin certes) aux abois. En effet ces domestiques zélés du mondialisme que sont les gouvernants actuels de la France ne savent plus quoi inventer pour masquer leur catastrophique faillite politique, économique, sociale et sociétale. Ils n'ont plus que la solution dite "du bouc émissaire", qui a fait ses preuves en d'autres temps... Et le bouc émissaire d'aujourd'hui, c'est la Résistance nationale et identitaire... 

Pendant ce temps, dans toute la France, les racailles, les Blacks blocs, les antifas, les bandes de dealers sèment la terreur et la mort... Le bilan de cette fin de semaine est édifiant mais de cela, Darmanin s'en moque éperdument puisqu'il a sauvé la démocratie en interdisant le colloque de l'Iliade. Pauvre petit monsieur...

Il est vraiment temps d'en finir avec ces fossoyeurs patentés qui détruisent à longueur de journées notre nation et notre civilisation. Un jour viendra où ils devront rendre des comptes... 

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samedi, 13 mai 2023

Interdiction des cortèges patriotiques : Darmanin devrait revoir sa copie...

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Roland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

Alors que l'extrême gauche, les Black blocs, les antifas, les racailles de banlieues, les bandes de dealers et autres nervis du Système sèment le chaos et la terreur à travers le pays, le petit monsieur qui sert de ministre de l'Intérieur ne trouve pas mieux que de s'en prendre à la Résistance nationale et identitaire en interdisant les rassemblements et colloques prévus cette fin de semaine à Paris pour honorer l'héroïne de la Nation, Sainte Jeanne d'Arc.

Darmanin pense sans doute qu'en procédant de la sorte, "il combat efficacement la bête immonde". Il devrait se souvenir que la dernière fois qu'une commémoration de Jeanne d'Arc a été interdite, c'était par un dénommé Joxe en 1990 suite à une provocation barbouzarde dans un cimetière de Carpentras. Pour info, à l'époque, 12 % des Français votaient pour "l'extrême droite", aujourd'hui, ils sont 42 %. Alors, côté efficacité de telles mesures, Darmanin devra rectifier sa copie... Ce n'est pas en interdisant ou en procédant à des dissolutions "à droite de la droite" qu'il sauvera le Système... bien au contraire, il ne fait que renforcer notre détermination.

L'"extrême droite" justement, parlons-en. En fin de semaine dernière, elle a organisé, dans un ordre impeccable et une dignité exemplaire, une belle démonstration de force à Paris. Ces mois derniers, il en fut de même à Callac (22), Saint-Brévin-les-Pins (44) ou Bélâbre (36), là où notre identité est directement menacée. Chaque semaine, des dizaines de jeunes Français rejoignent les forces patriotiques. Cela, les thuriféraires du mondialisme et de l'internationalisme, qu'ils s'appellent Macron, Darmanin ou Mélenchon, ne le supportent pas...

Que cela leur plaise ou non, il est temps que ces vestiges d'un Système aux abois se le mettent une fois pour toutes dans leurs petites cervelles : la nouvelle révolution nationale et identitaire qui est en train de germer en France sera comme la tempête... rien ne pourra l'arrêter !

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dimanche, 02 avril 2023

"Sur les chemins noirs", un film à ne surtout pas manquer

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Je suis allé voir ce dimanche après-midi Sur les chemins noirs, le film de Denis Imbert, inspiré du récit éponyme de Sylvain Tesson, (Gallimard, 2016). Un vrai moment de bonheur...

Leçon à la fois de courage, de volonté et d'humilité, ce film, à travers le défi que s'est imposé le personnage central, Pierre (admirablement interprété par Jean Dujardin), nous fait découvrir, ou redécouvrir, la France profonde que nous aimons tant et que nos contemporains ont parfois, hélas, tendance à oublier, si ce n'est à mépriser.

Bien sûr, ce film n'a aucune ambition idéologique. Cependant, il souligne le contraste entre la vie parisienne, artificielle, et l'enracinement, plein de bon sens. Il remet aussi en cause la soif de "progrès"... si chère aux progressistes. Voilà deux bonnes raisons pour les esprits non-conformistes que nous sommes de l'apprécier. Ce d'autant plus que les donneurs de leçons patentés de la pensée dominante ne sont pas avares de critiques mesquines à son encontre. Ajoutons à cela une impressionnante succession de paysages, aussi grandioses que merveilleux, qui va du Mercantour jusqu'à la pointe du Cotentin, et nous sommes comblés.

