vendredi, 24 janvier 2025
Les Démocrates américains ont souvent trahi leur pays : un livre passionnant et nécessaire : « Plaidoyer pour Joseph McCarthy » de Paul-Louis Beaujour
Michel Festivi
La dernière élection du Républicain Donald Trump, et ses premières décisions anti-immigration, anti-trans et anti-état profond, nous ravissent, nous nationaux français, mais ne doivent pas faire oublier, que souvent, les Présidents Démocrates américains, les élus Démocrates, ont soutenu et défendu ceux-là même qui voulaient abattre le monde libre, ceux-là même qui luttaient contre les communistes et les idéologies perverties et mortifères. De nos jours, les Démocrates sont et ont été les propagandistes du wokisme et de toutes les dérives totalitaires, nous en subissons en Europe les conséquences et singulièrement en France.
C’est Barak Obama qui avait fait disparaître Cuba de la liste des états terroristes, c’est de nouveau Joe Biden qui a agi de la même façon, quelques jours avant son départ du Bureau ovale. Trump vient de rayer d’un trait de plume cette décision scandaleuse. C’est sous la présidence de Carter, que les islamistes chiites avaient prospéré et les mollahs iraniens avaient humilié comme jamais les États-Unis, avant que Reagan ne redresse la barre. C’est aussi sous Joe Biden, que l’armée américaine a lâché piteusement l’Afghanistan, laissant les talibans maîtres du pays, avec à la clef, des milliers d’armements délaissés sur place par les américains. A contrario, c’est Ronald Reagan qui avait armé les milices anti-communistes, notamment au Nicaragua, et aussi lorsqu’il qu’il avait libéré l’ile de la Grenade, au début de son premier mandat grâce à une intervention rapide et efficace. Sa guerre des Etoiles a fini par pulvériser l’Empire du mal, l’Empire soviétique.
C’est pourquoi, le dernier livre de Paul-Louis Beaujour, Plaidoyer pour Joseph McCarthy, avec une préface d’Alain Sanders, qui vient d’être publié par les éditions Déterna, est particulièrement le bienvenu en ce momentum de la grandeur américaine retrouvée. Auteur de plusieurs biographies, Paul-Louis Beaujour, avec brio et documentations de première importance, nous retrace la vie de celui « qui fut l’homme le plus détesté de l’Amérique », pour avoir combattu l’idéologie et l’espionnage communiste qui se répandaient aux États-Unis comme une trainée de poudre, dans toutes les strates de la société.
Cinquième enfant d’une fratrie de sept, dans une famille modeste d’origine irlandaise, fermière dans le Wisconsin, McCarthy, qui toute sa vie sera considéré comme un « plouc », par l’intelligentsia de Washington, est l’archétype du self- made man américain. Il commence à travailler dès l’âge de 14 ans, multiplie les petits boulots, puis, tout en œuvrant durement, passe l’équivalent du baccalauréat, effectue ses études universitaires dont du droit, et devient avocat en 1935, à 27 ans. En 1939, il réussit, après une vigoureuse campagne électorale, à se faire élire Juge, il a à peine plus de 30 ans. En 1942, alors qu’il n’y était nullement contraint de par son âge et sa fonction, il s’engage dans le corps des Marines et ira se battre dans le Pacifique contre les Japonais. Après un premier échec en 1944, il est élu Sénateur du Wisconsin en 1946, il sera brillamment réélu en 1952.
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mercredi, 22 janvier 2025
Francis Bergeron présente son roman "Le hussard remonte le temps" sur TV Libertés.
Un jour froid de novembre, Julien Ardant a délaissé un instant ses grands papiers et ses manuscrits précieux pour lire quelques pages de "A l’épreuve du temps" de Jacques Benoist-Méchin. Une visiteuse interrompt cette lecture pour lui exposer une affaire pressante. Installée au château berrichon de "La Petite Roche", son association, le Super Catholique, subit les mauvais agissements du chatelain voisin qui n’est autre que le président de l’Assemblée nationale, le docteur Beauchêne. Un ennemi plutôt coriace qui va obliger Ardant à endosser de nouveau les habits du Hussard, flanqué de ses acolytes habituels, le Lansquenet et sa sœur Alice. Une enquête qui va aussi le ramener dans le Berry de son enfance, et ranimer le fantôme de Sophie, son épouse assassinée le 14 novembre 2015 par des terroristes islamistes.
Ancien directeur du quotidien Présent, Francis Bergeron présente son premier roman policier "Le hussard remonte le temps".
Pour le commander, cliquez ici
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lundi, 20 janvier 2025
Sortie prochaine d'un nouveau Cahier d'Histoire du nationalisme (le n°29) consacré à Jean-Marie Le Pen
Mardi 7 janvier 2025, décédait celui qui aura de fait le plus marqué, bien au-delà de l’histoire de la droite nationale, l’histoire de la vie politique française au cours de ces 70 dernières années, Jean-Marie Le Pen.
Réalisé à l’initiative d’Aristide Leucate, essayiste et chroniqueur réputé dans les milieux nationalistes, ce Cahier d’Histoire du nationalisme, le 29e, sortira début février 2025, quelques semaines après la disparition de celui que ses partisans appelaient, avec admiration et affection, en référence à sa qualité de Breton sans doute, « le menhir ».
Ce Cahier, essentiellement composé de témoignages de ceux qui l’ont suivi dans sa grande aventure salvatrice pour la France, raconte les différentes étapes de l’engagement de Le Pen. Il est aussi destiné à rappeler, ou à dévoiler, les aspects méconnus de cet homme de conviction et d’action qu’était Jean-Marie Le Pen.
Il s’agit, en plus, de réparer les injustices et les calomnies dont il a été, toute sa vie durant et au-delà de sa disparition, la victime.
Vous pouvez le commander dès maintenant.
CHN 29, 250 pages, 24,00 € (+6,00 € de port),
Sortie : 15 février 2025
Pour commander en ligne ce livre cliquez ici
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Paris, vendredi 24 janvier : soirée Livr'arbitres
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dimanche, 05 janvier 2025
Un nouveau livre de Jean-Claude Rolinat consacré à Monaco...
SN - Nos lecteurs vous connaissent bien, vous collaborez régulièrement à ce site et à la revue Synthèse nationale et vous avez déjà publié plusieurs ouvrages politiques, notamment les biographies d’Oliveira Salazar, du Maréchal Mannerheim, et des Perón, sans oublier une sorte de radioscopie du régime des colonels grecs cliquez ici. Qu’est-ce qui vous a poussé à faire un livre sur ce micro-État qu’est Monaco ?
JCR – Je vais vous étonner, cette envie remonte à mon enfance. Monaco fut le premier pays « étranger » où j’ai mis les pieds, avec mes parents. Depuis, il y en a eu bien d’autres ! J’avais sept ans et le ballet des carabiniers devant le palais du prince m’avait particulièrement impressionné. Le drapeau qui flottait là-bas n’était pas le même que chez nous, et cela m’avait intrigué. J’ai approfondi la question, et la sortie en 1956 du film d’Hitchcock , « La main au collet », avec l’actrice Grace Kelly - dont l’action se déroule en partie à Monaco -, avait ranimé mon intérêt. D’autant que la vedette du film est devenue princesse de Monaco, évènement mondain qui braqua les yeux du monde entier sur le Rocher, le sortant d’un relatif anonymat. Depuis, je suis retourné six à sept fois dans ce minuscule pays. Et, lors de mon dernier séjour, j’ai approfondi la question jusqu’à rédiger un livre, ce livre « Monaco, plus qu’une Principauté de rêve, un État ». C’est un digest, en quelque sorte, s’adressant à toute personne qui désirerait tout savoir sur la Principauté sans avoir à le chercher.
SN – Sérieusement, vous considérez Monaco comme un « État », au même titre que la Belgique ? Le Brésil ou la Chine ?
JCR – « Small is beautiful » ! Au-delà de la boutade, juridiquement, oui, Monaco au même titre qu’Andorre, San-Marino, le Luxembourg ou le Liechtenstein – autres petits « pays » -, sont membres des Nations Unies. Et leurs voix pèsent autant que celles de la Russie ou des USA. Je vous ferai remarquer que bien des Empires ou de puissants pays sont morts – j’ai d’ailleurs publié chez Dualpha un « Dictionnaire des États disparus » . Permettez-moi de vous rappeler que Rome, Byzance, le Saint-Empire romain germanique, la Prusse, la RDA ou l’URSS, étaient des mastodontes autrement plus puissants que ces pastilles de souveraineté. C’est l’honneur de ces pays lilliputiens de maintenir envers et contre tout, leur spécificité qui plonge dans l’histoire la plus longue.
SN – Les relations entre Monaco et la France n’ont pas été toujours un « long fleuve tranquille »…
JCR – Oui, vous avez raison, c’est le moins que l’on puisse dire. Comme un vêtement rétrécit au lavage, parait-il, la Principauté a perdu au fil du temps quelques kilomètres carrés, pour mieux en regagner sur la mer par de pharaoniques travaux, qui sont l’œuvre du prince Rainier, père de l’actuel souverain. Monaco, avant de perdre le territoire des actuelles communes de Menton et de Roquebrune/Cap Martin, allait jusqu’à la frontière italienne. Les vicissitudes de l’histoire ont fait que ces villages ont voulu se rattacher à la France au XIXe siècle.
SN – Mais n’y a-t-il pas eu aussi un épisode tragi-comique dans les relations franco-monégasques, dans les années 1960 ?
JCR – Oui, effectivement, le torchon a brûlé entre le général De Gaulle et le prince Rainier. C’était en 1962 et, au moment où le président français larguait l’Algérie, on s’est justement demandé s’il n’allait pas annexer Monaco !
SN – Quel était l’objet de la querelle ?
JCR- La fiscalité. Les résidents français, comme les autres étrangers et les sujets monégasques eux-mêmes, ne payaient pas d’impôts sur le revenu. De Gaulle a voulu changer les choses. Du jour au lendemain, des cordons de CRS et de gendarmes ont pris position à Beausoleil, sur la frontière, une frontière qui se joue de la topographie, et qui chevauche allègrement immeubles et trottoirs imbriqués ! On a même dit que Rainier avait giflé le Ministre d’État français, qui est un peu l’œil de Paris dans les affaires monégasques ! Enfin, tout est rentré dans l’ordre l’année suivante quand Monaco a accepté, pour les plus grands regrets de ses résidents français, que le fisc joue son rôle « d’oncle Picsou » à leur détriment.
SN – Justement, Monaco n’est-elle pas, comme beaucoup de places « off shore », un paradis fiscal aux portes de « l’enfer fiscal français » ?
JCR – Le règlement de cette question est en bonne voie, et la Principauté est sortie de la liste dressée par l’Union européenne des « États voyous » en matière fiscale. Ce qui ne veut pas dire que la confidentialité bancaire n’existe pas, et que nombre de grandes fortunes ne soient pas à l’abri dans les banques monégasques où l’on retrouve tous les sigles célèbres de cette corporation ! Il y a, c’est vrai, un côté « bling-bling » sur le Rocher, avec les yachts ancrés à Port Hercule ou à la Condamine, son activité mondaine et un évènementiel particulièrement riche. Qui ne connait pas le rallye de Monte-Carlo, le Grand prix de Monaco, le festival international du cirque, le Bal de la Rose ou celui de la Croix Rouge ? Mais Rainier et Albert, son fils, ont fait et font rayonner leur minuscule pays tout particulièrement dans le bassin méditerranéen. Il est vrai que la France, qui se couche devant des pays secondaires comme l’Algérie, par exemple, pourrait n’en faire qu’une bouchée. Mais quel intérêt aurait la République d’annexer moins de 3 km² alors que la Côte d’Azur draine des masses de touristes qui, justement, y viennent aussi pour visiter et séjourner en Principauté ?
Propos recueillis par Guirec Sèvres
« MONACO plus qu’une Principauté de rêve un État », un livre de 150 pages, cahier photos, aux éditions Godefroy de Bouillon, 18,00 €.
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lundi, 30 décembre 2024
DÉCIDÉMENT, CET OLRIK N’EST PAS TRÈS FRÉQUENTABLE !
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Mais quelle mouche a bien pu piquer Yves Sente, le scénariste du dernier album des aventures de Blake et Mortimer, « Signé Olrik », faisant succomber l’un de ses héros au « politiquement correct » ? Un invraisemblable plaidoyer pro-migratoire sert presque de fil conducteur à cette aventure qui aurait pu être digne d’intérêt si, justement, on n’y assénait pas, notamment page 32 - dernière vignette -, des âneries du genre « …La guerre a privé la région de bon nombre d’hommes (…) Nous sommes par conséquent obligés de faire appel à une main d’œuvre étrangère pour exploiter la mine et faire vivre la région…et ce sont les locaux qui nous le reprochent ! Un comble ! ». Pourtant, l’aventure commençait bien, avec un colonel Olrik à deux doigts de terminer sa carrière comme feu Saddam Hussein, et sa dose de mystère historico-ésotérique, sans oublier son inévitable innovation scientifique …Et pour clore l’album, son récurrent monde souterrain, la marque de fabrique d’Edgar P. Jacobs !
Nous sommes au Royaume-Uni et un certain Free Cornwall Group entend réactiver une hypothétique indépendance de la Cornouaille sur fond de légende Arthurienne. Pas d’aventures de Blake et Mortimer sans colonel Olrik à l’horizon. Une fois de plus, le légendaire malfaiteur aura les honneurs de cette histoire où, à contre-courant d’une opinion majoritaire en Grande-Bretagne comme partout ailleurs en Europe, le professeur Mortimer se croit obligé d’en faire des tonnes avec des immigrés indiens, se rappelant, sans doute, sa jeunesse passée aux Indes. Ce qui lui vaut de la part d’un ouvrier très british page 31, 5 ème case, une acerbe remarque en constatant qu’il est écossais : « À l’oreille, je parierais pour un accent écossais. Autant vous dire que vous n’êtes pas beaucoup mieux vu que les moricauds par ici ». Pourquoi diable être allé chercher une très aléatoire ségrégation dans une fiction dessinée destinée à la jeunesse, mais pas que ? Pour formater, comme la télévision et la radio le font, hélas « merveilleusement », nos chères petites têtes de moins en moins blondes, et les vacciner contre un prétendu virus raciste, à de très fortes doses de haine de soi ?
Bref, sans ce message anti-raciste superflu et maladroit, qui n’ajoute rien à Signé Olrik, le duo d’enfer composé du savant amateur de pipe et de whisky, et du captain Blake - chef du MI 5 -, pouvait entrainer tranquillement le lecteur dans cette énième histoire bien dessinée par le regretté André Juillard. Un dessinateur à qui le scénariste rend d’ailleurs hommage en première page, et qui est l’auteur de pas mal d’albums de la période post-jacobsienne. (Il est paru plus d’aventures de « Blake et Mortimer » après la mort de leur créateur, que pendant sa période active.) Vous l’aurez compris, on peut ne pas lire Signé Olrik si l’on est allergique aux rabâchages de SOS Racisme. Reste la légende du Roi Arthur. Et les explications qui sont offertes donneront peut-être l’envie à certains lecteurs, d’approfondir le sujet autour d’une table ronde !
« Signé Olrik », un album de 64 pages paru aux éditions « Blake et Mortimer », Bruxelles, octobre 2024.
01:19 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 17 décembre 2024
L'album 2024 d'Ignace : le parfait cadeau à offrir à vos amis à Noël :
Pour le commander cliquez ici
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dimanche, 15 décembre 2024
Un nouveau roman signé Francis Bergeron : Le Hussard remonte le temps
Un jour froid de novembre, Julien Ardant a délaissé un instant ses grands papiers et ses manuscrits précieux pour lire quelques pages d’À l’épreuve du temps de Jacques Benoist-Méchin. Las, une visiteuse pousse la porte des Décombres et interrompt cette lecture de qualité pour lui exposer une affaire pressante. Installée au château berrichon de « La Petite Roche », son association, le Super Catholique, subit les mauvais agissements du chatelain voisin qui n’est autre que le président de l’Assemblée nationale, le docteur Beauchêne.
Un ennemi plutôt coriace qui va obliger Ardant à endosser de nouveau les habits du Hussard, flanqué de ses acolytes habituels, le Lansquenet et sa sœur Alice. Une enquête qui va aussi le ramener dans le Berry de son enfance, et ranimer le fantôme de Sophie, son épouse assassinée le 14 novembre 2015 par des terroristes islamistes.
Ancien directeur du quotidien Présent, biographe de Henri Béraud, Paul Chack ou Léon Daudet, Francis Bergeron s’est aussi fait connaître avec la populaire série jeunesse du Clan des Bordesoule. Il lui manquait d’explorer le roman policier, ce qu’il fait ici pour la première fois.
Le Hussard remonte le temps, Francis Bergeron, Auda Isarn, roman, 2024, 12,00 € cliquez ici
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samedi, 07 décembre 2024
Avez-vous lu le livre de Thierry DeCruzy consacré aux Brigandes ?
Pour commander ce livre cliquez ici
Les Brigandes étaient au Rendez-vous BBR de Synthèse nationale en octobre 2019 :
17:09 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 24 novembre 2024
Mercredi 11 décembre, à Paris : Xavier Eman dédicace son nouveau livre "Formatage continu" à la Librairie Vincent
23:54 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 21 novembre 2024
LE NOUVEAU CATALOGUE DE SYNTHÈSE ÉDITIONS
2006-2024 : Synthèse nationale a 18 ans…
Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale.
Cette année a été une année importante pour Synthèse nationale… Année importante car notre revue a fêté ses 18 ans. C’est en effet en 2006, au mois de mai, que nous avons créé le site d’information quotidien, et au mois de novembre, qu’a paru le premier numéro de la revue Synthèse nationale. Le lancement avait été mûrement réfléchi par le petit groupe de militants et de cadres que nous étions alors (et que nous sommes toujours), durant les mois précédents, à l’occasion de plusieurs réunions, en Bourgogne et en Bretagne.
Il s’agissait, avec peu de moyens, de créer un organe de réflexion capable de donner la parole à toutes les sensibilités de notre famille politique. Celle-ci sortait à peine d’une grave crise qui l’avait divisée des années durant (FN MNR) et qui l’avait amené à reculer sur le plan électoral (présidentielle de 2007). Nous pensions qu’il était temps de tenter de recoller les morceaux afin que le mouvement national retrouve sa place et redevienne une force attractive capable de sauver la France face aux dangers terribles qui la menacent. L’entreprise n’était pas gagnée d’avance mais méritait d’être tentée.
Certes, les années qui suivirent ont apporté leur lot de divisions, surtout sur le plan électoral (et de persécutions, au plan militant). Mais, à notre modeste niveau, nous avons réussi à réunir, dans les colonnes de notre revue, comme lors de nos Rendez-vous Bleu Blanc Rouge ou des colloques et réunions que nous avons tenus, tant à Paris qu’en Province, tous ceux qui, il y a quelques années encore, semblaient inconciliables. Mettre à la même tribune toutes les organisations (allant des néo-droitistes aux catholiques de tradition, en passant par les patriotes laïques issus de l’ultra gauche, ou encore les nationaux conservateurs, les monarchistes et les nationalistes-révolutionnaires) était un pari audacieux que finalement nous avons gagné à de nombreuses reprises. Je pense, sans vanité aucune, que Synthèse nationale a contribué, au-delà des structures partisanes, à introduire au sein de la droite d’idées un état d’esprit différent que celui qui régnait avant sa création. C’est une immense satisfaction pour nous tous, mais il y a encore beaucoup à faire…
Parallèlement, nous avons lancé, en 2012, notre maison d’édition qui, depuis, a publié des dizaines de livres destinés à la formation des militants qui, chaque année, sont de plus en plus nombreux à rejoindre le combat nationaliste et identitaire. Là aussi, après douze ans d’existence de Synthèse éditions, les résultats sont positifs. Nous nous félicitons en particulier du succès de notre collection phare, Les Cahiers d’Histoire du nationalisme, qui est destinée à apprendre aux jeunes générations militantes, sous un prisme différent de celui de la pensée dominante, l’histoire tumultueuse et passionnante des droites nationalistes, tant en France qu’ailleurs dans le monde…
Tout cela a été possible grâce au soutien que vous nous avez apporté tout au long de ces dix-huit ans de combat. Que ce soit en vous abonnant à notre revue trimestrielle Synthèse nationale, en achetant les livres que nous publions ou encore en contribuant à nos "souscriptions patriotiques" annuelles qui nous permettent de "boucler" nos budgets.
Aujourd’hui, en France (comme un peu partout en Europe et même au-delà), la droite nationale est en passe d’arriver au pouvoir. Pour atteindre cet objectif, il faudra qu’elle réalise la "synthèse" de toutes ses composantes. Quelque part, depuis dix-huit ans, nous avons essayé de montrer le chemin à suivre, et nous en sommes plutôt fiers. Néanmoins, nous sommes conscients du travail qu’il reste à réaliser. Ce travail se fera avec votre indispensable soutien. Nous savons que nous pouvons compter sur votre aide à tous… La renaissance de notre nation et de notre civilisation le vaut bien !
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lundi, 18 novembre 2024
Dimanche 1er décembre, Le Port-Marly (78) : Fête du Livre de Renaissance catholique
23:46 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 14 novembre 2024
"Formatage continu", le nouveau livre de Xavier Eman
Pourquoi la plupart des journalistes se ressemblent-ils si parfaitement ? Pourquoi tiennent-ils tous le même discours, défendent-ils les mêmes positions, la même vision du monde et de la société ? Pourquoi sont-ils si déconnectés de l’opinion publique qu’ils tentent pourtant de façonner ? Pourquoi rejettent-ils avec tant de hargne les expressions populaires de plus en plus clairement énoncées, notamment lors des élections ?
Parce qu’ils sont issus d’un vaste système de formatage idéologique, d’endogamie sociale et de cooptation politique : un réseau d’« écoles » qui n’ont de diversité que géographique et que Xavier Eman expose et décrypte dans cet opus.
« Formatage continu. Tour de France des quatorze principales écoles de journalisme. Présentations et témoignages », Xavier Eman, éditions la Nouvelles Librairie, 108 pages, 9,00 €.
Pour le commander : cliquez ici
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mardi, 12 novembre 2024
Samedi 16 novembre : Marc Rousset dédicacera à la Librairie Vincent
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jeudi, 31 octobre 2024
Les Barbaresques : racket et esclavage en Méditerranée
Entretien avec Nathalie Joron qui vient de rééditer aux Éditions de Nos Chères Provinces le livre Les Barbaresques de Pierre Hubac.
(Propos recueillis par Fabrice Dutilleul)
On a coutume d’associer les Barbaresques aux peuples arabes et musulmans…
Les Barbaresques, corsaires de Djerba, de Tripoli, de Tunis, de Salé, de l’Archipel, de Cilicie, tinrent la mer jusqu’en des temps très proches de nous. Hardis marins, montés sur des esquifs légers, ils abordaient en haute mer les vaisseaux marchands et ils les remorquaient dans leurs rades ; ils s’emparaient des coques et des cargaisons et retenaient prisonniers les équipages et les passagers, dont ils tiraient des rançons. Ou bien ils les mettaient à ramer sur leurs galères et sur leurs chébecs. Ils osaient quelquefois s’attaquer à des navires bien armés, à de véritables vaisseaux de guerre, et il arriva que, par surprise et à force de courage, ils parvinrent à s’en rendre maîtres. Enfin, ils poussèrent l’audace jusqu’à accoster aux rivages d’Europe, portant le désarroi dans les ports et dans les cités, enlevant des hommes, des femmes et des enfants dans les champs et dans les maisons.
Lorsqu’il s’agit de corsaires, l’Histoire est plus que jamais empêchée de se dire impartiale…
L’histoire, en effet, adopte une attitude chauvine résolue et distingue nettement entre deux sortes de corsaires : nos corsaires, et les autres. Les autres, ce sont les ennemis. Les premiers, cela va sans dire, portés au pavois comme parangons de toutes vertus guerrières ; les seconds méritant la plus vive réprobation. Et comme les uns ont toutes les raisons pour eux, toutes les excuses, on n’en saurait trouver aucune pour les autres. Pierre Hubac met en exergue le fait que les pirates et les corsaires, les marins donc, avaient pour une large part une origine européenne. Hommes auxquels leur patrie respective n’offrait que peu ou pas de perspectives d’obtenir liberté ou richesse, ou les deux. Encore moins une vie d’aventures. L’opinion publique française n’est pas trop prévenue, en vérité, contre les Barbaresques. La grande histoire nationale se borne en général à indiquer que la Turquie fut souvent notre amie et notre alliée sur mer, et que la France entretint de tout temps au Maghreb des comptoirs, des représentants, des consuls…
Que nous apprend le livre de Pierre Hubac ?
Une Histoire étonnante, passionnante, moins romantique qu’on ne le voudrait, où se croisent les sultans, les raïs, les deys, les beys, Barberousse le richissime corsaire, les amiraux Doria et Duquesne, les rois de France, le Bey d’Alger et son éventail… Nous nous trouvons en présence d’une aventure exceptionnelle, d’un phénomène singulier qui a duré des siècles. Les États les plus forts, les princes les plus orgueilleux et les plus puissants du monde, durent bon gré mal gré s’en accommoder, faute d’avoir pu y mettre un terme. Papes, doges, empereurs, rois, ligues et coalitions, et non seulement Charles-Quint et François Ier, Alexandre VI et la Sérénissime République à son apogée, mais également Louis XIV, et Napoléon, l’Angleterre reine des Indes et maîtresse des océans, et les USA acceptèrent de reconnaître ces aventuriers comme des princes souverains, durent composer avec eux, traiter d’égal à égal ; ils leur offrirent des cadeaux, reçurent avec considération leurs ambassades, les accueillirent avec distinction, subirent leurs remontrances et leur payèrent annuellement un tribut régulier.
En effet, certes rude, mais qui organise la vie commerciale en Méditerranée, sur mer et sur terre. Il est étonnant de constater alors que les puissances maritimes d’Europe, tout comme l’empire ottoman, la Tunisie et le Dey d’Alger, participent activement au développement et au maintien de ce système à travers des jeux d’alliances. La lutte de Pouvoir est constante et l’argent gagné ou perdu influe sur la survie et la mort des régimes… jusqu’à ce que le plus faible se fasse chasser durablement de son assise territoriale par un plus fort. Ce dernier impose alors sa propre conception du commerce, du destin des hommes, du développement économique et social… jusqu’à ce qu’il se fasse lui-même chasser.
Les Barbaresques, Pierre Hubac, Éditions Nos chères provinces, collection : Aventures et Aventuriers, 308 pages, 35,00 €
Pour commander ce livre cliquez ici
18:53 Publié dans Livres, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 30 octobre 2024
Jean-Claude Rolinat, auteur de "Israël Palestine, la mort aux trousses", invité de la télévision du Parti de la France
Pour commander le livre cliquez ici
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lundi, 28 octobre 2024
Le nouveau livre de Philippe de Villiers : "Mémoricide"
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mardi, 22 octobre 2024
RAPPEL : Paris, mercredi 23 octobre, à la Librairie Vincent
20:16 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne, Thierry DeCruzy | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 21 octobre 2024
Invité de Martial Bild, Bernard Germain présente son nouveau livre "Démasquer la gauche, cette imposture permanente" sur TV Libertés
Ancien ingénieur logiciel dans un grand groupe de télécommunications, Bernard Germain est l’auteur de nombreux ouvrages cliquez ici dont le dernier en date : "Démasquer la gauche, cette imposture permanente", un livre vivifiant et revigorant, aux Editions Synthèse nationale.
La gauche est apparue comme courant politique durant la seconde moitié du XIXe siècle, en relation avec la révolution industrielle et la création conjointe d’un prolétariat principalement concentré dans les usines, dans les centres urbains. Exprimant au départ des sentiments et des objectifs respectables, l’Histoire a montré que ceux-ci furent rapidement oubliés, voire violés purement et simplement. L’utopie s’est transformée en un véritable cauchemar. Toute l’action de la gauche fut donc, dès le début, un phénoménal mensonge, une idéologie qui trompe les gens en prétendant défendre certains principes mais en pratiquant une réalité bien différente.
Le livre de Bernard Germain reprend, un par un, les grands thèmes mobilisateurs des gauches françaises (immigration, écologie, féminisme...) et démontre l’imposture, le mensonge, l’ignorance, l’escroquerie, l’arnaque de ce courant de pensée. Et l’auteur n’oublie pas de rétablir les vérités, chiffres à l’appui. Quiconque veut cesser d’être manipulé par cette idéologie nauséabonde a intérêt à écouter la mise en garde de Bernard Germain.
Démasquer la gauche, cette imposture permanente, Bernard Germain, Les Bouquins de Synthèse nationale, collection "Idées", août 2024, 290 pages, 29,00 €.
Pour commander ce livre cliquez ici
12:37 Publié dans Bernard Germain, Livres, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Mercredi 23 octobre, à la Librairie Vincent (Paris) : Thierry Decruzy dédicacera son nouveau livre sur "Les Brigandes"
01:51 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne, Thierry DeCruzy | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
LUNDI 21 OCTOBRE, À 12 H 30, BERNARD GERMAIN PRÉSENTE SON NOUVEAU LIVRE "DÉMASQUER LA GAUCHE, CETTE IMPOSTURE PERMANENTE" SUR TV LIBERTÉS
Pour commander ce livre cliquez ici
01:50 Publié dans Bernard Germain, Livres, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 18 octobre 2024
Le dessein légionnaire
La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol
Jeune trentenaire originaire des Alpes, Rodolphe Cart collabore à Éléments, à Front Populaire de Michel Onfray et à Omerta du journaliste-baroudeur Régis Le Sommier. Déjà auteur d’une courte biographie sur Georges Sorel et d’un pamphlet contre les identitaires regroupés autour de Daniel Conversano, il signe aux éditions Hétairie son premier essai, un ouvrage de combat percutant.
On lit sur la couverture Faire Légion. Pour un réveil des autochtones (Editions Hétairie, 2024, 180 p., 18 €), sous-titre qu’on ne retrouve pas en page intérieure, remplacé par un éclairant « Une jeunesse face au déclin ». Cet autre intitulé plus explicite indique que l’auteur s’adresse en priorité à sa génération et aux classes d’âge proche. Le ton y est énergique, enthousiaste et catégorique. Dans un monde sans valeur où tout s’équivaut, Rodolphe Cart pose les jalons théoriques d’un réveil souverainiste, conservateur, nationaliste et populaire. Ce sursaut nécessite cependant l’avènement d’un esprit martial, activiste et combattant qu’il nomme « légionnaire ».
Bien que rédacteur au magazine des idées qui soutient et valorise la civilisation européenne, Rodolphe Cart veut qu’à travers cette implication totale, ses compatriotes retrouvent une « France primitive » et se placent sous le patronage de « la déesse France ». L’auteur cite souvent Charles Péguy. Pourquoi n’emploie-t-il pas « Notre-Dame la France » plutôt que l’expression maurrassienne ? Il s’agit pour lui d’assurer « la personnification du mythe de la nation – comme Jeanne d’Arc et même Marianne ont pu l’être. Dans l’ordre de l’Être, la déesse France est inférieure à l’homme car l’homme est une substance; mais dans l’ordre de l’Agir, de la morale et du politique, la nation est supérieure à l’homme comme le tout est supérieur à la partie ». Il ne cache pas ses intentions holistes, intentions hautement révolutionnaires par ces temps d’hyperindividualisme égotiste exacerbé.
Le réveil national français passe d’après lui par le mythe légionnaire, un « mythe nationaliste, et non européiste, racialiste ou occidentaliste », précise-t-il. Sa formation s’accompagne de « la valorisation conservatrice, prélibérale et nationaliste d’un nouvel ordre social ». À l’instar de Georges Sorel, principal théoricien du mythe mobilisateur de la « grève générale » (qui ne s’est jamais produite), l’auteur de Faire Légion considère que son « mythe légionnaire est […] un mythe vitaliste par ce souci de la fécondation et de la succession des générations, par la reconnaissance du devoir qu’a une communauté de persévérer dans son être propre, par la mise en place d’une politique visant à son indépendance vis-à-vis de toute ingérence extérieure ou de tentative de déstabilisation intérieure ».
Sachant que nous vivons au milieu des ruines, Rodolphe Cart souligne que son « mythe légionnaire défend dans un même mouvement la souveraineté et l’identité de la France ». Mais quelle identité ? Celle, revancharde conçue sous la IIIe République sur l’ethnocide des cultures vernaculaires dites régionales ou bien celle, bigarrée et chatoyante, qui s’est épanouie sur le substrat indo-européen et qui s’est déclinée en variantes locales, historiques et continentales au cours de l’histoire ? L’interrogation se pose d’autant qu’il affirme que « l’État prime sur les classes et sur les races ». L’État légionnaire – allusion subtile à la Garde de Fer roumaine de Corneliu Codreanu ? – a la vocation de « refaire un peuple ». Ainsi assène-t-il avec raison et conviction que « tout ce qui est social est national ».
Rodolphe Cart veut donc la France seule. S’il exclut ouvertement tout projet altereuropéen, son point de vue se confine toutefois au seul cadre hexagonal. Pourquoi n’évoque-t-il pas la dimension planétaire de la France ? Que pense-t-il des territoires d’outre-mer ? Souhaite-t-il accorder l’indépendance à ces ultimes vestiges de l’ancien empire colonial ou les envisage-t-il en pivots régionaux d’une puissance française rénovée ? Par ailleurs, Rodolphe Cart est en train de sortir une enquête sur l’emprise dangereuse des néo-conservateurs bellicistes en France. Par-delà la francophonie, facteur commode d’immigration de peuplement, ses travaux prendraient une plus grande densité en incitant à la renaissance impérieuse de la francité. Un État légionnaire français pourrait-il vraiment ignorer le destin héroïque et menacé de ces peuples issus de l’ethnie celtique – franque - normande installés en Amérique du Nord (les Québécois, les Acadiens, les « Bois Brûlés » du Grand Ouest) ?
Avec la fougue propre à la jeunesse, Rodolphe Cart part à l’assaut de ce « monde vétuste et sans joie ». Au lieu de s’enfermer dans sa tour d’ivoire, il n’a pas hésité à être le suppléant de Mélody de Witte, la candidate du Rassemblement national (RN) dans la deuxième circonscription de Paris, fief ingagnable pour l’Opposition nationale, lors des législatives anticipées des 30 juin et 7 juillet 2024. Son engagement électoral lui a valu en retour un article fielleux et outrancier de la part d’une plumitive de CaniveauPress (ô pardon – StreetPress !), un bidule gauchiste subventionné, expert dans la délation en ligne sous prétexte de pourchasser un fascisme imaginaire. Toujours en quête de dédiabolisation, les caciques du RN risqueraient de ne point apprécier Faire Légion, trop radical à leurs petits yeux fragiles. Peu lui chaut !
Rodolphe Cart apporte des solutions toniques. Il doit maintenant les approfondir, les améliorer et les affiner, surtout s’il ne veut pas que son nationalisme légionnaire finisse dans une impasse conceptuelle. Qu’il fasse donc sa mutation métapolitique ! Promouvoir l’esprit légionnaire, d’accord, mais au sein de la forteresse Europe !
Salutations flibustières !
• « Vigie d’un monde en ébullition », n°129, mise en ligne le 15 octobre
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mercredi, 16 octobre 2024
LE LIVRE D'ÉRIC ZEMMOUR, "UN SUICIDE FRANÇAIS", BIENTÔT À LA TÉLÉVISION
Nous apprenons via l'AFP : Le Suicide français, le bestseller d’Éric Zemmour, va être adapté à l’écran !
Toute la presse en parle et tous ceux qui soutiennent Éric Zemmour en sont fiers !
Sorti en octobre 2014, écoulé à 500.000 exemplaires, Le Suicide français sera adapté en une série de quatre épisodes de 52 minutes.
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mardi, 08 octobre 2024
Salus Populi : quand Bruno Mégret nous fait rêver…
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Il y a parfois des livres, hélas uniquement des fictions, qui font rêver les lecteurs. Ce fut le cas, il y a quelques années, du livre de notre ami le major Alain Bonte, « L’espérance, notre rêve pour la France ». Il y était raconté l’histoire d’un militaire, totalement hors du système, qui se faisait élire président de la République, et se donnait les moyens, tous les moyens, de mener une politique au service de la France et des Français.
C’est un scénario assez proche que nous décrit Bruno Mégret, aujourd’hui retiré de la vie politique française, dans ce livre, « Salus Populi », que les éditions Altera viennent d’éditer.
Le héros de cet ouvrage, Jérôme Bolton, est un homme politique de centre droit que rien ne prédisposait à être élu président de la République en 2032, si ce n’est un ensemble de circonstances. Homme d’appareil plutôt discret, il gagne la présidentielle, face à l’extrême droite, grâce à un programme offensif sur l’insécurité et l’immigration.
Une fois arrivé au pouvoir, ses conseillers, et les responsables de son parti qui ressemble comme deux gouttes d’eau à LR, lui expliquent qu’il a bien fait d’utiliser ces arguments durant la campagne, mais qu’à présent qu’il est au pouvoir, il sait bien qu’il ne pourra pas appliquer le programme pour lequel il a été élu, parce que celui-ci serait incompatible avec ce qu’on appelle « l’État de droit ».
De manière surprenante, le nouveau président s’obstine à vouloir faire voter une loi qui respecte ses engagements de campagne. Et cette loi est votée, avec bien des réticences, par la majorité qu’il a acquise, suite à sa victoire. Sauf que, sans surprise, le Conseil constitutionnel la rejette dans son intégralité.
Alors que tout le monde lui conseille de rendre les armes avec les honneurs, Jérôme Bolton refuse de bafouer les électeurs français et décide de se battre, contre sa majorité, qui le lâche. Aidé par un conseiller de l’ombre d’une rare efficacité, il décide alors de dissoudre l’Assemblée nationale, de revenir devant le peuple français, et de proposer un référendum qui permet au président de la République et à l’Assemblée nationale d’avoir le dernier mot, face au Conseil constitutionnel. Et pour cela, il franchit le Rubicon, s’affranchit du politiquement correct, et fait alliance avec un parti qualifié d’extrême droite.
Malgré la violente campagne des médias contre lui, il remporte les élections législatives qui suivent, et dispose d’une majorité qui lui donne les moyens d’appliquer son programme, même s’il est contraire, selon les mondialistes, à l’État de droit.
Il met donc fin à l’immigration sauvage, à la dictature de l’Union européenne, à la bureaucratie parasitaire qui bloque le pays, à la logique de l’endettement sans fin de la France, et à tout ce qui est en train de tuer notre pays.
Pendant cinq années, il opère, sans se laisser intimider par la rue ni par les pressions internationales, les réformes nécessaires pour redonner la souveraineté au peuple de France. Il montre, tout au long de ses réformes, que quand il y a la volonté, il y a un chemin.
Cinq ans plus tard, la France est transformée, et il se présente de nouveau devant les électeurs…
Certains jugeront cette fiction utopiste. D’autres ne partageront pas certaines orientations du héros de Bruno Mégret. Mais nul ne pourra contester qu’à travers cet ouvrage, celui qui fut longtemps le numéro deux du Front national trace le chemin d’un programme de rupture avec le politiquement correct, et nous démontre qu’un président de la République française qui le voudrait pourrait tout à fait s’émanciper de la tyrannie des juges et des mondialistes, et redonner à la France les moyens de demeurer la France.
Salus populi, Bruno Mégret, Roman, Éditions Altéra, 256 pages, 21,00 €
Vous pouvez commander ce livre à DPF cliquez ici
Un entretien avec Bruno Mégret publié sur Riposte laïque cliquez ici
Entretien avec Martial Bild sur TV Libertés cliquez là
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mardi, 01 octobre 2024
Demain, mercredi 2 octobre, à Paris...
Demain, mercredi 2 octobre, docteur Merlin dédicacera, à la librairie Vincent (115 avenue de La Bourdonnais, 75007 Paris, métro Ecole Militaire) son dernier ouvrage Défense de l'Occident et la Garde de fer. Pour la première fois, il y a réuni les quinze articles que la revue, créée en 1952 par Maurice Bardèche, a consacrés à la "Légion de l'Archange Saint Michel" de Corneliu Codreanu (1899-1938).
Ce recueil, qui est, selon les propres mots de l'auteur, un hommage aux "Légionnaires", vient nous rappeler qu'après l'assassinat de leur chef, ils n'ont cessé d'entretenir la flamme et de lutter, comme ils ont pu, contre la barbarie communiste, à l'intérieur même de la Roumanie ou dans leur exil, nous donnant ainsi une grande leçon d'humilité, d'exigence et de courage.
Pour commander l'ouvrage de Docteur Merlin, cliquez ici
13:39 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 26 septembre 2024
Bernard Germain dédicacera son nouveau livre lors de la réunion du Rassemblement vendéen le samedi 6 octobre
12:30 Publié dans Bernard Germain, Livres, Rendez-vous avec Les Bouquins de Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 23 septembre 2024
Le nouveau livre du Marquis est paru...
Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, comme le savent les lecteurs de Synthèse nationale, est un observateur avisé de la vie parisienne. Doté d’un grand talent de conteur, un tantinet sarcastique mais jamais méchant, il sait décrire ceux qu’il rencontre ou fréquente régulièrement.
Ce nouveau livre du Marquis nous fait entrer dans l’univers de quinze personnalités (ou organismes) qu’il a bien connus et, souvent, appréciés…
Portraits anecdotiques, de Jean Gabin à Jany Le Pen,Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, Via Romana, 145 p., 19,00 € cliquez ici
08:01 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 19 septembre 2024
"Occident go home", le nouveau livre de Michel Geoffroy
Les éditions Via Romana viennent de publier un nouvel essai de Michel Geoffroy intitulé "Occident go home", sous-titré "Plaidoyer pour une Europe libre".
Comme toujours, avec Michel Geoffroy, les faits sont expliqués avec intelligence et clarté. De plus, vous n'y trouverez aucun défaitisme. On peut d'ailleurs lire, au début du livre, cette phrase pleine d'espérance de Dominique Venner : "Il n'y a de fatalité que dans l'esprit des hommes". Nous ne pouvons que conseiller la lecture de ce livre tellement d'actualité.
R H
Voici la note de l'éditeur en 4e de couverture :
L’Occident incarne désormais, non plus la chrétienté, le progrès et la liberté, mais l’américanisme, l’empire du mal, des valeurs inversées, de la mort et du mensonge. Il correspond à une maladie civilisationnelle qui tente d’infecter le monde entier et c’est pourquoi il suscite une répulsion justifiée et croissante.
Pourtant, si l’oligarchie occidentale nous vassalise, elle perd la domination du monde devant la poussée des civilisations émergentes.
Oui, nous vivons dans un monde d’autant plus dangereux que nous déclinons dans tous les domaines : religieux, moral, économique, social, militaire et le monde entier le sait désormais. Mais la conscience de notre déclin constitue pour Michel Geoffroy une incitation vitale à réagir.
On nous fait oublier, pour mieux nous asservir, que le génie de notre civilisation consiste à refuser le fatalisme ; que la Providence ne dispense pas l’homme d’œuvrer à son salut, que la volonté forge l’histoire, que l’esprit domine la matière et que l’épée reste l’axe du monde.
Voici toutes les raisons de retrouver l’espérance car vient déjà l’heure des hommes debout au milieu des ruines, celle d’une nouvelle élite qui engagera la renaissance de notre civilisation, relevant les défis du monde polycentrique qui vient.
Alors cessons de ruminer nos désastres en attendant le couteau de l’islamiste ou le drone qui nous tuera pour nous libérer. Occident Go home ! Décolonisons l’Europe en retrouvant son âme, par une reprise en main de nos destinées humaines et spirituelles.
Michel Geoffroy est énarque, ancien haut fonctionnaire, contributeur à la fondation Polemia. Il a déjà publié en collaboration avec Jean-Yves Le Gallou le Dictionnaire de novlangue, puis La Superclasse mondiale contre les peuples, La Nouvelle Guerre des mondes et Le Crépuscule des Lumières aux éditions Via Romana ; ainsi qu’Immigration de masse, l’assimilation impossible, et Bienvenue dans le Meilleur des Mondes aux éditions de la Nouvelle Librairie.
Occident go home, Michel Geoffroy, Via Romana, septembre 2024,136 pages, 17,00 € cliquez ici
08:00 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 06 septembre 2024
Un nouveau recueil des chroniques de Charles-Henri d'Elloy sur Radio Courtoisie : "Au bal des facétieux"
Les lecteurs de Synthèse nationale connaissent bien Charles-Henri d'Elloy. Depuis une quinzaine d'années, il nous régale dans chaque livraison de notre revue avec sa chronique grinçante et pertinente très appréciée de tous.
De plus, nous avons édité trois livres de notre ami :
• Petit abécédaire d'un Français incorrect... et quelques joyeuses impertinences, 2015, cliquez là
• Les enfants de Maastricht, 2017, cliquez ici
• Le procès de Jupiter, 2022, cliquez ici
Charles-Henri d'Elloy anime aussi une émission sur Radio Courtoisie. Il vient de publier un recueil de ses chroniques, intitulé "Au bal des facétieux" sur cette radio.
Voici la note de présentation de l'éditeur (Une autre voix) de ce recueil :
Découvrez « Au bal des facétieux », le nouveau recueil explosif de Charles-Henri d’Elloy !
Dans ces 81 chroniques audacieuses, l’auteur vous entraîne dans un tourbillon d’idées provocantes et de réflexions percutantes sur notre société. Avec l’esprit d’un Cyrano moderne, d’Elloy bouscule le politiquement correct et vous fait voir le monde sous un nouveau jour.
De la nostalgie touchante aux critiques cinglantes, en passant par des anecdotes savoureuses, chaque page vous interpelle et vous fait réfléchir. Certaines chroniques ont été acclamées, d’autres censurées, mais toutes portent la marque d’un esprit libre et incisif.
Préparez-vous à une lecture stimulante, drôle et parfois dérangeante. « Au bal des facétieux » vous invite à une danse endiablée au rythme des idées de Charles-Henri d’Elloy. Osez entrer dans la danse !
Pour le commander cliquez ici
19:30 Publié dans Charles-Henri d'Elloy, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 04 septembre 2024
Samedi 7 septembre, Claude Janvier dédicacera ses livres à la Librairie Vincent à Paris
12:00 Publié dans Claude Janvier, Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |