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samedi, 31 juillet 2021

Parution du nouveau numéro (n°191) de la revue Eléments

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C’est grave, docteur ?

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Alain de Benoist

Après l’ère du soupçon, l’ère du délire. Sous l’influence du politiquement correct, du néoféminisme halluciné et d’un néoracialisme obnubilé par le cutané, le politique tourne maintenant au psychiatrique. Objectif : mettre en accusation la « blanchité » (whiteness) au nom de la supériorité noire, et l’« hétérocaptivité » au nom d’une misandrie associée à l’idée que la distinction masculin-féminin ne correspond à rien.

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Source : Revue Eléments n° 191

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jeudi, 29 juillet 2021

Faits divers ? Pas si sûr...

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Camille Galic

En théorie, le château de Poligné, datant du XVIIe siècle et classé en Ille-et-Vilaine aux Monuments historiques, avait été loué du 10 au 17 juillet pour « une famille de dix personnes participant à l’anniversaire du grand-père ». En fait, plus de 150 jeunes, presque tous mélanodermes, ont déferlé pour assister plusieurs soirs de suite au « showcase exclusif Négrito » proposé par des rappeurs et faisant un boucan infernal. Malgré plusieurs demandes pressantes de la propriétaire des lieux a la gendarmerie, il a fallu qu’une fusillade oppose les fêtards et fasse deux blessés pour que les pandores se décident a intervenir et a faire évacuer les lieux, jonchés d’immondices, de bouteilles d’alcool vides, de narghilés et de bonbonnes de protoxyde d’azote, ce gaz hilarant désormais indissociable de toute réjouissance. Et ne parlons pas des massifs de fleurs saccagés, des plates-bandes transformées en parkings, de la piscine remplie d’excréments, des tapisseries et rideaux arrachés ni des vasques et meubles d’époque brisés. Quand on vous disait que les Noirs avaient un sens inné de la fête !

Fleury-Mérogis…  hôtel quatre étoiles

On le sait, de belles âmes se sont émues de |’« exploitation dégoûtante » des attentats islamistes du 13 novembre 2015 par les Amis d’Eric Zemmour. Les familles des victimes et les rescapés de ces massacres s’émeuvent-ils aussi du coût extravagant pour la collectivité nationale de l’emprisonnement à Fleury-Mérogis de Salah Abdeslam, instigateur, logisticien et sans doute acteur de ces tueries qui firent 131 morts en région parisienne, et seul survivant du commando, cité à partir de septembre devant la Cour d’assises spéciale de Paris ? De l’aveu même du ministère de la Justice répondant à une question écrite du député RN Sébastien Chenu, « le coût de la détention du terroriste par les services pénitentiaires s’éléve 4 433 000 euros par an, soit environ 36 000 euros par mois ». Une somme énorme s’expliquant par l’entretien du djihadiste (35 500 euros par an pour sa nourriture, le blanchiment de son linge et le chauffage de sa cellule) mais surtout, selon Capital, par la rémunération (397 000 euros) des « huit agents qui se relaient jour et nuit pour assurer une veille continue du détenu ». De crainte sans doute qu’il mette fin à ses jours et, surtout, ne soit suicidé par des « fréres » redoutant qu’il ne se montre trop disert à  son procés. Autre précision donnée par la Chancellerie : l’une des cellules attenantes à celle occupée par le Maroco-Francais « est laissée libre et équipée, en cas d’incident. Une autre cellule voisine reste vide, pour des raisons de sécurité. Le dispositif de surveillance des gardiens est abrité dans une quatrième cellule. Enfin, le détenu utilise occasionnellement une cinquième cellule, équipée d’un rameur et d’un vélo ». Toutes gâteries dont l’essayiste Hervé Ryssen, emprisonné plusieurs mois a Fleury-Mérogis pour mal-pensance, n’aurait même pas osé rêver.

Source : Présent 27/07/2021

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Bob Morane, le héros aux mille vies

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Aristide Leucate

Il a quitté la Vallée infernale pour rejoindre les Berges du temps. Henri Vernes, créateur de Bob Morane, s’en est allé, à 102 ans, rejoindre les Hergé, Jean Ray, J.-H. Rosny aîné, Bob de Moor et autres Edgar P. Jacobs qui, auteurs de BD ou romanciers d’aventures ou de fantastique, constituent la galaxie belge de la littérature d’évasion la plus imaginative d’Europe.

Bob Morane ! Trois syllabes qui résonnent d’un son si particulier dans l’esprit de plusieurs milliers de lecteurs francophones. Tous ont à l’esprit les noms de personnages immortels tels Bill Ballantine (complice écossais de l’aviateur français qu’il appelle Commandant), Monsieur Ming, alias l’Ombre jaune, ennemi juré des deux précédents et qui, à l’instar du phénix, revient sans cesse – pour le plus grand bonheur des aficionados – se mettre en travers de leur route, la troublante et énigmatique Miss Ylang-Ylang, chef du SMOG – organisation criminelle internationale qui n’est pas sans rappeler celle du SPECTRE opposée à l’agent 007 de Ian Fleming –, meilleure ennemi de Morane qui la subjugue, Tania Orloff, nièce de Ming qui, secrètement éprise du trentenaire aux cheveux noirs et drus, a toujours quelques scrupules à contrecarrer les plans criminels de son oncle, Roman Orgonetz, dit encore « l’homme aux dents d’or », espion cruel qui a juré la perte du reporter de la revue Reflets.

Né Charles-Henri-Jean Dewisme à Ath, dans le Hainaut, le 16 octobre 1918, il aura, lui aussi, une vie d’aventures. À 19 ans, il s’amourache d’une jeune Chinoise qu’il suivra jusqu’à son bordel de Canton, avant de revenir en Europe où il sera, tout à tour, courtier en pierres précieuses, agent des services de renseignement belges, puis des services secrets britanniques durant la Seconde Guerre mondiale, rejoignant ainsi la Résistance. Après-guerre, il travaille pour une agence de presse américaine et en qualité de correspondant pour deux quotidiens français.

En 1953, il est approché par Jean-Jacques Schellens, directeur littéraire des Éditions Marabout. Après un premier texte convaincant – Les Conquérants de l’Everest –, il signe La Vallée infernale, toute première aventure de Bob Morane qui le propulsera au firmament du succès et en fera un des plus solides piliers de la maison belge. À un rythme effréné, il écrira plus de deux cents romans contant les péripéties de son héros à travers le monde. Écrivain infatigable, il publiera d’autres livres sous divers pseudonymes (dont, sous le nom de Jacques Colombo, une torride série d’espionnage, Don, au Fleuve noir). Après avoir été croqué pour les couvertures des livres par Pierre Joubert, Henri Lievens ou Coria (pour la Bibliothèque verte), Bob Morane fera une incursion remarquée dans le 9e art grâce aux talents successifs de Dino Attanasio, Gérard Forton ou William Vance.

Avant d’inspirer la chanson « L’Aventurier » au groupe Indochine en 1982, la télévision française s’emparera du mythe dans les années soixante. C’est Claude Titre qui endossera la tenue du personnage vernésien, tandis que Billy Kearns tentera de rentrer dans la peau de Bill Ballantine. La série, qui comptera deux saisons et 26 épisodes, échouera totalement à restituer l’atmosphère bondissante, si singulière, des romans d’Henri Vernes.

Toutefois, ce séducteur hors pair qui aura pour ami Blaise Cendrars, Jean Ray ou Le Corbusier se montrait, dans la vie, assez péremptoire, sinon tranché dans ses jugements. N’ayant pas de mots assez durs contre « les horreurs du christianisme », il fustigeait dans un même élan son compatriote Hergé auquel il reprochait le racisme de Tintin.

Vétilles sans importances pour un homme qui aura fini par être totalement éclipsé par son héros auquel nombre d’adolescents prirent plaisir à s’identifier.

Source Boulevard Voltaire cliquez là

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mercredi, 28 juillet 2021

L’animal est-il une personne ?

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Alain de Benoist a publié à la fin de l’année dernière, La Place de l’homme dans la nature. En effet, c’est en voulant répondre au livre d’Yves Christen, L’Animal est-il une personne. ?, que le philosophe s’est aperçu que le sujet était loin d’être anodin. D’où ce livre, percutant et qui remet à leur place une bonne fois pour toutes les cinglés antispécistes qui voudraient nous priver du plaisir d’un beau et bon morceau de viande et coller au chômage des professions entières, éleveurs et cuisiniers. Michel Geoffroy nous fait part de tout le bien qu’il pense de ce livre. La chasse est ouverte.

Lire la suite ICI

L’animal est-il une personne, d’Yves Christen, Flammarion - La place de l’homme dans la nature, par Alain de Benoist, éditions de La Nouvelle librairie.

Site de La Nouvelle Librarie

Site Polemia

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mardi, 27 juillet 2021

Des contrôles et vérifications inapplicables

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Olivier Baccuzat

Doit-on vraiment, comme l’a fait la semaine dernière la Défenseure des droits, s’inquiéter du « contrôle d’une partie de la population par une autre » avec la mise en place du pass sanitaire et du projet de loi sur lequel députés et sénateurs viennent de se mettre d’accord ? Si la proportionnalité des restrictions et des sanctions prévues peut légitimement poser question au regard des droits et libertés fondamentales de chacun, si on peut s’offusquer à juste titre de l’examen, imposé à marche forcée aux parlementaires, d’un texte ne prolongeant rien moins que l’état d’urgence sanitaire, à l’arrivée, ne risque-t-il pas d’y avoir davantage de peur que de mal tant plusieurs mesures de ce texte semblent tout bonnement inapplicables ?

Entre les contrôles dévolus à un « ex- ploitant de transport » comme la SNCF qui, amendes ou pas, va se heurter à la résistance assumée des cheminots, ceux devant être assurés par des forces de l’ordre dont les syndicats ont d’ores et déjà prévenu qu’elles feraient avec les moyens du bord, autant dire avec peu d’empressement, entre les vérifications dévolues, sans plus de détails, à des fonctionnaires des agences régionales de santé dont on ignore s’ils sont équipés pour la circonstance, et l’obligation de pass sanitaires dans les centres commerciaux laissée à la libre appréciation des préfets, l’indigestion administrative est totale.

Une énième fois depuis le début de cette crise sanitaire, l’appareil d’Etat démontre qu’il a le chic pour accoucher de procédures aussi brouillonnes que complexes là où précisément simplicité et souplesse devraient être les maîtres mots pour obtenir l’adhésion de tous. Tout le contraire de ce projet de loi dont il n’est pas acquis qu’il re- çoive dans son intégralité l’imprimatur du Conseil constitutionnel la semaine prochaine.

Source : l’Opinion 27/07/2021

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dimanche, 25 juillet 2021

Dix ans pour rien !

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Bertrand de Saint-Vincent

Dix ans que ça dure. A Nantes, la cour d’appel administrative vient d’annuler les autorisations d’un parc éolien dans les Côtes d’Armor, en raison de son impact négatif sur le paysage. Les travaux avaient déjà démarré et la société responble a annoncé se tourner vers le Conseil d’État. Près de Saint-Brieuc, malgré la colère croissante des pêcheurs, l’érection de soixante-deux mâts de 207 mètres de haut a été validée le long de côtes labélisées Grand Site de France. Dans le Nord, la Belgique saisit la justice pour tenter de faire annuler un vaste projet offshore du côté de Dunkerque... Quel gâchis ! De temps, d’argent, d’énergie. À quoi servent les dirigeants s’ils sont incapables de fixer une ligne claire sur un point aussi fondamental que la politique énergétique de la France ? À nourrir l’abstention. Malgré les recours, les dossiers alarmistes, les critiques étayées, les éoliennes continuent, dans un va-et-vient chaotique, à tracer leur sillon de laideur inutile. Coulés dans le béton, nourris de métaux rares, à l’extraction polluante, alimentés par des centrales à gaz, ces candides moulins à vent persistent à faire figure de sauveurs de la planète. Tous les rapports sur leurs limites – faible rendement, coût exorbitant, impact désastreux sur le patrimoine et l’environnement – n’y font rien. Aux yeux de leurs partisans les plus acharnés, ces encombrants pylônes demeurent le seul moyen d’avancer sur la voie magique de la neutralité carbone. Quoi qu’il en coûte.

Il est temps de dissiper le brouillard coupable qui entoure et dissimule la vraie nature de ces tourniquets ; d’extirper les arrière-pensées idéologiques de ceux qui aspirent à les voir balayer les fondements de notre croissance. « Du rêve aux réalités », comme le dit un documentaire dont l’audience témoigne de l’évolution de l’opinion, la marge est béante. L’exigence d’une énergie propre, renouvelable, est partagée par le plus grand nombre. On ne peut la laisser entre les pales d’une armée dont l’une des caractéristiques est de demeurer les bras croisés les trois quarts du temps.

Source : Le Figaro 24/07/2021

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vendredi, 23 juillet 2021

Éloge mesuré de la dictature sanitaire

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En Europe, nous avons toujours été une terre de discussions, parfois vives, sur divers sujets. La vérité n’est atteignable que si le débat est libre et si toutes les opinions s’expriment. (Polemia)

Eric Delcroix

Le pays bruit de mille échos, dans les médias, dans les réseaux sociaux et jusque dans la rue, contre la « dictature sanitaire ». Certes, nous avons l’impression d’être sous une telle dictature, mal vécue après dix-huit mois de restrictions, de confinements ou couvre-feu. Mal vécue d’abord parce que maladroite, maladresse symbolisée par le maintien à la Direction de la Santé d’un bureaucrate qui nous avait dit que le masque « ne servait à rien », avant d’en justifier l’obligation, même au milieu de nulle part.

Sur le principe toutefois, et de façon momentanée, cette dictature informelle (le président n’a même pas activé l’article 16 de la Constitution) mais civique paraît justifiée, comme ce peut être le cas face à la guerre, aux grands cataclysmes ou aux dangereuses épidémies. Sommes-nous réellement dans ce dernier cas ?

De la gravité de l’épidémie

On entend dire là-contre que cette pandémie est assez modérée en termes de létalité, notamment au regard des grandes grippes de l’après-guerre, dites asiatique et de Hongkong. L’argument est certes pertinent, mais hélas inaudible car notre rapport à la mort a changé… et malheureusement aussi le rapport de nombre d’entre nous à la science et à la médecine.

Indéniablement, la pandémie de la covid-19 désorganise les sociétés contemporaines, notamment quant aux relations humaines, à la vie sociale et économique, à l’enseignement. Voilà pourquoi, cette quasi dictature, aussi médiocre puisse-t-elle être avec Emmanuel Macron, quand elle impose enfin une décision raisonnable, doit être admise. Il faut arrêter les confinements et autres couvre-feux et s’en donner les moyens.

Oui, la communauté scientifique peut être raisonnablement suivie quand elle postule la généralisation du vaccin, vaccin qui jusqu’ici nous a tout de même libérés de la variole, de la tuberculose, de la diphtérie ou du tétanos. Les « soignants » rétifs, acceptent l’obligation de vaccination contre l’hépatite B, mais pas contre le nouveau coronavirus ! Il est du ressort du pouvoir de veiller à ce que ces irresponsables cessent de transmettre cette maladie, notamment sous forme nosocomiale, à leurs patients.

Objections des opposants à la vaccination

Les opposants à la vaccination expriment en premier lieu un refus de la science qui frise la superstition.  La connaissance et la pratique des sciences (ici biologie et médecine), ne rend pas nécessairement le praticien scientifique. Prométhée ne s’enseigne pas, pas même aux étudiants en médecine : c’est un état d’esprit historiquement très européen… Louis XVI, plus hardi que nombre de nos contemporains, s’était fait inoculer le tout premier vaccin, celui de Jenner (1749-1823) ; il avait vu son grand-père Louis XV mourir de la variole et, de La Pérouse à Jenner, encourageait toutes les découvertes scientifiques. Peur de la nouveauté, peur de la science et du terme ésotérique d’ARN messager : et si cela induisait des cancers dans quinze ans, entend-t-on dire… Et si, en l’absence de vaccin, la covid 19 induisait des cancers dans quinze ans ?! Toujours la réponse du berger à la bergère ! Le génie de l’Occident fut tout de même de faire naître le science…

En second lieu, ces opposants, expriment un individualisme exacerbé que cultivent la ploutocratie (ou si vous préférez le capitalisme mondialiste) et l’extrême gauche, dans l’oubli de l’intérêt général. Étrangement, cette notion semble échapper à MM. Philippot et Dupont-Aignan qui manifestent une hargne d’anarchistes brouillons.

Oui, en cas d’épidémie aux conséquences désastreuses, les libertés publiques auxquelles nous sommes historiquement et esthétiquement attachés, peuvent être brièvement suspendues. Entendre des gens des milieux de la droite radicale reprendre le slogan « Mon corps est à moi »  (Moi ! Moi ! Moi !) des militantes de l’avortement sans limites, est confondant. Non, notre corps n’est pas une propriété ; nous entendons certes qu’il soit respecté, mais nous ne saurions prétendre le conserver comme libre vecteur de quelque peste que ce soit. Les mêmes opposants ne s’imaginent pas malades, mais il faudra quand même les soigner le cas échéant, aux frais de l’assurance maladie bien sûr, et peut-être avec une nouvelle catastrophique saturation des services de réanimation…

On sait, depuis plus de deux siècles que, pour éliminer les maladies endémiques ou épidémiques, le vaccin est un impératif catégorique, comme la quarantaine, depuis le Moyen-Âge, dont les fichus droits de l’homme ne permettent même plus l’application stricte.

Eric Delcroix est juriste, essayiste, écrivain, auteur de Droit, conscience et sentiment.

Source : site Polemia

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jeudi, 22 juillet 2021

Restauration : un patrimoine en danger

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La restauration ne saurait se résumer à ce que l’on trouve dans son assiette. La restauration en appelle d’abord à un certain art de vivre, fondement de notre patrimoine culturel et pour tout dire quasi consubstantielle à notre être. Le restaurant comme le bistrot sont inséparables de notre vie quotidienne et dont nous sommes maintenant privés depuis plus d’un an. Ce n’est pas sans conséquence pour ce que l’on appelle les métiers de bouche. Dans ce court article Natacha Polony cible bien les enjeux de cette profession en grand danger.

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mardi, 20 juillet 2021

Cinéma : le conformisme est de rigueur !

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Xavier Eman

L’interdiction de se rendre dans les salles de cinéma faite, à partir de cette semaine, aux parias refusant la vaccination obligatoire ne devrait pas être trop difficile à supporter. En effet, après la piteuse pantalonnade des César, c’est au tour du festival de Cannes de finir de nous détourner de ce qui fut jadis le « 7e art » et qui ressemble aujourd’hui à quelque chose à mi-chemin entre un meeting LGBT et une séance chez le psychiatre.

IL ne fallait certes pas attendre grand-chose d’un festival dirigé par Pierre Lescure, ancien patron de Canal+ et incarnation paroxystique de « l’esprit » de cette chaine, à savoir le ricanement bobo faussement transgressif, et dont le président du jury était le militant racialiste noir Spike Lee. Un président d’ailleurs totalement à côté de ses pompes lors de la cérémonie de clôture, puisqu’il a annoncé la Palme d’or au début - et non a la fin - de la soirée, créant un important malaise dans le public et la panique des organisateurs.

La dite Palme d’or a donc été attribuée à Titane de Julia Ducournau, un film « trash » (en français : dégoûtant) selon la plupart des commentateurs, qui avait provoqué des nausées et des évanouissements chez certains spectateurs lors de sa projection, ce qui serait apparemment un gage de qualité et même d’excellence. Une vingtaine de personnes choquées par l’extrême violence des images avaient ainsi dû être prises en charge par les pompiers. Mais de quoi parle donc ce nouveau chef-d’oeuvre ? Titane narre Phistoire d’Alexia, une jeune femme victime d’un accident de voiture, à qui a été greffée une plaque de titane dans la tête, ce qui lui fait développer une attirance sexuelle pour les voitures (sic) ainsi que des pulsions meurtrières envers les hommes. Sera-t-elle sauvée par l’amour de Vincent, un pompier accroc aux piqures de testostérone, qui pleure son fils disparu enfant ? Si vous n’êtes pas impatient de vous précipiter dans les salles obscures pour avoir la réponse à cette angoissante question, c’est que vous êtes un affreux ringard, pour ne pas dire un « has been »complet.

Pour l’anecdote, on pourra aussi noter, en marge du palmarès officiel, la remise de la « Queer Palm », le prix LGBT, aune autre oeuvre au scénario tout à fait passionnant, La Fracture, où Marina Fois et Valeria Bruni-Tedeschi campent un couple lesbien au bord de la séparation, qui se retrouve à |’hôpital en pleine crise des Gilets jaunes. Encore un grand succès populaire en perspective...

Mais laissons le dernier mot à la lauréate de la Palme d’or, Julia Ducournau, tant son pompeux charabia est emblématique de ce qu’est devenu le grand raout annuel du cinéma international : « Je remercie le jury d’avoir reconnu le besoin avide et viscéral que nous avons d’un monde plus fluide et plus inclusif. J’appelle à plus de diversité dans nos expériences au cinéma et dans nos vies. Merci aussi au jury de laisser rentrer les monstres. »

Eh bien, pour notre part, nous préférons laisser les monstres entre eux.

Source : Présent 20/07/2021

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lundi, 19 juillet 2021

Au Portugal les décès dus au Covid passent de 17 000 à 152 !

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On n’a pas l’habitude de lire les informations dans les journaux portugais, parce qu’on n’en maitrise pas la langue, et puis, si l’on n’a pas de connaissances ou de famille au Portugal, il faut bien reconnaître que l’intérêt est somme toute réduit.

C’est pour cela qu’une décision de justice est passée inaperçue, et bien entendu parfaitement occultée par nos médias nationaux subventionnés. Pourtant, elle pourrait ouvrir la voie à une même étude en France, je suis sûr que cela nous réserverait bien des surprises.

À la suite d’une pétition citoyenne (que refusent tous nos gouvernements, et l’on comprend pourquoi…), un tribunal de Lisbonne a été contraint de fournir des données vérifiées sur la mortalité due à la Covid 19.

Les ministères avançaient le nombre de 17 000 décès, mais selon la décision du tribunal, le nombre de décès vérifiés entre janvier 2020 et avril 2021 n’est en fait que de… 152 ! Soit 0,9% de la « réalité gouvernementale ». Tous les autres sont décédés pour diverses raisons, bien que leur test PCR fût positif.

La presse de connivence s’était engouffrée dans le mensonge d’État, mais on ne l’entend pas pour s’excuser, comme Paris Match du 8/02/2021.

Nous voyons bien que :

1) Il est quand même pour le moins indécent qu’une information aussi banale doive être rendue publique à la suite d’une procédure de Justice.

2) Le Pouvoir politique participe activement à une manipulation de grande envergure.

Et en France ?

Les données proviennent du Sistema de Informaçào dos Certificados de Obito (Système d’information sur les certificats de décès) le seul système de ce type au Portugal.

Publié par le site Nice Provence Info

Source portugaise  ICI

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Ite missa est

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Michel Onfray

Je suis athée, on le sait, mais la vie de l’Église catholique m’intéresse parce qu’elle donne le pouls de notre civilisation judéo-chrétienne bien mal en point. Car si Dieu n’est pas de mon monde, mon monde est celui qu’a rendu possible le Dieu des chrétiens. Quoi qu’en disent ceux qui pensent que la France commence avec  la Déclaration des droits de l’homme, ce qui est aussi stupide que de croire que la Russie est née en octobre 1917, le christianisme a façonné  une civilisation qui est la mienne et dont j’estime que je peux l’aimer et la défendre sans battre ma coulpe, sans avoir à demander pardon pour ses fautes, sans attendre une rédemption après confession, contrition et agenouillement. C’est fou comme ceux qui répugnent au christianisme en disant qu’il n’a pas eu lieu s’en trouvent imprégnés comme de rhum le baba que l’on sait !

Benoît XVI fut un pape philosophe formé à l’herméneutique et à la phénoménologie allemande. Il a également lu les auteurs catholiques français dans le texte. Son Jésus de Nazareth (2012) s’inscrit dans l’histoire de l’idéalisme allemand, notamment de l’hégélianisme qu’on dit de droite pour le distinguer de celui qui, dit de gauche, conduit au jeune Marx.

Le pape François n’est pas de ce niveau théologique, loin s’en faut. Mais il ne manque pas de la rouerie jésuitique qui fait que, venant de la Compagnie de Jésus, il choisit pour nom de souverain pontife celui qui se trouve le plus opposé des intrigues et des antichambres du pouvoir où les jésuites aiment à se trouver, à savoir celui de François d’Assise. Jorge Mario Bergoglio, chimiste de formation, vient du péronisme ; Joseph Ratzinger, théologien de formation, de l’antinazisme.

À mes yeux, l’acte majeur du pape Benoît XVI a été le discours de Ratisbonne où, le 12 septembre 2006, dans l’université allemande où il a été professeur, il a fait son travail de pape en estimant que le christianisme et l’islam entretiennent par les textes une relation antinomique, notamment sur l’articulation entre foi et raison, mais également sur la question de la violence en général et sur celle du djihad en particulier. Je dis par les textes car c’était ici son souci, il présentait en effet l’exégèse personnelle d’un dialogue situé au début du XVe siècle entre l’empereur Byzantin Manuel II Paléologue et un érudit persan. L’invitation à réfléchir sur cette question fut prise pour une insulte planétaire faite à l’islam...

L’acte majeur du pape François est, toujours selon moi, de s’être fait photographier devant un crucifix sur lequel Jésus porte le gilet  de sauvetage orange des migrants. C’est ici l’icône triomphante de Vatican II qui congédie tout sacré et toute transcendance au profit d’une moraline tartinée de façon planétaire comme une gourmandise de scout.

C’est selon cette logique qu’il faut comprendre la décision du pape François d’abroger, disons-le dans un terme profane, la décision prise par Benoît XVI de permettre la messe en latin, dite messe Tridentine, pour ceux qui le souhaitent. Dans Summorum pontificum, Benoît XVI libéralisait la messe dite de Pie V. Dans Traditionis custodes, François efface cette libéralité. Benoît XVI voulait dépasser le schisme avec les traditionalistes, François va le restaurer en prétextant bien sûr, jésuite un jour, jésuite toujours, qu’il entend de cette façon réunir ce qu’il sépare. Les vocations chutent avec Vatican II. Mais les religieux qui conservent le rite latin n connaissent pas la désaffection, mieux, ils remplissent les séminaires.

Le pape François préfère les églises vides avec ses thèses que pleines avec celles de Benoît XVI. Séparer n’est-ce pas la fonction dévolue... au diable ? L’étymologie témoigne. Si j’avais la foi catholique, je ne pourrais m’empêcher de penser à l’Épître de Jean qui dit : « Tout esprit qui divise Jésus-Christ n’est point de Dieu ; et c’est là l’Antéchrist, dont vous avez entendu dire qu’il doit venir ; et il est déjà maintenant dans le monde. » (I.4:3).

Ce qui se joue dans cette affaire, c’est la suite de Vatican II, autrement dit l’abolition du sacré et de la transcendance. La laïcisation du rite réduit à une liturgie dont La vie est un long fleuve tranquille a montré toute la puissance avec son curé cool qui joue de la guitare et chante bêtassement « Jésus, Jé-é-é-é-sus, reviens». Onpeutpréférerlechant grégorien sans être pour autant un nostalgique de Vichy...

Or le génie du christianisme, les différents conciles sur la possibilité ou non de figurer le christ témoignent a été de rendre possible une civilisation de l’allégorie, de la symbolique, de la métaphore. Le génie juif se trouve dans l’herméneutique, celui du christianisme dans l’explication des paraboles. Les juifs inventent l’herméneutique pour les plus savants, les rabbins lecteurs de la kabbale ;  les chrétiens élaborent l’herméneutique populaire, pour les fidèles à qui l’on raconte des histoires à déchiffrer avec l’histoire sainte. Notre civilisation de l’image, de la raison explicative, de la philosophie séparée de la théologie, procède de ce monde-là.

La messe en latin est le patrimoine du temps généalogique de notre civilisation. Elle hérite historiquement et spirituellement d’un long lignage sacré de rituels, de célébrations,  de prières, le tout cristallisé dans une forme qui offre un spectacle total - un Gesamtkunstwerk, pour utiliser un mot qui relève de l’esthétique romantique allemande.

Pour ceux qui croient en Dieu, la messe en latin est à la messe du Long fleuve tranquille celle que semble affectionner le pape François, ce qu’est la basilique romaine contemporaine de saint Augustin à une salle polyvalente dans une barre d’immeubles à Aubervilliers : on y chercherait en vain le sacré et la transcendance. Quelle spiritualité dans ces cas-là ? Disons-le de façon énigmatique, le pape François fait bien ce pour quoi il est là où il se trouve... Ajoutons d’une façon tout aussi énigmatique, mais pas tant que ça, qu’on se demande pourquoi nous vivons dans une époque avec deux papes.

*Dernier livre paru : « L’Art d’être français », Bouquins (Robert Laffont).

Source : Le Figaro 19/07/2021

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Répression des non-vaccinés : un « remake » des Gilets jaunes

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Michel Geoffroy Polémia cliquez ici

Les non-vaccinés sont à la dictature sanitaire ce que les Gilets jaunes étaient à la mondialisation heureuse : un front du refus qui s’installe en dehors de tout appareil partisan. Puisque pour l’essentiel tous les partis institutionnels se sont ralliés aux mots d’ordre de la dictature sanitaire. Ce sont les nouveaux Gilets jaunes, mais invisibles cette fois et qu’il faut pour cette raison désigner à la vindicte.

Les non-vaccinés, comme les Gilets jaunes, ne croient pas à la propagande du pouvoir et donc de Big Pharma. Ils se méfient de vaccins aux effets d’autant mal maîtrisés que les laboratoires qui les ont mis sur le marché ont décliné par avance toute responsabilité, avec la complicité de l’Union européenne et des gouvernants !

Ils ne comprennent pas que l’on veuille les vacciner de force : car, si le vaccin est aussi efficace qu’on le dit, en quoi des personnes non vaccinées constitueraient-elles une menace ? Et si le vaccin n’est pas si efficace que cela, alors pourquoi l’imposer à toute la population ? Ou pourquoi préconiser déjà une troisième injection ?

Les non-vaccinés ne font plus confiance, comme les Gilets jaunes, à des institutions et des médias qui depuis le début de la « pandémie » disent tout et son contraire, et donc mentent en permanence.

Comme les Gilets jaunes, ils ne veulent pas être traités comme du bétail que l’on vaccine ou que l’on marque à la chaîne, sous prétexte de protéger les « personnes fragiles » c’est-à-dire en réalité pour l’essentiel les vieux baby-boomers qui nous ont légué, en toute irresponsabilité, un monde invivable et qui votent pour Macron.

La macronie : répression et propagande toujours

Face aux non-vaccinés, comme hier face aux Gilets jaunes, la macronie a choisi la diabolisation, la propagande et la répression. Chassez le naturel, il revient au galop, dit-on.

Les médias mainstream, une nouvelle fois, ont joué leur rôle de relais du pouvoir et de préparation de l’opinion, comme on parle de préparation d’artillerie avant une offensive. En diffusant en boucle la peur de la quatrième vague. Et en lançant la chasse aux non-vaccinés, ouverte symboliquement par un autre Emmanuel : Emmanuel Lechypre, le 29 juin sur RMC.

Et, comme pour les Gilets jaunes, toute l’oligarchie et la bien-pensance politique, de Bernard Kouchner à Éric Ciotti, se sont rangées du côté du pouvoir, laissant éclater une nouvelle fois leur haine de classe en toute impunité. Comme lors des élections régionales et départementales, elles n’avaient pas de mots assez durs contre le RN et ses électeurs.

Pas de liberté pour les ennemis de la vaccination !

Salaud de non-vacciné !

On croyait jusque-là que la pandémie avait pour origine le petit pangolin ou le laboratoire de Wuhan. Mais non : pour nos maîtres piqueurs, le vrai coupable, c’est désormais le… non-vacciné !

Ce galeux irresponsable à cause de qui on risque d’être confiné de nouveau et qui va empêcher la relance de notre belle économie. Ou qui provoque la suspension de la braderie de Lille.

Salaud de pauvre ! Salaud de non-vacciné ! Salaud qui porte son masque en dessous du nez ! Salaud qui roule au diesel en fumant des clopes ! Salaud incivique qu’il faut dénoncer à la nouvelle Kommandantur médiatique !

France macronisée, France muselée

L’offensive politico-médiatique lancée contre les non-vaccinés démontre une nouvelle fois que la macronie n’est forte que pour taper sur les Français, que pour semer la discorde et la haine.

Car, quand il s’agit d’affronter les racailles de banlieue, l’explosion de la délinquance et de la toxicomanie, les zones de non-droit, les islamistes, l’Union européenne ou les bellicistes de l’OTAN, il n’y a plus personne en effet.

La France macronisée devient le seul pays occidental à se voir imposer la vaccination obligatoire de sa population et, comme au temps de l’URSS, le passeport intérieur (baptisé « passe sanitaire ») pour les actes quotidiens de l’existence. Un pays qui va donc imposer à chaque patron, à chaque commerçant, et finalement à chacun de contrôler ses salariés, ses clients ou ses voisins : il faudra montrer son passe sanitaire comme hier son Ausweis.

Quel symbole de la dérive liberticide et dictatoriale de la macronie !

Il est vrai que, compte tenu de son impopularité abyssale, Emmanuel Macron ne peut espérer une réélection qu’en muselant le peuple français, en truquant les élections et en fliquant tous ses opposants. Pour ce faire, la quatrième vague tombe à point ; en attendant la cinquième, qui permettra d’imposer le vote électronique et le vote par correspondance pour l’élection présidentielle de 2022…

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jeudi, 15 juillet 2021

Le non-vacciné, bouc émissaire d’une sociéte malade

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Mathieu Slama*

Faut aller les chercher avec les dents et avec les menottes s‘il le faut ! Voici comment un éditorialiste d’une chaine d'information s‘exprimait, il y a environ deux semaines. A peu prés au même moment, un célébre économiste de gauche expliquait, sur une chaine concurrente, qu'il fallait rendre la vie des non-vaccinés « beaucoup plus difficile ». Sur une autre chaine encore, un médecin expliquait, il y a quelques jours, qu’il fallait faire en sorte que les non-vaccinés ne puissent plus faire grand-chose.

On ne saurait mieux illustrer l’hystérie qui s’est emparée de notre pays autour de la question vaccinale. Le gouvernement est le premier responsable de cette situation, usant d’une stratégie particulièrement pernicieuse qui consiste a agiter la menace d’un reconfinement à la rentrée et d’en rendre responsables ceux qui auraient décidé, pour quelque raison que ce soit, de ne pas se faire vacciner (tout en rappelant, comble du cynisme, qu’il ne faut pas créer de fractures entre vaccinés et non-vaccinés!). Cette stratégie du bouc émissaire fonctionne, puisque l’on voit fleurir, sur les réseaux sociaux, insultes et menaces envers les non-vaccinés, certains allant jusqu’a exiger qu’ils soient mis a l’écart de la société et qu’ils payent leurs frais d’hospitalisation avec leur propre argent. Cette fureur répressive et disciplinaire n’est que l’aboutissement d’une longue séquence liberticide, où les Français ont accepté les mesures les plus insensées au nom de l’ordre sanitaire qui leur fut imposé. Mais elle prend une tournure de plus en plus autoritaire et chaotique à mesure que le virus s‘installe et que l'inquiétude se répand. Tous nos fondements démocratiques, au premier rang desquels l’égalité entre les citoyens et la liberté de disposer de son corps, sont en train de voler en éclats. Le retour a une vie “normale” est désormais conditionné au vaccin, comme si le confinement, mesure contraire a toutes nos valeurs démocratiques, était consubstantiel a un potentiel rebond de l’épidémie.

Il nous faut revenir à la raison et rappeler quelques principes de bon sens. Primo, la vaccination protege celui qui décide de se faire vacciner des formes graves du virus : le non- vacciné n’est donc une menace que pour lui-même. Il n’y a, par conséquent, aucune raison de forcer quiconque a se faire vacciner, puisqu'll ss‘agit là d’un choix individuel qui n’a aucune conséquence pour celui qui a décidé de se faire vacciner. Pour les autres, à leurs risques et périls ! Secundo, la citoyenneté ne se divise pas. Il n’y a pas deux catégories de citoyens selon que l’on est vacciné ou non. Le passe sanitaire est une aberration éthique, juridique et démocratique. Tertio, le virus ne disparaîtra pas. Il faut apprendre à vivre avec, se faire vacciner si on le souhaite et reprendre le cours de nos vies. La liberté est notre bien le plus précieux: il serait temps qu’on se le rappelle, avant que l'on ne céde définitivement, par peur et par soumission, aux sirènes de la servitude.

* Mathieu Slama est consultant et analyste politique.

Source : Valeurs actuelles 1/07/2021

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mardi, 13 juillet 2021

Jean-Frédéric Poisson : "Un sentiment de délire liberticide"

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Source Boulevard Voltaire cliquez ici

Le chef de l’État vient de s’adresser aux Français. Ces mots étaient extrêmement forts et ces décisions extrêmement dures. Quelle impression générale vous a donnée ce discours ?

Ce discours était sans surprise avec un sentiment de délire liberticide et de démagogie de campagne électorale. L’imposition du pass sanitaire puis de la vaccination obligatoire pour tous nous font entrer dans un état de dictature sanitaire que j’annonce et que je dénonce depuis quelques mois. Quant aux mesures annoncées sur le plan social, il a envoyé des signaux très clairs à son électorat pour maintenir son socle. Il fera sa réélection sur le dos de la liberté des Français. C’est proprement inacceptable. En d’autres temps, cela relèverait de la Haute Cour. 

Florian Philippot était à deux doigts d’accuser le Président d’avoir un problème de pathologie mentale. Selon vous, est-on sur du cynisme politique total ?

Je n’irai pas jusque-là puisque je n’ai pas cette compétence. Le caractère très anguleux du décor et très froid, tout cela est fait pour donner une impression d’alimenter la peur de l’opinion même si, par ailleurs, les propos sont très rassurants. Alors que le chef de l’État entend rassembler les Français, réunir le pays et assurer la cohésion, la relance de la réforme des retraites dans un contexte comme celui-là est-elle susceptible de le faire ?

Quand on voit la manière dont un certain nombre de personnes du gouvernement omettent leurs obligations les plus fondamentales comme le garde des Sceaux qui a malencontreusement oublié de déclarer une somme de 300.000 euros qui donne le vertige à 99,5 % de la population, on peut se poser des questions. Tout cela est incohérent. C’est une opération de massive division parce que M. Macron n’a pas d’autres moyens que d’assurer sa réélection autrement que par la peur et par la division des Français.

Par conséquent, il joue de ces deux leviers. Malheureusement pour nous tous, nos libertés publiques et individuelles en seront le moyen. C’est la raison pour laquelle il est de plus en plus urgent que tous ceux qui contestent ce projet politique et son caractère absolument néfaste pour nous tous unissent leurs forces et partent en combat ensemble.

On a l’impression qu’Emmanuel Macron s’adresse à ceux qui se sont fait vacciner pour eux et qui attendent des autres qu’ils le fassent.

Il s’adresse d’abord à ceux qui l’ont élu, à ceux qui n’ont pas mesuré la détresse et le désarroi dans lequel se trouve le pays depuis le début de ce quinquennat, à ceux qui sont peu concernés par les violences urbaines. Lorsque Emmanuel Macron dit que le pouvoir d’achat a augmenté, on dirait qu’il ne prend pas l’autoroute et qu’il ne paie pas l’électricité et le gaz. Si c’était le cas, il se rendrait compte qu’il dit des bêtises. Il s’adresse éventuellement à la classe sociologique qui l’a élu et dont il est certain qu’elle le réélira.

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Face à la dictature-Macron : réaction de Florian Philippot

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Source Boulevard Voltaire cliquez ici

Le chef de l’État vient d’imposer le pass sanitaire et d’autres mesures liberticides. On vous imagine vent debout contre ces mesures.

Je suis sidéré par ce que je viens d’entendre, c’est d’une violence inouïe. L’extension du pass sanitaire aux trains, aux restaurants, aux centres commerciaux, aux hôpitaux, etc., c’est unique au monde. Il a également clairement dit qu’il y aurait la vaccination obligatoire pour certaines professions. La prochaine étape, ce sera pour tout le monde. Il y aura également une troisième dose au mois de septembre. Ceux qui disent, aujourd’hui, qu’on n’est pas dans une dictature, ce sont des sots. On est dans une dictature très violente.

J’ai vu, ce soir, non pas un président de la République mais un psychopathe. Son regard, ses annonces… J’ai vu un fou furieux, inquiétant et dangereux. Nous basculons dans autre chose. Je connais des gens très en colère, sidérés et en pleurs. Je leur dis : « Ne sombrez pas. »

Se faire vacciner pour faire reculer l’épidémie, ce n’est peut-être pas une mauvaise idée…

On parle maintenant d’une troisième dose, et pourquoi pas un abonnement vaccinal ? On nous avait promis l’inverse. Le 24 novembre dernier, Emmanuel Macron avait dit qu’il n’y aurait pas d’obligation vaccinale. On nous annonce, maintenant, une restriction sanitaire pour aller au restaurant ou prendre un train ou un bus.

Les gens qui trouvent cela normal sont comme la grenouille dans l’eau que l’on fait bouillir : ils ont été ramollis. C’est anormal et cela doit appeler à la plus vive résistance, par le boycott. Je n’ai rien contre les restaurateurs, mais tant pis, on n’ira plus. Et les restaurateurs se retourneront contre l’État, pour se débarrasser de ce pass sanitaire. 

Pensez-vous que le Conseil constitutionnel pourrait s’opposer à cette décision ?

Ni le Conseil d’État ni le Conseil constitutionnel ne peuvent valider ne serait-ce qu’un dixième de ces annonces folles. Les principes les plus fondamentaux de liberté et d’égalité sont battus en brèche. Malheureusement, le Conseil constitutionnel et le Conseil d’État ont trahi, ces derniers mois. Mais il faudra tout de même les saisir. Normalement, ils devraient mettre cela à la poubelle, mais ils sont sous pression et sont plutôt enclins à valider ce que propose le pouvoir.

C’est au peuple français de se libérer par lui-même.

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samedi, 10 juillet 2021

Le nouveau numéro de L'Afrique réelle de Bernard Lugan

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Bernard Lugan L'Afrique réelle
 
La France en a l’habitude : ses Armées remportent des victoires que ses décideurs civils transforment systématiquement en défaites politiques. Ainsi en fut-il de l’Algérie, puis du Rwanda et aujourd'hui de la BSS où Emmanuel Macron a annoncé la fin de l’Opération Barkhane. 
Depuis, la quasi-unanimité se fait dans les médias pour mettre en avant l’échec prétendu de cette opération militaire, ce qui est à la fois faux et mensonger.
 
Dans une zone d’action vaste comme une partie de l’Europe dans laquelle ne furent au  maximum déployés que moins de 5000 hommes à la fois, la moitié en protection d’emprises ou d’axes de communication, avec des moyens réduits et parfois même obsolètes, Barkhane n’avait pas pour mission d’apporter une solution à des problématiques ethno-raciales millénaires. Elle a en revanche parfaitement rempli la triple mission qui lui avait été ordonné de mener : 
 
1) Perturber les mouvements terroristes, limiter leur liberté d’action, empêcher leur coagulation, éliminer leurs chefs. A cet égard, les résultats du GTD (Groupement tactique désert) Altor du 2e REP dans la région des « Trois frontières », loin  des camps de base, furent remarquables.
 
2) Rendre la plus hermétique possible la frontière entre la Libye et le Niger, afin d’éviter le réensemencement du jihadisme sahélien à partir du foyer libyen. 
 
3) Empêcher la reformation d’unités jihadistes constituées.
 
Assurer la paix n’était pas dans la mission de Barkhane. Etablir la sécurité passe en effet par la construction des Etats, des armées et des administrations, c’est-à-dire par la recolonisation… ce qui  n’est pas exactement dans « l’air du temps »…
 
Au lieu de réfléchir à des solutions fondées sur le réel, les décideurs français n’ont eu qu’un seul remède à proposer, les élections. Or, ce système fondé sur le « one man, one vote » est d’abord une ethno-mathématique donnant automatiquement le pouvoir aux plus nombreux, en l’occurrence aux sédentaires Noirs sudistes, ce que les nomades ne peuvent accepter.
 
Une furieuse polémique sur fond de question kabyle a éclaté en Algérie. Noureddine Aït Hamouda, ancien député du parti  berbère RCD (Rassemblement pour la Culture et la Démocratie) et fils du colonel Amirouche, chef emblématique du maquis kabyle de la willaya III, tué au combat le 29 mars 1959, a en effet qualifié de « traitres », entre autres, l’émir Abd el-Kader ainsi que les présidents Boumediene et Bouteflika. 
 
En 2008, Nouredine Aït Hamouda avait déjà dénoncé les faux moujahidine légitimés par l’ONM (Office national des Moujahidine), 9/10e étant selon lui des imposteurs, ainsi que le chiffre de 1,5 million de morts causé par la guerre d’indépendance. Les œuvres vives du « Système » étant attaquées, sur plainte de l’ONM, Noureddine Aït Hamouda a été mis en prison. 
Il va être de plus en plus difficile à un « Système » aux abois de cacher qu’il est l’héritier des auteurs du coup d’Etat qui, en 1962, renversa le GPRA (Gouvernement provisoire de la République algérienne), évinçant les combattants de l’intérieur essentiellement Berbères pour instaurer le régime arabo-musulman du FLN (voir à ce sujet mon livre Algérie, l’histoire à l’endroit.)
 
Pour commander L'Afrique réelle cliquez ici

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Des filières d’imigration médicale en France

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On savait déjà que l’Aide médicale d’Etat (AME) qui permet aux immigrés clandestins ou non de se soigner gratuitement coûtait fort cher à la communauté des contribuables français. Un rapport parlementaire mené par Véronique Louwagie, député LR de l’Orne, souligne l’existence de filières migratoires spécifiques nourrie par une « offre » sans équivalent en Europe.

Lire la suite ICI `

Source : Présent 10/07/2021

 

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vendredi, 09 juillet 2021

Eoliennes ? Mauvaise pioche

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Entretien avec Jean-Marc Jancovici, polytechnicien et spécialiste des problèmes liés à l’énergie,  qui dénonce depuis longtemps cet entêtement antinucléaire des Verts. A la tête du Shift Project, il nous rappelle que « les éoliennes et les panneaux solaires n’ont pas servi à décarboner le pays ».

Entretien au Figaro Magazine du 9/07/2021

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jeudi, 08 juillet 2021

Revue de presse : Un Zemmour nommé désir

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Catherine Rouvier

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Comme le président Macron en 2017, Éric Zemmour enthousiasme les Français car il mène la danse dans le débat d’idées.

« La bataille électorale n’est pas la bataille des idées ». Jordan Bardella, le jeune second du RN, a prononcé cette phrase dans la matinale de Pascal Praud, sur CNews, au lendemain des élections régionales, croyant ainsi couper l’herbe sous le pied du possible candidat Zemmour à la présidentielle. À l’inverse, il a sans doute, par cette phrase, donné la clé de cette “envie d’Éric Zemmour” qui monte irrésistiblement dans le pays. Ce qu’a choisi Macron, pour gagner en 2017, c’est justement la bataille des idées. Et sa facile victoire aura détruit en cinq ans beaucoup de ce que nous aimons. Donc en face, pour le chasser du pouvoir, il faut un combattant des idées.

Pas franchement un centriste, Jean Messiha a quitté le navire RN

On sait bien que la présidente du RN a renoncé a remplir ce rôle, pensant, comme on le rabâche depuis la IVème République, que “les élections se gagnent au centre”. Beaucoup de ceux – dont je fus – qui s’étaient engagés à ses côtés pour défendre des idées de droite et les porter au pouvoir ont fini par le comprendre, et par quitter ce parti lourd de ces basses querelles intestines qui caractérisent la “bataille électorale”. Le dernier départ en date est celui de Jean Messiha. Mais il y en a eu tant d’autres depuis dix ans… Comment s’étonner que la possible candidature d’Éric Zemmour les comble de joie ?

A lire aussi: Un RN gentil avec les institutions supranationales, ça n’intéresse personne!

Mais allons plus loin : comment imaginer que le peuple, l’immense foule qu’est ce peuple français malmené, enfermé, martyrisé par des tyrans velléitaires, arraché de force à l’image son pays bien aimé sous prétexte de pollution ou d’ouverture à l’autre, puisse ne pas être séduit par le discours politique d’Éric Zemmour ? Comment imaginer qu’il n’ait pas un “désir” grandissant de celui qui aime “leur” France, la France de toujours, et rejette clairement les politiques qui la défigurent, qu’elles soient “progressistes”, écologistes ou favorables aux islamistes ? Peut-être même, qui sait, que ce peuple, qui a perdu le chemin des urnes, le retrouverait alors ?

Une certaine idée de la France ?

On attend du chef de l’État, depuis De Gaulle, une vision. On attend qu’il tienne fermement la barre des idées. C’est ce qu’avait compris Macron, qui s’est contenté de se faire une liste d’idées subversives à défendre en guise de programme en 2017.

Le parti “en Marche” ne lui a été utile que pour lui fournir les députés qui voteraient les lois installant ces idées-là dans notre droit et nos institutions. Avec la présidentielle qui approche, il est de nouveau engagé dans la bataille des idées, et se moque bien des échecs électoraux de ses godillots de candidats locaux, fussent-ils ministres ! S’il gagne à nouveau, il reconstruira un parti éphémère sur les ruines du précédent, sachant que n’importe quel défonceur de tête à coups de casque, ou n’importe quelle mordeuse de taxi fera l’affaire, du moment que sur l’affiche, à côté de leur tête, il y aura la sienne ! Face à lui, il faut donc un homme qui n’aura que faire – comme lui – du ” combat électoral”.

A lire aussi: Et si la gauche radicale votait Le Pen pour sanctionner Macron?

Les tribunaux veulent faire taire Zemmour

Un homme qui, comme lui, se contentera, pour conquérir le pouvoir, d’un parti ad hoc, une sorte d’avant-garde éclairée, formée de ses partisans, qui inondera la presse et les réseaux d’informations enthousiastes le concernant, pendant que lui se concentrera sur le “combat des idées”. Les idées d’Éric Zemmour, les Français les connaissent, car il les a exposées depuis plus de dix ans dans ses livres et ses émissions, avec constance et clarté. Ils savent qu’elles sont à l’exact opposé de celles de Macron, à l’exact opposé du politiquement correct imposé par des lois iniques. Ils savent aussi qu’il a le courage de défendre sa liberté de penser – et donc la nôtre – jusque devant les tribunaux.

Un message toujours identique, sans variations et retournement, un message clair, un message fort qui n’a pas peur de designer l’ennemi et qui ne renonce pas sous sa pression, voilà ce qu’attend aujourd’hui une foule. Or, soumis depuis trois ans aux mêmes évènements traumatisants, entravé, réprimé, malheureux, que sera le peuple français en avril prochain, sinon une vaste foule ? Il se pourrait bien qu’il concrétise alors ce “désir de Zemmour” dont déjà bruisse le pays.

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Cette vaccination qui rend fou

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Philippe Randa

Trois cents soignants italiens viennent de saisir la justice de leur pays pour obtenir la levée de Il’obligation imposée au personnel médical et sanitaire de se faire vacciner contre le COVID-19. « Ce n’est pas une bataille des “no-vax”, mais une bataille démocratique. On oblige des personnes a prendre un risque sous peine de ne plus pouvoir exercer leur profession », explique l’avocat constitutionnaliste Daniele Granara qui a lancé la procédure et qui est déja l’avocat de nombreux soignants suspendus pour avoir refusé de se « faire piquer ».

Quant a la chronique déjantée d’Emmanuel Lechypre, l’éditorialiste de BFM TV, chaîne officielle de la Macronie chancelante, le 29 juin dernier, elle n’a pu qu’enflammer un peu plus certains esprits déja proches de l’incandescence : « On vous vaccinera de force, moi je vous ferais emmener par deux policiers au centre de vaccination. Faut aller les chercher avec les dents et avec les menottes s’il le faut [...] Les non-vaccinés, ce sont des dangers publics, donc j’ai une démarche trés claire : je fais tout pour en faire des parias de la société ! »

On accuse souvent les complotistes - ces « mauvais Français » de l’époque actuelle - de jeter en permanence de l’huile sur le feu ; mais les porteurs « de la vérité officielle », ne sont pas en reste, on le voit.

Que fera Emmanuel Macron qui avait pourtant dit et répété, pour calmer les esprits, qu’il « voulait aussi étre clair » et « ne rendrait pas la vaccination obligatoire » ? Appliquera-t-il ce principe que les « promesses des hommes politiques n’engagent que ceux qui les reçoivent » ? Comme avait dit feu Charles Pasqua, passé ex-maître en esbroufe politique.

Tout le laisse supposer, son Premier ministre ayant consulté les présidents de groupe à l’Assemblée nationale pour « réfléchir à l’appliquer pas seulement aux soignants mais (à) l’étendre « plus largement » toujours selon BFM TV.

Quoi que l’on pense de la vaccination, constatons que celle-ci crée désormais une fracture de plus en plus importante dans l’opinion publique. Et l’on ne peut s’empêcher de songer à ce proverbe d’antan, remis au goût du jour électoral par Martine Aubry en 2011 : « Quand c’est flou, c’est qu’il y a un loup… »

Source : Présent 8/7/2021

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lundi, 05 juillet 2021

Où va l’Europe ?

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Le grand écrivain algérien, Boualem Sansal, réputé pour son indépendance d’esprit, et qui vit en Algérie envers et contre tout, est tourmenté par le destin du Vieux continent. L’Union européenne ne s’assume pas comme puissance et se renie comme civilisation, estime-t-il. Un bilan qui ne manque pas de nous interpeller par la justesse du regard. (Source : Le Figaro 3/4-07-2021)

A lire ICI

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dimanche, 04 juillet 2021

Impasse du Rassemblement national

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Vincent Trémolet de Villers

Jusqu’ici, le Rassemblement national était le parti roi du premier tour. La liturgie était rodée : résultats spectaculaires, visages déconfits des adversaires, stupeur, tremblements et République en danger. Suivaient la quinzaine antifasciste, ce mauvais théâtre dénoncé par Lionel Jospin, puis l’échec au second tour du candidat du RN. Aux élections régionales, les électeurs de Marine Le Pen se sont privés de ce maigre plaisir. Cette fois, la baudruche enfla si fort qu’elle creva. Depuis des semaines, le travail conjugué des sondeurs, des ministres, de la sphère médiatique plaçait le RN au sommet mais la vérité des urnes a rappelé une réalité brutale: c’est une force politique aussi puissante (elle oscille autour de 20 %) que stérile (elle échoue systématiquement à devenir une proposition majoritaire).

Jusqu’ici, les électeurs défaits se consolaient dans les transgressions cathartiques. Mais désormais, le cri de rage contre la doxa se fait davantage par l’abstention que par le vote Le Pen. La fonction tribunitienne s’est effacée sans que la légitimité à gouverner n’ait avancé d’un pouce. Pile, tu perds toujours, face, tu ne gagnes jamais. On comprend qu’à un tel jeu, le RN trouve de moins en moins de pratiquants. Reste tout ce qu’il nous dit du déséquilibre démocratique contemporain : par le mode de scrutin, des millions d’électeurs ne sont pas représentés ; par lâcheté, les maux qui frappent notre pays, abandonnés au Rassemble- ment national, n’apparaissent que sous une forme émotionnelle ou caricaturale. Aux sujets qui fâchent - insécurité, immigration, déclassement économique, affaissement moral, terrorisme – se substitue une confortable lutte contre le Front national... Il s’agit moins d’améliorer la vie des Français que de faire reculer un parti politique. Comment s’étonner ensuite du niveau affligeant de notre vie civique ? C’est la bonne nouvelle de ce scrutin : battre Marine Le Pen ne suffit plus à faire un programme. Il va donc falloir que ses adversaires se mettent à réfléchir, à travailler et peut-être même, sait-on jamais, à gouverner.

Source : Figaro 3/7/2021

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samedi, 03 juillet 2021

Parution du nouveau numéro (n°70) de Réfléchir et agir

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En kiosques : 7,00 €

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Le regard de Christine Deviers-Joncour sur l'état du monde

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On se souvient de Christine Deviers-Joncour impliquée dans l’affaire Roland Dumas au sujet de la vente des frégates à Taïwan. Très proche de Roland Dumas, elle avait été employée de 1989 à 1993 par le tout puissant pétrolier d’alors Elf-Aquitaine et accusée d’avoir encaissé de l’argent provenant de rétrocommissions. Elle fera cinq mois et demi de prison à Fleury-Mérogis. Et elle publiera un livre sur le sujet : La Putain de la République. Retirée des affaires, elle n’en suis pas moins l’actualité. Christine Deviers-Joncour a vécu la face obscure du monde politique qu'elle dénonce depuis plusieurs années. 

Voici sa dernière contribution. Ca mérite le détour.

A lire ICI

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vendredi, 02 juillet 2021

Le destin de la France au doigt mouillé

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Natacha Polony

II tient a peu de chose, l'avenir d'un pays, quand sa Constitution, pensée pour I’« homme du destin », deux fois sauveur de la nation, permet a des petits personnages d’exercer leur toute-puissance.

Lire la suite ICI

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La gauche médiatique rêve d’un monopole

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Mathieu Bock-Côté

La récente une de Libération cherchant à diaboliser des médias accusés de verser dans le « crime de pensée » surprendra seulement ceux qui ignorent cette vérité fondamentale de la politique contemporaine : rien n’est plus intolérant qu’un journaliste de gauche qui se prend pour un journaliste objectif. Ivre de vertu, convaincu d’œuvrer pour la vérité, accusant ceux qui ne voient pas le monde comme lui de véhiculer des fake news, il s’exaspère de l’apparition d’une presse rivale, qu’il nomme presse d’opinion, dans la mesure où les opinions qui s’y expriment ne sont pas les siennes.

Très vite, il décrète qu’il s’agit d’un média « de droite », le terme suffisant naturellement pour le décréter suspect. Mais qu’est-ce qu’un média «de droite»? C’est un média où les représentants de cette famille d’esprit ne sont pas accueillis comme des malpropres, où elle parle en son propre nom sans qu’on se contente de prétendre dévoiler ses arrière-pensées, nécessairement coupables.

Quel est le rôle des médias en démocratie ? Nombre de journalistes de gauche confessent leur nostalgie de l’entrevue en forme d’interrogatoire, où le suspect idéologique du moment était soumis aux questions tirées de l’orthodoxie. La gauche idéologique est fondamentalement cléricale. Derrière l’inquiétude affichée devant l’émergence de médias « de droite » se dévoile une peur panique : celle d’une perte du monopole sur la mise en récit légitime de l’existence collective. Celle de ne plus pouvoir décréter unilatéralement ce qui est scandaleux, ce qui relève de l’émouvant et du répugnant, de l’essentiel et du fait divers. Il ne tolère pas qu’on hiérarchise l’information autrement qu’il ne le fait.

Le foisonnement des informations caractérise notre temps, et leur mise en perspective devient une activité démocratique fondamentale. Plusieurs se désolent de la multiplication des plateaux de débats à la télévision. À tort. Le propre de l’émission de débats à la française est de mettre l’actualité en contexte, et de faire porter la querelle sur la bonne manière d’interpréter les faits. Elle permet aux contradictions qui traversent l’époque de resurgir au cœur de la cité et de structurer la vie publique.

Il faut pratiquer une sociologie de l’étiquetage médiatique, en s’intéressant aux concepts qui la fondent. Ainsi, quand on présente un intellectuel comme un «polémiste xénophobe», ou un magazine d’information comme un « hebdomadaire ultraconservateur », sans qu’on prenne la peine d’expliquer ce qui distingue le conservateur ordinaire de l’ultra, on le fait explicitement pour diaboliser. L’étiquette ne sert pas à décrire mais à décrier : elle marque publiquement l’intellectuel délinquant. Elle permet d’en appeler à son congédiement, à sa mise à mort professionnelle et à son bannissement par les annonceurs, pour conduire le titre qui l’engage à l’asphyxie financière.

On le voit aussi avec l’usage pavlovien du concept d’extrême droite, à la définition toujours aussi vaseuse, qui sert surtout à infréquentabiliser celui à qui on l’accole, en le transformant en figure diabolique contre laquelle on mènera une politique relevant de l’exorcisme.  La multiplication dans les médias de «  spécialistes de l’extrême droite » traités comme autant de démonologues compétents faisant le portrait du lépreux à maudire donne une apparence de scientificité à ce lynchage symbolique. L’extrême droitisation du désaccord peut même aller jusqu’à la répression juridique, comme on le voit quand un journal passe devant les tribunaux.

Les insultes viennent en grappe : le méchant de service sera alors jugé raciste, sexiste, xénophobe, homophobe et islamophobe, comme s’il ne devait plus rester la moindre parcelle d’humanité sauvable chez celui qu’on appelle le haineux. La gauche médiatique nomme « libération de la parole raciste » la réaction d’un peuple qui ne veut pas mourir. Elle qualifie de phobies le refus de céder aux caprices « minoritaires ». Le monde d’hier et ses restes doivent se dissoudre et ceux qui le défendent doivent être purgés de la vie publique, car leur parole risquerait de réactiver les mentalités traditionnelles d’un peuple inhibé qui pourrait être tenté par l’insurrection démocratique s’il la jugeait possible.

La gauche idéologique redoute le pluralisme médiatique, car à travers la diversité des points de vue se révèle une conception du débat public substituant au sens de l’histoire le pluralisme des valeurs et des visions du monde, ce dernier autorisant l’expression d’idées qu’elle voudrait condamner aux marges, à la manière de croyances résiduelles, périmées, contraires à l’interprétation biscornue qu’elle propose de la démocratie. Il permet la formulation d’idées qu’elle voudrait maudire, même éradiquer. Elle préfère conspuer plutôt que débattre, certaine d’être en possession exaltée de la vérité.

Source : Le Figaro 26/06/2021

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jeudi, 01 juillet 2021

Persécutions urbi et orbi contre les identitaires

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Robert Spieler

La répression judiciaire et sociale frappe à travers toute l’Europe occupée. En Allemagne, les services secrets allemands persécutent la Nouvelle Droite. Désormais, les éditions Antaios, de l’éditeur allemand de la « Nouvelle droite » Götz Kubitschek, sont déclarées « cas suspect » par les services secrets allemands, nous informe Lionel Baland. Parmi les auteurs publiés par les éditions Antaios figurent Alain de Benoist, ainsi que Jean Raspail, l’auteur du Camp des Saints. Dans le rapport annuel de l’Office fédéral de protection de la Constitution (une sorte de police politique), la Nouvelle Droite est accusée d« introduire ses idées dans le discours politique avec un revêtement pseudo-intellectuel et de repousser les limites de ce qui peut être dit ». La France, évidemment, n’est pas en reste. François-Aubert Gannat, fils de l’ancien chef de la région Pays-de-la Loire du FN, Pascal Gannat, qui a été directeur de cabinet de Jean-Marie Le Pen, est aussi le frère de Jean-Eudes Gannat, porte-parole de L’Alvarium, association identitaire angevine.

François-Aubert vient d’écoper de huit mois de prison dont cinq mois de sursis probatoire et a été écroué. Son crime : les militants de l’association identitaire angevine, l’Alvarium, avaient eu à faire face à une violente attaque de leur local par l’extrême-gauche et y avaient courageusement répliqué, les faisant déguerpir comme des lapins. Inacceptable, bien sûr, aux yeux de la Justice du Régime...

Le blogueur nationaliste breton Boris Le Lay, actuellement réfugié au Japon, vient, quant à lui, d’être condamné à 6 mois de prison ferme par le tribunal correctionnel de Quimper, pour « provocation à la discrimina- tion raciale ». Il est vrai qu’il y est allé fort, en déclarant qu’il n’existait pas de « Celtes noirs ». On peut certes comprendre la douleur des Pygmées et des Hottentots, en entendant un tel propos. En attendant, la militante identitaire Thaïs d’Escufon, s’est retrouvée devant le tribunal correctionnel pour « incitation à la haine. » La porte-parole de Génération Identitaire, mouvement dissous en mars dernier, est poursuivie par leur Justice à la suite d’une vidéo enregistrée lors de l’opération Defend Europe dans les Pyrénées. Elle avait, il est vrai, tenu des propos particulièrement nauséabonds, déclarant en conclusion : « A tous ceux qui veulent nous envahir. Retournez chez vous, l’Europe ne sera jamais votre maison ». Le procureur de la République de Saint-Gaudens, très certainement un patriote d’élite, a décidé de poursuivre la jeune porte-parole pour « une expression outrageante, un terme de mépris ou une invective, avoir injurié un groupe de personnes à raison de son appartenance ou de sa non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion ». Et puis, dit-il, ces propos « visent les migrants n’appartenant pas à la communauté française ou européenne » et constitueraient alors une « incitation à la haine ». Le parquet a requis 4 mois de prison avec sursis et 4 000 eu- ros d’amende pour chacun des militants, dont Thaïs d’Escufon.

Mais l’affaire ne s’arrête pas là. Thaïs d’Escofon avait été invitée par Cyril Hanouna dans BTP, en janvier dernier. Or, on apprend sur le blog Politico qu’elle avait travaillé pendant plusieurs mois pour le RN Sébastien Chenu, qui faisait campagne dans les Hauts-de-France, et qui l’avait engagée en septembre dernier comme « community manager », à 800 euros par mois pour alimenter ses pages Facebook, Twitter et lnstagram. Chenu, qui prétend avoir ainsi découvert qu’elle était « affiliée au groupuscule d’ultra-droite Génération Identitaire », l’a renvoyée sur-le-champ. Son directeur de campagne assure qu’il n’avait « aucune idée » que la jeune femme de 22 ans était la porte-parole de GI (il se moque vraiment du monde). Celui-ci explique qu’il a ensuite été décidé par l’équipe qu’en raison de ses prises de position « évidemment différentes » du RN, il n’était « pas possible » qu’elle conti- nuât de travailler pour Sébastien Chenu.

Voilà où en est le parti de Marine Le Pen. On comprend la désaffection des électeurs vis-à-vis d’un parti ayant des comportements aussi misérables, aussi méprisables, à l’égard de ses militants et sympathisants...

Source Rivarol 30/06/2021

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Zemmour candidat : affolée, la clique Macron prête à toutes les censures

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Jacques Guillemain Riposte laïque cliquez là

Potentiel électoral d’Eric Zemmour : 18%, soit + 5 points en quatre mois !

Aucun candidat  potentiel n’a une telle dynamique estime Génération Z, le mouvement de jeunesse qui soutient le journaliste.

Et le naufrage du RN, associé à la débâcle de LREM, ne peut qu’accentuer le mouvement.

Déjà + 5 points sur une simple hypothèse de candidature : ce sera une explosion quand il se jettera dans la mêlée.

Pour la première fois, le champion de la droite patriote s’est déplacé sur le terrain.

Le 18 juin, il était à Dunkerque pour soutenir le collectif  “Vent debout”, qui dénonce l’absurdité du projet éolien dans les tuyaux.

Zemmour a aussi visité la maison natale du général de Gaulle, à l’occasion du 81e anniversaire de l’Appel du 18 Juin.

Chacun comprendra donc que Zemmour commence à inquiéter l’establishment.

C’est d’abord  la gaffeuse Marine qui le déglingue à la veille des régionales, le jugeant trop à droite et trop clivant. Plus gourde et suicidaire, tu meurs.

C’est ensuite Stéphane Séjourné, eurodéputé LREM conseiller de Macron, qui laisse transpirer la panique élyséenne, en attaquant CNews et Eric Zemmour, qu’il veut museler comme au bon vieux temps de l’URSS.

Macron, grand perdant des régionales, avec un bilan calamiteux dans tous les domaines, notamment économique et sécuritaire, envoie ses troupes déminer le terrain. Vaste programme 

Avec Séjourné, on assiste à un grand moment de démocratie. Jugez plutôt : cliquez ici

Ce grand démocrate veut compter dans le temps de parole des politiques les éditorialistes les plus engagés et dénonce “l’hyper-éditorialisation” de certains programmes.

Pascal Praud a aussitôt réagi, sans ménagement :

“Stéphane Séjourné a ressuscité le ministère de l’Information”.

“Monsieur Séjourné regrette le temps de la censure comme il déplore l’époque du pluralisme”.

“On ne parle pas encore de rééducation ou de camp de travail, mais nul doute que si on poussait un peu M. Séjourné dans ses retranchements, il enverrait Eric Zemmour au goulag et votre serviteur en Sibérie” !

C’est dire combien Séjourné, ce grand prêtre de l’Inquisition proche de Macron, a irrité Pascal Praud.

Ce dernier dénonce en outre le silence de la pitoyable presse de gauche, habituellement si prompte à voir une atteinte aux libertés dès qu’elle vient de droite.

Stéphane Séjourné accuse carrément la chaîne CNews de renforcer les thèses extrémistes.

Voilà le vrai visage de la Macronie. Voilà comment Macron prétend réenchanter la politique et la vie des Français. En les muselant totalement, alors que 70% des citoyens ne veulent plus d’immigration ni d’islam.

Mais qui les écoute à part Eric Zemmour ? Les thèses extrémistes, elles sont chez Macron, pour qui défendre son identité et son patrimoine culturel est synonyme d’extrême-droite.

Nos Poilus de Verdun n’étaient donc que des salauds de fachos voulant défendre leur patrie ! Pas étonnant que Macron n’ait pas voulu célébrer leur victoire lors du bicentenaire de l’armistice de 1918.

Cette violente charge de Séjourné contre la liberté d’expression et la liberté d’information prouve combien l’Elysée est aux abois.

Est-ce sur ordre de l’Elysée que les éditions Albin Michel refusent d’éditer le nouveau livre de Zemmour, qu’on annonce aussi percutant que “Le suicide français” paru en 2014 ? On s’interroge !

Cet éditeur pratique une censure plus qu’étonnante envers un auteur qui lui est fidèle depuis 10 ans. Zemmour dérange beaucoup de monde apparemment.

Mais heureusement, Philippe de Villiers, lui aussi édité chez Albin Michel depuis 30 ans, vient de rompre les amarres avec cet éditeur en soutien à Eric Zemmour. Un grand bravo au patriote vendéen !

Toute cette agitation autour de Zemmour prouve qu’il dérange et inquiète les candidats à la magistrature suprême, à commencer par le tenant du titre…

La vérité est que moins de 10% des électeurs inscrits ont soutenu LREM.

Quant à la chaine CNews, elle a dépassé récemment BFM TV pour devenir la première chaîne d’information.

On comprend donc la panique élyséenne. A 10 mois des présidentielles, plus rien ne tourne rond et les électeurs ne croient plus en “Macron l’enchanteur“, qui ne sait que les trahir et les tromper.

C’est Zemmour qui mettra tout le monde d’accord. Lui seul veut rendre la parole au peuple après 40 années de mensonges et de trahisons des élites.

Son discours, c’est ce que pensent 70% des Français.

Si Zemmour se jette dans l’arène pour 2022, ce sera le combat d’un patriote sincère contre des légions de traîtres sans foi ni loi.

Seul contre tous ? Non, il aura le peuple avec lui.

Et un peuple bien décidé à sauver son avenir : ça pèse bien plus lourd que la finance, les médias et le patronat réunis.

Le moment venu, le peuple ne s’y trompera pas. Ce sera le plus grand nettoyage de printemps de tous les temps.

Le peuple souverain reprendra enfin son destin en mains, après avoir été méprisé et trahi par ses élus pendant 40 ans.

C’est cela une candidature Zemmour : le pouvoir au peuple, tout le contraire d’une dictature.

Eric Zemmour, c’est le candidat du peuple, ce peuple gaulois qui s’est coltiné toutes les guerres pendant vingt siècles, pour bâtir la nation France que Macron s’acharne à détruire.

Lui seul est capable de prendre en compte la détresse des Gilets jaunes, des paysans et des ouvriers, tous abandonnés par la caste des nantis mondialistes ennemis des nations.

Et c’est bien là ce qui fait sa force !

 

12:00 Publié dans Présidentielle 2022, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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