Depuis quelques années, je dois le dire, j'étais plutôt fâché avec le cinéma français, à la fois prétentieux et totalement soumis aux poncifs du politiquement correct. Mais, force est de reconnaître que, avec Vaincre ou mourir en janvier et Sur les chemins noirs aujourd'hui, les bonnes surprises sont toujours possibles. Allez donc voir ce film, vous ne le regretterez pas.

Roland Hélie 

 

 

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mardi, 21 février 2023

ILS SE SONT BATTUS POUR QUE CALLAC GARDE SON IDENTITÉ, ILS SONT AUJOURD'HUI TRAINÉS DEVANT LES TRIBUNAUX !

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Roland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

L'acharnement hystérique de la part de quelques journalistes en mal de sensations contre nos amis Bernard Germain et Pierre Cassen commence à friser le ridicule, voire l'indécent...

Depuis sa cinglante défaite à Callac, le clan d'extrémistes remplacistes, qui entendait imposer à cette petite commune (2 200 habitants) des Côtes d'Armor l'arrivée de plusieurs centaines de migrants, ne sait plus quoi inventer pour se venger. Ayant été massivement rejetés par les Callacois conscients des difficultés qu'un tel projet allait engendrer, les immigrationnistes veulent aujourd'hui faire payer leurs turpitudes à ceux qui se sont courageusement battus pour sauver leur identité et leur liberté.

Leur dernière trouvaille : déposer des plaintes pour des "menaces" qu'ils prétendent avoir reçues...

À ce sujet, il est temps de rappeler certains faits afin de remettre les pendules à la bonne heure…

Si les deux collaborateurs de la feuille d'extrême gauche locale, intitulée Le Poher, ont reçu, comme ils l’affirment, des "menaces", la présidente de l'Association des Amis de Callac et ses environs, Danielle Le Men, elle, a bel et bien été agressée par une bande de pseudo-antifas (mais vrais enragés), le samedi 28 janvier, alors qu'elle se rendait seule à la cérémonie des vœux du maire de Callac (agression au cours de laquelle un gendarme a été blessé et un véhicule de la gendarmerie endommagé). Inutile de préciser que cette attaque lâche n'a suscité aucune protestation dans "le camp du bien", au sein des sourcilleux chiens de garde de la pensée conforme, spécialistes de l'indignation à géométrie variable.

Lors des deux manifestations (17 septembre et 5 novembre), qui furent les agresseurs et qui furent les agressés ? Les paisibles manifestants callacois venus s'opposer au projet remplaciste ou la horde de gauchistes ultra violents qui tenta de briser la manif ? Sans l'intervention des forces de l'ordre, je vous laisse imaginer les dégâts...

Puisque nous en sommes à parler "menaces de mort", permettez-moi, à ce stade du développement, quelques digressions d’ordre personnel :

• D’abord, après bientôt 50 ans de militantisme nationaliste, je ne compte plus les tentatives d’intimidation dont j’ai fait l’objet. Si j’avais porté plainte à chaque fois que j'ai reçu des messages menaçants ou retrouvé la cage d'escalier des différents immeubles où j'ai habité couverte de graffitis peu amènes, les postes de police locaux seraient devenus pour moi des prolongements de mon domicile... Lorsque l'on s'engage au service d’une cause, quelle qu'elle soit, il faut savoir en accepter les désagréments, apprendre à en supporter certaines conséquences et savoir garder la tête froide en toute circonstance.

• Ensuite, en mai 1983, une charge d’un kilo de plastic a fortement endommagé trois étages de l'immeuble parisien, boulevard de Sébastopol, où se trouvait le siège du Parti des forces nouvelles dont j'étais l'un des dirigeants. Mon bureau a été "soufflé". Par chance, ou grâce à la Providence, il n'y avait alors (à une demi-heure près) personne dans les locaux. J’ai encore en mémoire cette remarque d’un des enquêteurs (dont le "zèle" déboucha sur un classement "sans suite" de l'affaire) : « Les attentats sont rarement précédés de menaces et les menaces sont rarement suivies d’attentats ». Effectivement, aucun avertissement n’avait précédé cette explosion d’origine criminelle…

• Il y a quelques mois, j'ai reçu une enveloppe dans laquelle il y avait de la poudre (?) et un mot fort peu aimable. Pas de quoi en faire un drame. L'idée ne m'est d'ailleurs pas venue de porter plainte. Laissons cela aux froussards et aux donneurs de leçons patentés...

• Les poursuites dont Bernard Germain et Pierre Cassen font aujourd’hui l’objet me remettent aussi en mémoire cette journée mémorable du début des années 2010 où notre amie Claudine Dupont-Tingaud se retrouva devant la XVIIe Chambre correctionnelle de Paris pour avoir diffusé un tract dénonçant - de manière plutôt modérée - la mauvaise foi des organisateurs d'un festival cinématographique anticolonialiste. Le hasard fit que sa comparution devait avoir lieu quelques jours après la journée annuelle de Synthèse nationale, ce qui nous permit de lancer un appel à la mobilisation. Le jour venu, la salle du tribunal était pleine de patriotes qui eurent ainsi le plaisir d’assister à la déconfiture des cinq plaignants (communistes pour l'essentiel) : non seulement la cour les débouta mais elle leur reprocha fermement d'encombrer inutilement un tribunal qui avait bien d'autres affaires à traiter.

Je ne m’étendrai pas sur les multiples mensonges propagés par les valets du système pour tenter de discréditer la Résistance nationale et identitaire, mais je tiens à souligner et à dénoncer la hargne particulière dont ils font preuve à l'encontre de nos amis.

Pourquoi ? Peut-être tout simplement parce que Bernard et Pierre, avant de rejoindre le combat national, militaient, dans leur jeunesse respective, au sein d’organisations d'extrême gauche : l'OCI pour l’un et la LCR pour l’autre. Ils ne s'en sont jamais cachés et, pour ma part, je considère que c'est une fierté de les voir désormais à nos côtés. Sans doute est-ce là ce qui exaspère le plus les derniers suppôts de l'internationalisme communiste...

Quoi qu'il en soit, nous devons les soutenir par tous les moyens. Dans quelques jours, comme nous l'avons fait au moment où le pouvoir voulait dissoudre le Bastion social, il y a quelques années, nous allons lancer une pétition nationale de soutien à Germain et Cassen. Nous allons aussi envisager des actions militantes de soutien. Nous avons lancé la semaine dernière une cagnotte pour aider notre ami Germain à supporter les frais de justice. Celle-ci a déjà rassemblé près de 2 000 euros (cagnotte électronique + dons par chèques), ce dont nous vous remercions chaleureusement (nous avons encore besoin de moyens pour faire face... n'hésitez pas à nous aider).

Le procès ayant lieu le 3 mars prochain à Lorient, nous envisageons également une mobilisation populaire.

D'ici là, nos amis ne baissent pas les bras et, samedi prochain, 25 février, ils prendront la parole à Saint-Brévin-les-Pins (44) lors du grand rassemblement contre le projet d'implantation massive de migrants dans cette commune.

Ce qui ne tue pas rend plus fort...  L'obstination de nos adversaires renforce notre combativité ! Amis nationaux et nationalistes, ce nouveau combat vous appelle. Je sais qu’une fois de plus, vous saurez répondre présents et faire bloc autour de nos deux camarades. Par avance, merci !

La semaine dernière, pour aider notre camarade Bernard Germain, nous avons créé une cagnotte de soutien. Celle-ci est toujours en activité. Vous aussi, participez au vaste mouvement de solidarité nationale cliquez ici

Vous pouvez aussi adresser un chèque (mentionnez au dos "soutien BG") à Synthèse nationale BP 80135  22301 Lannion PDC

Bernard Germain fut candidat de Reconquête ! en juin dernier dans les Côtes d'Armor et il est l'auteur du livre "Callac, la mère des batailles" (Synthèse nationale) cliquez là
 
Pierre Cassen est le fondateur de Riposte laïque cliquez ici

ILS  SERONT À SAINT-BRÉVIN-LES-PINS

SAMEDI 25 FÉVRIER :

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15:45 Publié dans Callac 22, Combat nationaliste et identitaire, Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |